rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)

je crève de chaud!!!



le ventillo et la bouteille d'eau en spray c'est pas assez!! je vais aller prendre une bouche glacée!!!


vite vite la suite!!!!!!!!!!!!!

Putin je viens de boir deux verres deau tu me donne des envies la franchement la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeee

Non mais y a pas idée d'écrire des trucs pareils !! comment on fait nous après ... déjà qu'il crève de chaud par chez moi !! en plus faut que je révise mais je pense qu'à une chose : wenty qui m'enlève les lanières de mes chaussures (ben oui ça m'a marqué ! )
bon pour te faire pardonner, tu sais qu'est ce qu'il te reste à faire : la suite !!

Je viens juste de me levée et deja qu'il fait chaud mais la c'est limite si je vais pas exploser!!!!!
Si je pouvais je rentrerais dans mon congèle pour me refroidir mais vu comme j'ai chaud c'est moi qui le ferait decongeler!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Je crois qu'un seul mot peut sortir de ma bouche c'est: HOT
c'était magnifique continues stp
une autre suite

On aura droit à une suite aujourd'hui ??? parce que je suis trop impatiente !

whaou c 'est chaud bouillant ,

en plus , il fait tres chaud chez moi !!!!!!! limite orageux !!!

alors avec ta suite !!!!!! sa electrise !!!!!!

j ' en redemande encore !!!

Chap 8 :

Nos corps arrivent à peine à se détacher. C’est comme si on avait peur que si on se sépare la réalité nous rappelle, comme si on avait peur de rêver, encore une fois. Blottie contre lui, mes mains dansent allègrement sur ses pectoraux, allant parfois titiller sa nuque. Nos jambes entrelacées sont le paroxysme de ce besoin de vital entre nous de contact. A chaque mouvement des ses mains dans mon dos ou sur mon flanc, je sens que je suis dans la réalité, je sais que je ne rêve pas. A chaque baiser qu’il dépose sur mon front ou dans mes cheveux, je ne peux dissimuler mon bien être, un large sourire s’affiche instantanément. Ce moment est tout simplement divin. Lové contre lui, ma tête plongée dans son épaule, il ne semble que plus rien n’est d’importance. Le seul bruit étant les battements de son cœur et nos respirations encore saccadées. Comme l’autre fois, son parfum m’envoûte, tel un élixir magique. Mes yeux se plongent dans les siens, j’ai l’impression de me noyer. Ce bleu est si spécial. Il joue avec ce regard, il le manie à la perfection. Il me transperce comme personne auparavant.

