NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Voilà...je vous la poste enfin !
C'est vrai que çà fait un moment que j'étais pas venue, mais j'ai été débordée la semaine dernière et vu le peu de coms après chaque suite...c'est vrai que çà incite pas beaucoup à poster !
Mais je sais qu'il y a quand même quelques fidèles (du moins des fidèles qui laissent des coms ) donc c'est pour ceux là que je poste surtout...parce que les autres, vu que vous ne laissez pas de com, on ne sait pas ce que vs en pensez, si vraiment c'est suivi...dc c'est pas facile pour l'auteur
Voilà...
Le lendemain, c’est la chaleur étouffante des rayons du soleil à travers les persiennes qui me réveillent. Tout est calme autour de moi, et personne à mes cotés, la place est déjà désertée. Je suis un peu déçue mais je me demande bien quelle heure il peut-être. Aucun radio réveil dans cette magnifique chambre que je détaille du regard.
Went dit souvent qu’il n’a pas de goût et qu’il fait çà au feeling, mais moi je trouve que çà lui réussis plutôt bien et puis je ne le vois pas faire appel à un architecte d’intérieur, c’est beaucoup trop impersonnel.
Les murs sont tout blancs/crème, immaculés et donnent une impression de pureté qui tranche énormément avec le bois des meubles d’inspiration indienne. La tête de lit qui me surmonte est impressionnante et l’armoire dressing en face ne l’est pas moins. Aux quatre coins de la chambre, des tapis, des coussins, un paravent sculpté et des poufs aux couleurs orientales parachèvent l’ambiance feutrée et épicée de cette chambre digne des milles et une nuits.
Je m’étire doucement, dans le souvenir heureux de notre nuit passée. Je me lève à pas de chat et entrouvre la porte. Le couloir est immense, mais j’entends déjà au loin, les éclats de rires d’Andréas.
Je retournes à la chambre et farfouille dans les placards, à la recherche d’un tee-shirt ou d’une chemise pour me couvrir. C’est chose faite et je les rejoins au salon.
Je ne peux m’empêcher de les regarder de loin. Went tape dans ses mains à quelques centimètres d’Andréas, pour l’inciter à marcher et le rejoindre. Il rit aux éclats et Went se précipite dans son cou pour pouffer. Ils sont tellement mignons ainsi tous les deux, j’ai presque du mal à ne pas faire durer cette scène encore et encore...
Je m’avance doucement et Went me remarque, il se relève et prend Andréas dans ses bras en venant à ma rencontre.
W : bonjour maman !
Il me tend Andréas qui s’accroche à mon cou, visiblement heureux de me retrouver. Went m’embrasse dans le cou et j’ai l’impression que la terre vient de s’arrêter de tourner, que le sol se dérobe sous mes pieds. Entre nous, c’est presque chimique, tant nos peaux ont de réactions au contact de l’autre. Je reprends doucement mes esprits et lui sourie.
S : alors ? Pas trop déçu que nous soyons venus perturber ton intimité ?
W : j’espère que tu rigoles ? J’ai l’air malheureux peut-être ?
Je pouffe et lui tire la langue. Je chatouille Andréas qui gazouille dans mes bras mais il commence à être lourd mon petit bout ! Je le repose alors dans le parc que Went a installé et le rejoins quelques mètres plus loin à la cuisine. Il est en train de me servir une énorme tasse de café.
W : tu as dormi comme un bébé, c’est rassurant.
S : tu t’inquiètes encore ?
W : je ne fais que suivre le conseil du médecin Sonia ! Il m’a dit six mois, six mois pour être sur que tes capacités te sont à nouveaux définitivement acquises ! Tu as fait un coma profond et sur une longue période, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit tu comprends ?
S : je sais...excuses-moi, mais être loin de toi tout ce temps m’aurait été insupportable tu comprends aussi ?
Il me prend dans ses bras et son odeur m’enveloppe, sa douceur m’apaise. Je ne voudrais pas que l’instant s’achève.
W : ici, tu vas passer tes journées, seule, à m’attendre et c’est çà qui m’inquiète ! Je veux que tu fasses attention !
S : je te le promets, je ne ferais pas de bêtises et dans quelques semaines tu seras rassuré non ?
W : promis ?
S : juré !
W : craché ?
Andréas nous interrompt en appelant et bredouillant quelques mots dans notre direction.
- pa...pa...pa...pa...
Nous nous regardons éberlués et nous réalisons heureux qu’il s’adresse à Went pour la première fois de cette manière. J’ai presque envie de pleurer tellement je suis émue. Çà y est, çà vient tout seul ! Je suis une vraie fontaine par moment ! Stupide non ? Certainement !
Il me prend la main, la serre, et nous avançons vers ce petit bout d’homme qui nous sourie de toute son innocence. Nous lui sourions et l’encourageons à prononcer encore ces quelques syllabes. Je relève la tête et aperçois alors d’énormes cartons qui s’entassent dans l’entrée. Je me retourne et interroge Went.
S : c’est quoi tout çà ?
W : ah ! Tu devrais le savoir mieux que moi ! Josh est passé ce matin pour emporter toutes les affaires que tu as commandé avec ma mère ! Vous êtes vraiment têtues toutes les deux, c’est bien ma veine !
S : pauvre petit cœur ! Avoue que tu aimes les femmes à fort caractère !
W : et même si, maintenant il faudra bien que je m’en accommode !
Oh ! Le goujat ! Je lui saute dessus et pince son bras, il a osé ! Il hurle sa fausse douleur et me fait basculer dans ses bras sur le canapé.
W : ah tu le prends comme çà ! Méchante femme !
Il me bombarde de chatouilles et jubile de m’entendre le supplier d’arrêter. Ma tenue légère commence à laisser apercevoir mon ventre et ma poitrine sous l’assaut de ses mains sadiques. Ses chatouilles finissent par se transformer en caresses et son trouble me gagne, nous n’allons quand même pas nous sauter dessus devant notre fils ! Pourtant, je me sens insatiable de câlins ce matin...
S : je crois que je vais aller prendre une douche, il fait chaud tout à coup !
Il me libère, souriant de notre facilité à déborder « sexuellement » de chaque situation.
W : en plus, si tu veux que nous fassions quelques boutiques, tu devrait t’activer, il est presque une heure de l’après midi !
S : quoi ? Mais, tu ne m’as pas réveillée ? !
W : tu as besoin de te reposer ! Et puis on avait rien à faire...je me suis occupé d’Andréas, ne t’inquiètes pas, il a mangé ! Et nous on grignotera un bout plus tard ?
S : je vois que tu as tout prévu ! Mais çà me va totalement !
Je file me doucher après avoir embrassé notre fils qui ne me quitte pas du regard. L’eau apaise la fièvre qui s’était emparée de mon corps et je sais que je vais devoir m’empresser de trouver une nounou pour Andréas car mon âme de femme au foyer a ses limites ! Il me faudra bien quelques moments d’intimité avec mon chéri car je ne suis pas du genre à me contenter des retrouvailles sous la couette, surtout avec lui qui me rend dingue ! Non mais j’hallucine d’oser penser à ce genre de choses ! Moi qui jurais vouloir élever notre fils sans l’aide de personne ! Première entorse aux bonnes résolutions ! Mais je compte aussi retrouver un travail, je veux me réaliser, briller pour mon homme et ma famille ! Je serais une bien meilleure épouse et mère ainsi, je le sais...et pourquoi pas donner une petite sœur à Andréas dans quelques temps ? Il va d’ailleurs sérieusement falloir que je pense à un moyen de contraception car çà va finir par arriver si nous ne faisons pas attention, il suffit d’une fois, je suis bien placée pour le savoir !
C'est vrai que çà fait un moment que j'étais pas venue, mais j'ai été débordée la semaine dernière et vu le peu de coms après chaque suite...c'est vrai que çà incite pas beaucoup à poster !
Mais je sais qu'il y a quand même quelques fidèles (du moins des fidèles qui laissent des coms ) donc c'est pour ceux là que je poste surtout...parce que les autres, vu que vous ne laissez pas de com, on ne sait pas ce que vs en pensez, si vraiment c'est suivi...dc c'est pas facile pour l'auteur
Voilà...
CHAPTER 54 Premières marques
Le lendemain, c’est la chaleur étouffante des rayons du soleil à travers les persiennes qui me réveillent. Tout est calme autour de moi, et personne à mes cotés, la place est déjà désertée. Je suis un peu déçue mais je me demande bien quelle heure il peut-être. Aucun radio réveil dans cette magnifique chambre que je détaille du regard.
Went dit souvent qu’il n’a pas de goût et qu’il fait çà au feeling, mais moi je trouve que çà lui réussis plutôt bien et puis je ne le vois pas faire appel à un architecte d’intérieur, c’est beaucoup trop impersonnel.
Les murs sont tout blancs/crème, immaculés et donnent une impression de pureté qui tranche énormément avec le bois des meubles d’inspiration indienne. La tête de lit qui me surmonte est impressionnante et l’armoire dressing en face ne l’est pas moins. Aux quatre coins de la chambre, des tapis, des coussins, un paravent sculpté et des poufs aux couleurs orientales parachèvent l’ambiance feutrée et épicée de cette chambre digne des milles et une nuits.
Je m’étire doucement, dans le souvenir heureux de notre nuit passée. Je me lève à pas de chat et entrouvre la porte. Le couloir est immense, mais j’entends déjà au loin, les éclats de rires d’Andréas.
Je retournes à la chambre et farfouille dans les placards, à la recherche d’un tee-shirt ou d’une chemise pour me couvrir. C’est chose faite et je les rejoins au salon.
Je ne peux m’empêcher de les regarder de loin. Went tape dans ses mains à quelques centimètres d’Andréas, pour l’inciter à marcher et le rejoindre. Il rit aux éclats et Went se précipite dans son cou pour pouffer. Ils sont tellement mignons ainsi tous les deux, j’ai presque du mal à ne pas faire durer cette scène encore et encore...
Je m’avance doucement et Went me remarque, il se relève et prend Andréas dans ses bras en venant à ma rencontre.
W : bonjour maman !
Il me tend Andréas qui s’accroche à mon cou, visiblement heureux de me retrouver. Went m’embrasse dans le cou et j’ai l’impression que la terre vient de s’arrêter de tourner, que le sol se dérobe sous mes pieds. Entre nous, c’est presque chimique, tant nos peaux ont de réactions au contact de l’autre. Je reprends doucement mes esprits et lui sourie.
S : alors ? Pas trop déçu que nous soyons venus perturber ton intimité ?
W : j’espère que tu rigoles ? J’ai l’air malheureux peut-être ?
Je pouffe et lui tire la langue. Je chatouille Andréas qui gazouille dans mes bras mais il commence à être lourd mon petit bout ! Je le repose alors dans le parc que Went a installé et le rejoins quelques mètres plus loin à la cuisine. Il est en train de me servir une énorme tasse de café.
W : tu as dormi comme un bébé, c’est rassurant.
S : tu t’inquiètes encore ?
W : je ne fais que suivre le conseil du médecin Sonia ! Il m’a dit six mois, six mois pour être sur que tes capacités te sont à nouveaux définitivement acquises ! Tu as fait un coma profond et sur une longue période, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit tu comprends ?
S : je sais...excuses-moi, mais être loin de toi tout ce temps m’aurait été insupportable tu comprends aussi ?
Il me prend dans ses bras et son odeur m’enveloppe, sa douceur m’apaise. Je ne voudrais pas que l’instant s’achève.
W : ici, tu vas passer tes journées, seule, à m’attendre et c’est çà qui m’inquiète ! Je veux que tu fasses attention !
S : je te le promets, je ne ferais pas de bêtises et dans quelques semaines tu seras rassuré non ?
W : promis ?
S : juré !
W : craché ?
Andréas nous interrompt en appelant et bredouillant quelques mots dans notre direction.
- pa...pa...pa...pa...
Nous nous regardons éberlués et nous réalisons heureux qu’il s’adresse à Went pour la première fois de cette manière. J’ai presque envie de pleurer tellement je suis émue. Çà y est, çà vient tout seul ! Je suis une vraie fontaine par moment ! Stupide non ? Certainement !
Il me prend la main, la serre, et nous avançons vers ce petit bout d’homme qui nous sourie de toute son innocence. Nous lui sourions et l’encourageons à prononcer encore ces quelques syllabes. Je relève la tête et aperçois alors d’énormes cartons qui s’entassent dans l’entrée. Je me retourne et interroge Went.
S : c’est quoi tout çà ?
W : ah ! Tu devrais le savoir mieux que moi ! Josh est passé ce matin pour emporter toutes les affaires que tu as commandé avec ma mère ! Vous êtes vraiment têtues toutes les deux, c’est bien ma veine !
S : pauvre petit cœur ! Avoue que tu aimes les femmes à fort caractère !
W : et même si, maintenant il faudra bien que je m’en accommode !
Oh ! Le goujat ! Je lui saute dessus et pince son bras, il a osé ! Il hurle sa fausse douleur et me fait basculer dans ses bras sur le canapé.
W : ah tu le prends comme çà ! Méchante femme !
Il me bombarde de chatouilles et jubile de m’entendre le supplier d’arrêter. Ma tenue légère commence à laisser apercevoir mon ventre et ma poitrine sous l’assaut de ses mains sadiques. Ses chatouilles finissent par se transformer en caresses et son trouble me gagne, nous n’allons quand même pas nous sauter dessus devant notre fils ! Pourtant, je me sens insatiable de câlins ce matin...
S : je crois que je vais aller prendre une douche, il fait chaud tout à coup !
Il me libère, souriant de notre facilité à déborder « sexuellement » de chaque situation.
W : en plus, si tu veux que nous fassions quelques boutiques, tu devrait t’activer, il est presque une heure de l’après midi !
S : quoi ? Mais, tu ne m’as pas réveillée ? !
W : tu as besoin de te reposer ! Et puis on avait rien à faire...je me suis occupé d’Andréas, ne t’inquiètes pas, il a mangé ! Et nous on grignotera un bout plus tard ?
