rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)

très joli

Vite la suite ...

Tres beau debut !!!!!
Présser de lire la suiteeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

très beau début!! j'accroche totalement!!!vite vite une suite!!!!!!

trop beau debut je suis deja completement envouté lol une suite bientot please??

super, à quand la suite, j'adore comme toujours

J'adore ce debut j'ai vraiment hate de lire la suite. Decidement tu es tres douée pour raconter de superbes histoires, un chapitre et on est deja accro.

Vite une suite

c'est original il fallait y penser
vivement la suite et le resto

Holala j'adooooooooooooooooooooooore ce début j'adhere ne tarde pas a mettre la suite

comme Amaria : j'adoooooooooooore ! et c'est toujours aussi sublimement écrit !
impatiente de lire la suite

contente qu'elle vous plaise



J’arrive enfin dans mon appartement. J’avais oublié dans quel état il pouvait être. Bon, on va être méthodique. Je sais que le rangement en ce moment se n’est pas ton fort ma grande mais là faut pas déconner. Je passe la main dan mes cheveux ne sachant pas vraiment par où commencer. Bon déjà, si tu dégages dans la pièce qui te sert normalement de bureau tout ce que tu as laissé traîner relatifs à ton mémoire. Bon allez, on commence. Je passe frénétiquement dans le couloir les bras chargés de bouquins, de papiers, de post-it… je me rends compte que je me suis fait bouffer par ce mémoire, il représente l’essentiel de la déco de mon appart, ce qui n’est pas vraiment de bon goût. Voilà, le salon, à repris sa splendeur initiale. Ah, une bonne chose de fait. La cuisine… oups… je ne vis pas ici ce n’est pas possible ! ! Bon il me reste encore deux heures… bon cela devrait faire l’affaire… je me presse à astiquer, ranger… ce n’est pas que chez moi ce soit le bordel, c’est juste que je me suis laisser absorber par ma thèse… je ne fais que cela… moi la maniaque de l’organisation, je vis dans un désordre monstre ! ! J’allais oublier, le restaurant faudrait que je réserve ! ! Bon, sur le net je devrais bien trouver une adresse sympa… tous ceux où j’ai l’habitude d’aller vont être bondé de monde, donc ce n’est pas la peine, le pauvre il va se faire bouffer tout cru par des hordes de filles… je cherche, je cherche… Rien. Du moins rien qui ne me semble convenir, soit c’est loin, soit c’est super branché donc pas sûr que cela lui plaira de faire la une des magasines demain et moi non plus par la même occasion.
J’essaye de me creuse la tête… mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ! Je fonce dans mon salon, ben ! Oui… voilà un resto discret… chez moi… je ne suis pas mauvaise cuisinière, pas de paparazzi. Le seul moyen qu’il y en ait c’est qu’ils le suivent donc ce sera de sa faute ! ! Super. Je me lance dans la cuisine, alors, super… j’espère que cela lui plaira… s’il n’est pas content, il pourra m’emmener ailleurs ! ! Ah ! du vin… bon faut que je fonce en acheter…

Il devrait arriver d’une minute à l’autre… je suis dans une panade, je sors à peine de ma douche… si seulement je n’avais pas transformé cet appartement en dépotoirs ces derniers jours, je n’en serais pas là. Bon, on va faire originale. Un jeans… parfait, «le temps des cerises » est propre, un peu froissé mais propre. Je fouille dans mes hauts… les minutes passent… on va faire simple, débardeur noir… par ici… oui parfait ! C’est un peu basic. Ha le voilà mon sautoir… ah ! Là c’est parfais. Vite, un petit coup de maquillage, vite fais… je ne suis pas du style pot de peinture, mais je ne sors jamais sans être maquillé. Un réflexe. Le dernier coup de mascara mis, je me pose trente seconde sur le rebord de la baignoire, ouf… je suis dans les temps. J’ai bien crut ne jamais y arriver ! Bon mes cheveux sont trempés, mais de toute façon, il me faut une bonne demi-heure pour les discipliner.

Toc-toc.

