rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)

miss_sa_69 a écrit:PUTIN DE MERDE CEST WHOUAAAAOUUU CEST CHAUD PASSIONER MAGNIFIQUE LOOK TU ME FAIS ECRIRE EN MAJUSCULE SOUS LE CHOQUE!!!!!! a sallais je vais aller prendre une douche pour reprendre mes esprits!!!!!!!!


vivement la suiiiiiiiiiteeeeeeeee

moi je vais reprendre une douche je crois!!!
Mmmmmmmmmm bestial tu dis?? quel homme j'en reveux

bon je crois que c'est clair, t'es la reine des scènes !

Oui hein pourquoi ?? Pourquoi tu t'arretes déjà ??
C'est tellement bien écrit que j'en lirai encore des pages et de pages

Went, quel goujat, un petit coup et il s'en va C'est bien un mec !!!!
J'éspere que c'est lui qui rattrape Anna dans l'ascenseur !!!

La suite !!!!

NOOOOOOOOOOOOOOOON PLEASE PLEASE T'ARRETE PAS MAINTENANT PLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIZ si j'était Anna il serait déjà passé par la fenetre, je danserais pas avec lui, c'est vrai quoi c'est pas sa pute,il aurait du laissé un numero,un mail,un quelque chose,pas seulement un mot pour dire qu'il a prit son pied!!!!!!! AFFECTUEUSEMENT DE MES FESSES OUAIS!!! !! il a interet a avoir une belle excuse

Amaria a écrit:NOOOOOOOOOOOOOOOON PLEASE PLEASE T'ARRETE PAS MAINTENANT PLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIZ si j'était Anna il serait déjà passé par la fenetre, je danserais pas avec lui, c'est vrai quoi c'est pas sa pute,il aurait du laissé un numero,un mail,un quelque chose,pas seulement un mot pour dire qu'il a prit son pied!!!!!!! AFFECTUEUSEMENT DE MES FESSES OUAIS!!! !! il a interet a avoir une belle excuse

tu me fait rire amaria , !!!

mais je suis d ' accord !!! que c ' est un gougat de pas avoir laisser de numero !!!

j ' imagine la tete d ' anna quand elle a decouvert qu ' elle dansait avec le pere de went !!! et went qui arrive la bouche en coeur !!!

c ' est went qui a bloquer l ' ascenseur !!!!!! dit !!!!!

je t ' en redemande encore , met la en urgence , je veux savoir !!!!!!!!

Félicitation, je n'attend qu'une chose.....

UNE SUITE, VITE !!!!!!

ET SACHE QUE J'ADORE TE LIRE

Vite la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

AAAAAAAARRRRGGGGHHHH ! mais pourquoi tu t'arrêtes ??? continu ! vite ! (je suis grave accro )

Ne t'arrètes pas en si bon chemin je t'en prie met nous la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

oh la la je vous sent bien impatiente

chap 5 :

Il rouvre la porte brutalement. Je suis comme terrifié par l’homme qui est en face de moi. Il semble excédé, irrité… j’ai un peu heurter son côté macho, désolé. Non mais pour qui il se prend. Il rentre dans l’ascenseur. Il me fait face. En une fraction de seconde, au moment ou il pose ses yeux sur mon visage, je le vois déconfit. Du moins, j’en ai la vague impression car je ne vois pas grand chose entre mes larmes. Je me sens si bête à cet instant, et pourquoi après tout ! Tu n’as rien à te reprocher, tu ne l’as pas laissé en plan. Alors que lui avec son air bravache, il devrait être un peu plus courtois, un peu moins sûr de lui, un peu moins sexy en fait. Il appui sur un bouton, je ne sais lequel. Comme si cela m’intéressai ! Tout ce que je demande à ce foutu ascenseur c’est de m’emmener au 15e étage. Après… lui peut bien aller où bon lui semble. Il s’approche de moi. Je baisse la tête. Je ne sais pas vraiment pourquoi. Peut-être simplement n’ai-je pas envie de soutenir son regard. Je me sens si faible en sa présence. Son odeur m’envoûte, elle me rappelle cette nuit, non il ne faut pas…

