Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08

tinkerbel Jeu 17 Juil - 23:54

Je m’approche d’elle lentement et m’assoie à ses côtés.

ouf elle n'a pas fait de bêtises pale

Tout me rappelle que je suis insignifiante, froide.

ce sa**** d'éric qui la rabaissée maintenant elle n'a plus confiance en elle Crying or Very sad

Hypnotisée par ses paroles affreuses, je revois encore son sourire moqueur au dessus de mon visage. Je ne voulais pas sentir ses mains sur moi, j’étouffais…

la première fois que j'ai lu ce passage, je me suis dit non elle a mis ça comme ça

mais non, il la violé affraid

la pauvre je comprends sa TS maintenant Crying or Very sad

Je ferme les yeux et me recule de son étreinte. Je ne peux pas…. Je suis incapable de lui parler.

pourtant va falloir qu'elle lui en parle, elle peut pas garder ça pour elle pale

j’ai besoin de savoir ce qui la mets dans cet état. Ce n’est pas la Sarah que je connais depuis toutes ses années…. Je me sens si coupable de ne pas avoir été là….

tu vois faut qu'il le sache, car il culpabilise pale

W : (écarquillant les yeux et prenant son visage entre ses mains) Non. Je n’ai toujours aimé que toi, Sarah. N’en doute jamais.
S : Mais vous avez été ensemble.
W : Oui. Il y a plusieurs mois.

il est sortit avec cette pouffe d'Amie Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10363152

J’ m’efforce de manger malgré que je n’ai pas faim,

elle a au moins mangé un peu cheers

Elle passe une jambe autour de ma taille et se retrouve à califourchon sur mes genoux.

c'est pas comme ça qu'elle va aller mieux

FAUT QU'ELLE LUI DISE Sad

super comme toujours Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10-10

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Amoureu2

nol59 Ven 18 Juil - 22:09

Voilà la suite mes chéries
merci pour tous vos coms lol!

bonne lecture^^ Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Amoureu2

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Chut06

MUSIQUE A METTREEEEEEE

Chapitre 34.

Wentworth m’enlace plus étroitement contre lui. Nos regards restent noués l’un à l’autre, nos fronts sont collés. Lentement, il trace des cercles imaginaires dans mon dos avec ses pouces. Je frissonne, malgré tous les doutes, toutes les craintes encore présentes au fond de moi. Je pousse un long soupir, et lui demande dans un murmure..

S : Pourquoi ne m’as-tu pas parlé de votre relation, avec Amie ?

Mes mâchoires se crispent soudainement à cette question. A-t-elle oublié qu’elle ne répondait plus à mes appels, durant ces longs mois ? Et comment aurais-je pu lui dire que j’entretenais une relation purement sexuelle avec une de mes amie ? Qu’aurait-elle pensé de moi ?

W : Tu ne répondais pas à mes appels, Sarah….

Prend ça dans les dents ! Il n’a pas tord. Combien de fois j’ai pleuré alors que je fixais son numéro sur l’écran de mon portable ? Combien de fois, je crispais le téléphone entre mes doigts, alors qu’il sonnait ? Jusqu’à ce que je le jette à travers la pièce et qu’il se brise en plusieurs morceaux….

W : Ça n’a plus d’importance, ma puce. C’est du passé, oublions tout, d’accord ? Je veux que nous nous concentrons sur l’avenir, Sarah. Je t’aime tellement…

Je remarque ses pupilles s’emplirent de larmes. Je resserre mon étreinte et nos lèvres se cherchent. Elles s’accrochent d’abord avec douceur, délicatesse, puis, notre baiser s’intensifie au contact de nos langues qui s’enroulent, qui se séparent et se retrouvent dans des soupirs d’aises et de plaisir.

S : Je t’aime si fort, Went…

Son murmure contre mes lèvres m’emplit de joie, d’espoir. J’ai envie de faire ma vie entière avec elle à mes côtés. Je veux que ce soit elle, la mère de mes enfants. Pour la première fois, je ressens le besoin suprême de fonder une famille, notre famille….

Je resserre les bras autour de son cou. Mes lèvres s’écartent des siennes, souriant au gémissement de protestation qu’il émet. Avec une lenteur délibérée, je trace des traînées humides et chaudes de ma langue dans son cou. Son désir s’accroît contre le mien, il gémit de doux délice. Ses mains se posent de chaque côtés de mes joues, et il me ramène le visage face au sien, capturant mes lèvres d’un baiser passionné.

Tous mes désirs que je n’ose lui révéler viennent se mêler à la fougue de mon baiser.

Espoir au goût désespéré..

Douces promesses silencieuses en caresses…

Envie suprême de posséder, elle….

Corps et âmes….

W : (murmure saccadé) Je te veux, Sarah…
S : (d’une voix brisée par l’émotion) Je suis à toi, Went. Promets moi de ne jamais me quitter…
W : (relevant son regard brillant de désir dans le sien) Sarah… Jamais je ne te quitterais. Tu as toujours été celle que je voulais, mon cœur.

Je la sens se déstabiliser, tout autant que moi, je l’avoue. Vivement, je me lève de la chaise, l’emportant dans mes bras. Elle me sourit tandis que je la dépose sur le lit. Je la rejoins rapidement. Nos besoins sont pressants… urgent d’unir nos corps…. J’ai besoin qu’elle oublie tout ce qui a pu se passer, lui effacer la souffrance qu’on lui a infligé….

Je me redresse, face à lui et lentement mon regard parcours son visage. Il est si parfait… si magnifique. Mes mains entourent son visage d’ange, il vient enfouir sa tête dans mon cou. Je frémis alors qu’il dépose ses lèvres humides et brûlantes sur la veine palpitante de mon cou. Je ferme les yeux, ma tête bascule en arrière, m’offrant à ses baisers intenses. Plus rien n’existe autour de nous…. Seuls, nos souffles saccadés, nos soupirs haletants, nos gémissements de plaisir virevoltent dans la pièce….

Malgré la puissance de mon désir, je veux prendre mon temps. Le temps de lui montrer à quel point l’amour que je lui porte. Doucement, je m’écarte de sa peau enivrante et passe une main dans son dos. D’un geste assuré, je fais glisser la fermeture de sa robe. Nos regards se croisent.

Il m’envoûte….

Je lui souris et m’allonge pour lui venir en aide. Un instant plus tard, ma robe est loin de moi. Je gémis de nouveau en sentant ses lèvres glisser de ma bouche à mon cou, poursuivant leur descente. Du bout de sa langue, il vint caresser les pointes de mes seins. Je me mords la lèvre pour ne pas crier alors qu’il s’attarde sur ma poitrine plus que de raison. N’y tenant plus, j’entrepris de le débarrasser de ses vêtements, dans des gestes impatients, empressés.

Bon sang ! Elle va me rendre fou. Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine. Je me fais violence alors que nos deux corps nus enlacés, éveillent de choses fabuleuses, inouïes qui nous sont propres.J’étends ses bras au-dessus de sa tête, afin de la contempler du regard, puis mes lèvres se mettent à courir sur sa peau frémissante, sur chaque parcelles de sa peaux délicates que je goûte, mordille, m’enivrant de son parfum…

Je ramène son corps sur le mien et l’embrasse avec frénésie. La fougue me submerge…. Ma main se glisse le long de son torse dans un effleurement magistrale, lui arrachant un râle de plaisir. Les muscles de son ventre se tendent au passage de mes doigts. Je mordille son épaule tandis que ma main encercle enfin son désir frémissant… je le caresse. Nos souffles se mêlent, j’étouffe dans un baiser profond mon prénom qu’il murmure dans un doux supplice.

Je vais bientôt atteindre le point de non-retour, c’est indéniable. Lentement, je me redresse sur un coude et retire sa main. Elle me sourit d’un air malicieux, et se cambre vers moi. Nos regards s’accrochent…

Un gémissement sort de nos gorges alors que je m’enfonce en elle.

Lentement…

Doucement…

Il s’arrête un instant, le temps de m’embrasser avec une douceur infinie. Nos hanches sont unies, se frôlent et finissent par se séparer. Déstabilisée, je fixe son regard dilaté et assombri par le désir.
C’est alors qu’en un long coup de rein puissant et fatidique un cri de plaisir s’échappe du plus profond de mon âme.

Dans une frénésie incontrôlable, je lui fais l’amour avec une passion insoupçonnable… comme si la terre dépendait à cet instant de notre union.

Elle m’invite à continuer encore… de plus en plus fort.

Alors que je pensais que nous atteindrions bientôt le paroxysme du plaisir, en un mouvement, je me retrouve basculé sur le dos. J’essaie de reprendre mon souffle et pose mes mains sur ses hanches.

La vision de Sarah, ondulant du bassin au dessus de mon corps nu, tremblant de désir me donne la sensation d’une puissance absolue et d’être l’homme le plus chanceux du monde…

Je me redresse, l’embrasse, étouffant nos soupirs haletants. Ses ongles s’enfoncent dans la chair de mes épaules. Je la soulève, une… deux… et encore une dernière fois avec puissance avant qu’une vague de plaisir nous emporte tous les deux, unis corps et âmes….

tinkerbel Ven 18 Juil - 22:24

Wentworth m’enlace plus étroitement contre lui

ok donc la conversation ça sera pour plus tard lol!

Et comment aurais-je pu lui dire que j’entretenais une relation purement sexuelle avec une de mes amie

smiley qui vomit genre l'exorciste Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10363152

W : Tu ne répondais pas à mes appels, Sarah….

elle était trop occupée à pleurer entre autres Crying or Very sad

Je veux que ce soit elle, la mère de mes enfants. Pour la première fois, je ressens le besoin suprême de fonder une famille, notre famille….

je fonds

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Invisio3

J’ai besoin qu’elle oublie tout ce qui a pu se passer, lui effacer la souffrance qu’on lui a infligé….

quand il va apprendre ce qu'éric lui a fait ça va faire mal Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 2gunsfir

en fait de tous les côtés
Sarah car son secret va être dévoilé à Went et risque de se sentir "sale"
Went car il va se sentir trahie mais aussi malheureux et coupable de ne pas avoir empêché ça
et éric car il va en baver en tout cas il y a intérêt Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 00000035

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 00000035

et le reste bah Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Chut06

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Mdr72ki

allez encore une suite ma petite Angie Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 00000666

gros

nol59 Dim 20 Juil - 22:11

Coucou les miss
merci pour vos coms^^
J'ai réussi à la finir cette suite lol
bonne lecture Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Calin-1fee

Chapitre 35.

D : (s’exclamant arrivé à l’étage du loft) Enfin arrivé dans notre humble demeure !

J’éclate de rire à son humeur joyeuse d’être rentrés tandis qu’il enlace chaleureusement Danay et Jodie.