S : je vois que tu as tout prévu ! Mais çà me va totalement !
Je file me doucher après avoir embrassé notre fils qui ne me quitte pas du regard. L’eau apaise la fièvre qui s’était emparée de mon corps et je sais que je vais devoir m’empresser de trouver une nounou pour Andréas car mon âme de femme au foyer a ses limites ! Il me faudra bien quelques moments d’intimité avec mon chéri car je ne suis pas du genre à me contenter des retrouvailles sous la couette, surtout avec lui qui me rend dingue ! Non mais j’hallucine d’oser penser à ce genre de choses ! Moi qui jurais vouloir élever notre fils sans l’aide de personne ! Première entorse aux bonnes résolutions ! Mais je compte aussi retrouver un travail, je veux me réaliser, briller pour mon homme et ma famille ! Je serais une bien meilleure épouse et mère ainsi, je le sais...et pourquoi pas donner une petite sœur à Andréas dans quelques temps ? Il va d’ailleurs sérieusement falloir que je pense à un moyen de contraception car çà va finir par arriver si nous ne faisons pas attention, il suffit d’une fois, je suis bien placée pour le savoir !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
J'ai rattrapé toute mes suites de retard ( et y'en avait pas mal ! ) et tu cartonnes toujours autant.
J'envie ta manière d'écrire, tout est fluide et passe sans accros et c'est un véritable plaisir de te lire et ce, pour chacune de tes fics et suites.
M'enfin bref, postes vite une autre suite stp
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
un petit frère ou une petite sœur ! j’en serais ravie !
j’ai adoré quand Andréas essaye de prononcer « papa » ! c’est adorable !
C’est sympa d’être repassée nous voir !
j’ai adoré quand Andréas essaye de prononcer « papa » ! c’est adorable !
C’est sympa d’être repassée nous voir !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Une suite !
Sonia pourrait peut-être être déjà enceinte si elle ne prend aucun moyen de contraception. Ce serait sûrement un peu tôt après ce qu'elle vient de traverser.
Ils ont l'air adorables tous les 2Je ne peux m’empêcher de les regarder de loin. Went tape dans ses mains à quelques centimètres d’Andréas, pour l’inciter à marcher et le rejoindre. Il rit aux éclats et Went se précipite dans son cou pour pouffer. Ils sont tellement mignons ainsi tous les deux, j’ai presque du mal à ne pas faire durer cette scène encore et encore...
On les sent si bien ensemble, si heureux de partager ces moments tous les 3 avec leur petit bout de chouJe m’avance doucement et Went me remarque, il se relève et prend Andréas dans ses bras en venant à ma rencontre.
W : bonjour maman !
Il me tend Andréas qui s’accroche à mon cou, visiblement heureux de me retrouver. Went m’embrasse dans le cou et j’ai l’impression que la terre vient de s’arrêter de tourner, que le sol se dérobe sous mes pieds. Entre nous, c’est presque chimique, tant nos peaux ont de réactions au contact de l’autre. Je reprends doucement mes esprits et lui souris.
L'inquiétude de Wentworth est logique. Il a trop souffert et se sentirait incapable de retraverser ce genre d'évènements. Il veut que Sonia fasse attention à elle, pour elle, pour lui et leur petit Andréas.W : je ne fais que suivre le conseil du médecin Sonia ! Il m’a dit six mois, six mois pour être sur que tes capacités te sont à nouveaux définitivement acquises ! Tu as fait un coma profond et sur une longue période, je ne voudrais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit tu comprends ?
S : je sais...excuse-moi, mais être loin de toi tout ce temps m’aurait été insupportable tu comprends aussi ?
Il me prend dans ses bras et son odeur m’enveloppe, sa douceur m’apaise. Je ne voudrais pas que l’instant s’achève.
W : ici, tu vas passer tes journées, seule, à m’attendre et c’est çà qui m’inquiète ! Je veux que tu fasses attention !
C'est tout simplement craquant cette scène. Went et Sonia sont émus en voyant leur petit homme grandirAndréas nous interrompt en appelant et bredouillant quelques mots dans notre direction.
- pa...pa...pa...pa...
Nous nous regardons éberlués et nous réalisons heureux qu’il s’adresse à Went pour la première fois de cette manière. J’ai presque envie de pleurer tellement je suis émue. Çà y est, çà vient tout seul ! Je suis une vraie fontaine par moment ! Stupide non ? Certainement !
Il me prend la main, la serre, et nous avançons vers ce petit bout d’homme qui nous sourit de toute son innocence. Nous lui sourions et l’encourageons à prononcer encore ces quelques syllabes.
On dirait que Sonia a honte du désir qu'elle a pour Wentworth, mais il n'y a rien de plus naturel et ce n'est pas parce qu'ils sont parents, qu'ils doivent mettre de côté leur vie de couple, au contraire.Il me faudra bien quelques moments d’intimité avec mon chéri car je ne suis pas du genre à me contenter des retrouvailles sous la couette, surtout avec lui qui me rend dingue ! Non mais j’hallucine d’oser penser à ce genre de choses ! Moi qui jurais vouloir élever notre fils sans l’aide de personne ! Première entorse aux bonnes résolutions ! Mais je compte aussi retrouver un travail, je veux me réaliser, briller pour mon homme et ma famille ! Je serais une bien meilleure épouse et mère ainsi, je le sais...et pourquoi pas donner une petite sœur à Andréas dans quelques temps ? Il va d’ailleurs sérieusement falloir que je pense à un moyen de contraception car çà va finir par arriver si nous ne faisons pas attention, il suffit d’une fois, je suis bien placée pour le savoir !
Sonia pourrait peut-être être déjà enceinte si elle ne prend aucun moyen de contraception. Ce serait sûrement un peu tôt après ce qu'elle vient de traverser.
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 27/05/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
haaaaaaaaaaa ma soso sa fait plaisir de lire la suite !!!
et oui toujours fidele au poste
ils sont trop mimi tous les 3 et andrea quiq appelle wenth c'est trop mignon!!!
ils sont toujours aussi insatiables ses deux la!!
continues je suis accro a ta fic surtout ne l'arrete pas sinon je vais deprimer et me venger sur le chocolat (avec des morceaux de noisette )
tu cartonnes je suis TA FAN !!!!
et oui toujours fidele au poste
ils sont trop mimi tous les 3 et andrea quiq appelle wenth c'est trop mignon!!!
ils sont toujours aussi insatiables ses deux la!!
continues je suis accro a ta fic surtout ne l'arrete pas sinon je vais deprimer et me venger sur le chocolat (avec des morceaux de noisette )
tu cartonnes je suis TA FAN !!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Toujours pas de suite ? C'est dommage
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
C'est vrai, comm ej el'ai dit sur l'autre fic je suis impardonnable de vosu avoir abandonné mais là çà commence à faire beaucoup...
Demain, je poste, promis...
Demain, je poste, promis...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Age : 45
Localisation : Paris
Date d'inscription : 11/06/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
La voilà...comme promis la voilà...désolée et contente que vous soyez en manque...çà prouve que vous attendez la suite !
Je vais essayer de venir plus souvent
Cela fait trois mois maintenant que nous sommes en Floride avec Went et Andréas. Si la cohabitation n’a pas été facile au début, tout est rentré dans l’ordre aujourd’hui.
C’est vrai que je suis une tête de mule et j’ai un peu voulu tout arranger à ma sauce quelques jours après mon arrivée. Went ne comprenait pas pourquoi je voulais aller si vite, mettre ma petite touche personnelle partout, laisser une empreinte en quelque sorte. Je me rend compte aujourd’hui comme j’ai du être envahissante pour lui ! Il rentrait tout les soirs épuisé par ces interminables journées de tournage et moi je changeais tout de place, mettant même au placard de vieilles reliques qui ne le quittaient jamais...
Pourtant, malgré mon difficile tempérament, il n’a jamais rien dit, me faisant simplement comprendre d’un haussement de sourcil quand je dépassais les bornes. C’est certainement pour çà que tout marche si bien entre nous, nos caractères et notre amour nous permettent de nous comprendre et font tampon.
Après avoir passé tous ces mois tout seul, il aurait pu se sentir étouffé et emprisonné entre une femme qui l’a maintes fois fait souffrir et un enfant fait dans son dos mais non, ou si tel a été le cas, il n’en a jamais rien fait paraître.
Je pense qu’il a compris que j’avais besoin de repères, de me sentir à l’aise avec son appartement, ses pièces dans lesquelles je passerais le plus clair de mes journées, ne sortant que pour promener Andréas dans le parc privé de la résidence. Je ne me sentais pas prisonnière mais j’étais comme un oiseau dans une cage dorée, je m’ennuyais, sans avoir l’honnêteté de me l’avouer, pauvre petite fille gâtée que j’étais !
Alors j’ai refait un peu la déco, quelque chose de plus chaleureux dans le salon, mis mes petites touches par ci par là, équipée notre cuisine pour pouvoir mijoter de bons petits plats et Went rentrait toujours conquis le soir. En contrepartie, je ne lui ai jamais fait aucune remarque sur ses absences, pour les tournages éloignés, les publicités, les interviews. Nous avons chacun nos besoins, nos obligations, mais ce qui compte, c’est que nous nous retrouvons toujours avec autant de plaisir.
Il comprenait que rien ne servait de me demander de rester tranquille ici car j’en faisait autant sinon plus que si j’avais eu le droit de travailler à l’extérieur.
Le kiné l’a vite rassuré sur mon état et j’ai enfin gagné le droit de reconduire, de travailler, de mener ma vie...
Nous sommes en juillet. Andréas gambade un peu partout depuis quelques temps et ses rires comme ses larmes emplissent un peu plus chaque jours le silence de cet appartement. Nous allons quelquefois à la maison du lac, mais Went est souvent bien trop fatigué pour tenter le voyage. Je sais que malgré tout ce qu’il me dit et me promets, Los Angeles lui manque...
Nous devons nous marier en Novembre, le 15 très exactement, ce qui coïncide avec l’exacte date de notre rencontre. C’est lui qui en a eu l’idée, voyant que je n’arrivais pas à me décider ! J’avais et ai toujours l’irrépressible envie d’être sa femme mais je n’arrivais pas à me décider sur une date plutôt qu’une autre, voyant toujours l’inconvénient de celle-ci ou d’une autre. Il a finalement réussi à me convaincre car c’est vrai qu’au-delà d’être symbolique, elle va nous permettre de tout préparer tranquillement pendant ses vacances d’été puis de nous marier à la pause hivernale. Roxane tient absolument à ce que nous faisions çà chez eux et je n’y vois pas d’inconvénients. C’est là-bas que nous nous sommes aimés la première fois, c’est là bas que nous avons vécu les plus formidables moments de notre histoire et je m’y sens si bien.
Went n’a rien contre non plus mais crains un peu que sa mère soit trop envahissante. Je lui promets que çà ne me fait rien et que je vais tout faire pour que cela se passe le mieux du monde.
La sonnette de l’interphone retentit brusquement et me sort de ma rêverie dans laquelle je dois être plongée depuis plusieurs heures.
S : oui ??
Sa : Sonia, c’est Sarah, excuses moi de passer à l’improviste mais j’ai une commission à faire pour Went !
S : vas-y monte, je t’attends !
En moins de trente secondes, elle se retrouve face à moi, un immense sourire aux lèvres et moi je me demande bien franchement ce qu’elle a de si urgent à faire pour Went...
S : comment çà va ?
On s’embrasse et passé les politesses d’usage, je vois son petit sourire complice faire surface.
Sa : c’est une surprise...je dois juste te prendre Andréas pour la soirée...je ne doit rien te dire de plus !
S : mais quoi ???? C’est quoi cette blague ? Went ne veut pas voir son fils ?
Sa : certainement que si mais il a prévu quelque chose pour vous ce soir et a besoin de le faire garder !
S : et il est obligé de te déranger pour çà ? On a une baby-sitter que je sache !
Sa : oui mais je crois qu’Estelle sera ravie de passer un peu de temps avec Andréas et puis moi çà ne me dérange pas du tout !
S : ok...je vais voir s’il est réveillé...
Je n’en crois pas mes oreilles, si même mes amies jouent les entremetteuses avec mon futur mari, je ne suis pas au bout de mes peines !
Andréas m’accueille avec un immense sourire, debout dans son petit lit à barreaux. Je le prends dans mes bras et rejoins Sarah dans le salon.
Sa : oh, mais je vois qu’il est toujours aussi chou ton fils ! Même au saut du lit !
S : il est aussi adorable que son papa ! Je te le laisse, je vais chercher quelques affaires...
Elle acquiesce et je m’éloigne. Je reviens cinq minutes plus tard avec un petit sac d’affaires.
S : voilà...j’espère que je n’ai rien oublié...
Sa : ce ne sera pas très grave, j’ai tout ce qu’il faut pour Estelle alors çà devrait aller...
Je lui souris mais je n’arrête pas de penser à Went, pourquoi ces manigances?
Sa : ne te fait pas de souci, il ne va pas tarder, Paul terminait sa réunion avec eux pour la prochaine campagne Fox à Los Angeles...tu devrais en profiter pour t’habiller !
Elle me fait un clin d’œil qui me prouve que ma soirée risque d’être magique. C’est juste assez de mystères pour que je sois excitée comme une puce. Il n’en faut pas plus pour attiser ma curiosité. J’essaye de tirer les vers du nez à Sarah mais sans succès et après deux cafés, elle m’abandonne, emportant avec elle la prunelle de mes yeux.
Ni une ni deux, je saute dans la douche et m’habille classe sans trop en faire tout de même car je n’aurais pas l’air ridicule s’il arrive avec des plats chinois et un film !
Une petite soirée romantique çà vous dit ???
Je vais essayer de venir plus souvent
CHAPITRE 55 Prison dorée
Cela fait trois mois maintenant que nous sommes en Floride avec Went et Andréas. Si la cohabitation n’a pas été facile au début, tout est rentré dans l’ordre aujourd’hui.
