je veux juste une nouvelle vie, chap 29

j'ai envie de faire ma sadique alors je te dis 1...

il va trop vite ce charmant jeune homme... on ne tombe pas qomme cela dans le lit d'un homme!!! voyons!!!

sinon ta suyite est superbe, pleine d'humour

Enneade pour une fois tient ça moi je dit CHOIX 2 je suis pas sadique, va zy Morgane, Went a bien mérité son dessert!!!!!!!!!!

mdr, bon il va falloir d'autre avis, choix libre jusqu'à demain soir et la suite arrivera dimanche soir au plus tard

contente que ma suite vous ait plu

moi je dis patience Mr Millier, on apprécie jamais autant les choses qu'on a mis dutemps à obtenir...et en amour c'est comme tout, alors je serais elle, même si perso je lui sauterais dessus, le faire mariner un peu serait bon pour son égo et ce serait un + pour la mistinguette !

Maintenant Ponou, c'est à toi de voir

ponou a écrit:mdr, bon il va falloir d'autre avis, choix libre jusqu'à demain soir et la suite arrivera dimanche soir au plus tard

contente que ma suite vous ait plu

DIMANCHE????????? tu veux ma mort sur la conscience??? même si ils ne passent pas a l'acte c'est pâs grave mais jveux une suite avant dimanche pitiéééééééééééé

ENNEADE a écrit:comme Amaria dimanche mais tu es sdans pitié...
allez Amaria dégaine lui le regard qui tue à elle aussi!!!!

D'accord j'espere qu'elle aura pitié de nous après... regarde Ponou est ce qu tu peux résisté a ça
juste une petite suite, toute miniscule!

Ptdr ... Bon ok, peut être ce soir ( je peux pas résister au regard )alors mais y'a plus de chance pour que ce soit demain soir ou dans la journée mais sa m'étonnerai je suis enfin en vacances alors j'en profite à fond et je ne suis pas souvent chez moi donc l'ordinateur est un peu délaissé lool

Bon bah finalement went n'aura pas ce qu'il veut... et en plus sa se termine mal, domage pour lui ...

__________________________________________


Merde, merde, merde, merde et re merde. Pourquoi est ce que sa fait si mal. L’eau chaude de la douche coule à flot sur ma peau. J’essaye, par tous les moyens, de me détendre et de me calmer mais en vain. J’ai toujours cette boule au fond de ma gorge que je commence à bien connaître à présent. Est ce qu’il finira par comprendra. Va t’il revenir. Je ne peux même pas le joindre, je ne connais pas son numéro de téléphone et je serais incapable de retrouver le chemin de sa villa. Je pourrais aller les demander à Sarah mais il faudrait ensuite que j’explique pourquoi et je ne suis pas prête à en parler. La sonnerie de mon portable me ramène sur Terre. J’éteins l’eau et commence à sortir de la baignoire. Je sors emmitouflée dans une grande serviette. Quelques gouttelettes tombent sur le parquet sur mon chemin. Mon portable clignote. De nouveau l’appréhension s’empare de moi, et s’il ne voulais plus de moi. Mon doigt tremble mais parvient à appuyer sur les touches et à composer le numéro de ma messagerie. Je le met contre mon oreille et attend.

- Vous avez un nouveau message, aujourd’hui à 11 h 17 du 087 456 925.

Bonjour Morgane … Euh pour hier soir, je suis désolé, tu ne peux pas savoir à quel point je m’en veux. Je ne pensais pas un mot de tout ce que je t’ai dit. C’était sous le coup de la colère, je ne me maîtrisais plus, j’avais peur de te perdre et c’est bien pourtant ce que j’ai provoqué. J’ai passé ma nuit à réfléchir et je commence à comprendre tes doutes. Nous sommes différents et beaucoup trop d’années nous séparent. Tu as besoin de vivre certaines expériences et je le comprends. Je suis vraiment navré de t’avoir fait souffrir, tu ne le méritais pas … Je pars cette après midi pour le tournage de la saison 3, je ne reviendrais que dans un mois, peut être plus. Ma mère est sorti du coma cette nuit et je la fais transporter dans un hôpital proche d’où je vais aller. J’espère qu’à mon retour nous pourrons retenter quelque chose. Je sais que j’en demande beaucoup mais réfléchis y s’il te plaît. Tu vas me manquer.
Au revoir.