W (essayant de l’atteindre) : c’est indécent de porter une robe pareille !
A : soupirs.
W (sérieux) : faut que l’on parle !
A : je n’ai rien à te dire !
W : moi si… regarde-moi au moins !
A : je n’ai pas envie de t’écouter non plus !
W (planquant ses mains sur le mur derrière moi) : dit moi juste que ce n’est pas moi qui te fait pleurer, s’il te plaît ?
A : non ne t’inquiète pas. Tu te prends pour qui, tu crois que le monde tourne autour de toi !
W (agacé) : mais merde, pourquoi tu ne m’as pas appelé ?
A : non mais t’es un bel enfoiré ! J’hallucine, monsieur se barre avec un «affectueusement » et tu… tu es pitoyable, tu rejettes la faute sur moi… et petite info, je ne suis pas télépathe… si tu ne me donnes pas ton numéro, je ne vais pas le chier !
W (dépité) : je…je croyais te l’avoir noté. J’étais un peu en vrac, mon avion décollé à 6h du mat. Je sais ce n’est pas une excuse mais…
A (atterée) : tu … penses que je t’ai évité.
W : je pensais vraiment avoir marqué mon téléphone. Je t’en supplie crois-moi !
A (tenace) : ça n’efface pas ce que tu as marqué où tu étais trop fatigué pour réfléchir ?
W : je n’avais pas envie de partir. Je me suis mal exprimé, mais… soupirant et levant les yeux au ciel. « Affectueusement » tu as raison c’est lamentable.

Il s’approche de moi dangereusement. Je me plaque de tout mon être contre la paroi froide de l’ascenseur. Nos corps se frôlent. Ses mains m’attrapent la taille pour m’attirer contre lui. Je le sens si désemparé, si puissant. Mes larmes redoublent devant la sensation que me procure le fait d’être si près de lui. J’ai envie de rompre le charme de cet instant, il le faut, je commence à me dégager mais il me retient. Nos regards se confrontent comme jamais. Je ne veux pas lui céder et lui non plus. Il me retient dans ses bras. Cela a la conséquence de me mettre hors de moi. Mes mains commencent à lui taper le torse, comme pour l’éloigner de moi. Je le frappe de toutes mes forces. J’ai besoin de lui faire mal comme lui m’en a fait. Mes larmes ruissellent tel des torrents. Je ne maîtrise plus rien. Je sens juste qu’il ne desserre pas sa pression. Je reste dans ses bras, vociférant tous les sentiments qui me passent dans la tête. Il attrape mes mains. Elles se retrouvent emprisonner dans la sienne, toujours contre lui. Il semble si calme mais si torturé. Je sens que les sentiments se chamboulent pour lui aussi. Il est beaucoup moins stable que tout à l’heure, beaucoup moins sûr de lui. Son regard me transperce littéralement. C’est comme s’il essayai de sonder mon esprit, mon cœur. Le problème c’est qu’il n’y verra que lui, que ce que je ressens pour lui. Son visage s’approche de manière critique du mien. Je sens ses lèvres chaudes se déposer sur les miennes. C’est comme si enfin j’avais de l’oxygène, comme si enfin on sang circulait de ne nouveau. Ses mains attrapent mon visage pour l’englober. Je me sens comme insignifiante dans ses bras. Mes mains se déplacent lentement de son torse vers son dos. J’ai besoin de le sentir près de moi, j’ai besoin de croire en ce qu’il m’a dit. Il est si doux, si harmonieux. Je me sens si faible de lui succomber aussi facilement mais je le laisse faire. Je n’ai pas envie de lutter, je suis fatigué de me battre. Il met fin avec délicatesse à ce baiser. Posant son front contre le mien. Je discerne ses yeux rougis, une larme venant perlées sur sa joue. Je vais pour l’essuyer avec mes doigts quand il attrape ma main au vol, pour y déposer de doux et sensuels baisers.