Le voilà. Je ne sais même plus si j’ai envie de lui ouvrir la porte. Cela ne se fait pas Anna, tu es une grande fille. Mais le moment de tout à l’heure était si parfait, que j’ai peur d’être déçue maintenant. Bon, je déverrouille ma porte. Je jette un œil dans le judas, au cas où ! Il tourne le dos. Mais je le reconnais.

W : bonsoir ! Je suis trop an avance ?
A : non, entre.
W : ne sachant où on allait aller, j’ai dis au taxi de partir !
A : tu as bien fait. Si tu veux, on peut rester ici ?
W (gêné) : je ne voulais pas m’inviter chez toi ! je…
A (souriante) : c’est le seul endroit que je connaisse où tu ne te feras pas agresser ! Donc ! Mais c’est comme tu veux !
W (rentrant dans le salon) : tu as tout prévu… si cela te va, je préfère rester ici.
A : tu verras, je cuisine super bien ! ! Du moins encore personne n’est mort !
W (la suivant vers le salon) : c’est encourageant. Je vais connaître de la vraie cuisine française !
A : euh, enfin la mienne ! ! Ce n’est pas non plus sensationnelle. Mets-toi à l’aise. Du vin, cela te va comme apéro ?
W (s’asseyant dans le canapé) : génial…. Ouah ! j’ai bien fais de rester c’est mieux que le resto…
A : ne t’avances pas trop, tu n’as pas encore goûté !
W : je peux savoir, ce que tu nous as préparer ?
A (prenant le verre de vin que je lui tends) : Mr Miller serait-il curieux ?
W : non, mais cela sent bon, donc…allez dis-le !
A : non, mais ce n’est pas vrai, tu fais souvent cette tête ?
W : qu’elle tête ? Celle là ? Lui jetant des regards de plus en plus langoureux.
A : bon, tu as gagné. Escargots, langue de bœufs et carottes vapeur ! !
W : mmm… ça à l’air… tu es sûr de ne pas connaître une petite pizzeria.
A (frustrée) : non, mais…
W (hilare) : je sais que ce n’est pas ça !
A : bon, tu restes alors ?
W : oui le dessert est au chocolat ! !
A (surprise) : ben ! Comment, tu le sais ?
W : tu as du chocolat sur le petit doigt.
A (allant se laver les mains) : oh… désolé. Tu aimes au moins ?
W (ne cessant de l’observer) : j’adore.

Et voilà, la soirée se déroule sans même que l’on s’en rende compte. On passe notre temps à se tester, se lancer des piques. Il n’a de cesse d’attiser ma curiosité. Mais on sait tous les deux où sont les limites. Celles qui à entre passer une bonne soirée, apprendre à se connaître et être indiscret. Aucune question sur d’éventuels amours passés, déçus… on se raconte nos vies, sans réellement faire attention. On se livre l’un et l’autre sans gêne, sans méfiance. Je sais que je ne risque rien, mais lui. Je pourrais faire un article de ce qu’il me dit, le raconter… mais j’ai l’impression que l’on est au-dessus de tout ceci. C’est de loin le repas le plus romantique que j’ai fait, d’autant plus qu’à la base il n’était pas prévu. Je l'ai vu se diriger vers mes CD alors que j’allais dans la cuisine préparer son assiette. Et nous voilà mangeant au son de Ray Charles. Il a mis le son de manière à ce que l’on puisse continuer notre discussion, mais assez fort pour me laisser bercer par la musique. Quand je reviens vers la table, mes deux assiettes à la main, il avait pris des bougies qui étaient posées sur la cheminée, pour les allumer et les mettre sur la table basse. Assis par terre, on dîne sur la table basse. Il a insisté pour que l’on ne bouge pas d’ici. J’ai pourtant une table. Mais non, et je comprends qu’il ne veuille pas délier le lien que l’on a instauré. Quelques bougies sur la table, nos assiettes, verres… et voilà ! J’ai l’impression de rêver.