R : Hey ! Salut vous quatre !
W :Ça va ? Comment ça s’est passé pour vous ?
M : (fixant Amaury en riant) Trop calme !
S : (embrassant les filles) Je suis ravie d’être rentrée aussi.

Je regarde Sarah tandis qu’elle enlace Danay puis Jodie avant de se tourner vers Marshall et de lui déposer un gros bisous comme une manie qui ferait à son petit fils sur sa joue. Je ne peux pas m’empêcher de sourire alors que Marsh la dévisage, les joues rosies.
Un peu plus tard, nos retrouvailles terminées, nous allons tous sur la terrasse prendre un verre.

A : (commençant à se déshabiller) Cet endroit m’avait trop manqué !
S : (éclatant de rire) Y’a pas que ça qui t’a manqué, Amaury !

Je fixe Sarah, elle est hilare alors que je comprend de quoi elle veut parler. Amaury peste entre ses dents alors qu’il remonte son pantalon et court à l’intérieur.

D : Quel c*n ! Il allait se retrouver à poil. T’aurais du rien dire, Sarah !
W : Tu crois vraiment qu’il n’a rien en dessous ?
S : Je ne pense pas…

Je pouffe de rire et niche mon visage dans le cou de Went afin de recouvrer mes esprits. J’explique aux autres qui n’étaient pas venus à NYC les raisons de notre fou rire…. Et les rires continuent de plus belle alors que Dom s’approche de moi, l’air menaçant.

D : Je serais toi Wayne Callies, je ne rigolerais pas trop, tu ne sais pas ce qu’il t’attend dés demain.
S : (écarquillant les yeux) Quoi demain ?
J : Ce sera notre tour, de se la couler douce.
Da : Et oui, vous devrez nous servir, assouvir nos moindres désirs…
D : Si jamais tu as besoin de moi cette nuit, je suis partant !
Da : Alors toi tu serais le dernier à qui je demanderais quelque chose, Purcell !
D : (s’approchant d’elle en la fixant d’un air malicieux) Hum… tu serais pas déçue pourtant !
R : Dom ! Fous lui la paix, tu vois pas que tu la gênes ?
Da : (éclatant de rire) Pas du tout ! On dit toujours que ce qui en parle de trop n’en fait pas trop !
D : Tu me mets au défit ?
Da : (s’écriant) Ne rêve pas !
J : Ha voilà Amaury en maillot de bain !

On se retourne tous vers Am qui arrive en fixant Sarah d’un air provocant et railleur. Qu’est-ce qui veut faire ?

A : (se tournant vers Dominic) Tu me donnes un coup de main ?
D : (se frottant les mains en regardant Sarah avant de s’approcher d’elle) A nous trois, Callies…
S : (ouvrant la bouche en grand, et se cachant derrière Went) Ha non… mon cœur….
W : (se mettant devant Sarah pour lui faire bouclier) Ne la touchez pas ! Il faudra que vous me passez sur le corps si vous…
D : Pas de soucis ! Tu ne me fais pas peur p’tit frère !
S : Dom, non….
D : (se tournant vers Marshall) Allez fiston ! Amène toi.

Ça le fait mal là. Rob et Marshall s’approchent de nous tandis qu’on recule à chaque pas qu’ils font. Je serre la taille de Went qui rit comme un gosse. Il me serre les mains mais soudain, Dom m’attrape par la taille tandis que Fernando et Rob tire sur Went.

W : Tiens moi !
S : Mais je peux pas !

En moins d’une seconde, je me retrouve à l’eau tout habillé sous les fou rires des rigolos de service. Dom porte Sarah sur son dos, et j’éclate de rire tandis qu’elle martèle son dos de ses poings. Il fait des grimaces dû à la douleur de ses coups, elle ne doit pas y aller de mains mortes.

S : (s’écriant) Lâche moi, Dominic ! C’est pas drôle !
D : Ha, et tu crois que j’ai trouvé ça drôle de voir que je n’avais pas tout ce qu’il me fallait dans ma valise ?
S : (retenant son rire) Je le ferais plus, je te le promets…
A : (nageant au bord du bassin où Dominic se tenait, Sarah sur l’épaule) Vas-y, Dom ! Qu’est-ce que t’attend ?
S : Écoute le pas, Dominic… si tu me mets à l’eau, je ne te parlerais plus !
D : (poussant un soupir de soulagement) C’est vrai ?
S : Je ne plaisante pas ! Et je ne me sens pas bien avec la tête en bas ! Tu vas me rendre malade ! Relâche moi, s’il te plait !
A : Allez, comment elle essaye de t’embobiner !

Je sors de la piscine, comprenant que Dom est dans l’hésitation. Sarah gigote toujours autant, je me poste derrière elle et je remarque qu’elle est vraiment pâle.

W : Arrête Dom, elle n’est vraiment pas bien.

Ouf, il me pose sur le sol et me retient alors que je me sens vaciller.

D : (inquiet) Et ça va ?
S : (reprenant son souffle, tenant son ventre) Oui… je crois.
W : Je vais appeler un médecin, Sarah…
S : Mais non. Ça va passer. C’est juste un petit vertige.
D : (d’un air penaud)Tu devrais aller te reposer… excuse moi.
S : Oui….
W : (l’embrassant tendrement sur les lèvres) Je vais me changer…

Je lui souris afin d’effacer l’inquiétude de son regard. Soudain, j’étouffe un cri de stupeur alors que je me sens soulever dans les airs.

D : Je vais te porter jusqu’à ta chambre…heu, où celle de Went ?
W : Peu importe.
J : Je vais te ramener quelque chose, Sarah….

Je ne sais pas ce que j’ai mais je me sens étrange. Cela doit être le voyage en avion. A chaque fois j’ai des vertiges quand je remets pieds à terre. Cinq minutes plus tard, Dom me dépose sur mon lit alors que j’insistais qu’il me dépose sur le sol deux minutes auparavant. Il me fait sourire de le savoir si inquiet pour moi.

D : Tu es bien là ?
S : Oui, merci… ne t’inquiète pas, ce n’est pas de ta faute.
D : Tu devrais te reposer, tu es vraiment très pâle, tu sais.
S : C’est juste le trajet en avion.
D : (posant une main sur son front) Tu plaisantes ? C’est l’avion qui donne de la fièvre maintenant ?
S : Ça passera. Je vais dormir un peu.
D : (l’embrassant sur le front) Ok. A tout à l’heure.

Dés qu’il referme la porte, je soupire et me touche le front. Je suis brûlante et une douleur me brûle la poitrine. J’ai sûrement attrapé un mauvais rhume, rien de plus.

Dix minutes plus tard, et une fois changé, je sors de la salle de bain et tombe sur Dom. Il avait l’air de m’attendre.

W : (inquiet) Qu’est-ce qui se passe ?
D : Il faudrait mieux appeler un médecin. Elle est brûlante de fièvre.
W : (s’apprêtant à la rejoindre) Je vais aller la voire.

Arrivé dans la chambre, je constate qu’elle ne sait pas mit à l’aise alors qu’elle s’est endormit. Je m’approche d’elle et la trouve toujours aussi blanche. Doucement, pour ne pas la réveiller, je pose une main sur son front et soupire aussitôt. Je sors de la pièce pour y chercher un linge humide mais Dom arrive avec.

W : Merci.
D : (regardant Went en train de lui poser sur le front) Elle n’a pas l’air vraiment en forme…
W : Non…. Tu peux appeler un médecin ?
D : Oui, j’y vais.
W : Merci Dom.
D : (posant une main sur son épaule) T’inquiète pas, elle a juste attraper un petit rhume ou…
W : Oui…

Je jette un œil vers lui et répond d’un sourire avant de regarder Sarah qui gémit doucement.

W : (l’embrassant sur les lèvres) Je suis là, mon cœur, je ne quitte pas…
S : J’ai mal…
W : Où ça ? Dis moi où tu as mal, Sarah ?
S :…
W : Sarah ? Sarah ?

tinkerbel Dim 20 Juil - 22:33

soit miss Wayne Callies a des problèmes digestifs Suspect

soit elle fait une fausse couche et pas de Went mais de ce salaud d'éric, qui a abusé d'elle, mais en fait je peux me tromper car quand il a abusé d'elle???? Suspect

parce qu'elle est toute mince d'après ce qu'en dit Went donc ça se serait vu quand même pale

sinon cette suite avant ça Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Thumbdow

était trop lol!

j'ai adoré quand Dom et les autres gars ont voulu mettre Sarah dans l'eau Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Mdr72ki

encore une autre car je vais pas tenir avec une fin aussi Twisted Evil

Islemmedemars Lun 21 Juil - 0:04

oula j'ai 3 suite à rattraper, je file à ma vaisselle et je revins lire...

nol59 Lun 21 Juil - 22:27

merci les filles Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Bisou-1--1a62

voici la suite Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Tfr2b-49e52

Chapitre 36.

Une heure s’est écoulé depuis le départ du médecin. Il nous a vite soulagé tout de suite. Sarah a un état grippal avancé. Dominic et Jodie ont été chercher à les médicaments prescrit à la pharmacie. Avec un mal fou pour la réveiller j’ai réussi à lui faire avaler. Je caresse toujours ses cheveux depuis une dizaine de minutes, espérant qu’elle sera sur pied très vite.

Je sens la présence de Went à mes côtés. Je me sens un peu mieux mais j’ai l’impression d’être toute engourdie. J’ouvre les paupières doucement et remercie celui qui a eu l’indulgence de fermer le store. Ma gorge est sèche alors que je commence à être parcourut de frisons.

Elle gémit douloureusement à mes côtés, je la regarde et constate avec soulagement qu’elle est réveillée.

W : (murmurant) Hey ma puce… comment tu vas ?
S : (grelottant) j’ai connu mieux… qu’est-ce que j’ai ?
W : (la prenant dans ses bras pour la réchauffer) Le médecin a dit que c’était une bonne grippe.
S : C’est pas vrai…
W : Ta fièvre ne va pas tarder à baisser, ma chérie, ne t’inquiète pas….

Je dépose un baiser sur son front et la recouvre au mieux contre moi. Elle esquisse un faible sourire avant de refermer les paupières. Cinq minutes plus tard, elle s’est rendormit.Je reste un long moment à la contempler contre moi et finit par la repousser délicatement pour me lever. Je vérifie sa fièvre et fut soulagé qu’elle commence un peu à baisser. J’ai besoin de me dégourdir un pu les jambes….

Avant de sortir de la chambre, je rajoute une couverture sur Sarah et l’embrasse délicatement.

W : (chuchotant) Je t’aime, mon cœur…

Dans le salon, Dom et Jodie sont en train de discuter. A mon arrivée, j’ai l’impression d’avoir interrompus une discussion privée. Jodie se lève du canapé et se dirige vers la cuisine.

