Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
il devrait avoir un terrible mais radical accident de la route cet enf*** d'éric
Sarah ne va pas bien et Went essaie de la rassurer mais elle n'est pas dupe, elle a compris
que mijotes Paul
éric je sens qu'on va encore en entendre parler
super et encoreeeeeeeeeeeee
gros
Sarah ne va pas bien et Went essaie de la rassurer mais elle n'est pas dupe, elle a compris
que mijotes Paul
éric je sens qu'on va encore en entendre parler
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tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
super les suites, heureusement que dom et paul sont avec went, .
ah ce Paul je me demande ce qu'il mijote comme coup.
ah ce Paul je me demande ce qu'il mijote comme coup.
orilimi- Rendez vous avec le Coyote...
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Ouais que prépare Paul ?
C'est vraiq u'heureusement que Went était pas seul
J'aime trop les coup de fil MiSa "Ma puce" (imaginer ça ac la voix de Went c'est un truc qui pourrait me faire tombé ds les pommes ds la seconde là mdr )
La suiiiiiiiiiiite !!!!
C'est vraiq u'heureusement que Went était pas seul
J'aime trop les coup de fil MiSa "Ma puce" (imaginer ça ac la voix de Went c'est un truc qui pourrait me faire tombé ds les pommes ds la seconde là mdr )
La suiiiiiiiiiiite !!!!
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Voici la suite^^
Chapitre 43.
J’ouvre les paupières, une fois de plus. C’est pas possible comment la nuit peut-être aussi longue ! Il n’est que trois heures du matin et je ne peux pas dormir… il me manque trop. Went m’a appelé avant d’aller se coucher. Nous avons discuté pendant plus d’une heure, tous les deux…
Je me redresse dans le lit et fut surprise de le voir si en pagaille. Je n’arrête pas de me retourner dans tous les sens, sa présence, ses bras autour de moi me manquent tellement…affreusement. Je soupire de lassitude, et regarde une fois encore le réveil. Deux petites minutes se sont écoulées alors que j’ai l’impression qu’elles se sont transformées en heures tant le temps me parait très long.
J’attrape mon portable sur la tacle de chevet et hésite à l’appeler. Pourtant, je n’ai qu’à presser cette touche afin d’entendre sa voix, mais il doit dormir…. Je peste intérieurement et le repose avant de me recoucher, irritée. Notre conversation de tout à l’heure me revient à l’esprit. Je ferme les yeux, me concentrant sur l’écho de sa voix tendre et douce que j’ai l’impression d’entendre comme si il se trouvait à mes côtés….
Flash back….
W : (dans un souffle) Sarah… tu vas bien ?
S : Oui et toi ? Tu me manques…
W : Toi aussi, mon cœur. Tu n’as plus de fièvre, j’espère ?
S : (souriant légèrement) Non, je vais beaucoup mieux. Je tousse encore juste un peu. Et toi ? Tu fais quoi, là-bas ?
W : On vient de finir de manger et on a un peu débarrasser ici…
S : C’était le bazar, je suppose ?
W : Ne t’en fais pas, c’est bien mieux maintenant. Et les autres ? Ils ne te font pas trop souffrir ?
S : (riant légèrement) Non ! Je crains que c’est plutôt moi ! Amaury est au petit soin et disons que j’en profite un peu.
W : Demain je serais près de toi et c’est moi qui prendrais soin de toi, mon ange. Au fait, si tu te sens mieux, on s’en ira dans l’après-midi.
S : Pour aller où ?
W : Paul nous prête son petit cottage à trois heures de route de Los Angeles. On sera tranquille…
S : (dans un souffle) Rien que tous les deux ?
W : Rien que toi et moi, ma puce. Tu me manques beaucoup, tu sais…
S : Pas plus que toi tu me manques… je me sens vide sans toi, Went.
W : (fermant les yeux) Tu es au lit ?
S : Oui.
W : Ferme les yeux, Sarah.
S : (fronçant les paupières) Quoi ? Pourquoi veux-tu que je ferme les yeux ?
W : Fais le… s’il te plait.
S : D’accord. Voilà, ils sont fermés.
W : Très bien. Respire lentement, d’abord…
S : (pouffant de rire) Qu’est-ce que tu fabriques, Miller ?
W : Chut… concentre toi, ma puce.
S : Comment veux-tu que je me concentre alors que…
W : Alors que quoi ?
S : (émue) Je devrais être auprès de toi.
W : Demain, tu seras près de moi, Sarah. Plus rien ne pourra nous séparer ensuite, mon ange.
S : (sur un ton sérieux) Tu ne veux toujours pas me parler de ce qu’il t’a dit ?
W : (poussant un soupir) Non, pas maintenant. On en parlera quand on sera au cottage, d’accord ?
S : (déglutissant péniblement) D’accord.
W : Je t’aime, Sarah. Tu dois me faire confiance…
S : Je sais…
W : Alors, ferme les yeux.
S : (riant avant de les fermer) Voilà, c’est fait !
W : Je suis à côté de toi, ma main est dans tes cheveux…
S : (protestant) Went !
W : (souriant tendrement) Et je t’embrasse lentement… d’abord dans le cou… je remonte mes lèvres sur ton visage, avant de les laisser s’éloigner vers tes lèvres…
S : (le souffle court) Arrête mon cœur… tu… je vais mieux…ça va…
W : (éclatant de rire et d’une voix satisfaite) A demain, ma puce. Je t’aime.
S : Moi aussi, mon chéri. je t’embrasse.
W : Où ?
S : (s’exclamant d’un ton de protestation) Went !
W : Je plaisante mon ange.
S : Tu le regretteras.
W : (riant) Repose toi, d’accord. A demain.
S : (sourire tendre sur les lèvres) A demain.
Fin du Flash back.
Je n’arrive pas à dormir ! Il est un peu plus de quatre heures mais il faut que je me lève. Silencieusement, je me lève du canapé, évitant au passage de réveiller Paul et Dominic. J’ouvre la porte qui donne sur la terrasse et sort à l’extérieur.
Le froid me glace tous le corps d’un coup. Je grelotte mais ne rentre pas. Je marche de long en large sur la dalle bitumée en frictionnant mes bras nus. Je m’arrête un instant et sort mon portable de la poche de mon jean.
Je pousse un long soupir et fixe son nom sur l’écran de mon Black berry. J’hésite mais je sais qu’elle a besoin de dormir. Irrité, je le range dans ma poche et balaie du regard les alentours avant de rentrer à l’intérieur.
Espérant que j’arriverais à trouver le sommeil, je m’allonge et ferme les yeux. Soudain, je les ouvre en grand et fixe le plafond ! Pestant silencieusement alors que Dom et Paul se défient sans le savoir de qui des deux sera le meilleur ronfleur !
Chapitre 43.
J’ouvre les paupières, une fois de plus. C’est pas possible comment la nuit peut-être aussi longue ! Il n’est que trois heures du matin et je ne peux pas dormir… il me manque trop. Went m’a appelé avant d’aller se coucher. Nous avons discuté pendant plus d’une heure, tous les deux…
Je me redresse dans le lit et fut surprise de le voir si en pagaille. Je n’arrête pas de me retourner dans tous les sens, sa présence, ses bras autour de moi me manquent tellement…affreusement. Je soupire de lassitude, et regarde une fois encore le réveil. Deux petites minutes se sont écoulées alors que j’ai l’impression qu’elles se sont transformées en heures tant le temps me parait très long.
J’attrape mon portable sur la tacle de chevet et hésite à l’appeler. Pourtant, je n’ai qu’à presser cette touche afin d’entendre sa voix, mais il doit dormir…. Je peste intérieurement et le repose avant de me recoucher, irritée. Notre conversation de tout à l’heure me revient à l’esprit. Je ferme les yeux, me concentrant sur l’écho de sa voix tendre et douce que j’ai l’impression d’entendre comme si il se trouvait à mes côtés….
Flash back….
W : (dans un souffle) Sarah… tu vas bien ?
S : Oui et toi ? Tu me manques…
W : Toi aussi, mon cœur. Tu n’as plus de fièvre, j’espère ?
S : (souriant légèrement) Non, je vais beaucoup mieux. Je tousse encore juste un peu. Et toi ? Tu fais quoi, là-bas ?
W : On vient de finir de manger et on a un peu débarrasser ici…
S : C’était le bazar, je suppose ?
W : Ne t’en fais pas, c’est bien mieux maintenant. Et les autres ? Ils ne te font pas trop souffrir ?
S : (riant légèrement) Non ! Je crains que c’est plutôt moi ! Amaury est au petit soin et disons que j’en profite un peu.
W : Demain je serais près de toi et c’est moi qui prendrais soin de toi, mon ange. Au fait, si tu te sens mieux, on s’en ira dans l’après-midi.
S : Pour aller où ?
W : Paul nous prête son petit cottage à trois heures de route de Los Angeles. On sera tranquille…
S : (dans un souffle) Rien que tous les deux ?