C’est vrai que je suis une tête de mule et j’ai un peu voulu tout arranger à ma sauce quelques jours après mon arrivée. Went ne comprenait pas pourquoi je voulais aller si vite, mettre ma petite touche personnelle partout, laisser une empreinte en quelque sorte. Je me rend compte aujourd’hui comme j’ai du être envahissante pour lui ! Il rentrait tout les soirs épuisé par ces interminables journées de tournage et moi je changeais tout de place, mettant même au placard de vieilles reliques qui ne le quittaient jamais...
Pourtant, malgré mon difficile tempérament, il n’a jamais rien dit, me faisant simplement comprendre d’un haussement de sourcil quand je dépassais les bornes. C’est certainement pour çà que tout marche si bien entre nous, nos caractères et notre amour nous permettent de nous comprendre et font tampon.
Après avoir passé tous ces mois tout seul, il aurait pu se sentir étouffé et emprisonné entre une femme qui l’a maintes fois fait souffrir et un enfant fait dans son dos mais non, ou si tel a été le cas, il n’en a jamais rien fait paraître.
Je pense qu’il a compris que j’avais besoin de repères, de me sentir à l’aise avec son appartement, ses pièces dans lesquelles je passerais le plus clair de mes journées, ne sortant que pour promener Andréas dans le parc privé de la résidence. Je ne me sentais pas prisonnière mais j’étais comme un oiseau dans une cage dorée, je m’ennuyais, sans avoir l’honnêteté de me l’avouer, pauvre petite fille gâtée que j’étais !
Alors j’ai refait un peu la déco, quelque chose de plus chaleureux dans le salon, mis mes petites touches par ci par là, équipée notre cuisine pour pouvoir mijoter de bons petits plats et Went rentrait toujours conquis le soir. En contrepartie, je ne lui ai jamais fait aucune remarque sur ses absences, pour les tournages éloignés, les publicités, les interviews. Nous avons chacun nos besoins, nos obligations, mais ce qui compte, c’est que nous nous retrouvons toujours avec autant de plaisir.
Il comprenait que rien ne servait de me demander de rester tranquille ici car j’en faisait autant sinon plus que si j’avais eu le droit de travailler à l’extérieur.
Le kiné l’a vite rassuré sur mon état et j’ai enfin gagné le droit de reconduire, de travailler, de mener ma vie...
Nous sommes en juillet. Andréas gambade un peu partout depuis quelques temps et ses rires comme ses larmes emplissent un peu plus chaque jours le silence de cet appartement. Nous allons quelquefois à la maison du lac, mais Went est souvent bien trop fatigué pour tenter le voyage. Je sais que malgré tout ce qu’il me dit et me promets, Los Angeles lui manque...
Nous devons nous marier en Novembre, le 15 très exactement, ce qui coïncide avec l’exacte date de notre rencontre. C’est lui qui en a eu l’idée, voyant que je n’arrivais pas à me décider ! J’avais et ai toujours l’irrépressible envie d’être sa femme mais je n’arrivais pas à me décider sur une date plutôt qu’une autre, voyant toujours l’inconvénient de celle-ci ou d’une autre. Il a finalement réussi à me convaincre car c’est vrai qu’au-delà d’être symbolique, elle va nous permettre de tout préparer tranquillement pendant ses vacances d’été puis de nous marier à la pause hivernale. Roxane tient absolument à ce que nous faisions çà chez eux et je n’y vois pas d’inconvénients. C’est là-bas que nous nous sommes aimés la première fois, c’est là bas que nous avons vécu les plus formidables moments de notre histoire et je m’y sens si bien.
Went n’a rien contre non plus mais crains un peu que sa mère soit trop envahissante. Je lui promets que çà ne me fait rien et que je vais tout faire pour que cela se passe le mieux du monde.
La sonnette de l’interphone retentit brusquement et me sort de ma rêverie dans laquelle je dois être plongée depuis plusieurs heures.
S : oui ??
Sa : Sonia, c’est Sarah, excuses moi de passer à l’improviste mais j’ai une commission à faire pour Went !
S : vas-y monte, je t’attends !
En moins de trente secondes, elle se retrouve face à moi, un immense sourire aux lèvres et moi je me demande bien franchement ce qu’elle a de si urgent à faire pour Went...
S : comment çà va ?
On s’embrasse et passé les politesses d’usage, je vois son petit sourire complice faire surface.
Sa : c’est une surprise...je dois juste te prendre Andréas pour la soirée...je ne doit rien te dire de plus !
S : mais quoi ???? C’est quoi cette blague ? Went ne veut pas voir son fils ?
Sa : certainement que si mais il a prévu quelque chose pour vous ce soir et a besoin de le faire garder !
S : et il est obligé de te déranger pour çà ? On a une baby-sitter que je sache !
Sa : oui mais je crois qu’Estelle sera ravie de passer un peu de temps avec Andréas et puis moi çà ne me dérange pas du tout !
S : ok...je vais voir s’il est réveillé...
Je n’en crois pas mes oreilles, si même mes amies jouent les entremetteuses avec mon futur mari, je ne suis pas au bout de mes peines !
Andréas m’accueille avec un immense sourire, debout dans son petit lit à barreaux. Je le prends dans mes bras et rejoins Sarah dans le salon.
Sa : oh, mais je vois qu’il est toujours aussi chou ton fils ! Même au saut du lit !
S : il est aussi adorable que son papa ! Je te le laisse, je vais chercher quelques affaires...
Elle acquiesce et je m’éloigne. Je reviens cinq minutes plus tard avec un petit sac d’affaires.
S : voilà...j’espère que je n’ai rien oublié...
Sa : ce ne sera pas très grave, j’ai tout ce qu’il faut pour Estelle alors çà devrait aller...
Je lui souris mais je n’arrête pas de penser à Went, pourquoi ces manigances?
Sa : ne te fait pas de souci, il ne va pas tarder, Paul terminait sa réunion avec eux pour la prochaine campagne Fox à Los Angeles...tu devrais en profiter pour t’habiller !
Elle me fait un clin d’œil qui me prouve que ma soirée risque d’être magique. C’est juste assez de mystères pour que je sois excitée comme une puce. Il n’en faut pas plus pour attiser ma curiosité. J’essaye de tirer les vers du nez à Sarah mais sans succès et après deux cafés, elle m’abandonne, emportant avec elle la prunelle de mes yeux.
Ni une ni deux, je saute dans la douche et m’habille classe sans trop en faire tout de même car je n’aurais pas l’air ridicule s’il arrive avec des plats chinois et un film !
***
Une petite soirée romantique çà vous dit ???
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
oh oui sa me dis !!!
sacre sara qui est de meche avec tout le monde d'abord avec sonia et maintenant avec wenth!!!
vivement la suite tu cartonnes!!!
sacre sara qui est de meche avec tout le monde d'abord avec sonia et maintenant avec wenth!!!
vivement la suite tu cartonnes!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Sonia veut trouver ses marques dans cette nouvelle demeure. Elle veut s'y sentir à l'aise, quitte à bousculer un peu les habitudes de Wentworth, mais globalement, tout se passe bien. Il connaît Sonia et s'accomode de ce trait de caractèreJe me rends compte aujourd’hui comme j’ai du être envahissante pour lui ! Il rentrait tous les soirs épuisé par ces interminables journées de tournage et moi je changeais tout de place, mettant même au placard de vieilles reliques qui ne le quittaient jamais...
Pourtant, malgré mon difficile tempérament, il n’a jamais rien dit, me faisant simplement comprendre d’un haussement de sourcil quand je dépassais les bornes.
Ils font des compromis, se respectent, écoutent les désirs de l'autre, bref, apprennent à vivre ensemble, à former une famille.C’est certainement pour çà que tout marche si bien entre nous, nos caractères et notre amour nous permettent de nous comprendre et font tampon.
Ils ont trouvé leur équilibre et c'est l'essentielEn contrepartie, je ne lui ai jamais fait aucune remarque sur ses absences, pour lestournages éloignés, les publicités, les interviews. Nous avons chacun nos besoins, nos obligations, mais ce qui compte, c’est que nous nous retrouvons toujours avec autant de plaisir.
ça doit être une vraie bouffée d'air pur pour Sonia, mais aussi pour Wentworth. Le cap est passé, ils peuvent reprendre une vie, comme les autres. Sonia est vraiment tirée d'affaire.Le kiné l’a vite rassuré sur mon état et j’ai enfin gagné le droit de reconduire, de travailler, de mener ma vie...
Wentworth a eu une belle idée. Cette date a été capitale dans leur vie. C'est une belle façon de la célébrer et puis, ils profiteront des vacances de Wentworth pour se marier, histoire d'avoir un peu de temps pour euxNous devons nous marier en Novembre, le 15 très exactement, ce qui coïncide avec l’exacte date de notre rencontre. C’est lui qui en a eu l’idée, voyant que je n’arrivais pas à me décider ! J’avais et ai toujours l’irrépressible envie d’être sa femme mais je n’arrivais pas à me décider sur une date plutôt qu’une autre, voyant toujours l’inconvénient de celle-ci ou d’une autre. Il a finalement réussi à me convaincre car c’est vrai qu’au-delà d’être symbolique, elle va nous permettre de tout préparer tranquillement pendant ses vacances d’été puis de nous marier à la pause hivernale
Dans cet endroit si familier, ils se sentiront bien, à l'abri des regards.Roxane tient absolument à ce que nous faisions çà chez eux et je n’y vois pas d’inconvénients. C’est là-bas que nous nous sommes aimés la première fois, c’est là bas que nous avons vécu les plus formidables moments de notre histoire et je m’y sens si bien.
Entre Sonia et sa maman, il a de quoi faire !Went n’a rien contre non plus mais craint un peu que sa mère soit trop envahissante.
Qu'a prévu Wentworth ? Une petite soirée chez eux ? Je ne crois pas car il n'aurait sûrement pas demandé à Sarah de s'occuper d'Andréas.Elle me fait un clin d’œil qui me prouve que ma soirée risque d’être magique. C’est juste assez de mystères pour que je sois excitée comme une puce. Il n’en faut pas plus pour attiser ma curiosité.
Il va probablement l'emmener dehors mais où et quel va être le programme ?
Soso_Burrows a écrit
Bien sûr que oui. J'espère que la suite arrivera vite, histoire de ne pas trop couper le fil de cette belle histoireUne petite soirée romantique çà vous dit ???
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Je me demande ce que prépare went!!!!
Vivement la suite!!!!!!!!!
Vivement la suite!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Et bien vous n'aurez pas longtemps à attendre pour le savoir les filles !
Sarah m’avait promis que Went ne tarderait pas à arriver, mais là, je crois qu’elle s’est effectivement trompée. Je me suis dépêchée et çà fait une heure que je poireaute dans le canapé ! Ma robe va être toute froissée, mais tant pis, c’est de sa faute ! On me fait saliver et puis plus rien, j’ai presque envie de tourner les talons et d’aller enfiler un jean ! Malgré tout, j’espère tout de même qu’il ne lui est rien arrivé mais je n’ose pas appeler, çà briserai la magie de la surprise !
Je regarde les infos, la mine déconfite...quand enfin je suis réveillée en sursaut par la sonnerie du portable.
Je décroche.
S : Oui ??
W : C’est moi Sonia...je suis désolé pour le retard mais j’ai eu un petit contretemps...je t’attends en bas, tu descend ?
Je souffle, franchement, très romantique comme soirée ! Il pourrait au moins venir me chercher non ? Il perd énormément dans mon estime là ! Tout çà pour çà ?
J’attrape quand même ma veste et mon sac et vérifie une dernière fois mon maquillage...tout çà pour un burger ou un mexicain si çà se trouve...
Je sors et ferme à clefs puis emprunte les escaliers pour rejoindre le réez de chaussée, çà me défoulera toujours un peu avant que je lui tombe dessus !
J’arpente la luxueuse entrée et l’aperçoit déjà, au loin, dans un véhicule flambant neuf...
Je fais la tête et il va m’entendre ce petit prétentieux !
Il est au volant, je m’approche mais il ne bouge pas d’un poil et reste sur son siège, un sourire étrange sur les lèvres...
W : bonsoir chérie, je n’ai pas été trop long ?
S : c’est une blague ?
W : quoi ?
S : çà fait deux heures trente que je t’attends, Sarah m’avait dit que tu ne tarderait pas et je me suis dépêchée de me préparer...pour rien visiblement...
W : je suis désolé, j’ai eu un petit contretemps, mais tu ne vas pas faire la tête toute la soirée ! Tu es si jolie quand tu souries... !
Il démarre la voiture et s’insinue dans la circulation. Il tente avec sa petite moue de m’arracher un sourire mais je ne bouge pas une paupière !
W : tu fais vraiment la tête alors ?
S : je vois surtout que je me suis faite belle et habillée alors que tu es en jean ! Et c’est quoi cette voiture ton nouveau jouet ?
W : je suis ravie que tu ai fait tout çà pour moi !
S : oui, mais je crois que je me suis un peu trompée sur le contenu de notre soirée...
W : qu’est-ce que t’en sais ?
S : tu es en Jean et moi presque en robe de soirée !
W : tu ne m’aimes pas en Jean ?
S : ce n’est pas ce que je voulais dire mais...je m’étais fait des idées...
W : tu croyais que j’allais simplement venir te chercher et t’emmener tout simplement dîner dans un grand restaurant ? Çà n’aurait pas été très original chérie !
S : ah oui ? Et alors ?
W : alors j’ai bien mieux à te proposer !
Je le vois se garer sur le bord de la route alors que nous quittons Miami en longeant la petite route qui borde l’océan. Il a un immense sourire sur les lèvres mais moi, je ne comprends rien de ce qu’il prépare exactement...
Il sort du véhicule et fait le tour pour venir m’ouvrir la portière.
W : tu viens avec moi ?
S : je comprends rien Went ! On fait quoi ici, au bord de la route et au milieu de nulle part ?
Il rit, visiblement ce que je dis est très drôle...
W : ne fait pas cette tête ! Allez...viens avec moi.
Il me prend la main et nous passons devant le capot de la voiture pour arriver devant la portière conducteur sur laquelle il me plaque.