D : Comment va-t-elle ?
W : Sa fièvre commence à baisser tout doucement.
D : Elle n’a vraiment pas de chance en ce moment.
W : (s’installant dans le canapé d’un air las) Non…
D : Paul a appelé, je l’ai mis au courant. Tu dois le rappeler pour discuter avec lui de ta maison. Tu sais celle où l’enfoiré squatte.
W : (levant les yeux au plafond) me*de ! J’avais complètement oublié !
D : (écarquillant les yeux) Toi ? Oublier ? A d’autre Went !
W : (lui lançant un regard irrité, puis il se mets à sourire) Je n’ai pas oublié ce salaud mais que Paul veut à tout prix m’y accompagner…
D : Oui, ben y’a pas que Paul, figure toi !
W : Il est hors de question que tu viennes avec nous, Dom !
D : Et pourquoi pas ? J’aurais au moins une bonne raison de lui foutre mon poing dans la…
W : (le coupant sèchement) Don ! J’ai pas envie que cette histoire fasse scandale. Sarah est très fragile en ce moment et je ne te parle pas uniquement de sa santé peu laborieuse. Écoutes… hier… je ne l’avais jamais vu dans cet état, et…
D : Qu’est-ce que tu racontes ? Elle allait très bien quand vous êtes partis…
W : Oui, mais…
D : (posant une main sur son épaule pour l’encourager à parler) Mais quoi ?
W : (d’une voix hésitante) Amie est venue. Sarah était dans la salle de bain…
D : C’est pas vrai ! Qu’est-ce qu’elle foutait là, celle là ?
W : Elle était là-bas avec des amies et comme elle a été informé que nous étions là, elle a réussi à avoir le numéro de ma chambre.
D : Et je suppose qu’elle n’était pas venu pour boire un café ?
W : (riant nerveusement) Effectivement…

Je me lève, soupirant et me place devant la baie vitrée du salon, surplombant tout Los Angeles.

D : (fronçant les paupières) Ne me dit pas que Sarah vous a surprit ?
W : Surpris ? Pour qui tu me prends ? J’aime Sarah…
D : (levant une main afin de calmer Went qui s’emportait au quart de tour) Je sais… c’est pas ce que j’ai voulu dire. Et puis je le savais bien que cette Amie n’était pas faite pour toi…. Comment Sarah a prit cette histoire ?

Je ferme les yeux un instant et finit par venir le rejoindre dans le canapé et lui explique tout. Pendant plus de dix minutes, je lui raconte comment j’ai découvert Sarah, recroquevillée sur le toit, le regard perdu. Je lui avoue mes doutes, mes pires craintes que je ressens de ce qui la vraiment poussé à tenter de mettre fin à ses jours. J’essaie de cacher néanmoins le trouble profond que je ressens mais le bras de Dom autour de mes épaules qui vient de poser en signe de soutient, fragilise ma résistance.

Brusquement, je me lève, détournant mon regard emplit de haine humide vers la vue Hollywoodienne.

D : (se levant à son tour et s’approchant de Went) Tu peux compter sur moi et aussi sur les autres, Went…. Si jamais il a osé…
W : Je m’en chargerai, ça tu peux me croire !
D : Ne fais pas le c*n, Went.
W : (secouant la tête, les mâchoires serrées) J’en ai rien à foutre ! Même si je dois renoncer à tout pour la rendre heureuse, je le ferais…
D : (poussant un soupir) Je n’en doute pas mais fait attention, ok ?
W :…
D : Went ! ? Tu as une femme qui t’aime, ne la fait pas souffrir plus qu’elle n’a souffert. Tu n’es pas comme lui, elle compte sur toi… c’est pas en te vengeant ou en faisant la justice toi-même que les choses iront mieux, crois moi.
W : (le fixant, surprit que ces paroles viennent de lui) Je sais…
D : (souriant) Bon, c’est décidé ! Je viens avec Paul et toi. Au moins, je surveillerais à ce que tu ne fasses pas n’importe quoi !

On se défit du regard un instant puis n’y pouvant plus de voir son air comique, j’éclate de rire.

W : Ok… il ne t’a pas dit quand est-ce qu’on devrait y aller ?
D : Non, mais ça ne devrait pas tarder. Il ne reste plus qu’une semaine avant la reprise du tournage.
W : Ouais… je l’appelle tout à l’heure.
D : Et tu me tiens au courant !

Je hoche la tête, contraint d’accepter et le regarde s’éloigner en direction de la terrasse après m’avoir donner une bourrade amicale. Je reste un moment seul, toujours à contempler cette vue dont je ne me lasserais jamais. Soudain, la sonnerie de mon Black Berry vint mettre fin au silence.

W : (décrochant en apercevant que l’appel était de sa mère) Hey, maman ! Comment tu vas ?
MM : Bonjour Wentworth. Nous allons bien et toi ?
W : (mentant) Tout va bien. On vient de rentrer de…
MM : Je sais ! Amie m’a appelé. Qu’Est-ce qui s’est passé ? Elle était en pleures !
W : (levant les yeux au plafond, pestant intérieurement) C’est pas vrai ! Écoutes… si elle ne comprend pas…
MM : (élevant la voix) Comment oses-tu te comporter ainsi avec elle, Wentworth ?
W : Maman…
MM : il serait peut être temps que tu te ranges, tu ne crois pas ?
W : Arrête ! S’il te plait… je ne vais tout de même pas continuer avec elle alors que je n’éprouve rien pour elle !
MM : Elle t’aime, mon chéri !
W : (énervé) Je ne l’aime pas ! C’est une amie, rien de plus.
MM : (poussant un soupir) Qu’est-ce que tu cherches à la fin ? Tu lui promets…
W : (lui coupant brutalement la parole) Je ne lui ai jamais rien promit du tout !
MM : (s’énervant à son tour) Wentworth Earl Miller ! Je te prie de baisser d’un ton !

Elle est pas possible ! Et Amie, bon sang, qu’est-ce qu’il lui a prit d’aller se plaindre à ma mère ?

W : (soufflant et prenant une profonde inspiration) Écoute maman, je ne sais pas pour quoi elle est venue d’ennuyer avec ça, mais je lui ai pourtant expliquer que notre relation était vouée à l’échec… et ça depuis plus d’un mois, déjà.
MM : Justement ! Tu ne cois pas qu’il serait temps que tu réfléchisses à ton avenir, à fonder une famille…

Ha non pas ça ! Elle ne va pas me répéter encore une fois son discours de lui donner des petits enfants !

W : Maman !
MM : Appelle là pour t’excuser au moins, mon garçon…
W : Non ! Il est hors de question que je l’appelle. Écoute, tu m’as toujours fait confiance sur mes choix, maman…
MM : Oui mais là, j’ai l’impression que tu es aveugle !
W : Mais non…. Écoute, j’essaierai de venir te voir et je t’expliquerais…
MM : Mais de quoi tu parles ? Qu’est-ce que ça veut dire ?
W : Maman, je ne peux pas t’en parler maintenant…
MM : (d’une voix vexée) Oui, tu es bien trop occupé pour parler avec ta mère, ça je l’avais comprit depuis bien longtemps !
W : (levant les yeux au plafond, le cœur serré) Je suis désolé. Tu me manques, je ferais mon possible pour venir te voir rapidement, d’accord ?
MM : (émue) D’accord, je t’aime mon fils. Prend soin de toi.
W : Je t’aime aussi, maman. A bientôt, embrasse papa d’accord ?
MM : D’accord.

Je raccroche quelques secondes plus tard et balance mon téléphone de rage dans le canapé ! Je soupire, essayant de me calmer et vais rejoindre Sarah dans sa chambre….

tinkerbel Mar 22 Juil - 17:53

UNE GRIPPE Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 00000035

c'est pas drôle Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Mdr72ki

sinon je crois que je vais tuer pas mal de monde dans ta fic comme ça plus de soucis ni de Twisted Evil

alors on commence par Amie Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10363152

suivie de près par éric Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10363152

et Jacob

et je suis sure qu'il va y en avoir pleins d'autres pour mettre la zizanie entre nos deux tourtereaux Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Invisio3

la maman de Went va réagir comment en sachant que son fiston est raide dingue de sa partenaire scratch

LES SUITES Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Icon_clu

Invité Mar 22 Juil - 21:57

Zen Went lol on se calme et on va voir Sarah lol
Tjs aussi bien...
Une suiiiite !!! lol

tinkerbel Mer 23 Juil - 11:43

alors comme hier tu n'as pas posté de suites Crying or Very sad

bah aujourd'hui j'en veux encore plus lol!

combien tu penses pouvoir m'en écrire scratch

et bah multiplie pas deux et ça ira Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Mdr72ki

à ce soir

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Bonjour_

nol59 Mer 23 Juil - 22:13

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Laugh2-100215

les filles, merci pour vos coms
allez, pour me rattraper, une suite aujourd'hui, et demain vous en aurez une autre^^

bonne lecture Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Calin-1fee

Chapitre 37.

Je reste avec Sarah pendant quelques minutes. Sa fièvre commence à bien baisser mais elle dort toujours. Je dépose un léger baiser sur son front et sort de la chambre. Je récupère mon Black Berry resté sur le canapé et appelle Paul.

W : C’est moi.
P : Ha Went. Comment va Sarah ? Dom m’a dit que vous avez du appeler le médecin.
W : Oui. Elle a juste une grippe mais elle est très fatiguée. Je t’appelle pour Éric.
P : Je m’en doute. Tu veux toujours y aller ?

Si je veux toujours y aller ? Si tu savais Paul, plutôt deux fois qu’une !

W : Bien sur que oui.
P : Ok. On décolle demain matin neuf heures !
W : (écarquillant les yeux) Demain ?
P : Oui, plus tard c’est pas possible, j’ai plein de rendez-vous.
W : D’accord. Au fait, Dom vient avec nous.
P : Oui, je sais.
W : Et Sarah ? Elle voulait venir avec…
P : Non, elle est malade ! Elle reste où elle est, on a pas besoin d’elle sinon l’autre tordu risque de se poser des questions.
W : (poussant un soupir) Ok. Je lui expliquerai tout à l’heure.
P : A Demain ! Va te reposer tu m’as l’air crever. Je passe vous chercher vers huit heures et demi.
W : D’accord. Merci Paul.

Je pousse un soupir après qu’il ait raccroché. J’espère que Sarah ne m’en voudra pas. Secouant la tête pour chasser les craintes de sa réaction, je vais rejoindre les autres qui sont toujours sur la terrasse.