Je me laisse glisser par terre anéantie et furieuse. Mon portable traverse la pièce et atterrit violemment contre le mur. Des larmes coulent sur mon visage. Mon cœur est compressé au souvenir de la soirée d’hier.

** Flash- Back **

Ses mains sont maintenant sous mon tee-shirt, les miennes se retrouvent sur son torse. Nos langues ne cessent de se caresser, nos lèvres s’entrechoquent. Il se redresse et me relève au passage. Je reste accroché à son cou alors que nous faisons quelque pas en direction de ma chambre. Ma raison tente de me faire redescendre de mon petit nuage mais je ne veux pas l’écouter. La fougue de Went me transporte, je me retrouve plaqué contre le mur de mon couloir. Nous restons dans cette position quelques secondes avant qu’il ne prenne ma place contre le mur. Il entoure ma taille de ses bras et me soulève de terre. Je souris quand je le sens m’emmener. Il s’arrête devant la porte et pose son front contre le mien. Son cœur cogne violemment contre son torse, je le sens contre ma poitrine. Sa respiration est autant saccadée que la mienne. Je me cale dans ses bras et attend qu’il prenne la parole. Il prend ma main dans la sienne et m’entraîne à sa suite dans ma chambre. Nos yeux sont rivés l’un sur l’autre. Deux mètres nous séparent, il fait un premier pas vers moi, j’hésite à faire le second. Il ne comprend pas, sa se voit comme le nez au milieu de la figure. Je remarque qu’il ne sait plus quoi faire. Je ne peux plus supporter son regard, finalement, ma raison aura eu le dessus sur mon cœur, je baisse les yeux.

W : sa na va pas ?

Je relève les yeux, cette fois il est vraiment inquiet, je souris légèrement et vais me blottir dans ses bras.

W : Hé, on n’est pas obligé si tu ne veux pas.

M : J’en ai envie, sa j’en suis sûre, mais je ne sais pas s’y je suis prête. ( je me détache de lui et le regarde droit dans les yeux ) Je ne m’inquiète pas pour le geste en lui même. Je suis déjà passé par là. Mais je ne te connais pas réellement en fait. On s’est rencontré il y a quelques jours à peine, je ne veux pas être de ces femmes qui couchent tout de suite. Et puis, pour moi en tout cas, cela va officialiser notre relation et je ne sais pas s’y je suis prête à cela. On a quand même treize ans d’écart, ce qui est beaucoup. On a pas les mêmes mentalités, pas les mêmes expériences aussi et je me pose souvent la question d’où va nous mener cette histoire, si elle est réelle, si je veux m’engager.

W : Alors pour toi, c’était un jeu. Tu devais forcément savoir depuis le début que sa n’irait pas loin alors tu as fait joujou avec le premier venu mais tu te défiles quand sa commence à devenir sérieux. Je t’ai déballé toutes mes peurs, tous mes doutes, tous ce que j’avais sur le cœur. Et toi … toi, tu me jettes. Sa va, tu as du bien rire lorsque tu as écouté mes soucis. Tu veux aller déballer dans la presse ce que t’as appris, tu pourrais en tirer un bon prix.

Ses yeux lancent des éclairs, son visage s’est fermé, c’est la première fois que je le vois autant en colère. Au fil de ses paroles, je me met moi aussi en colère, je voulais juste qu’il comprenne que j’avais beaucoup de doutes sur notre histoire et lui pense que je le plaque. Ses derniers mots me transpercent le cœur et comme toujours lorsque l’on s’en prend à moi, je pars au quart de tour.

M : Nan mais arrête de te prendre pour le centre du monde ! Tes peines et tes joies me passent par dessus la tête, j’ai suffisamment à faire avec les miens. Je ne peux même pas te parler de mes doutes que toi tu t’enflammes en pensant que je veux rompre avec toi. Mais c’est clair que si l’on ne peut même pas parler je ne vois pas ce qu’on ferait ensemble. Excuse moi de ne pas penser qu’au sexe.

