Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Voilà^^ j'ai bien cru que je n'allais pas pouvoir vous poster la suite à cause d'un soucis de mon port USB
Merci encore pour vos coms les miss
bonne lecture à vous
Chapitre 21.
Nous sommes de retour au loft après un bon quart d’heure a attendre devant l’entrée, le temps que les agents de sécurités nous dégagent l’accès. Je remarquais bien que Went était en colère que les fans, surtout que ce Jacob et ses hommes faisaient encore le poirier devant cette grille. J’avais remis cette casquette et les lunettes de soleil afin de cacher mon identité, mais je suis certaine que certains m’avaient reconnus.
Je peste intérieurement tandis que nous montons à l’étage. La main de Sarah agrippe ma chemise, derrière moi. Je me retourne et l’enlace aussitôt avant d’ouvrir la porte où se trouve les autres.
W : (l’embrassant) Je t’aime, mon cœur. Tu es certaine qu’on y arrivera ?
S : Bien sur… John a raison, tu sais. Si nous voulons vivre pleinement notre relation, vaut mieux que personne ne sache pour l’instant. Tu ne peux pas nier que tu es un homme comme les autres, Wentworth ! Toutes les femmes te tournent autours et…
W : (l’interrompant en posant un doigt sur ses lèvres et la regardant avec intensité) Hé, c’est toi que je veux, Sarah. Depuis des années, j’ai gardé ce que je ressentais pour toi au fond de mon cœur. J’ai essayé des milliers de fois à refouler ses sentiments, me disant et me répétant à longueur de temps que nous n’étions que des amis, rien de plus.
S : (écartant sa main, émue) Went… je suis désolée. Si j’avais su que tes sentiments étaient réciproques aux miens, jamais… je n’aurais…
W : Sarah…
Je déglutis péniblement tandis que la douleur que j’éprouve au fond de moi refait surface. Cinq ans de ma vie que j’ai perdu avec cet Éric ! Nos regards s’accrochent et mon cœur bat à tout rompre, j’aime son regard quand cette petite étincelle qu’il a dans les yeux s’illumine….
Alors que je me penche vers elle afin de capturer ses lèvres, nous entendons un bruit étrange derrière la porte. Je lance un juron et m’écarte de Sarah qui sourit faiblement. Je la serre contre moi et savoure cette étreinte en fermant les yeux.
W : (murmurant, ému) Je t’aime plus que tout, Sarah Wayne Callies.
S : Moi aussi je t’aime, Went.
L’émotion dans sa voix me fait frémir de tout mon corps. Je la regarde et caresse sa joue tendrement. Je perçois une fine larme perlait au coin de son œil, mon cœur se serre. Je l’essuie de mon pouce, tandis que je ne quitte pas son regard. Nous restons là, devant la porte dans un silence apaisant mais aussi où toutes les questions se bousculent autour de nous. C’est alors que je l’embrasse doucement, mordillant sa lèvre inférieur avec douceur jusqu’à ce que la fougue m’emporte une fois encore.
Son baiser est doux et tendre à la fois. Je n’avais jamais ressentit toutes ses émotions qui me transpercent irréprochablement à chaque fois qu’il pose ses lèvres sur les miennes. Peu à peu, je souris contre sa bouche et finit par y répondre avec intensité. La passion de notre baiser est forte, insatiable tant nous éprouvons le besoin de l’approfondir encore et encore.
Soudain, la porte s’ouvre derrière nous. Je me détache lentement de ses lèvres en souriant, collant mon front au sien, satisfait de nos sentiments si forts que nous éprouvons l’un pour l’autre. Je la garde contre moi et je prend soudain conscience que ce n’est ni Dom, ni Amaury ou un autre de nos colocataires qui se tient nonchalant contre l’embrassure de la porte.
Je fronce les sourcils, constatant que Went reste silencieux alors qu’il fixe qui se trouve derrière moi. Je m’écarte de ses bras et écarquille les yeux avant de baisser le regard, incapable de soutenir le regard de Paul !
W : (se forçant à sourire) Paul, salut. J’allais t’appeler justement.
P : (mâchoires serrées) Je vois ça ! Dépêchez vous de rentrer.
La colère commence à monter en moi. Je n’aime pas la façon dont il nous parle ! Pour qui se prend t-il au juste ? Nous ne sommes pas des gamins, bordel ! Je lui fais comprendre ce que je pense de son attitude du regard et entre dans le salon avec Sarah. La porte claque derrière nous, faisant sursauter légèrement Sarah. Je la regarde, et elle me sourit faiblement. Me retournant vers Paul, Dom fait son apparition dans la pièce.
D : Hey vous revoilà vous deux. Alors ce rendez-vous ?
W : (fronçant les paupières) Ça été.
D : Super. Heu, Sarah ? Ce matin tu avais oublié ton portable, je l’ai posé dans la cuisine.
S : (surprise) Ho…
Je sens la pression de la main de Went dans la mienne tandis que le regard de Dom se fait insistant.
S : Merci.
P : C’est donc vrai ? Vous avez bien passé la nuit ici, hier soir ?
D : Je te l’ai répété cent fois, Paul !
P : C’est pas à toi que je pose la question Purcell !
D : (soufflant, irrité) Très bien, boss !
W : Oui mais attend un peu. Y’a un problème ?
P : Pas du tout. Je viens d’apprendre que vous êtes ensemble, c’est tout ! Je voudrais savoir une chose ? Vous comptiez vraiment me l’annoncer ?
W : (lançant un regard vers Dom) Oui mais je vois que les autres s’en sont chargés !
P : J’ai reçu un coup de fil de John ! Il m’a tout raconté dés que vous avez quitté son bureau.
W : (furieux) Sympa ! Il compte prévenir nos familles aussi ?
P : Pas la peine de t’énerver, Went….
S : (irrité par le comportement de Paul) Et toi, c’est pas la peine de nous faire la morale comme à des gosses ! Nous nous aimons, ça arrive à tous le monde de tomber amoureux, me*de ! Et si tu n’es pas content ou que tu trouves quelques choses à dire sur notre relation, et bien, pour ma part, j’en ai rien à foutre !
P : (écarquillant les yeux) Je peux savoir ce qui te prend de me parler sur son ton, Wayne Callies ?
W : Elle a raison, Paul. J’aime Sarah, elle m’aime ! Nous sommes obligés de rester discret sur notre relation de couple, ok, on accepte pour le bien de la série, et encore ! Je ne vois pas trop le rapport mais bon, disons que c’est pour l’image commerciale ! C’est ok, on a accepté tous les deux, mais je n’accepterais pas qu’on se fait pointer du doigt ou de recevoir la moral par toi ou qui que ce soit !
Voilà c’est dit ! J’en mourrais d’envie de mettre les choses au clair avec lui, j’espère qu’il a comprit ! Quoi que, j’aime pas ce silence qui règne dans la pièce et surtout pas son regard. J’estime beaucoup Paul, je le considère comme mon ami mais c’est aussi mon patron, et là le regard qui me foudroie ne présage rien de bon.
P : (poussant un soupir et croissant les bras) Vous avez terminé ?
W & S : (se lançant un regard) Oui.
P : Très bien, alors je vais faire vite et vous allez m’écouter sans m’interrompre, c’est comprit ?
W : (plissant les paupières, retenant sa colère) Vas-y, on t’écoute.
P : (s’installant dans un fauteuil face à eux) Très bien ! Première chose, je suis d’accord avec John ! En ce qui concerne votre relation, vous faites ce que vous voulez ici, dans ce loft ! Mais il est hors de question de vous affichez ailleurs, et ce pour votre bien. Deuxième chose, le tournage reprend dans deux semaines, aujourd’hui, nous partons pour N.Y ce soir. Ce que je vous ai dit auparavant vaut pour cette promo. Vous êtes que deux simples amis devant les caméras et les photos de promo, ainsi qu’à l’hôtel où nous serons. Pas la peine de faire cette tête, vous savez très bien qu’il y a toujours des paparazzis qui arrivent à s’introduire dans les hôtels, et je ne tiens pas à jouer le garde du corps. Tout ce que je vous dis, c’est pour vous, surtout pour toi Sarah ! Imagines les conséquences ? Ton retour dans l’équipe ne sera que mascarade aux yeux de beaucoup de monde. Et je ne tiens vraiment pas à me battre avec le grand patron en deuxième fois.
S : (furieuse) Je ne t’ai jamais rien demandé !
P : (faisant mine de n’avoir rien entendu) Troisième chose ! J’espère que vous resterez vigilants dés que vous mettez le pieds à l’extérieur. Ce ne sont que des chacals, et vous savez que vous êtes les proies. Et je me répète, en aucun cas vous quittez ce loft hors les week-end, comme convenu ! Je parle pour les nuits…
W : Tu…
P : (énervé d’être interrompus) Laisse moi finir !
W :…
P : ( d’une voix plus adoucis) Et la dernière chose… vous mériterez tous les deux un coups de pied au cul ! Depuis le temps que j’attendais de dépouiller John de ses satanés 100 dollars !
Nous restons stupéfaits par son auditoire. Surtout cette dernière phrase, pour ma part. je n’arrive pas trop à comprendre le sens de ses mots mais j’ai l’impression que ses lèvres s’étirent pour dessiner un sourire sur son visage. Je le fixe, indécise de la situation. Soudain, il éclate de rire et se relève.
P : (tendant la main vers Sarah, qui la prend afin de se relever à son tour) Je suis content pour vous deux.
W : (souriant en constatant que Sarah reste abasourdie) Merci, Paul. Mais la prochaine fois, évite de parier sur ce genre de chose !
P : Mais j’ai eu raison sur ce coup là ! (regardant Sarah) Viens là, toi.
Je souris tandis que le visage de Sarah commence à retrouver des couleurs alors que Paul la serre dans ses bras.
P : (murmurant) Je suis content pour toi, ma grande.
S : (s’écartant de Paul et rejoignant les bras de Went) Merci.
W : (baissant les yeux brillants d’émotions dans ceux de Sarah) Ça va ?
S : (hochant la tête) Oui, je pense.
P : Si vous avez un problème ou un truc à me dire, n’attendez plus, ok ?
W&S : Ok
P : Je sais que ce n’est pas évident de vivre ainsi mais vous réussirez bien à trouver comment faire. … Sarah ? Tu devrais peut être aller te préparer, l’avion part dans trois heures !
Elle fait signe de la tête et embrasse son cher et tendre son mes yeux. Je suis content pour eux, mais je ne peux pas faire comme si tout ce passera bien au dehors. Je les observe tous les deux et je dois dire qu’ils forment un très beau couple.
J’attend que Sarah est disparue de la pièce pour m’entretenir un instant avec Went. J’ai encore quelques petites choses à régler avec lui… en espérant qu’il restera calme….
Merci encore pour vos coms les miss
bonne lecture à vous
Chapitre 21.
Nous sommes de retour au loft après un bon quart d’heure a attendre devant l’entrée, le temps que les agents de sécurités nous dégagent l’accès. Je remarquais bien que Went était en colère que les fans, surtout que ce Jacob et ses hommes faisaient encore le poirier devant cette grille. J’avais remis cette casquette et les lunettes de soleil afin de cacher mon identité, mais je suis certaine que certains m’avaient reconnus.
Je peste intérieurement tandis que nous montons à l’étage. La main de Sarah agrippe ma chemise, derrière moi. Je me retourne et l’enlace aussitôt avant d’ouvrir la porte où se trouve les autres.
W : (l’embrassant) Je t’aime, mon cœur. Tu es certaine qu’on y arrivera ?
S : Bien sur… John a raison, tu sais. Si nous voulons vivre pleinement notre relation, vaut mieux que personne ne sache pour l’instant. Tu ne peux pas nier que tu es un homme comme les autres, Wentworth ! Toutes les femmes te tournent autours et…
W : (l’interrompant en posant un doigt sur ses lèvres et la regardant avec intensité) Hé, c’est toi que je veux, Sarah. Depuis des années, j’ai gardé ce que je ressentais pour toi au fond de mon cœur. J’ai essayé des milliers de fois à refouler ses sentiments, me disant et me répétant à longueur de temps que nous n’étions que des amis, rien de plus.
S : (écartant sa main, émue) Went… je suis désolée. Si j’avais su que tes sentiments étaient réciproques aux miens, jamais… je n’aurais…
W : Sarah…
Je déglutis péniblement tandis que la douleur que j’éprouve au fond de moi refait surface. Cinq ans de ma vie que j’ai perdu avec cet Éric ! Nos regards s’accrochent et mon cœur bat à tout rompre, j’aime son regard quand cette petite étincelle qu’il a dans les yeux s’illumine….
Alors que je me penche vers elle afin de capturer ses lèvres, nous entendons un bruit étrange derrière la porte. Je lance un juron et m’écarte de Sarah qui sourit faiblement. Je la serre contre moi et savoure cette étreinte en fermant les yeux.
W : (murmurant, ému) Je t’aime plus que tout, Sarah Wayne Callies.
S : Moi aussi je t’aime, Went.
L’émotion dans sa voix me fait frémir de tout mon corps. Je la regarde et caresse sa joue tendrement. Je perçois une fine larme perlait au coin de son œil, mon cœur se serre. Je l’essuie de mon pouce, tandis que je ne quitte pas son regard. Nous restons là, devant la porte dans un silence apaisant mais aussi où toutes les questions se bousculent autour de nous. C’est alors que je l’embrasse doucement, mordillant sa lèvre inférieur avec douceur jusqu’à ce que la fougue m’emporte une fois encore.
Son baiser est doux et tendre à la fois. Je n’avais jamais ressentit toutes ses émotions qui me transpercent irréprochablement à chaque fois qu’il pose ses lèvres sur les miennes. Peu à peu, je souris contre sa bouche et finit par y répondre avec intensité. La passion de notre baiser est forte, insatiable tant nous éprouvons le besoin de l’approfondir encore et encore.
