Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Le début est génialissime comme les chap précédent, J'ai vriament hate de voir comment tout cela va se dérouler.. Et est ce qu'ils saurant être discret... car moi ca me parait difficile surtout que Jodie les a vu dormir ensemble, alors je pense qu'elle finira bien pas ce douter de quelque chose.
Sinon pour la suite, je me suis bien marrée de rire avec leurs règles, j'ai hate de voir d'une part la réaction de Went quand il vera Sara apporter les boissons et d'autre part la semaine des garçons.
j'attends la suite avec impatience...
Sinon pour la suite, je me suis bien marrée de rire avec leurs règles, j'ai hate de voir d'une part la réaction de Went quand il vera Sara apporter les boissons et d'autre part la semaine des garçons.
j'attends la suite avec impatience...
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Went qui veut discuter avec Sarah mais chez lui, oui c'est ça c'est une discussion
sinon le début est très paSSionné
ensuite avec les règles de vie du loft
non mais quels goujats ces mecs, ils laissent les filles tout faire et doivent exaucer leurs moindres désirs
et Dom qui pue des pieds
merci beaucoup pour cette suite et pourtant je ne t'ai pas vraiment harcelée aujourd'hui (à quoi je sers )
gros
sinon le début est très paSSionné
ensuite avec les règles de vie du loft
non mais quels goujats ces mecs, ils laissent les filles tout faire et doivent exaucer leurs moindres désirs
et Dom qui pue des pieds
merci beaucoup pour cette suite et pourtant je ne t'ai pas vraiment harcelée aujourd'hui (à quoi je sers )
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
J'adore les regles du loft, ça l'air bien marrant. Je me demande comment Wen va reagir.
Et pauvre Dom avec ses pieds
A quand la suite svp
Et pauvre Dom avec ses pieds
A quand la suite svp
zenaide- Retrouve Steadman
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Localisation : en plein coeur d'un homme.......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
hello miss
aujourd'hui j'ai décidé de m'y prendre très tôt pour être sure que tu puisses en écrire deux
donc
et prépares en aussi deux pour demain STP
aujourd'hui j'ai décidé de m'y prendre très tôt pour être sure que tu puisses en écrire deux
donc
et prépares en aussi deux pour demain STP
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
je milite avec toi pour les deux suites loltinkerbel a écrit:hello miss
aujourd'hui j'ai décidé de m'y prendre très tôt pour être sure que tu puisses en écrire deux
donc
et prépares en aussi deux pour demain STP
et les deux d'aprés aussi
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
merci beaucoup pour vos coms mes chéries, je vous mets deux suites, mais pas sur de pouvoir poster demain :salut: :bisous:
Chapitre 11.
Furieuse mais excitée à ce que je m’apprête de faire, je souris en sortant sur la terrasse. Les pachas sont tous à table en train de grignoter des amuse-gueules ! Non mais je rêve ! Soudain, alors qu’ils ont prit conscience de ma présence, ils me sourient tous. Went se lève aussitôt et s’approche de moi.
W : (murmurant) Qu’est-ce que tu fais ?
S : (lui souriant tendrement) Je rapporte vos boissons.
W : J’ai dis aux filles…
S : Went ! Tu étais d’accord pour ça ? Ce règlement ?
W : (déglutissant avec peine, comprenant qu’elle n’était pas d’accord) Heu… non, je trouve ça compétemment puérile.
S : (lui souriant et murmurant) J’espère que tu dis vrai sinon…
W : (regard brillant) Donnes moi ça, ma puce.
S : Non, laisse. Je participe aux tâches, il n’y a pas de raison.
Je la fixe et n’aime pas du tout ce petit sourire qu’elle a au coin de la bouche. Ni le regard qu’elle a en fixant les autres installés à la table. J’essaie de lui prendre le plateau mais je n’insiste pas au regard noir qu’elle a présent. Soudain, elle prend une bière et me la tend. Je soupire de soulagement et lui sourit en lui murmurant un merci. Nous avançons tous les deux près des autres qui saluent Sarah gaiement.
S : (posant le plateau sur la table quelques secondes après) Alors, c’est pour qui ces bières ? Et qui a eu l’idée de se servir du téléphone pour passer votre commande ?
A : C’est moi ! C’est beaucoup plus pratique !
S : Ho mais je n’en doute pas, Amaury. Tes fesses doivent être restées coller sur la chaise, non ?
A : Je dois affiner mon bronzage !
Je le regarde en souriant d’un air froid tandis qu’il éclate de rire. Il se croit toujours aussi drôle en plus. Je lance un regard vers Went qui a soudainement les yeux écarquillés et me fait la moue, se doutant sans doute ce que j‘allais faire. Je souris, satisfaite et prend le verre de bière d’Amaury et contourne la table pour le servir.
Je savais qu’elle serait la seule à ne pas accepter ces règles ! Je la connais trop bien. Mais je ne me doutais pas qu’elle aurait fait ça ! Je la regarde, éberlué tandis qu’Amaury pousse un cri de surprise alors que Sarah lui renverse la bière sur la tête. Tous le monde éclate de rire mais s’interromps aussitôt en voyant le regard noir de Sarah les observer un à un. Amaury se redresse rapidement et se penche en avant, le souffle court.
A : (suffocant) Bon sang, Sarah ! Je peux savoir pourquoi t’a fait ça ?
S : (souriant, satisfaite) La prochaine fois, si tu veux quelques choses, tu lèves ton cul et tu te sers !
R : (essayant de calmer son fou rire ) Sarah…. C’est le règlement ma grande, et maintenant….
W : (voix sèche) Il est hors de question, Robert !
Je fronce les sourcils et regarde Went d’un air interrogateur. Ho, j’ai du faire pire que mieux…. Went ferme les yeux et soupire de lassitude, ce qui confirme ma pensée. Je me tourne à nouveau vers Robert et le foudroie du regard.
S : Je peux savoir ce que tu veux dire ?
D : Sarah, tout simplement que si quelqu’un refuse de faire ce qu’un d’entre nous a demandé, et bien….
W : Elle n’en savait rien, Dom et les boissons, elle les a rapporté, non ?
A : (vexé) Oui, sur ma tronche !
M : (souriant) Il faudra que tu fais un massage à celui que tu as… comment dire, refuser ce qu’il a demandé !
S : (éclatant de rire pour refouler l’envie de les étrangler) Très bien, j’adore faire les massages ! Bon j’avoue que personne ne veut plus en recevoir de moi ensuite mais Amaury, je suis certaine que tu vas apprécier….
A : (écarquillant les yeux) Non, non…. Ça va aller, on dira que tu ne savais pas au juste les règles, d’accord ?
D : (éclatant de rire) T’es vraiment un fumier, Nolasco ! C’est toi qui a pratiquement tout décréter ce règlement !
M : (poussant un soupir) Ben oui. Tu devrais te tenir aux règles car si Jodie et Danay…
R : (murmurant dans ses dents) Elles sont en train de rappliquer.
Je me retourne et pouffe de rire à l’étonnement que je lis sur leurs visages. Rapidement, elles posent tous les plats contenant notre nourriture et s’approchent toutes les deux d’Amaury qui est encore tout collant et trempé.
J : Sarah ?
S : (souriant) Oui…
Da : (pouffant de rire mais reprenant son sérieux) Bon, ben…
J : On a oublié de te prévenir… tu devras lui faire un massage.
W : Elle ne le fera pas ! Amaury ne veut pas, je veux dire…
J : (se tournant vers Amaury) Tu dois désigner quelqu’un d’autre donc.
A : (sourire large sur les lèvres) Went, et j’espère bien qu’elle te fera souffrir !
D : Tient, on dirait que sur toi, tu n’en vois pas d’inconvénient p’tit frère.
Tous le monde éclate de rire. Je lève les yeux au ciel et me demande vraiment où je suis tombée ! J’aurais peut être mieux fait de rester où j’étais me dis-je avant de m’installer à côté de Went.
Quelques minutes plus tard, profitant tous que Robert amène la discussion sur les projets de chacun pour le week-end qui approche, nous commençons à manger dans une bonne humeur. De temps en temps, je lance un sourire complice à Went et me sens rougir quand j’aperçois cette lueur dans ses yeux alors qu’il m’observe depuis un petit moment.
W : (s’apercevant du trouble de Sarah) Et toi Dom ? Tu vas voir les petits ce week-end ?
D : Oui, ils sont chez leur marraine.
S : Ils vont bien ?
D : (lui souriant tendrement) Ça va merci. Et toi, Sarah ? Tu vas retrouver ton fiancé ce week-end ?
S : (déglutissant) Heu…non.
D : (haussant les sourcils, étonné) Ha. Tu vas donc devoir rester ici toute seule.
W : Je resterais là.
A : (surpris) Tu devais pas aller chez tes parents ?
W : Non, ils ont annulés… je l’ai appris ce matin.
D : Tu pourras veiller sur elle, dans ce cas, car elle m’a l’air encore bien pâle. Sarah ? Tu es sure que tu vas bien ?
S : (écarquillant les yeux) Hein ?
Je souris légèrement à son air ahurie, elle a l’air complètement ailleurs. Je regarde les autres qui se moquent d’elle gentiment jusqu’à ce qu’Amaury lui demande des nouvelles de John. C’est une calamité ce mec, pestais-je à l’intérieur de moi en le foudroyant du regard.
S : (baissant les yeux) Je n’en sais rien.
A : (gardant la bouche ouverte) Tu… vous…
S : (soupirant) Nous avons rompu oui.
J & Da : (en même temps) Désolée, Sarah.
Je leur souris timidement pour les remercier malgré que j’en éprouve aucune peine. Par contre, la colère m’envahit un peu alors que j’aperçois les sourires satisfait de Dom, Amaury et Robert. Alors que j’allais répliqué une cinglante pour leur ôter ce sourire narquois, la main de Went effleure ma cuisse, sous la table.
Troublée par ce contact, je le regarde furtivement. Il me sourit tendrement me donnant la force de relever.
S : (s’adressant aux filles) Merci, mais il n’y a pas de quoi être désolées. Regardez les ! Ils en sont ravis que j’ai rompu mes fiançailles.
D : Donc, c’est toi qui a rompu ?
S : Je ne vois pas en quoi ce que cela change, que c’est lui ou moi !
D : (se levant) Ho que si ! Et j’arrive t’embrasser pour la merveilleuse idée que tu as eue !
Tous le monde éclate de rire tandis que je regarde Dominic contourner la table pour s’approcher d’elle. Non, il ne va pas l’embrasser tout de même ! Alors que Sarah serre ma main dans la sienne, elle se penche sur le côté afin d’éviter l’étreinte de Dom, ce qui fait rire tous les autres.
W : Vas-y, Dom, laisse là !
D : (prenant le visage de Sarah dans ses mains) Tu permets, p’tit frère ! Maintenant elle est célibataire !
S : (le foudroyant du regard) Ne t’avise même pas, Purcell !
D : Et pourquoi ça ? Tu es libre maintenant !
Je plisse les yeux afin d’appuyer la colère que j’éprouve à ces remarques absurdes et il éclate de rire. Il s’avance vers mon visage et m’embrasse sur le front d’un baiser amical. Soupirant de soulagement, je lui lance un juron, ce qui a pour effet de redoubler son fou rire. Mais au lieu de retourner à sa place, il se rut vers Went et l’embrasse à pleine bouche.
Je suis écroulée de rire tandis que Went se débat de l’étreinte de Dom en hurlant. Peu après, il parvient à se détacher de lui. Le regard noir que Went lui lance en s’essuyant sa bouche avec une grimace écoeurante me fait pleurer de rire.
W : Tu vas me le payer ça, Purcell !
D : Allez, c’était pour rire, Went. Je pensais que tu étais jaloux que j’allais embrasser Sarah et non toi, donc….
W : (riant d’un air dédaigneux) Vas-y rigoles bien mais tu ne paies rien pour attendre, c’est moi qui te le dit !
