jadore

jateuse-audrey Mer 18 Juin - 23:33

J'adore toujours autant Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

J'ai hate de voir comment tu vas déveloper leurs relation .....

Une suite Une suite

Islemmedemars Jeu 19 Juin - 1:21

tinkerbel a écrit: je ne m'attendais pas spécialement à un long et passionné baiser mais là il est vraiment trop dur avec Sarah
il est vraiment partagé entre deux sentiments, la colère et l'amour
et en plus ils avaient vraiment une confiance et une profonde amitié avant, ils se racontaient tout comme un frère et une soeur
mais maintenant c'est un peu glacial
sinon pour la bimbo il s'en rend compte même si je trouve que 'est un peu tard

vivement la suite car je suis impatiente de voir la réaction des autres, histoire de remonter le moral de Sarah après "son altercation "avec Went

je voulais faire un super com, mais trop fatiguée lol et pi Tink a dit l'essentiel lol.

nol59 Jeu 19 Juin - 17:04

Merci les filles
voici la suite, j'espère que vous ne serez pas déçues de la tournure que prennent les événements Embarassed

Bonne lecture^^ biz

Chapitre 5.

Quelques minutes plus tard, je sors sur la terrasse et part rejoindre les autres. C’est pas vrai ! Qu’est-ce qu’elle fiche encore ici ? Pestant intérieurement, je fais face à Kelly et lui agrippe le bras fermement, furieux en constatant son sourire aguicheur qu’elle affiche à mon geste, pourtant dénué de tendresse.

W : (murmurant d’une voix excédée) Qu’est-ce que tu fais encore là ?
K : Je leur disais au revoir…
A : (s’exclamant en se levant) Sarah !

Je tourne la tête sur le côté et mon regard atteint le sien tandis que les autres se précipitent joyeusement vers elle.

K : (bredouillant) C’est… elle, Sarah Wayne Callies ?

Incapable de lui répondre, je regarde la scène des retrouvailles qui se déroule à quelques mètres de moi. Mon cœur se gonfle par un sentiment inexplicable qui m’irrite au plus au point. Prenant conscience que je n’aurais pas du lui parler ainsi tout à l’heure, je pousse un soupir de soulagement, me rappelant intérieurement que ma colère était dirigé par mon mal de crâne et la gueule de bois de mon réveil tardif.Puissant une contenance au plus profond de moi, je me retourne vers Kelly. C’est à cet instant qu’elle m’enlace sensuellement, je lève les yeux au ciel et la repousse fermement.
W : Écoutes, tu devrais partir.
K : Pas avant de l’avoir saluée !
W : C’est pas la peine !
K : (fronçant les yeux) Qu’est-ce qui te prend, bon sang ? Ha, les voilas !

Je n’ai pas le temps de la retenir qu’elle se précipite vers eux. Exaspéré, je la suis et fais place autour du groupe. Paul vient vers moi et me lance un regard noir.

P : (murmurant) Tu n’as pas du comprendre ce que je t’ai dis !
W : (fronçant les yeux) Je lui ai demandé de partir si c’est ça dont tu parles.
P : Je vois… bon il est temps que je parte.
W : Ok.
P : Tu veux que je la raccompagne ?

Je souris, le remerciant silencieusement. Hochant la tête, il s’avance vers Sarah et interromps la conversation qu’elle tenait avec Kelly.

P : Bon, désolé tous le monde, mais il va falloir que je m’en aille.

Tandis que Sarah parle avec la bimbo, je salue mes gars et les filles et me place rapidement devant Sarah. Je la prend dans mes bras et la sert contre moi.

P : (murmurant au creux de son oreille) Je t’avais dis qu’ils seraient heureux de te revoir.
S : (émue) Merci, Paul….
P : Pas de quoi. Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle moi, d’accord ?

Je m’écarte un peu et surprend ses yeux s’humidifier par les larmes. Elle baisse la tête, gênée d’avoir tous les regards braqués sur elle. Je ne peux décidément pas la laisser comme ça. Je l’entoure d’un bras protecteur et l’emmène à l’écart. La serrant contre moi, nous marchons un peu pour nous éloigner de la troupe qui nous regardent, s’interrogeant sans doute de mon comportement.

P : Il a été dur avec toi ?
S : Non… je ne peux pas lui en vouloir.
P : Ça lui passera…. Ça va mieux ?
S : (balayant ses larmes en reniflant) Oui, merci. Dis-moi…
P : (s’arrêtant, lui faisant face) Oui ?
S : (hésitante) Je me demande… enfin, pourquoi es-tu aussi gentil avec moi ?
P : (riant) Je l’avais jamais été ?
S : Pas aussi protecteur…
P : (ému en apercevant la fragilité de ses traits) Tu as raison. Mais avant tu n’avais pas besoin que l’on te protège, Sarah.
Choquée par cette parole, je me sens défaillir. La panique qu’il sait, qu’il devine me paralyse complètement avant que ma vue se brouille. J’entend Paul murmurer mon prénom, je lève les yeux vers lui, du moins je pense le faire quand je me sens lourdement tomber dans un abîme ténébreux….

Ça fait cinq minutes que je reste là, tout près d’elle, lui tenant la main. Je caresse son visage et lui murmure des paroles apaisantes. Je déglutis péniblement à cause de cette boule qui est apparut soudainement au fond de ma gorge, depuis l’image de Sarah évanouie dans les bras de Paul. Je n’avais jamais ressentit en moi une telle peur. Je m’étais précipité sur elle et avais presque arraché le corps inerte de Sarah des bras de Paul. L’affolement, la stupéfaction des autres à la voir dans cet état d’inconscience n’avait fait qu’ approfondir le sentiment de culpabilité dont j’éprouvais.
W : (murmure rauque) Sarah…J’ouvre les yeux lentement et regarde autour de moi. Bon sang ! Qu’est-ce que je fais dans la chambre ? C’est alors que tout me reviens. Un sanglot étranglé sort de ma gorge. Aussitôt, la main de Went se resserre autour de la mienne, cela m’apaise, étrangement.

W : Sarah… regarde moi.

Lentement, mon regard croise le sien. Les larmes me montent alors que je constate ses yeux humides et inquiets. J’essaie de me redresser du lit où l’on m’a déposé mais Went m’en empêche.

W : Reste tranquille. Reposes-toi, tu es fatiguée…

Incapable de répondre, de sortir un son alors que mes lèvres restent entrouvertes, je ferme les yeux. Incapable de penser, incapable de réfléchir, je sombre dans un état comateux.

Elle commence à s’endormir alors, je pousse un long soupir de soulagement. Je me demande ce qu’il s’est passé ? Je me dis que cela doit être dû aux émotions, ou alors qu’elle est omit de manger quelque chose peut être. Mais la voir ainsi, si vulnérable, si fragile me fait douter.

J : (passant la tête à l’embrasure de la porte) Went ? Elle va mieux ?

Alors que j’allais me lever du lit pour parler à Jodie, Sarah m’en empêche. Je baisse les yeux et contemple, souriant tendrement, nos doigts entrelacés. Doucement, je me penche vers elle, et lui murmure au creux de son oreille que je reviens tout de suite. Malgré ses yeux clos, elle retire sa main de la mienne. Confus, je reste immobile quelques secondes, troublé par ce que je ressens à cet instant….

Deux minutes plus tard, je referme la porte de la chambre et rejoins les autres. Ils sont tous regroupés dans le salon, et je soupire de soulagement alors que je m’aperçois que Kelly a disparu.

P : J’ai demandé à Danay de la raccompagner.
W : (hochant la tête en signe de remerciement) Elle a reprit conscience…
A : Elle a dit quelque chose ?
W : Non, elle s’est endormie… Paul, qu’est-ce qui s’est passé ?
P : (poussant un soupir las) Je n’en sais trop rien.
J : Cela doit être les émotions, Wentworth.
D : Et les heures de vols aussi, c’est pas à côté non plus.
W : (plissant les yeux, l’air inquiet) Il faudrait peut être mieux appeler le médecin pour s’assurer qu’elle n’a rien de grave.
M : (se levant brusquement) Je vais l’appeler !

Alors que je reste pensif, Paul s’approche de moi et m’entraîne dans la cuisine tandis que les autres essaient de comprendre les raisons de l’évanouissement de Sarah.

P : (hésitant) Écoutes, Went…. Je ne sais pas si je peux t’en parler mais…
W : (le fixant) Dis moi ce que tu sais, Paul !
P : Je ne sais pas…. Elle n’est pas au courant que je le sais, et je ne tiens pas à ce qu’elle le soit.
W : Tu ne pas t’arrêter là, Paul. Dis moi ce qu’elle a ! c’est à propos d’Éric ?
P : Non…. Enfin, il en est pour quelque chose, mais je ne sais pas les raisons exactes de son geste….