W : Ah oui j’oubliais. Toi tu es la jeune fille orpheline malheureuse qui se fait plaindre par les autres. Après tout c’est peut être vrai ce que tu disais l’autre jour. Tu es arrivé dans cette ville, on s’est connu, mon père est mort et ma mère dans le coma. Tu apportes le malheur et la souffrance autour de toi. Tu ne devrais même plus t’approcher d’Alexia et de Sarah, je ne voudrais pas qu’il leur arrive malheur par ta faute. Je comprends maintenant pourquoi ton père t’a mise à la porte.

Mes yeux s’inondent au fil de ses phrases. Je baisse la tête et recule contre le mur. Je ne veux pas craquer devant lui, pas après ce qu’il m’a dit. Ses yeux m’ont fait froid dans le dos. Je tente de me maîtriser, au moins jusqu’à ce qu’il soit parti.

M : Dégages
Ma voix est beaucoup plus faible que je ne l’aurais voulu. Trop faible même, il commence à venir vers moi. Sa voix s’est radouci.

W : Morgane, je …

M : J’ai dit DEGAGES !

Cette fois j’ai hurlé, il baisse la tête et sors après un moment d’hésitation devant la porte. Je m’écroule par terre et fond en larmes. Pourquoi est ce qu’il a fallu qu’il me rappelle tout cela. Je me dirige avec peine jusqu’à la fenêtre et le voit sortir de l’immeuble. Il rejoint sa voiture mais ne monte pas dedans. Il relève la tête jusqu’à ma fenêtre. Nos regards se croisent, lui aussi pleure. Je me détourne et m’allonge en boule sur mon lit. Je ne m’endors que deux heures et demi plus tard.

** Fin du Flash-Back **

c'est trop horrible!!!! il a été super dur... j't'aime plus Went t'es trop méchant avec Morgane...

super suite!!

coucou, c'était juste pour prévenir que je pars en vacances donc pas de suite avant le 20 juillet minimum, voila... peut être une dans la soirée

3 ans plus tard

Fin des pensées de Morgane

Une jeune femme traverse la rue en courant. Elle manque de se faire écraser mais elle s’en moque, elle est déjà suffisamment en retard. De nombreux regards d’envie se posent sur elle, ses longs cheveux blonds reflètent les premiers rayons de soleil de cette année. Tout en elle montre une nouvelle joie de vivre.

Au cours des deux dernières années, l’adolescente perdue et malheureuse était devenue une femme sûre d’elle et souriante. La vie lui souriait à nouveau et elle en profitait bien. Son poste à la maternité l’avait vite lassée, du coup elle s’était faite embauché dans une crèche du centre depuis 7 mois. Elle vivait désormais en cohabitation avec Monica ( vous vous souvenez d’elle, elle s’était faites renversé en bas de son immeuble). C’est elle qui l’a consolé après le départ de Went, elle qui l’a empêché de se suicider, elle qui lui a réappris à vivre, et encore elle qui lui a trouvé du boulot. Elles sont devenues de très bonnes amies, toujours fourrée l’une chez l’autre, enfin surtout chez Monica. Le souvenir de Went était encore trop présent les premiers mois. Après que Morgane ait décroché son diplôme et se soit trouvé un boulot, elles ont cherché un appartement ensemble. Deux mois plus tard, elles en trouvaient un qui correspondaient enfin aux critères des deux. Lumineux, meublé, spacieux, et un petit jardin en prime ( vous voyez l’appartement dans Et si c’était vrai lol, c’est le même ).


C’est peu avant son emménagement que Morgane tenta de se suicider. Tous les journaux parlaient de LUI, des affiches publicitaires ornaient la ville et les épisodes avaient repris de plus belle. Elle n’avait jamais plus eu de nouvelle de LUI après son départ et elle avait compris à ce moment qu’une femme brune partageait sa vie. Elle avait alors coupé tout rapport avec tout ce qui la rapprochait de près ou de loin à lui ; d’où la décision de déménager, elle avait changé de numéro de portable bien qu’elle doute qu’il ne veuille la rappeler. Elle avait donné sa « démission » à Sarah. Ce soir-là, la nostalgie l’avait frappé de plein fouet, l’alcool l’aidant beaucoup. La radio ne passait que des chansons assez nostalgiques.