S : (essayant de calmer son rire) C’est bon, Dom ! Laisse le tranquille.
W : (retournant s’asseoir) Et ça te fait rire ?
S : (essuyant ses yeux) Non… désolée.
Je ne peux que laisser échapper un rire en la voyant se tordre ainsi en riant, les larmes aux yeux. Elle est magnifique, si belle quand un sourire vient éblouir son visage. Mais Dom a raison, elle est vraiment très pâle. Cessant de rire, je lance un regard vers son assiette et fronce les sourcils, remarquant qu’elle n’a pratiquement rien avalée…
Chapitre 12.
Cela fait plus d’une heure que je me suis isolée dans ma chambre. Après la rigolade du baiser langoureux de Dom et Went, Amaury est revenu à la charge avec son interrogatoire. D’une question à une autre, ils voulaient tous savoir ce que je faisais pendant cette longue absence.
C’est donc ainsi que j’ai tout sortit d’un bloc. Essayant de garder les émotions au plus profond de moi, je leur ai tout raconté. Went quand à lui, m’avait soutenu pendant mon récit. Ses regards, sa main dans la mienne m’aidaient beaucoup. A chaque fois que j’étais sur le point d’éclater en pleurs à ce douloureux souvenir, il donnait une pression sur ma main avec ses doigts, que nous avons finit par entrelacer sous la table.
Je me sentais très mal au début, puis, petit à petit, quand ils ont tous comprit, je me sentais rassurée de constater qu’ils me regardaient avec cette colère aux fond des yeux. Cela peut paraître étrange, mais je n’aurais pas voulu voir de pitié ou de compassion dans leurs regards. J’éprouvais toujours une grande culpabilité pour ça. Maintenant que mes plus proches amis étaient au courant, je me devais d’avancer, d’oublier….
Cela fait déjà un petit moment que je reste avec Dom sur la terrasse tandis que les autres sont près du jacuzzi. Après le départ de Sarah pour aller se reposer un peu, on est resté à table, à discuter de tout et de rien.
J’ai sentit Sarah soulagée de se confier aux autres. Seul Dom a eu assez de mal à encaisser son geste. Je le vois dans son regard. J’espère qu’il lui pardonnera car il l’apprécie beaucoup, bien plus qu’il ne le montre.
W : (d’une voix grave) Ne lui en veut pas, Dom.
D : (baissant le regard) Non… c’est plutôt à cet enfoiré que j’en veux. Et toi ? Tu es au courant depuis quand ?
W : Hier, après qu’elle est revenue à elle….
Un silence s’ensuivit tandis que je repense à la profonde douleur que j’ai ressentit en moi quand elle m’a tout avoué. Cette panique enivrante qui m’a surprit à l’idée que j’aurais pu la perdre. Je déglutis avec peine, l’émotion monte une fois de plus en moi, que je tente aussitôt de refouler.
D : (posant une main sur son épaule, remarquant son trouble) Et toi ? Comment tu prends tout ça ?
W : (plissant les yeux, hésitant) Je n’en sais trop rien…. Mais l’idée qu’elle aurait pu…
D : (sourire léger) Oui, en tout cas cette pourriture si je le croise.
W : (riant nerveusement) Ouais, tu lui feras la peau tout comme moi.
D : (riant également) Tu sais…. Enfin, je sais comme tous le monde le sait que vous êtes très proche, Sarah et toi, et…
W : (levant les yeux au ciel, craignant le pire) C’est bon, Dom ! Ne recommence pas avec ça, s’il te plait.
D : (prenant l’air innocent) Je n’ai rien dit ! C’est juste qu’il faudrait que tu admets l’évidence que vous…
W : (le foudroyant du regard) Stoppe là, Dom.
D : (éclatant de rire) Ok, on en reparlera plus tard, p’tit frère !
Il est vraiment aussi infernal qu’Amaury ma parole ! J’en ai assez entendu car si je reste près de lui cinq minutes de plus, je risque de lui révéler le bonheur que je cache au fond de moi, du moins j’essaie de le faire. Alors que je me lève de la chaise, je lui lance un regard et constate qu’il reprend son air sérieux.
D : Went ?
W ; (soupirant) Quoi ?
D : Si tu as besoin de parler…
J’hésite un instant et finit par le remercier d’un sourire avant de tourner les talons. Alors que je pensais trouver personne à l’intérieur sauf Sarah que je m’apprêtais à rejoindre discrètement, ils sont tous dans le salon.
A : (d’un air pris sur le fait) Ha Went ! Tu viens avec nous ?
W : Où ça ?
J : Am et Rob nous offre un verre au pub.
W : Non merci, je suis complètement vanné. Je vais rester là et me reposer un peu.
Alors que je surprends des regards complices qu‘ils se lancent, Dominic arrive à son tour dans la pièce. Convaincu que cette sortie est un prétexte pour me laisser seul avec Sarah, je jubile intérieurement de leurs maladresses. Si ils savaient qu’ils nous rendent un fier service.
D : Bon ! On y go ?
J : Ouais, tu es sur que tu ne veux pas venir, Went ?
Da : Qui resterait avec Sarah ? Au fait, elle s’est endormie je viens d’aller voire si elle avait besoin de rien.
W : (souriant) C’est gentil, mais non je préfère rester ici.
A : Très bien, alors à tout à l’heure mon pot !
W : (riant légèrement) Salut, amusez-vous bien.
D : On sera rentré dans… disons deux bonnes heures.
Je remarque son petit clin d’œil qu’il vient de me lancer avant de sortir de la pièce. Pas possible ceux là ! Alors que j’allais m’empresser de voir comment Sarah allait, Dom réapparaît dans la pièce.
D : J’allais oublier de te dire…
W : (fronçant les sourcils, interrogateur) Quoi ?
D : Je serais à ta place, tu devrais profiter de lui demander le massage qu’elle te doit !
Exaspéré par sa remarque et son éclat de rire, j’attrape le cousin et le balance dans sa direction. Mais vivement, il referme la porte et je regarde mon projectile tomber au sol avant d’éclater de rire…
Chapitre 11.
Furieuse mais excitée à ce que je m’apprête de faire, je souris en sortant sur la terrasse. Les pachas sont tous à table en train de grignoter des amuse-gueules ! Non mais je rêve ! Soudain, alors qu’ils ont prit conscience de ma présence, ils me sourient tous. Went se lève aussitôt et s’approche de moi.
W : (murmurant) Qu’est-ce que tu fais ?
S : (lui souriant tendrement) Je rapporte vos boissons.
W : J’ai dis aux filles…
S : Went ! Tu étais d’accord pour ça ? Ce règlement ?
W : (déglutissant avec peine, comprenant qu’elle n’était pas d’accord) Heu… non, je trouve ça compétemment puérile.
S : (lui souriant et murmurant) J’espère que tu dis vrai sinon…
W : (regard brillant) Donnes moi ça, ma puce.
S : Non, laisse. Je participe aux tâches, il n’y a pas de raison.
Je la fixe et n’aime pas du tout ce petit sourire qu’elle a au coin de la bouche. Ni le regard qu’elle a en fixant les autres installés à la table. J’essaie de lui prendre le plateau mais je n’insiste pas au regard noir qu’elle a présent. Soudain, elle prend une bière et me la tend. Je soupire de soulagement et lui sourit en lui murmurant un merci. Nous avançons tous les deux près des autres qui saluent Sarah gaiement.
S : (posant le plateau sur la table quelques secondes après) Alors, c’est pour qui ces bières ? Et qui a eu l’idée de se servir du téléphone pour passer votre commande ?
A : C’est moi ! C’est beaucoup plus pratique !
S : Ho mais je n’en doute pas, Amaury. Tes fesses doivent être restées coller sur la chaise, non ?
A : Je dois affiner mon bronzage !
Je le regarde en souriant d’un air froid tandis qu’il éclate de rire. Il se croit toujours aussi drôle en plus. Je lance un regard vers Went qui a soudainement les yeux écarquillés et me fait la moue, se doutant sans doute ce que j‘allais faire. Je souris, satisfaite et prend le verre de bière d’Amaury et contourne la table pour le servir.
Je savais qu’elle serait la seule à ne pas accepter ces règles ! Je la connais trop bien. Mais je ne me doutais pas qu’elle aurait fait ça ! Je la regarde, éberlué tandis qu’Amaury pousse un cri de surprise alors que Sarah lui renverse la bière sur la tête. Tous le monde éclate de rire mais s’interromps aussitôt en voyant le regard noir de Sarah les observer un à un. Amaury se redresse rapidement et se penche en avant, le souffle court.
A : (suffocant) Bon sang, Sarah ! Je peux savoir pourquoi t’a fait ça ?
S : (souriant, satisfaite) La prochaine fois, si tu veux quelques choses, tu lèves ton cul et tu te sers !
R : (essayant de calmer son fou rire ) Sarah…. C’est le règlement ma grande, et maintenant….
W : (voix sèche) Il est hors de question, Robert !
Je fronce les sourcils et regarde Went d’un air interrogateur. Ho, j’ai du faire pire que mieux…. Went ferme les yeux et soupire de lassitude, ce qui confirme ma pensée. Je me tourne à nouveau vers Robert et le foudroie du regard.
S : Je peux savoir ce que tu veux dire ?
D : Sarah, tout simplement que si quelqu’un refuse de faire ce qu’un d’entre nous a demandé, et bien….
W : Elle n’en savait rien, Dom et les boissons, elle les a rapporté, non ?
A : (vexé) Oui, sur ma tronche !
M : (souriant) Il faudra que tu fais un massage à celui que tu as… comment dire, refuser ce qu’il a demandé !
S : (éclatant de rire pour refouler l’envie de les étrangler) Très bien, j’adore faire les massages ! Bon j’avoue que personne ne veut plus en recevoir de moi ensuite mais Amaury, je suis certaine que tu vas apprécier….
A : (écarquillant les yeux) Non, non…. Ça va aller, on dira que tu ne savais pas au juste les règles, d’accord ?
D : (éclatant de rire) T’es vraiment un fumier, Nolasco ! C’est toi qui a pratiquement tout décréter ce règlement !
M : (poussant un soupir) Ben oui. Tu devrais te tenir aux règles car si Jodie et Danay…
R : (murmurant dans ses dents) Elles sont en train de rappliquer.
Je me retourne et pouffe de rire à l’étonnement que je lis sur leurs visages. Rapidement, elles posent tous les plats contenant notre nourriture et s’approchent toutes les deux d’Amaury qui est encore tout collant et trempé.
J : Sarah ?
S : (souriant) Oui…
Da : (pouffant de rire mais reprenant son sérieux) Bon, ben…
J : On a oublié de te prévenir… tu devras lui faire un massage.
W : Elle ne le fera pas ! Amaury ne veut pas, je veux dire…
J : (se tournant vers Amaury) Tu dois désigner quelqu’un d’autre donc.
A : (sourire large sur les lèvres) Went, et j’espère bien qu’elle te fera souffrir !
D : Tient, on dirait que sur toi, tu n’en vois pas d’inconvénient p’tit frère.
Tous le monde éclate de rire. Je lève les yeux au ciel et me demande vraiment où je suis tombée ! J’aurais peut être mieux fait de rester où j’étais me dis-je avant de m’installer à côté de Went.
Quelques minutes plus tard, profitant tous que Robert amène la discussion sur les projets de chacun pour le week-end qui approche, nous commençons à manger dans une bonne humeur. De temps en temps, je lance un sourire complice à Went et me sens rougir quand j’aperçois cette lueur dans ses yeux alors qu’il m’observe depuis un petit moment.
W : (s’apercevant du trouble de Sarah) Et toi Dom ? Tu vas voir les petits ce week-end ?
D : Oui, ils sont chez leur marraine.
S : Ils vont bien ?
D : (lui souriant tendrement) Ça va merci. Et toi, Sarah ? Tu vas retrouver ton fiancé ce week-end ?
S : (déglutissant) Heu…non.
