Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Et oui, vous allez rire avec toutes mes fics, mais grace à une de mes harceleuses qui m'a gentiment proposée d'écrire une fiction sur Wentworth et Sarah, je n'ai eu aucune hésitation^^
Bien sur, il faudra être patiente pour commencer cette lecture du premier chapitre. (je dois clore deux fictions en cours avant de poster celle ci)...
Le titre : Les turbulences du coeur...
Votre nom : Angie
Genre : Romantique,Dramatique
Disclaner :
C'est différent et il s'avère un peu difficile d'écrire sur un couple qui existe à l'écran et non dans la vie "réelle", donc, pour ne pas trop piétiner sur la vie des acteurs, pensez bien que ceci n'est qu'une fiction !!!
Alors, pour les personnes qui n'aiment pas l'actrice "Sarah Wayne Callies" (et oui il y en a ) alors, fermez directement la page ! Merci.
Je vous explique un peu le contenu de ma nouvelle fic (en gros, sinon y'aura plus de suspens, donc, plus aucun moyen de jouer à ma sadique lol)
Sarah Wayne Callies revient pour le tournage de la saison4 ! Elle n'est pas marié, ni jeune maman dans mon écrit ! Juste fiancé d'un pauvre type ! Went avait prit de ses nouvelles, mais elle a gardé le silence pendant ses six derniers mois. Quelle sera la réaction de Went et de tous les autres quand il l'a verront débarqué ? Et ce, chez eux ?.......................
A suivre très prochainement (enfin, si vous la voulez)
Bien sur, il faudra être patiente pour commencer cette lecture du premier chapitre. (je dois clore deux fictions en cours avant de poster celle ci)...
Le titre : Les turbulences du coeur...
Votre nom : Angie
Genre : Romantique,Dramatique
Disclaner :
C'est différent et il s'avère un peu difficile d'écrire sur un couple qui existe à l'écran et non dans la vie "réelle", donc, pour ne pas trop piétiner sur la vie des acteurs, pensez bien que ceci n'est qu'une fiction !!!
Alors, pour les personnes qui n'aiment pas l'actrice "Sarah Wayne Callies" (et oui il y en a ) alors, fermez directement la page ! Merci.
Je vous explique un peu le contenu de ma nouvelle fic (en gros, sinon y'aura plus de suspens, donc, plus aucun moyen de jouer à ma sadique lol)
Sarah Wayne Callies revient pour le tournage de la saison4 ! Elle n'est pas marié, ni jeune maman dans mon écrit ! Juste fiancé d'un pauvre type ! Went avait prit de ses nouvelles, mais elle a gardé le silence pendant ses six derniers mois. Quelle sera la réaction de Went et de tous les autres quand il l'a verront débarqué ? Et ce, chez eux ?.......................
A suivre très prochainement (enfin, si vous la voulez)
Dernière édition par nol59 le Jeu 14 Aoû - 22:56, édité 50 fois
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Les turbulences du cœur…
Chapitre 1.
Je m’accroche désespérément au fauteuil pendant que l’avion entame sa descente. Je ferme les yeux, tétanisée comme à chaque fois que j’empreinte ce moyen de transport que j’essaie de toujours évité. Bien qu’il y a quatre jours, j’étais dans un état d’excitation à l’idée de revenir à Los Angeles, et de retrouver les autres, aujourd’hui, je suis terrorisée…
Une voix s’élève dans l’habitacle du jet, nous informant que nous sommes enfin posés sur le sol californien. J’ouvre de grand yeux, et regarde à travers le hublot. Je souris, heureuse d’être encore en vie. Si les gens savaient que j’ai une peur bleue de voler dans le ciel, ils seraient hilares, me dis-je en débouclant la ceinture de sécurité.
Poussant un soupir de soulagement, je me lève lentement afin que la sensation que mes jambes soient en coton disparaisse. Mais dés que je suis redressée, je manque de m’effondrer sur mon siège quand une hôtesse me soutient en agrippant mon bras.
H : Vous allez bien ?
S : Oui… oui je vais bien.
Je la regarde en arborant un sourire afin de dissimuler mon malaise.
S : Merci.
Quelques minutes plus tard, je m’enfonce dans le hall de l’aéroport et je m’arrête quand mon regard tombe dans le sien. Nous nous sourions au loin, chacun restant à sa place, à quelques mètres de l’un l’autre.
Je le contemple, il n’a pas changé, constatais-je en l’étudiant de bas en haut. Toujours aussi stylé dans son genre, avec son blouson de cuir noir et son jean usé par le temps. Je ris légèrement tandis que je m’aperçois qu’il s’approche dans ma direction.
Étrange cette sensation qui me submerge quand les pas qu’il franchit diminuent. Je suis heureuse de le revoir, ce n’est pas le problème, mais ce qu’il s’est passé il y a six mois…. Sarah, tu ne devrais plus y penser, et Paul n’y est pour rien ! Me répétais-je tandis qu’il me sert à présent dans ses bras.
P : Sarah…
S : Je suis contente de te revoir, Paul.
S’écartant de notre étreinte amicale, il pose ses mains sur mes épaules et me contemple en souriant.
S : Merci pour tout ce que tu as fais, Paul.
P : Je n’ai rien fais de spécial, Sarah.
S : Tu plaisantes ? Les journaux parlent bien que tu batailles depuis le début avec la Fox pour que je revienne !
P : N’écoutes pas les journaux, tu devrais le savoir non ?
S : Et toi, ne me ment pas ! J’ai reçu un appel de mon agent, la semaine passée. Il m’a raconté tous ce que tu as fais pour que je sois de retour dans l’équipe.
P : Ce sont tes fans, ma belle qui ont fait basculé la balance.
S : Je sais cela aussi. Et, je ne les remercierai jamais assez.
P : Tu auras l’occasion de les remercier en jouant ton rôle à la perfection.
Nous nous sourions tandis qu’il me prend par le bras et me pose des questions sur le vol.
S : Disons que je suis contente d’avoir atterrit saine et sauve. Bon, alors, tu m’expliques ?
Je remarque les traits de son visage se crisper. Il baisse les yeux tout en continuant de m’entraîner vers la sortie de l’aéroport.
P : Écoutes Sarah… peu de monde est au courant de ton retour…
S : (fronçant les yeux) Comment cela peu de monde ?
P : (poussant un soupir) Personne n’est au courant pour être plus précis.
S : Tu plaisantes ?
P : Ne soit pas horrifiée, Sarah ! Tu sais très bien qu’ils seront heureux de te voir revenir travailler avec eux. Tu manques beaucoup tu sais…
Je soupire sans répondre et entre dans le véhicule dont il vient d’ouvrir la portière, m’invitant à entrer. Je ne sais plus quoi en penser de cette histoire ! Je savais que personne ne devait être au courant mais jamais je n’aurais imaginé que les autres étaient censé ne rien savoir. Comment vont-ils réagir à présent ? Les souvenirs douloureux de mon départ refirent alors soudainement surface dans mon esprit….
Trois jours avant mon départ, j’avais reçu le script et, horrifiée, humiliée d’apprendre la mort de mon personnage de cette façon par ce simple morceau de papier m’avait complètement bouleversée. Furieuse que Paul ne m’en avait touché mot, je suis allé le trouver. Nous avions eu d’abord une confrontation houleuse, mais au fur et à mesure de la discussion, j’avais compris qu’il n’était responsable de rien. Seuls, la Fox, les producteurs avaient décidé de tuer le Docteur Tancredi, personnage dont j’attachais de l’importance à jouer. Alors que sans m’en rendre compte, les producteurs commençaient à la détacher…
Après de nombreuses heures de négociation, j’étais repartie m’isoler sur l’île où mes parents vivaient, loin de tous, loin de la corruption infâme d’Hollywood.
Pendant les premiers jours, je ne répondais plus aux appels téléphoniques de Paul qui s’inquiéter réellement pour moi. Je n’avais même pas dit au revoir aux autres, refusant de leurs parler. J’étais trop humiliée pour cela. Dominic avait tenté de me joindre également, quand à Wentworth, il avait laissé un nombre incalculable de message sur ma messagerie. Il se disait désolé, ainsi que tous les autres. Il disait qu’il était dégoûté de la tournure des événements… il disait que je lui manquais.
Lui aussi me manquait. Atrocement même. Nous étions partenaires à l’écran et depuis le début des premiers tournages, une amitié forte était née entre nous. Les fans du couple Michael et Sara, espéraient même nous voir ensemble hors des cameras. Mais je sais, tout comme lui, que rien de tel n’arriverait .
Quelques minutes plus tard, le soupir de Paul vint abattre le silence de l’habitacle du véhicule. Je tourne la tête, tandis qu’il restait concentré sur la route.
S : Bon, tu vas m’expliquer ? Où m’emmènes-tu ?
P : Nous avons loué un loft qui est à quelques kilomètres des studios. Bien sur, tu auras une chambre personnelle, comme… tous les autres.
S : (écarquillant les yeux) Quoi ? Qui tous les autres ?
P : Dominic, Amaury, Jodie…
S : (levant les mains) Ho ! Attends une petite seconde !
P : Le loft se trouve à peine à cinq minute en voiture du lieu où nous tournons, Sarah ! Et comme tu le sais, tous le monde n’habitent pas à Los Angeles, donc on a eut l’idée de louer …
S : Tu es en train de me dire que je vais devoir cohabiter avec l’équipe ?