W : Rien que toi et moi, ma puce. Tu me manques beaucoup, tu sais…
S : Pas plus que toi tu me manques… je me sens vide sans toi, Went.
W : (fermant les yeux) Tu es au lit ?
S : Oui.
W : Ferme les yeux, Sarah.
S : (fronçant les paupières) Quoi ? Pourquoi veux-tu que je ferme les yeux ?
W : Fais le… s’il te plait.
S : D’accord. Voilà, ils sont fermés.
W : Très bien. Respire lentement, d’abord…
S : (pouffant de rire) Qu’est-ce que tu fabriques, Miller ?
W : Chut… concentre toi, ma puce.
S : Comment veux-tu que je me concentre alors que…
W : Alors que quoi ?
S : (émue) Je devrais être auprès de toi.
W : Demain, tu seras près de moi, Sarah. Plus rien ne pourra nous séparer ensuite, mon ange.
S : (sur un ton sérieux) Tu ne veux toujours pas me parler de ce qu’il t’a dit ?
W : (poussant un soupir) Non, pas maintenant. On en parlera quand on sera au cottage, d’accord ?
S : (déglutissant péniblement) D’accord.
W : Je t’aime, Sarah. Tu dois me faire confiance…
S : Je sais…
W : Alors, ferme les yeux.
S : (riant avant de les fermer) Voilà, c’est fait !
W : Je suis à côté de toi, ma main est dans tes cheveux…
S : (protestant) Went !
W : (souriant tendrement) Et je t’embrasse lentement… d’abord dans le cou… je remonte mes lèvres sur ton visage, avant de les laisser s’éloigner vers tes lèvres…
S : (le souffle court) Arrête mon cœur… tu… je vais mieux…ça va…
W : (éclatant de rire et d’une voix satisfaite) A demain, ma puce. Je t’aime.
S : Moi aussi, mon chéri. je t’embrasse.
W : Où ?
S : (s’exclamant d’un ton de protestation) Went !
W : Je plaisante mon ange.
S : Tu le regretteras.
W : (riant) Repose toi, d’accord. A demain.
S : (sourire tendre sur les lèvres) A demain.
Fin du Flash back.
Je n’arrive pas à dormir ! Il est un peu plus de quatre heures mais il faut que je me lève. Silencieusement, je me lève du canapé, évitant au passage de réveiller Paul et Dominic. J’ouvre la porte qui donne sur la terrasse et sort à l’extérieur.
Le froid me glace tous le corps d’un coup. Je grelotte mais ne rentre pas. Je marche de long en large sur la dalle bitumée en frictionnant mes bras nus. Je m’arrête un instant et sort mon portable de la poche de mon jean.
Je pousse un long soupir et fixe son nom sur l’écran de mon Black berry. J’hésite mais je sais qu’elle a besoin de dormir. Irrité, je le range dans ma poche et balaie du regard les alentours avant de rentrer à l’intérieur.
Espérant que j’arriverais à trouver le sommeil, je m’allonge et ferme les yeux. Soudain, je les ouvre en grand et fixe le plafond ! Pestant silencieusement alors que Dom et Paul se défient sans le savoir de qui des deux sera le meilleur ronfleur !
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
si Sarah ou Went avaient appelé, ils auraient pu finir leur petite conversation commencé quelques heures auparavant
Went qui attend d'être seul, dans le cottage de Paul, pour discuter de ce qui c'est passé avec éric
je sens des moments très douloureux approchés et une confrontation entre eux très
qui a gagné finalement au concours du plus grand ronfleur
allez Angie les suites ce soir
gros
Went qui attend d'être seul, dans le cottage de Paul, pour discuter de ce qui c'est passé avec éric
je sens des moments très douloureux approchés et une confrontation entre eux très
qui a gagné finalement au concours du plus grand ronfleur
allez Angie les suites ce soir
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Oui le suspens est à son comble : qui est le plus gros ronfleur ????
Wesa Ils auraient du s'appeler !!!! mdr quoique je sens que la conversation aurait pu vite déraper...mieux vaut qu'ils attendent mdr
La suite !!!!
Wesa Ils auraient du s'appeler !!!! mdr quoique je sens que la conversation aurait pu vite déraper...mieux vaut qu'ils attendent mdr
La suite !!!!
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
re les filles
voici encore une tite suite
bonne lecture
Chapitre 44.
Went n’arrête pas de gigoter sur la banquette arrière du taxi qui nous ramène vers Los Angeles. Je souris et lance un regard complice vers Dom qui le fixe également.
p : Arrête de remuer comme ça ! On sera arrivés dans une dizaine de minutes.
W : Je sais.
D : T’as encore une pire sale tête qu’hier, toi !
W : Merci de me le rappeler.
D : Ça doit pas être pire que l’autre c*n, tu me diras !
P : (lui lançant un regard noir) Tu pourrais pas la boucler cinq minutes ?
D : (écarquillant les yeux) Ben quoi ? J’ai rien dis de mal !
W : (pouffant de rire) Comme tu n’as pas ronfler cette nuit ?
D : Tu as dû te tromper ! C’est Paul qui n’arrêtait pas de ronfler, pas moi !
P : (levant les yeux en l’air) Ben voyons !
W : C’était tous les deux ! Et c’est pourquoi j’ai cette tête ce matin, vous m’avez empêché de dormir !
D : Parce que toi, tu ronfles pas peut-être ?
W : (haussant un sourcil) Non !
J’éclate de rire tandis que Paul lance une moue satisfaite vers Dom.
P : On y est bientôt.
W : (poussant un soupir) Ouai…
P : Ça ira, Went ne t’en fais pas.
W : J’espère…
D : De toute façon, je ne pense pas qu’Éric fera entendre parler de lui, et puis… la police surveille ta propriété, ils t’ont dis de ne pas t’en faire encore ce matin, avant que nous partons pour l’aéroport.
P : Tu vois que la notoriété sert parfois…
W : (souriant) Ouai… peut-être. Mais ce n’est pas de ça qui je m’inquiète le plus.
P : Sarah t’aime, Went. Elle te parlera, elle a confiance en toi.
W : (hochant silencieusement la tête) J’espère qu’elle ne va pas m’en vouloir…
D : On arrive…
Je les regarde et leur sourit avant de les remercier de m’avoir soutenus tous les deux. Quelques minutes plus tard, nous sortons du taxi et je me précipite à l’intérieur, impatient de la serrer dans mes bras. Alors que je m’apprêtais à monter à l’étage, Paul me retient en posant sa main sur mon épaule. Je me retourne et lui sourit légèrement.
P : Si tu as besoin de quoi que ce soit, tu m’appelles, d’accord ?
W : (ému) Merci Paul…
P : Allez, va vite la retrouver ta Sarah…
Je le remercie encore et grimpe à l’étage. J’entre rapidement dans le salon, où je retrouve tous les autres… sauf Sarah. Amaury s’approche de moi avec de gros yeux, fixant l’hématome de mon œil et bredouille en me disant que Sarah dort encore.
J : Elle n’a pas dormit de la nuit.
W : Je vais aller la voire.
Je lance un regard vers Dom et Paul qui se tiennent derrière moi et m’enfonce dans l’escalier menant aux chambres, les laissant expliquer la situation aux autres. Mon cœur bat à tout rompre, mes mains deviennent moites comme jamais. Je suis si nerveux à l’idée de la réaction qu’elle pourrait avoir.
Sans bruit, j’ouvre doucement la porte de sa chambre qui est plongé dans le noir. Je distingue son corps endormit sur le lit, grâce aux rais de lumières qui filtrent à travers les lames du store vénitien. J’essaie de retenir mon souffle qui est de plus en plus haletant et j’avance lentement de l’autre côté du lit.
Il n’est que neuf heures du matin, ici. J’enlève alors mes vêtements que je laisse tomber sur le sol avant de me glisser sous les draps. Je la contemple pendant de longues minutes, refoulant le désir que j’éprouve à l’attirer dans mes bras….
Soudain, elle bouge légèrement et se retourne sur le côté en gémissant. Je souris et ne peut m’empêcher cette fois d’écarter délicatement une mèche de ses cheveux, barrant ses paupières closes.
Je sens un souffle sur ma temps, et me redresse en sursautant. Mon cœur vient de faire un bond dans ma poitrine alors qu’une main se referme sur ma joue.
W : (murmure ému) Bonjour, ma puce…
Les larmes commencent à monter inexorablement à l’écoute de sa voix.
S : (bredouillant) Went….
W : (murmurant en caressant son visage avec tendresse) Je suis là, ma chérie…. Je suis là….
Elle se jette dans mes bras et font en sanglot. Je la berce contre moi, la serrant fort, essayant de ne pas libérer toute la souffrance que je ressens pour elle.
W : Je t’aime, Sarah… je t’aime…
Il me serre très fort contre lui, m’embrassant d’une pluie de baiser dans les cheveux, sur le front avant de m’allonger dans ses bras. Il me berce, m’apaise par de douces paroles et nous restons un long moment à savourer nos retrouvailles….