D : (haussant les sourcils, étonné) Ha. Tu vas donc devoir rester ici toute seule.
W : Je resterais là.
A : (surpris) Tu devais pas aller chez tes parents ?
W : Non, ils ont annulés… je l’ai appris ce matin.
D : Tu pourras veiller sur elle, dans ce cas, car elle m’a l’air encore bien pâle. Sarah ? Tu es sure que tu vas bien ?
S : (écarquillant les yeux) Hein ?
Je souris légèrement à son air ahurie, elle a l’air complètement ailleurs. Je regarde les autres qui se moquent d’elle gentiment jusqu’à ce qu’Amaury lui demande des nouvelles de John. C’est une calamité ce mec, pestais-je à l’intérieur de moi en le foudroyant du regard.
S : (baissant les yeux) Je n’en sais rien.
A : (gardant la bouche ouverte) Tu… vous…
S : (soupirant) Nous avons rompu oui.
J & Da : (en même temps) Désolée, Sarah.
Je leur souris timidement pour les remercier malgré que j’en éprouve aucune peine. Par contre, la colère m’envahit un peu alors que j’aperçois les sourires satisfait de Dom, Amaury et Robert. Alors que j’allais répliqué une cinglante pour leur ôter ce sourire narquois, la main de Went effleure ma cuisse, sous la table.
Troublée par ce contact, je le regarde furtivement. Il me sourit tendrement me donnant la force de relever.
S : (s’adressant aux filles) Merci, mais il n’y a pas de quoi être désolées. Regardez les ! Ils en sont ravis que j’ai rompu mes fiançailles.
D : Donc, c’est toi qui a rompu ?
S : Je ne vois pas en quoi ce que cela change, que c’est lui ou moi !
D : (se levant) Ho que si ! Et j’arrive t’embrasser pour la merveilleuse idée que tu as eue !
Tous le monde éclate de rire tandis que je regarde Dominic contourner la table pour s’approcher d’elle. Non, il ne va pas l’embrasser tout de même ! Alors que Sarah serre ma main dans la sienne, elle se penche sur le côté afin d’éviter l’étreinte de Dom, ce qui fait rire tous les autres.
W : Vas-y, Dom, laisse là !
D : (prenant le visage de Sarah dans ses mains) Tu permets, p’tit frère ! Maintenant elle est célibataire !
S : (le foudroyant du regard) Ne t’avise même pas, Purcell !
D : Et pourquoi ça ? Tu es libre maintenant !
Je plisse les yeux afin d’appuyer la colère que j’éprouve à ces remarques absurdes et il éclate de rire. Il s’avance vers mon visage et m’embrasse sur le front d’un baiser amical. Soupirant de soulagement, je lui lance un juron, ce qui a pour effet de redoubler son fou rire. Mais au lieu de retourner à sa place, il se rut vers Went et l’embrasse à pleine bouche.
Je suis écroulée de rire tandis que Went se débat de l’étreinte de Dom en hurlant. Peu après, il parvient à se détacher de lui. Le regard noir que Went lui lance en s’essuyant sa bouche avec une grimace écoeurante me fait pleurer de rire.
W : Tu vas me le payer ça, Purcell !
D : Allez, c’était pour rire, Went. Je pensais que tu étais jaloux que j’allais embrasser Sarah et non toi, donc….
W : (riant d’un air dédaigneux) Vas-y rigoles bien mais tu ne paies rien pour attendre, c’est moi qui te le dit !
S : (essayant de calmer son rire) C’est bon, Dom ! Laisse le tranquille.
W : (retournant s’asseoir) Et ça te fait rire ?
S : (essuyant ses yeux) Non… désolée.
Je ne peux que laisser échapper un rire en la voyant se tordre ainsi en riant, les larmes aux yeux. Elle est magnifique, si belle quand un sourire vient éblouir son visage. Mais Dom a raison, elle est vraiment très pâle. Cessant de rire, je lance un regard vers son assiette et fronce les sourcils, remarquant qu’elle n’a pratiquement rien avalée…
Chapitre 12.
Cela fait plus d’une heure que je me suis isolée dans ma chambre. Après la rigolade du baiser langoureux de Dom et Went, Amaury est revenu à la charge avec son interrogatoire. D’une question à une autre, ils voulaient tous savoir ce que je faisais pendant cette longue absence.
C’est donc ainsi que j’ai tout sortit d’un bloc. Essayant de garder les émotions au plus profond de moi, je leur ai tout raconté. Went quand à lui, m’avait soutenu pendant mon récit. Ses regards, sa main dans la mienne m’aidaient beaucoup. A chaque fois que j’étais sur le point d’éclater en pleurs à ce douloureux souvenir, il donnait une pression sur ma main avec ses doigts, que nous avons finit par entrelacer sous la table.
Je me sentais très mal au début, puis, petit à petit, quand ils ont tous comprit, je me sentais rassurée de constater qu’ils me regardaient avec cette colère aux fond des yeux. Cela peut paraître étrange, mais je n’aurais pas voulu voir de pitié ou de compassion dans leurs regards. J’éprouvais toujours une grande culpabilité pour ça. Maintenant que mes plus proches amis étaient au courant, je me devais d’avancer, d’oublier….
Cela fait déjà un petit moment que je reste avec Dom sur la terrasse tandis que les autres sont près du jacuzzi. Après le départ de Sarah pour aller se reposer un peu, on est resté à table, à discuter de tout et de rien.
J’ai sentit Sarah soulagée de se confier aux autres. Seul Dom a eu assez de mal à encaisser son geste. Je le vois dans son regard. J’espère qu’il lui pardonnera car il l’apprécie beaucoup, bien plus qu’il ne le montre.
W : (d’une voix grave) Ne lui en veut pas, Dom.
D : (baissant le regard) Non… c’est plutôt à cet enfoiré que j’en veux. Et toi ? Tu es au courant depuis quand ?
W : Hier, après qu’elle est revenue à elle….
Un silence s’ensuivit tandis que je repense à la profonde douleur que j’ai ressentit en moi quand elle m’a tout avoué. Cette panique enivrante qui m’a surprit à l’idée que j’aurais pu la perdre. Je déglutis avec peine, l’émotion monte une fois de plus en moi, que je tente aussitôt de refouler.
D : (posant une main sur son épaule, remarquant son trouble) Et toi ? Comment tu prends tout ça ?
W : (plissant les yeux, hésitant) Je n’en sais trop rien…. Mais l’idée qu’elle aurait pu…
D : (sourire léger) Oui, en tout cas cette pourriture si je le croise.
W : (riant nerveusement) Ouais, tu lui feras la peau tout comme moi.
D : (riant également) Tu sais…. Enfin, je sais comme tous le monde le sait que vous êtes très proche, Sarah et toi, et…
W : (levant les yeux au ciel, craignant le pire) C’est bon, Dom ! Ne recommence pas avec ça, s’il te plait.
D : (prenant l’air innocent) Je n’ai rien dit ! C’est juste qu’il faudrait que tu admets l’évidence que vous…
W : (le foudroyant du regard) Stoppe là, Dom.
D : (éclatant de rire) Ok, on en reparlera plus tard, p’tit frère !
Il est vraiment aussi infernal qu’Amaury ma parole ! J’en ai assez entendu car si je reste près de lui cinq minutes de plus, je risque de lui révéler le bonheur que je cache au fond de moi, du moins j’essaie de le faire. Alors que je me lève de la chaise, je lui lance un regard et constate qu’il reprend son air sérieux.
D : Went ?
W ; (soupirant) Quoi ?
D : Si tu as besoin de parler…
J’hésite un instant et finit par le remercier d’un sourire avant de tourner les talons. Alors que je pensais trouver personne à l’intérieur sauf Sarah que je m’apprêtais à rejoindre discrètement, ils sont tous dans le salon.
A : (d’un air pris sur le fait) Ha Went ! Tu viens avec nous ?
W : Où ça ?
J : Am et Rob nous offre un verre au pub.
W : Non merci, je suis complètement vanné. Je vais rester là et me reposer un peu.
Alors que je surprends des regards complices qu‘ils se lancent, Dominic arrive à son tour dans la pièce. Convaincu que cette sortie est un prétexte pour me laisser seul avec Sarah, je jubile intérieurement de leurs maladresses. Si ils savaient qu’ils nous rendent un fier service.
D : Bon ! On y go ?
J : Ouais, tu es sur que tu ne veux pas venir, Went ?
Da : Qui resterait avec Sarah ? Au fait, elle s’est endormie je viens d’aller voire si elle avait besoin de rien.
W : (souriant) C’est gentil, mais non je préfère rester ici.
A : Très bien, alors à tout à l’heure mon pot !
W : (riant légèrement) Salut, amusez-vous bien.
D : On sera rentré dans… disons deux bonnes heures.
Je remarque son petit clin d’œil qu’il vient de me lancer avant de sortir de la pièce. Pas possible ceux là ! Alors que j’allais m’empresser de voir comment Sarah allait, Dom réapparaît dans la pièce.
D : J’allais oublier de te dire…
W : (fronçant les sourcils, interrogateur) Quoi ?
D : Je serais à ta place, tu devrais profiter de lui demander le massage qu’elle te doit !
Exaspéré par sa remarque et son éclat de rire, j’attrape le cousin et le balance dans sa direction. Mais vivement, il referme la porte et je regarde mon projectile tomber au sol avant d’éclater de rire…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
j'ai eut mes deux suites
c'est ça, il va avoir des problèmes si Sarah apprend la vérité
ensuite elle verse la bière sur Amaury et le gage c'est un massage et du coup ce sera pour Went car amaury a trop peur
et finalement la discussion dévie sur Sarah et son absence et voilà elle dévoile tout mais est soutenue par Went
Dom qui veut embrasser Sarah et finalement c'est Went qui a droit au baiser sur la bouche
donc ce week end ils seront seuls
Sarah est très pâle et ne mange pas j'espère que Went va lui redonner gout à la vie
les allusions et les manigeances pour les laisser seuls
du coup ,là ils ont deux heures pour son massage et ensuite ils devaient pas allez chez Went pour "discuter"
et demain j'en reveux une tournée
W : (déglutissant avec peine, comprenant qu’elle n’était pas d’accord) Heu… non, je trouve ça compétemment puérile.
c'est ça, il va avoir des problèmes si Sarah apprend la vérité
ensuite elle verse la bière sur Amaury et le gage c'est un massage et du coup ce sera pour Went car amaury a trop peur
et finalement la discussion dévie sur Sarah et son absence et voilà elle dévoile tout mais est soutenue par Went
Dom qui veut embrasser Sarah et finalement c'est Went qui a droit au baiser sur la bouche
donc ce week end ils seront seuls
Sarah est très pâle et ne mange pas j'espère que Went va lui redonner gout à la vie
les allusions et les manigeances pour les laisser seuls
du coup ,là ils ont deux heures pour son massage et ensuite ils devaient pas allez chez Went pour "discuter"
et demain j'en reveux une tournée
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Cette suite est superbe, je me suis bien mérrée, le coup de Sara qui renverse la bierre sur Am, c'est bien fait lol.
j'aime bien le fait qu'ils se cachent tout les deux meme si en réalité tout le monde à trés bien comprit lol.
le WE que pour eux ca c'est classe, profitez en pour gologo dans la case lool.
a j'aime bien l'idée aussi d'un dom protecteur, il veux faire la peau à l'autre con.
c'est bien que Sara se soit confié, tout le monde etait à son écoute et ca la vraiment soulagé de ne plus avoir ce poid sur elle.
l'dée de les laisser seuls c'est trés bien aussi
et enfin le massage pour went, c'est encore mieux s'ils se le font mutuellement.