Que veux-t-il dire par là ? Je m’approche un peu plus de lui afin de lui faire face. Je ne pourrais pas accepter qu’il s’arrête de parler. Je pousse un soupir, tentant de refouler l’inquiétude qui me terrasse littéralement.

W : (murmurant) Paul…. Tu as eu de ses nouvelles pendant ces six mois ?
P : (hochant la tête) Je ne pouvais pas en parler, Went.
W : (plissant les yeux) Pourquoi ça ? Dis moi pourquoi, Paul !

Il vient pratiquement d’hurler. Je peux comprendre les questions qu’ils se posent mais comment lui dire ces choses si délicates ? D’ailleurs, comment puis-je me permettre d’en parler alors qu’elle ne sait pas que je sais, ou alors elle la devinait et je suis certain que c’est la raison de son malaise. Je ne peux pas prendre le risque que cela se reproduise.
Went me fait toujours face et j’ai l’impression que c’est le personnage qu’il joue dans la série qui me foudroie du regard en cet instant. J’inspire profondément et m’apprête à faire une chose que je regretterais peut être toute ma vie…

Islemmedemars Jeu 19 Juin - 17:19

Oh cette suite est fantastique.
L bimbo est partie, super
Tout le monde est content de revoir Sarah, ca aussi c'est génial.
Ca va déja mieux entre Sarah et Went par rapport à la partie précédente.
Mais c'est quoi cette vérité qui gene Paul et qu'il a tant de aml a dire à Went ?

La suiteeee...

nol59 Jeu 19 Juin - 22:41

Bon, me voilà pour la suite^^
Pour être honnête, j'ai un peu peur de vos réactions, mais bon je m'y lance vu que je m'y suis collé Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Laugh2-100215

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Laugh2-100215

J'espère que je ne vous decevrais pas par le contenu de cette suite^^
Bonne lecture les miss Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Bisou-1--1a62

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Bisou-1--1a62

A demain si vous voulez toujours de la suite Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Wink-1e92

Chapitre 6.

P : Écoutes, Went…. Un mois après son départ je me suis rendu chez elle. Personne n’avait de ses nouvelles et te voir tourner en rond en te rongeant les doigts d’inquiétude, j’ai pensé que c’était une bonne idée d’y aller pour la voire. Du moins, je voulais m’assurer qu’elle allait bien….

Je m’arrête et pousse un long soupir afin de me donner le courage de lui révéler ce que j’ai appris. Il me regarde, me fixant de son regard interrogateur. C’est alors que sans entrer dans tous les détails, je lui explique tout. La rencontre avec Éric, ses propos infâmes qu’il m’a balancé au visage concernant sa fiancé. Je ne pouvais plus douter sur les sentiments qu’il éprouvait pour Sarah. Ces sentiments n’étaient pas de ceux d’un homme éperdument amoureux et prêt à l‘épouser. Il a été détestable, au point où j’ai bien faillit lui mettre mon poing sur la figure.

Pendant une seconde, je peux apercevoir la colère de Went tandis que je m’interromps quelques instants. Son regard noir est fixé sur moi, et je me demande si je fais bien de lui en parler.

W : Continue.

J’enfonce les mains dans mes poches et avance vers la fenêtre de la cuisine. Je contemple, le cœur lourd le paysage avant de continuer de relater ce que j’ai découvert. J’avais demandé à parler avec Sarah. C’est alors qu’Éric m’avait ris au nez en me disant que si je voulais la trouver, je devais partir pour Hawaï. Étonné, je lui ais demandé de me fournir l’adresse de ses parents car je savais qu’ils vivaient sur cette île. C’est ainsi qu’il m’a annoncé qu’elle se trouvait dans un hôpital psychiatrique….

P : (ému) Elle a tenté de mettre fin à ses jours, Went….

Sous le choc, je fais un pas en arrière et regarde Paul, hébété. Mon cœur manque un battement, je tente d’inspirer à fond pour garder un minimum de contrôle mais cela m’est trop douloureux.

P : Went…. Comme je te l’ai dis, je ne sais pas les raisons de ce geste mais j’ai parlé à son père au téléphone. Il m’a fait promettre de ne pas en parler, à personne, ni à Sarah, surtout. Il m’a certifié que le plus dur pour elle était de se pardonner d’avoir eut cette faiblesse. Elle ne voulait pas agir ainsi, elle ne voulait pas se donner la mort mais quelque chose l’a poussé à avaler cette boîte de médicament. Elle a simplement perdue les pédales, Went….
W : (déglutissant avec peine) Non, c’est pas possible, elle n’est pas comme ça, Paul ! Je te jure que si c’est la faute à cet ordure, je le…
P : (élevant la voix) Arrêtes ça ! Tu ne peux rien dire, Went. Tu ne peux rien y faire… Son père m’a dit qu’elle en souffrait d’avoir fait ça ! Elle a déjà honte d’elle, ne va pas la blâmer en plus….
W : Je vais la voire…
P : (le rattrapant en agrippant son bras) Ne lui dit rien, s’il te plait. Elle se confiera à toi, laisse lui le temps.
W : (les yeux brillants de larme, fuyant le regard de Paul) Je lui ai dis que je revenais tout de suite.

Je libère son bras et le regarde, peiné de le voir si éprouvé par ce qu’il vient d’entendre. Je le fixe avec ce sentiment impuissant tandis qu’il sort de la pièce, les épaules baissées…

Je n’en reviens toujours pas de ce que je viens d’apprendre par Paul. Je me sens vidé, totalement vidé…. J’essaie de me rassurer en sachant qu’il n’est sur de rien, vu qu’il n’a eut aucune confirmation de la part de Sarah, mais à la voire ainsi, si fragile me perturbe au plus haut point.Je referme la porte de la chambre et la contemple. Une larme coule le long de ma joue. J’essaie de me ressaisir et m’approche de la fenêtre. Je ferme le store et m’installe sur le lit où Sarah garde les yeux clos. Je ne sais pas si elle dort, mais sans m’en rendre compte, je prend sa main dans la mienne avant de m’allonger à ses côtés.
Elle se met à bouger légèrement alors que je passe mon bras au dessous de sa tête. A la seule pensée que j’aurais pu la perdre me bouleverse bien plus que de raison. Lentement, je l’attire vers moi et ferme les yeux tandis qu’elle vient se blottir dans le creux de mes bras. Un flot d’émotion indescriptible me submerge. Hésitant, je pose une main dans son dos et resserre mon étreinte.

Peu à peu, le sommeil vient balayer la peur, la tristesse qu’elle ait souffert sans que je m’en rende compte. Sans que je ne puisse rien faire pour l’aider….

J’ouvre les yeux, il fait sombre et je cherche la lumière que diffuse le réveil. Plissant les paupières, je suis surprise que nous sommes déjà au milieu de la nuit. Soudain, alors que j’allais me redresser, un poids non identifier emprisonne mes jambes. Redressant la tête, je découvre une jambe que je m’empresse de retirer brusquement.

Un cri de frayeur jaillit de ma gorge, mon cœur s’est emballé alors que je constate que je ne suis pas seule.

W : Sarah…. C’est moi, chut…

Je la prend dans mes bras et la serre contre mon cœur. Elle tremble comme une feuille, je souris, lui caressant les cheveux en la berçant jusqu’à ce que ses tremblements s’estompent.

Il m’apaise, ses paroles rassurantes qu’il murmure au creux de mon oreille me font un bien fou. Je m’accroche désespérément à son tee-shirt et j’écoute le rythme lent des battements de son cœur. A cet instant, je prend conscience à quel point il m’a manqué. Je ferme les yeux et me laisse aller à son étreinte.

S : (murmurant) Je suis désolée, Went…
W : (fermant les yeux) Ce n’est rien, Sarah…

Je continue de la serrer contre moi, n’éprouvant aucune envie de la libérer. Soudain, elle passe son bras autour de ma taille également et niche son visage dans mon cou. Mon cœur s’emballe aussitôt. Mon dieu, qu’est-ce qu’il m’arrive ? Gêné soudain de ressentir ce trouble que j’éprouve, je m’écarte légèrement afin qu’elle ne découvre pas mon désir naissant. J’étire mon bras derrière moi et allume la lampe de chevet, je me redresse un peu mais elle ne bouge pas. Sa tête est posé à présent sur mon torse, je referme à nouveau mon bras autour d’elle.

Je le remercie intérieurement d’avoir éclairer la pièce. J’inspire profondément afin d’éloigner ce sentiment qui vient de me submerger en étant blottit dans ses bras. Je me redresse alors mais Went me retient, resserrant son étreinte.