** Flash-Back **


Les notes de Memories de Within Temptation se répandent dans la pièce. La pluie s’abat fort contre la fenêtre, malgré tout, certains rayons de soleil traversent cette masse nuageuse. Un magnifique arc-en-ciel coupe le ciel en deux. Morgane s’approche doucement de la fenêtre et l’ouvre. Elle s’assoit sur le rebord et contemple cet arc-en-ciel. C’est le premier qu’elle voit dans cette ville, les couleurs semblent couper le paysage en deux parties, le béton est séparé du ciel. Les larmes abondent sur le visage de la jolie jeune femme. La chanson est finie et les bruits de la circulation qui passe en dessous lui parviennent au oreilles. Son regard tombe sur ces voitures qui emmène des personnes vers leur boulots ou leurs conjoints. La solitude emprisonne son cœur, depuis un certain temps maintenant, beaucoup trop de personnes qu’elle aime l’abandonne. D’abord sa meilleure amie, puis sa mère et son frère, son père et maintenant Went. La pensée d’allé en rejoindre certain passe dans sa tête et s’y ancre. Au fil des minutes, l’envie se fait plus forte, elle ne manquera à personne de toute façon. Elle se lève sur le léger rebord et fixe son regard sur le vide. La porte d’entré claque mais elle ne l’entend pas plongée dans ses pensées. Seule la voix qu’elle commence à bien connaître maintenant semble la réveiller.


Monica : Morgane ?

Morgane : Hum Hum ...

Monica : Tu peux descendre de là, s’il te plaît, faut qu’on parle de ton nouvel emploi.

Morgane : Pas envie, je suis très bien ici … Dis, tu crois que j’aurais mal ou je vais mourir sur le champ.

Monica : Tu auras affreusement mal, tu passeras tes dernières minutes à penser que jamais plus tu ne verras un beau mec dans la rue, jamais plus tu ne pourras manger ces petits flans portugais que tu aimes tant, jamais plus tu ne pourra m’admirer …


Et là voilà repartie dans un de ses longs monologues, un léger sourire commence à naître au creux de ses lèvres. Elle se retourne pour la regarder et sourit franchement lorsqu’elle aperçoit toute la quantité de bouffe et de boissons qu’elle décharge dans ses placard. Finalement elle descend après un dernier regard pour l’arc-en-ciel qui commence à disparaître. Elle décide à ce moment là que même si certaines personnes partent, d’autres restent et ces personnes valent le coup de tenir le coup. Sans Monica elle aurait sauter aujourd’hui, même si elle paraît détachée, elle ressent son soulagement de la voir descendre de cette fenêtre. Son sourire est plus franc et sa voix est plus ferme. Elle l’aide à ranger les affaires et se préparent toutes les deux pour aller en boîte pour que le moral remonte.

** Fin du Flash-Back **

purée mais c'est trop triste... il s'est barré et puis plus rien le salaud!!! tout ça car elle n'a pas voulu... mais quel mufle...

Je prépare une longue suite pendant mes vacances, tu verras le retour de Went, peut être pas comme vous le pensez lol ... Je préviens tout de suite, sa n'aura rien de romantique ...

Merci beaucoup Enneade pour tous tes coms

tu m'angoisses là...

bonne vacance!!!

Spoiler:

et voila la dernière suite avant mon départ ...






Par la suite, elle avait décidée de ne plus se laisser aller. Elle sortait énormément, enchaînait les boissons alcoolisés et les hommes. Jamais un homme n’était venu chez elle, ainsi elle pouvait s’enfuir facilement le matin avant que son compagnon d’une nuit ne se réveille. Elle n’avait tenu à ce rythme que très peu de temps, en fait elle avait arrêté après cette nuit qu’elle avait partagée avec LUI sans le savoir.

** Flash-Back**

Monica : Morgane, bouge toi un peu, je veux arriver assez tôt pour pouvoir repérer les beaux mâles avant qu’il ne soit déjà pris.

Morgane leva les yeux au ciel, celle là quand elle s’y mettait, elle pouvait devenir insupportable. Elle terminait d’accrocher les lanières de ses chaussures à ses chevilles et devait aussi aller chercher une légère veste pour mettre par dessus sa robe.