LA SUITE MISS... la aussi je vais grater un peu de sadisme lol, désolée Tink, mais le sadisme ya que ca de vrai... mdrrrrrrr
j'aime bien le fait qu'ils se cachent tout les deux meme si en réalité tout le monde à trés bien comprit lol.
le WE que pour eux ca c'est classe, profitez en pour gologo dans la case lool.
a j'aime bien l'idée aussi d'un dom protecteur, il veux faire la peau à l'autre con.
c'est bien que Sara se soit confié, tout le monde etait à son écoute et ca la vraiment soulagé de ne plus avoir ce poid sur elle.
l'dée de les laisser seuls c'est trés bien aussi
et enfin le massage pour went, c'est encore mieux s'ils se le font mutuellement.
LA SUITE MISS... la aussi je vais grater un peu de sadisme lol, désolée Tink, mais le sadisme ya que ca de vrai... mdrrrrrrr
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
où est ma suite
alors miss, t'es passée où ????
attention car demain, je serai dans l'obligation de t'en demander 2
alors miss, t'es passée où ????
attention car demain, je serai dans l'obligation de t'en demander 2
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Oui moi aussi, je veux une suiteetinkerbel a écrit: où est ma suite
alors miss, t'es passée où ????
attention car demain, je serai dans l'obligation de t'en demander 2
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
hello
voilà on est aujourd'hui
et comme hier nous n'avons pas eut nos suites , et bah aujourd'hui ce sera double ration
mais c'est comme ça car je suis accro et en manque de WESA
voilà on est aujourd'hui
et comme hier nous n'avons pas eut nos suites , et bah aujourd'hui ce sera double ration
mais c'est comme ça car je suis accro et en manque de WESA
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
mdr tink, tu veux 4 suites, elle va devoir bosser alors..
en passant je veux moi aussi une suite ou deux..
en passant je veux moi aussi une suite ou deux..
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars a écrit:mdr tink, tu veux 4 suites, elle va devoir bosser alors..
en passant je veux moi aussi une suite ou deux..
bah oui, plus je vais en demander et plus elle va baisser, donc 4 suites je suis sure d'en avoir deux, si j'en demande deux bah ce sera une
et toi t'en es où
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
ah oki, je comprends
menage et café entre 2 commentaires lol
menage et café entre 2 commentaires lol
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci pour vos coms,
Désolée du retard; mais j'avais paumé mon mot de passe
allez je vous mets la suite^^ :biz:
Chapitre 13.
Je suis allongée dans mon lit et m’agite, irritée. Je n’en peux plus de toutes ses questions qui se bousculent dans ma tête ! J’ai une envie irrésistible de sortir de la chambre, et de le retrouver. J’ai besoin de savoir ce qu’il fait à cet instant, de savoir si il est perdu dans ses pensées ou s’il a le sourire aux lèvres.
Soudain, en proie à une émotion grandissante, je fronce les sourcils et m’interroge un instant à ce que j’ai ressentis dans ses bras.
Bien que la réponse ne fut qu’évidente, cette émotion était unique. Nouvelle, fraîche et agréable mais bouleversante je n’avais jamais connu ce sentiment de perdre pied dans les bras d’un homme. C’était fort.
Bon sang, Sarah ! Qu’est-ce que je fais enfermée dans cette chambre alors que j’aurais mieux à faire ? Il fait un temps sublime à l’extérieur, et l’homme que j’aime plus que tout s’y trouve. Alors, autant profiter de la seconde chance de la vie qu’on m’ait offert.
Quelle idiote ! Je souris toute seule et constate que c’est la première fois que je me sens aussi heureuse. Me levant d’un bond, je m’approche du miroir et fit la moue en voyant le reflet qu’il me renvoie. Poussant un soupir las, j’enlève l’élastique qui retient mes cheveux et les brosse avec énergie.
Je suis resté dans le salon pendant cinq bonnes minutes à cogiter après le départ des autres. Secouant la tête, je ramasse le cousin que j’ai utilisé comme projectile vers Dominic et vais le replacer dans le canapé. C’est à cet instant que je m’aperçois de sa présence. Un frisson me parcours l’échine, je lui souris tout en la fixant tandis qu’elle lance un regard interrogateur autour d’elle.
Je m’avance silencieusement vers elle. Mes battements de cœur cognent sourdement dans ma poitrine. Elle est nerveuse… elle triture ses doigts, elle a un faible sourire qui danse sur ses lèvres tandis qu’elle fuie mon regard. J’aime la voire ainsi, perdre tous ses moyens. Toutes ses années à apprendre à la découvrir, tous ses jours passés ensemble comme les meilleurs amis du monde m’ont fait découvrir sa fragilité. Mais aussi j’aime son tempérament de feu, comme tout à l’heure avec Amaury, d’ailleurs.
Il s’arrête devant moi et regarde ses pieds en pouffant de rire. Qu’est-ce qui le fait rire ? J’espère que ce n’est pas moi, un truc accroché à mon visage ? Je soupire de soulagement, me rappelant que je me suis regardé dans la glace avant de descendre. C’est dingue dans ses moments tel que celui-ci où l’on se sent dépassée, et gênée que nous nous mettons à se parler en nous même ! Bon il est peut être temps que je brise le silence….
S : (se raclant la gorge) Heu… ils sont tous sortis ?
W : (souriant) Oui…
S : Tu n’es pas sortit avec eux ?
Quelle gourde ! Je le sais qu’il n’est pas partit avec les autres, il est devant moi !
W : (murmure rauque) J’ai préféré rester ici….
Je la voix de plus en plus nerveuse mais son regard qu’elle vient de lever vers moi me rassure. Je la regarde me sourire et alors que je pensais qu’elle allait enfin faire le dernier pas qui nous séparer encore, elle se retourne vivement.
W : (chuchotant) Sarah ?
S : (se retournant vers lui) Quoi ?
Je lui refais face tandis que mon regard plonge dans le sien. J’ai le souffle coupé par l’intensité de ses yeux qu’il pose sur moi. Je n’arrive pas à sortir un son de ma bouche, j’ai des palpitations et les jambes en coton. J’ai l’impression qu’il me fait l’amour rien qu’en me regardant de cette façon. C’est alors que je ne veux pas que cela se termine. Toutes mes sensations que j’éprouve ne veulent pas rester frustrées de cette manière.
Je l’observe, et constate qu’elle essaie de refouler l’envie de se jeter dans mes bras, pourtant, je n’attends que ça. Elle fixe ma bouche à présent. J’en fais de même et lui sourit alors que les siennes sont entrouvertes. Je ne lui cacherais pas l’envie que j’ai de les souder là, de suite. Cinq longues années à rêver de cet instant, cinq longues années à la désirer de l’avoir dans mes bras et de l’aimer…
Je ne peux plus attendre, je m’approche de lui mais garde la tête baissée. Je n’en reviens pas moi-même d’être troublée à ce point. On dirait une gamine qui va à la découverte des émotions et des sensations qu’elle ressentira après avoir échangé son premier baiser. Je suis toute proche, nos corps ne se touchent pas mais je ressens cette onde brûlante m’effleurer de partout.
Alors qu’elle lève la tête lentement vers moi, ma respiration devient difficile. J’ai l’impression de faire un ultime effort pour inspirer chaque bouffée d’oxygène. Nos regards se sont croisés, et reviennent enfin s’accrochés l’un à l’autre. Lentement, je pose mes lèvres sur les siennes.
Un gémissement sort de ma gorge au contact de ses lèvres. Je passe mes bras autour de son cou et me laisse aller à son étreinte qu’il referme, en m’entourant de ses bras. Une exultation physique inconnue jusqu’alors me traverse. Quelque chose de vital émanait de ses lèvres impérieuses. Lentement, la pression de ses lèvres se relâche pour s’écarter légèrement, assez pour me regarder de ses yeux brillant de désir. En réponse à ses questions silencieuses, j’attire son visage vers le mien et l’embrasse avec frénésie.
J’ai l’impression de me trouver sur le flanc cendreux d’un volcan, prêt à entrer en éruption. Sa langue est fougueuse, j’essaie de mener la danse qu’elle m’inflige mais elle gagne. Mon souffle est haletant, ma respiration saccadée tandis que je la serre contre moi encore un peu plus fort.
Cette fois, le besoin vital de respirer nous rappelle à l’ordre, nous nous écartons, cassant notre baiser emplit d’une passion insoupçonnable. Nous nous regardons, essoufflés, tandis qu’il se rapproche un peu plus et je me blottis dans ses bras, fiévreuse.
Le besoin pressant de découvrir chaque parcelle de son corps me submerge. Mes mains glissent le long de son dos et passent sous son tee-shirt. Je sens un frisson la parcourir au contact de mes doigts sur sa peau nue. J’ai l’impression que mon cœur va éclater tant les battements se font plus précipités.
Avec fougue et passion mêlée, je la caresse sensuellement, prenant ses gémissements de plaisir contre mes lèvres et continue inlassablement à savourer sa bouche avec une subtilité enivrante. Elle me caresse le torse, le ventre alors que je pense devenir fou si elle continue son exploration à travers le tissu de ma chemise.
Dans ses bras, je ne suis plus que défaillance. Enivrée par tant de douceur, je glisse mes doigts sous sa chemise. Un soupir de plaisir s’échappe de ses lèvres tout en continuant notre baiser passionné.
Soudain, il s’écarte légèrement et fit descendre ses lèvres chaudes et humides dans mon cou où il s’attarde sur ma veine palpitante. Mes mains sont plus confiante et explorent avec délice la peau de son torse, descendant vers son ventre en suivant le fin duvet jusqu’à la ceinture de son jean. Ses muscles se raidissent, se contractent sous ma caresse tandis qu’il relève son visage, attardant sa langue sur mon cou, m’envoyant des décharges électriques.
W : (murmurant) Sarah…
S : Il faudrait mieux que…
Je cesse de parler alors qu’il m’entraîne vers le canapé. Une seconde plus tard, nous nous retrouvons allongés dessus, enlacés.
Le corps de Sarah se retrouve sous le mien, décuplant mon plaisir par mille. Je reprend ses lèvres avec douceur et trace leurs contours de ma langue. Elle gémit de plus belle. Elle est magnifique… elle m’attire un peu plus contre elle tandis qu’elle se cambre. Mes mains la caresse amoureusement alors que je penche la tête pour embrasser la naissance de sa gorge, une sonnerie stridente nous fait sursauter….
Désolée du retard; mais j'avais paumé mon mot de passe
allez je vous mets la suite^^ :biz:
Chapitre 13.
Je suis allongée dans mon lit et m’agite, irritée. Je n’en peux plus de toutes ses questions qui se bousculent dans ma tête ! J’ai une envie irrésistible de sortir de la chambre, et de le retrouver. J’ai besoin de savoir ce qu’il fait à cet instant, de savoir si il est perdu dans ses pensées ou s’il a le sourire aux lèvres.
Soudain, en proie à une émotion grandissante, je fronce les sourcils et m’interroge un instant à ce que j’ai ressentis dans ses bras.
Bien que la réponse ne fut qu’évidente, cette émotion était unique. Nouvelle, fraîche et agréable mais bouleversante je n’avais jamais connu ce sentiment de perdre pied dans les bras d’un homme. C’était fort.
Bon sang, Sarah ! Qu’est-ce que je fais enfermée dans cette chambre alors que j’aurais mieux à faire ? Il fait un temps sublime à l’extérieur, et l’homme que j’aime plus que tout s’y trouve. Alors, autant profiter de la seconde chance de la vie qu’on m’ait offert.
Quelle idiote ! Je souris toute seule et constate que c’est la première fois que je me sens aussi heureuse. Me levant d’un bond, je m’approche du miroir et fit la moue en voyant le reflet qu’il me renvoie. Poussant un soupir las, j’enlève l’élastique qui retient mes cheveux et les brosse avec énergie.
Je suis resté dans le salon pendant cinq bonnes minutes à cogiter après le départ des autres. Secouant la tête, je ramasse le cousin que j’ai utilisé comme projectile vers Dominic et vais le replacer dans le canapé. C’est à cet instant que je m’aperçois de sa présence. Un frisson me parcours l’échine, je lui souris tout en la fixant tandis qu’elle lance un regard interrogateur autour d’elle.