W (finissant sa part de gâteau) : c’était délicieux…
A : tu en reveux ?
W : non, ce n’est pas … un petit bout ! tendant son assiette.
A (les yeux pleins de malices) : faut pas que tu te forces… je le finirais demain.
W : il est trop bon. Tout était super bon… ça fait une éternité que je n’ai pas passer une soirée aussi agréable.
A (n’y croyant pas) : oui, c’est ça !
W (plongeant son regard dans le mien) : je t’assure.
A : je ne sais jamais si tu rigoles ou pas.
W (se frottant les mains) : bon OK. On va passer aux choses sérieuses !
A : ah bon !
W (hilare) : bon, ta dernière cuite ? Elle date de quant ?
A : oh ! Oui c’est sérieux tout cela. Bon, faut que je me souvienne !
W : tu avais tellement bu que ça ?
A (cachant ma tête derrière un coussin) : non, c’était, il y a un mois. J’ai honte !
W : bon, moi cela fait quinze jours !
A : et pourquoi avais-tu fait le fête ?
W (le regard sombre) : j’avais revu mon ex.
A : désolé.
W : non. C’est juste que je suis resté longtemps avec elle. Pendant mes années de galère. Et là je la revoie alors que je suis devenue quelqu’un. Il y a encore un an, elle ne voulait pas me parler et là… excuses moi, ce n’est des plus amusant comme histoire.
A (lui posant la main sur le bras) : non ! Si… tu sais, on a tous nos histoires. Les miennes ne sont pas tristes non plus !
W (enjoué) : bon. Voyons, autre sujet. Tes parents ils font quoi dans la vie ?
A (mélancolique) : ma mère est médecin. On ne se parle plus depuis quelque temps. Et mon père est mort.
W (confus) : je… et merde, je ne voulais pas.
A : non ce n'est rien. J’avais 15 ans quand cela est arrivé.
W : et alors ?

Je sens mes larmes montées malgré moi. Cela fait une éternité que j’arrive à contrôler ce sentiment, cette tristesse. Mais là devant lui, je n’y arrive pas. Et je me sens d’autant plus stupide. Je le sens s’approcher de moi. Il passe sa main derrière ma tête pour m’attirer contre son torse. Je le sens puissant, chaud. Mon oreille se colle contre lui. Son cœur bat à un rythme effréné. Je me sens comme instantanément calmé à son contact. Cette douce sensation que rien ne va m’arriver, que je suis en sécurité. Je me détache de lui. Je n’aurais peut-être pas dut. Voilà son regard plongé dans le mien. Je ne peux plus bouger. Je le vois triste. Je ne sais pas pourquoi, il n’a pas de quoi ! Ses doigts essuient les quelques larmes qui ont perlé sur mes joues. Je me sens devenir encore plus rouge. Je me demande comment cela peut-être possible.

W (gêné) : je ne voulais pas te faire de la peine.
A (essayant de soutenir son regard) : ce n’est pas de ta faute. C’est…je ne sais même pas moi-même !
W : je sais. Parfois je repense à certaine personne et cela me fait pareil. Tu essayes d’être dur mais il suffit d’une brèche pour que tu t’effondres.
A : elle t’en a fait baver, on dirait !
W (hésitant) : oui. Si…
A (rassurante) : cela restera entre nous si tu veux en parler.
W : j’étais avec cette fille depuis au moins 4 ans. On était vraiment bien. On s’était rencontré quand je suis arrivé à Los Angeles. Bref, je croyais faire ma vie avec elle, fonder une famille. Mais ma carrière ne perçait pas. Du moins pas assez vitre pour elle. Après l’échec commercial de «la couleur du mensonge » elle m’a quitté. Elle voulait plus. J’ai appris quelques semaines plus tard qu’elle allait en épouser un autre. En moins d’un mois avec lui elle se mariait et fondait une famille. Alors que moi… seulement il avait une meilleure situation, un meilleur statut social.
A : je…
W : oui
A : en générale je suis assez franche, donc ne te vexe pas. Mais quelle garce, tu te morfonds pour une pouffiasse pareille. J’hallucine…