P : (souriant) Tu as tout comprit, Sarah. Mais bien sur, les jours où aucun tournage n’est prévu, chacun est libre de rentrer chez soi.
Je déglutis péniblement à cette nouvelle qui à l’air de prendre ma réaction à la rigolade. Je manque de m’étouffer à imaginer les mecs, les fesses enfoncées dans le canapé, une bière à la main alors que je débarrasse leurs chaussettes sales ! Berk ! Une colère m’envahit mais s’évapore tout de même, inexplicablement à l’idée de les revoir. Mais de là à vivre H24 avec eux, il y a un grand fossé, bien qu’ils étaient tous adorable avec moi et je vois que Paul s’en réjouit.
S : Donc, si je comprend bien, personne n’est au courant que je suis de retour. Personne n’attend donc mon arrivée à cette heure. Et les personnes avec qui je suis censée partager un loft, la plupart ne font que des blagues digne d’un adolescent en recherche d’identité ferait ! Et arrête de rire pendant que je fais mon résumé car j’ai l’impression de devenir folle ! me*de ! Paul ! As-tu pensé aux complications que cette cohabitation engendré ? Non, bien sur que non ! Toi, tous ce qui te préoccupes, c’est qu’aucun de tes acteurs soient en retard sur le tournage ! N’est-ce pas ?
P : Tu as raison Sarah. Mais saches que j’ai d’autre raisons de vous faire vivre ensemble pendant un an, tout au moins…
S : Comment cela tout au moins ?
P : Je ne dirais rien de plus ! Et je vois que tu n’as pas perdue ton caractère, Wayne Callies, et crois moi si tu veux mais ça me fait très plaisir !
Je bouillonne de rage, il a vraiment le don de me faire fermer mon clapet ! Je le foudroie du regard afin qu’il arrête de pouffer de rire.
P : Désolé, ma grande, mais tu te contenteras seulement de cette explication. Vous cohabitez ensemble pour le bien de tous le monde, ok ?
S : Ce n’est pas une explication ! Et pourquoi arrêtes-tu la voiture ?
P : Nous sommes arrivés.
Surprise, je regarde autour de moi et descend de la voiture. Respirant un grand coup, je lève les yeux et me trouve devant un bâtiment d’acier d’où les rayons du soleil reflètent fortement. Je rabaisse mes lunettes de soleil avant de prendre mon sac à main tandis que Paul attrape ma valise.
P : Prête à tous les affronter ?
S : Tous ? Je pensais que seuls ceux qui n’habitaient pas dans le coin serait…
P : (sourire narquois) Toute l’équipe vit ici depuis hier matin, Sarah !
S : (éberluée) Quoi ? Tu veux dire que ….
P : (souriant) Oui, Wentworth fait parti lui aussi de ces hommes immatures dont tu ne veux pas repasser les chemises ni ranger les chaussettes sales….
Alors, je continue ?
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
ahhhhhhhhhhhhhhhh
j'adooooooooooooooore , ton idée est vraimen génial
hate de voir ( ou plutot de lire) les retrouvailles
la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiite
j'adooooooooooooooore , ton idée est vraimen génial
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HANANE- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
voilà que je vais te lire et relire partout
donc cette première partie me plait énormément donc j'attends avec impatience la suivante
et merci infiniment de mettre tes talents d'auteurs dans une nouvelle fic
donc cette première partie me plait énormément donc j'attends avec impatience la suivante
et merci infiniment de mettre tes talents d'auteurs dans une nouvelle fic
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tu peux pas savoir à quel point tu me fais plaisir en écrivant une fic wesa !!!! j'adhère totalement et j'adore ton style ! bravo !!!
je réclame viiiite une suiiiite !!!!
je réclame viiiite une suiiiite !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci beaucoup les filles :bisous:
Voici la suite :siffle:
ps : les pensées de Paul seront en vert^^
Chapitre 2.
Je pénètre dans le grand hall du bâtiment. Subjuguée par la beauté étincelante des murs d’un blanc brillant qui contraste avec les parois d’acier visible à l’œil nu de la devanture, je suis Paul d’une marche hésitante. Mon regard poursuit vivement les alentours, captant le plus d’information, le plus de détails possible du décor qui m’entoure avant que je reste interdite devant le haut plafond, digne d’un beffroi.
S : (soufflant) C’est haut…
P : (se tournant) Oui, allez vient c’est en haut justement.
Je fronce les paupières et contemple le visage moqueur de Paul. Secouant la tête, pestant silencieusement je continue de le suivre tandis qu’il monte les marches du gigantesque escalier. Je pose une main sur la rampe grisâtre, me demandant si ce lieu et aussi froid que cette couleur et que cette matière qu’est l’acier !
Arrivés dans un second hall, un peu plus petit que le précédent, Paul se retourne vers moi et me sourit. J’avoue qu’il n’a pas l’air de vouloir se moquer comme tout à l’heure, mais je lui souris d’un air réservé.
P : Tu verras ils seront heureux de te voir, Sarah.
S : Peut être, mais je préférais rester ici pendant que tu leurs annonces mon arrivée !
P : (serrant les lèvres) Bon, très bien. Mais entre à l’intérieur, ils doivent être tous sur le toit à cette heure.
S : Le toit ?
P : Oui, le toit. Il fait office d’une immense terrasse, pourvue d’une piscine, jacuzzi et j’en passe ! Tu verras, tu te plairas ici.
S : (l’air surprise) Si je m’attendais à ça !
P : Oui l’aspect esthétique du bâtiment n’attire pas très grand nombre, mais une fois qu’on a visité l’intérieur, on tombe instantanément sous le charme. C’est un architecte moderne qui a conçu tous les plans de ce bâtiment. Mais assez parler de la construction de ce loft où tu passeras tes nuits à partir d’aujourd’hui, entrons.
Je déglutis péniblement, la peur au ventre d’y trouver quelqu’un en ouvrant cette porte. Priant silencieusement que la petite troupe soit sur ce toit en train de nager comme des poissons dans l’eau ou de se faire bronzer au soleil, je pénètre à l‘intérieur, m’accrochant sans m’en rendre compte à la veste de Paul qui tourne le visage vers moi en souriant.
P : (d’un air moqueur) Je ne te savais pas si froussarde, Wayne Callies !
S : (levant les yeux au ciel) Vas-y moques toi ! Mais Wentworth doit m’en vouloir de ne jamais avoir….
P : (la coupant, fronçant les sourcils) Non. Enfin, si il t’en veut, ça lui passera rapidement. Il a changé depuis ton départ…
S : Comment ça ?
P : (murmurant) Écoutes, je ne suis pas certain que ce soit le fait que tu ne faisais plus partie de l’équipe mais depuis, il est souvent d’une humeur désagréable.
S : C’est-ce que je te disais, il est furieux après moi.
P : C’est vrai que tu aurais pût au moins répondre à ses messages !
S : (surprise) Comment le sais-tu ? Il t’en a parlé ?
P : Dominic m’en a parlé…
S : (bredouillant) Je… je ne…
P : C’est pas à moi d’avoir des explications, Sarah. Écoutes, je sais que vous êtes très proches tous les deux, du moins, vous l’étiez…. Mais je comprend que tu ais préféré garder tes distances…
S : (murmurant dans un souffle) Tu ne peux pas comprendre, Paul.
Il me regarde avec un air de pitié dans les yeux. Je tressaillis au souvenir douloureux de cette nuit là où je suis rentrée chez moi avant de prendre l’avion pour Hawaï.
P : (compatissant) C’’est à cause d’Éric ?
S : (les larmes aux yeux) Je… je ne veux pas en parler…
M’efforçant de ne pas éclater en sanglots au souvenir des paroles dures provenant de mon fiancé, je lance un regard circulaire autour de moi. Plus étrange que cela puisse paraître, je ne me sens pas dépaysée par le décor du salon. Goût luxueux sans trop en faire, les meubles modernes qui sont installés dans la grande pièce ont un soupçon de charme qui leur ait propre. Un large tapis blanc est plaqué sur le sol carrelé qui prolonge jusqu’au canapé d’angle noir où des coussins blanc et rouge s’accordent à la perfection.
Alors que je ressens le regard de Paul sur moi, je lève les yeux vers lui et lui sourit. Il doit avoir pressentit mon trouble et pose la valise sur le sol avant de m’attirer dans ses bras. Un sanglot étranglé sort de ma gorge tandis que je laisse mon visage se posait sur son torse.
P : Ça ira, Sarah…. Si jamais tu as un soucis, tu m’appelles, hein ?
Je hoche la tête silencieusement, il s’écarte de moi et me donne un baiser sur le front avant de me lancer :
P : Allez vient, je vais te laisser t’installer dans ta chambre, comme ça, j’irai parlé aux autres…
Je soupire de soulagement, et m’empresse de le suivre dans le long couloir.
P : (murmurant) Ces portes ici, se sont les salles de bain. Et les chambres sont là-haut.
Je reste silencieuse et comprend peu à peu la disposition des pièces de ce loft. Avec un sentiment nostalgique à l’image de ma petite maison canadienne, je poursuis d’un pas nonchalant le chemin, précédant Paul qui m’emmène vers un escalier en colimaçon. Alors que je constate que je ferais du sport chaque jours à monter et descendre toutes ses marches, nous entendons un bruit venant du bas.
P : (murmurant) Dépêches-toi !