Je m’avance silencieusement vers elle. Mes battements de cœur cognent sourdement dans ma poitrine. Elle est nerveuse… elle triture ses doigts, elle a un faible sourire qui danse sur ses lèvres tandis qu’elle fuie mon regard. J’aime la voire ainsi, perdre tous ses moyens. Toutes ses années à apprendre à la découvrir, tous ses jours passés ensemble comme les meilleurs amis du monde m’ont fait découvrir sa fragilité. Mais aussi j’aime son tempérament de feu, comme tout à l’heure avec Amaury, d’ailleurs.
Il s’arrête devant moi et regarde ses pieds en pouffant de rire. Qu’est-ce qui le fait rire ? J’espère que ce n’est pas moi, un truc accroché à mon visage ? Je soupire de soulagement, me rappelant que je me suis regardé dans la glace avant de descendre. C’est dingue dans ses moments tel que celui-ci où l’on se sent dépassée, et gênée que nous nous mettons à se parler en nous même ! Bon il est peut être temps que je brise le silence….
S : (se raclant la gorge) Heu… ils sont tous sortis ?
W : (souriant) Oui…
S : Tu n’es pas sortit avec eux ?
Quelle gourde ! Je le sais qu’il n’est pas partit avec les autres, il est devant moi !
W : (murmure rauque) J’ai préféré rester ici….
Je la voix de plus en plus nerveuse mais son regard qu’elle vient de lever vers moi me rassure. Je la regarde me sourire et alors que je pensais qu’elle allait enfin faire le dernier pas qui nous séparer encore, elle se retourne vivement.
W : (chuchotant) Sarah ?
S : (se retournant vers lui) Quoi ?
Je lui refais face tandis que mon regard plonge dans le sien. J’ai le souffle coupé par l’intensité de ses yeux qu’il pose sur moi. Je n’arrive pas à sortir un son de ma bouche, j’ai des palpitations et les jambes en coton. J’ai l’impression qu’il me fait l’amour rien qu’en me regardant de cette façon. C’est alors que je ne veux pas que cela se termine. Toutes mes sensations que j’éprouve ne veulent pas rester frustrées de cette manière.
Je l’observe, et constate qu’elle essaie de refouler l’envie de se jeter dans mes bras, pourtant, je n’attends que ça. Elle fixe ma bouche à présent. J’en fais de même et lui sourit alors que les siennes sont entrouvertes. Je ne lui cacherais pas l’envie que j’ai de les souder là, de suite. Cinq longues années à rêver de cet instant, cinq longues années à la désirer de l’avoir dans mes bras et de l’aimer…
Je ne peux plus attendre, je m’approche de lui mais garde la tête baissée. Je n’en reviens pas moi-même d’être troublée à ce point. On dirait une gamine qui va à la découverte des émotions et des sensations qu’elle ressentira après avoir échangé son premier baiser. Je suis toute proche, nos corps ne se touchent pas mais je ressens cette onde brûlante m’effleurer de partout.
Alors qu’elle lève la tête lentement vers moi, ma respiration devient difficile. J’ai l’impression de faire un ultime effort pour inspirer chaque bouffée d’oxygène. Nos regards se sont croisés, et reviennent enfin s’accrochés l’un à l’autre. Lentement, je pose mes lèvres sur les siennes.
Un gémissement sort de ma gorge au contact de ses lèvres. Je passe mes bras autour de son cou et me laisse aller à son étreinte qu’il referme, en m’entourant de ses bras. Une exultation physique inconnue jusqu’alors me traverse. Quelque chose de vital émanait de ses lèvres impérieuses. Lentement, la pression de ses lèvres se relâche pour s’écarter légèrement, assez pour me regarder de ses yeux brillant de désir. En réponse à ses questions silencieuses, j’attire son visage vers le mien et l’embrasse avec frénésie.
J’ai l’impression de me trouver sur le flanc cendreux d’un volcan, prêt à entrer en éruption. Sa langue est fougueuse, j’essaie de mener la danse qu’elle m’inflige mais elle gagne. Mon souffle est haletant, ma respiration saccadée tandis que je la serre contre moi encore un peu plus fort.
Cette fois, le besoin vital de respirer nous rappelle à l’ordre, nous nous écartons, cassant notre baiser emplit d’une passion insoupçonnable. Nous nous regardons, essoufflés, tandis qu’il se rapproche un peu plus et je me blottis dans ses bras, fiévreuse.
Le besoin pressant de découvrir chaque parcelle de son corps me submerge. Mes mains glissent le long de son dos et passent sous son tee-shirt. Je sens un frisson la parcourir au contact de mes doigts sur sa peau nue. J’ai l’impression que mon cœur va éclater tant les battements se font plus précipités.
Avec fougue et passion mêlée, je la caresse sensuellement, prenant ses gémissements de plaisir contre mes lèvres et continue inlassablement à savourer sa bouche avec une subtilité enivrante. Elle me caresse le torse, le ventre alors que je pense devenir fou si elle continue son exploration à travers le tissu de ma chemise.
Dans ses bras, je ne suis plus que défaillance. Enivrée par tant de douceur, je glisse mes doigts sous sa chemise. Un soupir de plaisir s’échappe de ses lèvres tout en continuant notre baiser passionné.
Soudain, il s’écarte légèrement et fit descendre ses lèvres chaudes et humides dans mon cou où il s’attarde sur ma veine palpitante. Mes mains sont plus confiante et explorent avec délice la peau de son torse, descendant vers son ventre en suivant le fin duvet jusqu’à la ceinture de son jean. Ses muscles se raidissent, se contractent sous ma caresse tandis qu’il relève son visage, attardant sa langue sur mon cou, m’envoyant des décharges électriques.
W : (murmurant) Sarah…
S : Il faudrait mieux que…
Je cesse de parler alors qu’il m’entraîne vers le canapé. Une seconde plus tard, nous nous retrouvons allongés dessus, enlacés.
Le corps de Sarah se retrouve sous le mien, décuplant mon plaisir par mille. Je reprend ses lèvres avec douceur et trace leurs contours de ma langue. Elle gémit de plus belle. Elle est magnifique… elle m’attire un peu plus contre elle tandis qu’elle se cambre. Mes mains la caresse amoureusement alors que je penche la tête pour embrasser la naissance de sa gorge, une sonnerie stridente nous fait sursauter….
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Chapitre 14.
W : me*de !
S : Qu’est-ce que c’est ?
W : On a un visiteur !
Complètement frustré et en pestant à voix basse, je me lève et me dirige vers le boîtier de surveillance de l’entrée. C’est pas vrai ! Je lève les yeux au plafond et me tourne vers Sarah qui me rejoins en se rajustant. D’un air contrit je lui souris et la prend dans mes bras.
W : C’est Paul.
S : (poussant un soupir, l’air exaspérée) C’est pas vrai ! J’avais…
W : (posant un doigt sur ses lèvres pour l’interrompre) Moi aussi, Sarah.
Je le regarde tendrement et l’embrasse avant de m’échapper de la pièce.
W : (écarquillant les yeux) Qu’est-ce que tu fais ? Je peux savoir où tu te sauves ?
S : Dans ma chambre, je dors. Dis lui ce que tu veux mais mets le vite à la porte.
W : Tu plaisantes ? Il est ici certainement pour prendre de tes nouvelles.
S : (poussant un soupir) Tu n’as qu’à le rassurer, Went. Et … (s’approchant de lui et entourant sa taille de ses bras) et essais de faire vite mon cœur.
Je pouffe de rire et la serre dans mes bras avant de l’embrasser plus profondément.
W : Tu me feras ce massage qu’Amaury m’a offert, j’espère ?
S : (éclatant de rire) Tu peux compter sur moi.
Elle me dépose un baiser sur le nez et s’éclipse rapidement du salon. Je reste là, seul avec mon imagination à cette promesse de massage, oubliant Paul qui attend en bas de l’immeuble jusqu’à ce qu’une seconde sonnerie me sorte de ma rêverie esquisse…
Je gravis rapidement l’escalier et salut Went avant de pénétrer à l’intérieur. Je regarde autour de moi, surpris de n’y voir personne. Ils doivent sûrement être sur la terrasse à se bronzer au soleil, j’imagine.
W : Alors Paul ? Quoi de neuf ?
P : Rien de spécial…. Où est Sarah ?
Je souris intérieurement en constatant l’inquiétude de son visage.
W : Elle va un peu mieux, elle dort…. Elle est fatiguée à cause du décalage horaire.
P : (poussant un soupir de soulagement) Tant mieux. Je te fais confiance pour faire attention à elle, Went.
W : (souriant) Pas de soucis, je prend soin d’elle.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai la sensation que quelque chose se passe ici.
P : (fronçant les yeux) Tu n’es plus fâché après elle ?
W : Non…
P : Vous avez discuté tous les deux ?
W : A propos de quoi ?
P : Went, ne me prend pas pour un c*n. Tu étais furieux qu’elle te laisse sans nouvelle ! Et là, ton sourire vient de réapparaître au bout de six mois, ne me dis pas qu’il ne s’est rien passé !
Je déglutis, suis-je aussi transparent que ça à ses yeux ? Bon sang ! Je l’invite à me suivre dans la cuisine et lui tend une bière bien fraîche que je viens de sortir du frigo. Je pourrais le saouler pour qu’il arrête son interrogatoire mais il s’est bien tenir l’alcool, bien plus que moi du moins. Poussant un soupir, résigné je m’installe à la table à côté de lui tandis qu’il ne m’a pas quitté du regard.
W : On a beaucoup discuté hier, quand elle a reprit connaissance. Elle m’a tout raconté, Paul.
P : (se mordant la lèvre) Elle va bien, tu es sur ?
W : Oui et comme je te l’ai dis, je prend soin d’elle. Ne t’inquiète pas….
P : (souriant, rassuré) Elle s’est toujours bien sentit avec toi. Vous êtes de bons amis tous les deux, et j’espère que cela restera pareil. C’est très rare de voir ce lien d’amitié qui vous unis comme vous deux…
W : (haussant un sourcil) Oui….
P : Bon, où sont les autres ?
W : Sortis faire un tour.
P : Ok.
W : Quoi ?
P : Rien. Et les filles, elles s’entendent bien avec Sarah ?
W : Ouais, je pense. Qui ne s’entendrait pas avec Sarah ?
P : (sourire narquois) Arrêtes, beaucoup de personnes n’osent pas l’approcher à cause de son caractère.
W : (fronçant les yeux, irrité) Tu parles de certains connards de la fox, je suppose ?
P : C’est bon, Went. C’est du passé….
W : Je sais…. Dis moi ? Quand Sarah nous a parlé de ce qui s’est passé….
P : Nous ?
W : Oui, elle nous en a parlé à tous. Tu connais Amaury et son insistance à savoir quelque chose.
P : (levant les yeux au plafond) Il est vraiment lourd celui là. Et… comment ils l’ont tous prit ?
W : Je pense qu’ils ont été déçus et en colère. Mais surtout ils se sont rendu compte, tout comme moi qu’on ne voulait pas la perdre.
P : (souriant tendrement) C’est sur.
W : Je voulais savoir un truc qui me chiffonne….
P : (inquiet) Quoi ?
W : La maison de Sarah ? Éric la gardée, n’est-ce pas ?
P : Ben je pense, pourquoi ? Elle en a pas parlé ?
W : Non, et il faut mieux que j’évite de parler de ce con*rd avec elle.
P : Tout était sa faute, n’est-ce pas ?
W : (baissant les yeux) Disons qu’il est en grande partie responsable.
P : (fronçant les sourcils) Pourquoi te préoccupes-tu de la maison de Sarah, ils n’en sont pas propriétaires tous les deux ?
W : (secouant la tête) Non. En fait…. Personne n’est au courant mais c’est moi seul qui est le propriétaire de ce cottage.
P : (écarquillant les yeux par la surprise) Comment ça ?
W : (inspirant profondément) Il y a quatre ans, elle avait quelques soucis financiers et les banques lui refuser les prêts pour l’acquérir. Je lui ai donc proposé de l’acheter.