Le temps passe tellement long sans elle. Je la serre d’une manière désespérée contre moi. Sarah s’accroche à moi comme si elle allait tombé dans un précipice mais je ne la lâcherais pas… jamais. Je relève son visage et sèche ses larmes de mes pouces. Elle est si belle, je l’aime si fort comme jamais je n’ai aimé auparavant….
S : Je t’aime, Went… tu m’as tellement manqué.
W : Toi aussi mon ange. Tout va bien maintenant….
Je le regarde et sourit jusqu’à ce que je m’aperçoive son œil tuméfié. Mon cœur se serre douloureusement, la colère me submerge. Vivement, je me redresse et allume la lampe de chevet.
W : (portant la main sur ses yeux) Sarah !
Je le fixe une seconde et ôte sa main de son visage.
S : (fermant les yeux) Mon dieu, Went….
W : (se redressant et la prenant des ses bras) Ce n’est rien, ma puce. Je n’ai pas mal…
S : C’est de ma faute….
W : (voix grave) Non, Sarah ! Ce n’est pas de ta faute ! Rien n’est de ta faute ! C’est moi qui l’ai frappé et j’ai reçu un coup ce n’est vraiment rien du tout.
S : Went…
W : Je ne veux pas que tu te sentes responsable de quoi que ce soit, tu m’entends ?! Il ne te fera plus aucun mal, ma puce, je te le promets….
Je reste bouche bée à ces paroles..
Je me sens complètement anéantie à cet instant par le doute qui subjugue en moi.
Silencieusement, mes larmes se mettent à couler le long de mes joues.
Elle baisse les yeux. Je n’aurais pas dû lui dire tout cela. Lentement, je relève son menton et plante mon regard dans le sien. Elle le fuit, et la peur me reprend de l’intérieur. Je ne veux pas qu’elle y pense ! Je veux simplement qu’elle oublie.
W : (murmure rauque) Sarah…
Je ferme les yeux et les ouvre en les relevant vers son regard brillant de larmes. Mon cœur se serre davantage en remarquant la tristesse dans ses yeux. Je n’aime pas le voir ainsi…
W : S’il te plait, Sarah…
Son murmure m’est doux et désespéré à la fois. Il avance son visage lentement près du mien et vient cueillir mes larmes de ses lèvres. Son odeur m’enivre aussitôt. Un faible sourire s’étire sur mes lèvres et je passe instinctivement mes bras autour de son cou.
S : (dans un souffle) Je t’aime si fort, mon cœur…
W : (la serrant dans ses bras et poussant un soupir de soulagement) Moi encore plus, ma puce…
Nous poussons un long soupir de soulagement, et je m’écarte légèrement de Sarah. Prenant son visage entre les paumes de mes mains, je laisse mon regard brillant s’accrocher au sien.
Doucement, légèrement, nos lèvres se soudent avec une douceur inouïe. Je ferme les yeux, savoure, m’enivre de cette sensation de bien être, comme à chaque fois que nous avons ce contact si proche. Avec douceur, il m’allonge sur le dos sans quitter mes lèvres qu’il entrouvre afin d’approfondir notre baiser. Des papillons légers effleurent mon ventre alors que sa langue vient de s’enrouler à la mienne sous nos gémissements de plaisirs.
Nos mains parcourent nos corps respectifs, faisant battre nos cœurs plus vite. Nous ne sommes plus que souffles, gémissements. Fougueusement, je la serre contre moi et finit par abandonner ses lèvres pour embrasser sa joue, son cou… et continue dans une descente où le plaisir s’accroît de plus bel. Vivement, j’enlève sa nuisette et plonge mon visage dans le renflement de ses seins qui se dressent sous mes caresses.
J’ai besoin de lui faire oublier ce qu’il s’est passé. Mes baisers sur son corps… sur chaque parcelle de sa peau la fait frémir. Son souffle est haletant, elle gémit doucement tandis que je poursuis le parcours de ses courbes exquises de mes lèvres, de ma langue…
S : (murmure rauque) Went…
W : Laisse moi d’aimer, Sarah….
Je continue à l’embrasser avec passion, avec amour espérant secrètement que le passage de mes baisers sincères effaceront le mal qui la ronge….
voici encore une tite suite
bonne lecture
Chapitre 44.
Went n’arrête pas de gigoter sur la banquette arrière du taxi qui nous ramène vers Los Angeles. Je souris et lance un regard complice vers Dom qui le fixe également.
p : Arrête de remuer comme ça ! On sera arrivés dans une dizaine de minutes.
W : Je sais.
D : T’as encore une pire sale tête qu’hier, toi !
W : Merci de me le rappeler.
D : Ça doit pas être pire que l’autre c*n, tu me diras !
P : (lui lançant un regard noir) Tu pourrais pas la boucler cinq minutes ?
D : (écarquillant les yeux) Ben quoi ? J’ai rien dis de mal !
W : (pouffant de rire) Comme tu n’as pas ronfler cette nuit ?
D : Tu as dû te tromper ! C’est Paul qui n’arrêtait pas de ronfler, pas moi !
P : (levant les yeux en l’air) Ben voyons !
W : C’était tous les deux ! Et c’est pourquoi j’ai cette tête ce matin, vous m’avez empêché de dormir !
D : Parce que toi, tu ronfles pas peut-être ?
W : (haussant un sourcil) Non !
J’éclate de rire tandis que Paul lance une moue satisfaite vers Dom.
P : On y est bientôt.
W : (poussant un soupir) Ouai…
P : Ça ira, Went ne t’en fais pas.
W : J’espère…
D : De toute façon, je ne pense pas qu’Éric fera entendre parler de lui, et puis… la police surveille ta propriété, ils t’ont dis de ne pas t’en faire encore ce matin, avant que nous partons pour l’aéroport.
P : Tu vois que la notoriété sert parfois…
W : (souriant) Ouai… peut-être. Mais ce n’est pas de ça qui je m’inquiète le plus.
P : Sarah t’aime, Went. Elle te parlera, elle a confiance en toi.
W : (hochant silencieusement la tête) J’espère qu’elle ne va pas m’en vouloir…
D : On arrive…
Je les regarde et leur sourit avant de les remercier de m’avoir soutenus tous les deux. Quelques minutes plus tard, nous sortons du taxi et je me précipite à l’intérieur, impatient de la serrer dans mes bras. Alors que je m’apprêtais à monter à l’étage, Paul me retient en posant sa main sur mon épaule. Je me retourne et lui sourit légèrement.
P : Si tu as besoin de quoi que ce soit, tu m’appelles, d’accord ?
W : (ému) Merci Paul…
P : Allez, va vite la retrouver ta Sarah…
Je le remercie encore et grimpe à l’étage. J’entre rapidement dans le salon, où je retrouve tous les autres… sauf Sarah. Amaury s’approche de moi avec de gros yeux, fixant l’hématome de mon œil et bredouille en me disant que Sarah dort encore.
J : Elle n’a pas dormit de la nuit.
W : Je vais aller la voire.
Je lance un regard vers Dom et Paul qui se tiennent derrière moi et m’enfonce dans l’escalier menant aux chambres, les laissant expliquer la situation aux autres. Mon cœur bat à tout rompre, mes mains deviennent moites comme jamais. Je suis si nerveux à l’idée de la réaction qu’elle pourrait avoir.
Sans bruit, j’ouvre doucement la porte de sa chambre qui est plongé dans le noir. Je distingue son corps endormit sur le lit, grâce aux rais de lumières qui filtrent à travers les lames du store vénitien. J’essaie de retenir mon souffle qui est de plus en plus haletant et j’avance lentement de l’autre côté du lit.
Il n’est que neuf heures du matin, ici. J’enlève alors mes vêtements que je laisse tomber sur le sol avant de me glisser sous les draps. Je la contemple pendant de longues minutes, refoulant le désir que j’éprouve à l’attirer dans mes bras….
Soudain, elle bouge légèrement et se retourne sur le côté en gémissant. Je souris et ne peut m’empêcher cette fois d’écarter délicatement une mèche de ses cheveux, barrant ses paupières closes.
Je sens un souffle sur ma temps, et me redresse en sursautant. Mon cœur vient de faire un bond dans ma poitrine alors qu’une main se referme sur ma joue.
W : (murmure ému) Bonjour, ma puce…
Les larmes commencent à monter inexorablement à l’écoute de sa voix.
S : (bredouillant) Went….
W : (murmurant en caressant son visage avec tendresse) Je suis là, ma chérie…. Je suis là….
Elle se jette dans mes bras et font en sanglot. Je la berce contre moi, la serrant fort, essayant de ne pas libérer toute la souffrance que je ressens pour elle.
W : Je t’aime, Sarah… je t’aime…
Il me serre très fort contre lui, m’embrassant d’une pluie de baiser dans les cheveux, sur le front avant de m’allonger dans ses bras. Il me berce, m’apaise par de douces paroles et nous restons un long moment à savourer nos retrouvailles….