Je le sens s’approcher de mon visage dangereusement. Il pose délicatement ses lèvres sur les miennes encore entrouvertes. Je sens leur douceur envahir mon corps. Ma tête tournoie comme rarement avant. On est là, comme figée par la douceur de l’instant. Nos lèvres ne bougent pas. Elles sont justes posées l’une contre l’autre. J’essaye de prendre appui avant de m’effondrer. Le seul rempart est son corps. Je m’appuie contre lui. Je le sens vaciller au contact de ma main sur son torse. Sa main ne bouge pas. Elle est toujours là, englobant ma nuque. J’aime cette douce sensation qui m’envahit, celle qui me dit que je dois me laisser aller. Je laisse timidement passer ma langue entre mes lèvres. Un léger contact de ma langue sur ses lèvres sèches suffit à le sortir de ses pensées. Notre baiser s’approfondit sans négociation. J’ai l’impression qu’il ressent la même chose que moi, que nos corps ne nous répondent plus, que le temps est suspendu.

vite encore encore encore encore!!! j'adore!!!

Fallait pas t'arreter là. Trop bien

La suite stp !!!!

C'est trop parfait ! trop excellent ! Y aurait pas une ptite suite en rab par hasard ???

Je viens juste de lire la fic d'un seul trait et WAOUHHHHHHHHHHHHHHH
Elle est geniale et ton idée est plus qu'originale!!!!

super le bisou
vite une suite

Aloors javais déja lue ta fiic comme un tite souriis en fait je laie relus 5 fois jadoooore cest troo je veux quil oubli sa poufiasse quelle se laisse aller quils se marient et tout ira bien magnifique ce baiser
vivement la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

alors attentions yeux chastes s'abstenir

chap 3 :

Nos langues se cherchent, se défont pour mieux se retrouver. Mêlés à ces baisers nos sourires se font de plus en plus grands. Je sens sa langue se perdre dans ma bouche. Je le cherche, trouve… je vacille totalement. Un simple baiser et me voilà dans une position des plus… confortable et agréable ma fois. Sa main se balade lascivement sur ma hanche. Je le sens hésitant. J’ai une furieuse envie de lui faire comprendre qu’il ne devrait pas, mais une petite voix dans ma tête me dit de le laisser faire. Peut-être encore un peu de conscience. Mes mains s’aventurent progressivement sur son torse, dans son dos. Il y a un tel contraste entre nos baisers fougueux et nos mains si voluptueuse comme au ralenti. Je me détache à regret de ses lèvres pour reprendre mon souffle. Ses yeux ne cessent de me dévorer. J’ose à peine le confronter. Sa main relevant mon menton, je fonds littéralement devant ces yeux bleus.

W : je n’avais pas prévu…
A : moi, non plus…
W : cela fait une éternité que je n’ai pas ressentie autant de sentiments…
A (craintive) : stop. Je ne veux pas que … tu n’as pas besoin de me mentir…
W (vexé) : quoi ? je…
A : tu es un très bon acteur, et …

Il s’approche de nouveau de mes lèvres. Il m’embrasse…bizarrement. Nos lèvres se frôlent à peine, nos souffles ne se mélangeant pas.

W : ça c’est un baiser d’acteur !
A (penaude ) : je préfère celui de tout à l’heure.
W (calme) : je ne joue pas, je suis moi à 100%

Je m’approche de lui. J’ai envie de lui dire, faire comprendre que moi aussi je suis ici, dans cette pièce et entièrement dans l’instant que l’on vit ensemble. Son sourire en dit long sur le plaisir qu’il a, à ce que je prenne l’initiative. Nos lèvres se ressoudent tel deux aimants. Nos mains se font de plus en plus appuyées. Sans se concerter, sans un regard, un cap est franchi. Plus aucune barrières ne nous retiennent. Toujours par terre, on s’enlace de plus en plus fort. Je sens ses mains se perdre dans les poches arrière de mon jeans. Il en profite pour m’attirer sur lui. En une fraction de seconde et sans opposé la moindre résistance je me retrouve assise sur lui. Ses mains toujours sur mes fesses. Je suis totalement envoûté par son magnétisme. Je ne sais pas où cela va me mener et dans le fond je m’en fous royalement. Je me sens si bien dans ses bras. Sa bouche descend furtivement dans mon coup. Je sens la chaleur de ses lèvres contaminer ma peau. Je m’abandonne littéralement dans ses bras. Mes mains ne cessent d’aller et venir dans son dos, sa nuque, ses cheveux comme si j’étais en exploration. Je le sens frémir au moindre mouvement de mes mains, au moindre soupir de bien-être qu’il me procure.