Soudain, la porte s’ouvre derrière nous. Je me détache lentement de ses lèvres en souriant, collant mon front au sien, satisfait de nos sentiments si forts que nous éprouvons l’un pour l’autre. Je la garde contre moi et je prend soudain conscience que ce n’est ni Dom, ni Amaury ou un autre de nos colocataires qui se tient nonchalant contre l’embrassure de la porte.
Je fronce les sourcils, constatant que Went reste silencieux alors qu’il fixe qui se trouve derrière moi. Je m’écarte de ses bras et écarquille les yeux avant de baisser le regard, incapable de soutenir le regard de Paul !
W : (se forçant à sourire) Paul, salut. J’allais t’appeler justement.
P : (mâchoires serrées) Je vois ça ! Dépêchez vous de rentrer.
La colère commence à monter en moi. Je n’aime pas la façon dont il nous parle ! Pour qui se prend t-il au juste ? Nous ne sommes pas des gamins, bordel ! Je lui fais comprendre ce que je pense de son attitude du regard et entre dans le salon avec Sarah. La porte claque derrière nous, faisant sursauter légèrement Sarah. Je la regarde, et elle me sourit faiblement. Me retournant vers Paul, Dom fait son apparition dans la pièce.
D : Hey vous revoilà vous deux. Alors ce rendez-vous ?
W : (fronçant les paupières) Ça été.
D : Super. Heu, Sarah ? Ce matin tu avais oublié ton portable, je l’ai posé dans la cuisine.
S : (surprise) Ho…
Je sens la pression de la main de Went dans la mienne tandis que le regard de Dom se fait insistant.
S : Merci.
P : C’est donc vrai ? Vous avez bien passé la nuit ici, hier soir ?
D : Je te l’ai répété cent fois, Paul !
P : C’est pas à toi que je pose la question Purcell !
D : (soufflant, irrité) Très bien, boss !
W : Oui mais attend un peu. Y’a un problème ?
P : Pas du tout. Je viens d’apprendre que vous êtes ensemble, c’est tout ! Je voudrais savoir une chose ? Vous comptiez vraiment me l’annoncer ?
W : (lançant un regard vers Dom) Oui mais je vois que les autres s’en sont chargés !
P : J’ai reçu un coup de fil de John ! Il m’a tout raconté dés que vous avez quitté son bureau.
W : (furieux) Sympa ! Il compte prévenir nos familles aussi ?
P : Pas la peine de t’énerver, Went….
S : (irrité par le comportement de Paul) Et toi, c’est pas la peine de nous faire la morale comme à des gosses ! Nous nous aimons, ça arrive à tous le monde de tomber amoureux, me*de ! Et si tu n’es pas content ou que tu trouves quelques choses à dire sur notre relation, et bien, pour ma part, j’en ai rien à foutre !
P : (écarquillant les yeux) Je peux savoir ce qui te prend de me parler sur son ton, Wayne Callies ?
W : Elle a raison, Paul. J’aime Sarah, elle m’aime ! Nous sommes obligés de rester discret sur notre relation de couple, ok, on accepte pour le bien de la série, et encore ! Je ne vois pas trop le rapport mais bon, disons que c’est pour l’image commerciale ! C’est ok, on a accepté tous les deux, mais je n’accepterais pas qu’on se fait pointer du doigt ou de recevoir la moral par toi ou qui que ce soit !
Voilà c’est dit ! J’en mourrais d’envie de mettre les choses au clair avec lui, j’espère qu’il a comprit ! Quoi que, j’aime pas ce silence qui règne dans la pièce et surtout pas son regard. J’estime beaucoup Paul, je le considère comme mon ami mais c’est aussi mon patron, et là le regard qui me foudroie ne présage rien de bon.
P : (poussant un soupir et croissant les bras) Vous avez terminé ?
W & S : (se lançant un regard) Oui.
P : Très bien, alors je vais faire vite et vous allez m’écouter sans m’interrompre, c’est comprit ?
W : (plissant les paupières, retenant sa colère) Vas-y, on t’écoute.
P : (s’installant dans un fauteuil face à eux) Très bien ! Première chose, je suis d’accord avec John ! En ce qui concerne votre relation, vous faites ce que vous voulez ici, dans ce loft ! Mais il est hors de question de vous affichez ailleurs, et ce pour votre bien. Deuxième chose, le tournage reprend dans deux semaines, aujourd’hui, nous partons pour N.Y ce soir. Ce que je vous ai dit auparavant vaut pour cette promo. Vous êtes que deux simples amis devant les caméras et les photos de promo, ainsi qu’à l’hôtel où nous serons. Pas la peine de faire cette tête, vous savez très bien qu’il y a toujours des paparazzis qui arrivent à s’introduire dans les hôtels, et je ne tiens pas à jouer le garde du corps. Tout ce que je vous dis, c’est pour vous, surtout pour toi Sarah ! Imagines les conséquences ? Ton retour dans l’équipe ne sera que mascarade aux yeux de beaucoup de monde. Et je ne tiens vraiment pas à me battre avec le grand patron en deuxième fois.
S : (furieuse) Je ne t’ai jamais rien demandé !
P : (faisant mine de n’avoir rien entendu) Troisième chose ! J’espère que vous resterez vigilants dés que vous mettez le pieds à l’extérieur. Ce ne sont que des chacals, et vous savez que vous êtes les proies. Et je me répète, en aucun cas vous quittez ce loft hors les week-end, comme convenu ! Je parle pour les nuits…
W : Tu…
P : (énervé d’être interrompus) Laisse moi finir !
W :…
P : ( d’une voix plus adoucis) Et la dernière chose… vous mériterez tous les deux un coups de pied au cul ! Depuis le temps que j’attendais de dépouiller John de ses satanés 100 dollars !
Nous restons stupéfaits par son auditoire. Surtout cette dernière phrase, pour ma part. je n’arrive pas trop à comprendre le sens de ses mots mais j’ai l’impression que ses lèvres s’étirent pour dessiner un sourire sur son visage. Je le fixe, indécise de la situation. Soudain, il éclate de rire et se relève.
P : (tendant la main vers Sarah, qui la prend afin de se relever à son tour) Je suis content pour vous deux.
W : (souriant en constatant que Sarah reste abasourdie) Merci, Paul. Mais la prochaine fois, évite de parier sur ce genre de chose !
P : Mais j’ai eu raison sur ce coup là ! (regardant Sarah) Viens là, toi.
Je souris tandis que le visage de Sarah commence à retrouver des couleurs alors que Paul la serre dans ses bras.
P : (murmurant) Je suis content pour toi, ma grande.
S : (s’écartant de Paul et rejoignant les bras de Went) Merci.
W : (baissant les yeux brillants d’émotions dans ceux de Sarah) Ça va ?
S : (hochant la tête) Oui, je pense.
P : Si vous avez un problème ou un truc à me dire, n’attendez plus, ok ?
W&S : Ok
P : Je sais que ce n’est pas évident de vivre ainsi mais vous réussirez bien à trouver comment faire. … Sarah ? Tu devrais peut être aller te préparer, l’avion part dans trois heures !
Elle fait signe de la tête et embrasse son cher et tendre son mes yeux. Je suis content pour eux, mais je ne peux pas faire comme si tout ce passera bien au dehors. Je les observe tous les deux et je dois dire qu’ils forment un très beau couple.
J’attend que Sarah est disparue de la pièce pour m’entretenir un instant avec Went. J’ai encore quelques petites choses à régler avec lui… en espérant qu’il restera calme….
nol59- Déchiffre l'origami
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Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
rhooooooo le vilain paul, tin j'ai vraiment cru qu'il était énervé, et ca dernière phrase mdrr. c'est un comique le petit lol.
par contre la fin ca va pas, tu me stress, pourquoi tu veux que went ne reste aps calme, que va t-il lui sortir comme connerie encore le petit paul ?
La suite, j'en redemande pour moi et pour tink lool.
par contre la fin ca va pas, tu me stress, pourquoi tu veux que went ne reste aps calme, que va t-il lui sortir comme connerie encore le petit paul ?
La suite, j'en redemande pour moi et pour tink lool.
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Aller Paul on se détend mdr tout va bien, I love you, you love me , we all love each other mdr
Géniale cette suite, comme d'habitude... Vite vite la suite !! lol
Géniale cette suite, comme d'habitude... Vite vite la suite !! lol
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
quoi ? comment ? pas de suite ? choc choc choc....
je vais faire comme tink et réclammer deux suites lool
je vais faire comme tink et réclammer deux suites lool
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars a écrit:quoi ? comment ? pas de suite ? choc choc choc....
je vais faire comme tink et réclammer deux suites lool
olala je viens de rattraper cette suite (et oui mon chien avait encore bouffer les câbles )
quand Paul les a surpris, j'ai sentit que ça allait chauffer pour leurs fesses
chacun est légèrement énervé mais reste sur sa position et finalement Paul finit "son discours" avec de l'humour OUF
il a pas tord, ils sont des proies à paparazzis et chacun de leurs mouvements est vu à la loupe alors le moindre "faux pas " et les voilà à la une de tous les journaux à scandales
sinon qu'est ce que Paul veut encore à Went (le mettre en garde sur le fait qu'il ne doit pas jouer avec les sentiments de Sarah et que si il l'a fait souffrir, il aura affaire à lui )
bref je rejoins islemmedemars pour te demander deux voir trois suites
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci beaucoup les filles pour vos coms^^
voici la suite
bonne lecture
Chapitre 22.
Je connais Paul depuis un bon moment déjà pour comprendre à son regard qu’il a encore des choses à me dire. Un instant plus tard, tandis que Sarah est partie dans sa chambre pour préparer ses affaires, je m’installe à nouveau dans le canapé et observe Paul qui reprend sa place, face à moi. J’ai l’impression de me trouver dans un poste de police.
Je le fixe un instant et le regard d’un air interrogateur alors qu’il éclate de rire. Je pousse un soupir las, je sais qu’avec lui, c’est toujours ainsi lorsqu’il est nerveux.
P : Je dois te parler.
W : J’avais deviné. De quoi s’agit-il cette fois ? Tu vas me donner des tuyaux pour m’infiltrer sans être vu dans sa chambre d’hôtel ?
P : Went, je sais que c’est pas évident…
W : Non, tu ne sais pas justement. J’aime Sarah et comme je te l’ai dit avant que tu commences à parler à ton tour, je ne veux pas qu’on nous foute des bâtons dans les roues. On a assez perdu de temps, bordel !
P : Oui ben ça, vous en êtes les seuls responsables ! Et ce n’est pas moi qui vous mettrez des bâtons dans les roues, Went ! Je vous apprécie sincèrement tous les deux et je suis vraiment content que vous avez décidé de vous mettre ensemble. Mais tu ne peux pas nier le fait que cela aura des conséquences !
Je sais qu’il a raison. Il faudrait peut-être que j’arrête de m’obstiner à lui tenir tête. Poussant un soupir de lassitude, je le regarde un instant avant de lui répondre.
W : Je sais, tu as raison. On fera attention, Paul.
P : Très bien.
W : Qu’est-ce que tu voulais me dire au juste ?
P : En effet, je n’allais certainement pas te donner des plans pour passer inaperçu dans les couloirs qui mène à sa chambre cette nuit !
J’éclate de rire mais je me dis qu’on trouvera bien un moyen.
P : (riant en secouant la tête) Je vous ai réservé une suite, imbécile ! Mais personne ne doit être au courant, d’accord ?
W : (écarquillant les yeux, surpris) Tu nous as réservé une suite ?! Faut savoir ce que tu me dis…
P : Aucun membre du personnel n’a l’autorisation d’y pénétrer, mais ce n’est pas de ça dont je veux te parler, Wentworth.
Je fronce les sourcils, inquiet du ton sérieux qu’il vient d’employer.
P : J’ai contacté mon avocat, Jacques Stall.
W : (ravi) Ha, super et alors ? J’ai bien le droit de le foutre à la porte ?
P : (mine contrit) Oui, mais par la voix de la justice. Le pire, c’est qu’il faut plus de six mois de procédure, les autorités canadiennes étant ce qu’elles sont ! Désolé, mais si il ne veut pas se contenter de quitter les lieux sans problème, il faudra que tu prennes rendez-vous avec Jacques. Il est d’accord pour s’occuper de ton cas.
W : (outré) Tu plaisantes ? Cet enfoiré squatte la maison de Sarah et il faut que je passe par la justice pour qu’il quitte les lieux ?
P : Je sais que…
W : Il a menacé Sarah, Paul !
P : (livide) Quoi ? Répète ça ?
W : (fermant les yeux en respirant profondément) Il a menacé de tout brûler si elle envisageait de le faire partir de chez lui !
P : (passant une main nerveuse dans les cheveux noirs) Quel enfoiré ! Tu crois qu’il en ait capable ?
W : J’en sais rien, mais quand elle m’a raconté ce qu’il lui avait dit, elle était terrorisée, Paul. Et j’ai la désagréable sensation qu’il a bien fait plus de la menacer…
P : Attend une seconde… lui, il ne sait pas que cette maison t’appartient !
W : Non. Sarah ne lui a jamais dit.
P : Dans ce cas, nous pourrions peut-être lui faire savoir qu’il n’est pas en droit de vivre dans cette propriété !
Je le regarde, réfléchissant silencieusement.
W : J’avais l’intention de faire un saut là bas justement, dés que nous serions revenu de NYC.
P : (gratifiant d’un regard inquiet) J’avoue que je n’aime pas beaucoup cette idée mais je pense qu’effectivement, se serait la meilleur solution. Qui s’est, si il ne veut rien savoir, on pourra peut être user de ta célébrité avec la police locale !
W : On ?
P : Je viens avec toi !
W : …
A&D : (qui écouter à la porte) Nous aussi !
P : Qu’est-ce que vous faites là, tous les deux ?
D : On se demandait ce que tu voulais leur dire, concernant….