Le temps passe tellement long sans elle. Je la serre d’une manière désespérée contre moi. Sarah s’accroche à moi comme si elle allait tombé dans un précipice mais je ne la lâcherais pas… jamais. Je relève son visage et sèche ses larmes de mes pouces. Elle est si belle, je l’aime si fort comme jamais je n’ai aimé auparavant….
S : Je t’aime, Went… tu m’as tellement manqué.
W : Toi aussi mon ange. Tout va bien maintenant….
Je le regarde et sourit jusqu’à ce que je m’aperçoive son œil tuméfié. Mon cœur se serre douloureusement, la colère me submerge. Vivement, je me redresse et allume la lampe de chevet.
W : (portant la main sur ses yeux) Sarah !
Je le fixe une seconde et ôte sa main de son visage.
S : (fermant les yeux) Mon dieu, Went….
W : (se redressant et la prenant des ses bras) Ce n’est rien, ma puce. Je n’ai pas mal…
S : C’est de ma faute….
W : (voix grave) Non, Sarah ! Ce n’est pas de ta faute ! Rien n’est de ta faute ! C’est moi qui l’ai frappé et j’ai reçu un coup ce n’est vraiment rien du tout.
S : Went…
W : Je ne veux pas que tu te sentes responsable de quoi que ce soit, tu m’entends ?! Il ne te fera plus aucun mal, ma puce, je te le promets….
Je reste bouche bée à ces paroles..
Je me sens complètement anéantie à cet instant par le doute qui subjugue en moi.
Silencieusement, mes larmes se mettent à couler le long de mes joues.
Elle baisse les yeux. Je n’aurais pas dû lui dire tout cela. Lentement, je relève son menton et plante mon regard dans le sien. Elle le fuit, et la peur me reprend de l’intérieur. Je ne veux pas qu’elle y pense ! Je veux simplement qu’elle oublie.
W : (murmure rauque) Sarah…
Je ferme les yeux et les ouvre en les relevant vers son regard brillant de larmes. Mon cœur se serre davantage en remarquant la tristesse dans ses yeux. Je n’aime pas le voir ainsi…
W : S’il te plait, Sarah…
Son murmure m’est doux et désespéré à la fois. Il avance son visage lentement près du mien et vient cueillir mes larmes de ses lèvres. Son odeur m’enivre aussitôt. Un faible sourire s’étire sur mes lèvres et je passe instinctivement mes bras autour de son cou.
S : (dans un souffle) Je t’aime si fort, mon cœur…
W : (la serrant dans ses bras et poussant un soupir de soulagement) Moi encore plus, ma puce…
Nous poussons un long soupir de soulagement, et je m’écarte légèrement de Sarah. Prenant son visage entre les paumes de mes mains, je laisse mon regard brillant s’accrocher au sien.
Doucement, légèrement, nos lèvres se soudent avec une douceur inouïe. Je ferme les yeux, savoure, m’enivre de cette sensation de bien être, comme à chaque fois que nous avons ce contact si proche. Avec douceur, il m’allonge sur le dos sans quitter mes lèvres qu’il entrouvre afin d’approfondir notre baiser. Des papillons légers effleurent mon ventre alors que sa langue vient de s’enrouler à la mienne sous nos gémissements de plaisirs.
Nos mains parcourent nos corps respectifs, faisant battre nos cœurs plus vite. Nous ne sommes plus que souffles, gémissements. Fougueusement, je la serre contre moi et finit par abandonner ses lèvres pour embrasser sa joue, son cou… et continue dans une descente où le plaisir s’accroît de plus bel. Vivement, j’enlève sa nuisette et plonge mon visage dans le renflement de ses seins qui se dressent sous mes caresses.
J’ai besoin de lui faire oublier ce qu’il s’est passé. Mes baisers sur son corps… sur chaque parcelle de sa peau la fait frémir. Son souffle est haletant, elle gémit doucement tandis que je poursuis le parcours de ses courbes exquises de mes lèvres, de ma langue…
S : (murmure rauque) Went…
W : Laisse moi d’aimer, Sarah….
Je continue à l’embrasser avec passion, avec amour espérant secrètement que le passage de mes baisers sincères effaceront le mal qui la ronge….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Wahou c'est trop beau "laisse moi t'aimer" !!!!
J'adore leur retrouvailles et leur impatience lol !!
suite suite suite
J'adore leur retrouvailles et leur impatience lol !!
suite suite suite
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Ooooh c'est mimi leur retrouvaille !!!!
Elle se jette dans ses bras et fond en larme...
C'est beau
La suiiiite !!! mdr
Elle se jette dans ses bras et fond en larme...
C'est beau
La suiiiite !!! mdr
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
pitié pas de je pensais que je t'avais mis un comm ici aussi
bon tu sais déjà ce que je veux alors LES SUITES
je t'adore
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tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
merci les miss
désolée mais je n'ai put écrire qu'une seule suite
demain pour une autre^^
bonne lecture
Chapitre 45.
Je sens la main de Went caresser mon ventre avec douceur. J’ouvre les yeux et heurte son regard brillant. Je lui souris tendrement et me blottit contre lui. Je me sens bien dans ses bras. Son souffle chaud dans mon cou me fait frissonner. Il resserre ses bras autour de moi et me dépose une pluie de baisers sur mon visage encore endormit.
W : (murmure rauque) Tu as bien dormis, ma puce ?
S : Hum… quelle heure est-il ?
W : Pas loin de midi. On va se préparé avant d’aller manger, ensuite, on prendra la route… qu’est-ce que tu en dis ?
Je souris et me redresse avant de m’allonger sur lui.. J’aime la sensation de son corps nu contre le mien. J’effleure ses lèvres des miennes et me laisse emporter par l’éclat de ses pupilles étincelantes.
S : (caressant son visage et d’une voix bredouillante) J’irai… je… j’irais partout avec toi, Went… je t’aime.
W : (souriant tendrement avant de la serre contre lui) Moi aussi, ma puce… et je t’aimerais toujours, Sarah….
Je la serre contre moi et pendant de longues minutes, nous restons ainsi, savourant cette étreinte émouvante. Mais il faut qu’on se lève. J’aimerais pouvoir couper court à ce moment mais je n’y arrive pas. J’aime trop l’avoir contre moi… dans mes bras. J’aime le contact de sa peau douce contre la mienne… de sentir son cœur cognait contre le mien… d’humer son odeur qui m’enivre encore aussi rapidement. J’aime sentir son souffle sur ma peau frémissante… ses lèvres douces et pleines qu’elle pose dans mon cou…
W : (murmurant d’une voix rauque) Sarah…
S : (souriante, d’une voix malicieuse) Hum ? Tu veux que nous nous levons maintenant ?
W : (la faisant basculer sur le dos et s’allongeant sur elle, riant doucement) Sorcière !
S : (écarquillant les yeux) Quoi ? Répète ça ?
W : (l’embrassant légèrement) Tu n’es qu’une ensorceleuse, Wayne Callies !
S : Ha oui ?
W : Hum….
S : Et je peux savoir pourquoi ?
W : (plantant son regard dans le sien) Parce qu’on devrait se lever, se dépêcher de prendre la route pour que nous nous retrouvons rien que tous les deux, et la place de faire cela, je suis incapable de me lever parce… parce que j’ai une terrible envie de te faire l’amour.
S : (riant légèrement) Je vois ça… moi qui penser que tu en avais eut assez tout à l’heure.
W : Je n’aurais jamais assez de toi, mon amour.
S : (répondant à son doux baiser) D’accord. Mais tu devras attendre, mon chéri… car, je vais me lever, prendre ma douche et pourra vite prendre la route pour que nous soyons tranquille… toi et moi.
Il pousse un soupir et niche son visage dans mon cou. Je ris doucement et le repousse sur le dos avant de venir poser mes lèvres sur les siennes. Il répond aussitôt à mon baiser avec une tendresse et une sensualité inouïe. Je m’écarte malgré l’envie présente que nous continuons mais je me lève et enfile un peignoir sous son air boudeur. Mon regard parcourt alors son corps nu et je souris avant de lui lancer d’une voix rauque.
S : Tu devrais prendre une douche froide, mon cœur.
J’ouvre la bouche pour lui répondre mais elle sort de la chambre rapidement avant que je n’ai le temps de faire le moindre geste. Je souris malgré l’appréhension grandissante que j’éprouve au fond de moi sur sa réaction. Je la connais mieux qu’elle ne le pense et je sais très bien qu’elle se fait violence pour me cacher le trouble et la souffrance qu’elle contient en elle.
Tout ce que j’espère maintenant, c’est qu’elle arrive à oublier…. Que cet ordure se fasse oublier et que j’arrive par-dessus tout lui faire comprendre à quel point je tiens à elle… que jamais je ne l’a laisserais tombé. Ce sentiment est si puissant en moi que je ne pensais pas pouvoir le libérer un jour….
Sortant de mes réflexions, je sors du lit et enfile mon jean avant de sortir de la chambre. Ayant l’intention de rejoindre Sarah sous la douche, je me faufile dans le couloir silencieusement mais je suis stoppé par Amaury qui me demande de le suivre au salon. Je peste intérieurement et me résout à le rejoindre.