W : (murmurant) Reste là…
S : Went…

Je la relâche, poussant un soupir et la fixe tandis qu’elle s’écarte de moi. Je finis par sourire malgré le trouble grandissant que j’ai en moi, découvrant ses yeux endormit, ses cheveux emmêlés autour de son visage encore un peu pale mais je ne peux que la trouver merveilleusement belle, merveilleusement…. Arrête bon sang ! Pestant intérieurement, je lui demande :

W : Tu te sens mieux ?S : (hochant la tête en replaçant une mèche rebelle derrière son oreille) Je ne sais pas ce qui s’est passé…

Elle me sourit timidement, baissant les yeux sur ses mains. Je la regarde tandis qu’elle se met à triturer ses doigts. C’est à cet instant que je remarque qu’elle ne porte plus sa bague. D’un geste rapide, je lui prend la main et caresse de mon pouce son doigt, dépourvue de son diamant où le soleil a laissé des traces.

W : Tu ne portes plus ta bague ?S : (poussant un soupir) Non… nous avons rompus.
W : (plissant les yeux, souriant) Je suis désolé…
S : (riant nerveusement) Tu en es certain ?
W : De quoi ?
S : Tu n’es pas désolé, Went.
W : (baissant les yeux) Tu as raison, je ne le suis pas. Que s’est-il passé, Sarah ?
S : (fermant les yeux un instant) Quand je suis rentrée chez moi, je l’ai trouvé au lit avec sa maîtresse..
W : (lâchant un juron) Quel…
S : (posant une main sur sa bouche pour l’interrompre) Went… je suis désolée si je t’ai fais de la peine… je n’avais pas l’intention de te blesser, de t’écarter de ma vie…
W : (prenant sa main dans la sienne) Sarah… tu aurais du m’appeler, je serais venu…
S : Qu’est-ce que tu aurais fais de plus ?
W : (fermant les yeux, repensant aux paroles de Paul) Je ne sais pas, mais je ne t’aurais pas laissé tomber dans un moment pareil…. Tu m’as manqué, Sarah…

Les larmes me montent sans que je le veuille, sans que je puisse les retenir de couler…. Sa main vient effleurer ma joue et vient cueillir une larme du bout de son pouce. Je ferme les yeux, décidée à tout lui dire…

Je me redresse sur un coude et l’attire dans le creux de mes bras une fois de plus, là où j’aime qu’elle soit. Je pose mes lèvres sur son front et l’embrasse lentement, savourant chaque seconde de ce contact unique.

S : Quand…. Quand je suis rentrée chez moi et que je les ai surpris tous les deux, je suis sortie en claquant la porte. Mais le plus étrange, c’est que je n’étais pas en colère contre lui mais contre moi. Je n’ai rien ressentis quand j’ai vu ça ! Je m’en suis voulue… il a essayé de me rattraper. Je lui ai donc dit que je venais de me faire renvoyé par la production et que je partais quelques temps chez mes parents.W : (continuant de lui caresser le dos) Il ne t’a pas empêcher de partir ?
S : (secouant la tête lentement) Non. Mais trois jours après, il est arrivé chez mes parents pendant que j’étais seule… il a essayé de rattraper son coup et il voulait que je rentre avec lui. J’ai refusé, il s’est mis dans une colère noire et….
W : (serrant les mâchoires à l’idée de ce qu’il a pu lui faire) Sarah… continues…
S : (inspirant longuement) Je me sentais humiliée avec ce qui s’était passé… j’ai essayé de comprendre si il avait raison….
W : (prenant son visage entre ses mains) A propos de quoi, Sarah ? Qu’est-ce qu’il t’a dit ?
S : (secouant la tête) Que je n’étais qu’une moins que rien… il ne cessait de le répéter et que jamais je n’aurais du faire carrière…
W : (furieux) Bon sang, Sarah ! Comment as-tu pu croire ce qu’il t’a dit ?

Je me lève brusquement et marche le long de la chambre, serrant les poings. Un sentiment bien plus intense que la colère me submerge. Cet ordure la complètement rabaissée ! Mon dieu, si jamais je le trouve en face de moi…

S : Went ?

Je ferme les yeux à son murmure et essaie de me calmer. Soupirant, je me retourne et la rejoins, tandis qu’un sanglot sort de sa gorge.

W : Sarah… tu es une femme fabuleuse. Tout ce qu’il t’a dit est faux, Sarah…. Tu es une actrice de talent et je….

Incapable de continuer, mon regard reste suspendu au sien qui est humide de larme. J’encercle à nouveau son visage entre mes mains, une envie folle de stopper les tremblements de ses lèvres entrouvertes avec les miennes. Mais je la refoule de suite à contre cœur.

S : (murmurant) J’ai fais une chose affreuse, Went….

La peur au ventre, un sanglot étouffé s’échappe de ma gorge avant que je trouve la force et le courage de tout lui dire.

S : J’ai perdu la tête après son départ. Je ne sais pas ce qui m’a prit mais je me suis enfermée dans la salle de bain, et…

Je m’interromps et repense aux paroles dures qu’il a eut envers moi avant de partir.

Flashs back :

E : Je ne te reposerais pas deux fois la question, Sarah !S : Va te faire foutre !
E : Tu vois, tu es incapable d’être honnête avec toi-même ! Ce que tu ressens pour ce connard est bien plus que cette amitié débile dont vous clamez haut et fort devant tous le monde, n’est-ce pas ?
S : Tu ne trouves pas mieux que de l’insulter, c’est pas nouveau ! Mais franchement, avant de venir parler de la sorte de lui, regarde toi, bon sang !
E : Je vois que j’ai visé juste ! C’était logique de toute façon mais réfléchis, pauvre idiote ! Tu crois que ce mec craquerait vraiment pour une fille comme toi ? Il ne songerait même pas à … tu n’es rien ! Et au pieu ce n’est pas mieux, petite sotte ! Pourquoi crois-tu que j’allais voir ailleurs depuis le début ?

Fin du flash back.

S : (dans un souffle) J’ai pris la boîte de somnifère et…
W : Sarah…
S : (pleurant abondamment) Je suis désolée, Went….

Bouleversé, je la prend dans mes bras tandis qu’elle éclate en sanglot. Je resserre mon étreinte et la laisse verser les larmes qu’elle contient, priant intérieurement qu’elle arrivera à oublier cette histoire. Sans m’en rendre compte, mes larmes coulent le long de mes joues, remerciant le ciel qu’elle est encore en vie….

Islemmedemars Jeu 19 Juin - 22:59

E ben dis donc, que d'émotions.

J'imagine tout à fait la scène, c'est trés beau, chacun de ces petits geste qu'ils font.

Et pour moi tu n'as aucune raison de craindre ma réaction, je te le dis ici aussi, j'ai la réputaion d'être une SADIQUE question fic lol alros tu ne m'as pas du tout choqué avec ton histoire et je ne suis pas du tout déçu", j'aime cette suite, plaine d'amour( qu'ils ne savouent pas encore) de tendresse, de reconfort et tout la tralala.

et cette phrase elle m'as tué de rire

...Et au pieu ce n’est pas mieux, petite sotte ! Pourquoi crois-tu que j’allais voir ailleurs depuis le début ?...

Et pour cette phrase, je suis bien contente de constater que c'est el cas lol

E : Je vois que j’ai visé juste ! C’était logique de toute façon mais réfléchis, pauvre idiote ! Tu crois que ce mec craquerait vraiment pour une fille comme toi ?

Une autre suite miss STP

sabrina Ven 20 Juin - 15:23

Quel salaud ce Eric cmt il rabaisse notre Sara !!! Mechant !! Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Tomate

SUITE SUITE SUITE SUITE

tinkerbel Ven 20 Juin - 20:23

je viens de rattraper mes deux suites de retard et non mais c'est pas vrai, pourtant je savais que tu allais être sadique mais là Twisted Evil

Paul rassure du mieux qu'il peux Sara, et les autres m'ont l'air tout heureux de la revoir Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

Danay qui ramène kelly la bimbo
Sarah qui fait un malaise

Went qui reste avec elle et il est hyper inquiet Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

Paul qui en sait beaucoup et qui partage ses infos avec Went pale

mon dieu cet Eric quel sa****, il se tape une autre et en plus il rabaisse Sarah à un point qui n'est pas humain pale

de toute manière c'est clair qu'il était jaloux
en tout cas Went et Sarah sont très proche dans cette partie car elle se confie enfin à lui Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

je vais te demander LA SUITE en espérant que Went en fasse baver à eric Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 00000035

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Amoureu2

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Bonjour_

nol59 Ven 20 Juin - 22:27

Merci encore les miss, je vous adore, lol!

Contente de te lire m@ HarcelTink Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Amoureu2

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Mdr72ki

tu aimes quand je suis sadique Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Tomate

bonne lecture mes bichettes Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Amoureu2

Chapitre 7.

Nous restons enlacés dans les bras l’un de l’autre, pleurant silencieusement à présent. Je la serre contre moi, resserrant mon étreinte.