J : Comment va-t-elle ?
W : (souriant) La fièvre est tombée.
A : (s’adressant à Dom) Heureusement que tu ne l’as pas jeté à l’eau.
D : Ouai…. Tu l’as appelé ? Demande-t-il à l’adresse de Wentworth.
W : Oui. Il vient nous chercher demain matin, huit heures trente.
D : (s’exclamant) Demain ?!
W : Si tu ne peux pas…
D : Si, t’inquiète je serais là. A quoi tu penses ? Demande-t-il d’un air soucieux.
W : (s’installant à la table) A rien de bien intéressant.
D : C’est-à-dire ?
W : Amie.
Da : Pourquoi tu penses à elle ?
J : Si c’est rien d’intéressant, pense pas à elle.
W : Je pense seulement à la réaction que j’aurais quand elle se tiendra en face de moi !
A : Qu’est-ce qu’elle a encore fait ?
W : Elle s’est plainte à ma mère.
D : (grimaçant) Et maman Miller t’a enguirlandé, pas vrai ?
W : Non, mais elle m’a fait comprendre qu’elle n’aimait pas le comportement que j’ai avec Amie.
A : Tu n’as qu’à lui dire pour Sarah et toi.
W : Je le ferais dés que j’irais les voir… avec Sarah.
D : J’imagine sa tête !
J : Elle sera heureuse pour vous, j’en suis sure.
D : (écarquillant les yeux en se tournant vers Jodie) Je n’en serais pas très sure si j’étais toi. Tu ne connais pas Madame Miller, ma chère Jodie.
W : (éclatant de rire) Ça va, Dom ! N’exagère pas non plus ! C’est pas parce qu’elle adore t’enquiquiner quand elle te voit qu’elle est comme ça avec moi. Je suis son fils, elle sera ravie de me voir heureux avec Sarah.
A : Et si c’est pas le cas ?
W : (haussant les épaules) Elle fera avec. Mais je ne m’inquiète pas. Elle adore Sarah.
D : Oui, en tant que ton amie et actrice.
W : Et bien là, elle l’aimera comme sa futur belle fille.

Ho ! J’aurais du la boucler. Ils me regardent tous comme si ils venaient de voir un fantôme. Je souris et me lève rapidement mais les éclats de rire d’Amaury interrompt ma fuite.

A : Tu ne plaisantes pas ? Si ? Tu vas…
W : (levant les mains pour le faire taire) C’est bon, Am. Chaque chose en son temps. On verra. Bon, je retourne voir Sarah.
A : Tu viens à peine de la quitter.
J : (donnant un coup de coude à Amaury) Laisse le aller voir sa futur femme.

Et voilà, ils se foutent tous de ma gueule ! Punaise Went, la prochaine fois tourne trois fois ta langue dans ta bouche avant de l’ouvrir !

W : J’ai juste dis ça comme ça ! Commencez pas à nous charier avec Sarah ! Ok ?
Tous : Ok.

Ils sont tous en train de ricaner derrière mon dos mais je continue à m’avancer vers l’intérieur du loft, sans prêter attention à leurs rires. Une fois dans la chambre, je souris légèrement en m’approchant d’elle. Elle commence à ouvrir doucement les paupières et gigote dans le lit.

W : (s’allongeant à ses côtés) Tu as chaud ?
S : (d’une voix encore endormie) Hum… prend moi dans tes bras.

Je l’embrasse sur le front et l’attire contre moi. Sa peau est brûlante mais je pense que c’est à cause de la couverture que j’ai rajouté tout à l’heure.

W : (repoussant les couvertures) Tu te sens mieux ?
S : Oui, tu as dormis un peu ?
W : (caressant son ventre) Non…
S : Je suis désolée.
W : (se redressant sur un coude pour plonger son regard dans le sien) Pourquoi es-tu désolée, ma puce ?
S : (haussant les épaules) Je…
W : Ne t’excuses jamais, Sarah… je t’aime.
S : (lui souriant tendrement) Moi aussi…
W : J’ai envie de t’embrasser…
S : Tu risques d’attraper mes microbes…
W : (se penchant vers son visage) Je prendrais de plus gros risques pour pouvoir t’embrasser, ma chérie.

Ses lèvres se déposent sur les miennes, faisant mourir les mots que j’allais prononcer. Il profite de mes lèvres entrouvertes pour glisser sa langue, je frissonne de plaisir à ce doux contact. Il m’embrasse avec douceur, faisant éveiller mes sens… mon désir. Son baiser se fait plus langoureux, fougueux. Nos langues dansent un balai passionné, accélérant nos respirations, mêlant gémissements et souffles saccadés.

Je ne peux pas m’empêcher de la toucher, de l’embrasser. J’ai tant besoin et envie de vivre tous ses moments où j’ai rêvé d’être avec elle. Alors que ma main glisse le long de son corps, elle s’écarte légèrement.

S : (souffle saccadé) Non,… je ne suis pas en forme… tu m’en veux ?
W : (fronçant les yeux avant de prendre son visage dans ses mains) Non. Jamais je ne t’en voudrais pour ça, Sarah.

Il niche son visage dans mon cou. Je souris légèrement et caresse son crâne, lui déposant un baiser au passage.

W : Je vais aller prendre une douche.
S : (riant) Je te promets de me rattraper.
W : (se redressant) T’a plutôt intérêt Wayne Callies !

Elle me sourit amoureusement. Je l’embrasse et fuis le lit où mes pensées peu catholique s’attardent.

W : Tiens, prend ton aspirine.

Je lui tend son comprimé et son verre d’eau et l’observe pendant qu’elle l’avale. Je l’aide à la recoucher et lui vole un dernier baiser sur les lèvres avant de sortir de la chambre….

choupine Jeu 24 Juil - 13:55

je veut la suite ma poulette stp Very Happy

gro

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Ola

nol59 Jeu 24 Juil - 21:26

merci les miss
voici la suite Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Laugh2-100215

Chapitre 38.

Je n’arrive pas à me rendormir, depuis que Went est sortit de la chambre pour filer sous la douche. Je me sens un peu mieux malgré les courbatures que je ressens dans tous mes membres. Je soupire de lassitude et allume la télévision. Cinq minutes plus tard après avoir zappé sur les chaînes je l’éteins. C’est alors que quelqu’un frappe à la porte.

S : Entrez.
J : Hey, ma belle. Tu vas mieux ?
S : Oui, ça va.
J : (s’installant sur le bord du lit) J’ai croisé Went, il m’a demandé de te tenir compagnie un moment.
S : (riant) Il n’est pas possible.
J : (souriant tendrement) Il t’aime beaucoup… vous allez vraiment bien ensemble, tous les deux.
S : Merci… où sont les autres ?
J : Amaury est repartit nager dans la piscine. Robert a convaincu Marshall de le défier aux échecs et Dom est parti je ne sais où ! Quand à Danay, elle commence à préparer le repas, je vais aller l’aider ensuite.
S : Je suis désolée, je n’ai pas fais grand-chose depuis que je suis arrivée.
J : Ne t’en fais pas pour ça. Dés demain, ce sont ces messieurs qui seront à notre service.
J’éclate de rire à la mine satisfaite qu’elle fait. Je me demande ce qu’elle a en tête.

J : Je n’en reviens pas que tu as délibérément oublié leurs sous vêtements.
S : (riant) Ils l’avaient mérité !
J : (éclatant de rire) Oui, c’est clair ! Mais j’aurais bien voulu voir leurs têtes.
S : Je leur ai proposé de prêter les miens mais ils ont refusés...
W : (entrant dans la chambre) Qu’est-ce qui vous fait rire comme ça, toutes les deux ?

Je regarde Went et lui sourit tendrement.

S : On parlait de Dom et d’Amaury…. Et de leurs sous vêtements.
J : Tu vois ?
W : Oui, ils étaient furax.
J : (haussant les épaules avant de se lever) Bon je file aider Danay.
W : (s’installant près de Sarah) Qu’est-ce qu’on mange ? Aie !

Sarah vivent de me donner un coup sur le bras. Je la regarde, l’interrogeant silencieusement tandis que Jodie s’éclipse de la chambre en riant.

W : Qu’est-ce que j’ai fais ?
S : (levant les yeux au plafond) Rien…

Je l’attire près de moi et le serre dans mes bras. J’hume l’odeur citronné du gel douche et ne résiste pas à lui déposer une pluie de baiser dans son cou.

W : Hum… Sarah Wayne Callies, si tu continues, c’est pas une douche froide que j’aurais besoin !
S : (continuant de l’embrasser) Ha non ?…c’est quoi que tu aurais besoin, alors ? Un… un congélo ?

Tient ! Il me semble que j’ai déjà lu ça quelque part…

Il faut que je l’arrête, bien que j’avoue que j’aime sentir ses lèvres douces et brûlantes dans mon cou, que j’adore quand ses mains se faufilent discrètement sous mon tee-shirt mais nous devons parlé. Je dois lui annoncer mon départ pour Toronto…

W : Ma puce ?
S : Hum ?
W : (écartant ses mains de son torse) Je dois te parler.
Je m’écarte aussitôt. Une lourde angoisse me submerge rapidement mais son sourire qu’il me fait et la main qu’il pose sur ma joue l’efface aussi vite qu’elle est apparue.
S : (murmurant) Je t’écoute…
W : (prenant une inspiration avant de commencer) Tu sais que je t’avais dis que Paul était au courant pour ta maison…
S : Oui.
W : (replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille) Je vais y aller… demain matin.
S : Tu n’iras pas sans moi, Went…
W : Je ne veux pas que tu viennes, mon cœur.
S : (d’une voix paniquée) Tu n’iras pas tout seul, je ne te laisserais pas y aller….
W : (prenant son visage dans ses mains) Sarah, hé… je ne vais pas seul, ne t’inquiète pas. Dom et Paul m’accompagnent.
S : (se redressant rapidement) Il…non, Went. Ne fais pas ça, s’il te plaît…
W : (élevant la voix) Sarah ! Regarde moi !

Elle est bouleversée… j’ai l’impression de revoir son regard perdu comme elle avait sur ce toit. Je l’attire contre moi et la serre tout en gardant mon regard dans le sien.

W : Ais confiance en moi, ma chérie. Tout se passera bien, d’accord ?
S : (secouant la tête, paniquée) Non… il va devenir fou, Went et… je ne veux pas qu’il s’en prenne à toi.
W : Je n’ai pas peur de lui, Sarah ! Je ne serais pas seul, tout se passera bien….
S : (les larmes aux yeux) Promets moi que tu ne fera rien pour qu’il puisse te faire du mal, Went ?

Je la regarde alors que je commence à être convaincue que ce Éric lui a fait beaucoup de mal. J’aimerais pouvoir lui faire cette promesse sans lui mentir, mais la colère que j’éprouve pour cet homme est bien trop puissante pour le faire. Je la fixe pendant un instant. Mes pouces vont chassés ses larmes sur le bord de ses yeux. Si tu savais comme je t’aime, Sarah….

S : Promets le moi…
W : Je te le promets, Sarah.