D : (s’exclamant en apercevant Went arriver) Hey ! T’a bien dormit, beau gosse ?
W : Mieux que cette nuit, en tout cas !
J : (fronçant les sourcils et regardant tour à tour, Went et Dominic) Ha… on peux savoir pourquoi ?
W : Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit à cause de ce ronfleur !
D : (vexé) Ha arrête ! C’était Paul, je te dis !
W : Ouai, c’est ça ! Il est où au fait ?
Da : Il est partit, il y a une heure. Il nous a dit de te dire que tu ne devais pas l’hésiter à l’appeler si tu avais un soucis.
W : (souriant) Merci.
Je les regard tous et ils baissent la tête en même temps. Je m’installe dans un des fauteuil en soupirant puis relève le regard vers eux.
W : Vous savez tout ?
R : Oui…
Da : On est vraiment désolé, Went.
M : On ne dira rien à Sarah.
W : Ok, c’est gentil mais éviter de faire cette tête d’enterrement dans ce cas.
A : (voix brisée par la colère) J’aurais du venir !
D : Tu n’aurais rien fait de plus, Am !
A : Je l’aurais tué, oui !
Je souris et serre la main d’Amaury, le remerciant de son soutient du regard.
W : On va déjeuné et on prend la route ensuite… j’espère que ça ne vous dérange pas ?
Tous en même temps : Non !
A : Bien sur que non, papi !
D : (se levant) Bon, je vais aller voir si c’est bientôt prêt !
W : (fronçant les sourcils) C’est toi qui a fait à manger ?
D : C’est à notre tour, p’tit frère, tu t’en souviens ?
A : (riant) Il s’en fout, il s’en va lui !
W : (regardant les filles et d’un air gêné) Je me rattraperais si vous voulez…
J & Da : Non, ce n’est pas la peine, Went.
J : Prend soin d’elle et tu seras quittes.
W : Merci.
D : (levant les yeux au plafond) Ben voyons ! En tout cas, mets toi bien en tête que ce n’est pas moi qui ronflait, mais Paul !
W : Tu ronfles, Dom !
D : Mais non !
J : Menteur !
Je fronce les yeux et regarde Jodie puis Dom. Ils ont l’air gênés, j’y crois pas ! Non, c’est impossible… Je regarde les autres qui ont les yeux grands ouverts de stupeurs sur Jodie et Dom qui fait les gros yeux.
J : (rougissante et bredouillante) Je… je… je l’ai entendu une fois que je n’ai pas su dormir…
A : Ouai c’est ça !
Sur ce, Dom quitte la pièce d’un air irrité tandis que nous éclatons tous de rire…
désolée mais je n'ai put écrire qu'une seule suite
demain pour une autre^^
bonne lecture
Chapitre 45.
Je sens la main de Went caresser mon ventre avec douceur. J’ouvre les yeux et heurte son regard brillant. Je lui souris tendrement et me blottit contre lui. Je me sens bien dans ses bras. Son souffle chaud dans mon cou me fait frissonner. Il resserre ses bras autour de moi et me dépose une pluie de baisers sur mon visage encore endormit.
W : (murmure rauque) Tu as bien dormis, ma puce ?
S : Hum… quelle heure est-il ?
W : Pas loin de midi. On va se préparé avant d’aller manger, ensuite, on prendra la route… qu’est-ce que tu en dis ?
Je souris et me redresse avant de m’allonger sur lui.. J’aime la sensation de son corps nu contre le mien. J’effleure ses lèvres des miennes et me laisse emporter par l’éclat de ses pupilles étincelantes.
S : (caressant son visage et d’une voix bredouillante) J’irai… je… j’irais partout avec toi, Went… je t’aime.
W : (souriant tendrement avant de la serre contre lui) Moi aussi, ma puce… et je t’aimerais toujours, Sarah….
Je la serre contre moi et pendant de longues minutes, nous restons ainsi, savourant cette étreinte émouvante. Mais il faut qu’on se lève. J’aimerais pouvoir couper court à ce moment mais je n’y arrive pas. J’aime trop l’avoir contre moi… dans mes bras. J’aime le contact de sa peau douce contre la mienne… de sentir son cœur cognait contre le mien… d’humer son odeur qui m’enivre encore aussi rapidement. J’aime sentir son souffle sur ma peau frémissante… ses lèvres douces et pleines qu’elle pose dans mon cou…
W : (murmurant d’une voix rauque) Sarah…
S : (souriante, d’une voix malicieuse) Hum ? Tu veux que nous nous levons maintenant ?
W : (la faisant basculer sur le dos et s’allongeant sur elle, riant doucement) Sorcière !
S : (écarquillant les yeux) Quoi ? Répète ça ?
W : (l’embrassant légèrement) Tu n’es qu’une ensorceleuse, Wayne Callies !
S : Ha oui ?
W : Hum….
S : Et je peux savoir pourquoi ?
W : (plantant son regard dans le sien) Parce qu’on devrait se lever, se dépêcher de prendre la route pour que nous nous retrouvons rien que tous les deux, et la place de faire cela, je suis incapable de me lever parce… parce que j’ai une terrible envie de te faire l’amour.
S : (riant légèrement) Je vois ça… moi qui penser que tu en avais eut assez tout à l’heure.
W : Je n’aurais jamais assez de toi, mon amour.
S : (répondant à son doux baiser) D’accord. Mais tu devras attendre, mon chéri… car, je vais me lever, prendre ma douche et pourra vite prendre la route pour que nous soyons tranquille… toi et moi.
Il pousse un soupir et niche son visage dans mon cou. Je ris doucement et le repousse sur le dos avant de venir poser mes lèvres sur les siennes. Il répond aussitôt à mon baiser avec une tendresse et une sensualité inouïe. Je m’écarte malgré l’envie présente que nous continuons mais je me lève et enfile un peignoir sous son air boudeur. Mon regard parcourt alors son corps nu et je souris avant de lui lancer d’une voix rauque.
S : Tu devrais prendre une douche froide, mon cœur.
J’ouvre la bouche pour lui répondre mais elle sort de la chambre rapidement avant que je n’ai le temps de faire le moindre geste. Je souris malgré l’appréhension grandissante que j’éprouve au fond de moi sur sa réaction. Je la connais mieux qu’elle ne le pense et je sais très bien qu’elle se fait violence pour me cacher le trouble et la souffrance qu’elle contient en elle.
Tout ce que j’espère maintenant, c’est qu’elle arrive à oublier…. Que cet ordure se fasse oublier et que j’arrive par-dessus tout lui faire comprendre à quel point je tiens à elle… que jamais je ne l’a laisserais tombé. Ce sentiment est si puissant en moi que je ne pensais pas pouvoir le libérer un jour….
Sortant de mes réflexions, je sors du lit et enfile mon jean avant de sortir de la chambre. Ayant l’intention de rejoindre Sarah sous la douche, je me faufile dans le couloir silencieusement mais je suis stoppé par Amaury qui me demande de le suivre au salon. Je peste intérieurement et me résout à le rejoindre.
D : (s’exclamant en apercevant Went arriver) Hey ! T’a bien dormit, beau gosse ?
W : Mieux que cette nuit, en tout cas !
J : (fronçant les sourcils et regardant tour à tour, Went et Dominic) Ha… on peux savoir pourquoi ?
W : Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit à cause de ce ronfleur !
D : (vexé) Ha arrête ! C’était Paul, je te dis !
W : Ouai, c’est ça ! Il est où au fait ?
Da : Il est partit, il y a une heure. Il nous a dit de te dire que tu ne devais pas l’hésiter à l’appeler si tu avais un soucis.
W : (souriant) Merci.
Je les regard tous et ils baissent la tête en même temps. Je m’installe dans un des fauteuil en soupirant puis relève le regard vers eux.
W : Vous savez tout ?
R : Oui…
Da : On est vraiment désolé, Went.
M : On ne dira rien à Sarah.
W : Ok, c’est gentil mais éviter de faire cette tête d’enterrement dans ce cas.
A : (voix brisée par la colère) J’aurais du venir !
D : Tu n’aurais rien fait de plus, Am !
A : Je l’aurais tué, oui !
Je souris et serre la main d’Amaury, le remerciant de son soutient du regard.
W : On va déjeuné et on prend la route ensuite… j’espère que ça ne vous dérange pas ?
Tous en même temps : Non !
A : Bien sur que non, papi !
D : (se levant) Bon, je vais aller voir si c’est bientôt prêt !
W : (fronçant les sourcils) C’est toi qui a fait à manger ?
D : C’est à notre tour, p’tit frère, tu t’en souviens ?
A : (riant) Il s’en fout, il s’en va lui !
W : (regardant les filles et d’un air gêné) Je me rattraperais si vous voulez…
J & Da : Non, ce n’est pas la peine, Went.
J : Prend soin d’elle et tu seras quittes.
W : Merci.
D : (levant les yeux au plafond) Ben voyons ! En tout cas, mets toi bien en tête que ce n’est pas moi qui ronflait, mais Paul !