W : (murmurant) Sarah…

Lentement je redresse mon visage et constate que je lui ai fais bien plus de mal qu’il veuille bien me le dire. Ses yeux sont clairs comme jamais ils ne l’ont été.

W : (déglutissant péniblement) Je suis content que tu m’en ais parlé, Sarah.
S : (souriant légèrement) Tu es mon ami, Went.

Pour la première fois, cette phrase émanant de ses lèvres me fait un drôle d’effet. Je ne sais plus quoi penser aux sentiments réels que j’éprouve pour elle, mais la revoir après tout ce temps et de savoir que j’aurais pu la perdre à jamais, m’a totalement déstabilisé. Tout est confus, tout est chamboulé.

W : (murmurant) Tu pourras toujours compter sur moi, Sarah.

Je lui souris malgré qu’il garde les lèvres serrées. Je le sens profondément troublé, ce qui ajoute l’amplitude du mien. Je ne sais pas de quoi sera fait demain, mais je n’ai pas envie d’une relation sérieuse avec lui, pas maintenant. Pas sur le fait alors qu’il vient d’apprendre ma tentative de suicide. Je ne pourrais vivre pleinement cet amour que j’ai pour lui. Je ferme les yeux un instant tandis que je me sens attirée à nouveau contre lui. Ses lèvres se posent sur le haut de mon crâne, je déglutis péniblement alors que je me sens vaciller dans ses bras protecteurs qui m’entourent. Son souffle vient caresser ma tempe qu’il m’embrasse à présent. Mon dieu, Sarah repousse le avant qu’il en est encore temps !

Je la sens se contracter de nouveau à mon baiser pourtant amical. Ressentirait-elle les mêmes sentiments que j’éprouve pour elle ? Non, elle vient de me faire comprendre que je ne suis qu’un ami. Je m’écarte d’elle en prenant conscience de cette parole et la regarde en souriant, masquant ainsi le désarrois dont je suis submergé.

W : Sarah ? Je veux que tu oublies tout ça….
S : (baissant les yeux) J’essaie…. Si tu savais comme je regrette, Went.
W : Je sais… et qu’est-ce que je serais devenu sans toi ?

De plus en plus troublée par ces mots, ces gestes tendres, une larme s’échappe de ma paupière, roulant le long de ma joue pour finir sa chute dans la main de Wentworth. Ses doigts se posent sous mon menton et lentement, silencieusement, il me relève le visage. Quand mon regard croise le sien, je me sens défaillir. Je ferme les yeux, savourant secrètement ce sentiment enivrant qui m’enivre au plus profond de mon âme…

Je souris, alors qu’il m’est impossible de détourner mon regard du sien. Mes pupilles ne me répondent plus, hypnotisés par ces yeux noisettes brillants de pépites d’or dont j’aimerais les cueillir une à une et les garder précieusement pour moi seul…

S : (murmurant) Went ?
W : Oui…
S : (hésitante) Heu… j’ai….
W : (souriant devant son bredouillant) Qu’est-ce que tu veux, Sarah ?
S : (riant) J’ai faim…

J’éclate de rire alors qu’elle baisse la tête, essayant de me cacher ses joues rosies.

W : Allez vient, on va aller voir s’il y a des restes dans le frigo !

Je me lève du lit lentement tandis que Went entoure ma taille afin de me soutenir. Quelques minutes plus tard, nous nous trouvons dans la cuisine. Il m’aide à m’installer sur une des chaises. Je le remercie d’un sourire tandis qu’il se dirige vers le frigidaire. J’inspire profondément, le contemplant alors qu’il a pratiquement la tête dans le frigo. Je ne sais pas si c’est du à ma nervosité, à toutes ses émotions qui vient de me chambouler mais j’étouffe un fou rire. Il se retourne, sortant un plat et il reste planté devant moi l’air interrogatoire.

W : Qu’est-ce qui te fais rire ? J’ai un trou dans mon pantalon ?

Mon rire redouble alors qu’il pose le plat contenant du poulet sur la table et se contorsionne pour regarder son fessier. Je lève les mains, tentant de cesser de rire.

S : Non, arrête, ce n’est pas ça.
W : (lui souriant) Alors qu’est-ce qui te fais rire ?
S : Je sais pas, c’est nerveux.

Elle pouffe encore de rire, je secoue la tête tandis que je me dis que si elle continue, j’ai un moyen de la faire taire. Balayant aussitôt cette pensée de mon esprit, je contourne la table et m’attaque à une préparation de salade. celle-ci faite, je la rejoins et m’installe sur la chaise à ses côtés. Nos genoux se frôlent, et restent ainsi collés, l’un contre l’autre. Je surprend son regard troublé pendant que je la serre mais elle baisse rapidement les yeux. Satisfait, je souris et commence à manger.

Elle ne rit plus et je la regarde attendrie de la façon qu’elle dévore sa cuisse de poulet. Pendant quelques minutes, nous mangeons ensemble, dans le silence de la nuit. J’avais presque oublié la présence des six autres personnes dans le loft. Heureusement que les chambres se trouvent à l’étage au-dessus, songeais-je en lançant un regard vers Sarah.

W : Tu as terminé ?
S : (hochant la tête) Oui, c’était délicieux…. Merci.
W : Je n’ai rien fais de spécial, Sarah.
S : (se raclant la gorge) Heu…

Depuis tout à l’heure, je l’avais sentit intimidé et hésitante. Je constate à présent que j’avais raison de penser qu’elle voulait me demander quelque chose. Je repose mes couverts dans mon assiette, et la repousse avant de m’accouder à la table.

W : Quoi ?
S : Rien…
W : Sarah, je te connais…
S : Je voulais seulement savoir si….
W : Je t’écoute ?
S : Qui s’était cette fille qui était là tout à l’heure ?

Je retiens un gloussement de rire en voyant son visage pâlir soudainement.

W : (bredouillant) Heu…. C’est Kelly.
S : Kelly ? Je la connais ?
W : Non !

Me*de ! Sans le vouloir, j’ai presque crié en lui répondant. Elle me fixe d’un air satisfait de m’avoir déstabilisé mais je peux lire sur son visage qu’elle attend sa réponse.

W : (poussant un soupir) J’étais ivre, et je l’ai ramené ici…
S : (s’exclama, les yeux écarquillés) Quoi ?!
W : Quoi ! Quoi ?

Choquée de l’imaginer ivre avec cette fille me laisse sans voix. Mon dieu mais qu’est-ce qu’il lui a prit ? C’est alors que je laisse mes sentiments douloureux se terrer au fond de moi et je tente de paraître impassible mais inquiète.

S : Mais qu’est-ce qui t’a pris ?
W : Je te l’ai dis, j’étais ivre..
S : Justement ! Ça ne te ressemble pas, Went ! Et encore moins de ramener une fille que tu ne connais même pas !
W : Qu’est-ce qui te prend ?
S : Rien ! J’espère au moins que tu t’es protégé ?

J’écarquille les yeux et la fixe. Elle a l’air furieuse et soudain je suis pris entre l’envie d’éclater de rire ou de la prendre dans mes bras pour la faire taire. Mais elle ne me laisse pas le temps d’y réfléchir…

S : Mais non ! Tu ne t’en souviens même pas, je parie vu que tu étais ivre !
W : (murmurant) Sarah….
S : (parlant d’une voix sévère) Tu imagines si elle tombe enceinte ? Qu’est-ce que tu feras ?

Je ferme les yeux et pose mes coudes sur la table avant d’enfuir mon visage entre mes mains. J’esquisse un faible sourire qu’elle n’aperçois pas, du moins de je l’espère ! Si elle continue ainsi, je ne serais me retenir plus longtemps. Elle est jalouse, ma parole ? A moins que ce soit le fait qu’elle s’inquiète réellement pour moi et me donne un serment que tout ami serait susceptible de me donner ?

Confus, je soupire longuement et relève mon visage. Je viens planter mon regard dans le sien et je constate que je suis impatient qu’elle continue son discours sur les risques que j’ai pris en couchant avec cette fille.

S : (furieuse de le voir sourire) Tu te rends comptes ou pas ? Et ça te fais sourire ! Went… qu’est-ce que tu fais ?

Je me lève de ma chaise, n’y tenant plus. Je me laisse envahir et diriger par cette envie qui me pousse de la prendre dans mes bras. Elle continue à parler, tandis que je la fixe et lui tend la main. Hésitante, elle pose ses doigts tremblants dans le creux de ma paume que je resserre et l’attire vers moi. Nous nous faisons face. Elle murmure mon prénom comme si elle devinait ce qu’il allait se passer, là, maintenant. Sans plus attendre, laissant ma raison de côté, j’enroule sa nuque de ma main et l’attire contre moi.