W : ils sont aussi indécents que cela ? Mes yeux !
A : non, en réalité c’est toi tout entier !
W : je le prends comme un compliment. Je me sens bien auprès de toi !
A : moi aussi.
W (passant un bras sous sa tête) : au fait ta thèse c’est en quoi ?
A (surprise) : ma thèse… tu es surprenant !
W : j’ai envie de te connaître. On a beaucoup discuté la dernière fois, mais pas de nous, pas de nos vies !
A : OK, si tu y tiens ! Ça va être ennuyeux. Bon, c’est en Histoire.
W (souriant) : dis-moi plus… toi tu as lu mon travail !
A : bon j’ai étudié un aperçu du système judiciaire au XXe siècle. Plus précisément, l’histoire du système carcéral et son évolution en France, aux Etats-Unis et en Angleterre. Pourquoi souris-tu ?
W : non tu ne fais pas le lien, tu … tu n’as vraiment pas vu la série ?
A (dépitée) : franchement, non. Je n’ai pas eut le temps. Mais il me semble que c’est en prison, non ?
W (se moquant) : Prison Break… oui c’est en prison…
A : désolé, ça fait quatre ans que je suis coupé du monde.
W : je me fais emprisonner pour faire évader mon…
A (mettant mes mains sur sa bouche) : arrêtes ! je veux voir moi…
W : ah bon ! J’ai tellement de questions à te poser !
A : si tu commençais par celle qui t’obsède ! Il y en a toujours une qui nous harcèle !
W (sérieux) : est-ce que tu as quelqu’un dans ta vie ?
A (outrée) : non mais… comment peux-tu penser une chose pareille ? Parce que toi ?
W : non, non. Depuis mon retour de Paris j’attendais sagement ton coup de téléphone, donc comment voulais-tu ?
A : si tu veux que ça se passe bien, on va évite de parler de cet incident, si tu n’y vois pas trop d’inconvénient ?
W (mimant son acquiescement) : non je tiens à ma vie. Tu avais l’air de bien t’entendre avec mon père ?
A : je suis super confuse de ne pas avoir fais le rapprochement. Mais en fait j’ai presque lu toutes ses publications donc pour moi, c’était surtout le nom que je retrouve en tête de mes livres et non pas…
W : tu l’as lu ! ouah ! Je suis impressionné !
A : en fait j’en avais besoin pour mon mémoire, sinon honnêtement je ne l’aurais pas fait ! Mais il écrit super bien.
W : rassures moi, je danse mieux que lui au moins !
A (faisant les gros yeux) : vu que j’avais une furieuse envie de te jeter par la fenêtre pour le moment c’est ton père qui gagne !
W (rougis) : quoique s’il n’avait pas dansé avec toi… c’était plus facile de te kidnapper alors que tu étais dans ses bras…
A (choquée) : quoi, il est courant ? Pour ...Paris ?
W (explosant de rire) : non je suis un grand garçon … je passe sous silence mes escapades nocturnes !
A : tu m’as fait peur.
W : il y a une chose qui me fait littéralement craquer en toi !
A (impatiente) : allez, dis ! !
W : quand tu parles en français ! Je n’y comprends rien, mais ça me rend dingue !
A (surprise) : ben ! Je ne t’ai jamais parlé en français !
W (avec un grand sourire) : si quand on fait l’amour…
A : ah…
W : pourquoi tu rougis ? Viens là ! ! Me resserrant dans ses bras.
A : tu ferais moins le malin, si tu étais à ma place !
W : oui, c’est simple je suis incapable de te parler en français, et pourtant j’en ai fait au lycée.
A : au fait tu te balades toujours avec des capotes sur toi ?
W (les joues empourprées) : Ah ! ! Elles étaient dans la table de nuit ! Pourquoi tu n’en as pas toi ? L’hôtel ne t’en a pas mis ?
A (se moquant) : euh non ! Mais c’est normal… je n’ai pas été élue l’acteur le plus sexy et de surcroît célibataire !
W : ce n’est pas drôle…et heureusement qu’elles sont là !
A (sérieuse) : ah bon…je voudrais savoir, pourquoi moi ?
W : tu es dure avec moi. Tout d’abord j’adore ton esprit, tu es vive, entière, tu ne te laisses pas faire. En plus mais ça tu dois le savoir, j’ai comme un petit penchant pour les brunettes. Et sinon je ne sais pas en fait, c’est toi et je ne me l’explique pas vraiment ! Tu es différente des autres.
A : oui, je ne te connais pas en tant qu’acteur, c’est ça ?
W (résigné) : non… mais je t’avoue que c’est plutôt agréable d’être apprécié pour soi-même et non pour un personnage.
A (curieuse) : en fait j’aimerai connaître ton déclic, ce qui à fait que tu es venu me parler ?
W : quand je suis rentrer dans la salle de conférence, je n’ai vu que toi, cachée derrière ton bouquin, des boots posée sur la chaise… je croyais rêver…tu étais si à l’aise, si naturelle que je ne voyais que toi. et quand tu es parti, j’étais dépité… je pensais pouvoir répondre à tes questions… alors quand je t’ai vu assise au bar je me suis lancé…
A : je retiens … le côté désinvolte te plaît !
W : non, c’est … si je le savais, je te le dirais… c’est toi tout simplement !
A (joviale) : bouh ! ! Tu l’as sort souvent celle-là ?
W (vexé) : oh ! je te l’ai dis c’est loin d’être dans mes habitudes… les gens qui me connaissent bien ne me reconnaîtraient pas… je suis plutôt du genre ennuyeux…
A (taquine) : ah bon ! Je ne trouve pas, moi… on arrive toujours à s’occuper !