W : Tu ronfles, Dom !
D : Mais non !
J : Menteur !
Je fronce les yeux et regarde Jodie puis Dom. Ils ont l’air gênés, j’y crois pas ! Non, c’est impossible… Je regarde les autres qui ont les yeux grands ouverts de stupeurs sur Jodie et Dom qui fait les gros yeux.
J : (rougissante et bredouillante) Je… je… je l’ai entendu une fois que je n’ai pas su dormir…
A : Ouai c’est ça !
Sur ce, Dom quitte la pièce d’un air irrité tandis que nous éclatons tous de rire…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
W : (la faisant basculer sur le dos et s’allongeant sur elle, riant doucement) Sorcière !
S : (écarquillant les yeux) Quoi ? Répète ça ?
W : (l’embrassant légèrement) Tu n’es qu’une ensorceleuse, Wayne Callies !
S : Ha oui ?
tu parles d'un compliment
waou quelle belle suite
ils vont être rien que tous les deux sans boulets et dans un endroit magnifique, mais (et oui il faut qu'il y en ait un ) va falloir qu'ils parlent et
dommage qu'Amaury est demandé à Went de le suivre, je pense que lui aussi aurait besoin d'une douche (froide )
LA SUITE
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Coucou les filles
merci pour vos coms
désolée du retard et aussi en avance pour demain car je ne pourrais pas poster !
donc, faudra attendre la suite pour mardi soir, sorry
mais voilà un tit aperçu
bonne lecture
Chapitre 46.
Déjà plus d’une heure que nous roulons en direction du cottage dans un silence de plomb. Sarah contemple le paysage par la vitre mais je sais qu’elle est perdue dans ces pensées. Je pousse un soupir de lassitude, gardant les yeux rivés sur la route.
Je tourne un peu mon visage vers Went. Il vient de soupirer une fois de plus et je me doute qu’il est inquiet, autant que je le suis. Lentement, je pose ma main sur sa cuisse et lui sourit tendrement.
W : Tu veux dormir un peu ?
S : Non, ça va. Je ne suis pas fatigué.
Il pose sa main sur la mienne, nos doigts s’entrelacent et le silence règne de nouveau dans l’habitacle de la voiture. Pendant de longues minutes, nous regardons la route défiler sous les kilomètres que nous brisons. Aucuns mots, aucunes paroles n’est prononcées mais en faut-il vraiment la peine ?
Pour la première fois que je connais Sarah, j’ai peur de l’éloigner de moi. Comment pourrais-je lui dire que je sais tout ce qu’Éric lui a fait ? Comment trouverais-je le courage de lui faire revivre ses moments horribles de sa vie ? J’aurais du le savoir, bon sang ! J’aurais dû m’en douter qu’il la traitait de cette façon !
Je me souviens encore du jour où je l’avais trouvé en pleurs dans sa caravane quand nous étions en tournage, il y a un an. J’avais pris sur moi ! Quel imbécile ! elle m’avait expliqué qu’elle venait de se disputer avec lui au téléphone et stupide et aveugle comme je l’étais, je lui avais conseillé de le rappeler après l’avoir consolé.
Bon sang ! Je suis aussi responsable que lui ! J’ai poussé la femme que j’aime à se réconcilier avec cet ordure ! J’aurais du lui dire mes véritables sentiments pour elle. J’aurais du tout faire pour ne pas qu’elle reparte vers lui… je l’aurais gardé dans mes bras, je l’aurais aimé… j’en avais tellement envie….
Je lance un regard furtif vers lui et il m’a l’air très énervé. Sa mâchoire est serrée, les muscles de son visage sont complètement crispés. Que se passe-t-il ? A quoi penses-t-il ? Sans m’en rendre compte, ma main caresse doucement sa cuisse. Il tourne la tête vers moi et je découvre son regard brillant de larmes. Mon cœur se serre douloureusement dans ma poitrine.
S : (murmurant) Went… qu’est-ce que tu as ?
W : (inspirant profondément) Je n’ai rien, Sarah. Ne t’inquiète pas, d’accord ?
S : A force que tu me répètes de ne pas m’inquiéter, je m’inquiète !
W : Sarah….
Je lui lance un regard alors qu’elle retire sa main de la mienne d’une manière brusque. Elle me fait la tête, maintenant !
W : Sarah !
S : …
W : Sarah ? S’il te plait, ma puce.
S : Laisse moi tranquille !
Je soupire et me concentre à nouveau sur la route. Je préfère la laisser dans son coin, du moins, pour l’instant. Plusieurs minutes s’écoulent puis nous arrivons dans des petits chemins de terres cahoteux. Je roule plus prudemment et lance des regards furtifs vers elle. Je souris alors que je constate qu’elle en faisait autant sur moi.
Le silence me pèse. Depuis que nous sommes partis du loft, j’ai l’horrible sensation que tous le monde me cache quelque chose. Et Went qui est toujours attentionné avec moi, là, il me laisse dans ce silence qui m’irrite plus que tout. Je pousse un long soupir de lassitude quand j’écarquille les yeux subitement. Went vient de se garer sur le côté de la route.
Je n’en pouvais plus de ce silence et de cette tension insoutenable entre nous. J’arrête le moteur du 4x4 et déboucle ma ceinture avant de faire autant avec celle de Sarah. Elle s’obstine à regarder de l’autre côté. Je l’agrippe par les bras et l’attire sur moi.
S : (dans un souffle) Qu’est-ce que tu fais ? Lâche moi !
W : (la serrant contre lui) Non, je ne te lâcherais pas, mon ange. Pourquoi me fais-tu la tête ?
S : Je ne fais pas la tête !
W : Si, tu fais la tête.
S : Non.
W : Dans ce cas, prouve le moi. Embrasse moi !
Je plante mon regard dans le sien et évite de pouffer de rire. On dirait deux ados en pleine dispute. Je souris et passe mes bras autour de son cou, résignée.
Je souris, satisfait. Elle vient coller son front au mien et nous restons quelques secondes ainsi, nos regards ancrés dans l’un l’autre. Nos souffles se mélangent et j’aime cette sensation… la même que j’ai ressenti deux ans plus tôt au tournage d’une scène dont nous nous trouvions dans cette situation.
W : (murmure rauque) Je t’aime, Sarah…
S : Je t’aime aussi, Went.
Avec une lenteur délibérée, ma main se pose sur sa hanche et je la ramène tout contre moi. Le désir est présent…dans nos corps…dans nos regards. Mes lèvres effleurent les siennes avec tendresse. Elle me sourit, son regard se fait taquin. Alors que j’approche mon visage du sien, elle recule légèrement. Elle veut tout simplement me mettre au supplice.
Je lui souris alors que je le vois déçu que je repousse ses baisers. Il soupire, impatient et remonte ses mains dans mon dos, me faisant frémir au passage.
W : Sarah…
Son murmure est doux, suppliant. Ne pouvant résister davantage, je ferme les yeux et soude nos lèvres dans un gémissement de plaisir. Ses lèvres sont douces et chaudes…brûlantes contre les miennes. Possessives, elles m’embrassent avec passion puis il y glisse sa langue.
Nous gémissons tous les deux tandis que nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre. Avec fougue, nous nous embrassons ardemment. Sa main passe sous mon chemisier, brûle ma peau frémissante de ses doigts. Ses caresses se font plus insistantes alors qu’il me dévore littéralement de baisers.
Ma respiration est saccadée, je ne peux plus m’arrêter… besoin de la toucher, de l’embrasser, de l’aimer indéfiniment. Elle s’écarte de mes lèvres, son souffle est court, et niche son doux visage dans mon cou. Elle y dépose des baisers sensuels puis se redresse et colle son front au mien.
S : (dans un souffle) On devrait reprendre la route…
W : Oui… on devrait…
Elle me répond d’un sourire plein de promesses et retourne prendre sa place à mes côtés. Je me penche vers elle et capture à nouveau ses lèvres d’un baiser avide avant de remettre le moteur en marche….
merci pour vos coms
désolée du retard et aussi en avance pour demain car je ne pourrais pas poster !
donc, faudra attendre la suite pour mardi soir, sorry
mais voilà un tit aperçu
bonne lecture
Chapitre 46.
Déjà plus d’une heure que nous roulons en direction du cottage dans un silence de plomb. Sarah contemple le paysage par la vitre mais je sais qu’elle est perdue dans ces pensées. Je pousse un soupir de lassitude, gardant les yeux rivés sur la route.
Je tourne un peu mon visage vers Went. Il vient de soupirer une fois de plus et je me doute qu’il est inquiet, autant que je le suis. Lentement, je pose ma main sur sa cuisse et lui sourit tendrement.
W : Tu veux dormir un peu ?
S : Non, ça va. Je ne suis pas fatigué.
Il pose sa main sur la mienne, nos doigts s’entrelacent et le silence règne de nouveau dans l’habitacle de la voiture. Pendant de longues minutes, nous regardons la route défiler sous les kilomètres que nous brisons. Aucuns mots, aucunes paroles n’est prononcées mais en faut-il vraiment la peine ?