Morgane : Oh ! du calme, il n’est que vint et une heure.( Regard noir de la part de Monica ) Bon oui j’ai compris, je me dépêche. Attend encore quelques minutes le temps que je choisisse une veste.

Dix minutes plus tard, elles sortent de cet appartement qu’elles ne reverront que tard dans la matinée le lendemain.

23 h 00. La soirée battait son plein. Une masse de gens dansait au milieu de la piste, enfin bougé son corps serait plus approprié. Avant de venir ici, Monica l’avait invité dans une cafétéria. Elles avaient mangé assez léger pour pouvoir se donner à fond et repartir accompagné ce soir. Une fois arrivé, elles se saluèrent et partirent chacune de leur côté. Morgane alla s’installer au comptoir et commanda un malibu coca . Son verre en main, elle scrutait la foule à la recherche de sa proie. C’était sa seule règle, elle choisissait son partenaire avant de l’accoster pour ne pas se retrouver le lendemain matin face à quelqu’un qui la répugnerait. Mais ce soir, la pêche n’était pas bonne, au bout du troisième verre elle n’avait trouvé toujours personne de potentiellement intéressant. L’alcool agissait déjà sur son organisme, sa tête commençait à tourner, il était 00 h 20, elle était prête à rentrer chez elle quand elle L’aperçu. IL était de dos, sa silhouette lui rappelait vaguement quelque chose mais ses pensées étaient trop confuse pour pouvoir trouver à qui il appartenait. Peut être une de ces anciennes conquêtes. Elle vida son verre d’une traite et se traîna jusqu’à lui.


Elle se mit face à lui sans le regarder. Trop occupé à regarder où elle mettait ses pieds. Décidément ce soir elle était mal partie. Elle repérait un mec alors qu’elle était soule. Deux mains se posèrent autour de sa taille et rapprochèrent son corps du sien. Ils dansèrent ainsi collé l’un contre l’autre une bonne partie de la soirée. Vers trois heures et demi, elle commençait à fatiguer. Ses jambes devenaient molles, sa tête lui tournait de plus en plus. Elle s’agrippa à lui alors que ses jambes allaient lâcher. Il la tint par la taille et la sortit de tout ce chahut. Une fois dehors il lui proposa de la raccompagner mais au lieu de lui répondre, elle l’embrassa. D’abord surpris, il finit par répondre à son baiser et a resserrer son étreinte sur elle. Morgane frissonnait de nouveau, dans sa tête tout était embrouillé. Elle avait l’impression d’embrassé Went de par les sensations qu’elles ressentaient. Ce baiser était une bouffée d’oxygène. Elle passa ses bras autour du cou de Went et se colla encore plus contre lui. Il mit fin au baiser et posa son front contre le sien.

… : wouah !

Morgane n’osait pas ouvrir les yeux de peur de ne pas trouver Went devant elle. Ce soir là, cet homme l’emmena chez lui et bien qu’il lui soit familier, elle n’y fit pas attention et se donna a l’homme.

** Fin du Flash-Back **

Le matin elle s’était réveillée avant lui et avait compris qu’elle était réellement avec Wentworth. Des larmes avaient coulées mais un sourire avait éclairé son visage en le regardant. Il lui avait énormément manqué et cette nuit, pour rien au monde elle ne l’oublierait. Il aurait été simple d’attendre son réveil et de parler ensuite. Mais elle manqua de courage et s’enfuit après avoir récupéré tous ses vêtements. Jusqu’à aujourd’hui elle ne sut pas si lui l’avait reconnu ou pas.




Mais le destin fait souvent de drôles de choses et elle n’allait pas tarder à le savoir. Enfin arrivé à son travail, elle file vers les casiers et passa sa blouse en vitesse. Une de ses collègues et amies vint la voir et elles rigolèrent un instant comme à chaque fois qu’elles se trouvaient dans la même pièce. Cette fois-ci, Estelle se moquait d’un producteur qui était venu demander des renseignements pour un de ses films dans un hôpital, malheureusement pour lui, il ne connaissait pas grand chose du fonctionnement des hôpitaux. Il était donc venu avec le personnage principal de son film.



Bonne vacances à tous

C'est cruel de nous laisser la comme çà après avoir balancé l'histoire de leur première nuit...
20 juillet ? C'est super long ! D'autant plus que moi je pars le 14 alors je serais pas revenue avant un moment et çà va terriblement me manquer ta fic...