Je ne sais plus où je suis...il plonge ses lèvres sur les miennes et je me sens faiblir, je n’arrive plus à faire la tête, je suis si bien dans ses bras, électrisée par sa chaleur, enivrée de son odeur...
W : c’est bon, tu es prête à m’écouter maintenant ?
S : ok...tu vas me dire ce que tu mijotes à la fin ?
W : prend les clefs de la voiture...
S : et qu’est-ce que tu veux que j’en fasse ?
W : tu conduis !
Je ne comprends rien à son charabia, il veut me faire faire un tour de manège maintenant ? Je ne comprend pas le langage Wentworth Miller ou quoi ? Personne n’a un dictionnaire ?
S : pourquoi ?
W : ne pose pas de questions et assieds-toi, tu vas conduire !
S : mais Went, çà fait un an que je n’ai pas conduit et...
W : je suis là, je t’aiderais, ne t’inquiètes pas...
Je cède, sceptique et effrayée...et m’installe au volant du confortable véhicule. Je mets le contact et démarre fébrilement, les mains mal assurées sur le volant. Il me dirige et tente de ma rassurer par des paroles encourageantes.
W : c’est parfait, tu te débrouilles très bien !
S : t’as raison, je suis crispée comme une malade et je suis sure que le volant va me rester dans les mains après !
W : de toute façon c’est ton volant !
S : comment çà ?
W : c’est ton volant, ta voiture !
S : cet énorme 4x4 ? Ma voiture ?
W : oui, c’est ma première surprise...j’espère que çà suffira pour me faire pardonner mon retard...
S : mais tu es fou, mais...
W : fou ? Pourquoi ? Tu es sortie d’affaire définitivement, tu as retrouvé toutes tes capacités et les médecins t’encouragent à retravailler, il va te falloir une voiture car moi je prends l’autre !
S : oui, d’accord mais celle-ci est tellement...
W : elle est pour toi, c’est mon cadeau pour t’aider à faire ce qui te fera plaisir, travailler, te balader, il y a tout ce qu’il faut pour Andréas, elle est parfaitement adaptée au transport des enfants...
S : je n’en doute pas un seul instant, merci Went, çà me touche beaucoup !
Après la disette, mon visage retrouve enfin son sourire radieux. Je suis touchée par son attention, cela veut dire qu’il s’inquiète pour moi, veux que je me réalise personnellement et c’est un formidable bol d’air pour moi. Il voit bien à quel point je suis heureuse et je le lis sur son sourire.
S : tu es à part Miller !
W : je sais, je sais...
Nous éclatons de rire tous les deux, l’ambiance est vite redevenue bon enfant et je veux que cela perdure. Nous blaguons un peu et il essaie de minimiser son geste, qui à mes yeux, a bien plus de valeur que la voiture elle-même...
Il me demande de prendre le petit chemin de terre qui apparaît sur notre droite. J’obéis et le sable et les herbes ne tardent pas à nous envahir. Nous roulons trois bonnes minutes avant d’arriver dans un cul de sac.
S : c’est çà ton plan ?
W : t’inquiètes, à cinquante mètres il y a l’océan, le sable et la soleil sui va bientôt se coucher...je n’ai besoin de rien d’autre...
Je n’ai pas le temps de répliquer quoi que ce soit qu’il a déjà sauté du 4x4 et est devant moi, ouvrant la portière et me tendant les bras.
Je m’y jette et nous nous embrassons longuement, sans nous soucier de ce qui nous entoure. Je me rend compte que j’ai une chance incroyable, cet homme n’est pas seulement gentil, beau et incroyablement sexy, il est formidable, FORMIDABLE !
Il m’entraîne par la main vers la plage, déserte et sauvage, un vrai paradis ! Nous restons là, figés dans l’instant, appréciant de nous retrouver seuls, tous les deux. Le soleil commence à décliner doucement, laissant ses rayons devenir plus supportables pour notre peau. Au loin, seul le brouhaha d’un groupe de surfers se fait entendre.
W : tu m’attends, je reviens tout de suite ?
S : qu’est-ce que tu fais ?
W : surprise ! Je vais te mettre un bandeau sur les yeux car sinon je sais que tu vas tricher !
Il le fait et s’éloigne mais je l’entends revenir vite. Pendant cinq minutes, je reste ainsi, yeux bandés et silencieuse, trépignant de découvrir la suite de ses réjouissances, pensées pour moi.
Je le sens se rapprocher doucement, il me frôle, il est derrière moi. Ses mains entourent ma taille et m’entraînent dans une légère danse improvisée, sa nuque posée sur mon épaule. Le bandeau tombe mais je garde les yeux fermés, je veux faire durer le plaisir le plus longtemps possible...
W : tu peux ouvrir les yeux maintenant...
Je souris malicieusement et les ouvre, ébloui par ce que je découvre à nos pieds...
Une petit nappe rouge à carreaux, des fruits, du vin, du pain et du fromage, des antipastis à profusion, un régal de simplicité et de charme, il fallait y penser...
Je ne sais pas trop quoi dire sinon que je l’aime.
S : je t’aime Went, merci pour tout çà, c’est, au-delà de mes espérances...
W : tu ne regrettes pas le restau chic ?
S : pas le moins du monde !
Je m’approche et capture ses lèvres sensuellement. Elle est bien loin la petite étudiante vierge et farouche qui a débarqué dans sa vie il y a dix ans...
Mes mains entourent sa nuque alors que les siennes serrent mes hanches. Nous n’arrivons pas à nous détacher et nous basculons doucement, allongés sur le sable, près des bougies disposées au bord de la nappe. Leur lumière donne une lueur toute particulière au regard de Went à ce moment là...
Je ne peux m’empêcher de penser à tout ce que nous avons traversé et surmonter pour être là, ce soir, ensemble...
Elles sont pas sympa ces surprises ,,,
CHAPITRE 56 : Surprises...Part 1
Sarah m’avait promis que Went ne tarderait pas à arriver, mais là, je crois qu’elle s’est effectivement trompée. Je me suis dépêchée et çà fait une heure que je poireaute dans le canapé ! Ma robe va être toute froissée, mais tant pis, c’est de sa faute ! On me fait saliver et puis plus rien, j’ai presque envie de tourner les talons et d’aller enfiler un jean ! Malgré tout, j’espère tout de même qu’il ne lui est rien arrivé mais je n’ose pas appeler, çà briserai la magie de la surprise !
Je regarde les infos, la mine déconfite...quand enfin je suis réveillée en sursaut par la sonnerie du portable.
Je décroche.
S : Oui ??
W : C’est moi Sonia...je suis désolé pour le retard mais j’ai eu un petit contretemps...je t’attends en bas, tu descend ?
Je souffle, franchement, très romantique comme soirée ! Il pourrait au moins venir me chercher non ? Il perd énormément dans mon estime là ! Tout çà pour çà ?
J’attrape quand même ma veste et mon sac et vérifie une dernière fois mon maquillage...tout çà pour un burger ou un mexicain si çà se trouve...
Je sors et ferme à clefs puis emprunte les escaliers pour rejoindre le réez de chaussée, çà me défoulera toujours un peu avant que je lui tombe dessus !
J’arpente la luxueuse entrée et l’aperçoit déjà, au loin, dans un véhicule flambant neuf...
Je fais la tête et il va m’entendre ce petit prétentieux !
Il est au volant, je m’approche mais il ne bouge pas d’un poil et reste sur son siège, un sourire étrange sur les lèvres...
W : bonsoir chérie, je n’ai pas été trop long ?
S : c’est une blague ?
W : quoi ?
S : çà fait deux heures trente que je t’attends, Sarah m’avait dit que tu ne tarderait pas et je me suis dépêchée de me préparer...pour rien visiblement...
W : je suis désolé, j’ai eu un petit contretemps, mais tu ne vas pas faire la tête toute la soirée ! Tu es si jolie quand tu souries... !
Il démarre la voiture et s’insinue dans la circulation. Il tente avec sa petite moue de m’arracher un sourire mais je ne bouge pas une paupière !
W : tu fais vraiment la tête alors ?
S : je vois surtout que je me suis faite belle et habillée alors que tu es en jean ! Et c’est quoi cette voiture ton nouveau jouet ?
W : je suis ravie que tu ai fait tout çà pour moi !
S : oui, mais je crois que je me suis un peu trompée sur le contenu de notre soirée...
W : qu’est-ce que t’en sais ?
S : tu es en Jean et moi presque en robe de soirée !
W : tu ne m’aimes pas en Jean ?
S : ce n’est pas ce que je voulais dire mais...je m’étais fait des idées...
W : tu croyais que j’allais simplement venir te chercher et t’emmener tout simplement dîner dans un grand restaurant ? Çà n’aurait pas été très original chérie !
S : ah oui ? Et alors ?
W : alors j’ai bien mieux à te proposer !
Je le vois se garer sur le bord de la route alors que nous quittons Miami en longeant la petite route qui borde l’océan. Il a un immense sourire sur les lèvres mais moi, je ne comprends rien de ce qu’il prépare exactement...
Il sort du véhicule et fait le tour pour venir m’ouvrir la portière.
W : tu viens avec moi ?
S : je comprends rien Went ! On fait quoi ici, au bord de la route et au milieu de nulle part ?
Il rit, visiblement ce que je dis est très drôle...
W : ne fait pas cette tête ! Allez...viens avec moi.
Il me prend la main et nous passons devant le capot de la voiture pour arriver devant la portière conducteur sur laquelle il me plaque.
Je ne sais plus où je suis...il plonge ses lèvres sur les miennes et je me sens faiblir, je n’arrive plus à faire la tête, je suis si bien dans ses bras, électrisée par sa chaleur, enivrée de son odeur...
W : c’est bon, tu es prête à m’écouter maintenant ?
S : ok...tu vas me dire ce que tu mijotes à la fin ?
W : prend les clefs de la voiture...
S : et qu’est-ce que tu veux que j’en fasse ?
W : tu conduis !
Je ne comprends rien à son charabia, il veut me faire faire un tour de manège maintenant ? Je ne comprend pas le langage Wentworth Miller ou quoi ? Personne n’a un dictionnaire ?
S : pourquoi ?
W : ne pose pas de questions et assieds-toi, tu vas conduire !
S : mais Went, çà fait un an que je n’ai pas conduit et...
W : je suis là, je t’aiderais, ne t’inquiètes pas...
Je cède, sceptique et effrayée...et m’installe au volant du confortable véhicule. Je mets le contact et démarre fébrilement, les mains mal assurées sur le volant. Il me dirige et tente de ma rassurer par des paroles encourageantes.
W : c’est parfait, tu te débrouilles très bien !
S : t’as raison, je suis crispée comme une malade et je suis sure que le volant va me rester dans les mains après !
W : de toute façon c’est ton volant !
S : comment çà ?
W : c’est ton volant, ta voiture !
S : cet énorme 4x4 ? Ma voiture ?
W : oui, c’est ma première surprise...j’espère que çà suffira pour me faire pardonner mon retard...
S : mais tu es fou, mais...
W : fou ? Pourquoi ? Tu es sortie d’affaire définitivement, tu as retrouvé toutes tes capacités et les médecins t’encouragent à retravailler, il va te falloir une voiture car moi je prends l’autre !
S : oui, d’accord mais celle-ci est tellement...
W : elle est pour toi, c’est mon cadeau pour t’aider à faire ce qui te fera plaisir, travailler, te balader, il y a tout ce qu’il faut pour Andréas, elle est parfaitement adaptée au transport des enfants...
S : je n’en doute pas un seul instant, merci Went, çà me touche beaucoup !
Après la disette, mon visage retrouve enfin son sourire radieux. Je suis touchée par son attention, cela veut dire qu’il s’inquiète pour moi, veux que je me réalise personnellement et c’est un formidable bol d’air pour moi. Il voit bien à quel point je suis heureuse et je le lis sur son sourire.
S : tu es à part Miller !
W : je sais, je sais...
Nous éclatons de rire tous les deux, l’ambiance est vite redevenue bon enfant et je veux que cela perdure. Nous blaguons un peu et il essaie de minimiser son geste, qui à mes yeux, a bien plus de valeur que la voiture elle-même...
Il me demande de prendre le petit chemin de terre qui apparaît sur notre droite. J’obéis et le sable et les herbes ne tardent pas à nous envahir. Nous roulons trois bonnes minutes avant d’arriver dans un cul de sac.
S : c’est çà ton plan ?
W : t’inquiètes, à cinquante mètres il y a l’océan, le sable et la soleil sui va bientôt se coucher...je n’ai besoin de rien d’autre...
Je n’ai pas le temps de répliquer quoi que ce soit qu’il a déjà sauté du 4x4 et est devant moi, ouvrant la portière et me tendant les bras.
Je m’y jette et nous nous embrassons longuement, sans nous soucier de ce qui nous entoure. Je me rend compte que j’ai une chance incroyable, cet homme n’est pas seulement gentil, beau et incroyablement sexy, il est formidable, FORMIDABLE !
Il m’entraîne par la main vers la plage, déserte et sauvage, un vrai paradis ! Nous restons là, figés dans l’instant, appréciant de nous retrouver seuls, tous les deux. Le soleil commence à décliner doucement, laissant ses rayons devenir plus supportables pour notre peau. Au loin, seul le brouhaha d’un groupe de surfers se fait entendre.
W : tu m’attends, je reviens tout de suite ?
S : qu’est-ce que tu fais ?
W : surprise ! Je vais te mettre un bandeau sur les yeux car sinon je sais que tu vas tricher !
Il le fait et s’éloigne mais je l’entends revenir vite. Pendant cinq minutes, je reste ainsi, yeux bandés et silencieuse, trépignant de découvrir la suite de ses réjouissances, pensées pour moi.
Je le sens se rapprocher doucement, il me frôle, il est derrière moi. Ses mains entourent ma taille et m’entraînent dans une légère danse improvisée, sa nuque posée sur mon épaule. Le bandeau tombe mais je garde les yeux fermés, je veux faire durer le plaisir le plus longtemps possible...
W : tu peux ouvrir les yeux maintenant...