P : (étonné) Et elle a accepté ?
W : (souriant au souvenir de leur première dispute) Pas au début non. Mais j’ai insisté et elle a finit par accepter à condition que Éric ne soit pas au courant.
P : Mais il a bien du voir des papiers ?
W : (sourire narquois) Il n’a rien vu pour la simple et bonne raison qu’il la laissait tout gérer. Et si ce fumier est encore chez elle….
P : Si tu veux je peux me renseigner auprès de Jimmy ?
W : Ton avocat ?
P : (acquiescent de la tête) Il n’a rien à faire dans cette maison si tu en ais le seul propriétaire !
W : Ok. Parle lui en et tient moi au courant, mais il faut que ça reste entre nous, j’en parlerais à Sarah plus tard.
P : Très bien, tu peux compter sur moi, je m’en occupe. Bon, il va falloir que je te laisse. Tu l’embrasseras pour moi, ok ?
W : Pas de soucis, je le ferais.
P : (murmurant) Je n’en doute pas.
W : Quoi ?
P : Heu… demain matin tu as rendez-vous à 11 heures avec ton agent, et il faudrait que tu emmènes Sarah également. Il a besoin de vous voir pour la cérémonie après demain à NWC.
W : Pour voir John ?
P : Oui. Il faut que je contacte son ancien agent, Marcy mais elle est en vacance donc le temps qu’elle revienne, John a accepté de la prendre avec toi sous son aile.
W : (poussant un soupir) Ok, y’a pas de problème.
P : (ouvrant la porte pour sortir) 11 heures, tu n’oublies pas ?
W : (hochant la tête) Nous y serons.
Cinq minutes plus tard après avoir bien vérifier qu’il partait, je me dépêche d’un pas rapide pour retrouver Sarah. Alors que j’arrive en bas de l’escalier que je m’apprêtais à monter, j’entend un léger cliquetis derrière moi tandis que la porte d’une des salle de bain s’ouvre….
W : me*de !
S : Qu’est-ce que c’est ?
W : On a un visiteur !
Complètement frustré et en pestant à voix basse, je me lève et me dirige vers le boîtier de surveillance de l’entrée. C’est pas vrai ! Je lève les yeux au plafond et me tourne vers Sarah qui me rejoins en se rajustant. D’un air contrit je lui souris et la prend dans mes bras.
W : C’est Paul.
S : (poussant un soupir, l’air exaspérée) C’est pas vrai ! J’avais…
W : (posant un doigt sur ses lèvres pour l’interrompre) Moi aussi, Sarah.
Je le regarde tendrement et l’embrasse avant de m’échapper de la pièce.
W : (écarquillant les yeux) Qu’est-ce que tu fais ? Je peux savoir où tu te sauves ?
S : Dans ma chambre, je dors. Dis lui ce que tu veux mais mets le vite à la porte.
W : Tu plaisantes ? Il est ici certainement pour prendre de tes nouvelles.
S : (poussant un soupir) Tu n’as qu’à le rassurer, Went. Et … (s’approchant de lui et entourant sa taille de ses bras) et essais de faire vite mon cœur.
Je pouffe de rire et la serre dans mes bras avant de l’embrasser plus profondément.
W : Tu me feras ce massage qu’Amaury m’a offert, j’espère ?
S : (éclatant de rire) Tu peux compter sur moi.
Elle me dépose un baiser sur le nez et s’éclipse rapidement du salon. Je reste là, seul avec mon imagination à cette promesse de massage, oubliant Paul qui attend en bas de l’immeuble jusqu’à ce qu’une seconde sonnerie me sorte de ma rêverie esquisse…
Je gravis rapidement l’escalier et salut Went avant de pénétrer à l’intérieur. Je regarde autour de moi, surpris de n’y voir personne. Ils doivent sûrement être sur la terrasse à se bronzer au soleil, j’imagine.
W : Alors Paul ? Quoi de neuf ?
P : Rien de spécial…. Où est Sarah ?
Je souris intérieurement en constatant l’inquiétude de son visage.
W : Elle va un peu mieux, elle dort…. Elle est fatiguée à cause du décalage horaire.
P : (poussant un soupir de soulagement) Tant mieux. Je te fais confiance pour faire attention à elle, Went.
W : (souriant) Pas de soucis, je prend soin d’elle.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai la sensation que quelque chose se passe ici.
P : (fronçant les yeux) Tu n’es plus fâché après elle ?
W : Non…
P : Vous avez discuté tous les deux ?
W : A propos de quoi ?
P : Went, ne me prend pas pour un c*n. Tu étais furieux qu’elle te laisse sans nouvelle ! Et là, ton sourire vient de réapparaître au bout de six mois, ne me dis pas qu’il ne s’est rien passé !
Je déglutis, suis-je aussi transparent que ça à ses yeux ? Bon sang ! Je l’invite à me suivre dans la cuisine et lui tend une bière bien fraîche que je viens de sortir du frigo. Je pourrais le saouler pour qu’il arrête son interrogatoire mais il s’est bien tenir l’alcool, bien plus que moi du moins. Poussant un soupir, résigné je m’installe à la table à côté de lui tandis qu’il ne m’a pas quitté du regard.
W : On a beaucoup discuté hier, quand elle a reprit connaissance. Elle m’a tout raconté, Paul.
P : (se mordant la lèvre) Elle va bien, tu es sur ?
W : Oui et comme je te l’ai dis, je prend soin d’elle. Ne t’inquiète pas….
P : (souriant, rassuré) Elle s’est toujours bien sentit avec toi. Vous êtes de bons amis tous les deux, et j’espère que cela restera pareil. C’est très rare de voir ce lien d’amitié qui vous unis comme vous deux…
W : (haussant un sourcil) Oui….
P : Bon, où sont les autres ?
W : Sortis faire un tour.
P : Ok.
W : Quoi ?
P : Rien. Et les filles, elles s’entendent bien avec Sarah ?
W : Ouais, je pense. Qui ne s’entendrait pas avec Sarah ?
P : (sourire narquois) Arrêtes, beaucoup de personnes n’osent pas l’approcher à cause de son caractère.
W : (fronçant les yeux, irrité) Tu parles de certains connards de la fox, je suppose ?
P : C’est bon, Went. C’est du passé….
W : Je sais…. Dis moi ? Quand Sarah nous a parlé de ce qui s’est passé….
P : Nous ?
W : Oui, elle nous en a parlé à tous. Tu connais Amaury et son insistance à savoir quelque chose.
P : (levant les yeux au plafond) Il est vraiment lourd celui là. Et… comment ils l’ont tous prit ?
W : Je pense qu’ils ont été déçus et en colère. Mais surtout ils se sont rendu compte, tout comme moi qu’on ne voulait pas la perdre.
P : (souriant tendrement) C’est sur.
W : Je voulais savoir un truc qui me chiffonne….
P : (inquiet) Quoi ?
W : La maison de Sarah ? Éric la gardée, n’est-ce pas ?
P : Ben je pense, pourquoi ? Elle en a pas parlé ?
W : Non, et il faut mieux que j’évite de parler de ce con*rd avec elle.
P : Tout était sa faute, n’est-ce pas ?
W : (baissant les yeux) Disons qu’il est en grande partie responsable.
P : (fronçant les sourcils) Pourquoi te préoccupes-tu de la maison de Sarah, ils n’en sont pas propriétaires tous les deux ?
W : (secouant la tête) Non. En fait…. Personne n’est au courant mais c’est moi seul qui est le propriétaire de ce cottage.
P : (écarquillant les yeux par la surprise) Comment ça ?
W : (inspirant profondément) Il y a quatre ans, elle avait quelques soucis financiers et les banques lui refuser les prêts pour l’acquérir. Je lui ai donc proposé de l’acheter.
P : (étonné) Et elle a accepté ?
W : (souriant au souvenir de leur première dispute) Pas au début non. Mais j’ai insisté et elle a finit par accepter à condition que Éric ne soit pas au courant.
P : Mais il a bien du voir des papiers ?
W : (sourire narquois) Il n’a rien vu pour la simple et bonne raison qu’il la laissait tout gérer. Et si ce fumier est encore chez elle….
P : Si tu veux je peux me renseigner auprès de Jimmy ?
W : Ton avocat ?
P : (acquiescent de la tête) Il n’a rien à faire dans cette maison si tu en ais le seul propriétaire !
W : Ok. Parle lui en et tient moi au courant, mais il faut que ça reste entre nous, j’en parlerais à Sarah plus tard.
P : Très bien, tu peux compter sur moi, je m’en occupe. Bon, il va falloir que je te laisse. Tu l’embrasseras pour moi, ok ?
W : Pas de soucis, je le ferais.
P : (murmurant) Je n’en doute pas.
W : Quoi ?
P : Heu… demain matin tu as rendez-vous à 11 heures avec ton agent, et il faudrait que tu emmènes Sarah également. Il a besoin de vous voir pour la cérémonie après demain à NWC.
W : Pour voir John ?
P : Oui. Il faut que je contacte son ancien agent, Marcy mais elle est en vacance donc le temps qu’elle revienne, John a accepté de la prendre avec toi sous son aile.
W : (poussant un soupir) Ok, y’a pas de problème.
P : (ouvrant la porte pour sortir) 11 heures, tu n’oublies pas ?
W : (hochant la tête) Nous y serons.
Cinq minutes plus tard après avoir bien vérifier qu’il partait, je me dépêche d’un pas rapide pour retrouver Sarah. Alors que j’arrive en bas de l’escalier que je m’apprêtais à monter, j’entend un léger cliquetis derrière moi tandis que la porte d’une des salle de bain s’ouvre….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
J'avais pas encore eu le tps de poster sur ta fic il me semble mais je l'ai lu et j'adore !!!
J'aime bien ton style d'écriture!
Bravo et vite la suite mdr
J'aime bien ton style d'écriture!
Bravo et vite la suite mdr
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Cette suite est vraiment super, mais eute paul est arrivé trop tôt, il aurait plus passer plus tard.
Sinon cette histoire de maison, j'espère qu'elle ne fera pas trop de bruit.. sait-on jamais...
Et Sarah qui ne vet pas voir Paul pour pouvoir profiter de Mike, la coquine lol
aller ma belle the suite, d'aprés Tink, il en faut 2 lool
Sinon cette histoire de maison, j'espère qu'elle ne fera pas trop de bruit.. sait-on jamais...
Et Sarah qui ne vet pas voir Paul pour pouvoir profiter de Mike, la coquine lol
aller ma belle the suite, d'aprés Tink, il en faut 2 lool
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
voilà maintenant c'est Paul le
bon ça part d'un bon sentiment, il veut des nouvelles de Sarah
Sarah quant à elle, préfère faire croire qu'elle dort pour que Went le mette vite à la porte pour
donc maintenant Paul est au courant que tout le monde sait pour ce qui s'est passé pour Sarah pendant son absence
Went a acheté la maison de Sarah, donc l'autre c*****va se tirer vite fait sinon
et si j'ai bien compris, comme l'agent de Sarah est en vacances c'est celui de Went qui va la prendre en charge (John??)
et les petites reflexions de Paul
sinon est ce que Pam va faire partit de ta fic, genre la fille hyper protectrice et collante mais super sympa
maintenant la seconde suite STP
bon ça part d'un bon sentiment, il veut des nouvelles de Sarah
Sarah quant à elle, préfère faire croire qu'elle dort pour que Went le mette vite à la porte pour
donc maintenant Paul est au courant que tout le monde sait pour ce qui s'est passé pour Sarah pendant son absence
Went a acheté la maison de Sarah, donc l'autre c*****va se tirer vite fait sinon
et si j'ai bien compris, comme l'agent de Sarah est en vacances c'est celui de Went qui va la prendre en charge (John??)
et les petites reflexions de Paul
P : Très bien, tu peux compter sur moi, je m’en occupe. Bon, il va falloir que je te laisse. Tu l’embrasseras pour moi, ok ?