Pendant une seconde, j’hésite et la regarde, le cœur battant comme jamais. Son regard se lève vers ma bouche, elle frémit… je peux le sentir. Un demi sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je me penche vers son visage,… et pose mes lèvres sur les siennes…

jateuse-audrey Ven 20 Juin - 22:54

NONNNNNNNNNNN tu Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 10363152

ne peut pas nous laisez comme ça !!!!

SUITEEEEEEEEEEEEE SUITEEEEEEEEEEEEEEEEE Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Yahoo

tinkerbel Ven 20 Juin - 22:59

les rancunes de Went sont bien loin maintenant Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

ils sont vraiment très épris l'un de l'autre, on le ressent à tes descriptions Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

Sarah qui ne peut s'empêcher de faire la morale à Went sur la kelly tongue

sinon leur petit diner, préparé par Went, très romantique lol!

et le dessert Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

sinon non, je n'aime pas le sadisme (enfin à petite dose Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Mdr72ki

) et la cette fin ......qui va les interrompre, il y a 6 boulets donc il y a le choix Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Smiley_a

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 4198

LA SUITE

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 10-10

Islemmedemars Ven 20 Juin - 23:55

Mdr tink, j'aime bien tom com lol.

Alors moi comme depuis le début je trouve cette suite trés romantique, il ne se passe rien de concret (enfin a la fin si quand meme) mais c'est beau.

Ce moment qu'ils ont passé ensemble est comme magique, on a vraiment l'impression qu'ils n'y a qu'eux. En tout les cas moi, j'ai oublié les autres lol.

J'aime aussi quand Sara fait la moral à Went à cause de son ecart avec la bimbo, ya pas plus direct, et d'ailleurs cela fait un super contraste entre les moments tendues de leur retrouvaille et ces deus moments précis ( la chambre et la cuisine) ou ils sont exactement comme avant).

Sinon, j'espère vraiment que que les avertissements de Sara, ne s'avèreront pas exact...

J'ai beaucoup aimé le passage du trou dans le pantalon, c'était trop marrant.

LA SUITEEEEEEEEEEEEEEE STP

tinkerbel Sam 21 Juin - 12:22

c'est moi
je viens te demander une suite, car j'ai hâte de savoir ce que tu nous réserves Twisted Evil

et puis si tu veux poster 4 suites, vas y Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Mdr72ki

gros

nol59 Sam 21 Juin - 23:09

Merci les filles pour vos coms Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

Désolée du retard mes minettes, mais j'ai un sacré probleme de connexion là Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Pleure-5f52

J'en ai marre^^
allez vite la suite je sais Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Laugh2-100215

bonne lecture mes chéries
a demain Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Bisou-1--1a62

Chapitre 8.

La défaillance, fébrilité se mélangent en moi tandis que ses lèvres chaudes sont posées sur les miennes. Incompréhension, refoulement sont empreints de ma raison tandis que mon cœur se renverse à ce contact. Je n’ai pas froid, mais je frissonne. Je n’ai pas peur de lui mais je tremble à son approche. Inconnu, la définition de ce que je ressens à cet instant.
Incompréhensif, au pourquoi de l’inconnu. Ce n’est pourtant pas la première fois que cette situation me bouleverse. Mais aujourd’hui, aucune caméra n’est autour de nous, guettant le moindre de nos gestes. Aujourd’hui, il attend un simple mouvement de ma part afin de franchir la barrière de mes lèvres et d’approfondir son baiser. Aujourd’hui, il en veux plus….

Je ferme les yeux, les battements de mon cœur résonnent étrangement dans ma poitrine. Je goutte ses lèvres avec douceur, d’un effleurement chaste et timide. Je la sens frémir mais elle doute, elle lutte en elle…. Je le sens. Maa main droite exerce une faible pression sur sa nuque afin de lui faire comprendre que je la veux au plus profond de mon âme, de mon cœur. Ma main gauche vient s’échouer avec une lenteur délibérée dans le creux de ses reins, afin de l’étreindre plus étroitement. Elle tremble…. Je crains qu’elle me repousse.

Mon cœur s’emballe trop vite, je me sens défaillir comme jamais auparavant. Alors que ma résistance commence à s’évanouir dangereusement, la porte de la cuisine s’ouvre brusquement. Nous sursautons tous les deux, nous nous éloignons vivement de l’un de l’autre. J’ai le souffle court.

Je déglutis péniblement et regarde d’un air hébété, Amaury qui traverse la cuisine pour se ruer vers le réfrigérateur. Je passe ma main sur mon visage, ne sachant quelle habitude adoptée. Mais Amaury se contente de boire goulûment la boite de lait et repart sur ses pas sans même nous adresser un regard. Éberlué, je fixe la porte se refermer, et me soudain mal à l’aise. Je ferme les yeux, respire lentement avant de me retourner vers Sarah….

J’ai les yeux baissés vers le sol, et m’amuse à compter mes doigts de pieds nus. Amaury était complètement à l’Ouest ! Il n’a pas dit un mot, pas un regard. Il viens de déambuler dans la cuisine, endormit et à moitié nu. Je ne sais pas ce qu’il lui a prit de m’avoir embrassé mais ce simple baiser m’a bouleversé. Je peux sentir sa nervosité, son regard sur moi. Prenant mon courage à deux mains, je redresse la tête. Aussitôt, nos regards se croisent, se fuient. Il est aussi troublé que moi je le suis. Le silence de la pièce est pesant, une tension énorme flotte autour de nous.

W : Sarah…

Son murmure est rauque, haletant. Je suis de plus en plus bouleversée. Je porte mon regard à nouveau dans ses yeux brillants de désir. Nous finissons par nous sourire lentement puis sans que je m’y attende, il s’approche de moi et me prend la main.

W : Sarah…
S : (baissant la tête) Ce n’est rien, Went.

Je fronce les sourcils, surpris. Je n’avais pourtant pas l’intention de m’excuser pour ce qu’il vient de passer. De plus en plus embrouillé, un soupir de lassitude s’échappe de mes lèvres.

S : (émue et d’une voix tremblante) Je… il faut que… nous devrions retourner nous coucher.
W : (déçu) Oui, tu as raison.
S : (fronçant les yeux) Je suis fatiguée…
W : Très bien. Viens, je te raccompagne jusqu’à ta chambre.

J’entoure mon bras autour de sa taille et nous quittons la pièce, laissant un froid à l’intérieur alors qu’il a peine une minutes, la température en était presque suffocante. Je ne sais pas si je m’y suis prit correctement, si cela était une bonne manière d’agir ainsi pour lui faire comprendre mes sentiments mais je n’éprouve aucun regret….

Arrivés devant la porte de ma chambre, je l’ouvre et pénètre à l’intérieur. Je m’avance vers le lit quand soudain, je m’aperçois que Went ne m’a pas suivit. Alors que je repars aussitôt dans le couloir, j’aperçois la porte de sa chambre se refermer. Consciente que je ressens un sentiment d’abandon, je m’adosse contre le mur et fixe la porte.

Après une minute d’hésitation et à me demander ce que je pourrais trouver comme prétexte pour le retrouver, j’ouvre, omettant de frapper à la porte et entre dans la pièce qui est plongée dans le noir.

S : (murmurant) Went…

Je souris, satisfait et allume ma lampe de chevet. Mon sourire s’évanouit aussitôt alors que son visage est pourvue de traits furieux, inquisiteur. Elle me regarde, ses mains sont posées sur ses hanches. Visiblement, ma tenue a tout de même l’air de lui faire de l’effet.

S : Tu… dis…. Tu ne…

Je me lève et lui fit face. Prenant la même position qu’elle, j’attend qu’elle arrive à articuler un son.

Il fait exprès ma parole ?! Je l’ai déjà vu uniquement vêtu d’un boxer mais, convaincue que plus rien ne sera comme avant entre nous, cette vision me fait défaillir au plus haut point. Enfonçant mes ongles dans mes hanches, je tente désespérément de ne pas me jeter à son cou et de caresser son corps si… parfait et désirable.

W : Tu n’es plus fatiguée ?
S : (écarquillant les yeux) Quoi ?
W : (sourire, satisfait) Tu n’es…
S : Non ! Si… si je suis encore fatiguée… mais, tu ne m’as pas répondu tout à l’heure !
W : (haussant un sourire, interrogateur) A quelle question, Sarah ?
S : (poussant un soupir) A propos de Kelly ! Tu as utilisé….
W : Sarah…
S : (rougissante) Désolée… ça ne me regarde pas de toute façon.

Alors que je me retourne pour m’enfuir à toutes jambes, sa main vient s’abattre sur mon épaule, stoppant aussitôt mon élan. Un frisson me parcours l’échine, je reste là, dans l’impossibilité de faire le moindre mouvement. Il s’approche de moi, je sens son corps derrière mon dos tandis que son souffle chaud me caresse la nuque. Je déglutis péniblement et ferme les yeux.