Je souris malicieusement et les ouvre, ébloui par ce que je découvre à nos pieds...
Une petit nappe rouge à carreaux, des fruits, du vin, du pain et du fromage, des antipastis à profusion, un régal de simplicité et de charme, il fallait y penser...
Je ne sais pas trop quoi dire sinon que je l’aime.
S : je t’aime Went, merci pour tout çà, c’est, au-delà de mes espérances...
W : tu ne regrettes pas le restau chic ?
S : pas le moins du monde !
Je m’approche et capture ses lèvres sensuellement. Elle est bien loin la petite étudiante vierge et farouche qui a débarqué dans sa vie il y a dix ans...
Mes mains entourent sa nuque alors que les siennes serrent mes hanches. Nous n’arrivons pas à nous détacher et nous basculons doucement, allongés sur le sable, près des bougies disposées au bord de la nappe. Leur lumière donne une lueur toute particulière au regard de Went à ce moment là...
Je ne peux m’empêcher de penser à tout ce que nous avons traversé et surmonter pour être là, ce soir, ensemble...
***
Elles sont pas sympa ces surprises ,,,
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
- Nombre de messages : 386
Age : 45
Localisation : Paris
Date d'inscription : 11/06/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Et bien vous n'aurez pas longtemps à attendre pour le savoir les filles !
A mon idée, il ne mettra pas longtemps à remonter dans son estimeJe souffle, franchement, très romantique comme soirée ! Il pourrait au moins venir me chercher non ? Il perd énormément dans mon estime là ! Tout çà pour çà ?
Peut-être, mais ce serait tout de même un burger ou un mexicain avec l'homme qu'elle aime et que bon nombre de femmes voudraient avoir auprès d'ellesJ’attrape quand même ma veste et mon sac et vérifie une dernière fois mon maquillage...tout çà pour un burger ou un mexicain si çà se trouve...
Ah, Wenworth veut vraiment une soirée différente pour Sonia et lui, quelques chose qui restera gravé dans sa mémoire et dans la sienneS : oui, mais je crois que je me suis un peu trompée sur le contenu de notre soirée...
W : qu’est-ce que t’en sais ?
S : tu es en Jean et moi presque en robe de soirée !
W : tu ne m’aimes pas en Jean ?
S : ce n’est pas ce que je voulais dire mais...je m’étais fait des idées...
W : tu croyais que j’allais simplement venir te chercher et t’emmener tout simplement dîner dans un grand restaurant ? Çà n’aurait pas été très original chérie !
Je crois qu'il a trouvé la bonne formule pour ne plus l'entendre se plaindreIl a un immense sourire sur les lèvres mais moi, je ne comprends rien de ce qu’il prépare exactement...
Il me prend la main et nous passons devant le capot de la voiture pour arriver devant la portière conducteur sur laquelle il me plaque.
Je ne sais plus où je suis...il plonge ses lèvres sur les miennes et je me sens faiblir, je n’arrive plus à faire la tête, je suis si bien dans ses bras, électrisée par sa chaleur, enivrée de son odeur...
W : c’est bon, tu es prête à m’écouter maintenant ?
S : t’as raison, je suis crispée comme une malade et je suis sure que le volant va me rester dans les mains après !
Ce cadeau a une grande valeur symbolique, plus importante que la voiture elle-même. Maintenant qu'il est rassuré sur sa santé, il veut qu'elle puisse s'épanouir, vivre comme elle l'entend. Il veut qu'elle soit heureuse et libre.
S : cet énorme 4x4 ? Ma voiture ?
W : oui, c’est ma première surprise...j’espère que çà suffira pour me faire pardonner mon retard...
S : mais tu es fou, mais...
W : fou ? Pourquoi ? Tu es sortie d’affaire définitivement, tu as retrouvé toutes tes capacités et les médecins t’encouragent à retravailler, il va te falloir une voiture car moi je prends l’autre !
S : tu es à part Miller !
W : je sais, je sais...
Il lui aura tout fait pour cette soirée. Maintenant, elle a le droit de poireauter avec un bandeau sur les yeux, pendant que Wentworth met en place sa nouvelle surpriseIl le fait et s’éloigne mais je l’entends revenir vite. Pendant cinq minutes, je reste ainsi, yeux bandés et silencieuse, trépignant de découvrir la suite de ses réjouissances, pensées pour moi.
Quelle belle surprise, si romatique, simple et qui leur ressemble tant. C'est d'autant plus beau qu'il la préparée lui-même. Je crois que la suite de la soirée va être des plus délicieuses.Je souris malicieusement et les ouvre, éblouie par ce que je découvre à nos pieds...
Une petit nappe rouge à carreaux, des fruits, du vin, du pain et du fromage, des antipastis à profusion, un régal de simplicité et de charme, il fallait y penser...
J'espère que l'on connaîtra vite la suite de leur joli programme
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
merciiiiiiiiiiiiiii pour cette fabuleuse suite ma soso!!!
tu cartonnes toujours autant!!!
tu cartonnes toujours autant!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Très jolie surprise ! Toute simple mais terriblement romantique ! C’est sublimement beau tout ça !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Salut les filles !
J'ai voulu poster plus tot mais y'avais pas moyen çà beuguait !
Merci pour vos coms, ils me vont droit au coeur et voici la suite !
Nous sommes depuis un long moment allongés l’un près de l’autre, à savourer cette douce soirée qui s’offre à nous, à se laisser porter par nos sentiments. Seul le ressac des vagues vient apporter sa touche de romantisme au paysage.
Je me sens vivre, comme à chaque fois que je me retrouve dans ses bras, mais casser un peu le rythme infernal que nous mène la vie de Went et nos obligations familiales nous fait beaucoup de bien. Je ne peux même pas culpabiliser quand je sais qu’Andréas doit s’amuser avec Estelle, la fille de Sarah.
Nous avons mangé, trinquer, parler et tout çà restera sans aucun doute gravé dans ma mémoire à jamais.
Le petit vent s’est levé vers 21h30 et je commence à frissonner. Went le remarque et me tend son gilet car avec ma tenue, ce n’était pas vraiment prévu...
W : tu veux rentrer ?
S : si çà ne te dérange pas ?
W : non, je crois qu’ici et ce soir, nous en avons terminé avec cet endroit...
Il me regarde avec ses yeux pétillants et plein de malice et je ne peux m’empêcher de soupçonner qu’il a encore une idée derrière la tête mais quoi encore ?
Je me contente de le suivre en souriant, laissant ses mains, ses bars, se saisir de mes hanches et de ma taille et me faire tourner autour de lui, sans cesse avant que nos lèvres se rejoignent.
W : je t’ai déjà dis que tu étais très belle ce soir ?
S : je ne m’en souviens plus...
Malgré la courte distance qui nous sépare de Ma voiture, je ne sais pas si nous arriverons à la rejoindre car nous nous arrêtons tous les deux mètres pour nous embrasser et chahuter comme deux adolescents amoureux pour la première fois. C’est exactement çà, avec lui, j’ai l’impression d’être une éternelle adolescente, une éternelle première fois, je pense que c’est comme çà, avec son premier amour.
Nous finissons par y arriver, sans nous détacher pour autant, quand nous sommes éblouis par les feux d’une voiture qui arrive dans notre direction.
Je me demande bien qui peut venir ici, à cette heure là et dans ce coin. Went ne réagit pas et se contente de sourire en me regardant.
Un homme brun en costume sort de la voiture et nous invite à le rejoindre.
Qu’est-ce que c’est encore que çà ?
J’ai beau dévisager Went, je vois à sa mine qu’il n’est pas disposé à me dire quoi que ce soit, ma seule option étant de me soumettre à ses volontés. C’est dans ses moments là que je déteste les surprises !
Je suis l’homme et Went continue de me tenir par la main, tout excité de me savoir vaincue et soumise.
L’homme referme la porte derrière nous et nous nous retrouvons dans une confortable limousine aux sièges couleur crème dans laquelle nous attendent deux coupes de champagne millésimé.
W : j’ai pensé qu’avec l’alcool que nous avions bu, il serait plus judicieux de nous faire raccompagner.
S : une limousine était vraiment nécessaire ?
W : non, mais les taxis ne servent pas de champagne !
J’aime le titiller, chercher la petite bête, le petit défaut, alors que tout est parfait, pour çà, ce genre de surprise, il est vraiment parfait, c’est un homme très attentionné, capable de tout donner pour impressionner et prouver son amour.
Went n’est pas quelqu’un de vénal ou qui aime étaler sa richesse au grand jour mais il veut pouvoir profiter des avantages qu’il possède aujourd’hui, après avoir ramé pendant plus de dix ans. Si aujourd’hui il a de l’argent, il est passé par de longues périodes de vaches maigres et c’est pour lui un honneur de voir ses sacrifices récompensés et de pouvoir en faire profiter les gens qu’il aime.
Je lui souris et l’embrasse alors que nous levons nos verres à cette soirée en s’en souhaitant de nombreuses à venir aussi bien.
Après quinze minutes de trajet, la voiture stoppe son avancée et le chauffeur vient nous ouvrir. Je sors la première et constate avec étonnement que nous ne sommes pas devant notre résidence. Encore une surprise ?
Il me sourie et me prends par la main en remerciant au passage le chauffeur, arrosé d’un copieux pourboire.
S : tu peux me dire où on va ?
W : surprise !
S : Went ! Pas si vite, tu m’épuises !
Il court presque, excité comme une puce.
Nous nous retrouvons devant l’entrée d’un parc aquatique, fermé à cette heure ci, où une faible lumière éclaire l’entrée. Tout semble calme et personne ne nous attends.
S : tu fais quoi là ? On ne va quand même pas rentrer maintenant ? C’est fermé Went, c’est interdit ce que tu t’apprêtes à faire !
W : tu doutes de moi ?
S : non, mais...
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, comme d’habitude, qu’un homme d’une trentaine d’année nous accueille et ouvre la porte en fer en faisant un clin d’œil à Wentworth qui m’entraîne à sa suite. Je ne comprends plus rien et je crois qu’il vaut mieux que je me laisse faire, toute résistance est inutile.
- bonjour, je m’appelle Isaac, je suis un vieil ami de Went...
S : enchantée, Sonia...
- si vous voulez bien me suivre, on va descendre aux vestiaires du personnel pour vous changer.
J’aqiesce d’un mouvement de tête puis me retourne vers Went, se changer, pourquoi ? je ne dois pas tout comprendre ou j’ai loupé un chapitre.
Went s’en aperçoit et commence à me raconter cette ultime surprise.
W : tu te demandes bien ce que j’ai pu te réserver cette fois ?!
S : c’est à peu près çà effectivement...
W : tu te souviens la première fois que nous sommes venus ici ?
S : euh...oui, çà faisait quelques jours que j’avais emménagé...
W : oui...tu m’as dit ce jour là à quel point tu trouvais les dauphins merveilleux et comme ce serait ton rêve de nager en leur compagnie...
S : oui...
W : alors ce jour là, j’ai revu Isaac, avec qui j’étais en faculté et nous avons repris contact. Je me suis arrangé avec lui pour que tu puisses nager, ce soir,avec un groupe de dauphins.
S : tu as fait quoi ?
W : tu as bien entendu, tu vas te changer et hop, à l’eau avec eux !
S : et toi ?
W : je viens avec toi, j’ai hâte de voir çà !
S : Went, tu, tu es fou !
W : je sais !
Nous nous changeons à la hâte, je suis excitée et un peu effrayée de ce qui m’attend.
Isaac nous attends près du bassin, il est déjà prêt.
Il nous explique leurs habitudes, comment se comporter avec eux, comment les toucher, les tenir, nager avec eux et comment aussi, ce sont des animaux qui ressentent les hommes.
Il m’invite à descendre à l’eau et Went m’y rejoins.
Ils sont déjà là, les dauphins sont là et je ressens une émotion indescriptible.
Isaac les fait s’approcher et c’est naturellement qu’il me montre comment les caresser.
Je ne sais comment expliquer ce que je ressens à ce moment là. C’est comme un rêve que j’aurais souhaiter sans vraiment trouver que c’était quelque chose de très important pour moi, et pourtant, je suis toute retournée et c’est les larmes aux yeux que je fixe went qui s’émerveille de mon émoi.
Nous nageons pendant près d’une demi-heure, à leur coté, avec eux et je n’ai plus envie de les quitter. Went partage mon bonheur, comme à chaque fois et il m’encourage pour que je vive ce rêve, mon plaisir, à fond.
J’en ressors essoufflée, mais ravie et heureuse comme jamais, comme après la réalisation d’un rêve que vous n’auriez jamais cru réaliser un jour.
Nous nous rhabillons à la hâte et remercions Isaac que j’invite à dîner deux jours après, car grâce à lui, j’ai réalisé l’un de mes rêves les plus secret.
Je reste assez réservée sur mes impressions, encore toute chamboulée et Went me rejoins à l’extérieur, pensif et heureux d’avoir pu me faire ce plaisir.
La limousine est toujours là et nous montons à l’intérieur pour rejoindre notre chez nous.
A peine montée, je me jette sur Went et l’embrasse à pleine bouche, je ne sais pas comment le remercier pour tout çà, pour cette soirée car il ne fait jamais les choses comme les autres. Je ne m’y attendais pas et après ce dîner, je pensais vraiment en avoir terminé avec les cachotteries, c’était sans compter sur son imagination !
Il m’a comblé, je suis heureuse chaque jour à ses cotés, et malgré cela, il trouve encore le temps de me surprendre, c’est décidé et définitif, je ne le lâcherais pas !
J'ai voulu poster plus tot mais y'avais pas moyen çà beuguait !
Merci pour vos coms, ils me vont droit au coeur et voici la suite !
CHAPITRE 56 Surprises Part 2
Nous sommes depuis un long moment allongés l’un près de l’autre, à savourer cette douce soirée qui s’offre à nous, à se laisser porter par nos sentiments. Seul le ressac des vagues vient apporter sa touche de romantisme au paysage.