Je me précipite dans les marches, manquant d’atterrir sur les fesses si Paul ne m’aurait pas rattraper en pouffant de rire. Lui lançant un regard furieux, il m’entraîne par la main vers une porte qu’il ouvre vivement.
P : (posant la valise sur le sol) Voilà c’est ta chambre, ma belle. Reste ici le temps que je vais leur parler, et je viendrais te chercher, d’accord ?
La peur au ventre, je n’arrive pas à articuler un son mais accepte d’un hochement de tête. C’est alors que j’entends son rire moqueur et le vois fermer la porte. Épuisée, paniquée, je pousse un soupir et m’effondre sur le lit en baldaquin derrière moi…
Je cesse de sourire, une fois la porte de la chambre de Sarah refermée. Je ne sais pas les raisons exactes qui l’ont poussées ainsi à se couper de nous tous, mais je parierais que c’est de la faute de cet Éric dont je ne supporte même pas la vue ! Pestant intérieurement, je redescend l’escalier en colimaçon et passe par la droite avant d’atterrir dans l’imposante salle à manger ! Tu m’étonnes qu’ils s’y ont fait vite à cet endroit !
Passant les lourdes baies vitrées qui donnent sur la terrasse, je sors à l’extérieur et gratifie tous le monde du regard. Un par un, je vérifie que personne ne manque. Amaury, Dominic et Robert sont en train de discuter à une table, prenant une bière, et il n’est que dix heures du matin, au passage ! Je secoue la tête et grimaçant, je cherche Wentworth du regard mais m’avance tout de même un peu plus discrètement afin de mettre un visage sur les personnes qui s’amusent et nagent dans la piscine.
A : Paul !
Et voilà, je suis découvert ! Je lève la main, les saluant et inspire profondément avant d’aller les rejoindre. Mon regard toujours fixé vers le bassin, je constate enfin qu’il s’agit de Jodie, Marshall, Danay et d’une femme dont je n’ai jamais vu. Fronçant les sourcils, et m’arrêtant près du bord je contemple cette inconnue d’un air méfiant.
P : (d’une voix autoritaire) Marsh, Jodie et Danay ! Sortez, il faut que je vous parle !
Sur ce, n’attendant pas leur réponse, je me retourne et vais saluer les gars qui me regardent d’un air étonné.
D : Hey Paul, ça ne va pas ? Qu’est-ce qui se passe ?
R : Tu n’as pas l’air de bonne humeur ?
P : Qui est cette bimbo ?
Je me concentre à nouveau sur les trois hommes qui gloussent dés ma parole. Poussant un soupir et levant les yeux au ciel, je m’installe à côté de Dom qui me propose une bière.
P : Je ne bois pas de bière à cette heure, Purcell ! Et vous devez être complètement inconscient de boire de l’alcool sous cette chaleur !
A : Mais, il est plus de dix heures !
R : (prenant une gorgée) C’est vrai, il a pas tort….
D : Et on ne travaille pas, donc où est le malaise ? On reprend le tournage que dans une semaine, non ?
P : Tu as raison, mais si je suis ici c’est que je dois vous parler boulot et j’ai une nouvelle à vous annoncer.
A : Ha !!!! J’adore les nouvelles !
D : (sourcils froncés) Une bonne au moins ?
P : Ça, c’est à vous de juger !
A : Vas-y dis nous alors !
J : Salut Paul.
Je souris à Jodie qui vient de m’embrasser sur la joue avant de m’exclamer :
P : Salut ! La prochaine fois, tu ferais mieux de t’essuyer avant de m’embrasser !
J : (faisant une moue) Ho, de mauvaise humeur….
P : Bon Marshall et Danay, installez vous. Où est Went ?
D : (faisant un mouvement de la tête en direction de la piscine) Ha ça, la bimbo est partie le sortir du lit, à mon avis.
Hein ? J’ai du mal entendre ? Je me retourne et aperçois le corps volupté de cette fille entrait à l’intérieur. Il manquerait plus qu’il sait que Sarah est déjà là ! Et merde !
P : C’est qui cette fille ?
Da : La dernière conquête de notre protéger !
P : (écarquillant les yeux) Vous plaisantez ?
M : (secouant la tête) Non, il la ramenait hier soir. Pourquoi ? Y’a un problème ?
P : (choqué) Heu…. Non, enfin… je ne pense pas.
D : Hé Paul ? Tu vas nous dire ce qui se passe ?
P :…
J : Paul ?
Je sursaute légèrement et les regarde tour à tour avant de me lever brusquement de ma chaise et de repartir à l’intérieur du loft.
D : Hé, tu vas où ?
P : (s’écriant, l’air furieux) Sortir Miller du lit !
Voici la suite :siffle:
ps : les pensées de Paul seront en vert^^
Chapitre 2.
Je pénètre dans le grand hall du bâtiment. Subjuguée par la beauté étincelante des murs d’un blanc brillant qui contraste avec les parois d’acier visible à l’œil nu de la devanture, je suis Paul d’une marche hésitante. Mon regard poursuit vivement les alentours, captant le plus d’information, le plus de détails possible du décor qui m’entoure avant que je reste interdite devant le haut plafond, digne d’un beffroi.
S : (soufflant) C’est haut…
P : (se tournant) Oui, allez vient c’est en haut justement.
Je fronce les paupières et contemple le visage moqueur de Paul. Secouant la tête, pestant silencieusement je continue de le suivre tandis qu’il monte les marches du gigantesque escalier. Je pose une main sur la rampe grisâtre, me demandant si ce lieu et aussi froid que cette couleur et que cette matière qu’est l’acier !
Arrivés dans un second hall, un peu plus petit que le précédent, Paul se retourne vers moi et me sourit. J’avoue qu’il n’a pas l’air de vouloir se moquer comme tout à l’heure, mais je lui souris d’un air réservé.
P : Tu verras ils seront heureux de te voir, Sarah.
S : Peut être, mais je préférais rester ici pendant que tu leurs annonces mon arrivée !
P : (serrant les lèvres) Bon, très bien. Mais entre à l’intérieur, ils doivent être tous sur le toit à cette heure.
S : Le toit ?
P : Oui, le toit. Il fait office d’une immense terrasse, pourvue d’une piscine, jacuzzi et j’en passe ! Tu verras, tu te plairas ici.
S : (l’air surprise) Si je m’attendais à ça !
P : Oui l’aspect esthétique du bâtiment n’attire pas très grand nombre, mais une fois qu’on a visité l’intérieur, on tombe instantanément sous le charme. C’est un architecte moderne qui a conçu tous les plans de ce bâtiment. Mais assez parler de la construction de ce loft où tu passeras tes nuits à partir d’aujourd’hui, entrons.
Je déglutis péniblement, la peur au ventre d’y trouver quelqu’un en ouvrant cette porte. Priant silencieusement que la petite troupe soit sur ce toit en train de nager comme des poissons dans l’eau ou de se faire bronzer au soleil, je pénètre à l‘intérieur, m’accrochant sans m’en rendre compte à la veste de Paul qui tourne le visage vers moi en souriant.
P : (d’un air moqueur) Je ne te savais pas si froussarde, Wayne Callies !
S : (levant les yeux au ciel) Vas-y moques toi ! Mais Wentworth doit m’en vouloir de ne jamais avoir….
P : (la coupant, fronçant les sourcils) Non. Enfin, si il t’en veut, ça lui passera rapidement. Il a changé depuis ton départ…
S : Comment ça ?
P : (murmurant) Écoutes, je ne suis pas certain que ce soit le fait que tu ne faisais plus partie de l’équipe mais depuis, il est souvent d’une humeur désagréable.
S : C’est-ce que je te disais, il est furieux après moi.
P : C’est vrai que tu aurais pût au moins répondre à ses messages !
S : (surprise) Comment le sais-tu ? Il t’en a parlé ?
P : Dominic m’en a parlé…
S : (bredouillant) Je… je ne…
P : C’est pas à moi d’avoir des explications, Sarah. Écoutes, je sais que vous êtes très proches tous les deux, du moins, vous l’étiez…. Mais je comprend que tu ais préféré garder tes distances…
S : (murmurant dans un souffle) Tu ne peux pas comprendre, Paul.
Il me regarde avec un air de pitié dans les yeux. Je tressaillis au souvenir douloureux de cette nuit là où je suis rentrée chez moi avant de prendre l’avion pour Hawaï.
P : (compatissant) C’’est à cause d’Éric ?
S : (les larmes aux yeux) Je… je ne veux pas en parler…
M’efforçant de ne pas éclater en sanglots au souvenir des paroles dures provenant de mon fiancé, je lance un regard circulaire autour de moi. Plus étrange que cela puisse paraître, je ne me sens pas dépaysée par le décor du salon. Goût luxueux sans trop en faire, les meubles modernes qui sont installés dans la grande pièce ont un soupçon de charme qui leur ait propre. Un large tapis blanc est plaqué sur le sol carrelé qui prolonge jusqu’au canapé d’angle noir où des coussins blanc et rouge s’accordent à la perfection.
Alors que je ressens le regard de Paul sur moi, je lève les yeux vers lui et lui sourit. Il doit avoir pressentit mon trouble et pose la valise sur le sol avant de m’attirer dans ses bras. Un sanglot étranglé sort de ma gorge tandis que je laisse mon visage se posait sur son torse.