W : (murmure rauque) J’étais complètement ivre, Sarah…. Il ne s’est rien passé avec cette fille.

Un sourire de soulagement étire mes lèvres et me retourne vers lui. Mon regard se plante droit sur son torse. Je ferme les yeux, il faut que j’évite cette tentation.

S : Ho… je pensais que tu… que vous….
W : (riant) Je n’ai jamais rien dit de tel. Je l’ai ramené avec moi ici mais elle a eu beau essayer… rien ne s’est passé.

Je relève son menton que j’emprisonne entre mon pouce et mon index. Je suis rassuré à présent sur ses sentiments. Convaincu que ce n’était pas mon amie qui était furieuse que je puisse avoir eut une relation sexuelle avec Kelly, mais c’était bien une femme amoureuse et jalouse.

Mon regard est suspendu à ses lèvres tremblantes et entrouvertes. Ses yeux sont mis clos. Je ne ferais rien malgré l’envie grandissante que j’éprouve de lui capturer une fois de plus cette bouche dont je rêve de goûter. Je ne ferais pas encore le premier pas, c’est à elle. Je lui laisserais le temps, espérant qu’elle n’attende pas des années.

W : Va te coucher, Sarah.
S : (ouvrant les yeux) D’accord. Bonne nuit, Wentworth.
W : Bonne nuit, Sarah.

Ses doigts viennent de libérer mon visage. Je m’efforce de sourire et fais un pas en direction de la porte. Mais je n’y arrive pas… je n’arrive pas à continuer. Je ferme les yeux, repoussant la voix de ma raison.

S : Went… est-ce que…

Je me retourne et le regarde. Il est resté à la même place, s’interrogeant sans doute sur ce que je m’apprête à lui demander.

S : (dans un souffle) Je peux dormir avec toi ?

Un large sourire se dessine sur mes lèvres. Elle craint un refus de ma part, je le devine dans son regard et dans la façon de triturer ses doigts. Mais comment je pourrais lui refuser alors que j’en ai autant envie qu’elle ? Si ce n’est plus.

Je m’approche et lui prend la main en souriant. Une seconde plus tard, elle s’installe sur le bord du lit.

W : Tiens, je vais te donner une chemise.
S : Merci.
W : (s’allongeant dans le lit) Tu préfères peut être que je passe quelque chose ?
S: (secouant la tête) Non… c’est pas la peine. Mais… tu peux éteindre ?
W : (souriant) Bien sur.

Je lui souris et appuie sur l’interrupteur. La chambre est plongé dans le noir et tout en l’écoutant remuer à côté de moi, je prie silencieusement de trouver la force de contenir mon désir.

Une fois habillée de la chemise de Went, je m’enfonce dans les draps, et hésite un instant à me blottir contre lui quand son bras m’attire.

W : (murmurant d’une voix fatiguée) Viens là, ma puce.

Ma puce ? Il ne m’avait jamais appeler ainsi. Personne à part mes parents ou encore Paul… je cesse de réfléchir et m’approche de lui. Ses bras viennent se fermer autour de moi. Un sentiment de bien être, de bonheur total me transperce. Je tourne le visage vers lui et sans me soucier où mes lèvres se poseront, je l’embrasse.

Ses lèvres viennent de se poser à la commissure de mes lèvres et m’embrasse d’un baiser rapide avant de venir nicher son visage dans mon cou. Je suis comblé mais en proie à une grande frustration.

Nos jambes nues sont enlacées, collées l’unes contre l’autres. Son souffle chaud dans mon cou m’apaise. Quelques minutes plus tard, avec le cœur remplit d’émotions et d’espoirs, nous nous endormons alors que l’aube ne tardera pas à se lever….

tinkerbel Sam 21 Juin - 23:25

l'oscar du boulet est attribué à Amaury lol!

encore heureux qu'il soit dans le cirage Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Mdr72ki

Sarah qui veut être sur pour Went et la bimbo, et finalement OUF il ne s'est rien passé Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Applaudi

donc reste à savoir si c'est une panne ou juste un refus de sa part Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Smiley_a

après Sarah qui veut rester dormir avec lui Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Panneau1

attention pas de boulet pour le réveil Evil or Very Mad

super suite et j'en veux encore, avant que ta connexion te lache

gros

Islemmedemars Dim 22 Juin - 19:50

Alors cette suiite est vraiment super, ce baiser est petit mais magique.

pour amaury ben, j'aurais bien voulut qu'il voit lol ça aurait été marrant lol..

De toute façon, les autres vont bien finir par s'enrednre compte, s'il ne l'on pas déjà deviné.

tinkerbel Dim 22 Juin - 21:22

hello
Je viens pour faire la demande en ce qui concerne scratch

LA SUITE AVEC LE REVEIL Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

alors ???

Islemmedemars Dim 22 Juin - 21:26

tinkerbel a écrit:hello
Je viens pour faire la demande en ce qui concerne

LA SUITE AVEC LE REVEIL

alors ???

+1

nol59 Dim 22 Juin - 21:56

Merci beaucoup pour vos coms les filles, ç me touche beaucoup que vous aimez les miss
la suite sera pour demain, j'ai pas eu le temps de la boucler aujourd'hui, j'espère que vous m'en voudrez pas Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Tfr2b-49e52

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Tfr2b-49e52

mais promit, demain soir vous en aurez une^^ Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Bisou-1--1a62

Islemmedemars Dim 22 Juin - 22:02

nol59 a écrit:Merci beaucoup pour vos coms les filles, ç me touche beaucoup que vous aimez les miss
la suite sera pour demain, j'ai pas eu le temps de la boucler aujourd'hui, j'espère que vous m'en voudrez pas mais promit, demain soir vous en aurez une^^

>Ah ben non on t'en veut pas, mais je reste impatiente de savoirl a suite.

tinkerbel Dim 22 Juin - 22:06

Islemmedemars a écrit:
nol59 a écrit:Merci beaucoup pour vos coms les filles, ç me touche beaucoup que vous aimez les miss
la suite sera pour demain, j'ai pas eu le temps de la boucler aujourd'hui, j'espère que vous m'en voudrez pas mais promit, demain soir vous en aurez une^^
>Ah ben non on t'en veut pas, mais je reste impatiente de savoirl a suite.

bon alors demain ce sera 2 lol!

t'inquiètes pas et gros Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Amoureu2

nol59 Lun 23 Juin - 21:58

Merci pour vos coms les miss
voici la suite Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Bisou-1--1a62

Chapitre 9.

J’ouvre les yeux avec difficultés et m’étire paresseusement. Surpris de trouver Sarah blottit contre moi, je fronce les sourcils et tous les souvenirs de cette nuit ressurgissent. Un sourire se dessine sur mes lèvres et je referme mon bras dans son dos, évitant de la réveiller. Je l’observe pendant un moment, et à loisir, je baisse mon regard sur son corps.

La couverture a glissé sur ses jambes alors que l’une d’elle entoure les miennes. Lentement, je parcours des yeux sa peau nue, remontant jusqu’à sa taille. Je souris de plus belle alors que ma chemise qu’elle porte est un peu trop remonté, dévoilant son slip de dentelle noire.

Alors que mon désir augmente considérablement à cette découverte, je me met à observer le plafond. Il faut que je retrouve une respiration normale, me dis-je en pestant en moi-même. Soudain, je prend conscience de l’heure tardive et étouffe un léger cri alors que je viens de me souvenir que j’avais rendez-vous ce matin avec John, mon agent.

W : (murmure) Et mer*e !

Il est plus de onze heures ! Il faut que je lui téléphone pour m’excuser de lui avoir fait faux bond. Exaspéré, j’essaie de me libérer des bras de Sarah mais elle resserre son corps contre le mien. Levant les yeux au plafond, impuissant, je tente une autre tentative.

S : (grognant) Laisse moi dormir.
W : (souriant) Il faut que je me lève, Sarah…

A l’écoute de la voix de Went, j’ouvre de grand yeux et le considère un instant. Je déglutis tandis que mon regard capte rapidement les parties de son corps qui s’offrent à ma vue, soudain bien réveillée. Et je suis à moitié vautrée sur lui !

S : (rougissante) Désolée…

Je m’écarte de lui aussi vivement que possible et rabat aussitôt le drap sur mes jambes nues.

W : Ce n’est rien, Sarah.

Je la voix se tourner sur le côté, et ramène la couverture jusqu’à ses épaules. Je souris de la voir si gênée que cela. C’est alors que je repense à cette nuit, à ce baiser… la douceur de ses lèvres…. Bon sang ! Il faut que je cesse de penser à ça.