W : excuses-moi…
A (étonné) : hein !
W (plongeant son regard dans le mien) : pour le mot, excuses-moi !
A : j’ai crut que c’était…
W (mettant son index sur ma bouche) : chut, ne dis pas de bêtises. Tu me rends cinglé. Si… tu m’aurais appelé ?
A (taquine) : tu ne le sauras jamais… certainement.
W : j’aurai tellement aimé. Je m’en veux. J’ai été stupide !
A : non… le destin a réparé tes erreurs.
W : j’ai crut devenir dingue quand je voyais tous ces hommes autour de toi !
A : je… je pense que je dois être flatté que le grand Wentwoth Miller réagisse ainsi !
W : chutt… ici il n’y a qu’un pauvre mec même pas capable de donner son numéro à la fille…

Je lui prends instinctivement les lèvres. Je n’ai pas vraiment envie de connaître, d’entendre la fin de sa phrase. J’ai trop peur de ce qu’il peut me dire. Je le sens vaciller sous ma pulsion. Il me serre au plus près de lui, laissant nonchalamment balader ses mains dans mon dos. Le contact de sa paume contre ma peau me fait frissonner immédiatement. Je sens son sourire se dessiner sur son visage. C’est comme si j’étais en plein rêve. Nos bouches ne peuvent se désolidariser. Nos baisers sont de plus en plus passionnés, enflammés… j’ai l’impression que tout tourne autour de moi. Il m’embarque à chaque instant. Mes mains s’immiscent sous sa chemise. Il ne peut retenir un doux grognement au contact de ma main sur sa peau. Nos caresses sont de plus en prononcés. Sa main se balade dans mes cheveux faisant tomber négligemment mes mèches de mon chignon. Il se fait de plus en plus espiègle en faisant circuler ses doigts sous la bordure de mon dos nus. Cela me rend complètement dingue. Je sens qu’il ose à peine mais il le fait, il en a besoin tout autant que moi. Je sais que je ne devrais pas, que tout ceci n’ira pas plus loin, mais je ne peux m’empêcher de succomber, de lui succomber. C’est comme si on ne faisait plus qu’un, que nos deux corps s’appelaient sans cesse. Je le sens tituber. C’est l’ascenseur qui s’arrête. Je regarde machinalement le numéro de l’étage : n°12. ce n’est pas le mien. Il me regarde profondément. On sait pertinemment tous les deux, que tout peut s’arrêter là mais aussi que tout peut continuer. Le plus dangereux réside dans le fait que l’on sait exactement que si l’on poursuit, on sera de nouveau sur ce nuage. On sera bien, ensemble. Il fait un pas en arrière, pour sortir de cette boîte. Sa main entourant toujours la mienne. Il m’invite implicitement à le suivre. Il veut que cela vienne de moi, il semble comme écartelé par ses sentiments. Je sais que je ne devrais pas mais sans réfléchir, pour une fois, je fais un pas moi aussi, pour le rejoindre.

haï vous me faites mal les filles!!

Toujours aussi bien ...

superbe !!!!!!! je savais que sa pouvais etre que lui !!!!!!!

pourquoi tu coupe au mauvais moment encore !!!!!!!!

met la suite !!!!!!

je veux savoir ce qui va se passer ensuite

vite la suite !!!!!!!!

AHHHHHHHHHHH NONNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

T'ARRETE PAS LA !!!!!!!!!!!!!

JE SUIS TROP EXCITEE !!!!!!!!!!!

OH SECOURS !! ENNEADE, TU PEUX PAS ME FAIRE CA

Superbe suite!!!!!!
Mais arrète de nous mettre au supplice comme sa c'est infernal!!!!!!
Vivement la prochaine suite!!!!!!

SPECE DE SADIQUE !
allez continue j'en veux encore, et encore !!
ET PLUS VITE QUE CA !

je veux connaître la suite stp
vite mets la suite

Mais que va til se passer dans la chambre d Went alalalalalalalalala que tu es méchant de tarété la enneade damour




LA SUITE

méchante moi

Chap 6:

J’essaie tant bien que mal de rester de glace devant le sourire qu’il m’affiche mais en vain Il est ravageur, si radieux. Ses petites fossettes se creusent légèrement. Je suis en train de faire une bêtise je le sens. Toujours main dans la main, il m’attire à lui. Je me retrouve propulsé dans le couloir, sans ses bras. Ils sont si pressants que j’aimerai que cet instant dure indéfiniment. Il me berce presque dans ses bras. Il me soulève du sol. A cet instant, je me rends compte que j’ai super mal au pieds. Je suis pathétique. L’homme le plus sexy de la planète me hisse dans ses bras et moi je me rends compte que j’ai les panards en feu. Je le regarde morte de rire. Je vois son regard interrogateur me scruter. Son visage s’enfouit dans mon cou. Son souffle chaud me tétanise la peau. Je sens ses lèvres se déposer délicatement contre ma tempe.