A : (riant) Leur liaison !
W : (regardant Paul) Tu vois que c’est pas aussi simple de vivre avec ses fous !
P : Encore une petite chose, Went.
W : (souriant) Oui ?
P : Juste de dire que si tu la fais souffrir, tu auras à faire à moi, ok ?
W : (d’une voix sérieuse) Je l’aime, je n’ai pas l’intention de la faire souffrir.
P : Je le sais…
J’entends des éclats de rire provenant du salon. Je souris en constatant le timbre de la voix de Went et celle d’Amaury qui a bien un rire spécial qui lui est unique. Alors que je termine de boucler mon sac, quelqu’un frappe à ma porte.
J : Hey salut miss ! Comment tu te sens ?
Da : On a bien dormis cette nuit ?
J : On veut tous les détails !
S : (ouvrant grand la bouche) Vous êtes folles ? Je ne vous dirais rien du tout !
J : (éclatant de rire) On rigole, Sarah !
Da : Toi peut être mais pas moi ! Je veux savoir si Went est un bon….
S : (s’exclamant d’une voix outrée) Danay !
Da : (souriant) Je plaisante.
Nous éclatons de rire toutes les trois avant de nous installer sur le lit. Les filles commencent à m’expliquer que Dom s’était évertué à dire à Paul pendant plus d’une demie heure avant notre arrivée que nous avions bien dormis au loft et non chez lui. Je prend conscience alors que ce sont de vrais amis, bien que je le savais auparavant mais de savoir qu’ils sont prêts à s’attirer les foudres de Paul Scheuring pour nous couvrir m’émeut particulièrement.
voici la suite
bonne lecture
Chapitre 22.
Je connais Paul depuis un bon moment déjà pour comprendre à son regard qu’il a encore des choses à me dire. Un instant plus tard, tandis que Sarah est partie dans sa chambre pour préparer ses affaires, je m’installe à nouveau dans le canapé et observe Paul qui reprend sa place, face à moi. J’ai l’impression de me trouver dans un poste de police.
Je le fixe un instant et le regard d’un air interrogateur alors qu’il éclate de rire. Je pousse un soupir las, je sais qu’avec lui, c’est toujours ainsi lorsqu’il est nerveux.
P : Je dois te parler.
W : J’avais deviné. De quoi s’agit-il cette fois ? Tu vas me donner des tuyaux pour m’infiltrer sans être vu dans sa chambre d’hôtel ?
P : Went, je sais que c’est pas évident…
W : Non, tu ne sais pas justement. J’aime Sarah et comme je te l’ai dit avant que tu commences à parler à ton tour, je ne veux pas qu’on nous foute des bâtons dans les roues. On a assez perdu de temps, bordel !
P : Oui ben ça, vous en êtes les seuls responsables ! Et ce n’est pas moi qui vous mettrez des bâtons dans les roues, Went ! Je vous apprécie sincèrement tous les deux et je suis vraiment content que vous avez décidé de vous mettre ensemble. Mais tu ne peux pas nier le fait que cela aura des conséquences !
Je sais qu’il a raison. Il faudrait peut-être que j’arrête de m’obstiner à lui tenir tête. Poussant un soupir de lassitude, je le regarde un instant avant de lui répondre.
W : Je sais, tu as raison. On fera attention, Paul.
P : Très bien.
W : Qu’est-ce que tu voulais me dire au juste ?
P : En effet, je n’allais certainement pas te donner des plans pour passer inaperçu dans les couloirs qui mène à sa chambre cette nuit !
J’éclate de rire mais je me dis qu’on trouvera bien un moyen.
P : (riant en secouant la tête) Je vous ai réservé une suite, imbécile ! Mais personne ne doit être au courant, d’accord ?
W : (écarquillant les yeux, surpris) Tu nous as réservé une suite ?! Faut savoir ce que tu me dis…
P : Aucun membre du personnel n’a l’autorisation d’y pénétrer, mais ce n’est pas de ça dont je veux te parler, Wentworth.
Je fronce les sourcils, inquiet du ton sérieux qu’il vient d’employer.
P : J’ai contacté mon avocat, Jacques Stall.
W : (ravi) Ha, super et alors ? J’ai bien le droit de le foutre à la porte ?
P : (mine contrit) Oui, mais par la voix de la justice. Le pire, c’est qu’il faut plus de six mois de procédure, les autorités canadiennes étant ce qu’elles sont ! Désolé, mais si il ne veut pas se contenter de quitter les lieux sans problème, il faudra que tu prennes rendez-vous avec Jacques. Il est d’accord pour s’occuper de ton cas.
W : (outré) Tu plaisantes ? Cet enfoiré squatte la maison de Sarah et il faut que je passe par la justice pour qu’il quitte les lieux ?
P : Je sais que…
W : Il a menacé Sarah, Paul !
P : (livide) Quoi ? Répète ça ?
W : (fermant les yeux en respirant profondément) Il a menacé de tout brûler si elle envisageait de le faire partir de chez lui !
P : (passant une main nerveuse dans les cheveux noirs) Quel enfoiré ! Tu crois qu’il en ait capable ?
W : J’en sais rien, mais quand elle m’a raconté ce qu’il lui avait dit, elle était terrorisée, Paul. Et j’ai la désagréable sensation qu’il a bien fait plus de la menacer…
P : Attend une seconde… lui, il ne sait pas que cette maison t’appartient !
W : Non. Sarah ne lui a jamais dit.
P : Dans ce cas, nous pourrions peut-être lui faire savoir qu’il n’est pas en droit de vivre dans cette propriété !
Je le regarde, réfléchissant silencieusement.
W : J’avais l’intention de faire un saut là bas justement, dés que nous serions revenu de NYC.
P : (gratifiant d’un regard inquiet) J’avoue que je n’aime pas beaucoup cette idée mais je pense qu’effectivement, se serait la meilleur solution. Qui s’est, si il ne veut rien savoir, on pourra peut être user de ta célébrité avec la police locale !
W : On ?
P : Je viens avec toi !
W : …
A&D : (qui écouter à la porte) Nous aussi !
P : Qu’est-ce que vous faites là, tous les deux ?
D : On se demandait ce que tu voulais leur dire, concernant….
A : (riant) Leur liaison !
W : (regardant Paul) Tu vois que c’est pas aussi simple de vivre avec ses fous !
P : Encore une petite chose, Went.
W : (souriant) Oui ?
P : Juste de dire que si tu la fais souffrir, tu auras à faire à moi, ok ?
W : (d’une voix sérieuse) Je l’aime, je n’ai pas l’intention de la faire souffrir.
P : Je le sais…
J’entends des éclats de rire provenant du salon. Je souris en constatant le timbre de la voix de Went et celle d’Amaury qui a bien un rire spécial qui lui est unique. Alors que je termine de boucler mon sac, quelqu’un frappe à ma porte.
J : Hey salut miss ! Comment tu te sens ?
Da : On a bien dormis cette nuit ?
J : On veut tous les détails !
S : (ouvrant grand la bouche) Vous êtes folles ? Je ne vous dirais rien du tout !
J : (éclatant de rire) On rigole, Sarah !
Da : Toi peut être mais pas moi ! Je veux savoir si Went est un bon….
S : (s’exclamant d’une voix outrée) Danay !
Da : (souriant) Je plaisante.
Nous éclatons de rire toutes les trois avant de nous installer sur le lit. Les filles commencent à m’expliquer que Dom s’était évertué à dire à Paul pendant plus d’une demie heure avant notre arrivée que nous avions bien dormis au loft et non chez lui. Je prend conscience alors que ce sont de vrais amis, bien que je le savais auparavant mais de savoir qu’ils sont prêts à s’attirer les foudres de Paul Scheuring pour nous couvrir m’émeut particulièrement.
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
le dernier chapitre entre filles qui veulent tous les détails
sinon le début avec Paul qui a réservé une suite pour nos deux tourtereaux
par contre la seule chose qui n'est pas humoristique dans cette suite, c'est cet enfoiré d'Eric, avec ce qu'il a osé dire à Sarah, il risque de leur faire à quel point c'est un méchant pas beau
et tout le monde va se pointer au Canada et le mettre dehors
allez encore au moins 3 suites ce soir
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Super suite !
C'est génial tout le monde est 100% supporter WeSa ! même Paul leur réserve une suite !
Toi aussi tu nous réserve une suite ? (ok ok jeu de mot bidon promis je recommencerais plus lol)
3 suites je trouve aussi que ça serait super !!!
C'est génial tout le monde est 100% supporter WeSa ! même Paul leur réserve une suite !
Toi aussi tu nous réserve une suite ? (ok ok jeu de mot bidon promis je recommencerais plus lol)
3 suites je trouve aussi que ça serait super !!!
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
oh cette suite est super, je me suis régalée. surtotu a la fin avec jodie, danay et Sarah lol.
sinon l'es de Sara, je veux bien l'etriper ce con..
est ce que le fait que Mike intervient dans l'histoire de la maison ne va pas attirer les paparazzi et a force leur faire découvrir sa relation avec sara...
bon ej veux la suite.
sinon l'es de Sara, je veux bien l'etriper ce con..
est ce que le fait que Mike intervient dans l'histoire de la maison ne va pas attirer les paparazzi et a force leur faire découvrir sa relation avec sara...
bon ej veux la suite.
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci les miss
voici la suite attention, scène
Chapitre 23.
Une heure plus tard, après le départ de Paul, qui nous retrouvera à l’aéroport dans la soirée, je vais retrouver Sarah dans sa chambre. Étonné qu’elle ne s’y trouve pas, je balaye la pièce du regard et constate qu’elle a déjà préparé sa valise. Je fais demi tour et tombe sur Jodie dans le couloir.
J : Si tu la cherches, elle est en train de terminer la valise de Dom.
W : (écarquillant les yeux) Quoi ?
J : Ben oui ! Tu sais le règlement stupide de la maison que vous avez…
W : (l’interrompant) Il n’est pas de moi, ce fichu règlement.
J : Oui bien sur, mais tu ne t’es pas abstenu de le signer !
Alors que je lève les yeux au plafond en signe d’exaspération, je vois Sarah qui sort de la chambre d’Amaury. Elle n’était pas censée être dans celle de Dominic ?
S : Voilà, j’ai terminé.
W : Je peux savoir ce que tu faisais dans la chambre de Nolasco ?
S : (l’enlaçant amoureusement par la taille tandis que Jodie s’éclipsa en pouffant de rire) Je faisais leurs valises.
W : (fronçant les yeux) Tu as fais celle de Dom en plus d’Amaury ?
S : (haussant les épaules) Ben oui. Je suis la seule femme de la maison à vous accompagner à NYC ! Ils m’ont laissé entendre que je devais m’occuper des préparatifs du départ.
W : (levant les yeux, exaspéré) Et toi, tu leur as obéis au doigt et à l’œil ?
S : (souriant, satisfaite qu’il prenne sa défense) Ne t’inquiète pas.
W : (la regardant d’un air soupçonneux) Qu’est-ce que tu mijotes ?
S : (prenant l’air offensée) Rien du tout ! Pour qui est-ce que tu me prends, Miller ?
W : (replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, dans un geste tendre) Pour celle que j’aime, pour celle que j’ai envie…qu’elle m’aide à préparer mes affaires….
Je l’embrasse doucement sur les lèvres, elle sourit alors que sans quitter sa bouche, je l’entraîne à l’intérieur de ma chambre. Une fois que nous y sommes parvenus, je referme la porte tandis qu’elle me pousse le dos contre celle-ci. Avec un sourire à couper le souffle, elle tourne la clé, nous enfermant à l’intérieur….
W : (murmure rauque, en l’embrassant dans le cou) Vous n’êtes définitivement pas une fille sage, Sarah Wayne Callies.
Je pouffe de rire à la phrase qu’il vient de murmurer mais m’arrête aussitôt alors qu’il relève la tête de mon cou et que mon regard croise le sien. Il est intense, faisant monter en moi une vague de désir enivrante. Lentement, il penche son visage vers le mien sans quitter mon regard. Effleurant mes lèvres des siennes avec douceur, il les taquine amoureusement. Je frissonne au contact de ses bras qui viennent entourer ma taille….
N’y pouvant plus, je dépose mes lèvres sur les siennes et l’embrasse avec passion, épousant ses gémissements rauques de plaisir qu’elle laisse échapper avec les miens. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et avec fougue, je la serre un peu plus fort dans mes bras.
Tandis que ses mains me caressent le bas du dos avec volupté, je m’écarte de ses lèvres, à bout de souffle. Je frémis au désir puissant que je peux lire dans ses yeux bleus.
J’ai une incroyable envie de lui faire l’amour… de revivre les moments intenses que nous avons vécus la nuit dernière…. Mais nous ne sommes pas seuls et avec les énergumènes qui logent près de nous, je doute qu’ils ne nous laissent tranquille.
W : (l’embrassant tendrement) Nous ne sommes pas seul, mon cœur….
S : Les filles s’occupent d’eux…
Je l’embrasse sur ce murmure tandis qu’il me soulève dans ses bras. Avec passion et fougue mêlée, il m’allonge sur le lit délicatement et s’écarte de mes lèvres.
Je l’embrasse d’une pluie de baiser sur son visage, descendant dans son cou. Je la sens frémir contre moi tandis que mes mains parcours les courbes de son corps. Avide la sentir sa peau sur la mienne, je remonte sa robe et glisse ma main sur sa jambes, remontant jusque ses hanches, son ventre…
D’un geste assuré, je pose ma main sur la ceinture de son pantalon que je déboucle rapidement. Il redresse la tête et me sourit avant de se lever pour l’enlever. Nous nous déshabillons rapidement, pressés d’unir nos corps.
Une fois nus dans les bras l’un de l’autre, je reprend possession de ses lèvres en la pressant dans mes bras.
W : (murmurant contre sa bouche) Je t’aime, Sarah.