Je l’attire contre moi, ferme les yeux à la culpabilité que j’éprouve déjà au mensonge que je viens de promettre. Pendant un long moment, nous restons enlacés puis je l’allonge sur le matelas avant de me pencher sur ses lèvres. Doucement, je l’embrasse avec tendresse et m’écarte d’elle afin de noyer mon regard au sien. Je lui donne un sourire timide et elle lève une main vers mon visage qu’elle caresse du bout des doigts.

S : (murmurant d’une voix émue) Tu reviens quand ?
W : Je ne sais pas, mais je ferais au plus vite… tu me manques déjà, Sarah…

Je ferme les yeux tandis qu’il vient nicher son visage dans mon cou. J’ai si peur qu’il paie les frais d’Éric…

W : Sarah ?
S : Quoi ?
W : Je vais te manquer ?
S : (souriant) Ce n’est pas une question à me poser, çà !
W : (relevant la tête et d’une voix emplit de malice, espérant de la faire sourire) Ha… et je peux savoir pourquoi ?
S : (riant alors qu’il se met à la chatouiller doucement) Tu me manques déjà, toi aussi.
W : (se redressant et posant ses deux mains de chaque côté du visage de Sarah) Je t’aime, Sarah… je sais que ça ne fait que peu de temps qu’on s’est retrouvés et qu’on sait enfin avoués ce que l’on ressentait l’un pour l’autre….
S : (murmurant) Went…
W : Après que tout ça est terminé, et qu’on ne soit plus obligé de nous cacher… je veux qu’on fasse notre vie ensemble, Sarah. Je veux que tu sois la mère de mes enfants….

Alors que j’étais sur le point de continuer, des coups frappés à la porte m’interromps. Je lui souris et l’embrasse sur les lèvres amoureusement avant que la porte s’ouvre sur Danay et tous les autres….

sabrina Jeu 24 Juil - 21:59

Elle est trés belle cette déclaration !!!! Wahou !!!!! j'en veux une pareil !!! ^^
SUITE SUITE SUITE

Islemmedemars Jeu 24 Juil - 22:13

séance de rattrapage

chapitre 33

C’est pas vrai ! Où es-tu, bon sang ? ... Je la cherche de regard, continuant à l’appeler mais elle ne me répond pas. Pendant un long moment, je fais le tour de la surface du toit de l’immeuble et l’aperçois enfin. Je soupire de soulagement. ... Une douleur puissante m’irradie la poitrine en la voyant ainsi. Je m’approche d’elle lentement et m’assoie à ses côtés.

je la sens à mort la panique la...

Trop de choses…. Tout me rappelle que je suis insignifiante, froide. Les mots d’Éric ressurgissent encore et encore dans mon esprit.

fut toujours qu'il revienne à la charge celui la même quand il n'est pas la, c'est fou le pouvoir qu'il a sur elle... aller Went réagit un peu..

Elle est frigorifiée… je la sens si distante, si fragile. Je sais qu’elle est furieuse d’avoir comprit que j’avais eu une aventure avec Amie, mais quelque chose me dit que ce n’est pas que ça.

continue de creuser tu chauffe lol

Je me sens si impuissant de le voir souffrir seule, en silence.

va falloir se ressaisir, car elle a besoin de toi...

Lentement, je passe un bras autour d’elle et voyant qu’elle ne me repousse pas, je l’attire contre moi. Pendant un long moment, nous restons ainsi, enlacés. Je la tiens serré contre moi alors qu’elle est toujours recroquevillée sur elle-même.

c'est triste mais c'est un jolie passage..

Je ferme les yeux et me recule de son étreinte. Je ne peux pas…. Je suis incapable de lui parler. Je secoue la tête afin qu’il n’insiste pas. C’est alors qu’il me relève le visage lentement.

fais un effot Sarah, il veut t'aider et il t'aime, tu le sais ca...

W : Regarde moi, Sarah !

Oui regarde le !

Je suis dans l’incompréhension totale… j’ai besoin de savoir ce qui la mets dans cet état.

Tout pareil..

Je me sens si bien dans ses bras….

Tu parle que ca doit être bien, je devais la dire celle la lol et je sort maintenant...

Soudain, nos regards se croisent, ils se fuient et se retrouvent rapidement pour rester accrochés l’un à l’autre. Elle me sourit et baisse le regard timidement. Ce qui me fait littéralement craqué….

J'aime trop ces petits moment entre quand il se regardent et puis se fuient.. c'est tellement beau... mais parcontre je le ressens dans le MiSa lool pas le WeSa...

S : (le coupant) Ne dis rien. J’ai confiance en toi, Went…. Je t’aime si fort…

Sarah est de retour lool c'est cool...

Je la serre contre moi. Elle passe une jambe autour de ma taille et se retrouve à califourchon sur mes genoux. Nous nous regardons amoureusement et nos lèvres se retrouvent dans un baiser enivrant par la fougue qui nous transportent tous les deux….

Et la on les retrouve tout les deux lool.

chapitre 34

Mes mâchoires se crispent soudainement à cette question. A-t-elle oublié qu’elle ne répondait plus à mes appels, durant ces longs mois ? Et comment aurais-je pu lui dire que j’entretenais une relation purement sexuelle avec une de mes amie ? Qu’aurait-elle pensé de moi ?

pauvre Amie mdrrrr

Je veux que ce soit elle, la mère de mes enfants. Pour la première fois, je ressens le besoin suprême de fonder une famille, notre famille….

La je suis jalouse... je suis verte mdrrrrrrrr

bon j'aurais bien fait un long com pour ce chapitre mais je ne vais dire qu'une chose.... QUELLE CHALEUR........ Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Icon_clu

chapitre 35

S : (embrassant les filles) Je suis ravie d’être rentrée aussi.

Avec dom et amaury dans les parrage, ca se comprend lool

tourner vers Marshall et de lui déposer un gros bisous comme une manie qui ferait à son petit fils sur sa joue

mdr j'imagine la mamie entrain de faire un gros bisou baveux au petit fils qui se débat pour eviter que le dentier lui tombe dessus, ca me fait penser au film avec Eddie Murphy

S : (éclatant de rire) Y’a pas que ça qui t’a manqué, Amaury !

Je vois qu'elle n'a pas perdue son humour la miss lool

D : Quel c*n ! Il allait se retrouver à poil. T’aurais du rien dire, Sarah !

mdrrrr toujours la pour dire des conneries celui la...

R : Dom ! Fous lui la paix, tu vois pas que tu la gênes ?
Da : (éclatant de rire) Pas du tout ! On dit toujours que ce qui en parle de trop n’en fait pas trop !

super réplique de robert mais, mais Danay s'est bien défendue aussi

D : Tu es bien là ?
D : Tu devrais te reposer, tu es vraiment très pâle, tu sais.
D : (posant une main sur son front) Tu plaisantes ? C’est l’avion qui donne de la fièvre maintenant ?
D : (l’embrassant sur le front) Ok. A tout à l’heure.

Dom aux petits soins, c'est touchant..

W : (l’embrassant sur les lèvres) Je suis là, mon cœur, je ne quitte pas…
S : J’ai mal…
W : Où ça ? Dis moi où tu as mal, Sarah ?
S :…
W : Sarah ? Sarah ?

Je sais que je vais lire la suite, mais la ca m'inquiète...

je repose un peu mes noeils et je termine tout à l'heure...

Invité Ven 25 Juil - 21:42

Oooooh que c'est mimi !
Mais s'il se cache plus ils savent combien d'hystérique ils vont faire dans le monde ? loool
La suite !!!

nol59 Sam 26 Juil - 21:18

voici la suite et encore merci pour vos coms mes chéries^^
j'espère que vous allez pas me Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Jc_nix-1e16ee

Chapitre 39.

Une toux rauque me fait ouvrir les yeux. Je me redresse vivement et tousse, les bronches en feu. Je pousse un soupir de soulagement une fois que j’arrive à mieux respirer et regarde à côté de moi afin de me blottir dans les bras de Went mais la place est vide…

S : (dans un murmure) Ho non…

Je me rappelle alors qu’il devait partir tôt ce matin. Je lance un regard vers le réveil qui indique qu’il est plus de neuf heures trente et sourit en constatant un mot qu’il m’a écrit. J’allume la lampe de chevet et déplie le papier, impatiente.

« Mon ange…Tu dormais si bien que je n’ai pas voulut te réveiller.
Bien que je t’ai embrassé plus d’une fois avant de pouvoir quitter la chambre…
Je t’aime Sarah. Tu vas me manquer mais je ne veux pas que tu t’inquiètes. Tout se passera bien, je compte revenir très vite et continuer ce que nous avons partagé dans la nuit…
Je t’aime plus que tout ma puce… je sais, je me répète.
Et au fait ! Prend du sirop, il est sur la table de nuit, tu n’as pas arrêter de tousser pendant ton sommeil. J’ai prévenu Jodie, m’en veux pas mais je n’aime pas te voir malade, ma puce… je t’aime mon cœur. Je t’appelle très vite…
Tu vas me manquer.
Went… »

Je relis cette lettre par deux fois, et ne peut m’empêcher de verser quelques larmes. Il est si attentionné avec moi… comme personne ne l’avait été. Je me recouche, les joues humides et me rendort à cause de la fièvre, le mot serré contre moi…

Il était temps ! L’avion vient de se poser sur le sol canadien. Je déboucle ma ceinture de sécurité, irrité par les regards de Dom et de Paul qui me lancent en souriant.

W : Quoi ?
P : Rien ! Tu as bien tous les documents ?
W : Ça fait déjà deux fois que tu me le demandes !
P : (souriant) Et je suppose que la réponse est la même ? Je préfère qu’on va là bas en étant en règle, Went. On pas besoin de se faire remarquer et toi Dom, je te rappelle que tu n’as pas à jouer au malin !
D : (écarquillant les yeux, faisant mine d’être offusquer) J’ai rien fais !

Je pouffe de rire à la tête de Dom qu’il vient de faire une fois que Paul lui a tourné le dos.

P : (se tournant vivement) Qu’est-ce qui te fait rire ?
W : (levant les mains en gardant un sourire moqueur sur les lèvres) Rien du tout.
P : (poussant un soupir) Allons-y ! et essayer de ne pas vous faire remarquer.

On acquiesce en souriant tous les deux et nous suivons Paul qui est d’une humeur massacrante.Une heure plus tard, le chauffeur de taxi s’arrête devant chez Sarah. Je souris un bref instant en observant le paysage. Rien n’avait changé depuis que j’en ai fais l’acquisition. Ça ne m’étonne pas qu’elle adore cette endroit…

P : Tu es prêt ?
W : (regardant Paul) Oui. Il doit être ici, il y a un véhicule près du garage.
D : Allons-y dans ce cas.

Je hoche la tête et sort du taxi. Une fois qu’ils sont tous à l’extérieur, je me tourne vers eux tandis qu’ils font une moue dubitative.