Il éclate de rire. Il est si communicatif que je me retrouve hilare. Je le sens si présent, si doux… il se penche délicatement sur moi. Je me retrouve allongé sur le côté, son corps derrière moi m’enveloppant. Nos corps ne font plus qu’un. La lampe de chevet s’éteint. Je ne sais pas si je dois ou non rester. Une petite voix dans ma tête ne cesse de me rappeler à l’ordre, alors que tout est si parfait. Il sent mon hésitation, mon cœur qui s’accélère.

W (dans un murmure) : reste.
A : tu…
W (au creux de l'oreille) : faits de beaux rêves. A demain matin.

Je sens mon corps accusé la fatigue de cette journée mais surtout de cette soirée épuisante. Je me suis tellement battue contre moi-même que je me retrouve à présent perdue, dans ses bras mais perdue. Je n’ai pas envie de partir de cette chambre. Je me sens si bien auprès de lui ! Mes yeux se ferment progressivement, au rythme des baisers qu’il me dépose dans les cheveux. Je sens son étreinte de détendre un peu, comme s’il succombait lui aussi au bras de Morphée.

trop magnifique !!!!!!!!

tres romantique !!!!!!!!

j ' ai hate de savoir ce qui va se passer demain au reveil !!!!!!!!!

je peux que t ' en redemander !!!!!

j ' en redemande !!!!!!!

met la tres vite

J'adore ! c'est trop parfait, trop magnifique, j'en veux encore, encore et encore !!

Je viens de tout lire et j'adore!
J'attends la suite avec impatience !

Génial cette conversation sur l'oreiller
vite une suite

Elle est trop belle et trop geniale ta suite!!!!!!!!!
J'ADOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Met nous vite une suite STP STP

Olalala ma enneade damour cesu si parfait su so cute si chaud si alalalalalalala ta intéret a viite mettre une suiite sinon
faut quelle lui aprenne parler francais sa peut servir

Mon week end a était long surtout sans internet......

mais je doit dire que ça a du bon, au moins quand je reviens j'en ai plus a lire !!!!!!!!!!!!!!!!

et comme d'habitude, tu es comme une drogue, on en a jamais assez!!!!!!!!

je ne dirais que deux mots :

J'ADORE

LA SUITE

merci pour vos comms... je suis toutes rouges derrière mon écran moi maintenant, pff ça fais trop plaisir, q'elle vous plaise

Chap 9 :