S : (souriant, les yeux brillants de désir et d’émotion) Moi aussi, Went…
Elle s’allonge sur moi et dépose une pluie de baiser le long de mon torse, descendant vers mon nombril, m’arrachant des gémissements rauques de plaisir. Le souffle coupé, je la ramène à moi et l’embrasse avec passion. Voulant lui rendre ses caresses enivrantes, je nous fais rouler sur le lit et me retrouve sur elle. Avec tendresse, je pose mes lèvres dans son cou, traçant le chemin qui mène vers sa poitrine où je m’attarde longuement…
Le cœur battant la chamade, je me cambre sous ses caresses esquisses tandis qu’il reprend ma bouche avec fougue.
S : (murmurant) Went…
Je m’écarte légèrement pour mieux la regarder. Ses yeux brillent comme jamais, elle est si belle…
Lentement, je fonds en elle dans un gémissement rauque de plaisir. Je m’arrête un instant, savourant sa chaleur intense. Je lui souris amoureusement tandis qu’elle ferme les paupières. Je l’embrasse sur les lèvres alors que j’entame un doux va-et-vient. Bientôt, Sarah se tortille de plaisir, ondulant des hanches pour accompagner mes gestes.
Plantant mes ongles dans son dos, nous sommes agrippés l’un à l’autre comme si le sort du monde en dépendait. Nous allons ainsi au rythme jusqu’à l’inéducable et sublime explosion de plaisir….
Dans un dernier coup de rein, je me laisse submergé par un orgasme prodigieux. Nos corps rassasiés ne font plus qu’un…
Un long moment plus tard, et après avoir recouvrés nos esprits, je roule sur le dos, l’entraînant dans mes bras avant de l’embrasser tendrement sur les lèvres….
voici la suite attention, scène
Chapitre 23.
Une heure plus tard, après le départ de Paul, qui nous retrouvera à l’aéroport dans la soirée, je vais retrouver Sarah dans sa chambre. Étonné qu’elle ne s’y trouve pas, je balaye la pièce du regard et constate qu’elle a déjà préparé sa valise. Je fais demi tour et tombe sur Jodie dans le couloir.
J : Si tu la cherches, elle est en train de terminer la valise de Dom.
W : (écarquillant les yeux) Quoi ?
J : Ben oui ! Tu sais le règlement stupide de la maison que vous avez…
W : (l’interrompant) Il n’est pas de moi, ce fichu règlement.
J : Oui bien sur, mais tu ne t’es pas abstenu de le signer !
Alors que je lève les yeux au plafond en signe d’exaspération, je vois Sarah qui sort de la chambre d’Amaury. Elle n’était pas censée être dans celle de Dominic ?
S : Voilà, j’ai terminé.
W : Je peux savoir ce que tu faisais dans la chambre de Nolasco ?
S : (l’enlaçant amoureusement par la taille tandis que Jodie s’éclipsa en pouffant de rire) Je faisais leurs valises.
W : (fronçant les yeux) Tu as fais celle de Dom en plus d’Amaury ?
S : (haussant les épaules) Ben oui. Je suis la seule femme de la maison à vous accompagner à NYC ! Ils m’ont laissé entendre que je devais m’occuper des préparatifs du départ.
W : (levant les yeux, exaspéré) Et toi, tu leur as obéis au doigt et à l’œil ?
S : (souriant, satisfaite qu’il prenne sa défense) Ne t’inquiète pas.
W : (la regardant d’un air soupçonneux) Qu’est-ce que tu mijotes ?
S : (prenant l’air offensée) Rien du tout ! Pour qui est-ce que tu me prends, Miller ?
W : (replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, dans un geste tendre) Pour celle que j’aime, pour celle que j’ai envie…qu’elle m’aide à préparer mes affaires….
Je l’embrasse doucement sur les lèvres, elle sourit alors que sans quitter sa bouche, je l’entraîne à l’intérieur de ma chambre. Une fois que nous y sommes parvenus, je referme la porte tandis qu’elle me pousse le dos contre celle-ci. Avec un sourire à couper le souffle, elle tourne la clé, nous enfermant à l’intérieur….
W : (murmure rauque, en l’embrassant dans le cou) Vous n’êtes définitivement pas une fille sage, Sarah Wayne Callies.
Je pouffe de rire à la phrase qu’il vient de murmurer mais m’arrête aussitôt alors qu’il relève la tête de mon cou et que mon regard croise le sien. Il est intense, faisant monter en moi une vague de désir enivrante. Lentement, il penche son visage vers le mien sans quitter mon regard. Effleurant mes lèvres des siennes avec douceur, il les taquine amoureusement. Je frissonne au contact de ses bras qui viennent entourer ma taille….
N’y pouvant plus, je dépose mes lèvres sur les siennes et l’embrasse avec passion, épousant ses gémissements rauques de plaisir qu’elle laisse échapper avec les miens. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et avec fougue, je la serre un peu plus fort dans mes bras.
Tandis que ses mains me caressent le bas du dos avec volupté, je m’écarte de ses lèvres, à bout de souffle. Je frémis au désir puissant que je peux lire dans ses yeux bleus.
J’ai une incroyable envie de lui faire l’amour… de revivre les moments intenses que nous avons vécus la nuit dernière…. Mais nous ne sommes pas seuls et avec les énergumènes qui logent près de nous, je doute qu’ils ne nous laissent tranquille.
W : (l’embrassant tendrement) Nous ne sommes pas seul, mon cœur….
S : Les filles s’occupent d’eux…
Je l’embrasse sur ce murmure tandis qu’il me soulève dans ses bras. Avec passion et fougue mêlée, il m’allonge sur le lit délicatement et s’écarte de mes lèvres.
Je l’embrasse d’une pluie de baiser sur son visage, descendant dans son cou. Je la sens frémir contre moi tandis que mes mains parcours les courbes de son corps. Avide la sentir sa peau sur la mienne, je remonte sa robe et glisse ma main sur sa jambes, remontant jusque ses hanches, son ventre…
D’un geste assuré, je pose ma main sur la ceinture de son pantalon que je déboucle rapidement. Il redresse la tête et me sourit avant de se lever pour l’enlever. Nous nous déshabillons rapidement, pressés d’unir nos corps.
Une fois nus dans les bras l’un de l’autre, je reprend possession de ses lèvres en la pressant dans mes bras.
W : (murmurant contre sa bouche) Je t’aime, Sarah.
S : (souriant, les yeux brillants de désir et d’émotion) Moi aussi, Went…
Elle s’allonge sur moi et dépose une pluie de baiser le long de mon torse, descendant vers mon nombril, m’arrachant des gémissements rauques de plaisir. Le souffle coupé, je la ramène à moi et l’embrasse avec passion. Voulant lui rendre ses caresses enivrantes, je nous fais rouler sur le lit et me retrouve sur elle. Avec tendresse, je pose mes lèvres dans son cou, traçant le chemin qui mène vers sa poitrine où je m’attarde longuement…
Le cœur battant la chamade, je me cambre sous ses caresses esquisses tandis qu’il reprend ma bouche avec fougue.
S : (murmurant) Went…
Je m’écarte légèrement pour mieux la regarder. Ses yeux brillent comme jamais, elle est si belle…
Lentement, je fonds en elle dans un gémissement rauque de plaisir. Je m’arrête un instant, savourant sa chaleur intense. Je lui souris amoureusement tandis qu’elle ferme les paupières. Je l’embrasse sur les lèvres alors que j’entame un doux va-et-vient. Bientôt, Sarah se tortille de plaisir, ondulant des hanches pour accompagner mes gestes.
Plantant mes ongles dans son dos, nous sommes agrippés l’un à l’autre comme si le sort du monde en dépendait. Nous allons ainsi au rythme jusqu’à l’inéducable et sublime explosion de plaisir….
Dans un dernier coup de rein, je me laisse submergé par un orgasme prodigieux. Nos corps rassasiés ne font plus qu’un…
Un long moment plus tard, et après avoir recouvrés nos esprits, je roule sur le dos, l’entraînant dans mes bras avant de l’embrasser tendrement sur les lèvres….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
je viens de prendre une douche et bah faut que j'y retourne, mais cette fois bien froide
olala quelle scène
par contre qu'est ce que Sarah manigence, elle n'a pas fait les valises des garçons pour le plaisir, elle n'aurait pas omis certains vêtements essentiels
sinon pour la deuxième, je reveux bien du WESA (pas spécialement , je suis pas une obsédée quand même )
allez Angie
olala quelle scène
par contre qu'est ce que Sarah manigence, elle n'a pas fait les valises des garçons pour le plaisir, elle n'aurait pas omis certains vêtements essentiels
sinon pour la deuxième, je reveux bien du WESA (pas spécialement , je suis pas une obsédée quand même )
allez Angie
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Ils sont mignon et c'est vrai qu'ils sont pa sgatée entre Amaury, Dominic !!!
SUITE SUITE SUITE
SUITE SUITE SUITE
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci les filles pour vos coms
je suis
Bon allez, faudra patienter pour avoir vos réponses, voilà une tite suite mais chaud devant le congélo
Chapitre 24.
Cinq heures plus tard, je suis d’un pas rapide, Paul, Went, Dom et Amaury dans le terminal de l’aéroport. L’heure est venue pour Went et moi de nous comporter comme de simples amis. Je me sens si frustrée alors que je m’imaginais qu’il serait facile d’agir ainsi. Heureusement encore que nous avons eu un moment d’intimité tous les deux dans l’avion…
Arrivés dans le hall de l’aéroport, des voyageurs nous ont déjà repérés. Pestant intérieurement, je continue de marcher à côté de Dominic tandis que je remarque que Paul prend Sarah par le bras alors que nous approchons vers la sortie. Discrètement, je me retourne et lui lance un sourire complice.
Suivant les instructions que Paul nous a donné dans l’avion, Went et Dominic sont les premiers à partir avec des gardes du corps dans une première voiture tandis que nous attendons un peu à l’intérieur du hall. Des personnes profitent de notre arrêts pour réclamer des autographes. Amaury et moi acceptons avec plaisir jusqu’à ce que Paul nous intime de partir de suite.
Installés dans une voiture quelques minutes après, je pousse un long soupir de soulagement tandis qu’Amaury baille bruyamment. Amusé, je lui lance un regard alors que Paul le réprimande gentiment.
A : C’est à cause de ce qui nous ont servis dans l’avion, fit-il en posant une main sur son estomac.
S : (riant) Ne me dis pas que c’était trop lourd pour toi ! Tu as pris deux fois le plat principal et Went t’a donné son désert.
A : Oui, ben il est tard aussi…
P : Il n’est que vingt deux heures trente ! Je te croyais plus nocturne que ça, Amaury !
A : Sans doute, mais disons que c’est le décalage horaire, fit-il en baillant une fois de plus.
J’éclate de rire avec Paul. Pauvre Amaury, me dis-je alors que je regarde par la fenêtre de la voiture, le paysage défilé sous mes yeux. Je finis par fermer les paupières et repense à Went. Il me manque déjà ! Comment est-ce possible que je ressente un si grand vide quand il n’est pas à mes côtés ?
Irritée de ne trouver aucune autre réponse que celle que l’amour que j’éprouve pour lui, je pousse un nouveau soupir de lassitude tandis que la voiture s’arrête devant l’hôtel.
Dix minutes plus tard, nous nous trouvons dans un long couloir luxueux dont nous avons une chambre. Et seule ! Me répète Paul d’un ton amusé. Je l’aurais bien giflé par son ton moqueur mais il se penche vers mon visage et m’embrasse sur le front pour me souhaiter une bonne nuit. Je regarde Amaury rentrer dans une chambre un peu plus loin tandis que Paul s’approche de la tienne d’un pas pressé.
Le passe en main, je m’approche de ma chambre qui m’a été réservée. J’ouvre la porte de la chambre et pénètre à l’intérieur, en soufflant. Étonnée de constater que la chambre ressemble bien plus à une suite, je pose mon sac au pied du lit, imaginant un plan pour tenter de trouver la chambre de Went quand tous le monde serait endormit.
Je n’ai pas le temps d’inspecter du regard la pièce que je me sens raidir. Pétrifiée par un bruit léger que je viens d’entendre, je reste immobile, incapable de faire le moindre geste. C’est impossible qu’il puisse y avoir une souris ici, me répétais-je intérieurement en fermant les yeux.
Je frissonne malgré moi et lentement j’ouvre à nouveau les yeux et tend l’oreille. Je ne perçois plus aucun bruit, aucun froissement léger et me mit à rire doucement, rassurée qu’aucun rongeur puisse se trouver dans cette pièce.
Au même moment où j’allais me retourner, je pousse un cri de frayeur lorsque une main se pose sur mes lèvres, étouffant mon cri.
W : (murmurant) Chut, c’est moi….
S : (s’écartant vivement, une voix furieuse) Bon sang, Went ! T’es malade ! T’es complètement fou !
J’essaie de ne pas éclater de rire tandis qu’elle me martèle le torse de ses poings. J’avoue que c’est pas très malin de lui avoir fait peur ainsi mais j’ai pas pu m’en n’empêcher. Son regard me foudroie par la colère qu’elle ressent pour moi. Je lui agrippe ses poignets, tandis qu’elle cesse peu à peu de me donner des coups. Je l’attire contre moi, nos regards sont plongés dans l’un l’autre.
Contre tout attente, sa colère disparaît. Elle se hisse sur la pointe des pieds et m’embrasse fougueusement. Je répond à son baiser amoureusement. La libérant, je passe mes bras autour de sa taille alors qu’elle passe les siens autour de mon cou. Je peux encore sentir les battements affolés de son cœur contre mon torse.
Nos gémissement se mélangent. Nos désir pour l’un et l’autre sont enivrants, deviennent pressant par la fougue qui nous emportent. Sans un mot ni parole échangé, je la soulève dans mes bras et la plaque contre le mur sans cesser de l’embrasser.