W : Pas de soucis, je le ferais.
P : (murmurant) Je n’en doute pas
sinon est ce que Pam va faire partit de ta fic, genre la fille hyper protectrice et collante mais super sympa
maintenant la seconde suite STP
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
euhh pam ? j'ai raté un chapitre ou quoi ? c'est qui ?
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars a écrit:euhh pam ? j'ai raté un chapitre ou quoi ? c'est qui ?
bah en fait je sais pas trop qui elle est pour Went, mais elle est sur des vidéos que l'on a pu voir recemment sur le tournage de la saison 4, on la voit avec Sarah et après elle embrasse Went le jour de son anniversaire et elle la suivit lors de ses déplacements en Europe en Mars
c'est soit son agent ou attaché de presse ou son garde du corps (elle me fait peur elle a l'air sévère )
voilà mais je crois que nol59 le sait mieux que moi elle connait tout sur Went
la voilà en photo avec Went à son arrivée à Paris
- Spoiler:
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Ah oui je me souviens d'elle ayé, merci miss, elle pourrait être une sorte de confidente...
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Oui ma Tink elle en fera partie, c'est son assistante^^
je ne dirais rien de plus mdr
Merci les filles
et désolée pour hier mais ma fille n'était vraiment pas bien
voila la suite
Chapitre 15.
Hypnotisé par la beauté de son corps, je reste sans voix. Elle est en tenue de bain, seul un léger paréo mauve la recouvre. Je déglutis péniblement et m’approche d’elle pour la prendre dans mes bras. Avec passion, mes lèvres se posent sur les siennes. Avec délice, nos langues s’enroulent l’une à l’autre sous nos gémissements de plaisir. Mes mains s’évadent sous se morceau de tissus inutile à mes yeux et tandis que je caresse sa peau nue, j’ai l’impression qu’un tourbillon de sensation explose en moi.
Je ferme les yeux tandis que nous nous embrassons avec passion. Soudain, je sens le paréo glissait le long de mon corps et termine sa descente sur le parquet au sol. A bout de souffle, je m’écarte légèrement de son étreinte et nos regards se soudent aussitôt.
W : (troublé) Sarah…
S : (souriant) On devrait….
W : (posant son front contre le sien) Ça te dirait de sortir après que les autres sont rentrés ?
S : Hum… c’est un rendez-vous ?
W : Oui…. J’ai envie de t’avoir pour moi tout seul, Sarah.
S : Rien que tous les deux ?
W : (riant de son air ravie) J’imagine mal prendre Dom ou Amaury avec nous pour ce que je compte…
S : (l’interrompant en haussant les sourcils) Ha, et qu’est-ce que tu as dans la tête Miller ?
W : (riant et la prenant dans ses bras) Tu me dois un massage, Wayne Callies !
J’éclate de rire tandis que je baisse le regard. Je suis certaine d’être rouge pivoine alors que des images plus que passionnelles me viennent à l’esprit. Il me prend dans ses bras et m’embrasse d’un doux baiser sur ma tempe. Consciente de son désir, je me détache de lui et lui lance :
S : Dépêches toi d’aller te changer.
W : (fronçant les sourcils en signe d’interrogation) Pour quoi faire ?
S : Tu ne veux pas venir te baigner avec moi ?
W : (riant, satisfait) Bien sur que si. Je te rejoins.
Je l’embrasse tendrement et la regarde partir en réajustant son paréo sur son corps, gâchant la vue. Pestant à l’intérieur de moi, je monte à l’étage et vais me changer dans ma chambre.
Quelques minutes plus tard, j’ai rejoins Sarah qui était allongée, les yeux clos sur une chaise longue. Je l’ai observé avec le sourire aux lèvres, profitant qu’elle ait les yeux fermés pour détailler chaque parcelle de sa peau nue découverte. Son bikini d’un bleu pale lui va à ravir. Je m’avance vers elle et m’accroupie tout près de son corps qui m’attire irréprochablement.
Je m’obstine à garder les paupières fermées malgré la présence toute proche de Went. Son souffle me chatouille le cou et ne peux pas m’empêcher de sourire légèrement. J’ouvre les yeux et me heurte aux siens, brillants de désir. Sans que je m’y attende, il approche son visage du mien et m’embrasse tendrement, doucement. Sa langue trace le contour de mes lèvres, je me sens fondre incroyablement. Il me taquine alors que j’essaie de capturer ses lèvres pour approfondir ce baiser aguicheur, il recule légèrement et sourit d’un air satisfait.
Elle me regarde, déboussolée par ce que je suis en train de faire. Je souris bien que j’ai envie d’éclater de rire à voir la tête boudeuse qu’elle me fait à cet instant. Mais j’ai envie de la taquiner. Je me penche légèrement à nouveau, gardant les yeux rivés dans les siens, et l’embrasse d’un petit baiser à la commissure de ses lèvres. Elle échappe un gémissement de protestation, de frustration quand je m’écarte une fois de plus.
S : (murmure rauque) Qu’est-ce que tu fais.
W : (satisfait) Rien. J’ai juste envie de t’embrasser à te rendre folle.
S : (ouvrant la bouche) …. Tu exagères, Went. Et si c’est moi qui te ferait ça ? Tu réagirais comment ?
W : (sourire taquin) Tu ne le ferais pas.
S : Tu crois ça ? Tu penses vraiment que je ne serais pas te résister ?
W : (écarquillant les yeux, soudain inquiet) Non…. Heu, c’est que j’ai juste envie de prendre mon temps pour….
Mon dieu ! Je me redresse vivement tandis qu’un bruit nous parvient de l’intérieur de la maison. Je regarde Sarah qui commence à éclater de rire, comprenant que les autres sont déjà rentrés. Je m’écarte un peu plus et la rejoins dans son fou rire tandis que la voix d’Amaury s’approche un peu trop vite.
S : (en riant) Dépêches-toi de sauter dans la piscine !
Je fronce les sourcils et suit son regard. Bon sang, et elle se fout de moi ! Je relève les yeux de mon caleçon de bain et la regarde en souriant malgré la gêne que j’éprouve.
W : (s’approchant du bassin et se retournant vers Sarah) Tu me le paieras, Wayne !
Je ris toujours en l’observant tandis qu’il plonge dans la piscine. Il se concentre à faire sa première longueur mais je constate le sourire qu’il a sur les lèvres. Au même moment, Dom arrive vers nous avec les filles. Je me redresse sur ma chaise et renoue mon paréo autour de ma poitrine.
S : Vous êtes déjà rentrés ?
D : Oui, on a pas pu aller bien loin ! On s’est fait arrêté par un groupe de fan arrivé au croissement de la rue.
S : (riant de voir la tête de Dom rouge comme une tomate) Et ? Tu as subi une séance d’autographe ?
J : Tu rigoles ? On est resté bien une demie heure avec un type qui n’arrêter pas de nous collés.
Da : Mais le pire c’est que ce groupe nous a suivit….
S : (écarquillant les yeux) C’est pas vrai ? Ils….
D : Ils savent où on habite. Du moins, ils nous ont vu entrés par la grille.
W : (sortant de l’eau) Qu’est-ce qui se passe ?
Da : On s’est fait suivre par des fans mais le meilleur c’est que Jacob était avec eux !
S : (écarquillant les yeux et s’exclamant) Le paparazzi ?
D : J‘ai appeler Paul pour lui expliquer. Il nous a dit de ne pas sortir d’ici jusqu’à ce que les agents de sécurité arrivent.
J : T’inquiète pas Sarah, Dom la remit à sa place.
S : (déglutissant péniblement) Je n’aime pas du tout cet homme…
W : (apercevant la peur dans son regard, il s’approche d’elle) Et, t’inquiète pas, on le laissera pas s‘approcher de toi, d‘accord.
Elle hoche la tête mais je sais qu’elle est terrifiée depuis le jour où il la malmenait alors qu’elle se trouvait seule. Je lance un regard vers Dom et il comprend ce à quoi je pense concernant cet homme. Je me redresse et lui fait un signe discret de me suivre. Laissant les filles entre elles, Dom et moi entrons à l’intérieur et nous allons dans la cuisine.
W : Il a parlé de Sarah ?
D : (hochant la tête) De toi aussi. Mais il n’a pas fait allusion à son retour.
W : (serrant les mâchoires) Quel enfoiré !
D : Ça sert à rien de t’énerver comme ça, Went. Il suffit de ne pas la laisser seule c’est tout.
W : Oui mais elle est effrayée…. Personne d’autre que nous doit savoir pour ce qui s’est passé avec Sarah….
D : Pour sa tentative de suicide ?
W : (haussant les épaules) Ben oui quoi d’autre ?
D : (baissant les yeux) Non rien….
W : Et ils viennent quand ses agents ?
D : Je sais pas, Paul m’a dit qu’il faisait au plus vite.
W : (poussant un soupir, exaspéré) Sarah et moi avions prévu de sortir un peu dés votre retour.
D : (sourire moqueur) Ha bon ? Elle n’est plus fatiguée ?
W : Elle vient de se réveiller…. Qu’est-ce qui te fait rire, Purcell ?
D : (posant une main sur son épaule) Mais rien, Miller ! Et tu comptais la sortir où ?
W : J’en sais rien, mais elle a besoin de prendre l’air….
D : Ben tu n’as qu’à l’emmener voir un film mais il faudrait mieux que tu attendes un peu que les vautours fouettent le camp. Attend, viens…
Surpris, je le regarde s’éclipser de la pièce sans une explication. Résigné, je le suis tandis que je bouscule Amaury qui allait nous rejoindre.
W : Excuses-moi vieux.
A : Pas de quoi. Mais vous allez où ?
W : (montant les premières marches pour suivre Dominic) J’en sais rien.
A : (fronçant les sourcils) J’arrive.
Je pénètre dans la chambre de Dom où il vient d’entrer, suivit d’Amaury. Je m’approche de la fenêtre et constate avec un soupir de lassitude l’imposante grille de l’entrée qui est malmené par un groupe de furies excitées.
D : Et cet enfoiré de Jacob est encore là !
W : (irrité) Font chier, bordel ! Mais qu’est-ce qu’ils veulent au juste ? Ils ne peuvent pas nous foutre la paix ?!
A : C’est la rançon de la gloire, gueule d’ange !
W : (d’une voix plus adoucie) Oui, je sais. Mais tout ça commence à me gonfler !
D : Je pense que ta petite sortie sera remise, Miller !
W : (réfléchissant un instant avant de secouer la tête négativement) Certainement pas. Je lui ai dis qu’on sortirait, on sortira.
D : T’es malade !
W : (souriant) Je sais.
A : Tu veux sortir où ? Avec qui ?
D : Sarah.
Je les regarde tour à tour tous les deux, et je commence à perdre patience en voyant les sourires et regards complices qu’ils se lancent.
W : Arrêtez d’imaginer n’importe quoi, vous deux vous commencez vraiment à être lourds.
D : (éclatant de rire) Non, c’est toi qui est lourd de t’obstinez à garder tes œillères, Went !
A : Tous le monde ici s’en est aperçue alors arrête de nous prendre tous pour des cons !
W : (teint pâle) Aperçut de quoi ?
D : Rien que ton visage te trahit p’tit frère.
Je déglutis avec peine tandis qu’un sentiment étrange m’envahit.
A : Et puis, tu sais…. Sarah, de son côté, je suis certain qu’elle éprouve les même sentiments que toi. Il suffit que tu lui dises, c’est tout !
W : (ouvrant grand la bouche, bredouillant) Que je lui dise quoi ?
D : Que tu l’aimes ! Et que c’est pour ça que tous le monde te connaît en tant que célibataire ! Tu n’as jamais réussi à garder une relation avec une fille ! Sarah est en permanence dans ta tête, et tu ne nous feras pas croire le contraire, ou alors, c’est vraiment que tu es stupide !
A : Et puis, franchement vous feriez un super couple tous les deux !