P : Ça ira, Sarah…. Si jamais tu as un soucis, tu m’appelles, hein ?
Je hoche la tête silencieusement, il s’écarte de moi et me donne un baiser sur le front avant de me lancer :
P : Allez vient, je vais te laisser t’installer dans ta chambre, comme ça, j’irai parlé aux autres…
Je soupire de soulagement, et m’empresse de le suivre dans le long couloir.
P : (murmurant) Ces portes ici, se sont les salles de bain. Et les chambres sont là-haut.
Je reste silencieuse et comprend peu à peu la disposition des pièces de ce loft. Avec un sentiment nostalgique à l’image de ma petite maison canadienne, je poursuis d’un pas nonchalant le chemin, précédant Paul qui m’emmène vers un escalier en colimaçon. Alors que je constate que je ferais du sport chaque jours à monter et descendre toutes ses marches, nous entendons un bruit venant du bas.
P : (murmurant) Dépêches-toi !
Je me précipite dans les marches, manquant d’atterrir sur les fesses si Paul ne m’aurait pas rattraper en pouffant de rire. Lui lançant un regard furieux, il m’entraîne par la main vers une porte qu’il ouvre vivement.
P : (posant la valise sur le sol) Voilà c’est ta chambre, ma belle. Reste ici le temps que je vais leur parler, et je viendrais te chercher, d’accord ?
La peur au ventre, je n’arrive pas à articuler un son mais accepte d’un hochement de tête. C’est alors que j’entends son rire moqueur et le vois fermer la porte. Épuisée, paniquée, je pousse un soupir et m’effondre sur le lit en baldaquin derrière moi…
Je cesse de sourire, une fois la porte de la chambre de Sarah refermée. Je ne sais pas les raisons exactes qui l’ont poussées ainsi à se couper de nous tous, mais je parierais que c’est de la faute de cet Éric dont je ne supporte même pas la vue ! Pestant intérieurement, je redescend l’escalier en colimaçon et passe par la droite avant d’atterrir dans l’imposante salle à manger ! Tu m’étonnes qu’ils s’y ont fait vite à cet endroit !
Passant les lourdes baies vitrées qui donnent sur la terrasse, je sors à l’extérieur et gratifie tous le monde du regard. Un par un, je vérifie que personne ne manque. Amaury, Dominic et Robert sont en train de discuter à une table, prenant une bière, et il n’est que dix heures du matin, au passage ! Je secoue la tête et grimaçant, je cherche Wentworth du regard mais m’avance tout de même un peu plus discrètement afin de mettre un visage sur les personnes qui s’amusent et nagent dans la piscine.
A : Paul !
Et voilà, je suis découvert ! Je lève la main, les saluant et inspire profondément avant d’aller les rejoindre. Mon regard toujours fixé vers le bassin, je constate enfin qu’il s’agit de Jodie, Marshall, Danay et d’une femme dont je n’ai jamais vu. Fronçant les sourcils, et m’arrêtant près du bord je contemple cette inconnue d’un air méfiant.
P : (d’une voix autoritaire) Marsh, Jodie et Danay ! Sortez, il faut que je vous parle !
Sur ce, n’attendant pas leur réponse, je me retourne et vais saluer les gars qui me regardent d’un air étonné.
D : Hey Paul, ça ne va pas ? Qu’est-ce qui se passe ?
R : Tu n’as pas l’air de bonne humeur ?
P : Qui est cette bimbo ?
Je me concentre à nouveau sur les trois hommes qui gloussent dés ma parole. Poussant un soupir et levant les yeux au ciel, je m’installe à côté de Dom qui me propose une bière.
P : Je ne bois pas de bière à cette heure, Purcell ! Et vous devez être complètement inconscient de boire de l’alcool sous cette chaleur !
A : Mais, il est plus de dix heures !
R : (prenant une gorgée) C’est vrai, il a pas tort….
D : Et on ne travaille pas, donc où est le malaise ? On reprend le tournage que dans une semaine, non ?
P : Tu as raison, mais si je suis ici c’est que je dois vous parler boulot et j’ai une nouvelle à vous annoncer.
A : Ha !!!! J’adore les nouvelles !
D : (sourcils froncés) Une bonne au moins ?
P : Ça, c’est à vous de juger !
A : Vas-y dis nous alors !
J : Salut Paul.
Je souris à Jodie qui vient de m’embrasser sur la joue avant de m’exclamer :
P : Salut ! La prochaine fois, tu ferais mieux de t’essuyer avant de m’embrasser !
J : (faisant une moue) Ho, de mauvaise humeur….
P : Bon Marshall et Danay, installez vous. Où est Went ?
D : (faisant un mouvement de la tête en direction de la piscine) Ha ça, la bimbo est partie le sortir du lit, à mon avis.
Hein ? J’ai du mal entendre ? Je me retourne et aperçois le corps volupté de cette fille entrait à l’intérieur. Il manquerait plus qu’il sait que Sarah est déjà là ! Et merde !
P : C’est qui cette fille ?
Da : La dernière conquête de notre protéger !
P : (écarquillant les yeux) Vous plaisantez ?
M : (secouant la tête) Non, il la ramenait hier soir. Pourquoi ? Y’a un problème ?
P : (choqué) Heu…. Non, enfin… je ne pense pas.
D : Hé Paul ? Tu vas nous dire ce qui se passe ?
P :…
J : Paul ?
Je sursaute légèrement et les regarde tour à tour avant de me lever brusquement de ma chaise et de repartir à l’intérieur du loft.
D : Hé, tu vas où ?
P : (s’écriant, l’air furieux) Sortir Miller du lit !
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Alors la Ma petite Angie, je suis hyper super maga contente de cette nouvelle fic. Le fais que tu ecrive super bien, ca je te l'ai déja dit, donc on va passer hein lol.
L'idée d'une fic WeSa je trouve ça extra, je sens que je vais bien m'amuser à lire, sauf si tu leur fait la misère lol.
Sinon l'autre idée du loft PB, je kiff trop, et on a encore droit à une Sarah super caractérielle.
L'idée d'une fic WeSa je trouve ça extra, je sens que je vais bien m'amuser à lire, sauf si tu leur fait la misère lol.
Sinon l'autre idée du loft PB, je kiff trop, et on a encore droit à une Sarah super caractérielle.
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
a ben je viens de poster et tu nous envoi déja une suite, je retourne à ma lecture lol.
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
je commence ma tournée de comms
je vais me répéter mais c'est qui cette bimbo de toute façon je sens que Paul va la virer vite fait
et notre Sarah qui se planque, pourtant les autres vont l'accueillir comme il se doit hein attention pas de lynchage
sinon Paul est très protecteur envers son équipe et il me semble qu'il forme tous une grande famille
et les gars vont devoir lacher la bière car il est que 10h
j'en redemande (tu ne t'en doutais pas )
je vais me répéter mais c'est qui cette bimbo de toute façon je sens que Paul va la virer vite fait
et notre Sarah qui se planque, pourtant les autres vont l'accueillir comme il se doit hein attention pas de lynchage
sinon Paul est très protecteur envers son équipe et il me semble qu'il forme tous une grande famille
et les gars vont devoir lacher la bière car il est que 10h
j'en redemande (tu ne t'en doutais pas )
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Quoi, je rêre ou Went à uen cop, une bimbo en plus quelle horreur, j'espère que c'est juste une amie et encore la c'est trop lol.
Sinon j'aime trop le fait que Paul les appelles tous par leur nom de famille, surtout Wayne Callies, ça le fait trop lol.
Et puis non je ne veux pas que Went tombe sur Sarah avant que Paul leur annonce la nouvelle...
LA suiteeeeeee
j'aime j'aime j'aime à mortttt lol.
Sinon j'aime trop le fait que Paul les appelles tous par leur nom de famille, surtout Wayne Callies, ça le fait trop lol.
Et puis non je ne veux pas que Went tombe sur Sarah avant que Paul leur annonce la nouvelle...
LA suiteeeeeee
j'aime j'aime j'aime à mortttt lol.
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
la suiiiiiiiiiiiiiiite
je kifffffff
je kifffffff
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Suite
Je viens faire un petit tour sur le forum et je tombe sur cette meirveilleusse fic ..... J'ai bien fait de venir !!!
J'adore trop .. Continue , c'est super ...
Une suite Une suite
J'adore trop .. Continue , c'est super ...
Une suite Une suite
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Allez les miss, pour vous remercier, voici une suite^^
bonne lecture biz
Pensées de Paul en vert
Pensées de Went en bleu
Chapitre 3.
A peine mit un pied à l’intérieur, que je vois arrivé Went portant la bimbo sur son dos dans des fous rires joyeux. J’y crois pas ! Il stoppe sa course et me regarde en souriant l’air de rien.
W : Salut Paul !
P : (faisant des gestes de la main) Tu pourrais peut être lâcher ta… je dois te parler ainsi qu’aux autres ! Je t’attend dehors.
Je lui lance un regard qui lui fait comprendre, je l’espère, qu’il mette cette fille dehors au plus vite et retourne sur mes pas sans entendre sa réponse. Je n’en reviens pas qu’il puisse s’amuser avec une fille telle qu’elle ! Ce n’est pas du tout son genre pourtant ! Je soupire, exaspéré et m’installe à ma place que j’avais quitté il y a quelques minutes.
D : Tu te sens mieux ?
P : Attendons le don juan !