Un long moment plus tard, nos corps couverts de sueur, je la resserre dans mes bras tandis que je la contemple sans cesser de caresser son dos du bout des doigts. Peu à peu, sa respiration reprend un rythme normal. Elle commence à s’endormir.
W : (l’embrassant sur le front, et murmurant) Je t’aime, mon ange.
je suis
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Bon allez, faudra patienter pour avoir vos réponses, voilà une tite suite mais chaud devant le congélo
Chapitre 24.
Cinq heures plus tard, je suis d’un pas rapide, Paul, Went, Dom et Amaury dans le terminal de l’aéroport. L’heure est venue pour Went et moi de nous comporter comme de simples amis. Je me sens si frustrée alors que je m’imaginais qu’il serait facile d’agir ainsi. Heureusement encore que nous avons eu un moment d’intimité tous les deux dans l’avion…
Arrivés dans le hall de l’aéroport, des voyageurs nous ont déjà repérés. Pestant intérieurement, je continue de marcher à côté de Dominic tandis que je remarque que Paul prend Sarah par le bras alors que nous approchons vers la sortie. Discrètement, je me retourne et lui lance un sourire complice.
Suivant les instructions que Paul nous a donné dans l’avion, Went et Dominic sont les premiers à partir avec des gardes du corps dans une première voiture tandis que nous attendons un peu à l’intérieur du hall. Des personnes profitent de notre arrêts pour réclamer des autographes. Amaury et moi acceptons avec plaisir jusqu’à ce que Paul nous intime de partir de suite.
Installés dans une voiture quelques minutes après, je pousse un long soupir de soulagement tandis qu’Amaury baille bruyamment. Amusé, je lui lance un regard alors que Paul le réprimande gentiment.
A : C’est à cause de ce qui nous ont servis dans l’avion, fit-il en posant une main sur son estomac.
S : (riant) Ne me dis pas que c’était trop lourd pour toi ! Tu as pris deux fois le plat principal et Went t’a donné son désert.
A : Oui, ben il est tard aussi…
P : Il n’est que vingt deux heures trente ! Je te croyais plus nocturne que ça, Amaury !
A : Sans doute, mais disons que c’est le décalage horaire, fit-il en baillant une fois de plus.
J’éclate de rire avec Paul. Pauvre Amaury, me dis-je alors que je regarde par la fenêtre de la voiture, le paysage défilé sous mes yeux. Je finis par fermer les paupières et repense à Went. Il me manque déjà ! Comment est-ce possible que je ressente un si grand vide quand il n’est pas à mes côtés ?
Irritée de ne trouver aucune autre réponse que celle que l’amour que j’éprouve pour lui, je pousse un nouveau soupir de lassitude tandis que la voiture s’arrête devant l’hôtel.
Dix minutes plus tard, nous nous trouvons dans un long couloir luxueux dont nous avons une chambre. Et seule ! Me répète Paul d’un ton amusé. Je l’aurais bien giflé par son ton moqueur mais il se penche vers mon visage et m’embrasse sur le front pour me souhaiter une bonne nuit. Je regarde Amaury rentrer dans une chambre un peu plus loin tandis que Paul s’approche de la tienne d’un pas pressé.
Le passe en main, je m’approche de ma chambre qui m’a été réservée. J’ouvre la porte de la chambre et pénètre à l’intérieur, en soufflant. Étonnée de constater que la chambre ressemble bien plus à une suite, je pose mon sac au pied du lit, imaginant un plan pour tenter de trouver la chambre de Went quand tous le monde serait endormit.
Je n’ai pas le temps d’inspecter du regard la pièce que je me sens raidir. Pétrifiée par un bruit léger que je viens d’entendre, je reste immobile, incapable de faire le moindre geste. C’est impossible qu’il puisse y avoir une souris ici, me répétais-je intérieurement en fermant les yeux.
Je frissonne malgré moi et lentement j’ouvre à nouveau les yeux et tend l’oreille. Je ne perçois plus aucun bruit, aucun froissement léger et me mit à rire doucement, rassurée qu’aucun rongeur puisse se trouver dans cette pièce.
Au même moment où j’allais me retourner, je pousse un cri de frayeur lorsque une main se pose sur mes lèvres, étouffant mon cri.
W : (murmurant) Chut, c’est moi….
S : (s’écartant vivement, une voix furieuse) Bon sang, Went ! T’es malade ! T’es complètement fou !
J’essaie de ne pas éclater de rire tandis qu’elle me martèle le torse de ses poings. J’avoue que c’est pas très malin de lui avoir fait peur ainsi mais j’ai pas pu m’en n’empêcher. Son regard me foudroie par la colère qu’elle ressent pour moi. Je lui agrippe ses poignets, tandis qu’elle cesse peu à peu de me donner des coups. Je l’attire contre moi, nos regards sont plongés dans l’un l’autre.
Contre tout attente, sa colère disparaît. Elle se hisse sur la pointe des pieds et m’embrasse fougueusement. Je répond à son baiser amoureusement. La libérant, je passe mes bras autour de sa taille alors qu’elle passe les siens autour de mon cou. Je peux encore sentir les battements affolés de son cœur contre mon torse.
Nos gémissement se mélangent. Nos désir pour l’un et l’autre sont enivrants, deviennent pressant par la fougue qui nous emportent. Sans un mot ni parole échangé, je la soulève dans mes bras et la plaque contre le mur sans cesser de l’embrasser.
Un long moment plus tard, nos corps couverts de sueur, je la resserre dans mes bras tandis que je la contemple sans cesser de caresser son dos du bout des doigts. Peu à peu, sa respiration reprend un rythme normal. Elle commence à s’endormir.
W : (l’embrassant sur le front, et murmurant) Je t’aime, mon ange.
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Went la petite souris
sinon un moment d'intimité dans l'avion, NON ils ont pas osé
Paul n'avait pas dit à Sarah qu'avec Went ils auraient une suite
et bah les revoilà très "amoureux"
si je te demande une troisième ça sera possible
sinon un moment d'intimité dans l'avion, NON ils ont pas osé
Paul n'avait pas dit à Sarah qu'avec Went ils auraient une suite
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tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Ah ouais quand même mdr !
Super ces suites !!!
Vite vite la prochaine lool
Super ces suites !!!
Vite vite la prochaine lool
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci pour vos coms mes chéries
non pas deux, sorry, peut être 2 à Jusqu'à la mort si tu es sage mon HarcelTink
Bon les miss, je me dois de vous prévenir que la bassine ne sera de trop
bonne lecture à vous toutes mes chéries j'ai déjà chaud moi^^
http://www.deezer.com/track/89552
Chapitre 25.
J’ouvre lentement les yeux et m’étire longuement avant de resserrer le corps de ma Sarah endormie contre moi. Je l’embrasse doucement sur le front et caresse du bout des doigts son bras avant de descendre d’une lenteur délibérée jusqu’à sa main. Elle est magnifique….Le drap a glissé sur ses fesses, elle dort sur le ventre, je me redresse et délicatement je pose mes lèvres dans son cou. C’est incroyable le désir qui m’enivre alors que j’ai l’impression qu’il a à peine une heure que l’on a fait l’amour.
Je lève mon regard vers l’horloge qui est accroché au mur et je constate en soufflant qu’il est déjà huit heures. Nous n’avons plus qu’une petite heure avant de masquer notre relation, notre amour que nous éprouvons l’un pour l’autre. Je me concentre sur elle, sur son visage, son corps, sa peau douce et satinée que je ne me lasserais jamais de caresser.
Nous nous sommes aimés toute la nuit… jusqu’à l’aube. Et pourtant, mon désir est toujours aussi insatisfait, j’ai toujours envie d’elle, le besoin de me fondre en elle. J’ai trouvé ma place que je préserverais plus que tout, à jamais. Sarah Wayne Callies, la femme que j’ai tant espéré, tant désiré…
Je souris aux souvenirs douloureux du passé, à présent. Moi, qui envié l’homme qui l’a possédé auparavant ! Je sais qu’il n’a jamais éprouvé ce que nous ressentons dans nos étreintes, quand nous faisons qu’un. Je t’aime, mon cœur lui dis-je dans un murmure.
Bien que dans un peu moins d’une heure, nous devrons faire semblant, de jouer la comédie ! J’ai encore besoin d’elle, de ces moments intimes, de notre nuit torride que nous avons partagé, avant de faire semblant…
Je reprend mes caresses, mes baisers… Doucement, mes lèvres s’échouent sur sa nuque, et descendent dans une pluie de baisers le long de sa colonne vertébrale. Je sens sa peau frissonner sous la caresse de ma langue, de mes lèvres. Elle commence à bouger lentement, je remonte sur son corps et dépose un baiser sur ses lèvres. Elle clignote des yeux et pousse un grognement de protestation.
W : (murmure rauque) Bonjour, mon cœur…
S : (encore endormie) Hum…
Il continue de m’embrasser tandis que je me demande comment je peux encore bouger après cette nuit ? Cette merveilleuse nuit que nous avons passé tous les deux à nous aimer, à nous donner l’un à l’autre comme jamais je ne m’étais donnée….
Aucune pudeur entre nous n’avez lieu cette nuit, dans cette chambre d’hôtel. Corps et âmes, nous nous avons unis par toute façon possible. Je lève un bras lentement et le laisse retomber lourdement dans son dos. Ses lèvres effleurent les miennes, sensuellement, enivrantes.
Je souris de son insatiabilité étonnante mais me laisse allé à la magie de cette bouche contre la mienne, si tentante. De son corps nu contre le mien où je sens son désir contre ma cuisse.
Je lui donne un baiser léger mais il en veut plus, encore plus que je lui donne volontiers.
J’entrouvre les lèvres et sa langue s’insinue dans ma bouche. Nos langues se touchent, s’enroulent jusqu’à ce qu’elles combattent fougueusement entre elles tandis que nos corps se serrent davantage…
Je la presse contre moi sans cesse de fouiller les moindres recoins de sa bouche parfaire humide et chaude qui m’enivre. Un gémissement de pur plaisir s’élève dans la pièce. Ni l’un ni l’autre ne cherche à savoir de qui il émane. Nous sommes tous deux brûlants de désir. Ma main la caresse, redécouvre chaque centimètres de sa peau. Elle est toujours sur le ventre et je profite de sa position vulnérable pour passer une jambe au dessus de son corps. Elle tente de se redresser, mais n’insiste pas alors que je l’embrasse sensuellement dans son cou, et lui maintient les poignets d’une main. Elle sourit…
Moi qui pensez que nous pourrions plus apprendre l’un de l’autre après cette nuit, je me suis bien trompée… agréablement bien trompée, je dois l’admettre. Jamais je n’avais éprouvé de telles sensations. Jamais aucun hommes ne m’avait fait vibrer comme Went le fait. Mon corps m’est devenu sensible à tout effleurement, à toutes caresses de ses mains douces et expertes…et érotiques.
Je la sens se crisper sous moi tandis que j’écarte ses jambes. J’insinue un doigt lentement dans sa chaire humide et moite de désir. Je l’embrasse pour se laisser aller dans mes bras. Je n’ai jamais fais l’amour ainsi, mais avec Sarah, la femme que j’aime de toute mon âme, je n’ai aucune limite, aucune barrière à l’aimer d’une passion enivrante.
Il continue à me caresser de ses doigts avec une lenteur esquisse qui me submerge. Une vague est sur le point de m’emporter, extrême violente et sensuelle. J’essaie une fois de plus de me retourner, l’envie de le toucher à mon tour mais il ne m’en laisse pas le temps.
W : (lui murmurant dans le creux de son oreille) Ne bouge pas, mon cœur… j’ai envie de toi…
Je n’en peux plus, il retire sa main de mon entrejambe et dans un gémissement rauque, il me pénètre. Je ferme les yeux, incapable de décrire le flot d’émotion qui me bouleverse. Mon sang est figé dans mes veines, brûlant, irradiant toutes mes tensions nerveuses. Il s’est stoppé, me laissant à l’agonie, dans une torture impitoyable des sens….
S : (suppliant) Went…
Je souris alors que j’essaie de me contenir. Je me retire lentement, je regarde son visage sur le côté afin de capturer son expression. Satisfait, je replonge de nouveau en elle. Nous crions presque tous les deux et j’entame de longs et puissants va-et-vient. Elle se cambre afin que je m’enfonce plus profondément encore.
Je continue d’aller et venir, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je ferme les yeux, jusqu’à ce que je prend mon temps et dans un grognement majestueux, je lui donne un dernier coup de rein, plus profond que les précédents….
Le point de non retour est arrivé dans une vague de plaisir où nous nous laissons aller, emmener plus loin que je n’avais jamais été. Son souffle saccadé m’accompagne dans les abîmes de plaisir bouleversants…
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Chapitre 25.
J’ouvre lentement les yeux et m’étire longuement avant de resserrer le corps de ma Sarah endormie contre moi. Je l’embrasse doucement sur le front et caresse du bout des doigts son bras avant de descendre d’une lenteur délibérée jusqu’à sa main. Elle est magnifique….Le drap a glissé sur ses fesses, elle dort sur le ventre, je me redresse et délicatement je pose mes lèvres dans son cou. C’est incroyable le désir qui m’enivre alors que j’ai l’impression qu’il a à peine une heure que l’on a fait l’amour.
Je lève mon regard vers l’horloge qui est accroché au mur et je constate en soufflant qu’il est déjà huit heures. Nous n’avons plus qu’une petite heure avant de masquer notre relation, notre amour que nous éprouvons l’un pour l’autre. Je me concentre sur elle, sur son visage, son corps, sa peau douce et satinée que je ne me lasserais jamais de caresser.