Je me sens vivre, comme à chaque fois que je me retrouve dans ses bras, mais casser un peu le rythme infernal que nous mène la vie de Went et nos obligations familiales nous fait beaucoup de bien. Je ne peux même pas culpabiliser quand je sais qu’Andréas doit s’amuser avec Estelle, la fille de Sarah.
Nous avons mangé, trinquer, parler et tout çà restera sans aucun doute gravé dans ma mémoire à jamais.
Le petit vent s’est levé vers 21h30 et je commence à frissonner. Went le remarque et me tend son gilet car avec ma tenue, ce n’était pas vraiment prévu...
W : tu veux rentrer ?
S : si çà ne te dérange pas ?
W : non, je crois qu’ici et ce soir, nous en avons terminé avec cet endroit...
Il me regarde avec ses yeux pétillants et plein de malice et je ne peux m’empêcher de soupçonner qu’il a encore une idée derrière la tête mais quoi encore ?
Je me contente de le suivre en souriant, laissant ses mains, ses bars, se saisir de mes hanches et de ma taille et me faire tourner autour de lui, sans cesse avant que nos lèvres se rejoignent.
W : je t’ai déjà dis que tu étais très belle ce soir ?
S : je ne m’en souviens plus...
Malgré la courte distance qui nous sépare de Ma voiture, je ne sais pas si nous arriverons à la rejoindre car nous nous arrêtons tous les deux mètres pour nous embrasser et chahuter comme deux adolescents amoureux pour la première fois. C’est exactement çà, avec lui, j’ai l’impression d’être une éternelle adolescente, une éternelle première fois, je pense que c’est comme çà, avec son premier amour.
Nous finissons par y arriver, sans nous détacher pour autant, quand nous sommes éblouis par les feux d’une voiture qui arrive dans notre direction.
Je me demande bien qui peut venir ici, à cette heure là et dans ce coin. Went ne réagit pas et se contente de sourire en me regardant.
Un homme brun en costume sort de la voiture et nous invite à le rejoindre.
Qu’est-ce que c’est encore que çà ?
J’ai beau dévisager Went, je vois à sa mine qu’il n’est pas disposé à me dire quoi que ce soit, ma seule option étant de me soumettre à ses volontés. C’est dans ses moments là que je déteste les surprises !
Je suis l’homme et Went continue de me tenir par la main, tout excité de me savoir vaincue et soumise.
L’homme referme la porte derrière nous et nous nous retrouvons dans une confortable limousine aux sièges couleur crème dans laquelle nous attendent deux coupes de champagne millésimé.
W : j’ai pensé qu’avec l’alcool que nous avions bu, il serait plus judicieux de nous faire raccompagner.
S : une limousine était vraiment nécessaire ?
W : non, mais les taxis ne servent pas de champagne !
J’aime le titiller, chercher la petite bête, le petit défaut, alors que tout est parfait, pour çà, ce genre de surprise, il est vraiment parfait, c’est un homme très attentionné, capable de tout donner pour impressionner et prouver son amour.
Went n’est pas quelqu’un de vénal ou qui aime étaler sa richesse au grand jour mais il veut pouvoir profiter des avantages qu’il possède aujourd’hui, après avoir ramé pendant plus de dix ans. Si aujourd’hui il a de l’argent, il est passé par de longues périodes de vaches maigres et c’est pour lui un honneur de voir ses sacrifices récompensés et de pouvoir en faire profiter les gens qu’il aime.
Je lui souris et l’embrasse alors que nous levons nos verres à cette soirée en s’en souhaitant de nombreuses à venir aussi bien.
Après quinze minutes de trajet, la voiture stoppe son avancée et le chauffeur vient nous ouvrir. Je sors la première et constate avec étonnement que nous ne sommes pas devant notre résidence. Encore une surprise ?
Il me sourie et me prends par la main en remerciant au passage le chauffeur, arrosé d’un copieux pourboire.
S : tu peux me dire où on va ?
W : surprise !
S : Went ! Pas si vite, tu m’épuises !
Il court presque, excité comme une puce.
Nous nous retrouvons devant l’entrée d’un parc aquatique, fermé à cette heure ci, où une faible lumière éclaire l’entrée. Tout semble calme et personne ne nous attends.
S : tu fais quoi là ? On ne va quand même pas rentrer maintenant ? C’est fermé Went, c’est interdit ce que tu t’apprêtes à faire !
W : tu doutes de moi ?
S : non, mais...
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, comme d’habitude, qu’un homme d’une trentaine d’année nous accueille et ouvre la porte en fer en faisant un clin d’œil à Wentworth qui m’entraîne à sa suite. Je ne comprends plus rien et je crois qu’il vaut mieux que je me laisse faire, toute résistance est inutile.
- bonjour, je m’appelle Isaac, je suis un vieil ami de Went...
S : enchantée, Sonia...
- si vous voulez bien me suivre, on va descendre aux vestiaires du personnel pour vous changer.
J’aqiesce d’un mouvement de tête puis me retourne vers Went, se changer, pourquoi ? je ne dois pas tout comprendre ou j’ai loupé un chapitre.
Went s’en aperçoit et commence à me raconter cette ultime surprise.
W : tu te demandes bien ce que j’ai pu te réserver cette fois ?!
S : c’est à peu près çà effectivement...
W : tu te souviens la première fois que nous sommes venus ici ?
S : euh...oui, çà faisait quelques jours que j’avais emménagé...
W : oui...tu m’as dit ce jour là à quel point tu trouvais les dauphins merveilleux et comme ce serait ton rêve de nager en leur compagnie...
S : oui...
W : alors ce jour là, j’ai revu Isaac, avec qui j’étais en faculté et nous avons repris contact. Je me suis arrangé avec lui pour que tu puisses nager, ce soir,avec un groupe de dauphins.
S : tu as fait quoi ?
W : tu as bien entendu, tu vas te changer et hop, à l’eau avec eux !
S : et toi ?
W : je viens avec toi, j’ai hâte de voir çà !
S : Went, tu, tu es fou !
W : je sais !
Nous nous changeons à la hâte, je suis excitée et un peu effrayée de ce qui m’attend.
Isaac nous attends près du bassin, il est déjà prêt.
Il nous explique leurs habitudes, comment se comporter avec eux, comment les toucher, les tenir, nager avec eux et comment aussi, ce sont des animaux qui ressentent les hommes.
Il m’invite à descendre à l’eau et Went m’y rejoins.
Ils sont déjà là, les dauphins sont là et je ressens une émotion indescriptible.
Isaac les fait s’approcher et c’est naturellement qu’il me montre comment les caresser.
Je ne sais comment expliquer ce que je ressens à ce moment là. C’est comme un rêve que j’aurais souhaiter sans vraiment trouver que c’était quelque chose de très important pour moi, et pourtant, je suis toute retournée et c’est les larmes aux yeux que je fixe went qui s’émerveille de mon émoi.
Nous nageons pendant près d’une demi-heure, à leur coté, avec eux et je n’ai plus envie de les quitter. Went partage mon bonheur, comme à chaque fois et il m’encourage pour que je vive ce rêve, mon plaisir, à fond.
J’en ressors essoufflée, mais ravie et heureuse comme jamais, comme après la réalisation d’un rêve que vous n’auriez jamais cru réaliser un jour.
Nous nous rhabillons à la hâte et remercions Isaac que j’invite à dîner deux jours après, car grâce à lui, j’ai réalisé l’un de mes rêves les plus secret.
Je reste assez réservée sur mes impressions, encore toute chamboulée et Went me rejoins à l’extérieur, pensif et heureux d’avoir pu me faire ce plaisir.
La limousine est toujours là et nous montons à l’intérieur pour rejoindre notre chez nous.
A peine montée, je me jette sur Went et l’embrasse à pleine bouche, je ne sais pas comment le remercier pour tout çà, pour cette soirée car il ne fait jamais les choses comme les autres. Je ne m’y attendais pas et après ce dîner, je pensais vraiment en avoir terminé avec les cachotteries, c’était sans compter sur son imagination !
Il m’a comblé, je suis heureuse chaque jour à ses cotés, et malgré cela, il trouve encore le temps de me surprendre, c’est décidé et définitif, je ne le lâcherais pas !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
mm si j'ai finis cette fic depuis longtemps ça m'arrive de relire quelques chapitres ici... et j'avoue que j'ai adoré ceux-la !
ces surprises étaient vraiment superbes ! c'est went tout craché
j'ai adoré quand elle a nagé avec les dauphins... ça doit être magique !
j'adore !
ces surprises étaient vraiment superbes ! c'est went tout craché
j'ai adoré quand elle a nagé avec les dauphins... ça doit être magique !
j'adore !
micko- Retrouve Steadman
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Super suite!!!!
Sonia qui croyait qu'elle allait dîner dans un restaurant chic!!!
La surprise que lui a faite Went est bien meilleure!
Vivement la suite!!!
Sonia qui croyait qu'elle allait dîner dans un restaurant chic!!!
La surprise que lui a faite Went est bien meilleure!
Vivement la suite!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
ohhhhhhhhhhhh ils sont mignons tout les 2!!!!
went ne fait pas les chose a moitié!!!
moi aussi c'est mon reve de nager avec le dauphins alors went quand est ce que tu m'y emene?? je sais l'espoir fait vivre!!!
tu cartonnes ma cherie!!!
went ne fait pas les chose a moitié!!!
moi aussi c'est mon reve de nager avec le dauphins alors went quand est ce que tu m'y emene?? je sais l'espoir fait vivre!!!
tu cartonnes ma cherie!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Ils ont raison de se ménager aussi un peu de temps, juste pour eux 2.Je me sens vivre, comme à chaque fois que je me retrouve dans ses bras, mais casser un peu le rythme infernal que nous mène la vie de Went et nos obligations familiales nous fait beaucoup de bien.
C'est nécessaire pour leur vie de couple et pour trouver la force d'affronter les moments plus difficiles aussi
Moi aussi, je me demande ce qu'il lui réserve comme nouvelle surprise ?Il me regarde avec ses yeux pétillants et plein de malice et je ne peux m’empêcher de soupçonner qu’il a encore une idée derrière la tête mais quoi encore ?
Ils sont vraiment amoureux comme au premier jour, ces deux-làMalgré la courte distance qui nous sépare de Ma voiture, je ne sais pas si nous arriverons à la rejoindre car nous nous arrêtons tous les deux mètres pour nous embrasser et chahuter comme deux adolescents amoureux pour la première fois. C’est exactement çà, avec lui, j’ai l’impression d’être une éternelle adolescente, une éternelle première fois, je pense que c’est comme çà, avec son premier amour.
Quand elle saura ce que c'est, elle aimera sûrement
J’ai beau dévisager Went, je vois à sa mine qu’il n’est pas disposé à me dire quoi que ce soit, ma seule option étant de me soumettre à ses volontés. C’est dans ses moments là que je déteste les surprises !
Wentworth ne veut pas faire étalage de sa fortune actuelle. Il ne veut pas changer. Il veut rester le même, mais utiliser cet argent pour faire plaisir aux autres et pour profiter de la vieSi aujourd’hui il a de l’argent, il est passé par de longues périodes de vaches maigres et c’est pour lui un honneur de voir ses sacrifices récompensés et de pouvoir en faire profiter les gens qu’il aime.
ça doit être merveilleux pour elle de voir que Went n'a pas oublié ses rêves les plus cachés
W : oui...tu m’as dit ce jour là à quel point tu trouvais les dauphins merveilleux et comme ce serait ton rêve de nager en leur compagnie...
Sonia n'aurait jamais cru que ce rêve était aussi important pour elle. Le fait de pouvoir vivre ce magnifique moment à côté des dauphins et avec l'homme qu'elle aime, et grâce à lui, la touche profondémentC’est comme un rêve que j’aurais souhaité sans vraiment trouver que c’était quelque chose de très important pour moi, et pourtant, je suis toute retournée et c’est les larmes aux yeux que je fixe went qui s’émerveille de mon émoi.
Nous nageons pendant près d’une demi-heure, à leur côté, avec eux et je n’ai plus envie de les quitter. Went partage mon bonheur, comme à chaque fois et il m’encourage pour que je vive ce rêve, mon plaisir, à fond.
J’en ressors essoufflée, mais ravie et heureuse comme jamais, comme après la réalisation d’un rêve que vous n’auriez jamais cru réaliser un jour.
Elle a trouvé la perle rare et mieux vaut pour elle qu'elle le garde précieusement à ses côtés car sinon, elle risque de se le faire prendreIl m’a comblée, je suis heureuse chaque jour à ses cotés, et malgré cela, il trouve encore le temps de me surprendre, c’est décidé et définitif, je ne le lâcherais pas !
Je crois savoir comment elle va voulor le remercier pour cette divine soirée
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Oh cette idée de réaliser son rêve est magnifique. Nager avec les dauphins doit être un moment fabuleux et indescriptible. C’est merveilleux !
blumy- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 12/08/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Salut à toutes ! Merci pour vos coms...
Voilà la suite de dernière spartie des surprises
La limousine s’éloigne, nous laissant devant chez nous, sur le trottoir, enlacés et heureux. Je ne peux oser lui dire combien je suis heureuse d’être ici, avec lLui, ne plus penser qu’à lui, à nous, à notre amour. Ses mains enserrent ma taille simplement, divinement, je suis aux anges.
W : pas trop triste de rentrer ?
S : tu veux rire ? Enfin un peu seuls tous les deux !
W : tu aurais une idée derrière la tête peut-être ?
S : moi ? Absolument pas ! Et toi ?
W : je suis crevé et je vais me plonger dans mon lit avec plaisir !
S : on est deux alors !
Il me sourie et je vois bien à son air coquin qu’il me titille et que le sommeil n’est pas pour nous, enfin, pas tout de suite…
Les couloirs, le hall et l’ascenseur sont déserts, pour notre plus grand plaisir.
Went porte un simple jean, froissé par son peu de soin de la journée et par notre périple rapide vers les dauphins. Un tee-shirt blanc négligé, à moitié rentré, à moitié dehors, ses vieilles boots infatigables, il a beau être surprenant de simplicité pour ses moyens, il n’en reste pas moins terriblement sexy et malgré les années et ses cheveux plus courts, je revois en lui le jeune étudiant d’il y a dix ans, confiant et inconscient de sa beauté.