S : Went…

Fronçant les yeux à son murmure, je me rallonge à ses côtés et pose une main sur son dos. Elle se retourne alors vers moi. Nos regards se croisent et descendent vers nos bouches frémissantes. Sans réfléchir, je laisse mon envie de la prendre dans mes bras.

W : (lui déposant un doux baiser sur sa tempe) Bonjour…. Tu as bien dormis ?
S : (souriant) Oui, je n’ai jamais aussi bien dormit.
W : Moi non plus…

Je me redresse et me retrouve au dessus de son visage. Il m’attire inexplicablement. C’est alors que je me penche vers lui et dépose un long et doux baiser sur sa joue.

W : Sarah…

Je me redresse…. Je n’aurais pas dû. Je m’aperçois que son regard est brillant de désir. Je n’arrive pas à décrocher mes yeux de ses pupilles étincelantes. Son regard est intense, presque suffocant, m’irradiant d’une infinie brûlure.
Tout s’efface autour de nous. Tous bruits ont cessés de venir jusqu’à nous. Au même instant où je me doute que l’un de nous cédera, je vois, comme dans un flash, un bras qu’il lève puis à la seconde que l’évidence me traverse l’esprit, il m’attire dans ses bras.

N’y pouvant plus, je l’attire vers moi, pressant ma main contre sa nuque afin de capturer ses lèvres. Un gémissement de plaisir s’échappe de sa gorge, ou de la mienne, je n’en suis plus certain. Je la sens encore réticente, mais je force le barrage de ses lèvres pour y rencontrer ses dents. Déçu, je m’écarte et murmure son prénom.

S : (murmurant) Went….
W : (irrité et sortant de son lit) Désolé…. Je pensais que tu en avais autant que moi, mais j’ai du me tromper.

Complètement abasourdie, je le regarde pendant qu’il enfile son pantalon et se dirige vers la fenêtre. Il pousse un soupir, je m’en veux. Je me lève à mon tour et m’approche de lui. Je constate que tous le monde est sur la terrasse. Amaury et Dominic s’affrontent dans une course en longueur dans la piscine sous les éclats de rire de tous les autres.

Furtivement, je lance un regard vers Went et lis la déception sur les traits de son visage. Il reste là, le dos tourné, concentré par la vue de ce qu’il se passe à l’extérieur.

Je n’aime pas cette situation. J’ai peur de perdre ce qui existe entre nous mais je ne veux en aucun cas que cela vienne rompre ce lien que nous avons crée depuis si longtemps. Mais quand je repense à cette Kelly… je me dis que plus jamais je ne voudrais ressentir ce sentiment de jalousie comme celui qui m’a submergé hier.

Certaine que je fais le bon choix… je lève une main tremblante et la pose sur son dos. Il frémit aussitôt sous mes doigts. Je souris, convaincue que ce n’est pas l’amitié qui le ferait réagir ainsi.

W : (murmure rauque) Sarah.
S : J’en ai envie autant que toi, Went…

Je ferme les yeux, savourant chaque mot qu’elle vient d’émettre. Je me retourne lentement vers elle. Sa main suit le mouvement de mon corps, elle ne l’enlève pas. À présent, elle est posée sur mon ventre, mon souffle est court. Je baisse les yeux vers elle afin de comprendre ce qu’elle veut dans son regard. Je lis ses doutes, ses craintes…. Elle me sourit… puis baisse la tête, évitant mon regard.

W : Mais ?
S : (déglutissant) Tu sais ce que penserez Paul si….
W : (prenant son visage entre ses mains) Sarah…. Je me fiche de ce que penseront les autres.
S : On ne peux pas s’en foutre, Went ! Tu sais très bien qu’il ne tolère pas ce genre de relation entre les membres de son équipe !

Elle a raison, je le sais. Paul nous a clairement fait comprendre qu’il ne foulait rien de tel voir arriver entre nous tous. Mais c’était au début, il a du changer de discours, depuis.

Je soulève un peu plus son visage dans le creux de mes mains, et plante mon regard dans le sien.

W : Sarah… on peux rester discret, si tu veux, mais je n’ai pas envie de rester comme ça…
S : Quoi ? Comme ça ? J’ai peur que…
W : (fronçant les yeux) Non, n’ai peur de rien, Sarah. Tu…
S : (larmes aux yeux) Je ne veux pas perdre ce qui nous unis depuis le début…
W : (la serrant dans ses bras) Je suis fou amoureux de toi depuis le début, Sarah…

Elle s’écarte de moi vivement et je remarque la stupeur dans son regard. Puis, un sourire vient se dessiner sur ses lèvres. Elle revient vers moi rapidement et avec une lenteur délibérée, je pose mes lèvres sur les siennes.

Mon cœur s’emballe et je le remercie intérieurement lorsque ses bras se referment autour de moi, m’évitant ainsi de tomber par l’émotion qui me submerge.

Je n’ai pas besoin cette fois, de forcer ses lèvres douces et chaudes pour me frayer le passage. Nos langues se trouvent très vite, et s’enroulent avec frénésie. J’essaie tant bien que mal de freiner cette ardeur qui boue en moi afin de savourer chaque mouvement de cette exploration tant attendue. Je la sens frémir, elle est tremblante dans mes bras. C’est comme si le sol se dérobait, l’émotion est à son comble.

J’ai l’impression que je tombe dans un délicieux précipice dont je n’avais jamais vu l’aperçu mais l’avait tant espérer de nombreuses fois. Chaque contact avec sa langue, ses lèvres… m’envoie des décharges électriques dans tous le corps. Avec lenteur à présent, nous nous embrassons avec passion. Je le serre davantage contre moi tandis que ses mains se baladent dans mon dos et descendent sur mes fesses.

S : (s’écartant) Went…
W : (l’attirant dans ses bras) Sarah…
S : (souriant et collant son front au sien) Je t’aime, Miller.

tinkerbel Lun 23 Juin - 22:09

je ne suis pas encore redescendue de mon nuage lol!

très beau réveil, ils sont trop mimi tous les deux Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

Went profite que Sarah dorme encore pour la regarder Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Invisio3

et après la gêne de Sarah sur sa tenue lol!

après c'est un peu tendu mais c'est vite passé Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Yahoo

Paul n'aura qu'à rien savoir et de toute façon ,je vois pas comment il pourrait être contre leur relation (et l'audimat il y pense lol!

)

superbe et splendide suite et comme elle est longue et que je suis d'humeur compréhensive et bah j'attendrai demain pour la prochaine Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 2 Mdr72ki

Islemmedemars Lun 23 Juin - 22:35

Et bien tink, si toi tu à eu un chouette réveil, moi je sens que je vais bien dormir ce soit aprés ça. C'était vraiment magnifique, toujours aussi bien écrit et décrit...

J'ai bie aimé le début, c'est un vrai coquin le petit miller.

Et enfin ils se sont ouvertement déclaré leur amourrrrrrr... c'est superrrrrrrrrr

quand à Paul, ben il n'a rien à dire, quelque part je suis sur qu'il le sait, d'ailleurs tous doivent savoir qu'il se passe quelque chose entre eux... c'est tellement évident.

LA suiteeeeeeeeee STP

nol59 Lun 23 Juin - 23:03

Bon allez les miss, comme je n'ai pas posté hier, je vous mets la deuxième suite ce soir^^
attention en lisant, ça va vous stressez Laughing

Bonne lecture les miss :bisous:

Chapitre 10.

Son regard est intense tandis que je reste suspendue à ses lèvres. Le temps me parait se figer jusqu’à ce qu’il commence à remuer lentement ses lèvres frémissantes.

W : (murmure rauque) Je t’aime aussi, Sarah…

Sans retenir l’élan qui me pousse vers elle, je l’embrasse ardemment pendant de longues minutes, me délectant de la douceur de sa bouche. Mes mains partent à la découverte de son corps. Sans cesser de l’embrasser, je la soulève dans mes bras et la plaque contre le mur. Elle passe ses bras autour de mon cou et s’écarte légèrement de ma bouge avant de la reprendre avec plus de douceur.

C’est alors que nous sursautons tous les deux aux cris qui nous parviennent de l’extérieur. A contre cœur, et à bout de souffle, je la laisse glisser sur le sol en la tenant contre moi. Nous regardons à la fenêtre et nous rions ensemble alors que Dom et Amaury viennent de mettre les filles à l’eau toutes habillées.

S : (écarquillant les yeux) Je vois qu’ils n’ont pas changés ces deux là ! Je me demande à quoi je dois m’attendre.
W : (riant) Je ne les laisserais pas faire, ma puce.

Il m’attire contre lui et me dépose une pluie de baisers dans le cou. Je frissonne tandis que l’envie d’aller plus loin m’envahit. Mais ce n’est pas le moment, me dis-je en constatant que les filles s’approchaient.