W (murmurant) : je peux savoir ce qui te fait autant rire ?
A : tu ne vas pas aimer !
W : dis toujours !
A (ennuyée) : si tu me reposes par terre mes pieds vont exploser !
W (hilare) : ah ! Je vois.

Je le sens passer un bras sous mes fesses. Sans m’en rendre compte je me retrouve assise dans ses bras. Je passe toute guillerette mais bras autour de son coup, pour le soulager un peu de mon poids. Ma tête se pose automatiquement sur son épaule. Je suis si sereine. A cet instant j’ai l’impression qu’il en a toujours été ainsi, que ma vie sera toujours ainsi. Mes pieds ballottants dans le vide se trouvent quasi instantanément pris au piège de son autre main. Je sens ses doigts se faufiler sur ma cheville. Cette sensation est si douce, je m’abandonne dans ses bras. Ces doigts s’attardent sur la lanière d’une de mes chaussures. Je souris malgré moi. Je tourne légèrement ma tête pour mieux voir son visage. Il est réjoui de me voir surprise.

W : ça ira mieux, ainsi !
A : merci.

Il me repose délicatement au sol, tenant mes escarpins à la main. Je le trouve si touchant. C’est comme si tout avait toujours été ainsi. Je m’avance timidement vers lui. Son sourire est de plus en plus grand. Mon corps lui fait face. Je me hisse sur la pointe des pieds pour pouvoir atteindre ses lèvres. Je ne comprends pas son sourire narquois. Mes yeux se font de plus en plus ronds.

A : quoi ?
W (taquin) : il me semblait bien que tu étais plus petite !
A (vexée) : non mais… tout d’abord c’est toi qui es trop grand !
W (plongeant son regard dans le mien) : je t’ai déjà dis que j’adore te voir en colère ?
A (penaude) : non

Il se penche légèrement pour combler les derniers centimètres qui séparent nos bouches. Ses lèvres se font douces, sensuelles. Le tourbillon reprends de plus belle. On avance au coup à coup. Tout est chambouler. Mes mains sur son torse font des vas et viens incessants vers son dos, comme pour mieux l’explorer. Passant nonchalamment sous sa chemise, comme pour enfin sentir la chaleur de sa peau. Une de ses mains englobe ma nuque, elle sert aussi à me diriger dans ce couloir qui me semble interminable. Je le sens sûr de lui, si énergique que sa fougue me surprend parfois. On reprend à peine nos souffles. Nos baisers se font de plus en plus ardents. C’est comme si on respirait enfin, c’est comme si on était enfin vivant. Au fur et à mesure, on se laisse de plus en plus aller, comme si on avait oublier où l’on était. Quelqu’un pourrait bien nous voir que je ne crois pas que l’on s’en rendrait compte et surtout je ne suis pas sûr que cela nous dérangerai. Nos sourires sont de plus en plus franc, de plus en plus constants. Il est complètement voûté sur moi, comme s’il m’englobait, me protéger du monde extérieur avec son corps. Alors que je suis tendue à l’extrême pour rejoindre son visage. Nos bouches n’arrivent pas à se séparer, elles se rejoignent sans cessent. Nos langues se cherchent, se perdent pour mieux se retrouver. Chaque éloignement de nos lèvres nous fait soupirer de tristesse. On a presque peur que cela s’arrête alors que l’on sait très bien que ce ne soit pas le cas. Il me plaque délicatement mais avec assurance contre le mur. Je suppose que c’est la porte de sa chambre. Je le vois chercher dans les poches de sa veste pour trouver la carte magnétique. Il semble excédé de ne pas la trouver assez vite à son goût. Mais je me demande comment il pourrait la trouver plus vite étant donné qu’il couvre en même temps mon visage de doux baisers. Il l’insère dans le boîtier. Je sens mon cœur battre encore plus vite, comme s’il s’emballait.