W (continuant ces baisers langoureux) : je ferais mieux de partir !
A : tu en as envie ?
W (droit dans les yeux) : non et toi ?
A (posant mon front contre le sien) : reste.

Je le sens redoubler d’ardeur. Je n’ai pas envie que cela finisse. Il me serre de plus en plus contre lui. Nos bassins commençant à onduler de plus en plus explicitement. Malgré son jean, je distingue le désir monter en lui. Cela m’embarque encore plus loin. Je me demande pourquoi je n’ai jamais ressenti autant de désir auparavant pour un homme. Ce n’est pas qu’avant il n’y ait rien eut, mais là, lui… c’est comme si nos corps était à l’unisson. Sa main s’immisce sous mon t-shirt. Le contact de sa paume chaude, me fait frissonner. Son sourire me fait défaillir. Je le sens perdre pied également. On ne cesse de s’embrasser, de se toucher comme si ce moment devait être gravé dans nos mémoires, dans nos chaires. Il rabat mes jambes derrières ses fesses. Je le sens me soulever. Une main sur mes fesses, l’autre englobant ma nuque. Je me laisse faire tel une marionnette. Je le sens encouragé par l’abandon total que je lui fais. Mes bras se posent instinctivement autour de son coup. On se regarde avec douceur. On sait tous les deux que ce qui va se passer n’est plus contrôlable et que l’on a réellement envie. Toujours dans ses bras, il se dirige vers le couloir. Je le sens un peu hésitant.

A (haletante) : la deuxième sur la droite.

Il m’embrasse de plus belle. Je sens sa main qui se détache de mon cou. Pourquoi ? Je me sens comme abandonné, j’ai besoin de lui… il éteint simplement la lumière. Tous les deux dans le couloir, dans le noir… je sens la chaleur montée, comme si le fait d’être dans le noir nous envoûtés encore plus. Je me concentre sur son odeur, la chaleur de son corps…je le sens être de plus en plus confus, de plus en plus dérouté. Chaque baisers, caresses le fait frissonner, accélérer sa respiration. Plaqué contre la porte, je le sens décontenancé par la situation, par le feu qui nous anime. Je le délaisse un peu à mon tour, pour ouvrir la porte de ma chambre. Elle s’ouvre derrière moi avec violence. Il fait quelques pas et la referme à l’aide de son pied. La pénombre irradie son visage. Il me pose délicatement sur mon lit. Il me suit tel un aimant. Nos corps ne peuvent plus se contrôler. On a envie d’être de plus en plus proches.

W (inquiet) : tu as ce qu’il faut ?
A (le couvrant de baisers) : dans la table de nuit.

Je le vois farfouiller. D’ordinaire je serrais hors de moi, mais là, lui, je m’en fous. Je distingue qu’il trifouille aussi dans sa poche. Je me demande ce qu’il peut faire. Je le vois sortir son briquet. Je suis surprise de le voir allumé la bougie qui se trouve sur mon chevet. Je dois rire comme une gosse devant ses cadeaux de Noël. Je le sens content de son effet. Il s’approche de moi, je me laisse entraîner sous son corps.

W : là c’est parfait.
A : soupirs.