J : (pouffant de rire) Went ? Un don juan ? C’est la meilleur de l’année celle là !
P : Vous n’avez pas remarqué son changement d’attitude ?
M : (haussant un sourcil) Parce qu’il a ramené une fille ici ?
D : (s’adressant à Marshall) Non, car elle ne fait pas partie des filles bien, si tu vois ce que je veux dire, fiston !
R : (éclatant de rire) Il faut bien qu’il essaie tout avant de trouver la bonne, non ?
P : (secouant la tête d’un air las) Ça suffit !
A : (ricanant) Au moins, on a eut de l’ambiance hier soir. Quand ils sont rentrés tous les deux, ils étaient complètement pompette ! Je vous dis pas, ils n’ont pas fait ça en faisant attention si les murs avaient des oreilles, si vous voyez ce que je veux dire !
J : Vous êtes vraiment des porcs !
A : Quoi ? Hé c’est pas de ma faute si j’entendais tout ! Ne me dit pas que tu n’as rien entendu ?
W : Entendu quoi ?
Je me retourne au son de la voix quelque peu excédée de Went. J’ai vu juste, il a l’air en colère, furieux après moi mais il garde son calme malgré tout.
D : Ho rien du tout.
A : (sourire large sur les lèvres) Alors, don juan, t’a bien dormit ?
W : (les regardant l’un après l’autre) C’est bon, fermez là !
P : C’est quoi cette fille ?
W : (baillant) Une fille.
P : Et je peux savoir ce qu’elle faisait à moitié nue à se pavaner devant…
W : Elle n’était pas plus à moitié nue que le sont Jodie et Danay, Paul !
P : Peut être, mais je suis venu ici pour vous annoncer une nouvelle….
D : (d’une voix moqueuse) Et on t’attendait p’tit frère !
W : (poussant un soupir) Je suis là maintenant.
P : Très bien. Donc, comme vous le savez, nous reprenons le tournage dans une semaine. Dans trois jours, vous avez la promo à faire à New York City, et c’est à ce moment là aussi que tous le monde ou presque… seront au courant.
A : Au courant de quoi ?
P : (lançant un regard vers Went qui laisse son regard baissé sur sa bière) Ils seront qu’un personnage refera son apparition dans la série !
Mon cœur manque un battement à l’écoute de ses mots. Je fronce les sourcils mais je suis incapable de redresser la tête et de le regarder en face. Non, ça doit être quelqu’un d’autre.
A : (l’air abasourdi) Mais qui ça ?
D : Oui dis nous qui c’est bon sang !
Da : (s’exclamant) N’importe qui pourvu que ce soit une femme !
M : (surprit) Pourquoi ça ?
J : (levant les yeux au ciel) A ton avis ?
P : (riant légèrement) Oui, c’est bien une femme ! Et pas n’importe laquelle…
Je ne regarde toujours personne, je reste avec la tête baissée, m’amusant à triturer nerveusement le bouchon de ma cannette de bière. Je peux sentir le regard insistant de Paul sur moi, comme si il attend que je le fixe pour nous dire enfin de qui il s’agit. Je n’en peux plus d’attendre. Je redresse la tête, et le regarde, il me sourit.
P : Sarah !
Ils sont tous sous le choc mais je peux apercevoir un large sourire sur leurs lèvres. Seul, Went reste impassible. Je crains alors que les doutes de Sarah s’avéraient bien plausible.
P : Ça vous fait plaisir, j’espère ?
J : Ho que oui ! J’ai même hâte de travailler avec elle !
D : (étonné) Mais depuis quand es-tu au courant ? Et elle a accepté de revenir comme ça ?
A : Ben oui, après ce que la production lui a fait, la faire revenir…
P : (levant une main pour stopper les questions) Tout est arrangé, n’en parlons plus, ok ? L’important c’est qu’elle soit de retour et je compte sur vous tous pour l’accueillir comme elle le mérite !
Je n’arrive plus du tout à penser, là. Je suis comme sous le choc à cette nouvelle, dont je trouve par ailleurs être une très bonne nouvelle, du moins, pour la série et nos personnages. Mais j’admets ressentir de la colère envers elle. Comment a-t-elle put rester aussi longtemps sans me parler ? Je m’inquiétais tellement pour elle…. Mon dieu, il faut que je me calme là. Je regarde Paul qui me sourit d’un air complice, je déglutis péniblement.
[font=Comic Sans MS]]
W : (voix rauque) Depuis quand vous avez prévu son retour exactement ?
P : (déglutissant) Heu… ça fait environ trois semaines que les scénars préparent le retour de son perso, sinon Sarah l’a apprit depuis la semaine dernière.
D : (d’un ton excédé) Tu aurais put nous mettre au courant tu crois pas ?
A : Ben oui ! Alors quand est-ce qu’elle arrive ?
M : Je suis trop impatient de la retrouver, moi !
D : (jetant un coup d’œil à Went) Comme tous le monde, Marsh !
P : (dans un soupir) Elle est déjà là.
Je ne sais pas si les autres ont perçu le sursaut que je viens de faire mais ils me regardent tous comme si ils étaient impatients que je saute sur mes pieds.
[font=Comic Sans MS]]
W : (hésitant) Où est-elle ?
P : (attendant une seconde de silence avant d’ouvrir la bouche) Elle… elle est ici, à Los Angeles. Écoutes Went, je sais que tu étais très proche d’elle alors si tu veux aller lui parler… elle est dans sa chambre.
W : (éberlué, une lueur dans les yeux) Où ça sa chambre ?
P : A côté de celle de Jodie.
W : (se levant brusquement) Ok.
Je regarde Went partir vers l’intérieur d’un pas rapide. Je me précipite derrière lui devant les regards étonnés des autres qui restent silencieux. Je n’ai pas envie qu’il lui décharge maintenant tous les reproches qu’il a sur le cœur envers elle, ni de sa colère que je peux sentir à la crispation de ses mâchoires. Je le rattrape juste avant qu’il pose un pied sur la marche de l’escalier.
P : (l’attrapant par le bras) Hé, Went ! Vas-y doucement, ok ?
W : (se retournant et le foudroyant du regard) Je peux savoir pourquoi ? J’ai l’impression qu’elle sait bien fichue de moi depuis le début !
P : Pourquoi tu penses ça ? Elle avait besoin de faire le point, et si elle est restée silencieuse aussi longtemps c’est qu’elle avait des raisons, tu ne crois pas ?
W : (fermant les yeux) Je pensais que nous étions amis tous les deux.
P : Tu comptes beaucoup pour elle, alors ne la juge pas comme tous les autres l’ont fait.
W : Jamais je ne la jugerais, mais ça m’a fait mal de voir qu’elle se…
P : Elle ne voulait peut être pas te faire souffrir, Went ?
W : (surpris) Comment ça ? C’est cet enfoiré, n’est-ce pas ?
P : Je n’en sais rien, elle ne m’en a rien dit ! Je ne sais pas d’ailleurs si ils sont toujours ensemble. Écoutes Went, je te conseille uniquement de rester en bon terme avec elle, ok ? N’oublie pas que tu dois entretenir cette complicité, vous travaillez à nouveau ensemble !
W : (murmurant d‘une voix faible) Je n’avais pas l’intention de la laisser tomber.
P : (le laissant s’éloigner dans l’escalier) Je sais, Wentworth. Je sais…
bonne lecture biz
Pensées de Paul en vert
Pensées de Went en bleu
Chapitre 3.
A peine mit un pied à l’intérieur, que je vois arrivé Went portant la bimbo sur son dos dans des fous rires joyeux. J’y crois pas ! Il stoppe sa course et me regarde en souriant l’air de rien.
W : Salut Paul !
P : (faisant des gestes de la main) Tu pourrais peut être lâcher ta… je dois te parler ainsi qu’aux autres ! Je t’attend dehors.
Je lui lance un regard qui lui fait comprendre, je l’espère, qu’il mette cette fille dehors au plus vite et retourne sur mes pas sans entendre sa réponse. Je n’en reviens pas qu’il puisse s’amuser avec une fille telle qu’elle ! Ce n’est pas du tout son genre pourtant ! Je soupire, exaspéré et m’installe à ma place que j’avais quitté il y a quelques minutes.
D : Tu te sens mieux ?
P : Attendons le don juan !
J : (pouffant de rire) Went ? Un don juan ? C’est la meilleur de l’année celle là !
P : Vous n’avez pas remarqué son changement d’attitude ?
M : (haussant un sourcil) Parce qu’il a ramené une fille ici ?
D : (s’adressant à Marshall) Non, car elle ne fait pas partie des filles bien, si tu vois ce que je veux dire, fiston !
R : (éclatant de rire) Il faut bien qu’il essaie tout avant de trouver la bonne, non ?
P : (secouant la tête d’un air las) Ça suffit !
A : (ricanant) Au moins, on a eut de l’ambiance hier soir. Quand ils sont rentrés tous les deux, ils étaient complètement pompette ! Je vous dis pas, ils n’ont pas fait ça en faisant attention si les murs avaient des oreilles, si vous voyez ce que je veux dire !
J : Vous êtes vraiment des porcs !
A : Quoi ? Hé c’est pas de ma faute si j’entendais tout ! Ne me dit pas que tu n’as rien entendu ?
W : Entendu quoi ?
Je me retourne au son de la voix quelque peu excédée de Went. J’ai vu juste, il a l’air en colère, furieux après moi mais il garde son calme malgré tout.