A : Wentworth !
W : oui
A (toute rouge) : je ne suis pas ce genre de filles. Ce n’est pas dans mes habitudes !
W (posant son front contre le mien) : je le sais. Et ce ne sont pas les miennes non plus !
A (souriante) : pourtant tu te débrouilles pas mal ! !
W (dans un murmure) : on va dire que je suis grandement inspiré ! Tu viens ?

Pour seule et unique réponse, je lui vole à nouveau un baiser. Voler et un bien grand mot car au final je me retrouve de nouveau soulevée, dans ses bras. La porte se refermant dans un claquement sourd.

SaDIQUE t'arrêtes pas là
une suite stp

NON je peux pas croire que tu nous laisse comme sa!!!!
Ils sont tellement beau mets nous vite vite vote vite vite une suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Haaaaaaaaaaaa jeune sadique,tu veux ma mort

nonnnnnnnnn !!!!!!!!!! mais !!!!!!! tu va pas nous laisser comme ca !!!!!!!! dit !!!!!!

tu est vilaine !!!!

met vite la suite !!!!!!!! petite sadique !!!!

met la tres vite !!!!!!! please !!!!!!!!

LA SUITE ! vite ! stp stp stp.....
C'est trop frustant !

alors attentions yeux chastes s'abstenir BIS


chap 7 :

Nos souffles se confondent, ne font plus qu’un. L’intensité de ce moment est tel que je n’arrive presque plus à respirer. Me retrouver ici, dans ses bras, dans sa chambre… mes mains passent sous sa veste, pour mieux la faire tomber. Son sourire me submerge totalement. A chaque fois c’est comme si le monde s’arrêtai. Je ferai tout pour le voir toujours sourire ainsi. Ses doigts se faufilent insidieusement sous les bretelles fines de ma robe. Je sens qu’il joue avec, qu’il veut les enlever… mais il a aussi envie de me mettre au supplice. Nos pas sont de plus en plus brouillon. Sans faire exprès il se retrouve assis sur le rebord du lit. J’éclate de rire devant sa mine déconfite, par la surprise.

A (hilare) : vous n’irez pas plus loin jeune homme !
W : vous croyez jeune fille ?

Mes lèvres se retrouvent d nouveau soudés aux siennes. Mes mains commencent à jouer avec les boutons de sa chemise. Son sourire illuminant son visage. Je le vois indécis devant la situation. Moi assise par terre face à lui, en train de lui ouvrir nonchalamment sa chemise, bouton par bouton… il se laisse totalement allé sous les baisers que je lui dépose dans sa nuque et sur chaque parcelle de son corps que je découvre peu à peu, sans précipitation. Je suis amusé de l’entendre soupirer, de laisser quelques marmonnements rauques émaner de lui. Je le sens près à exploser, près à sortir de ses gonds… une animalité l’habite… une fois sa chemise ouverte j’engouffre mes mains autour de sa taille pour mieux me serrer de nouveau contre lui. Je me sens si faible, si désarmé dans ses bras. Son regard se fait de plus en plus coquin. Il me lève, là devant lui… je lui fais face, tel un trophée… ses doigts passant avec nonchalance sous les bretelles de ma robe, pour les faire glisser le long de mes bras… en quelques seconde, un amas de tissus se retrouve à mes pieds. Je me sens presque penaude, nue devant lui. Mais en même temps le regard qu’il me porte me fait pousser des ailes, il est si doux, si profond…ses mains viennent se poser à la lisière de ma peau et de mon string… je ne me suis jamais sentie aussi femme qu’à cet instant. Il m’attire à lui. Je m’assois face à lui avec la ferme intention de lui ôter son pantalon mais il me presse de toutes ses forces contre lui. C’est comme si notre vie en dépendait, il faut que l’on soit ensemble. Nos baisers reprennent avec une intensité encore peu égaler. J’essaye de me concentrer sur les boutons de son pantalon mais c’est peine perdu… je contrôle de moins en moins mon corps, c’est comme si mon cerveau était complètement déconnecté. Ses mains se font de plus en plus appuyées, de plus en plus opiniâtres.