D : Il caille ici !
W : On est pas en Californie, Dom. Bon, je vais y aller…
D : (le coupant) On te suit.
W :…
P : Il a raison, pas la peine de discuter, Went ! On n’a pas fait le voyage avec toi jusqu’ici, pour attendre dehors.

Encore faut il qu’il nous laisse entrer.

W : (poussant un soupir, résigné) Ok, allons-y.

J’essaie de cacher et d’atténuer la colère qui coule dans mes veines, sachant pertinemment que j’aurais du mal à retenir mon calme quand je lui ferais face. Je n’ai pas le temps de lever la main, arrivé devant la porte que Dom tape du poing lourdement sur celle-ci.

W : Commence pas, Dom !
D : J’ai rien fais, j’ai seulement frappé…

Je ne peux pas m’empêcher de le foudroyer du regard. Deux minutes plus tard, on entend du bruit provenant de l’intérieur. Je lance un regard furtif vers Paul et Dominic qui se tiennent derrière moi. Ils m’ont l’air aussi nerveux que je le suis.

Garde ton calme, Miller ! La porte s’entrouvre lentement, et je plante aussitôt mon regard dans celui d’Éric.

E : (ouvrant la porte, l’air surpris) Qu’est-ce que tu fais là, toi ?
W : (sans prendre la peine de le saluer) Il faut qu’on se parle !

Il vient de s’apercevoir de la présence de Paul et de Dom. Je jubile intérieurement, constatant l’inquiétude qui traverse son regard sombre. Il a vraiment changé depuis le temps que je ne l’avais pas vu. Ça doit bien faire trois jours qu’il n’a pas prit de douche, et à fait la grève chez Gilette !

W : On peut entrer ?
E : Pourquoi je vous ferais rentrer chez moi ?

Dominic pouffe de rire derrière mon dos. J’essaie de faire comme si je n’ai rien entendu et lui lance d’une voix sèche :

W : Je dois te parler de choses assez importantes et il vaudrait mieux que tu écoutes ce que j’ai à te dire !
E : (sourire narquois) C’est une menace de la part de Miller que j’entends là ?

Moi qui pensait que je pouvais faire preuve de patience plus longtemps ! C’est raté ! Je m’avance d’un pas rapide vers lui et retient la porte de mon avant bras avant qu’il ne la referme. Sans le quitter du regard, j’entre à l’intérieur, me faisant menaçant tandis qu’il me fixe, surpris.

E : Qu’est-ce que tu me veux, Miller ? C’est au sujet de ma femme ? Elle…
W : (le coupant d’une voix forte) Ta femme ?!!
P : (murmurant) Went…

Je serre les mâchoires et retient les paroles que j’étais prêt à lui balancer.

E : (regardant Paul) Qu’est-ce que vous foutez là, Scheuring ? Tu as besoin de garde du corps, Miller ?
W : Tout dépend comment du réagira…

Il est temps que je lui dis ce que j’ai à lui dire. Je sors de ma poche intérieure les documents et le regarde d’un air moqueur.

W : On est venu ici pour la bonne raison qui est que je veux que tu quittes cette maison le plus vite possible !

Oui, c’est ça, éclate de rire et bientôt, c’est ta tête que je vais éclater.

E : Tu es devenu comique maintenant ? Elle m’envois son amant pour récupérer sa baraque ?
W : Elle ne m’a rien demandé et…
E : (s’écriant d’une voix forte, l’air sournois) Pas plus le fait qu’elle me trompait avec toi pendant tout ce temps ? Ça fait un an qu’elle me soutient le contraire, et moi qui avait finit par la croire !

Qu’est-ce qu’il raconte ? C’est quoi de cette histoire…

E : (riant) Ne fais pas ton innocent Went ! Ta belle petite gueule boudeuse ne marche pas avec moi ! Mais je voudrais te poser une question avant que tu racontes toutes les conneries qu’elle a put de dire pour te persuader de venir ici !
W : (l’affrontant du regard) Vas-y !
E : Quand tu la couches, elle te supplie aussi de la laisser ? Elle adore jouer à la vierge effarouchée… elle arrive à pleurer sur commande, y’a pas à dire, c’est une bonne actrice !

Mon dieu, j’y crois pas… je n’ai pas le temps de réagir que Went se jette sur lui et l’agrippe à la gorge avant de le plaquer contre le mur.

W : (hurlant, rouge de colère) Répète !
E : (s’étouffant) Lâche moi…
W : Répète tout de suite ! Tu as osé poser tes mains sur elle !… je vais te tuer sale fils de pute !
E : (ricanant) Vas-y….

C’est plus fort que moi, je le frappe de mon poing de toutes mes forces. Je continue à le maintenir contre le mur, il arrive à se dégager… je prend un coup, ce qui a le don de me faire redoubler de haine que j’éprouve pour cet ordure. Je m’approche encore de lui, le frappe à nouveau avec une telle violence qu’il tombe sur le sol. Encore une fois, j’en fais ma proie. Son crâne heurte violement le sol mais je ne sais plus m’arrêter, je n’ai qu’une envie c’est de le tuer… pour ce qu’il lui a fait….

D : (retenant Went avec l’aide de Paul) Went… ça suffit, arrête !
W : (essayant de se dégager) Lâchez moi !
P : Arrête ! Tu vas finir par le tuer !
W : (hurlant sur Paul) Tu l’as entendu ?!

Je le fixe et essaie tant bien que mal de le retenir… je ne peux pas l’en vouloir de sa réaction mais il faut à tout prix qu’il recouvre ses esprits…

P : Calme toi, Went… penses à Sarah, elle a besoin de toi. Elle t’attend et si tu continues….

J’arrête en remarquant qu’il ferme les yeux. Nous le relâchons doucement, et nous le fixons, impuissant tandis qu’il se laisse glisser au sol le long du mur. Dom me lance un regard inquiet. Il s’accroupit face à lui et essaie de l’apaiser. Je me tourne, fou de colère vers Éric au même moment où il se relève difficilement, le visage ensanglanté et boursouflé…

tinkerbel Sam 26 Juil - 21:45

faut le laisser continuer, de toute façon pas de témoins et on efface les empreintes et le tour est joué Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Mdr72ki

pas de preuves
quel batard, il l'a violée et il l'insulte Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10363152

Allez Went fracasse lui la tête Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Panneau1

Angie, c'est très bien comme réaction Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 00000666

mais ENCORE Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Mdr72ki

gros

nol59 Dim 27 Juil - 22:54

Merci pour vos coms les filles
allez, je vous la poste mais pas de suite demain, j'ai trop de retard et je ne serais pas là de la journée Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Blush-5485

Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Blush-5485

Bonne lecture Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Bisou-1--1a62

Chapitre 40.

P : Calme toi, Went… penses à Sarah, elle a besoin de toi. Elle t’attend et si tu continues….
J’arrête en remarquant qu’il ferme les yeux. Nous le relâchons doucement, et nous le fixons, impuissant tandis qu’il se laisse glisser au sol le long du mur. Dom me lance un regard inquiet. Il s’accroupit face à lui et essaie de l’apaiser. Je me tourne, fou de colère vers Éric au même moment où il se relève difficilement, le visage ensanglanté et boursouflé…
------------------------------------------------------------------------------------------

E : (voix faible et haletante) Sortez de chez moi !

P : (s’approchant de lui, menaçant) Non, c’est toi qui va dégagez d’ici ! Cette maison ne t’appartient pas, espèce de petite ordure…

E : (riant légèrement) Je t’emmerde, Scheuring ! Tu couches avec cette pute toi aussi ?

P : (l’agrippant par le col) Sarah est loin d’être aussi pute que toi, petite me*de ! Et cette maison n’est pas à toi ! Elle appartient depuis plus de cinq ans à Went. Maintenant, je te conseille d’appeler une personne de ton entourage pour venir te chercher ! Je te donne une heure pour faire des valises et quitter cette maison ! Et tu as plutôt intérêt à oublier Sarah ! Tu ne l’as jamais mérité !

E : (essayant de parler) C’est à elle cette maison…

W : (s’approchant de lui, le regard rougis par la haine) Faux ! Cette maison est à moi !

E : (écarquillant le seul œil encore ouvert) Quoi ? Mais elle m’a toujours dit qu’elle l’avait acheté…

W : (le coupant d’une voix sèche) C’est-ce que je lui ai dis de dire à tous le monde ! Jamais tu ne l’as aidé pour quoi que ce soit, sale con*rd ! Et si tu veux tout savoir ! J’aime Sarah depuis le premier jour où l’on s’est rencontré ! Et je vais dire une chose ! Par respect que tu existais dans sa vie, je lui ai toujours caché ! Maintenant, tu vas dégager d’ici !

E : (bredouillant, l’air éberlué) Je… je ne peux pas partir comme ça…

D : (intervenant) Tu es sur ? On t’a donné une heure pour emballer tes affaires et quitter cette propriété ! Si dans exactement cinquante deux minutes ton petit cul de pute est encore ici, j’appelle la police ! Et crois moi que tu pourras trouver aisément un endroit pour loger ! Ça ne changera pas tellement, tu seras nourris et blanchis à volontiers !

E : (secouant la tête et ricanant) Tu te crois où toi ? Tu crois que la police va m’embarquer ? Vous êtes ici chez moi, jusqu’à preuve du contraire et je viens de me faire agresser….

D : (d’une voix menaçante) Tu nous prend pour des rigolos ?

E : Et je peux savoir ce que vous comptez leurs dire ? Que vous êtes venus pour m’annoncer que je vis dans la maison de Miller ? Que je viens de me faire tabasser par cette tapette de service ?

D : (sortant son portable de sa poche, et barrant le passage à Went qui allait de le frapper) J’ai beaucoup mieux que ça ! Ouvre bien grand tes oreilles, Michey !

Qu’est-ce qu’il fait ? J’y crois pas…. Il a tout enregistré… la conversation… tout…

Je ne reconnais plus le regard de Went…. Dom vient de faire passer la bande où on entend distinctement Éric prononcer des mots dont je suis incapable de mettre un adjectif…. Sarah… comment a-t-il pu lui faire ça, bon sang ?….

D : (arrêtant son portable) T’es convaincue ?

W : (regardant Dom, furieux) Appelle la police !

E : (penaud) Non… non… je vais partir, d’accord.

W : (secouant la tête avant de se mettre à hurler) Non ! Tu restes là ! Tu as faillis la tuer, sale pourriture ! Tu l’as violé et tu crois que je vais te laisser filer ? !