Pour la première fois que je connais Sarah, j’ai peur de l’éloigner de moi. Comment pourrais-je lui dire que je sais tout ce qu’Éric lui a fait ? Comment trouverais-je le courage de lui faire revivre ses moments horribles de sa vie ? J’aurais du le savoir, bon sang ! J’aurais dû m’en douter qu’il la traitait de cette façon !
Je me souviens encore du jour où je l’avais trouvé en pleurs dans sa caravane quand nous étions en tournage, il y a un an. J’avais pris sur moi ! Quel imbécile ! elle m’avait expliqué qu’elle venait de se disputer avec lui au téléphone et stupide et aveugle comme je l’étais, je lui avais conseillé de le rappeler après l’avoir consolé.
Bon sang ! Je suis aussi responsable que lui ! J’ai poussé la femme que j’aime à se réconcilier avec cet ordure ! J’aurais du lui dire mes véritables sentiments pour elle. J’aurais du tout faire pour ne pas qu’elle reparte vers lui… je l’aurais gardé dans mes bras, je l’aurais aimé… j’en avais tellement envie….
Je lance un regard furtif vers lui et il m’a l’air très énervé. Sa mâchoire est serrée, les muscles de son visage sont complètement crispés. Que se passe-t-il ? A quoi penses-t-il ? Sans m’en rendre compte, ma main caresse doucement sa cuisse. Il tourne la tête vers moi et je découvre son regard brillant de larmes. Mon cœur se serre douloureusement dans ma poitrine.
S : (murmurant) Went… qu’est-ce que tu as ?
W : (inspirant profondément) Je n’ai rien, Sarah. Ne t’inquiète pas, d’accord ?
S : A force que tu me répètes de ne pas m’inquiéter, je m’inquiète !
W : Sarah….
Je lui lance un regard alors qu’elle retire sa main de la mienne d’une manière brusque. Elle me fait la tête, maintenant !
W : Sarah !
S : …
W : Sarah ? S’il te plait, ma puce.
S : Laisse moi tranquille !
Je soupire et me concentre à nouveau sur la route. Je préfère la laisser dans son coin, du moins, pour l’instant. Plusieurs minutes s’écoulent puis nous arrivons dans des petits chemins de terres cahoteux. Je roule plus prudemment et lance des regards furtifs vers elle. Je souris alors que je constate qu’elle en faisait autant sur moi.
Le silence me pèse. Depuis que nous sommes partis du loft, j’ai l’horrible sensation que tous le monde me cache quelque chose. Et Went qui est toujours attentionné avec moi, là, il me laisse dans ce silence qui m’irrite plus que tout. Je pousse un long soupir de lassitude quand j’écarquille les yeux subitement. Went vient de se garer sur le côté de la route.
Je n’en pouvais plus de ce silence et de cette tension insoutenable entre nous. J’arrête le moteur du 4x4 et déboucle ma ceinture avant de faire autant avec celle de Sarah. Elle s’obstine à regarder de l’autre côté. Je l’agrippe par les bras et l’attire sur moi.
S : (dans un souffle) Qu’est-ce que tu fais ? Lâche moi !
W : (la serrant contre lui) Non, je ne te lâcherais pas, mon ange. Pourquoi me fais-tu la tête ?
S : Je ne fais pas la tête !
W : Si, tu fais la tête.
S : Non.
W : Dans ce cas, prouve le moi. Embrasse moi !
Je plante mon regard dans le sien et évite de pouffer de rire. On dirait deux ados en pleine dispute. Je souris et passe mes bras autour de son cou, résignée.
Je souris, satisfait. Elle vient coller son front au mien et nous restons quelques secondes ainsi, nos regards ancrés dans l’un l’autre. Nos souffles se mélangent et j’aime cette sensation… la même que j’ai ressenti deux ans plus tôt au tournage d’une scène dont nous nous trouvions dans cette situation.
- Spoiler:
W : (murmure rauque) Je t’aime, Sarah…
S : Je t’aime aussi, Went.
Avec une lenteur délibérée, ma main se pose sur sa hanche et je la ramène tout contre moi. Le désir est présent…dans nos corps…dans nos regards. Mes lèvres effleurent les siennes avec tendresse. Elle me sourit, son regard se fait taquin. Alors que j’approche mon visage du sien, elle recule légèrement. Elle veut tout simplement me mettre au supplice.
Je lui souris alors que je le vois déçu que je repousse ses baisers. Il soupire, impatient et remonte ses mains dans mon dos, me faisant frémir au passage.
W : Sarah…
Son murmure est doux, suppliant. Ne pouvant résister davantage, je ferme les yeux et soude nos lèvres dans un gémissement de plaisir. Ses lèvres sont douces et chaudes…brûlantes contre les miennes. Possessives, elles m’embrassent avec passion puis il y glisse sa langue.
Nous gémissons tous les deux tandis que nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre. Avec fougue, nous nous embrassons ardemment. Sa main passe sous mon chemisier, brûle ma peau frémissante de ses doigts. Ses caresses se font plus insistantes alors qu’il me dévore littéralement de baisers.
Ma respiration est saccadée, je ne peux plus m’arrêter… besoin de la toucher, de l’embrasser, de l’aimer indéfiniment. Elle s’écarte de mes lèvres, son souffle est court, et niche son doux visage dans mon cou. Elle y dépose des baisers sensuels puis se redresse et colle son front au mien.
S : (dans un souffle) On devrait reprendre la route…
W : Oui… on devrait…
Elle me répond d’un sourire plein de promesses et retourne prendre sa place à mes côtés. Je me penche vers elle et capture à nouveau ses lèvres d’un baiser avide avant de remettre le moteur en marche….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
quoi ils se parlent plusDéjà plus d’une heure que nous roulons en direction du cottage dans un silence de plomb
heureusement qu'il reste quelques gestes de tendresseIl pose sa main sur la mienne, nos doigts s’entrelacent et le silence règne de nouveau dans l’habitacle de la voiture.
Went ensuite qui culpabilise de ne pas s'être aperçu que ça n'allait pas quand elle était avec ce gros co*****
Sarah qui se pose des questions et qui se fâche
W : Si, tu fais la tête.
S : Non.
W : Dans ce cas, prouve le moi. Embrasse moi
un peu d'humour, en tout cas ça m'a fait sourire jusqu'aux oreilles
S : (dans un souffle) On devrait reprendre la route…
W : Oui… on devrait…
oui car si la police les trouve dans une situation embarrassante ils vont finir au poste
Angie tu te débrouilles mais demain il me faut une suite
STP
quoi je suis une bourreau , non c'est pas vrai, je suis compréhensive mais addict
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Mdr mauvaise idée de s'arrêter lol
Enfin ça va ils ont conscience qu'il devrait reprendre la route lol
La suiiiite
Enfin ça va ils ont conscience qu'il devrait reprendre la route lol
La suiiiite
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Pourquoi ils repartent ??? lol
C'est comme assez tendu entre eux je crains quand il va lui dire ce qui la découvert a propros de Sara !!!!
SUITE SUITE SUITE
C'est comme assez tendu entre eux je crains quand il va lui dire ce qui la découvert a propros de Sara !!!!
SUITE SUITE SUITE
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Je suis là les miss
voici la suite
bonne lecture et encore merci pour vos coms mes chéries
Chapitre 47.
Une heure plus tard, après s’être arrêté à une station essence pour faire le plein et acheter des bricoles à manger, nous nous dirigeons sur le chemin du cottage.
S : C’est pas terrible ces gâteaux !
W : Tu n’aimes pas ?
S : Bof, je n’ai pas trop faim.
W : Tu n’as jamais faim, Sarah !
S : (écarquillant les yeux) Bien sur que si !
W : (souriant) Ha oui ? Déjà avant que nous partions, tu n’as presque rien mangé de ce que Dom a préparé.
S : Sans vouloir te vexer, Miller, c’était immangeable !
W : (éclatant de rire) Bien sur ! Et je peux savoir pourquoi moi, j’ai tout mangé ?
S : Ben tu as été le seul, rappelle toi ! Et tout ce qui ressemble potentiellement à te la nourriture, tu es le premier à te jeter dessus, d’ailleurs tu…
W : (s’arrêtant de sourire) Quoi ? Vas-y continues ?
S : (bredouillante) Tu… tu devrais te surveiller un peu, c’est tout.
W : (écarquillant les yeux) Qu’est-ce que tu insinues, Wayne Callies ?
S : Tu commences à attraper du ventre.
Je n’aurais pas du dire ça, mais il l’a bien cherché après tout ! Je pouffe de rire en remarquant son air vexé, presque outré par mes paroles mais je ne peux m’empêcher de me rattraper en passant ma main sous son tee-shirt.
S : Mais j’adore ton corps mon chéri.
W : (d’une voix boudeuse) Tu me le paieras, Sarah !
S : (haussant un sourcil en caressant son ventre) Ha ? Et qu’est-ce que tu comptes me faire, Miller ?