D : Ho rien du tout.
A : (sourire large sur les lèvres) Alors, don juan, t’a bien dormit ?
W : (les regardant l’un après l’autre) C’est bon, fermez là !
P : C’est quoi cette fille ?
W : (baillant) Une fille.
P : Et je peux savoir ce qu’elle faisait à moitié nue à se pavaner devant…
W : Elle n’était pas plus à moitié nue que le sont Jodie et Danay, Paul !
P : Peut être, mais je suis venu ici pour vous annoncer une nouvelle….
D : (d’une voix moqueuse) Et on t’attendait p’tit frère !
W : (poussant un soupir) Je suis là maintenant.
P : Très bien. Donc, comme vous le savez, nous reprenons le tournage dans une semaine. Dans trois jours, vous avez la promo à faire à New York City, et c’est à ce moment là aussi que tous le monde ou presque… seront au courant.
A : Au courant de quoi ?
P : (lançant un regard vers Went qui laisse son regard baissé sur sa bière) Ils seront qu’un personnage refera son apparition dans la série !
Mon cœur manque un battement à l’écoute de ses mots. Je fronce les sourcils mais je suis incapable de redresser la tête et de le regarder en face. Non, ça doit être quelqu’un d’autre.
A : (l’air abasourdi) Mais qui ça ?
D : Oui dis nous qui c’est bon sang !
Da : (s’exclamant) N’importe qui pourvu que ce soit une femme !
M : (surprit) Pourquoi ça ?
J : (levant les yeux au ciel) A ton avis ?
P : (riant légèrement) Oui, c’est bien une femme ! Et pas n’importe laquelle…
Je ne regarde toujours personne, je reste avec la tête baissée, m’amusant à triturer nerveusement le bouchon de ma cannette de bière. Je peux sentir le regard insistant de Paul sur moi, comme si il attend que je le fixe pour nous dire enfin de qui il s’agit. Je n’en peux plus d’attendre. Je redresse la tête, et le regarde, il me sourit.
P : Sarah !
Ils sont tous sous le choc mais je peux apercevoir un large sourire sur leurs lèvres. Seul, Went reste impassible. Je crains alors que les doutes de Sarah s’avéraient bien plausible.
P : Ça vous fait plaisir, j’espère ?
J : Ho que oui ! J’ai même hâte de travailler avec elle !
D : (étonné) Mais depuis quand es-tu au courant ? Et elle a accepté de revenir comme ça ?
A : Ben oui, après ce que la production lui a fait, la faire revenir…
P : (levant une main pour stopper les questions) Tout est arrangé, n’en parlons plus, ok ? L’important c’est qu’elle soit de retour et je compte sur vous tous pour l’accueillir comme elle le mérite !
Je n’arrive plus du tout à penser, là. Je suis comme sous le choc à cette nouvelle, dont je trouve par ailleurs être une très bonne nouvelle, du moins, pour la série et nos personnages. Mais j’admets ressentir de la colère envers elle. Comment a-t-elle put rester aussi longtemps sans me parler ? Je m’inquiétais tellement pour elle…. Mon dieu, il faut que je me calme là. Je regarde Paul qui me sourit d’un air complice, je déglutis péniblement.
[font=Comic Sans MS]]
W : (voix rauque) Depuis quand vous avez prévu son retour exactement ?
P : (déglutissant) Heu… ça fait environ trois semaines que les scénars préparent le retour de son perso, sinon Sarah l’a apprit depuis la semaine dernière.
D : (d’un ton excédé) Tu aurais put nous mettre au courant tu crois pas ?
A : Ben oui ! Alors quand est-ce qu’elle arrive ?
M : Je suis trop impatient de la retrouver, moi !
D : (jetant un coup d’œil à Went) Comme tous le monde, Marsh !
P : (dans un soupir) Elle est déjà là.
Je ne sais pas si les autres ont perçu le sursaut que je viens de faire mais ils me regardent tous comme si ils étaient impatients que je saute sur mes pieds.
[font=Comic Sans MS]]
W : (hésitant) Où est-elle ?
P : (attendant une seconde de silence avant d’ouvrir la bouche) Elle… elle est ici, à Los Angeles. Écoutes Went, je sais que tu étais très proche d’elle alors si tu veux aller lui parler… elle est dans sa chambre.
W : (éberlué, une lueur dans les yeux) Où ça sa chambre ?
P : A côté de celle de Jodie.
W : (se levant brusquement) Ok.
Je regarde Went partir vers l’intérieur d’un pas rapide. Je me précipite derrière lui devant les regards étonnés des autres qui restent silencieux. Je n’ai pas envie qu’il lui décharge maintenant tous les reproches qu’il a sur le cœur envers elle, ni de sa colère que je peux sentir à la crispation de ses mâchoires. Je le rattrape juste avant qu’il pose un pied sur la marche de l’escalier.
P : (l’attrapant par le bras) Hé, Went ! Vas-y doucement, ok ?
W : (se retournant et le foudroyant du regard) Je peux savoir pourquoi ? J’ai l’impression qu’elle sait bien fichue de moi depuis le début !
P : Pourquoi tu penses ça ? Elle avait besoin de faire le point, et si elle est restée silencieuse aussi longtemps c’est qu’elle avait des raisons, tu ne crois pas ?
W : (fermant les yeux) Je pensais que nous étions amis tous les deux.
P : Tu comptes beaucoup pour elle, alors ne la juge pas comme tous les autres l’ont fait.
W : Jamais je ne la jugerais, mais ça m’a fait mal de voir qu’elle se…
P : Elle ne voulait peut être pas te faire souffrir, Went ?
W : (surpris) Comment ça ? C’est cet enfoiré, n’est-ce pas ?
P : Je n’en sais rien, elle ne m’en a rien dit ! Je ne sais pas d’ailleurs si ils sont toujours ensemble. Écoutes Went, je te conseille uniquement de rester en bon terme avec elle, ok ? N’oublie pas que tu dois entretenir cette complicité, vous travaillez à nouveau ensemble !
W : (murmurant d‘une voix faible) Je n’avais pas l’intention de la laisser tomber.
P : (le laissant s’éloigner dans l’escalier) Je sais, Wentworth. Je sais…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
WOUAWWWWW mais Angie cette suite est fabuleuseeeeeeee, j'aime j'aime, encoreeeeeee.
hate de les voir face à face... en tout j'aime beaucoup la complicité qu'il y à entre tout les acteurs c'est génial.
LA SUITE MISS..
hate de les voir face à face... en tout j'aime beaucoup la complicité qu'il y à entre tout les acteurs c'est génial.
LA SUITE MISS..
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Went s'est tapé une bimbo, et bah quel nul
sinon super suite avec l'annonce de Paul à la troupe, le seul hic c'est que Went l'a pas vraiment bien pris, surtout que maintenant il va aller la voir en espérant que Paul le retienne un peu, même si je sais que Sarah ne se laissera pas faire et ils vont avoir à une discussion très longue pour mettre tout à plat
vite la suite
sinon super suite avec l'annonce de Paul à la troupe, le seul hic c'est que Went l'a pas vraiment bien pris, surtout que maintenant il va aller la voir en espérant que Paul le retienne un peu, même si je sais que Sarah ne se laissera pas faire et ils vont avoir à une discussion très longue pour mettre tout à plat
vite la suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
coucou
on est aujourd'hui, alors
on est aujourd'hui, alors
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
mdr m@ tite HarcelTink
La suite ce soir ou demain les miss sinon je vais planter mes autres fics en cours et je crois qu'il y en a qui ne serait pas contente
Je fais au mieux^^
merci pour vos coms mes bichettes
La suite ce soir ou demain les miss sinon je vais planter mes autres fics en cours et je crois qu'il y en a qui ne serait pas contente
Je fais au mieux^^
merci pour vos coms mes bichettes
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 a écrit:mdr m@ tite HarcelTink
La suite ce soir ou demain les miss sinon je vais planter mes autres fics en cours et je crois qu'il y en a qui ne serait pas contente
Je fais au mieux^^
merci pour vos coms mes bichettes
je n'ai pas eut le temps de t'harceler sur tous les fofo
ce soir pas demain
et oui il faut aussi que tu écrives les autres fics surtout une, car je suis complètement car je m'imagine le pire
pleins de gros rien que pour toi
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
bou sa me fait trop bizarre de voir Went comme sa je veux dire il rentre bourré avec une bimbo et il est quelque peu agressif on l'imagine pas comme sa en vrai, maintenant j'ai trop hâte d'avoir la conversation wesa
la suite stp
la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
sarascofield a écrit:bou sa me fait trop bizarre de voir Went comme sa je veux dire il rentre bourré avec une bimbo et il est quelque peu agressif on l'imagine pas comme sa en vrai, maintenant j'ai trop hâte d'avoir la conversation wesa
la suite stp
moi aussi*
moi aussi
moi aussi
gro
moi aussi
moi aussi
gro
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel a écrit:coucou
on est aujourd'hui, alors
ON EST AUJOURD-HUI LOOOOOOOL LA SUITEEEEEEE
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Je suis vraiment ravie que cette fic vous plaise les miss, d'ailleurs, je prend plaisir à l'écrire, va savoir pourquoi ? mon côté sensible de ce couple peut être mdr.