Nos vêtements volent dans la pièce. Je me sens si bien dans ses bras. Il est si doux et en même temps si présent, si bestial parfois. Nos corps ne cessent de se découvrir, d’onduler l’un sur l’autre. Je me sens faiblir à chaque baiser, chaques caresses. Elles sont d’autant plus déconcertantes que je n’arrive plus à le toucher, à l’embrasser. Il domine totalement la situation. C’est comme s’il voulait que je cède dans ses bras. Une chaleur diffuse se propage le long de ma colonne, j’ai la vague impression de bredouiller quelques chose mais je n’en sais rien. C’est comme si j’étais dans un état second. Je me laisse aller dans ses bras, sous ses doigts experts.
Reprenant mon souffle, je suis encore plus envoûté par son corps. Je n’ai pas envie de le laisser s’en tirer aussi facilement. Je le retourne, du moins il se laisse faire. Nos corps nus, se font une fois de plus face. Assise sur lui, je sens le désir monté en nous. Je me laisse de nouveau envahir par sa douceur. Nos mouvements sont lents, les vas et viens langoureux. Nos corps ne nous soumettent aucune résistance, au contraire, on ne fait qu’un. Nos visages resplendissent sous la douceur du moment que l’on partage. Je le sens plus pressent, plus ardent… mon corps lui répond au quart de tour… je n’ai jamais autant été en osmose… c’est si naturel, si simple… nos corps s’abandonnent simultanément tel deux épaves. On laisse retombé la température en s’embrassant tout doucement. Je sens la chaleur de ses lèvres se noyer dans les miennes. On se détache enfin, l’un de l’autre. Nos visages épanouis se font face. Je sais que ce moment est magique. On a totalement oublier le monde qui nous entoure. Je ne sais pas où cela va aller, je n’ai pas vraiment envie d’y réfléchir. Je m’engouffre dans ses bras qui s’offrent à moi. Ses bras m’entoure avec force. Il n’a pas envie de défaire cette étreinte, je le sens perplexe, comme hésitant. Lové dans ses bras, le calme régnant, je sens le sommeil me gagner. Allongé derrière moi, je le sens s’étirer, sans trop vouloir me déranger. Je souris devant l’attention qu’il me porte. Il souffle négligemment sur la bougie. Le nuit noire veillant sur notre étreinte. Je le sens reposer sa tête lourdement sur l’oreiller.
Allez ! ose ma fille, il faut que tu brises ce silence, que tu lui dises ce qui te taraude depuis plusieurs minutes.

A (gênée) : je comprendrais si tu devais…
W (confus) : chut… je… si …
A (vive) : Reste.

Je le sens se blottir contre moi. J’essaye de résister conte mon envie de dormir, mais je sens bien que cela est peine perdue.

Waouh c'est magnifique j'ai chaud, je bave devant mon ecran . J'aimerais bien etre a la place de cette fille. Vivement la suite c trop beau

PUTIN DE MERDE CEST WHOUAAAAOUUU CEST CHAUD PASSIONER MAGNIFIQUE LOOK TU ME FAIS ECRIRE EN MAJUSCULE SOUS LE CHOQUE!!!!!! a sallais je vais aller prendre une douche pour reprendre mes esprits!!!!!!!!


vivement la suiiiiiiiiiteeeeeeeee

Wow c'est HOT!!!!
c'était magnifique...vite une suite
PS: vilaine fille de le faire le premier soir ...mais bon c'est Went aussi

Wouah ....

Rien d'autre à dire qui n'est déjà été dit ... A quand la prochaine suite ??

J'ai comme un GRO COUP DE CHAUD d'un seul coup!!!!!
Vivement la suiteeeeeeeeeeeeee!!!!!

comment j ' ai fait pour pas la lire avant !!! hein !!!!!!!! ma chere enneade !!!!!!!!!

quelle fic , tu ma fait rire a des moments , mais la derniere suite !!!!!!!!!! ET

QUELLE SUITE !!!!!!!!!!!!!! BRAVO MA CHERE ENNEADE !!!!!!!!!

WHAOUUUUUUUUUUUUUUUUU !!!!!!!!!! AU SECOURS !!!!!!!!!!!!!!!! JE NE NOYE !!!!!!!! C ' EST TERRIBLEMENT TRES CHAUD !!!!!!!!!!!!!!!!

j ' en veux d ' autre !!!!!!! evidemment !!!!!!!!!!

AH OUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!! JE VEUX UNE SUITE CE SOIR !!!!!!!!!!!!!!!!

OMG OMG, c'est trop trop bien

La suite !!!!