Mes bras s’étirent machinalement. Mes yeux s’ouvrent peu à peu. Je me sens pâteuse. J’ai l’impression qu’il est tôt, trop tôt. J’ai du mal à reconnaître ma chambre… mais… oh non ! Ce n’est pas vrai ! Son bras est posé négligemment sur moi. Je retourne doucement ma tête… eh oui, je suis trop conne ! ! Mais ce n’est pas possible ! ! Je fonds littéralement devant son visage angélique, il semble serein, calme. Je perçois sur la table de nuit son portable. Pourvu qu’il soit allumé, j’aimerai bien savoir l’heure qu’il est ! Sa montre, parfait ! Oh merde, j’en étais sûr ! 5h du matin ! Pourquoi c’est toujours pareil, pourquoi toujours des dilemmes ? J’essaye sans le réveiller de me lever. J’entends un grognement sourd venant de sa part qui me fait sourire. Je prends sa chemise qui traîne par terre pour me la mettre dessus. J’adore l’odeur qu’elle dégage. J’essaye de ne pas faire de bruit.
Voilà, je m‘enferme dans la salle de bain. Bon, maintenant cocotte va falloir prendre une décision. Je regarde le visage que me renvoi le miroir et je suis stupéfaite. Malgré le peu de sommeil, mon visage est serein, reposé… un des bienfaits d’être avec lui, peut-être ? Mais il me renvoi l’image aussi que je ne veux pas être. Tenant d’une main la chemise fermée, je n’arrive pas à me voir, ce n’est pas moi dans ce miroir. Je ne suis pas cette femme, celle sui succombe dès la première nuit à un homme, celle qui s’abandonne avec lui à la moindre occasion, celle qui gobe tout ce qu’on lui dit… tout est si confus. Je me sens bien avec lui mais en même temps su je reste que va-t-il se passer, que vais-je devenir ? Je ne suis pas de ces femmes potiches que l’on exhibe sur des tapis rouges, à s’occuper de la maison en attendant le retour de l’homme de la maison… non je me suis trop battue pour avoir le métier de mes rêves, il me tend les bras, tout n’est plus qu’une question de jours ! Oh ! Mon dieu, pourquoi est-ce aussi compliqué ? Pourquoi ma vie est en France, la sienne ici ? Je ne peux pas renoncer à tout ce pourquoi j’ai sacrifié tant ! C’est trop dur ! Des larmes commencent à couler sur mes joues alors que je me rends compte de la décision que me dicte ma raison. Celle-ci est en totale contradiction avec mon cœur… mais je sais très bien que dans les deux cas, j’aurai un manque. Seulement je ne peux pas mettre ma vie en l’air pour une amourette qui ne durera peut-être pas plus que quelques jours ! Je prends le bloc note que j’avais pris au passage sur la table. Me voilà dans sa position. Je comprends pourquoi, ses mots étaient si confus… il n'y a pas plus compliqué que de se défiler ainsi, avec une lettre… je ne suis pas comme ceci… mais mon avion décolle à 7h, je dois quitter l’hôtel à 5h45 derniers carats, pour l’avoir, soit dans 15min. je griffonne ce qui me passe par la tête, ce qui me semble honnête à cet instant mais qui me sembleront pathétique dans quelques heures ! Je quitte sa chemise pour enfiler ma robe.
Je dépose les yeux remplis de larmes de petit bout de papier entre sa montre et son portable. Je me sens si pitoyable. Lui est si serein, si heureux… je m’en veux tellement, si je lui fais du mal… mais c’est mieux ainsi ! Je sors sans bruit sa chambre en prenant soin de faire au mieux pour ne pas le réveiller. Mon cœur chavire au moment ou je m’apprête à prendre l’ascenseur. Je me sens si coupable. Voilà, les portes se referment définitivement sur ce qui est à présent le plus beau souvenir de ma vie, le plus intense, le plus romantique mais juste un souvenir !


vous me faites mal!!

Ah non pourquoi tu fais sa????
Elle peut pas partir et sa ne peux aps rester qu'un souvenir c'est IMPOSSIBLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Une suite stp car elle c'etait geniale!!!!!!!!!!!!

Pourquoi tu leur fait çà ?

Il faut qu'elle revienne, il faut qu'il se réveille ! Allez coco ! Au boulot !

nestella a écrit:Ah non pourquoi tu fais sa????
Elle peut pas partir et sa ne peux aps rester qu'un souvenir c'est IMPOSSIBLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Une suite stp car elle c'etait geniale!!!!!!!!!!!!

je suis d 'accord , sa peux pas rester un souvenir , un beau reve !!!

tu peux pas faire sa !!!!!!!!!

j ' adore grave

met vite la suite !!!!!!!

NAAAAAAAANNNNNN !! elle peut pas partir, on peut en discuter, quand même !!!ils ont même pas parlé de ça, faut qu'elle revienne, et puis elle va rater l'avion, s'est obligé ! obligé !
allez vite la suite

nath a écrit:NAAAAAAAANNNNNN !! elle peut pas partir, on peut en discuter, quand même !!!ils ont même pas parlé de ça, faut qu'elle revienne, et puis elle va rater l'avion, s'est obligé ! obligé !
allez vite la suite

pareil pour moi

Alooors moi je diiiiiis je suis deg jai envie de tuer et tout et tout
mais je trouve que cest une bonne chose comme sa ol va galère pour la revoire elle va etre comme une dingounette et ils vont se sauter dans les bras ca va etre chouXX et te connaissant chaud


la suiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

et le chapitre 10 ????? il est où le chapitre 10 ???????
bon ok m'en va faire un ptit tour ...
mais hein !!

Pas de suites ???

désolé pas aujurd'huie j'ai eut un boulot monstre