Voici la suite tant attendue, j'espère que vous ne serez pas décue malgré le fait que vous vous attendez à des retrouvailles heureuses entre eux^^
Bonne lecture les miss et encore merci pour me motiver à ce point avec tous ses coms supers biz
Chapitre 4.
Je reste le front collé contre la porte de la chambre pendant quelques minutes. J’essaie de comprendre, de faire le vide et de prendre une contenance avant de pénétrer dans cette pièce où elle se trouve. Soudain, perdu dans mes pensées, j’entend un faible bruit derrière moi, suivit d’une exclamation qui m’irrite instantanément. Poussant un soupir d’exaspération, je me retourne vers Kelly qui colle son corps au mien.
K : Alors, mon chouchou ? Je t’attend dans ta chambre depuis tout à l’heure !
W : Écoutes, j’ai vraiment pas le temps…
K : Qu’est-ce que tu racontes ? Tu m’as dit que tu étais libre aujourd’hui ?
W : (levant les yeux au plafond) Oui mais, le programme a changé si tu veux savoir !
K : (d’une voix boudeuse) Ho moi qui pensait qu’on aurait put rester ensemble toute la journée… Tu es vraiment sur de …
W : (irrité) Non ! Écoutes, hier soir nous étions ivres tous les deux, et je n’aurais pas du te ramener ici…
K : (se collant d’avantage contre lui) Et alors ? On peut passer du bon temps ensemble, non ?
W : Rentre chez toi. Ce n’est pas dans mes habitudes d’éconduire les femmes de cette façon mais j’ai à faire, je suis désolé…
K : (mielleuse)Très bien ! Dés que tu auras envie de t’amuser un peu, appelles moi !
Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle ne devait pas trop compter sur moi qu’elle fait volte face et s’éloigne avec un déhanché plus que provocateur. Je peste intérieurement, lâchant des jurons à la conduite que j’ai eu hier soir. Pourquoi j’ai ramené cette fille, bon sang ?Secouant la tête afin de chasser cette histoire de mon esprit, je me retourne et fronce les sourcils, fixant cette porte dont je m’apprêtais à franchir. Inspirant profondément, je frappe légèrement et attend qu’elle me réponde, m’appuyant des deux mains de chaque côté de la porte. Alors que j’ai les nerfs à vifs et encore la gueule de bois, je me demande ce qu’il se passera avec Sarah ? Est-ce qu’elle sera comme d’habitude avec moi ? Notre complicité sera-t-elle perdue après ses six longs mois d’absence et de silence ?
Je peste intérieurement, rageant à cette dernière question. Je lui en veux de m’avoir laisser comme cela, sans regret de me chasser ainsi de sa vie. Nous étions très proches, et elle, aucun coup de fils, aucune nouvelle !
Je tente de calmer l’impulsion qui me pousse à ouvrir cette porte et d’aller la secouer, lui demandant des explications. Mais je suis bien trop éreinté pour agir ainsi et la migraine qui se bouscule dans ma tête n’arrange rien.
Constatant malgré tout que je n’obtiens aucune réponse, j’ouvre lentement la porte, évitant de faire du bruit au silence qui hante la pièce. Elle doit dormir… Exact ! Je pénètre alors à l’intérieur et je ne peux que sourire à l’image de Sarah endormie sur le ventre. Son visage est tourné vers moi.
Étrange sensation qui se bouscule en moi. Elle n’a pas changé si ce n’est que je la trouve amaigrie. Je l’observe silencieusement quelques minutes, écoutant la respiration calme qui brise le silence de la chambre.
Le flot d’émotion qui m’irradie entièrement me prend sans m’en rendre vraiment compte. Tous ses sentiments et sensations inconnues jusqu’alors me bouleversent. Tout n’est que contradiction… tout n’est qu’illogique…
Le bonheur de la retrouvée, revivre notre complicité, nos discutions interminables sur nos vies respectifs, on se disaient tous, sur tous les sujets, aucun tabou n’existait entre nous. J’ai tellement peur d’avoir perdu tout ça. Elle est la seule à qui j’avais confiance, la seule à qui je me confiais… et tous cela, tous ses secrets que je partageais avec elle, personne ne savait…. Rien que nous deux, nous nous comprenions….
J’essaie de refouler ses sentiments pour replacer la colère envers elle mais je n’y arrive pas. Je pousse un soupire las, essayant d’évacuer tous ce que je ressens. A cet instant, elle bouge, émettant un grognement qui me fait sourire aussitôt. Délicatesse même de Wayne Callies !
W : Il est l’heure de se lever, Wayne !
Je ne sais pas ce qu’il m’a prit de parler si fort mais j’éclate de rire au sursaut apeuré qu’elle vient de faire.
Je viens de me redresser brusquement, mon cœur s’est emballé à cette voix que je reconnaîtrais entre mille. Les yeux écarquillés, encore sous le choc émotionnel, je regarde Wentworth qui se tient près de moi. Je l’observe, incapable de prononcer un son alors que mes lèvres sont entrouvertes, tremblantes.
Il m’a l’air plus grand ? Non… quoi que je me sens tout d’un coup toute petite par son imposante carrure. Il me sourit de son air charmeur dont il a le secret pour déstabiliser la gente féminine.
W : (d’une voix sarcastique) Je vois que tu es bien devenue muette !
Je fronce les yeux et boit cette parole qui me fait l’effet d’une gifle. Je peux aisément comprendre qu’il m’en veut, mais il n’a pas besoin de m’envoyer un regard méprisant alors qu’il venait de me sourire si tendrement une seconde plus tôt ! Poussant un juron inaudible afin qu’il ne l’entend pas, je fais un bond et saute hors du lit avant de lui faire face.
S : Salut Went ! Non je ne suis pas muette ! Et je ne suis ni sourde !
W : (secouant la tête en levant les yeux au plafond) Tu vas prendre ça à la rigolade peut être ?
S : (déglutissant, troublée) Tu m’as manqué…
Une brève minute ou quelques secondes de silence intervint tandis que nos regards cherchent à lire les pensées de l’un et l’autre. Je constate un léger tremblement de ses lèvres, puis, elles s’étirent lentement afin de laisser apparaître un large sourire sur son visage. Soulagée, je me jette à son cou.
W : (la serrant dans ses bras) Toi aussi, Sarah…
S : (nichant son visage dans son cou) Je suis désolée, Went.
Je ferme les yeux à son murmure tandis que mes bras l’enserre un peu plus. Un sentiment puissant, fort m’envahit que j’essaie de refouler aussitôt. Je m’écarte vivement de Sarah comme si je venais de me brûler à son contact. Elle a du remarqué mon trouble car elle baisse les yeux et s’éloigne de moi.
S : (se raclant la gorge) Alors ? Comment tu vas ?
W : Je vais bien, mais c’est plutôt à toi que je devrais le demander non ?
S : (soutenant son regard) Je vais bien…. Écoutes, Went… je sais que je n’aurais pas du agir comme je l’ai fais mais….
W : Je t’écoute…
S : Tu veux vraiment entendre mes raisons maintenant ?
W : (croisant les bras sur sa poitrine) Bien sur ! Ça fais six mois, Sarah ! Qu’est-ce que je t’ai fais pour que tu me rayes ainsi de ta vie, de toi ? Tu me tenais pour responsable, c’est ça ? J’ai pourtant tout fais quand j’ai vu que tu ne faisais plus partie du script !
S : Non…
W : Tais toi ! J’ai pas envie de le savoir maintenant. Tous les autres t’attendent dehors…
S : (voix bredouillante) Went ? Laisse moi…
W : (levant une main pour l’interrompre) Non, pas maintenant, s’il te plait. On en reparlera plus tard !
Je reste stupéfaite, choquée par la réaction qu’il vient d’avoir. Je ne l’avais jamais vu si en colère. D’habitude, il ne se laisse pas emporter par la colère ni la haine qu’il peux ressentir, mais cette fois, à croire que je lui ais fais énormément de peine pour qu’il hurle ainsi. Lui qui voulait que je lui parle, soudainement il ne veut rien entendre ! je reste un instant interdite, fixant la porte qu'il vient de refermer en claquant sur lui...
Décidemment, je ne comprendrais jamais rien aux hommes ! Pourtant, je sais qu’il est différent, lui…. Je pousse un juron, furieuse après moi et m’avance vers la fenêtre. La sensation de vide me submerge, ces images douloureuses se bousculent dans ma tête. Mes yeux s’embrouillent par les larmes, troublant la vue de la terrasse où je les aperçois. Je ferme les paupières, évacuant ses moments passés que je veux effacer à jamais de ma mémoire. Alors que j’ouvre les yeux et laisse couler mes larmes, je constate que Went est descendu les rejoindre….
Voici la suite tant attendue, j'espère que vous ne serez pas décue malgré le fait que vous vous attendez à des retrouvailles heureuses entre eux^^
Bonne lecture les miss et encore merci pour me motiver à ce point avec tous ses coms supers biz
Chapitre 4.
Je reste le front collé contre la porte de la chambre pendant quelques minutes. J’essaie de comprendre, de faire le vide et de prendre une contenance avant de pénétrer dans cette pièce où elle se trouve. Soudain, perdu dans mes pensées, j’entend un faible bruit derrière moi, suivit d’une exclamation qui m’irrite instantanément. Poussant un soupir d’exaspération, je me retourne vers Kelly qui colle son corps au mien.
K : Alors, mon chouchou ? Je t’attend dans ta chambre depuis tout à l’heure !