Good holidays quand même !

Alors comme ça Wentworth Miller ramène des inconnues 15 ans plus jeunes que lui et complétement bourrées, rencontrées sur la piste et sans échanger un mot... dans son lit?

C'est pas joli joli Monsieur Miller!

astrid166 a écrit:Alors comme ça Wentworth Miller ramène des inconnues 15 ans plus jeunes que lui et complétement bourrées, rencontrées sur la piste et sans échanger un mot... dans son lit?

C'est pas joli joli Monsieur Miller!

en même temps, il était pas très sobre lui non plus lol

Merci Soso

j'espère bein qu'il n'était pas sobre!!!

trop bien c'est trop cruel de nous laisser ainsi!!!

bonne vacances

Bonne nouvelle ( enfin pour vous pas forcément pour moi ), mon départ est décalé à Dimanche, donc sûrement une autre suite d'ici là.

Sa vous va ?

désolé pour toi

mais ravi pour moi

on va avoir plein de suites

Mdr ... plein je sais pas, mais deux devrait être un bon chiffre, mais voila maintenant va falloir que je me casse la tête pour vous trouver du suspense pendant la pause

Et d'une !





Morgane sortit des vestiaires peu de temps après Estelle. Elle alla voir sa supérieure pour connaître son planning d’aujourd’hui. Elles parlèrent pendant une demi-heure puis Morgane se dirigea vers la chambre de son premier patient, un gamin de huit ans qui avait eu un accident de voiture. Sa clavicule était cassée, sa moelle épinière avait été touché légèrement et il souffrait d’une amnésie partielle, tout sa parce qu’un con avait grillé un feu rouge. Parfois Morgane se demandait si elle arriverait à faire face à toutes ses horreurs jusqu’à la fin de sa carrière. Dans ces moments là, elle pouvait compter sur Monica, à chaque fois elle lui ressortait la même phrase : « Prends le bon côté des choses, ce taff te permet de les aider à s’en sortir, les remettre d’aplomb aussi bien physiquement que moralement. ».



Travailler auprès de ses enfants lui permettaient aussi de ne pas penser à LUI. Elle s’était jetée dans le travail et elle avait plutôt bien réussi. Il lui arrivait quelque fois de rêver de LUI mais le pincement au cœur était moins douloureux. Sa chef l’avait souvent félicitée pour son engagement auprès des enfants, l’obligeant parfois à rentrer se reposer chez elle. Elle s’occupa de Mattew ( l’enfant malade ) et sortit boire un café, sa nouvelle drogue. Elle allait repartir vers la maternité pour s’occuper de jumeaux nés prématurément quand le médecin chef la bipa. Elle soupira et partit en sens inverse vers le bureau du boss. Elle frappa à la porte et entra après avoir entendu entrer.



Morgane : bonjour, vous avez demandé à me voir ?



Docteur XX : bonjour, oui en effet, je vous présente Monsieur Y ( désolé j’ai pas beaucoup d’imaginations pour les noms ), producteur cinématographique. Il voudrait réaliser un film sur le monde des hôpitaux, malheureusement il n’y connaît pas grand chose. Et je me demandais si vous pourriez aller sur leur plateau et leur donné des renseignements par rapport à leurs décors.



Morgane : Je vous demande pardon ?? Mais et les patients comment vont ils faire … Nous sommes déjà en nombre inférieur à ce qu’on devrait être et vous envoyé quelqu’un à l’autre bout de la ville ?



Docteur XX ( soupirant ) : Ecoutez moi bien Mademoiselle. Vous allez aller dans ce studio pour donner ces foutus conseils, cela vous prendra une semaine tout au plus. A vous de bien les renseigner pour revenir ici au plus vite. J’ai bien conscience de notre pénurie de personnel, mais ne vous inquiétez donc pas pour cela. Votre travail nous fera de la pub puisqu’ils tourneront aussi quelque scène dans le jardin derrière, et vos patients seront dispatchés entre les différentes puéricultrices ou infirmières de cet établissement.





Morgane était visiblement en colère. Alors tout ce qui l’intéresse c’est la pub qu’on pourrait avoir. Devant son manque de réaction, le docteur présent fronça les sourcils et continua sur sa lancée.