Je luis sourie tendrement et caresse ses cheveux piquants sous ma paume.
Il me regarde attendrit, il doit voir toute la tendresse dans mon regard et se baisse tendrement pour prendre mes lèvres. Je frémis à son contact, je me sens transportée par son amour.
La sonnerie de l’ascenseur nous fait sursauter, nous sommes arrivés à notre étage, chez nous.
Went sort rapidement la clé et nous propulse à l’intérieur en claquant derrière nous, avec le bout du pied, la porte qui se referme sur notre univers. Je sens sa chaleur, son odeur qui s’imprègne sur moi.
Je me cours me réfugier aux toilettes car je ne tiens plus depuis un moment.
Quand je ressors, il est là, dans l’encadrement de la porte et me tend une coupe de champagne, tout sourire.
W : j’ai pensé que çà te ferais plaisir…
S : c’est parfait, tout est parfait, je ne pouvais rêver mieux…que toi !
W : tu sais…je voudrais que nous allions choisir nos alliances demain…
S : déjà ?
W : je sais, c’est un peu tôt, mais après tout va se précipiter et avec le tournage, je ne veux pas faire çà dans la précipitation…
S : je suis partante, çà me plaît…
W : ok, alors on pourrait peut-être passer à autre chose ?
S : ok, mais cette fois-ci, c’est moi qui ai une idée !
Il me regarde et essaye de sonder mes pensées, à quoi je pense, je sais exactement les interrogations qui doivent l’assaillir en ce moment.
Je crois que c’est à moi, maintenant, de lui prouver à quel point je l’aime !
W : tu ne vas pas être méchante non ?
S : ce n’est pas mon genre…
Je m’approche doucement, à pas de loup et lui prends délicatement la main, qui passe au dessus de moi, pour l’entraîner sur le sofa. Je l’assois, pose son verre sur la table basse et pars allumer la chaîne hi fi. A la radio, une reprise d’un vieux tube de jazz interprété par Michael Bublé, parfait !
Je me replace face à lui et commence doucement à me déshabiller, face à lui…
Il ouvre des yeux ronds et surpris, je n’ai pas l’âme d’une stripteaseuse, mais je suis follement amoureuse et c’est à moi de lui faire plaisir maintenant. Après tout c’est un homme et quel homme n’aimerait pas çà ?
Je profite de la musique pour onduler légèrement les hanches et laisser glisser le tissu fin et délicat le long de mes hanches. C’est la première fois que je fais un truc pareil, mais je ne veux pas laisser la gêne s’emparer de moi, pas ce soir.
Son regard est doux et pétillant sur moi.
W : qu’est-ce que tu fais ?
S : çà ne se voit pas ?
W : tu n’as pas à …
S : chut ! Laisses-moi m’occuper de toi maintenant…
Je vois son sourire qui me fait chavirer se dessiner sur ses lèvres, alors que ses yeux quittent les miens pour descendre le long de mon corps qui brûle pour lui à cet instant.
Il me dévore littéralement et je sens que ses mains le démangent.
Je souris de son trouble et en abuse en ne cessant de le fixer. Il abdique devant ma détermination. Robe à terre, je détache sensuellement mon soutien gorge et l’enroule autour de son cou en jouant avec lui. Il a l’air d’apprécier mon petit manège.
Il tente de me serrer entre ses bras mais je m’échappe tel un félin.
Genoux sur le sofa, je m’approche lentement au son de la musique entre ses jambes et danse pour lui. Je sens son cœur s’affoler et je sais qu’il ne rêve que d’une chose, me sauter dessus, pourtant, il me laisse faire, se laissant docilement dominer.
Ses lèvres sont si proches que je ne peux m’empêcher de m’en emparer, d’abord doucement, puis j’amplifie mes mouvements jusqu’à pénétrer sa bouche avec gourmandise. Il se laisse toujours faire mais je sens ses bras m’enserrer et je ne tente pas de me dégager cette fois. Je frissonne légèrement et c’est si bon de sentir sa chaleur autour de moi.
Il caresse mon dos, effectuant de petits mouvements circulaires de bas en haut alors que j’embrasse son cou et mordille sa carotide.
Après quelques minutes de ce ballet charnel, je recule et me remet debout, lui tendant une main pour qu’il se lève et me rejoigne. La radio joue un nouvel air de jazz « always on my mind » interprété par Michael Bublé. Je l’entraîne dans une danse et nos pieds se touchent alors que face à face nos regards se fondent l’un dans l’autre. Je sens le rose de mes joues, la chaleur de mes sentiments gonfler mon cœur de bien être. La flamme brille.
La voix s’élève autour de nous et nous nous laissons entraîner. Je pose ma tête contre son épaule et me laisse bercer par ses pas et le son de la musique, magique.
Je sais maintenant que je suis là où j’ai toujours voulu être, même si j’ai mis dix ans et bien des problèmes sur notre route avant de m’en rendre compte...
Quand la musique cesse, nos corps continuent de se balancer sur un rythme imaginaire et je n’ai qu’une envie monter dans notre chambre et m’abandonner dans ses bras.
Je m’écarte et le regarde. Il passe ses mains sur ma taille et me soulève d’un seul coup dans ses bras avec facilité. Il ne dit pas un mot mais ce que je lis dans ses yeux me suffit. Il gravit marche après marche les escaliers et ouvre la porte de notre chambre qu’il referme d’un rapide coup de coude. Il ne me pose même pas par terre mais sur le lit, directement et se place au dessus de moi. Je lui sourie et commence à soulever son tee-shirt qui vole au coin de la pièce. Mes mains parcourent son torse puissant, musclé et doré par la Floride et ses origines. Tout ce que je vois me régale, je suis aux anges. Il me regarde faire et détaille ma poitrine avant de fondre dessus avec voracité.
Après ces longs moments de tendresse, je le sens avide de caresses plus osées, plus franches. Je ne me fais pas prier et laisse les boutons de son jean céder sous la pression de mes doigts et de son désir.
Son caleçon subi rapidement le même sort et il est nu comme un ver. Cote à cote, je tente une première approche, m’empare de ses lèvres et laisse enfin mes doigts glisser aux endroits où seul il m’est permis d’aller. Je le sens se raidir au premier contact et étouffer de petits gémissements alors que je poursuis toujours plus loin ma quête de sensations.
W : tu veux me rendre fou...
Je ne répond rien mais relève mon visage face au sien, le regard plein de malice et de détermination avant de replonger plus bas, pour rejoindre le cheminement de mes doigts conquérants.
W : Sonia...je...
Je le sens s’abandonner totalement sous la caresse de ma bouche...
Je m’applique et sens ses doigts toucher tendrement mon dos au même rythme que mes caresses entre ses jambes.
Je me plait à le sentir au bord de l’extase.
Il finit par se dégager et son regard perdu et vitreux m’en dit long sur le plaisir que j’ai pu lui procurer.
Il reprend l’avantage et laisse ses lèvres glisser plus bas, toujours plus bas, trop bas à mon goût.
Après plusieurs minutes de doux supplice, il reprend possession de mes lèvres et se frotte contre moi. Je sens que notre attente touchera bientôt à sa fin.
Il vient en moi doucement, ce qui contraste avec le violent désir que je peux lire dans ses yeux. Il s’immobilise un instant pour me fixer puis entame ses longs va et vient. Je me sens transportée et tente de m’accorder à ses mouvements.
Quand il me sent prête, il amplifie son mouvement, jusqu’à nous porter vers l’extase, tous les deux.
Nos corps raidis et terrassés s’effondrent mollement sur le lit après tant de sensations.
Il se retourne vers moi et me sourie tendrement. Je ne sais pas pourquoi il sourie aux anges comme çà...
S : pourquoi tu souries comme çà ?
W : je vais t’épouser, je suis heureux...
Je sens que mon cœur va faillir s’il continue à me faire des déclarations comme çà...
S : tu en es bien sûr ?
W : tu doutes ?
S : non, mais tu ne vas pas partir encore dans quelques temps ? Lassé et paniqué ? On ne sait jamais, je suis déjà passée par là...
W : je t’aime ! Je ne veux pas que tu croies que cela puisse changer un jour...j’ai tenté de t’oublier pendant dix ans après mon départ et ma connerie de jeune idiot...tu vois le résultat ?
S : non ? C’est quoi le résultat ?
W : je n’y suis jamais arrivé et je te croise une fois par hasard et j’en prends pour perpet’
S : c’est comme çà que tu vois les choses ?
W : oui, et la seconde fois, je te fais le plus beaux des petits garçons...
Je souris à cette évocation.
S : tu ne t’es jamais fâché à ce propos...je veux dire, j’ai eu milles occasions de te l’avouer et je t’ai fait perdre tant de temps avec Andréas...
W : on fait tous des erreurs, mais sans nos erreurs, on ne serait peut-être pas là, tous les deux, tout de suite et maintenant...
S : je t’aime...et je te remercie pour cette soirée...
W : je suis content que çà t’ai plu...
S : tout ce qui me plait Went, c’est d’être avec toi, mais tu rends vraiment les choses exceptionnelles et je n’en t’aime que plus...
W : tu es mon âme sœur...
S : je sais !
W : ?
Il me regarde avec son sourcil relevé, il est trop craquant comme çà !
S : ta mère me l’as dit l’année dernière quand nous étions venus en week-end et que j’étais enceinte d’Andréas, elle m’a dit très ouvertement que je faisais une erreur si je passais à coté de mes sentiments pour toi, tout comme toi tu étais passé à coté des tiens il y a dix ans...
Elle m’a dit que nous étions des âmes sœurs...
W : elle a raison, je ne voyais pas ma vie avec une autre que toi...
Je me redresse et laisse une larme couler sur ma joue. Elle tombe sur celle de Went qui la chasse et caresse mon visage.
W : tu sais ce qui me ferait plaisir maintenant ?
S : dis toujours...
W : une petite fille, qui aurait ton sourire...
S : et ce sera tout ?
W : non...
S : ?
W : j’en voudrais encore pleins d’autres après...
S : et on les mettra où ?
W : on achètera une maison plus grande et un mini bus...
S : non mais çà ne va pas ?!
W : ........
Il n’arrêtes pas de se moquer de moi, mais je sais que dans le fond, une maison remplie d’enfant, il ne souhaite que çà...
S : je vais voir ce que je peux faire pour la petite fille, mais dans quelques mois d’accord ? Trois si tu vois ce que je veux dire...
Voilà la suite de dernière spartie des surprises
CHAPTER 56 Surprises Part 3
La limousine s’éloigne, nous laissant devant chez nous, sur le trottoir, enlacés et heureux. Je ne peux oser lui dire combien je suis heureuse d’être ici, avec lLui, ne plus penser qu’à lui, à nous, à notre amour. Ses mains enserrent ma taille simplement, divinement, je suis aux anges.
W : pas trop triste de rentrer ?
S : tu veux rire ? Enfin un peu seuls tous les deux !
W : tu aurais une idée derrière la tête peut-être ?
S : moi ? Absolument pas ! Et toi ?
W : je suis crevé et je vais me plonger dans mon lit avec plaisir !
S : on est deux alors !
Il me sourie et je vois bien à son air coquin qu’il me titille et que le sommeil n’est pas pour nous, enfin, pas tout de suite…
Les couloirs, le hall et l’ascenseur sont déserts, pour notre plus grand plaisir.
Went porte un simple jean, froissé par son peu de soin de la journée et par notre périple rapide vers les dauphins. Un tee-shirt blanc négligé, à moitié rentré, à moitié dehors, ses vieilles boots infatigables, il a beau être surprenant de simplicité pour ses moyens, il n’en reste pas moins terriblement sexy et malgré les années et ses cheveux plus courts, je revois en lui le jeune étudiant d’il y a dix ans, confiant et inconscient de sa beauté.
Je luis sourie tendrement et caresse ses cheveux piquants sous ma paume.
Il me regarde attendrit, il doit voir toute la tendresse dans mon regard et se baisse tendrement pour prendre mes lèvres. Je frémis à son contact, je me sens transportée par son amour.
La sonnerie de l’ascenseur nous fait sursauter, nous sommes arrivés à notre étage, chez nous.
Went sort rapidement la clé et nous propulse à l’intérieur en claquant derrière nous, avec le bout du pied, la porte qui se referme sur notre univers. Je sens sa chaleur, son odeur qui s’imprègne sur moi.
Je me cours me réfugier aux toilettes car je ne tiens plus depuis un moment.
Quand je ressors, il est là, dans l’encadrement de la porte et me tend une coupe de champagne, tout sourire.
W : j’ai pensé que çà te ferais plaisir…
S : c’est parfait, tout est parfait, je ne pouvais rêver mieux…que toi !
W : tu sais…je voudrais que nous allions choisir nos alliances demain…
S : déjà ?
W : je sais, c’est un peu tôt, mais après tout va se précipiter et avec le tournage, je ne veux pas faire çà dans la précipitation…
S : je suis partante, çà me plaît…
W : ok, alors on pourrait peut-être passer à autre chose ?
S : ok, mais cette fois-ci, c’est moi qui ai une idée !
Il me regarde et essaye de sonder mes pensées, à quoi je pense, je sais exactement les interrogations qui doivent l’assaillir en ce moment.
Je crois que c’est à moi, maintenant, de lui prouver à quel point je l’aime !
W : tu ne vas pas être méchante non ?
S : ce n’est pas mon genre…
Je m’approche doucement, à pas de loup et lui prends délicatement la main, qui passe au dessus de moi, pour l’entraîner sur le sofa. Je l’assois, pose son verre sur la table basse et pars allumer la chaîne hi fi. A la radio, une reprise d’un vieux tube de jazz interprété par Michael Bublé, parfait !
Je me replace face à lui et commence doucement à me déshabiller, face à lui…
Il ouvre des yeux ronds et surpris, je n’ai pas l’âme d’une stripteaseuse, mais je suis follement amoureuse et c’est à moi de lui faire plaisir maintenant. Après tout c’est un homme et quel homme n’aimerait pas çà ?