Nous nous sommes aimés toute la nuit… jusqu’à l’aube. Et pourtant, mon désir est toujours aussi insatisfait, j’ai toujours envie d’elle, le besoin de me fondre en elle. J’ai trouvé ma place que je préserverais plus que tout, à jamais. Sarah Wayne Callies, la femme que j’ai tant espéré, tant désiré…
Je souris aux souvenirs douloureux du passé, à présent. Moi, qui envié l’homme qui l’a possédé auparavant ! Je sais qu’il n’a jamais éprouvé ce que nous ressentons dans nos étreintes, quand nous faisons qu’un. Je t’aime, mon cœur lui dis-je dans un murmure.
Bien que dans un peu moins d’une heure, nous devrons faire semblant, de jouer la comédie ! J’ai encore besoin d’elle, de ces moments intimes, de notre nuit torride que nous avons partagé, avant de faire semblant…
Je reprend mes caresses, mes baisers… Doucement, mes lèvres s’échouent sur sa nuque, et descendent dans une pluie de baisers le long de sa colonne vertébrale. Je sens sa peau frissonner sous la caresse de ma langue, de mes lèvres. Elle commence à bouger lentement, je remonte sur son corps et dépose un baiser sur ses lèvres. Elle clignote des yeux et pousse un grognement de protestation.
W : (murmure rauque) Bonjour, mon cœur…
S : (encore endormie) Hum…
Il continue de m’embrasser tandis que je me demande comment je peux encore bouger après cette nuit ? Cette merveilleuse nuit que nous avons passé tous les deux à nous aimer, à nous donner l’un à l’autre comme jamais je ne m’étais donnée….
Aucune pudeur entre nous n’avez lieu cette nuit, dans cette chambre d’hôtel. Corps et âmes, nous nous avons unis par toute façon possible. Je lève un bras lentement et le laisse retomber lourdement dans son dos. Ses lèvres effleurent les miennes, sensuellement, enivrantes.
Je souris de son insatiabilité étonnante mais me laisse allé à la magie de cette bouche contre la mienne, si tentante. De son corps nu contre le mien où je sens son désir contre ma cuisse.
Je lui donne un baiser léger mais il en veut plus, encore plus que je lui donne volontiers.
J’entrouvre les lèvres et sa langue s’insinue dans ma bouche. Nos langues se touchent, s’enroulent jusqu’à ce qu’elles combattent fougueusement entre elles tandis que nos corps se serrent davantage…
Je la presse contre moi sans cesse de fouiller les moindres recoins de sa bouche parfaire humide et chaude qui m’enivre. Un gémissement de pur plaisir s’élève dans la pièce. Ni l’un ni l’autre ne cherche à savoir de qui il émane. Nous sommes tous deux brûlants de désir. Ma main la caresse, redécouvre chaque centimètres de sa peau. Elle est toujours sur le ventre et je profite de sa position vulnérable pour passer une jambe au dessus de son corps. Elle tente de se redresser, mais n’insiste pas alors que je l’embrasse sensuellement dans son cou, et lui maintient les poignets d’une main. Elle sourit…
Moi qui pensez que nous pourrions plus apprendre l’un de l’autre après cette nuit, je me suis bien trompée… agréablement bien trompée, je dois l’admettre. Jamais je n’avais éprouvé de telles sensations. Jamais aucun hommes ne m’avait fait vibrer comme Went le fait. Mon corps m’est devenu sensible à tout effleurement, à toutes caresses de ses mains douces et expertes…et érotiques.
Je la sens se crisper sous moi tandis que j’écarte ses jambes. J’insinue un doigt lentement dans sa chaire humide et moite de désir. Je l’embrasse pour se laisser aller dans mes bras. Je n’ai jamais fais l’amour ainsi, mais avec Sarah, la femme que j’aime de toute mon âme, je n’ai aucune limite, aucune barrière à l’aimer d’une passion enivrante.
Il continue à me caresser de ses doigts avec une lenteur esquisse qui me submerge. Une vague est sur le point de m’emporter, extrême violente et sensuelle. J’essaie une fois de plus de me retourner, l’envie de le toucher à mon tour mais il ne m’en laisse pas le temps.
W : (lui murmurant dans le creux de son oreille) Ne bouge pas, mon cœur… j’ai envie de toi…
Je n’en peux plus, il retire sa main de mon entrejambe et dans un gémissement rauque, il me pénètre. Je ferme les yeux, incapable de décrire le flot d’émotion qui me bouleverse. Mon sang est figé dans mes veines, brûlant, irradiant toutes mes tensions nerveuses. Il s’est stoppé, me laissant à l’agonie, dans une torture impitoyable des sens….
S : (suppliant) Went…
Je souris alors que j’essaie de me contenir. Je me retire lentement, je regarde son visage sur le côté afin de capturer son expression. Satisfait, je replonge de nouveau en elle. Nous crions presque tous les deux et j’entame de longs et puissants va-et-vient. Elle se cambre afin que je m’enfonce plus profondément encore.
Je continue d’aller et venir, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je ferme les yeux, jusqu’à ce que je prend mon temps et dans un grognement majestueux, je lui donne un dernier coup de rein, plus profond que les précédents….
Le point de non retour est arrivé dans une vague de plaisir où nous nous laissons aller, emmener plus loin que je n’avais jamais été. Son souffle saccadé m’accompagne dans les abîmes de plaisir bouleversants…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
super suite et très mais ça me dérange pas
toujours aussi insatiable, mais c'est Went qui a commencé
il a une façon très de réveiller la femme de sa vie ce qui n'est pas pour lui déplaire
sinon la bassine n'a pas été suffisante
allez je suis très sage alors une suite pour tes deux fics
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
j'ai rattrapé 3 suites... et quelles suitessssssss
bon je ne peux rien dire la.. faut que je reprenne mes esprits, ils étaient troppppppp à fond dans le
- Spoiler:
- que du
bon je ne peux rien dire la.. faut que je reprenne mes esprits, ils étaient troppppppp à fond dans le
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Merci les filles, voici la suite, (avec des photos mdr. )
bonne lecture les miss biz
Chapitre 26.
Ses yeux sont encore gorgés d’amour, je l’embrasse sur les lèvres avec passion, mais m’écarte en souriant. Il faut vraiment que je rejoins Paul, il va nous tuer si nous sommes en retard.
W : (l’embrassant de petits baisers) Allez, ma puce, il faut que j’y aille. Tu me rejoins juste après, d’accord ?
S : (poussant un soupir) Hum… je t’aime. Tu vas trop me manquer…
W : (riant en l’enlaçant dans ses bras) Toi aussi, Sarah tu vas me manquer. Ça ira ?
S : (hochant la tête) Oui, je pense… allez, file.
Je me détache de ses bras en souriant, mais fut incapable de faire un pas vers la porte. Je me retourne vers elle, et la trouve sublime dans cette robe.
S : (agacée de son regard intense) Went ! File de là !
W : (revenant sur ses pas) Encore un baiser.
Je souris de son insatiabilité et lui tend les lèvres qu’il s’empresse de posséder avec fougue. Nous nous embrassons longuement, pressant nos corps l’un contre l’autre, oubliant presque les autres qui doivent déjà nous attendre. Ho mon dieu, c’est alors que je me souviens que je risque de m’attirer les foudres de Dominic et Amaury ! Je m’écarte de Went, pantelante de cette étreinte fulgurante et le repousse jusqu’à la porte tandis qu’il éclate de rire.
W : (ouvrant la porte et se retournant vers Sarah pour un léger baiser) Je t’aime, tu nous rejoins dans cinq minutes ?
S : Oui, mon cœur. A tout à l’heure…
Je referme la porte et reste un instant pensif dans le couloir. Poussant un long soupir, je me dépêche de descendre rejoindre Paul et les autres dans le salon de l’hôtel. Il y a déjà pas mal de monde, je salue des personnes qui essaie de m’arrêter pour discuter, mais je vois Paul qui me fait un grand geste de venir le rejoindre tout de suite. Je m’excuse sur mon passage et le rejoins deux minutes plus tard.]
W : Salut.
A : Tiens, Went ! Bien dormis ?
W : Oui, et toi !
A : (l’air énervé) Oui, la nuit a été super ! Où est Sarah ?
W : Heu…
D : (arrivant vers Went, et passant son bras autour de ses épaules) Oui, où est notre chère Wayne Callies ?
W : (surpris, et d’un air interrogateur) Qu’est-ce que vous lui voulez ?
D : On doit lui parler !
P : (les interrompant) Bon ça suffit, vous venez !
W : C’est pas vrai !
P : (fronçant les yeux et regardant dans la direction que Went regardait furieusement) Quoi ? Qu’est-ce qui fout là celui là ?
A : De qui vous parlez ?
W : Jacob est ici…
D : (énervé) Où ça ?
P : Dom, va pas t’en mêler ! Il a le droit d’être là à mon avis.
W : Parce que tu crois que je vais lui sourire pour qu’il prenne des photos ?
P : T’a plutôt intérêt, oui ! On est ici pour la promo, je veux d’incartade, c’est comprit ?
Je pousse un soupir exaspéré, mais le regard furieux et autoritaire de Paul me fait comprendre de ne pas insister. J’espère que Sarah ne va pas l’apercevoir en tout cas…
Alors que Paul nous présente des journalistes qui ont été autorisé par la production, Sarah arrive sous les regards médusés des hommes qui se tiennent près de nous. Aussitôt, elle fut entourée par les caméras et les questions l’assaillirent. Je l’observe et m’approche discrètement d’elle mais un bras me retient. Tournant la tête, je découvre Paul qui sourit, amusé et me dit de rester où je me trouve.
Cinq minutes plus tard, Sarah arrive enfin près de nous et nous embrasse sur la joue. Je m’interroge aux regards furieux de Dominic qui là envers elle. Dés qu’elle s’approche de lui, un grand sourire aux lèvres, je remarque bien, qu’elle essaie de ne pas éclater de rire.
P : (s’adressant à Dominic) Qu’est-ce qui te prend ?
D : (prenant Sarah par le bras) Viens, je dois te parler.
Je soupire de soulagement alors que Paul ordonne à Dominic que nous devons le suivre pour la séance photo.
D : (murmurant à Sarah) Tu vas me le payer, Sarah !
S : (prenant l’air innocente) Mais de quoi tu parles ? Qu’est-ce que je t’ai fais à la fin !
D : Oui, c’est ça, joue à l’innocente…
S : (s’arrêtant, pétrifiée) Qu’est-ce…
D : (resserrant sa main autour de son bras) Quoi ?
S : …
D : (fixant Jacob qui souriait, l’air moqueur à Sarah) Ne t’inquiéte pas, il ne t’approchera pas.
S : Il me dégoutte.
D : (voix adoucie pour la rassurer) Il est amoureux de toi, celui là, j’ai l’impression…
S : Ne plaisant pas, Dom…
D : (remarquant la pâleur de son visage) Tu veux que je vais lui botter les fesses ?
Je tourne mon visage vers lui, le sourire de ce paparazzi me donne la nausée. Dominic m’a l’air inquiet, je lui souris et lui dit que nous devrions rejoindre les autres. Son bras passe autour de la taille, et il me dit dans le creux de l’oreille que je ne paierais rien pour attendre d’avoir omis de glisser ses vêtements dans sa valise. J’éclate de rire mais je fus stoppé alors que j’aperçois Jacob devant nous.
D : (percevant le trouble de Sarah) Hé !
S : (déglutissant péniblement)…
D : (s’adressant à Jacob qui les fixer étrangement, plein de sous entendu) Purcell ! Vous avez meilleur goût en ce qui concerne la gente féline !
Mais il est vraiment malade celui là ! Je lance un regard vers Dom et je constate qu’il est furieux comme jamais. Son bras se détache de ma taille, et il fait un pas en avant vers Jacob qui continue à afficher un sourire sarcastique. Je retiens Dom par le bras, et je remarque que ses muscles sont tendus à l’extrême.
S : Ne fait pas ça, c’Est-ce qu’il attend, Dom… vient…
D : Toi, si je te vois dans les parages, tu ferais mieux de filer en courant avant que je te brise le cou !
S : Dom !
Une fois à l’extérieur, Dom m’entraîne vers l’estrade où nous sommes attendus pour une séance photo. Il est énervé par l’altercation qui vient de se passer. Et ça n’est pas prêt de s’arranger me dis-je, constatant que Jacob se place avec les journalistes qui nous attends. C’est pas vrai, manqué plus que cet imbécile !
D : (s’adressant à Paul) Il faut que je te parle !
Je me retourne vers Dominic, il est rouge de colère. Went et Amaury sont à côté de moi et les interrogent du regard.
P : Qu’est-ce qui se passe ?
D : (se tournant vers Sarah avant de les regarder tour à tour) Si tu ne fais pas dégager ce Jacob d’ici, ne comptes pas sur moi pour faire ta promo !
P : (levant une main, irrité) Ho, tu vas te calmer, je te rappelle que tu es payé pour faire cette promo ! Qu’est-ce qui te prend ?
W : (s’approchant de Sarah et lui murmurant) Qu’est-ce qui se passe, Sarah ?
S : Jacob nous a interpellé avant qu’on vous rejoigne…
D : Laisse tomber, Sarah ! Je réglerais ça, vu qu’il ne veut rien faire !
P : Dominic ! Tu te calmes et arrête de me parler sur ce ton !
A : On peut pas le virer ?
P : Non, je ne peux rien faire ! La production lui a accordé de faire ces photos, et il les aura, point !
D : (sourire sarcastique) Très bien !
Je regarde Went qui me demande en murmurant si je vais bien, je lui répond d’un sourire, essayant de faire abstraction à la tension qui est présente autour de nous.
P : Et vous deux, faites discrétion !
J’écarquille les yeux devant Paul et le foudroie du regard. Je sais qu’il est souvent sur les nerfs dans ce genre d’endroit mais c’est pas une raison de s’en prendre à nous.
S : Paul ?!
W : On fait rien de mal, alors tu ferais mieux de te calmer aussi.
P : (poussant un soupir) Ok, désolé. Bon on y va ?