Docteur XX : Bien puisque nous sommes d’accord ( raclement de gorge de Morgane ), je dis bien NOUS sommes d’accord, on va régler les derniers détails. Asseyez vous.



Deux heures plus tard, elle ressortait enfin de ce bureau. Son boss lui avait expliqué plus en détail ce qu’elle allait devoir faire puis le producteur était intervenu pour lui narrer les pistes centrales de son film et ce qu’il aurait l’occasion de lui demander à partir de demain. Car oui le producteur était pressé et donc dès demain elle allait devoir se taper un groupe d’acteur tous aussi snobs les uns que les autres. Bon ok, elle exagérait mais il était facile de se dire que les acteurs étaient comme ceci ou comme cela que de se dire tout ce qu’elle avait manqué en LE quittant. Elle chassa ses pensées d’un deuxième café et finit sa tournée des patients.



Il était 21 h quand elle rentra chez elle. Elle avait tenu à expliquer à tous ces enfants qui s’étaient habitués à elle qu’elle allait devoir s’absenter pendant une semaine et cela avait pris plus de temps que prévu. Puis vers 19 h, une ambulance était arrivé avec une femme et son bébé. Elle avait voulu accouché chez elle toute seule mais cela s’était mal passé. Arrivés trop tard à l’hôpital, la mère n’a pas survécut, laissant un orphelin de plus sur cette terre. Elle s’était occupé de cet enfant comme s’il avait pu lui appartenir. Des larmes de rage et de tristesse avait coulé sur ses joues. Sa mère avait voulu faire la fière en montrant qu’elle pouvait accouché seule et finalement elle mourrait et abandonnait son enfant. Elle rentra donc légèrement sonnée chez elle. Monica l’attendait dans le canapé, Morgane la rejoint et se laissa tombé à côté de sa colocataire.



Monica : Alors ta journée ?



Morgane : Eprouvante, et toi ? Tu as trouvé des ragots intéressants ?



Et oui, Monica fait parti d’une grande revue de presse people assez tendance en ce moment alors évidemment elle connaît tous les potins qu’ils soient réels ou inventés.



Monica ( soupirant ) : Que des absurdités je te jure parfois, les gens n’ont rien à faire. Il paraîtrait que Brad Pitt et Wentworth Miller soient homos et qu’ils ont une liaison secrète et qu’ils ont adopté un enfant de neuf mois il y a deux semaines mais qu’ils l’ont cachés, lui aussi, dans une maison en France près de la méditerranée.



A ces paroles, Morgane éclate de rire. Monica la regarde en souriant.



Monica : Qu’est ce que je disais, c’est absurde.



Morgane : Ah ouais mais là c’est fort.



Monica : Bon on sort ce soir ou pas ?



Morgane : Ah non, sans moi, je tiens à peine debout. Et puis demain matin je dois être de bonne heure de l’autre côté de la ville, d’ailleurs je pourrais t’emprunter ta voiture ?



Monica : Bien sûr. C’est pas de chance pour toi, je penserais à toi quand je me lèverais a onze heure, voir midi.



Un coussin traversa la pièce pour atterrir dans le dos de la rousse. Faussement outrée, elle ramassa le coussin et le relança dans la tête de la blonde. Après un rire sonore, elle s’enfuit dans sa chambre avant de voir revenir le coussin. Morgane bougonna et décidé d’aller elle aussi se coucher après avoir prit une bonne douche.



Une fois arrivé sur le plateau le lendemain, elle se dirigea vers Bryan, le producteur. Celui ci l’accueillit avec un grand sourire et lui présenta les deux acteurs déjà avec lui. Elle se présenta et se retourna vers un troisième acteur, qui venait tout juste d’arriver. Elle se rattrapa de justesse sur la chaise de Bryan avant que ses jambes ne la lâche. Le revoir ici ravivait beaucoup trop de souvenirs.



Morgane : Toi !


… : Oui moi, tu ne me dis pas bonjour





Alors qui est ce ?

Alors qui est ce ?

çà c'est très drole comme question !

Je veux la suite ! C'est intenable...j'ai trop hate de savoir comment ils vont se comporter tout les deux après ces trois ans de...silence radio !