S : Went… il vaut mieux que je retourne dans ma chambre.
W : (soupirant) Oui, tu as raison. Je vais appeler John, j’avais rendez-vous avec lui ce matin.
S : (souriant) Tu crois qu’on… tu sais…
W : Sarah. Je t’aime et on fera ce qu’il faut, d’accord ? On reste discret pour l’instant mais je ne sais pas si je serais capable de…
S : (posant une main sur sa bouche pour l’interrompre) On y arrivera. Et puis je ne pense pas que c’est le moment que tous le monde sache…
W : On en reparlera ce soir…
S : (souriant tendrement) Ce soir ? Et où comptes-tu qu’on parle de ça ce soir ?
W : N’oublie pas que ma maison se trouve à peine à demie heure de route.
S : (déglutissant) Oui…. Mais si Paul arrive ici et qu’on est pas là ? Sans compter les autres ?
W : (riant en la prenant dans ses bras) On trouvera bien bon nombres de prétextes mon cœur.
S : (l’embrassant tendrement) Je te fais confiance.

Un quart d’heure plus tard, après avoir prit une bonne douche dont j’avais incroyablement besoin, je descend et découvre Jodie dans la cuisine.

J : Et salut Sarah ! Tu te sens mieux ?
S : (hésitante) Heu, oui merci.
J : Went est vraiment adorable d’avoir prit soin de toi cette nuit. Oui… je suis venue voire si tu manquais de rien et comme tu n’étais pas dans ta chambre, j’ai pensé….
S : Oui, on a dormit ensemble, il avait trop peur que je refasse un malaise.

Mes joues s’embrasent aussitôt et détourne le regard. Heureusement qu’elle ne s’en offusque pas et qu’elle change de conversation en commençant à sortir des plats du placard.

S : (bredouillant) Heu… c’était quoi ces cris tout à l’heure ?
J : (levant les yeux au plafond) Ne cherche pas trop ! Dom et Amaury, les vrais gamins. Ils nous ont balancés dans la piscine Danay et moi.
S : (secouant la tête en riant) Je vois qu’ils n’ont pas perdus leurs sens de l’humour !
J : Malheureusement.

Nous rions d’une complicité naissante tandis qu’elle s’active à mettre en route la gazinière. Je me lève et m’approche d’elle.

S : Je vais te donner un coup de main.
J : (écarquillant les yeux) Quoi ? Il n’en est pas question ! Je ne tiens pas à m’attirer les foudres de Miller !
S : (étonnée) Pourquoi ça ?
J : Il nous a dit que tu devais te reposer. Et de ce fait, tu ne contribueras aux taches ménagères que dans deux semaines.
S : (de plus en plus stupéfaite) Comment ça dans deux semaines ?
J : C’est très simple, Sarah. Nous avons établi ensemble quelques règles de base pour le fonctionnement de la maison. Et on a tous été d’accord pour faire un roulement. Cette semaine, les filles doivent tout faire. Le ménage, ranger, la cuisine, laver et repasser le linge sales. Et la semaine suivante, ce sont la semaine des mecs à faire ce que nous avons fait cette semaine.
S : (éberluée) Quoi ? On doit faire le linge sale ? Leurs linges sales ?
J : (soupirant) Oui. Mais le meilleur dans ces règles stupides dont-ils ont été votés à la majorité, chaque personne peut demander ce qu’ils veulent…. Comme des désirs si tu veux, qu’on doit exaucer sans protester.

Je n’en reviens pas. J’écarquille les yeux à cette annonce. Certes, il faut bien que nous partagions les tâches mais de là à exiger quoi que ce soit !

J : Ne fais pas cette tête, Sarah ! Tu verras, la semaine prochaine se sera notre tour. Danay et moi avons déjà établit notre liste, il faudrait que tu rajoutes ce que tu as envie, tient…
S : (prenant la feuille pliée en quatre qu’elle lui tendait) Qu’est-ce que c’est ?
J : (éclatant de rire) Notre plan d’attaque !

J’éclate de rire en lisant rapidement les quelques lignes. Massage, plateau télé pour l’une et petit déjeuner au lit qu’Amaury devra rapporter, et cela tous les jours à tour de rôle, et j’en passe.

S : Et tu crois qu’ils vont faire tout ça sans rechigner ?
J : Bien sur, ils sont tous obliger ! C’est la règle, et on ne peut plus rien y faire. Et cette après midi je suis de corvée à leurs passer de la crème pendant leurs séances de faignanté au soleil !
S : (poussant un soupir) Mon dieu…. J’ai hâte de reprendre le tournage !
J : (riant) Parce que tu crois que notre rôle s’arrêtera en sortant d’ici ? Même à l’extérieur, si Dom désire une crème chantilly, on devra lui ramener !
S : (ne souriant plus) Ils pensent vraiment que nous sommes leurs esclaves ? Je ne pourrais jamais accepter ça !
J : Crois moi, Sarah…. Fais comme Danay et moi, et tu verras qu’ils finiront par vouloir tout changer ce règlement.

Alors que j’allais lui répondre qu’il n’était pas question que je leur ferais leurs moindres caprices, la porte de la cuisine s’ouvrit.

Da : Hey, Sarah ! Salut, tu vas mieux ? Heu… je ne crois pas.
J : Si Danay, Sarah va mieux mais là, je viens de la mettre au courant… tu sais comment on fonctionne ici.
Da : (riant) Ha je vois. Tiens, en parlant de ça, je viens de finir le lit de Miller, il ne restait plus que celui là. Et Amaury est en train de forcer Went a rajouté des trucs pour Sarah sur la liste.

Je rêve, elle a fait le lit de Went ?!!! Je les regarde tour à tour, j’ai l’air de descendre de je ne sais quelle planète ! Abasourdie par tout ce qui vient de se dire dans cette pièce, je n’entend pas le téléphone sonner. Surprise, je regarde Jodie levait les yeux au plafond et commence à parler à son interlocuteur.

J : (grimaçant) Oui, très bien. Oui, j’ai compris Amaury, je te ramène quatre bières tout de suite…. Oui, et un coca pour Marsh avec des glaçons !

Bouche bée, je la regarde tandis qu’elle commence à préparer ce qu’Amaury lui a demandé.

S : Heu…. C’était bien Amaury ?
J : Oui, ces messieurs ont soifs.
S : Non, mais attend…. Je n’en reviens pas, tu vas aller lui apporter ?
J : Et oui, Sarah. Tu verras, cette semaine c’est nous qui subissons, mais la semaine prochaine….

Elle éclate de rire tandis que je secoue la tête légèrement. Il faut être stupide pour qu’elles croient qu’ils en feront autant pour elles la semaine prochaine !

S : (essayant de rester calme) Écoutez les filles… heu, les connaissant tous depuis un bon moment déjà, je peux vous dire qu’ils feront tout pour changer ce règlement avant que la semaine prochaine débute !
Da : On y a pensé, Sarah…. Mais ils ont signés, et ils ont donnés leurs paroles.
S : (levant les yeux au plafond) Comme si ils avaient un soupçon de fierté ! Quoi que, c’est vrai qu’ils ne sont jamais revenus sur leurs paroles.
Da & J : Tu vois !

Je soupire un grand coup et inspire, redressant la tête. Je pouffe de rire alors que je vais me prendre à ce jeu, quoi que peu stupide et inhumain à mon goût, mais quelque chose me dit qu’on va bien rigoler. Et je compte commencer de ce pas, d’ailleurs.

Alors que j’allais ouvrir la bouche, le téléphone retentit à nouveau. Jodie lève les yeux, exaspérée et décroche.

J : Oui, j’arrive ! Ok, d’accord.
Da : Qu’est-ce qu’ils ont encore ?
J : On doit rajouter une bière pour Went.
S : (satisfaite) Laisse moi allez leurs apporter dans ce cas !
J : Mais, Went…
S : Je me fiche de ce que dis Went ! J’habite ici avec vous, et je participe aux tâches, point final !
J : (souriant) Très bien, Sarah. Mais n’en fait pas trop. Je finis de préparer le repas et on vous rejoins. Et au fait, surtout si tu veux échanger cette après midi un massage pour Dom, je te laisse.
S : (surprise) Pourquoi ça ?
Da : (riant) Il aime les massages aux pieds mais le problème c’est que…
J : Purcell est une vraie infection ! Il put des pieds comme personne !
S : Tout compte fait, je pense qu’on va suivre le conseil de Went.
J : (éclatant de rire) Je retiens !
S : Bon, je vais aller servir ses messieurs !

Vengeance, quand tu nous tiens ! J’emporte le plateau avec les boissons prêtes et sort de la pièce avec un sourire satisfait. Très bien pour ces règles, mais faut pas non plus nous prendre pour des esclaves ! Amaury aurait put très bien bouger ses fesses au lieu de se servir du téléphone ! Bon sang !

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Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08

jadore

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