Dominic me foudroie du regard tandis qu’Amaury éclate de rire. C’est bien ma veine qu’il faut ce Jacob ici pour les rendre tous irritables ! Je les suis jusqu’à l’endroit du podium et leur sourit en signe d’encouragement tandis qu’ils montent tous les quatre sur l’estrade. Les premières photos commencent, ils sont tous supers beaux…
Went me lance un regard complice et je les encourage de continuer à sourire. Je suis content que Sarah n’a pas perdu la main, ni son sourire charmant, elle est rayonnante.
Je pousse un soupir de soulagement alors que je vois Went qui la dévore des yeux, mais il se tient convenablement. Ils font vraiment un super beau couple et je doute que personne ne pense pas la même chose que moi en cet instant.
Et Amaury qui éclate de rire, je me demande ce qu’ils se disent tous dans leurs murmures discrets ?
Je sais bien qu’il est difficile pour eux tous mais je suis super fier d’eux même si parfois, je me montre un peu dur. Ho c’est pas vrai ! Mais qu’est-ce qu’il fait ?????
Il a quitté la scène alors que la séance n’est pas finie ! Il est impossible celui là ! Je sais bien qu’il déteste de jouer aux faux semblants et que tout va bien dans sa vie, mais il doit respecter son boulot à faire. J’essaie de ne pas me mettre en colère, et pousse un soupir de soulagement alors qu’il arrête de s’avancer vers la sortie, et se tient devant les photographes, les mains dans les poches….
Oh c’est pas vrai !!!!!!!!!!!!!
Il commence à faire le pitre sous les fous rires des photographes, je prend mon visage dans les mains tandis que Sarah m’a l’air scandalisé par les grimaces qu’il est en train de faire. Je vois Went s’approcher de lui ainsi qu’Amaury, suivit de Sarah qui prend Dom par le bras et l’entraîne par la sortie sous les applaudissements des gens…. Je me dépêche de me faufiler entre les personnes qui me gêne le passage, il va m’entendre Purcell !
bonne lecture les miss biz
Chapitre 26.
Ses yeux sont encore gorgés d’amour, je l’embrasse sur les lèvres avec passion, mais m’écarte en souriant. Il faut vraiment que je rejoins Paul, il va nous tuer si nous sommes en retard.
W : (l’embrassant de petits baisers) Allez, ma puce, il faut que j’y aille. Tu me rejoins juste après, d’accord ?
S : (poussant un soupir) Hum… je t’aime. Tu vas trop me manquer…
W : (riant en l’enlaçant dans ses bras) Toi aussi, Sarah tu vas me manquer. Ça ira ?
S : (hochant la tête) Oui, je pense… allez, file.
Je me détache de ses bras en souriant, mais fut incapable de faire un pas vers la porte. Je me retourne vers elle, et la trouve sublime dans cette robe.
S : (agacée de son regard intense) Went ! File de là !
W : (revenant sur ses pas) Encore un baiser.
Je souris de son insatiabilité et lui tend les lèvres qu’il s’empresse de posséder avec fougue. Nous nous embrassons longuement, pressant nos corps l’un contre l’autre, oubliant presque les autres qui doivent déjà nous attendre. Ho mon dieu, c’est alors que je me souviens que je risque de m’attirer les foudres de Dominic et Amaury ! Je m’écarte de Went, pantelante de cette étreinte fulgurante et le repousse jusqu’à la porte tandis qu’il éclate de rire.
W : (ouvrant la porte et se retournant vers Sarah pour un léger baiser) Je t’aime, tu nous rejoins dans cinq minutes ?
S : Oui, mon cœur. A tout à l’heure…
Je referme la porte et reste un instant pensif dans le couloir. Poussant un long soupir, je me dépêche de descendre rejoindre Paul et les autres dans le salon de l’hôtel. Il y a déjà pas mal de monde, je salue des personnes qui essaie de m’arrêter pour discuter, mais je vois Paul qui me fait un grand geste de venir le rejoindre tout de suite. Je m’excuse sur mon passage et le rejoins deux minutes plus tard.]
W : Salut.
A : Tiens, Went ! Bien dormis ?
W : Oui, et toi !
A : (l’air énervé) Oui, la nuit a été super ! Où est Sarah ?
W : Heu…
D : (arrivant vers Went, et passant son bras autour de ses épaules) Oui, où est notre chère Wayne Callies ?
W : (surpris, et d’un air interrogateur) Qu’est-ce que vous lui voulez ?
D : On doit lui parler !
P : (les interrompant) Bon ça suffit, vous venez !
W : C’est pas vrai !
P : (fronçant les yeux et regardant dans la direction que Went regardait furieusement) Quoi ? Qu’est-ce qui fout là celui là ?
A : De qui vous parlez ?
W : Jacob est ici…
D : (énervé) Où ça ?
P : Dom, va pas t’en mêler ! Il a le droit d’être là à mon avis.
W : Parce que tu crois que je vais lui sourire pour qu’il prenne des photos ?
P : T’a plutôt intérêt, oui ! On est ici pour la promo, je veux d’incartade, c’est comprit ?
Je pousse un soupir exaspéré, mais le regard furieux et autoritaire de Paul me fait comprendre de ne pas insister. J’espère que Sarah ne va pas l’apercevoir en tout cas…
Alors que Paul nous présente des journalistes qui ont été autorisé par la production, Sarah arrive sous les regards médusés des hommes qui se tiennent près de nous. Aussitôt, elle fut entourée par les caméras et les questions l’assaillirent. Je l’observe et m’approche discrètement d’elle mais un bras me retient. Tournant la tête, je découvre Paul qui sourit, amusé et me dit de rester où je me trouve.
Cinq minutes plus tard, Sarah arrive enfin près de nous et nous embrasse sur la joue. Je m’interroge aux regards furieux de Dominic qui là envers elle. Dés qu’elle s’approche de lui, un grand sourire aux lèvres, je remarque bien, qu’elle essaie de ne pas éclater de rire.
P : (s’adressant à Dominic) Qu’est-ce qui te prend ?
D : (prenant Sarah par le bras) Viens, je dois te parler.
Je soupire de soulagement alors que Paul ordonne à Dominic que nous devons le suivre pour la séance photo.
D : (murmurant à Sarah) Tu vas me le payer, Sarah !
S : (prenant l’air innocente) Mais de quoi tu parles ? Qu’est-ce que je t’ai fais à la fin !
D : Oui, c’est ça, joue à l’innocente…
S : (s’arrêtant, pétrifiée) Qu’est-ce…
D : (resserrant sa main autour de son bras) Quoi ?
S : …
D : (fixant Jacob qui souriait, l’air moqueur à Sarah) Ne t’inquiéte pas, il ne t’approchera pas.
S : Il me dégoutte.
D : (voix adoucie pour la rassurer) Il est amoureux de toi, celui là, j’ai l’impression…
S : Ne plaisant pas, Dom…
D : (remarquant la pâleur de son visage) Tu veux que je vais lui botter les fesses ?
Je tourne mon visage vers lui, le sourire de ce paparazzi me donne la nausée. Dominic m’a l’air inquiet, je lui souris et lui dit que nous devrions rejoindre les autres. Son bras passe autour de la taille, et il me dit dans le creux de l’oreille que je ne paierais rien pour attendre d’avoir omis de glisser ses vêtements dans sa valise. J’éclate de rire mais je fus stoppé alors que j’aperçois Jacob devant nous.
D : (percevant le trouble de Sarah) Hé !
S : (déglutissant péniblement)…
D : (s’adressant à Jacob qui les fixer étrangement, plein de sous entendu) Purcell ! Vous avez meilleur goût en ce qui concerne la gente féline !
Mais il est vraiment malade celui là ! Je lance un regard vers Dom et je constate qu’il est furieux comme jamais. Son bras se détache de ma taille, et il fait un pas en avant vers Jacob qui continue à afficher un sourire sarcastique. Je retiens Dom par le bras, et je remarque que ses muscles sont tendus à l’extrême.
S : Ne fait pas ça, c’Est-ce qu’il attend, Dom… vient…
D : Toi, si je te vois dans les parages, tu ferais mieux de filer en courant avant que je te brise le cou !
S : Dom !
Une fois à l’extérieur, Dom m’entraîne vers l’estrade où nous sommes attendus pour une séance photo. Il est énervé par l’altercation qui vient de se passer. Et ça n’est pas prêt de s’arranger me dis-je, constatant que Jacob se place avec les journalistes qui nous attends. C’est pas vrai, manqué plus que cet imbécile !
D : (s’adressant à Paul) Il faut que je te parle !
Je me retourne vers Dominic, il est rouge de colère. Went et Amaury sont à côté de moi et les interrogent du regard.
P : Qu’est-ce qui se passe ?
D : (se tournant vers Sarah avant de les regarder tour à tour) Si tu ne fais pas dégager ce Jacob d’ici, ne comptes pas sur moi pour faire ta promo !
P : (levant une main, irrité) Ho, tu vas te calmer, je te rappelle que tu es payé pour faire cette promo ! Qu’est-ce qui te prend ?
W : (s’approchant de Sarah et lui murmurant) Qu’est-ce qui se passe, Sarah ?
S : Jacob nous a interpellé avant qu’on vous rejoigne…
D : Laisse tomber, Sarah ! Je réglerais ça, vu qu’il ne veut rien faire !
P : Dominic ! Tu te calmes et arrête de me parler sur ce ton !
A : On peut pas le virer ?
P : Non, je ne peux rien faire ! La production lui a accordé de faire ces photos, et il les aura, point !
D : (sourire sarcastique) Très bien !
Je regarde Went qui me demande en murmurant si je vais bien, je lui répond d’un sourire, essayant de faire abstraction à la tension qui est présente autour de nous.
P : Et vous deux, faites discrétion !
J’écarquille les yeux devant Paul et le foudroie du regard. Je sais qu’il est souvent sur les nerfs dans ce genre d’endroit mais c’est pas une raison de s’en prendre à nous.
S : Paul ?!
W : On fait rien de mal, alors tu ferais mieux de te calmer aussi.
P : (poussant un soupir) Ok, désolé. Bon on y va ?
Dominic me foudroie du regard tandis qu’Amaury éclate de rire. C’est bien ma veine qu’il faut ce Jacob ici pour les rendre tous irritables ! Je les suis jusqu’à l’endroit du podium et leur sourit en signe d’encouragement tandis qu’ils montent tous les quatre sur l’estrade. Les premières photos commencent, ils sont tous supers beaux…
- Spoiler:
Went me lance un regard complice et je les encourage de continuer à sourire. Je suis content que Sarah n’a pas perdu la main, ni son sourire charmant, elle est rayonnante.
- Spoiler:
Je pousse un soupir de soulagement alors que je vois Went qui la dévore des yeux, mais il se tient convenablement. Ils font vraiment un super beau couple et je doute que personne ne pense pas la même chose que moi en cet instant.
- Spoiler:
Et Amaury qui éclate de rire, je me demande ce qu’ils se disent tous dans leurs murmures discrets ?
- Spoiler:
Je sais bien qu’il est difficile pour eux tous mais je suis super fier d’eux même si parfois, je me montre un peu dur. Ho c’est pas vrai ! Mais qu’est-ce qu’il fait ?????
- Spoiler:
Il a quitté la scène alors que la séance n’est pas finie ! Il est impossible celui là ! Je sais bien qu’il déteste de jouer aux faux semblants et que tout va bien dans sa vie, mais il doit respecter son boulot à faire. J’essaie de ne pas me mettre en colère, et pousse un soupir de soulagement alors qu’il arrête de s’avancer vers la sortie, et se tient devant les photographes, les mains dans les poches….
Oh c’est pas vrai !!!!!!!!!!!!!
- Spoiler:
Il commence à faire le pitre sous les fous rires des photographes, je prend mon visage dans les mains tandis que Sarah m’a l’air scandalisé par les grimaces qu’il est en train de faire. Je vois Went s’approcher de lui ainsi qu’Amaury, suivit de Sarah qui prend Dom par le bras et l’entraîne par la sortie sous les applaudissements des gens…. Je me dépêche de me faufiler entre les personnes qui me gêne le passage, il va m’entendre Purcell !
nol59- Déchiffre l'origami
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Localisation : dans les bras de Went
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
aller un ti poste aussi ici, lol
j'aime cette suite, je me suis bien marré à la fin
et jacoco comme je le surnome mnt lol ben je vais le taper s'il continue..*
la suite ici aussi lol..
j'aime cette suite, je me suis bien marré à la fin
et jacoco comme je le surnome mnt lol ben je vais le taper s'il continue..*
la suite ici aussi lol..
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
trop rigolote cette suite et extra longue et ça je vais pas m'en plaindre
dur pour Went de laisser sa Sara
ensuite j'ai eut peur car Amaury et Dom m'ont l'air fâché et je me suis demandée pourquoi
et ce Jacob qui a réussit à s'incruster à la promo
Dominic qui "protège " Sara
Paul qui remet les choses en place, mais c'est quand même qu'ils doivent faire semblant pour les photographes
Dominic qui fait le pitre ça fait plaisir car les seules photos que je connaissais, il faisait la tête
super méga suite et longue mais ne crois pas pour autant que je vais me gêner de demander une autre
dur pour Went de laisser sa Sara
ensuite j'ai eut peur car Amaury et Dom m'ont l'air fâché et je me suis demandée pourquoi
et ce Jacob qui a réussit à s'incruster à la promo
Dominic qui "protège " Sara
Paul qui remet les choses en place, mais c'est quand même qu'ils doivent faire semblant pour les photographes
Dominic qui fait le pitre ça fait plaisir car les seules photos que je connaissais, il faisait la tête
super méga suite et longue mais ne crois pas pour autant que je vais me gêner de demander une autre
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
verdict
impatiente de lire la suivante en tout cas
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
merci pour vos coms les miss, voici la suite^^
Chapitre 27.