W : on n’a du mal à se concentrer ?
A (ayant de plus en plus de mal à comprendre l'anglais) : quoi ?
W : je vois que l’on a beaucoup de mal à se concentrer !
A : euh… oui.
W : laisse toi aller !
A : oui.. tu as…
W : chut… il y a …
A : Wentworth !

Il m’a retourné en moins de temps qu’il ne faille pour le dire. Allongée sous lui, je me sens défaillir. Ses mains enlève le dernier rempart qui me protégeait. Ses yeux ne quittent plus les miens. C’est comme un trait d’union entre nous. Tout est si simple, si naturel… je le vois batailler d’une main pour virer son pantalon alors que son autre main ne cesse de parcourir mon corps. Légèrement sur le côté j’en profite pour me serrer contre lui, alors que ses doigts vont de plus en plus bas. Je me sens propulser dans un autre monde sous l’animation de ses doigts effilés. Je sens mon corps ondulé au rythme qu’il donne. Je me tapis contre lui, le long de son corps comme pour parfaire ce moment. La chaleur de son corps me fait vibrer. Je mordille ma lèvre comme pour essayer de me dominer. Il passe son bras sous mon corps, pressant solidement sa main contre ma hanche, comme pour mieux me ramener à lui. Je disparais sous ses assauts de son amour. Son visage est radieux, souriant…ses yeux mon dieu, je ne vois plus qu’eux, je suis hypnotisé par ce bleu azur. Au fur et à mesure de ma litanie il se fait de plus en plus ardent. Je me sens comme une poupée de chiffon entre ses bras, mon corps ne me réponds plus. Sans m’en rendre compte, mon corps s'enroule de plus en plus autour de lui, son prénom sort de ma bouche sans que j’y prête attention. Il est appliqué, il arbore un sourire si simple et fier à la fois. Je me sens partir, je sens une chaleur émaner de creux de mes reins, remonter la colonne vertébrale. Je n’ai pas envie de succomber ainsi, pas aussi vite, pas sans lui. Il esquisse de petites sphères avec son pouce sur mon clitoris. Je n’entends même plus les mots qui sortent de ma bouche. Seule cette chaleur est présente.
Je reprends doucement mes esprits sous son regard interdit et rieur. Il parcourt mon dos de ses mains. Je ne suis pas rendue compte qu’il attirait presque sur lui. Ces deux mains libres dessinant le sillon de ma colonne. Son sourire est si enfantin. Je succombe sous son charme. Je le vois et je n’ai qu’une envie, saisir ses lèvres. Allongée sur son corps, je m’applique à lui retirer doucement et sensuellement son boxer. Nos corps nus se retrouvent enfin. Je me sens si vivante, si entreprenante que cela me surprend presque. Je me mets à onduler langoureusement sur lui, déposant mes lèvres sur les siennes, dans sa nuque. Je le sens être au bord du précipice. Nos corps brûlent du même désir. Sous son impulsion, je me retrouve sous son corps puissant. C’est comme un moment d’euphorie. Je sens que nos deux cerveaux sont comme déconnectés, on a de plus en plus de mal à être cohérents, à être homogènes. Nos vas et viens se font comme au ralenti, comme si on avait toute la vie devant nous, comme le temps était en suspension. J’ai besoin de sentir, la chaleur de son corps sur le mien, ses mains sur ma peau ne cessent leur danse. Tout ce fait dans une telle douceur, comme si rien ne pouvait troubler ce moment divin. Je n’arrive plus à bouger, je suis méduser par l’effet qu’il peut me procurer. Il ne cesse de me dévorer de baisers, ma bouche, mes joues, ma nuque, tout comme moi. J’enlace mes jambes autour de sa taille pour que notre union, soit la plus infini possible. Je cambre mes hanches au maximum, ses mouvements se font de plus en plus soutenus, ardents, puissants voir brusques. J’essaie de soutenir son rythme. Mes doigts s’échouent dans la chair de son dos, comme pour mieux lui signifier ma renonciation totale. Il tombe lui aussi, nos deux corps parfaitement l'un avec l'autre, en osmose. On se laisse envahir simultanément par le plaisir que l’on se procure.

alors contentes les filles