Je profite de la musique pour onduler légèrement les hanches et laisser glisser le tissu fin et délicat le long de mes hanches. C’est la première fois que je fais un truc pareil, mais je ne veux pas laisser la gêne s’emparer de moi, pas ce soir.
Son regard est doux et pétillant sur moi.
W : qu’est-ce que tu fais ?
S : çà ne se voit pas ?
W : tu n’as pas à …
S : chut ! Laisses-moi m’occuper de toi maintenant…
Je vois son sourire qui me fait chavirer se dessiner sur ses lèvres, alors que ses yeux quittent les miens pour descendre le long de mon corps qui brûle pour lui à cet instant.
Il me dévore littéralement et je sens que ses mains le démangent.
Je souris de son trouble et en abuse en ne cessant de le fixer. Il abdique devant ma détermination. Robe à terre, je détache sensuellement mon soutien gorge et l’enroule autour de son cou en jouant avec lui. Il a l’air d’apprécier mon petit manège.
Il tente de me serrer entre ses bras mais je m’échappe tel un félin.
Genoux sur le sofa, je m’approche lentement au son de la musique entre ses jambes et danse pour lui. Je sens son cœur s’affoler et je sais qu’il ne rêve que d’une chose, me sauter dessus, pourtant, il me laisse faire, se laissant docilement dominer.
Ses lèvres sont si proches que je ne peux m’empêcher de m’en emparer, d’abord doucement, puis j’amplifie mes mouvements jusqu’à pénétrer sa bouche avec gourmandise. Il se laisse toujours faire mais je sens ses bras m’enserrer et je ne tente pas de me dégager cette fois. Je frissonne légèrement et c’est si bon de sentir sa chaleur autour de moi.
Il caresse mon dos, effectuant de petits mouvements circulaires de bas en haut alors que j’embrasse son cou et mordille sa carotide.
Après quelques minutes de ce ballet charnel, je recule et me remet debout, lui tendant une main pour qu’il se lève et me rejoigne. La radio joue un nouvel air de jazz « always on my mind » interprété par Michael Bublé. Je l’entraîne dans une danse et nos pieds se touchent alors que face à face nos regards se fondent l’un dans l’autre. Je sens le rose de mes joues, la chaleur de mes sentiments gonfler mon cœur de bien être. La flamme brille.
La voix s’élève autour de nous et nous nous laissons entraîner. Je pose ma tête contre son épaule et me laisse bercer par ses pas et le son de la musique, magique.
Je sais maintenant que je suis là où j’ai toujours voulu être, même si j’ai mis dix ans et bien des problèmes sur notre route avant de m’en rendre compte...
Quand la musique cesse, nos corps continuent de se balancer sur un rythme imaginaire et je n’ai qu’une envie monter dans notre chambre et m’abandonner dans ses bras.
Je m’écarte et le regarde. Il passe ses mains sur ma taille et me soulève d’un seul coup dans ses bras avec facilité. Il ne dit pas un mot mais ce que je lis dans ses yeux me suffit. Il gravit marche après marche les escaliers et ouvre la porte de notre chambre qu’il referme d’un rapide coup de coude. Il ne me pose même pas par terre mais sur le lit, directement et se place au dessus de moi. Je lui sourie et commence à soulever son tee-shirt qui vole au coin de la pièce. Mes mains parcourent son torse puissant, musclé et doré par la Floride et ses origines. Tout ce que je vois me régale, je suis aux anges. Il me regarde faire et détaille ma poitrine avant de fondre dessus avec voracité.
Après ces longs moments de tendresse, je le sens avide de caresses plus osées, plus franches. Je ne me fais pas prier et laisse les boutons de son jean céder sous la pression de mes doigts et de son désir.
Son caleçon subi rapidement le même sort et il est nu comme un ver. Cote à cote, je tente une première approche, m’empare de ses lèvres et laisse enfin mes doigts glisser aux endroits où seul il m’est permis d’aller. Je le sens se raidir au premier contact et étouffer de petits gémissements alors que je poursuis toujours plus loin ma quête de sensations.
W : tu veux me rendre fou...
Je ne répond rien mais relève mon visage face au sien, le regard plein de malice et de détermination avant de replonger plus bas, pour rejoindre le cheminement de mes doigts conquérants.
W : Sonia...je...
Je le sens s’abandonner totalement sous la caresse de ma bouche...
Je m’applique et sens ses doigts toucher tendrement mon dos au même rythme que mes caresses entre ses jambes.
Je me plait à le sentir au bord de l’extase.
Il finit par se dégager et son regard perdu et vitreux m’en dit long sur le plaisir que j’ai pu lui procurer.
Il reprend l’avantage et laisse ses lèvres glisser plus bas, toujours plus bas, trop bas à mon goût.
Après plusieurs minutes de doux supplice, il reprend possession de mes lèvres et se frotte contre moi. Je sens que notre attente touchera bientôt à sa fin.
Il vient en moi doucement, ce qui contraste avec le violent désir que je peux lire dans ses yeux. Il s’immobilise un instant pour me fixer puis entame ses longs va et vient. Je me sens transportée et tente de m’accorder à ses mouvements.
Quand il me sent prête, il amplifie son mouvement, jusqu’à nous porter vers l’extase, tous les deux.
Nos corps raidis et terrassés s’effondrent mollement sur le lit après tant de sensations.
Il se retourne vers moi et me sourie tendrement. Je ne sais pas pourquoi il sourie aux anges comme çà...
S : pourquoi tu souries comme çà ?
W : je vais t’épouser, je suis heureux...
Je sens que mon cœur va faillir s’il continue à me faire des déclarations comme çà...
S : tu en es bien sûr ?
W : tu doutes ?
S : non, mais tu ne vas pas partir encore dans quelques temps ? Lassé et paniqué ? On ne sait jamais, je suis déjà passée par là...
W : je t’aime ! Je ne veux pas que tu croies que cela puisse changer un jour...j’ai tenté de t’oublier pendant dix ans après mon départ et ma connerie de jeune idiot...tu vois le résultat ?
S : non ? C’est quoi le résultat ?
W : je n’y suis jamais arrivé et je te croise une fois par hasard et j’en prends pour perpet’
S : c’est comme çà que tu vois les choses ?
W : oui, et la seconde fois, je te fais le plus beaux des petits garçons...
Je souris à cette évocation.
S : tu ne t’es jamais fâché à ce propos...je veux dire, j’ai eu milles occasions de te l’avouer et je t’ai fait perdre tant de temps avec Andréas...
W : on fait tous des erreurs, mais sans nos erreurs, on ne serait peut-être pas là, tous les deux, tout de suite et maintenant...
S : je t’aime...et je te remercie pour cette soirée...
W : je suis content que çà t’ai plu...
S : tout ce qui me plait Went, c’est d’être avec toi, mais tu rends vraiment les choses exceptionnelles et je n’en t’aime que plus...
W : tu es mon âme sœur...
S : je sais !
W : ?
Il me regarde avec son sourcil relevé, il est trop craquant comme çà !
S : ta mère me l’as dit l’année dernière quand nous étions venus en week-end et que j’étais enceinte d’Andréas, elle m’a dit très ouvertement que je faisais une erreur si je passais à coté de mes sentiments pour toi, tout comme toi tu étais passé à coté des tiens il y a dix ans...
Elle m’a dit que nous étions des âmes sœurs...
W : elle a raison, je ne voyais pas ma vie avec une autre que toi...
Je me redresse et laisse une larme couler sur ma joue. Elle tombe sur celle de Went qui la chasse et caresse mon visage.
W : tu sais ce qui me ferait plaisir maintenant ?
S : dis toujours...
W : une petite fille, qui aurait ton sourire...
S : et ce sera tout ?
W : non...
S : ?
W : j’en voudrais encore pleins d’autres après...
S : et on les mettra où ?
W : on achètera une maison plus grande et un mini bus...
S : non mais çà ne va pas ?!
W : ........
Il n’arrêtes pas de se moquer de moi, mais je sais que dans le fond, une maison remplie d’enfant, il ne souhaite que çà...
S : je vais voir ce que je peux faire pour la petite fille, mais dans quelques mois d’accord ? Trois si tu vois ce que je veux dire...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
- Nombre de messages : 386
Age : 45
Localisation : Paris
Date d'inscription : 11/06/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
SUBLIME suite ma cherie!!!!
went qui veut une peuplade d'enfants
je suis accro j'en redemande stp!!!!
went qui veut une peuplade d'enfants
je suis accro j'en redemande stp!!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
W : pas trop triste de rentrer ?
S : tu veux rire ? Enfin un peu seuls tous les deux !
W : tu aurais une idée derrière la tête peut-être ?
S : moi ? Absolument pas ! Et toi ?
W : je suis crevé et je vais me plonger dans mon lit avec plaisir !
S : on est deux alors !
Il me sourit et je vois bien à son air coquin qu’il me titille et que le sommeil n’est pas pour nous, enfin, pas tout de suite…
Il aurait peur de ce que pourrait lui faire Sonia ? Je crois qu'il est très intriguéJe crois que c’est à moi, maintenant, de lui prouver à quel point je l’aime !
W : tu ne vas pas être méchante non ?
S : ce n’est pas mon genre…
Sonia se veut audieuse. Elle veut s'abandonner et jouer avec Wentworth
Je me replace face à lui et commence doucement à me déshabiller, face à lui…
Il ouvre des yeux ronds et surpris, je n’ai pas l’âme d’une strip-teaseuse, mais je suis follement amoureuse et c’est à moi de lui faire plaisir maintenant. Après tout c’est un homme et quel homme n’aimerait pas çà ?
Je profite de la musique pour onduler légèrement les hanches et laisser glisser le tissu fin et délicat le long de mes hanches. C’est la première fois que je fais un truc pareil, mais je ne veux pas laisser la gêne s’emparer de moi, pas ce soir.
Son regard est doux et pétillant sur moi.
Apparemment, il ne s'attendait pas à ça. On dirait qu'il est presque gêné
W : qu’est-ce que tu fais ?
S : çà ne se voit pas ?
W : tu n’as pas à …
Je crois qu'il s'est vraiment laissé prendre à ce petit jeu même s'il a du mal à résister
Je vois son sourire qui me fait chavirer se dessiner sur ses lèvres, alors que ses yeux quittent les miens pour descendre le long de mon corps qui brûle pour lui à cet instant.
Il me dévore littéralement et je sens que ses mains le démangent.
Je souris de son trouble et en abuse en ne cessant de le fixer. Il abdique devant ma détermination. Robe à terre, je détache sensuellement mon soutien gorge et l’enroule autour de son cou en jouant avec lui. Il a l’air d’apprécier mon petit manège.
Il tente de me serrer entre ses bras mais je m’échappe tel un félin.
La suite du programme est tout aussi croustillante
Son caleçon subi rapidement le même sort et il est nu comme un ver. Côte à côte, je tente une première approche, m’empare de ses lèvres et laisse enfin mes doigts glisser aux endroits où seul il m’est permis d’aller. Je le sens se raidir au premier contact et étouffer de petits gémissements alors que je poursuis toujours plus loin ma quête de sensations.
W : tu veux me rendre fou...
Je ne réponds rien mais relève mon visage face au sien, le regard plein de malice et de détermination avant de replonger plus bas, pour rejoindre le cheminement de mes doigts conquérants.
W : Sonia...je...
Je le sens s’abandonner totalement sous la caresse de ma bouche...
Je m’applique et sens ses doigts toucher tendrement mon dos au même rythme que mes caresses entre ses jambes.
Je me plait à le sentir au bord de l’extase.
Il finit par se dégager et son regard perdu et vitreux m’en dit long sur le plaisir que j’ai pu lui procurer.
Il reprend l’avantage et laisse ses lèvres glisser plus bas, toujours plus bas, trop bas à mon goût.
Went a l'air éperdument amoureux de cette femme et c'est réciproqueIl se retourne vers moi et me sourit tendrement. Je ne sais pas pourquoi il sourit aux anges comme çà...
S : pourquoi tu souries comme çà ?
W : je vais t’épouser, je suis heureux...
Je sens que mon cœur va faillir s’il continue à me faire des déclarations comme çà...
W : je t’aime ! Je ne veux pas que tu croies que cela puisse changer un jour...j’ai tenté de t’oublier pendant dix ans après mon départ et ma connerie de jeune idiot...tu vois le résultat ?
S : non ? C’est quoi le résultat ?
W : je n’y suis jamais arrivé et je te croise une fois par hasard et j’en prends pour perpet’
S : c’est comme çà que tu vois les choses ?
W : oui, et la seconde fois, je te fais le plus beaux des petits garçons...
Je souris à cette évocation.
Ils ont tous les 2 compris et reconnu leurs erreurs. Ils ont su pardonné à l'autre pour donner une chance à leur amour, à leur famille aussiS : tu ne t’es jamais fâché à ce propos...je veux dire, j’ai eu mille occasions de te l’avouer et je t’ai fait perdre tant de temps avec Andréas...
W : on fait tous des erreurs, mais sans nos erreurs, on ne serait peut-être pas là, tous les deux, tout de suite et maintenant...
A mon avis, Andréas ne restera pas seul longtemps
S : je t’aime...et je te remercie pour cette soirée...
W : je suis content que çà t’ai plu...
S : tout ce qui me plait Went, c’est d’être avec toi, mais tu rends vraiment les choses exceptionnelles et je n’en t’aime que plus...
W : tu es mon âme sœur...
W : tu sais ce qui me ferait plaisir maintenant ?
S : dis toujours...
W : une petite fille, qui aurait ton sourire...
S : et ce sera tout ?
W : non...
S : ?
W : j’en voudrais encore pleins d’autres après...
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
W : j’en voudrais encore pleins d’autres après...
S : et on les mettra où ?
W : on achètera une maison plus grande et un mini bus...
Went est vraiment fou!!!!
En tout cas magnifique suite!!!
ET vivement la prochaine!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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