W : Écoutes, j’ai vraiment pas le temps…
K : Qu’est-ce que tu racontes ? Tu m’as dit que tu étais libre aujourd’hui ?
W : (levant les yeux au plafond) Oui mais, le programme a changé si tu veux savoir !
K : (d’une voix boudeuse) Ho moi qui pensait qu’on aurait put rester ensemble toute la journée… Tu es vraiment sur de …
W : (irrité) Non ! Écoutes, hier soir nous étions ivres tous les deux, et je n’aurais pas du te ramener ici…
K : (se collant d’avantage contre lui) Et alors ? On peut passer du bon temps ensemble, non ?
W : Rentre chez toi. Ce n’est pas dans mes habitudes d’éconduire les femmes de cette façon mais j’ai à faire, je suis désolé…
K : (mielleuse)Très bien ! Dés que tu auras envie de t’amuser un peu, appelles moi !
Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle ne devait pas trop compter sur moi qu’elle fait volte face et s’éloigne avec un déhanché plus que provocateur. Je peste intérieurement, lâchant des jurons à la conduite que j’ai eu hier soir. Pourquoi j’ai ramené cette fille, bon sang ?Secouant la tête afin de chasser cette histoire de mon esprit, je me retourne et fronce les sourcils, fixant cette porte dont je m’apprêtais à franchir. Inspirant profondément, je frappe légèrement et attend qu’elle me réponde, m’appuyant des deux mains de chaque côté de la porte. Alors que j’ai les nerfs à vifs et encore la gueule de bois, je me demande ce qu’il se passera avec Sarah ? Est-ce qu’elle sera comme d’habitude avec moi ? Notre complicité sera-t-elle perdue après ses six longs mois d’absence et de silence ?
Je peste intérieurement, rageant à cette dernière question. Je lui en veux de m’avoir laisser comme cela, sans regret de me chasser ainsi de sa vie. Nous étions très proches, et elle, aucun coup de fils, aucune nouvelle !
Je tente de calmer l’impulsion qui me pousse à ouvrir cette porte et d’aller la secouer, lui demandant des explications. Mais je suis bien trop éreinté pour agir ainsi et la migraine qui se bouscule dans ma tête n’arrange rien.
Constatant malgré tout que je n’obtiens aucune réponse, j’ouvre lentement la porte, évitant de faire du bruit au silence qui hante la pièce. Elle doit dormir… Exact ! Je pénètre alors à l’intérieur et je ne peux que sourire à l’image de Sarah endormie sur le ventre. Son visage est tourné vers moi.
Étrange sensation qui se bouscule en moi. Elle n’a pas changé si ce n’est que je la trouve amaigrie. Je l’observe silencieusement quelques minutes, écoutant la respiration calme qui brise le silence de la chambre.
Le flot d’émotion qui m’irradie entièrement me prend sans m’en rendre vraiment compte. Tous ses sentiments et sensations inconnues jusqu’alors me bouleversent. Tout n’est que contradiction… tout n’est qu’illogique…
Le bonheur de la retrouvée, revivre notre complicité, nos discutions interminables sur nos vies respectifs, on se disaient tous, sur tous les sujets, aucun tabou n’existait entre nous. J’ai tellement peur d’avoir perdu tout ça. Elle est la seule à qui j’avais confiance, la seule à qui je me confiais… et tous cela, tous ses secrets que je partageais avec elle, personne ne savait…. Rien que nous deux, nous nous comprenions….
J’essaie de refouler ses sentiments pour replacer la colère envers elle mais je n’y arrive pas. Je pousse un soupire las, essayant d’évacuer tous ce que je ressens. A cet instant, elle bouge, émettant un grognement qui me fait sourire aussitôt. Délicatesse même de Wayne Callies !
W : Il est l’heure de se lever, Wayne !
Je ne sais pas ce qu’il m’a prit de parler si fort mais j’éclate de rire au sursaut apeuré qu’elle vient de faire.
Je viens de me redresser brusquement, mon cœur s’est emballé à cette voix que je reconnaîtrais entre mille. Les yeux écarquillés, encore sous le choc émotionnel, je regarde Wentworth qui se tient près de moi. Je l’observe, incapable de prononcer un son alors que mes lèvres sont entrouvertes, tremblantes.
Il m’a l’air plus grand ? Non… quoi que je me sens tout d’un coup toute petite par son imposante carrure. Il me sourit de son air charmeur dont il a le secret pour déstabiliser la gente féminine.
W : (d’une voix sarcastique) Je vois que tu es bien devenue muette !
Je fronce les yeux et boit cette parole qui me fait l’effet d’une gifle. Je peux aisément comprendre qu’il m’en veut, mais il n’a pas besoin de m’envoyer un regard méprisant alors qu’il venait de me sourire si tendrement une seconde plus tôt ! Poussant un juron inaudible afin qu’il ne l’entend pas, je fais un bond et saute hors du lit avant de lui faire face.
S : Salut Went ! Non je ne suis pas muette ! Et je ne suis ni sourde !
W : (secouant la tête en levant les yeux au plafond) Tu vas prendre ça à la rigolade peut être ?
S : (déglutissant, troublée) Tu m’as manqué…
Une brève minute ou quelques secondes de silence intervint tandis que nos regards cherchent à lire les pensées de l’un et l’autre. Je constate un léger tremblement de ses lèvres, puis, elles s’étirent lentement afin de laisser apparaître un large sourire sur son visage. Soulagée, je me jette à son cou.
W : (la serrant dans ses bras) Toi aussi, Sarah…
S : (nichant son visage dans son cou) Je suis désolée, Went.
Je ferme les yeux à son murmure tandis que mes bras l’enserre un peu plus. Un sentiment puissant, fort m’envahit que j’essaie de refouler aussitôt. Je m’écarte vivement de Sarah comme si je venais de me brûler à son contact. Elle a du remarqué mon trouble car elle baisse les yeux et s’éloigne de moi.
S : (se raclant la gorge) Alors ? Comment tu vas ?
W : Je vais bien, mais c’est plutôt à toi que je devrais le demander non ?
S : (soutenant son regard) Je vais bien…. Écoutes, Went… je sais que je n’aurais pas du agir comme je l’ai fais mais….
W : Je t’écoute…
S : Tu veux vraiment entendre mes raisons maintenant ?
W : (croisant les bras sur sa poitrine) Bien sur ! Ça fais six mois, Sarah ! Qu’est-ce que je t’ai fais pour que tu me rayes ainsi de ta vie, de toi ? Tu me tenais pour responsable, c’est ça ? J’ai pourtant tout fais quand j’ai vu que tu ne faisais plus partie du script !
S : Non…
W : Tais toi ! J’ai pas envie de le savoir maintenant. Tous les autres t’attendent dehors…
S : (voix bredouillante) Went ? Laisse moi…
W : (levant une main pour l’interrompre) Non, pas maintenant, s’il te plait. On en reparlera plus tard !
Je reste stupéfaite, choquée par la réaction qu’il vient d’avoir. Je ne l’avais jamais vu si en colère. D’habitude, il ne se laisse pas emporter par la colère ni la haine qu’il peux ressentir, mais cette fois, à croire que je lui ais fais énormément de peine pour qu’il hurle ainsi. Lui qui voulait que je lui parle, soudainement il ne veut rien entendre ! je reste un instant interdite, fixant la porte qu'il vient de refermer en claquant sur lui...
Décidemment, je ne comprendrais jamais rien aux hommes ! Pourtant, je sais qu’il est différent, lui…. Je pousse un juron, furieuse après moi et m’avance vers la fenêtre. La sensation de vide me submerge, ces images douloureuses se bousculent dans ma tête. Mes yeux s’embrouillent par les larmes, troublant la vue de la terrasse où je les aperçois. Je ferme les paupières, évacuant ses moments passés que je veux effacer à jamais de ma mémoire. Alors que j’ouvre les yeux et laisse couler mes larmes, je constate que Went est descendu les rejoindre….
nol59- Déchiffre l'origami
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Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
je ne m'attendais pas spécialement à un long et passionné baiser mais là il est vraiment trop dur avec Sarah
il est vraiment partagé entre deux sentiments, la colère et l'amour
et en plus ils avaient vraiment une confiance et une profonde amitié avant, ils se racontaient tout comme un frère et une soeur
mais maintenant c'est un peu glacial
sinon pour la bimbo il s'en rend compte même si je trouve que 'est un peu tard
vivement la suite car je suis impatiente de voir la réaction des autres, histoire de remonter le moral de Sarah après "son altercation "avec Went
il est vraiment partagé entre deux sentiments, la colère et l'amour
et en plus ils avaient vraiment une confiance et une profonde amitié avant, ils se racontaient tout comme un frère et une soeur
mais maintenant c'est un peu glacial
sinon pour la bimbo il s'en rend compte même si je trouve que 'est un peu tard
vivement la suite car je suis impatiente de voir la réaction des autres, histoire de remonter le moral de Sarah après "son altercation "avec Went
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
franchement ma poulette pour etre honnete c'est une suite dans ce genre que j'attendais de ta part
pas du tout deçu!!!!
tu pourrai pas nous en mettre une petite encore???? stp
gro et vivement la prochaine
pas du tout deçu!!!!
tu pourrai pas nous en mettre une petite encore???? stp
gro et vivement la prochaine
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 492
Age : 34
Date d'inscription : 26/12/2007
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