Je secoue la tête, en proie à une étrange sensation. Je me sens complètement coincé de cette situation. Ils savent d’autant plus que je n’aime pas mentir, et ils m’ont vraiment bien eut là ! Je ferme les yeux sous leurs regards satisfaits et les rouvres vivement, hébétés en entendant la porte s’ouvrir sur Sarah.
je ne dirais rien de plus mdr
Merci les filles
et désolée pour hier mais ma fille n'était vraiment pas bien
voila la suite
Chapitre 15.
Hypnotisé par la beauté de son corps, je reste sans voix. Elle est en tenue de bain, seul un léger paréo mauve la recouvre. Je déglutis péniblement et m’approche d’elle pour la prendre dans mes bras. Avec passion, mes lèvres se posent sur les siennes. Avec délice, nos langues s’enroulent l’une à l’autre sous nos gémissements de plaisir. Mes mains s’évadent sous se morceau de tissus inutile à mes yeux et tandis que je caresse sa peau nue, j’ai l’impression qu’un tourbillon de sensation explose en moi.
Je ferme les yeux tandis que nous nous embrassons avec passion. Soudain, je sens le paréo glissait le long de mon corps et termine sa descente sur le parquet au sol. A bout de souffle, je m’écarte légèrement de son étreinte et nos regards se soudent aussitôt.
W : (troublé) Sarah…
S : (souriant) On devrait….
W : (posant son front contre le sien) Ça te dirait de sortir après que les autres sont rentrés ?
S : Hum… c’est un rendez-vous ?
W : Oui…. J’ai envie de t’avoir pour moi tout seul, Sarah.
S : Rien que tous les deux ?
W : (riant de son air ravie) J’imagine mal prendre Dom ou Amaury avec nous pour ce que je compte…
S : (l’interrompant en haussant les sourcils) Ha, et qu’est-ce que tu as dans la tête Miller ?
W : (riant et la prenant dans ses bras) Tu me dois un massage, Wayne Callies !
J’éclate de rire tandis que je baisse le regard. Je suis certaine d’être rouge pivoine alors que des images plus que passionnelles me viennent à l’esprit. Il me prend dans ses bras et m’embrasse d’un doux baiser sur ma tempe. Consciente de son désir, je me détache de lui et lui lance :
S : Dépêches toi d’aller te changer.
W : (fronçant les sourcils en signe d’interrogation) Pour quoi faire ?
S : Tu ne veux pas venir te baigner avec moi ?
W : (riant, satisfait) Bien sur que si. Je te rejoins.
Je l’embrasse tendrement et la regarde partir en réajustant son paréo sur son corps, gâchant la vue. Pestant à l’intérieur de moi, je monte à l’étage et vais me changer dans ma chambre.
Quelques minutes plus tard, j’ai rejoins Sarah qui était allongée, les yeux clos sur une chaise longue. Je l’ai observé avec le sourire aux lèvres, profitant qu’elle ait les yeux fermés pour détailler chaque parcelle de sa peau nue découverte. Son bikini d’un bleu pale lui va à ravir. Je m’avance vers elle et m’accroupie tout près de son corps qui m’attire irréprochablement.
Je m’obstine à garder les paupières fermées malgré la présence toute proche de Went. Son souffle me chatouille le cou et ne peux pas m’empêcher de sourire légèrement. J’ouvre les yeux et me heurte aux siens, brillants de désir. Sans que je m’y attende, il approche son visage du mien et m’embrasse tendrement, doucement. Sa langue trace le contour de mes lèvres, je me sens fondre incroyablement. Il me taquine alors que j’essaie de capturer ses lèvres pour approfondir ce baiser aguicheur, il recule légèrement et sourit d’un air satisfait.
Elle me regarde, déboussolée par ce que je suis en train de faire. Je souris bien que j’ai envie d’éclater de rire à voir la tête boudeuse qu’elle me fait à cet instant. Mais j’ai envie de la taquiner. Je me penche légèrement à nouveau, gardant les yeux rivés dans les siens, et l’embrasse d’un petit baiser à la commissure de ses lèvres. Elle échappe un gémissement de protestation, de frustration quand je m’écarte une fois de plus.
S : (murmure rauque) Qu’est-ce que tu fais.
W : (satisfait) Rien. J’ai juste envie de t’embrasser à te rendre folle.
S : (ouvrant la bouche) …. Tu exagères, Went. Et si c’est moi qui te ferait ça ? Tu réagirais comment ?
W : (sourire taquin) Tu ne le ferais pas.
S : Tu crois ça ? Tu penses vraiment que je ne serais pas te résister ?
W : (écarquillant les yeux, soudain inquiet) Non…. Heu, c’est que j’ai juste envie de prendre mon temps pour….
Mon dieu ! Je me redresse vivement tandis qu’un bruit nous parvient de l’intérieur de la maison. Je regarde Sarah qui commence à éclater de rire, comprenant que les autres sont déjà rentrés. Je m’écarte un peu plus et la rejoins dans son fou rire tandis que la voix d’Amaury s’approche un peu trop vite.
S : (en riant) Dépêches-toi de sauter dans la piscine !
Je fronce les sourcils et suit son regard. Bon sang, et elle se fout de moi ! Je relève les yeux de mon caleçon de bain et la regarde en souriant malgré la gêne que j’éprouve.
W : (s’approchant du bassin et se retournant vers Sarah) Tu me le paieras, Wayne !
Je ris toujours en l’observant tandis qu’il plonge dans la piscine. Il se concentre à faire sa première longueur mais je constate le sourire qu’il a sur les lèvres. Au même moment, Dom arrive vers nous avec les filles. Je me redresse sur ma chaise et renoue mon paréo autour de ma poitrine.
S : Vous êtes déjà rentrés ?
D : Oui, on a pas pu aller bien loin ! On s’est fait arrêté par un groupe de fan arrivé au croissement de la rue.
S : (riant de voir la tête de Dom rouge comme une tomate) Et ? Tu as subi une séance d’autographe ?
J : Tu rigoles ? On est resté bien une demie heure avec un type qui n’arrêter pas de nous collés.
Da : Mais le pire c’est que ce groupe nous a suivit….
S : (écarquillant les yeux) C’est pas vrai ? Ils….
D : Ils savent où on habite. Du moins, ils nous ont vu entrés par la grille.
W : (sortant de l’eau) Qu’est-ce qui se passe ?
Da : On s’est fait suivre par des fans mais le meilleur c’est que Jacob était avec eux !
S : (écarquillant les yeux et s’exclamant) Le paparazzi ?
D : J‘ai appeler Paul pour lui expliquer. Il nous a dit de ne pas sortir d’ici jusqu’à ce que les agents de sécurité arrivent.
J : T’inquiète pas Sarah, Dom la remit à sa place.
S : (déglutissant péniblement) Je n’aime pas du tout cet homme…
W : (apercevant la peur dans son regard, il s’approche d’elle) Et, t’inquiète pas, on le laissera pas s‘approcher de toi, d‘accord.
Elle hoche la tête mais je sais qu’elle est terrifiée depuis le jour où il la malmenait alors qu’elle se trouvait seule. Je lance un regard vers Dom et il comprend ce à quoi je pense concernant cet homme. Je me redresse et lui fait un signe discret de me suivre. Laissant les filles entre elles, Dom et moi entrons à l’intérieur et nous allons dans la cuisine.
W : Il a parlé de Sarah ?
D : (hochant la tête) De toi aussi. Mais il n’a pas fait allusion à son retour.
W : (serrant les mâchoires) Quel enfoiré !
D : Ça sert à rien de t’énerver comme ça, Went. Il suffit de ne pas la laisser seule c’est tout.
W : Oui mais elle est effrayée…. Personne d’autre que nous doit savoir pour ce qui s’est passé avec Sarah….
D : Pour sa tentative de suicide ?
W : (haussant les épaules) Ben oui quoi d’autre ?
D : (baissant les yeux) Non rien….
W : Et ils viennent quand ses agents ?
D : Je sais pas, Paul m’a dit qu’il faisait au plus vite.
W : (poussant un soupir, exaspéré) Sarah et moi avions prévu de sortir un peu dés votre retour.
D : (sourire moqueur) Ha bon ? Elle n’est plus fatiguée ?
W : Elle vient de se réveiller…. Qu’est-ce qui te fait rire, Purcell ?
D : (posant une main sur son épaule) Mais rien, Miller ! Et tu comptais la sortir où ?
W : J’en sais rien, mais elle a besoin de prendre l’air….
D : Ben tu n’as qu’à l’emmener voir un film mais il faudrait mieux que tu attendes un peu que les vautours fouettent le camp. Attend, viens…
Surpris, je le regarde s’éclipser de la pièce sans une explication. Résigné, je le suis tandis que je bouscule Amaury qui allait nous rejoindre.
W : Excuses-moi vieux.
A : Pas de quoi. Mais vous allez où ?
W : (montant les premières marches pour suivre Dominic) J’en sais rien.
A : (fronçant les sourcils) J’arrive.
Je pénètre dans la chambre de Dom où il vient d’entrer, suivit d’Amaury. Je m’approche de la fenêtre et constate avec un soupir de lassitude l’imposante grille de l’entrée qui est malmené par un groupe de furies excitées.
D : Et cet enfoiré de Jacob est encore là !
W : (irrité) Font chier, bordel ! Mais qu’est-ce qu’ils veulent au juste ? Ils ne peuvent pas nous foutre la paix ?!
A : C’est la rançon de la gloire, gueule d’ange !
W : (d’une voix plus adoucie) Oui, je sais. Mais tout ça commence à me gonfler !
D : Je pense que ta petite sortie sera remise, Miller !
W : (réfléchissant un instant avant de secouer la tête négativement) Certainement pas. Je lui ai dis qu’on sortirait, on sortira.
D : T’es malade !
W : (souriant) Je sais.
A : Tu veux sortir où ? Avec qui ?
D : Sarah.
Je les regarde tour à tour tous les deux, et je commence à perdre patience en voyant les sourires et regards complices qu’ils se lancent.
W : Arrêtez d’imaginer n’importe quoi, vous deux vous commencez vraiment à être lourds.
D : (éclatant de rire) Non, c’est toi qui est lourd de t’obstinez à garder tes œillères, Went !
A : Tous le monde ici s’en est aperçue alors arrête de nous prendre tous pour des cons !
W : (teint pâle) Aperçut de quoi ?
D : Rien que ton visage te trahit p’tit frère.
Je déglutis avec peine tandis qu’un sentiment étrange m’envahit.
A : Et puis, tu sais…. Sarah, de son côté, je suis certain qu’elle éprouve les même sentiments que toi. Il suffit que tu lui dises, c’est tout !
W : (ouvrant grand la bouche, bredouillant) Que je lui dise quoi ?
D : Que tu l’aimes ! Et que c’est pour ça que tous le monde te connaît en tant que célibataire ! Tu n’as jamais réussi à garder une relation avec une fille ! Sarah est en permanence dans ta tête, et tu ne nous feras pas croire le contraire, ou alors, c’est vraiment que tu es stupide !
A : Et puis, franchement vous feriez un super couple tous les deux !
Je secoue la tête, en proie à une étrange sensation. Je me sens complètement coincé de cette situation. Ils savent d’autant plus que je n’aime pas mentir, et ils m’ont vraiment bien eut là ! Je ferme les yeux sous leurs regards satisfaits et les rouvres vivement, hébétés en entendant la porte s’ouvrir sur Sarah.
nol59- Déchiffre l'origami
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Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
J'adore, vraiment. Je me demande ce qui va se passer. Je suis désolée pour ta fille, j'espère qu'elle va mieux. Sinon tu pense nous donner une suite quand ? Je sais je suis impatiente
zenaide- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Si ils savaient !!! lol
SUITE SUITE SUITE SUITE
et je suis trés heureuz que sara et Went soit ensemble !!!!
SUITE SUITE SUITE SUITE
et je suis trés heureuz que sara et Went soit ensemble !!!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 32
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