E : Elle était avec moi… et elle ne portera pas plainte…. Je vais partir…

W : (dégageant le bras de Paul et se précipitant vers lui, l’envoyant contre le mur) Et tu crois que je pourrais continuer alors que tu resteras en liberté ? Tu as sali la femme que j’aime, tu me le paieras…

P : (retenant Went) Laisse le, il a raison…. Sarah n’en parlera pas…

Soudain, je constate qu’il lâche son emprise de cet ordure et me regarde, les yeux brillants de larmes… bon sang, je ne l’avais jamais vu aussi paumé que maintenant. C’est quoi de ça ? Je le dévisage tandis qu’il sort son portable de sa poche. Il vibre…

P : Donne je vais lui répondre.

W : (déglutissant péniblement, conscient de la situation qui venait de se passer) C’est elle….

P : (s’adressant à Dom avant de prendre le Black Berry de Went) Aide le à emballer ses putains d’affaires ! T’en fais pas, Went….

Je le laisse s’éloigner avec mon portable…. Ma tête commence à me faire mal, tandis qu’une douleur atroce me foudroie la poitrine. Je ferme les yeux, j’essaie d’effacer les images de Sarah et de ce salopard en train d’abuser d’elle…. S’en ait trop… je m’effondre sur une chaise, l’air las et complètement perdu….

Je suis sortis le temps de parler avec Sarah. J’inspire profondément avant de décrocher, espérant réussir à garder une voix impassible.

S : Mon cœur, j’allais raccroché…

P : (souriant faiblement) C’est Paul, Sarah.

S : (voix inquiète) Où est Went ?

P : Il… il discute avec Dom et Éric…

S : …

P : Tout va bien ne t’inquiète pas…

S : (le coupant) Ne ment pas, qu’est-ce qui se passe, Paul ?

P : (fermant les yeux, un bref instant) Il te rappelle dés qu’il a terminé, d’accord ?

S : (s’écriant) Paul ! Dis moi tout de suite ce qui se passe !

C’est pas vrai ! Qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui dire ? Je ne vais tout de même pas lui raconter qu’on sait ce qu’il lui a fait et que Went est bouleversé….

S : Paul ?!

P : Je suis là, Sarah ! Écoutes, ils ont discuté et ça à tourner au vinaigre… mais ne t’inquiète pas, tout c’est arrangé. Il est en train de préparer ses affaires…

S : Laisse moi parler à Went….

P : (serrant les mâchoires en entendant la tristesse de sa voix) Ce n’est pas possible maintenant, Sarah…

S : (jurant) Qu’est-ce qu’il a ? Ne me dis pas qu’il …

P : Il… attend une seconde…

Je vois sortir Went de la maison et s’approcher de moi. Il me sourit faiblement et tend la main pour que je lui donne son téléphone. Je lève un sourcil, interrogateur afin de savoir si il sait ce qu’il fait. Il me sourit et hoche la tête avant de prendre son portable….

W : (soufflant) Ma puce….

tinkerbel Dim 27 Juil - 23:04

t'as pas le droit de me faire pleurer sur tes deux fics pale

je veux la suiteeeeeeeeeeeeeeee lol!

et demain aussi lol!

gros

Invité Dim 27 Juil - 23:06

Pauvre Went...il me fait trop de peine et Sara qui commence à s'inquiéter ! Je me met à ça place j'aurais péter un cable au tel mdr
Heureusement la fin Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Invisio3

j'imagine trop c'est mimiiiiiii

Pas de suite demain ?
Bon ben on aura (euh 3*4=45+6=29/4=58) ouais voilà 2 suites quoi mdr

nol59 Mar 29 Juil - 22:21

merci à toutes pour vos coms
voici la suite Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Tfr2b-49e52

Chapitre 41.

Je pousse un long soupir de soulagement à l’écoute de sa voix…

W : Sarah…
S : Went, qu’est-ce qui s’est passé ?
W : (fermant les yeux) Tout va bien, ne t’inquiète pas.
S : Que je ne m’inquiète pas ? Dis moi ce qu’il s’est passé !

Un silence s’installe entre nous. Je ne peux pas lui dire toutes ses choses qu’il a dit….

W : Éric va partir d’ici, ma puce. Il est en train de préparer ses affaires.
S : (d’une voix soupçonneuse) Comment ? Il n’a pas refusé ?
W : Si, au début… on en discutera demain, Sarah… d’accord ?
S : Tu vas bien ?

Mon cœur se serre à l’écoute de sa voix brisée, elle est sur le point de pleurer.

W : (passant la main sur son crâne) Je vais bien, ma chérie. Et toi, tu vas mieux ?
S : Went ! Tu changes de conversation là….
W : Hé ma puce, s’il te plait…
S : (étouffant un sanglot) Went…
W : Ne t’en fait pas, mon ange. Il va partir et tu n’entendras plus jamais parlé de lui. Tu me fais confiance ? … Sarah ?
S : (poussant un soupir) Oui… je t’aime, Wentworth.
W : Moi aussi, je t’aime, Sarah. On revient dés demain, ok ?
S : Vous allez rester sur place ?
W : Oui, je pense…. Je te rappelle dés qu’il est parti, d’accord ?
S : (fermant les yeux, inquiète) D’accord. Je t’aime mon cœur…
W : Moi aussi, ma puce. Tu as pris ton sirop ? Et ta fièvre ?
S : (souriant) Je vais mieux et Jodie m’a fait rappeler de prendre les médicaments.
W : (riant doucement) Je lui ai demandé de prendre soin de toi, en mon absence.
S : Je sais… j’ai vu ton mot.
W : …
S : Je vais aller prendre une douche.
W : Je te rappelle Sarah. Je t’aime.
S : Je t’embrasse.

Je raccroche avec une inquiétude plus présente en moi. J’ai bien remarqué qu’il n’était pas bien, il a du se passer quelque chose. Je lève les yeux au plafond afin d’éviter de laisser échapper les larmes de mes paupières. Mais ce n’est que peine perdue. J’ai si peur de ce que Éric a pu lui dire, de ce qu’il est capable de faire… je me relève tandis que Jodie et Amaury pénètrent dans la cuisine.

A : (s’apercevant de ses yeux rougis) Hey, ma belle ! Qu’est-ce qui se passe ?
S : (se forçant à sourire) Rien. C’est juste que j’ai eu l’impression que Went m’a mentit… il était étrange.
J : Qu’est-ce qu’il t’a dit ?
S : (poussant un soupir las) Que Éric partait et de ne pas m’inquiéter.
A : Ben c’est super !
S : Il m’a demandé trop de fois de ne pas m’inquiéter, Amaury. Il n’a dit que ça pratiquement… il a du se passer quelque chose.
J : Mais non, Sarah. Ne t’en fais pas, Paul et Dom sont avec lui, il ne risque rien.
A : Jodie a raison. Je suis sur que tu te fais des idées !

Je n’en suis pas certaine et encore moins convaincue mais j’espère qu’il a raison. Je leur souris légèrement et sort de la pièce.

A : (une fois seul avec Jodie) Je vais l’appeler.
J : Oui, je pense que ce serait mieux. En attendant, je vais rester près d’elle.
A : (composant le numéro de Went sur son portable) Ouai, vaut mieux.

Je reste quelques instants à l’extérieur, essayant d’enlever les images horribles qui me poursuivent. Ma colère est tellement forte que j’en ai mal. J’inspire un grand coup afin de me ressaisir quand mon Black Berry se met à sonner. C’est Amaury…

W : (décrochant rapidement et d’une voix inquiète) Am ! Sarah va bien ?
A : Oui, mais elle a l’air déboussolée. Jodie reste près d’elle. Qu’est-ce qui s’est passé, Went ? Sarah a l’air persuadé que tu lui caches quelque chose ?
W : Où est-elle ?
A : Avec Jodie, ne t’en fais pas.
W : (poussant un soupir las) Elle n’est pas près de toi ?
A : Non, racontes ?
W : (fermant les yeux) Ça ne s’est pas très bien passé… J’aurais voulu le tuer… si Paul et Dom ne m’avaient pas retenu…
A : Hé, papy ! Dis moi ce qu’il s’est passé.
W : Non, je ne peux pas…. Pas maintenant. Fais attention à Sarah, s’il te plait.
P : (s’approchant de Went) C’est qui ?
W : Am.
P : Passe le moi.

Je lui tend mon téléphone et m’éloigne, l’air las. Je sais qu’il lui en parlera mais je me sens incapable d’entendre encore ces mots. Je erre autour de la maison et regarde la forêt qui borde le long de la propriété. La vue est si belle ici, tout parait tellement paisible, et pourtant…

Je m’arrête près du ruisseau et m’installe sur un rocher. A cet instant, toute la douleur que j’ai accumulé en moi se déverse le long de mes joues. Je me sens tellement coupable de ce qu’elle a subit. Pourquoi ne lui ais-je pas avouer ce que je ressentais pour elle dés le début ? Tout aurait été si différent… nous serions peut-être déjà marié, avec des enfants… et surtout, elle n’aurait jamais subit ce qu’elle a vécu.

Je m’avance vers Went, le cœur serré. Il est très mal. Je ne sais pas si il pourra faire face à cette situation mais je ne doute pas de son amour pour Sarah. Je fais encore un pas vers lui et je ne peux m’empêcher de faire l’allusion à son personnage qu’il joue dans la série. Je peux lire la même souffrance dans son regard, dans ses gestes. Je pose une main réconfortante sur son épaule et m’installe près de lui. il reste le visage enfouit dans les paumes de ses mains.

P : Ça ira, Went…
W : (hochant la tête) Ouai.
P : Amaury et les autres s’occupent d’elle.
W : (souriant tristement) Tous le monde l’adore… comment cet ordure a pu lui faire ça, Paul ?

Sa voix est brisée par l’émotion et la colère qu’il éprouve. Il relève la tête et je remarque ses yeux rougis tandis qu’il saigne toujours de son arcade sourcilière. Poussant un soupir, je l’attire dans mes bras et le serre contre moi, incapable de le regarder dans le fond de ses yeux.

P : Il le paiera, ne t’en fais pas pour ça.
W : (s’écartant vivement de lui) Comment ? Il fait qu’il paie, Paul !
P : Je sais Went, mais ce n’est pas en faisant appel à la justice que tout s’arrangera ! Surtout pour elle, Wentworth ! Il niera malgré l’enregistrement de Dominic. Et Sarah ? Penses-tu qu’elle soit assez forte en ce moment pour affronter les tribunaux ? Les questions des journalistes quand elle sortira dans la rue ? Parce que crois moi que tous le monde sera ce qu’il s’est passé ! Tu sais très bien comment ce genre de chose vont vites. Sarah a besoin de toi, elle veut repartir à zéro, avec toi.

Je sais qu’il a raison mais le savoir libre alors que je sais ce qu’il lui a fait subir me rend dingue !

P : (lui tapotant l’épaule amicalement) Allez, viens. On va aller rejoindre Dom.
W : D’accord.

Je lui redonne son téléphone et nous marchons l’un à côté de l’autre en direction de la maison.