Nous n’arrivons pas à nous éclipser dés que nous sortons de l’estrade que les journalistes nous assaillent de questions. Mon bras est posé autour de la taille de Sarah et nous nous sourions discrètement avant qu’un journaliste l’interpelle. Du regard, je lui demande si elle tiendra le coup et elle hoche la tête en souriant avant d’écouter les premières questions. Je lâche mon étreinte à contre cœur tandis qu’une femme me prend par le bras.
J : (s’adressant à Went) Vous êtes heureux de retrouver votre partenaire à l’écran ?
Oh que oui si tu savais ! Je souris, refoulant l’envie d’éclater de rire et lui répond :
W : Bien sur. Sarah nous a énormément manqué.
J : Depuis combien de temps avez-vous appris son retour ?
W : Récemment.
J : Et vous avez l’air de vous entendre comme avant en tout cas ?
W : (fronçant les sourcils, se demandant si c’était un sous-entendu) Oui. Nous sommes de bons amis et c’est un réel plaisir de travailler avec elle.
J : (souriante) Des rumeurs disent que vous êtes pour quelque chose dans son retour dans la série, est-ce vrai ?
W : Je n’ai jamais rien entendu de tel ! Les producteurs ont commis une grosse erreur de se séparer d’elle. Ils en ont prit conscience et l’on réparait.
Je continue à sourire, priant intérieurement qu’elle arrête son interrogatoire, surtout que je ressens un flot de colère s’insinuer dans mes veines en repensant à tous ces mois de silence et de séparation.
J : Êtes- vous au courant que des millions de fans ont fait pression sur la Fox pour leur rendre leur docteur Tancredi ?
W : (sourire large sur les lèvres) Oui, et je tiens également à me joindre à Sarah pour les remercier du fond du cœur. Les gens ont su apprécier son talent d’actrice et elle en est très reconnaissante, tout comme moi…nous tous.
J : (souriant à l’émotion qu’elle entendit dans sa voix) Merci d’avoir répondu à ses questions, Wentworth.
Je hoche la tête et repart rejoindre Sarah avant de sortir à l’extérieur. Tout en marchant, nous nous murmurons à l’oreille très discrètement toujours les questions qu’ils nous ont posés. Une envie folle de la prendre dans mes bras s’empare de tout mon corps.
Je sens son regard insistant sur moi alors que nous nous promenons tous les deux dans le jardin de l’hôtel. Je le regarde et lui sourit avant de balayer du regard les alentours si personne nous regarde.
W : (chuchotant d’une voix tendre) On nous surveille mon cœur.
S : (émit un grognement exaspéré) Grr… tu penses qu’on aura un moment où je pourrais t’avoir un peu pour moi toute seule ?
J’éclate de rire devant sa moue boudeuse. C’est alors que Paul nous hèle de loin. Poussant un soupir de lassitude, je tend le bras à Sarah qu’elle prend en me souriant d’un air complice.
Nous nous dirigeons vers la terrasse où des journalistes et photographes prennent des photos. Went éclate de rire devant la scène que nous voyons. Je le regarde d’un air insistant afin qu’il arrête. La situation n’est vraiment pas drôle, Paul est furieux.
W : (murmurant en s’avançant vers Paul) Désolé, mon cœur.
S : Regarde.
Je suis du regard la direction qu’elle me montre et aperçoit Jacob sur la droite, un peu à l’écart en train de photographier Amaury et Dominic.
Je vois que Went a perdu son rire, en apercevant ce paparazzi de malheur ! Il va nous tenir en grippe j’ai l’impression. Je m’approche un peu plus de Paul qui assiste à la scène, furieux tandis que tous le monde autour rient aux éclats.
S : Elles vont être superbes ces photos !
P : (écarquillant les yeux) Tu veux dire que tu trouves ça drôle ?! Regarde les tous les deux, bon sang ! J’en ai un qui est mort de rire et l’autre qui nous fait des gestes déplacés !
S : (mettant une main sur sa bouche afin de retenir son fou rire) Désolée…
P : (levant les yeux au ciel, exaspéré) Moi aussi, je suis désolé !
S : Ce n’est pas méchant, Paul. Dom est tout simplement…
P : (d’une voix furieuse) Viré !
Un gloussement étranglé s’échappe de ma gorge, je le regarde, surprise.
S : Tu vas pas faire ça ! C’est à cause de ce Jacob, voyons ! Il l’a cherché tout à l’heure, Dom a juste prit ma défense !
P : (poussant un soupir) Il me fait chier !
S : C’est Dom.
Je le regarde en souriant tandis qu’un léger sourire se dessine sur ses lèvres.
P : Il t’a importuné donc ?
S : Je…
W : (d’une voix soucieuse) Qui ça ?
S :…
W : (regardant Sarah dans les yeux) Jacob ?
P : Went, s’est bon. C’est réglé.
W : (fixant toujours Sarah) Tu peux m’expliquer ?
S : (murmurant) Arrête, pas ici, Went…
Poussant un long soupir alors que je boue de colère intérieurement, je tourne la tête vers Jacob et le foudroie du regard, constatant qu’il nous fixait, de son air satisfait.
W : (s’adressant à Paul, d’une voix furieuse) Sois tu fais ton possible pour le virer d’ici maintenant, où alors Sarah et moi ne restons pas !
S : (posant une main sur le bras de Went) Tout va bien je t’assure….
P : Laissez, je m’en occupe.
Je regarde Paul partir vers quatre agents de sécurité et sourit, satisfait qu’il leur ordonne de le virer d’ici.
J : Wentworth, Sarah ?
On se retourne tous les deux vers la personne qui nous interromps et souriant alors que les flashs reprennent de plus belle.
Ce n’est que deux heures plus tard que nous avons droit à un moment de libre ! Pas vraiment un moment, si ce n’est que pour remonter dans notre chambre le temps de nous changer pour partir à une petite réception qui se tient non loin de l’hôtel. Discrètement, je laisse partir Sarah devant tandis qu’Amaury la suit. Je reste à discuter cinq minutes avec Dominic qui éclate de rire alors qu’un journaliste nous montre les photos qu’il a prise. Je secoue la tête, amusé de le voir ainsi.
D : Allez, vient p’tit frère, je te paie un verre !
W : Tout à l’heure si tu veux. Paul nous laisse trois quart d’heure tout au plus pour nous changer et souffler un peu.
D : (lui faisant un clin d’œil complice) Ok, profite bien de ce moment alors !
Je pouffe de rire et le regarde partir vers le bar. Alors que je m’avance pour rejoindre Sarah, trois jeunes femmes s’approchent de moi, un grand sourire aux lèvres. Et me*de, je vais encore avoir bon à des déhanchés pas possible !
Chapitre 27.
Nous n’arrivons pas à nous éclipser dés que nous sortons de l’estrade que les journalistes nous assaillent de questions. Mon bras est posé autour de la taille de Sarah et nous nous sourions discrètement avant qu’un journaliste l’interpelle. Du regard, je lui demande si elle tiendra le coup et elle hoche la tête en souriant avant d’écouter les premières questions. Je lâche mon étreinte à contre cœur tandis qu’une femme me prend par le bras.
J : (s’adressant à Went) Vous êtes heureux de retrouver votre partenaire à l’écran ?
Oh que oui si tu savais ! Je souris, refoulant l’envie d’éclater de rire et lui répond :
W : Bien sur. Sarah nous a énormément manqué.
J : Depuis combien de temps avez-vous appris son retour ?
W : Récemment.
J : Et vous avez l’air de vous entendre comme avant en tout cas ?
W : (fronçant les sourcils, se demandant si c’était un sous-entendu) Oui. Nous sommes de bons amis et c’est un réel plaisir de travailler avec elle.
J : (souriante) Des rumeurs disent que vous êtes pour quelque chose dans son retour dans la série, est-ce vrai ?
W : Je n’ai jamais rien entendu de tel ! Les producteurs ont commis une grosse erreur de se séparer d’elle. Ils en ont prit conscience et l’on réparait.
Je continue à sourire, priant intérieurement qu’elle arrête son interrogatoire, surtout que je ressens un flot de colère s’insinuer dans mes veines en repensant à tous ces mois de silence et de séparation.
J : Êtes- vous au courant que des millions de fans ont fait pression sur la Fox pour leur rendre leur docteur Tancredi ?
W : (sourire large sur les lèvres) Oui, et je tiens également à me joindre à Sarah pour les remercier du fond du cœur. Les gens ont su apprécier son talent d’actrice et elle en est très reconnaissante, tout comme moi…nous tous.
J : (souriant à l’émotion qu’elle entendit dans sa voix) Merci d’avoir répondu à ses questions, Wentworth.
Je hoche la tête et repart rejoindre Sarah avant de sortir à l’extérieur. Tout en marchant, nous nous murmurons à l’oreille très discrètement toujours les questions qu’ils nous ont posés. Une envie folle de la prendre dans mes bras s’empare de tout mon corps.
Je sens son regard insistant sur moi alors que nous nous promenons tous les deux dans le jardin de l’hôtel. Je le regarde et lui sourit avant de balayer du regard les alentours si personne nous regarde.
- Spoiler:
W : (chuchotant d’une voix tendre) On nous surveille mon cœur.
S : (émit un grognement exaspéré) Grr… tu penses qu’on aura un moment où je pourrais t’avoir un peu pour moi toute seule ?
J’éclate de rire devant sa moue boudeuse. C’est alors que Paul nous hèle de loin. Poussant un soupir de lassitude, je tend le bras à Sarah qu’elle prend en me souriant d’un air complice.
Nous nous dirigeons vers la terrasse où des journalistes et photographes prennent des photos. Went éclate de rire devant la scène que nous voyons. Je le regarde d’un air insistant afin qu’il arrête. La situation n’est vraiment pas drôle, Paul est furieux.
W : (murmurant en s’avançant vers Paul) Désolé, mon cœur.
S : Regarde.
Je suis du regard la direction qu’elle me montre et aperçoit Jacob sur la droite, un peu à l’écart en train de photographier Amaury et Dominic.
Je vois que Went a perdu son rire, en apercevant ce paparazzi de malheur ! Il va nous tenir en grippe j’ai l’impression. Je m’approche un peu plus de Paul qui assiste à la scène, furieux tandis que tous le monde autour rient aux éclats.
S : Elles vont être superbes ces photos !
P : (écarquillant les yeux) Tu veux dire que tu trouves ça drôle ?! Regarde les tous les deux, bon sang ! J’en ai un qui est mort de rire et l’autre qui nous fait des gestes déplacés !
- Spoiler:
S : (mettant une main sur sa bouche afin de retenir son fou rire) Désolée…
P : (levant les yeux au ciel, exaspéré) Moi aussi, je suis désolé !
S : Ce n’est pas méchant, Paul. Dom est tout simplement…
P : (d’une voix furieuse) Viré !
Un gloussement étranglé s’échappe de ma gorge, je le regarde, surprise.
S : Tu vas pas faire ça ! C’est à cause de ce Jacob, voyons ! Il l’a cherché tout à l’heure, Dom a juste prit ma défense !
P : (poussant un soupir) Il me fait chier !
S : C’est Dom.
Je le regarde en souriant tandis qu’un léger sourire se dessine sur ses lèvres.
P : Il t’a importuné donc ?
S : Je…
W : (d’une voix soucieuse) Qui ça ?
S :…
W : (regardant Sarah dans les yeux) Jacob ?
P : Went, s’est bon. C’est réglé.
W : (fixant toujours Sarah) Tu peux m’expliquer ?
S : (murmurant) Arrête, pas ici, Went…
Poussant un long soupir alors que je boue de colère intérieurement, je tourne la tête vers Jacob et le foudroie du regard, constatant qu’il nous fixait, de son air satisfait.
W : (s’adressant à Paul, d’une voix furieuse) Sois tu fais ton possible pour le virer d’ici maintenant, où alors Sarah et moi ne restons pas !
S : (posant une main sur le bras de Went) Tout va bien je t’assure….
P : Laissez, je m’en occupe.
Je regarde Paul partir vers quatre agents de sécurité et sourit, satisfait qu’il leur ordonne de le virer d’ici.
J : Wentworth, Sarah ?
On se retourne tous les deux vers la personne qui nous interromps et souriant alors que les flashs reprennent de plus belle.
Ce n’est que deux heures plus tard que nous avons droit à un moment de libre ! Pas vraiment un moment, si ce n’est que pour remonter dans notre chambre le temps de nous changer pour partir à une petite réception qui se tient non loin de l’hôtel. Discrètement, je laisse partir Sarah devant tandis qu’Amaury la suit. Je reste à discuter cinq minutes avec Dominic qui éclate de rire alors qu’un journaliste nous montre les photos qu’il a prise. Je secoue la tête, amusé de le voir ainsi.
D : Allez, vient p’tit frère, je te paie un verre !
W : Tout à l’heure si tu veux. Paul nous laisse trois quart d’heure tout au plus pour nous changer et souffler un peu.
D : (lui faisant un clin d’œil complice) Ok, profite bien de ce moment alors !
Je pouffe de rire et le regarde partir vers le bar. Alors que je m’avance pour rejoindre Sarah, trois jeunes femmes s’approchent de moi, un grand sourire aux lèvres. Et me*de, je vais encore avoir bon à des déhanchés pas possible !
nol59- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 285
Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Mdr dur dur la promo !
Aller eclipsez vous, même sans promo on la regardera la saison 4 mdr on l'attend de pied ferme !
Super suite...une autre c'est possible ? lol
Aller eclipsez vous, même sans promo on la regardera la saison 4 mdr on l'attend de pied ferme !
Super suite...une autre c'est possible ? lol
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
ma chouchoute!!!!
geniale cette suite!!!!
jacob qui traine dans les alentour went qui veut savoir ce qu'il a fait a sarah!!!
45 min rien que tout les 2 !!!
vivement la suite
geniale cette suite!!!!
jacob qui traine dans les alentour went qui veut savoir ce qu'il a fait a sarah!!!
45 min rien que tout les 2 !!!
vivement la suite
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
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