W : (dans un souffle) Merci Paul.
P : Tu n’as pas à me remercier, Went. Je sais que je ne suis que ton boss et d’une humeur massacrante par moment mais je suis aussi ton ami, non ?
W : (hochant la tête en signe d’acquiescement) Oui.
P : Tu pourras toujours compter sur moi.

Il me lance un sourire et je suis rassuré de voir qu’il a retrouvé un peu ses esprits. Nous entrons quelques minutes après. Le salon est vide. Je suis Went qui avance vers la cuisine. C’est alors que Dom et Éric font leur apparition.

W : (furieux et fixant Éric d’un regard noir) Tu as tout ? Parce que dis-toi bien que c’est la dernière fois que tu fous les pieds ici !
E : (lui lançant un regard dédaigneux) Pour l’instant, oui ! Mais je viendrais rechercher mes affaires plus tard !
W : C’Est-ce que toi, tu penses ! Tu prends tout aujourd’hui et tu te fais oublier !
E : C’est bon, Miller ! Je n’ai pas d’ordre à recevoir de toi !
W : (poussant un soupir exaspéré et ouvrant son portable) Très bien, c’est comme tu veux.

Paul me regarde mais je lui fais comprendre qu’il ne doit pas s’en mêler. Je compose le numéro de la police et lance un regard noir vers Éric qui blêmit.

W : Bonjour, Wentworth Miller à l’appareil. Pourriez vous envoyer quelqu’un chez Sarah Wayne Callies, s’il vous plait ? … oui. Très bien. Merci, on vous attend.

Satisfait, je raccroche et m’avance vers lui.

W : J’ai l’impression que finalement, tu trouveras vite un autre endroit où poser ton cul.
E : Ce n’est pas la peine… j’ai compris.
W : Alors, dégrouille toi à rassembler tous ce qui t’appartient. Car si je viens à savoir que tu as essayé de remettre les pieds dans le coin, je te jure que cette fois, personne ne sera là pour me retenir !
P : (s’approchant d’Éric) Allez, je t’accompagne !

Je serre les mâchoires et le foudroie du regard tandis qu’il s’éloigne avec Paul.

D : (posant une main sur la nuque de son ami) Tu vas bien ?
W :…
D : (le prenant dans ses bras) T’inquiète pas, Went…

Je ferme les yeux et me laisse aller à son étreinte fraternelle et rassurante. Quelques minutes plus tard, je me détache de lui et lui sourit en guise de remerciement.

D : Tu les as pas appelé, dis moi ?
W : Si.
D : Qu’est-ce que tu vas leurs dire ?
W : Je leur expliquerais que je suis le propriétaire de cette maison et qu’il a tout simplement menacé de tout brûler. Et je ferais en sorte qu’ils le gardent en vue.
D : Tu crois qu’ils ne poseront pas de question ?
W : Si ils ne veulent rien faire, crois moi que ça ira très mal !

A cet instant, la porte d’entrée se met à sonner. Je lance un regard vers Dom et m’avance vers celle-ci, tandis que Paul me stoppe.

P : Laisse moi faire, Went.
W : Non, il n’est pas question que je ne m’en mêle pas !
P : (voyant qu’il était décidé) D’accord.
W : Tu peux venir avec moi si tu veux mais tu me laisses parler.
P : Ok…

tinkerbel Mar 29 Juil - 22:56

Sarah se doute que quelque chose ne va pas malgré les rassurances de Went pale

PAul, Dom et Amaury sont de vrais amis, ils les soutiennent pleinement cheers

éric va se casser très vite car Went ne rigole pas et est vraiment très furieux Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 10363152

que va t'il lui arriver car Sarah ne portera pas plainte avec tout le déchainement médiatique que ça engendrait, et pas question qu'il s'en sorte car Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 2gunsfir

merci pour cette très belle suite malgré que Crying or Very sad

Invité Mer 30 Juil - 17:57

Pouh vivement que Went rentre, retrouve Sarah, elle sera rassurée, lui ira un peu mieu...parce que là il va péter un cable lol y'a de quoi faut dire...
La suiiiiiiiiiiiiiite !

nol59 Mer 30 Juil - 21:51

Coucou les miss
merci beaucoup pour vos coms les miss
voici la suite Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08 - Page 7 Blush-5485

Chapitre 42.

Deux heures plus tard, nous nous retrouvons enfin que tous les trois. Comme je le pensais, Went avait rapidement convaincus la police canadienne pour qu’Éric ne mette plus jamais les pieds dans sa propriété. Je souris, repensant à la tête de cette ordure lorsqu’il sait fait passé les menottes.

A présent, je pousse un soupir de soulagement et lance un regard vers Dom et Paul qui me sourient, l’air satisfait.

D : (se levant du canapé) Tu devrais aller soigner ton œil.
W : (touchant son arcade où le sang séché stagnait sur la plaie) Ouai. Je vais aller prendre une douche.
P : Ok…

Une fois que Went a quitté la pièce, je suis Dominic dans la cuisine.

D : Tu crois qu’ils le garderons longtemps ?
P : (poussant un soupir) Minimum quarante huit heures.
D : Tu sais… c’est pas l’envie qui me manquer de lui arracher ses roubignoles à ce pourri !
P : Moi aussi ! Mais tu as été malin sur ce coup là.
D : (furieux) A quoi ça sert, tu peux me le dire ? Il devrait pas s’en tirer aussi facilement !
P : Oui, mais Sarah ne supporterais pas, Dom. Elle veut oublier, elle a le droit d’être heureuse…
D : (poussant un soupir) Ouai, je sais…. Tu penses qu’il a retenu la leçon ? Went m’a dit qu’il avait menacé Sarah de tout brûlé…
P : Oui, et c’Est-ce qu’à convaincu les agents de police à mon avis. Ils ont promis de patrouiller ici et de le surveiller de près pendant un moment. Et au pire des cas, s’il arrive quelque chose à cet endroit, il sera le premier suspect.
D : Ouai ben j’espère qu’on entendra plus parler de lui, c’est moi qui te le dis !
P : Je ne pense pas.
D : (le regardant, l’air septique et soupçonneux) Qu’est-ce que tu mijotes, toi ?
P : (écarquillant les yeux) Moi ? Rien du tout ! Je vais faire du café.

Je sens le regard de Dom sur moi et je souris tout en ouvrant les armoires à la recherche du café. Bien sur que je ferais en sorte que ce fumier reste loin d’ici, loin de Sarah et de Went ! Je sais aussi que ce n’est pas bon que je m’implique personnellement dans la vie de mes acteurs mais je tiens beaucoup à eux. Ha bon sang ! Qu’est-ce qui me prend ? Je vais finir par devenir gaga si je continue. Je me retourne vers Dom et nous nous fixons un moment avant de nous mettre à pouffer de rire.

Je reste quelques instants devant le miroir de la salle de bain, et je fixe le reflet qu’il me renvoie. J’ai eut un plus beau visage, je dois dire. J’aimerais tellement qu’elle soit à mes côtés en cet instant. Mais en même temps, j’ai si peur de lui en parler, de lui faire du mal…. J’ai si peur qu’elle en souffre encore plus….

C’est une heure plus tard que je sors de la pièce et vais dans la chambre où Sarah devait dormir. Je balais la pièce du regard et sort vivement de la chambre en claquant la porte. Je m’y adosse et essaie de retrouver une respiration normale. Comment a-t-il pu lui faire ça ? A elle ? La femme que je n’ai jamais cessé d’aimer….

Je rejoins Dom et Paul quelques minutes après et les retrouve dans la cuisine en grande conversation.

D : Tu vas mieux ?
W : Ouai…. Je sors, je vais appeler Sarah.

Je fixe Went silencieusement tandis qu’il sort sur la terrasse.

P : Je vais appeler l’aéroport.
D : Ok.

J’inspire profondément l’air frais de l’extérieur. Je vais m’installer sur un banc un peu plus loin et l’appelle.

W : (poussant un soupir de soulagement) Ma puce…
S : Went…
W : Tu vas bien, mon cœur ?
S : Tu me manques… j’attendais ton appel.
W : Je suis désolé d’avoir mis tout ce temps.
S : Tu vas bien ?
W : Oui, ça va mieux. Il est partit mon ange et je te promets qui ne te fera… que tu n’entendras plus jamais parlé de lui.
S : (voix bredouillante) Qu’est-ce…. Qu’est-ce qu’il a dit ?
W : On en parlera demain, ma puce. D’accord ?
S : (voix brisée par l’angoisse) Dis le moi, s’il te plait…
W : (fermant les yeux) Sarah…
S : S’il te plait, Went…
W : (inspirant profondément) Il ne m’a pas cru pour la maison… il pensait que toi et moi étions amants depuis longtemps… il a dit des paroles… horribles. Je suis désolé, Sarah…
S : Pourquoi ?
W : Je n’ai pas tenu la promesse que je t’ai faite….
S : ….
W : Je l’ai frappé.
S : (fermant les yeux et déglutissant péniblement) Went…tu n’as rien ?
W : (esquissant un faible sourire) Non, ne t’inquiète pas.
S : Où est-il ?
W : La police l’a embarqué.
S : (poussant un faible cri de stupeur) Mon dieu, Wentworth… tu es sur que tu vas bien ?
W : Oui, ma puce. Je ne veux plus que tu penses à tout ça ! Oublie tout mon ange… je serais prêt de toi dés demain, on partira tous les deux pendant deux, trois jours, d’accord ?

Je suis incapable de lui répondre. J’ai si peur de ce qu’il a pu se passer là bas. Went ne me dit pas tout, je le sais…

W : S’il te plait ma puce, ne pleure pas…
S : (essayant de cacher son trouble) Je ne veux pas que tu reste là-bas, il pourrait revenir…
W : Non, mon ange. Il le garde au minimum quarante huit heures.
S : Je veux venir maintenant, Went !
W : Non ! Écoutes moi, Sarah… dés demain je prend le premier avion, d’accord ? Je ne quitterais plus jamais.
S : (émettant un sanglot étouffé) D’accord….
W : Je t’aime bébé…
S : (souriant faiblement) Moi aussi…. Je t’aime si fort.
W : Je t’aime encore plus.
S : Non c’est moi.
W : (souriant légèrement) Je t’aime, ma puce. Repose toi, d’accord ? Je serais là demain.
S : Je t’embrasse.
W : Je te rappelle avant que j’aille me coucher.
S : D’accord.

Je raccroche et ferme les yeux un instant, le cœur serré par l’angoisse. Je connais Éric et je suis persuadée qu’il se vengera…. Mes larmes se mettent à couler abondamment sur mes joues. Je m’allonge sur le lit et serre l’oreiller de Went contre moi. Son odeur me rassure, m’apaise un peu. Il sera là demain….

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