Ce que je compte te faire ? Normalement je l’emmène loin de tout pour discuter de ce qu’elle a vécu mais je ne compte pas faire que cela. J’ai envie de nous retrouver seuls au monde…elle et moi à nous aimer… à rattraper tout ce que nous aurions dû partager ensemble depuis très longtemps.
W : (murmure rauque) Tu le seras dans cinq minutes ! Regarde… c’est le cottage, là-bas.
S : (écarquillant les yeux et d’une voix enthousiaste) Et bien ! C’est magnifique ici… c’est isolé, ici, regarde ! Il y a même un étang…
Je suis ravi quand cette étincelle d’excitation brille dans son regard. Je souris et regarde le plan d’eau, continuant la route.
Je reste stupéfaite par la beauté de l’endroit. Le cottage est tout en bois, tout est fleuri. Sur la fine colline herbeuse où nous sommes en train de passer, surplombe l’étang gigantesque. L’eau est presque transparente, on peut observé des cailloux échoués de la colline rocheuse qui se trouve en face.
W : (se garant dans l’allée du pavillon et coupant le moteur) Voilà, ma puce. Nous y sommes.
S : Je ne savais pas que Paul possédait cette merveille ! C’est tout simplement magnifique.
W : Oui, le paysage est très agréable… et c’est isolé de tout autre civilisation. Allons à l’intérieur.
S : Je n’ai même pas prit mon maillot de bain !
W : (regard emplit de malice) Tu n’en auras pas besoin, nous ne sommes que tous les deux ici.
Je sors de la voiture rapidement en souriant et l’aide à descendre. Quelques minutes ensuite, nous nous trouvons à l’intérieur et je suis heureux de la voir sourire ainsi. Elle déambule tout partout dans les pièce, l’air émerveillé.
C’est très beau, très simple, tout comme j’aime. Après avoir visité la cuisine, je retourne au salon et contemple la belle cheminée qui y trône. Un tapis moelleux est disposé sur le devant et j’imagine aisément Went et moi, alanguis sur celui-ci, les flammes dansant dans l’âtre, jetant des rais d’ombres et de lumières sur nos corps nus enlacés.
J’avance vers Sarah qui fixe la cheminée d’un air rêveur et l’enlace tendrement. Elle émet un faible gémissement qui me fait sourire et l’attire contre moi. Je passe mes mains sous son chemisier, caresse son ventre plat.
W : (lui murmurant d’une voix rauque dans le creux de son oreille) A quoi penses-tu, mon amour ?
S : Hum… a rien de bien important.
W : (la faisant se retourner, face à lui) A non ?
Je plante mon regard dans le sien et devine sans mal ses pensées. Lentement, je lève une main vers son visage et trace le contour de ses lèvres avec mes doigts provocants.
S : (chuchotant) Je réfléchissais juste à ce que tu m’as dis tout à l’heure, dans la voiture… tu sais…
Qu’est-ce qu’elle me fait ? Elle relève mon tee-shirt et ho… quelle peste !Elle vient de me pincer mon ventre, et son sourire se fait moqueur.
Je m’écarte de lui en riant et m’enfuis rapidement dans la cuisine mais il me rattrape et me porte dans ses bras.
W : Qu’est-ce que tu as osé faire, Wayne Callies ?
S : Rien du tout, Miller ! Repose moi par terre !
W : Ho non, ma puce, ne crois pas que tu vas t’en sortir aussi facilement.
S : Allez, Went ! Ne fais pas l’enfant ! Je m’excuse d’accord ? Et je vais trouver un moyen pour te faire brûler les calories que tu as pris…
Je la fais taire d’un baiser et la laisse glisser le long de mon corps sur le sol. Dans une fougue contenue, je la plaque contre le mur et approfondis mon baiser. Elle y répond avec avidité et je sens ses lèvres contre les miennes s’élargirent dans un sourire. Je me recule légèrement et plante mon regard dans le sien. Brillants de passions et d’amour, nos pupilles restent soudées l’une à l’autre et d’une lenteur délibérée sans briser le contact visuel que nous avons, j’entrepris d’enlever les boutons de son chemisier alors qu’elle s’approche de moi et m’enlève mon tee-shirt, le déchirant presque….
voici la suite
bonne lecture et encore merci pour vos coms mes chéries
Chapitre 47.
Une heure plus tard, après s’être arrêté à une station essence pour faire le plein et acheter des bricoles à manger, nous nous dirigeons sur le chemin du cottage.
S : C’est pas terrible ces gâteaux !
W : Tu n’aimes pas ?
S : Bof, je n’ai pas trop faim.
W : Tu n’as jamais faim, Sarah !
S : (écarquillant les yeux) Bien sur que si !
W : (souriant) Ha oui ? Déjà avant que nous partions, tu n’as presque rien mangé de ce que Dom a préparé.
S : Sans vouloir te vexer, Miller, c’était immangeable !
W : (éclatant de rire) Bien sur ! Et je peux savoir pourquoi moi, j’ai tout mangé ?
S : Ben tu as été le seul, rappelle toi ! Et tout ce qui ressemble potentiellement à te la nourriture, tu es le premier à te jeter dessus, d’ailleurs tu…
W : (s’arrêtant de sourire) Quoi ? Vas-y continues ?
S : (bredouillante) Tu… tu devrais te surveiller un peu, c’est tout.
W : (écarquillant les yeux) Qu’est-ce que tu insinues, Wayne Callies ?
S : Tu commences à attraper du ventre.
Je n’aurais pas du dire ça, mais il l’a bien cherché après tout ! Je pouffe de rire en remarquant son air vexé, presque outré par mes paroles mais je ne peux m’empêcher de me rattraper en passant ma main sous son tee-shirt.
S : Mais j’adore ton corps mon chéri.
W : (d’une voix boudeuse) Tu me le paieras, Sarah !
S : (haussant un sourcil en caressant son ventre) Ha ? Et qu’est-ce que tu comptes me faire, Miller ?
Ce que je compte te faire ? Normalement je l’emmène loin de tout pour discuter de ce qu’elle a vécu mais je ne compte pas faire que cela. J’ai envie de nous retrouver seuls au monde…elle et moi à nous aimer… à rattraper tout ce que nous aurions dû partager ensemble depuis très longtemps.
W : (murmure rauque) Tu le seras dans cinq minutes ! Regarde… c’est le cottage, là-bas.
S : (écarquillant les yeux et d’une voix enthousiaste) Et bien ! C’est magnifique ici… c’est isolé, ici, regarde ! Il y a même un étang…
Je suis ravi quand cette étincelle d’excitation brille dans son regard. Je souris et regarde le plan d’eau, continuant la route.
- Spoiler:
Je reste stupéfaite par la beauté de l’endroit. Le cottage est tout en bois, tout est fleuri. Sur la fine colline herbeuse où nous sommes en train de passer, surplombe l’étang gigantesque. L’eau est presque transparente, on peut observé des cailloux échoués de la colline rocheuse qui se trouve en face.
W : (se garant dans l’allée du pavillon et coupant le moteur) Voilà, ma puce. Nous y sommes.
S : Je ne savais pas que Paul possédait cette merveille ! C’est tout simplement magnifique.
W : Oui, le paysage est très agréable… et c’est isolé de tout autre civilisation. Allons à l’intérieur.
S : Je n’ai même pas prit mon maillot de bain !
W : (regard emplit de malice) Tu n’en auras pas besoin, nous ne sommes que tous les deux ici.
Je sors de la voiture rapidement en souriant et l’aide à descendre. Quelques minutes ensuite, nous nous trouvons à l’intérieur et je suis heureux de la voir sourire ainsi. Elle déambule tout partout dans les pièce, l’air émerveillé.
C’est très beau, très simple, tout comme j’aime. Après avoir visité la cuisine, je retourne au salon et contemple la belle cheminée qui y trône. Un tapis moelleux est disposé sur le devant et j’imagine aisément Went et moi, alanguis sur celui-ci, les flammes dansant dans l’âtre, jetant des rais d’ombres et de lumières sur nos corps nus enlacés.
J’avance vers Sarah qui fixe la cheminée d’un air rêveur et l’enlace tendrement. Elle émet un faible gémissement qui me fait sourire et l’attire contre moi. Je passe mes mains sous son chemisier, caresse son ventre plat.
W : (lui murmurant d’une voix rauque dans le creux de son oreille) A quoi penses-tu, mon amour ?
S : Hum… a rien de bien important.
W : (la faisant se retourner, face à lui) A non ?
Je plante mon regard dans le sien et devine sans mal ses pensées. Lentement, je lève une main vers son visage et trace le contour de ses lèvres avec mes doigts provocants.
S : (chuchotant) Je réfléchissais juste à ce que tu m’as dis tout à l’heure, dans la voiture… tu sais…
Qu’est-ce qu’elle me fait ? Elle relève mon tee-shirt et ho… quelle peste !Elle vient de me pincer mon ventre, et son sourire se fait moqueur.
Je m’écarte de lui en riant et m’enfuis rapidement dans la cuisine mais il me rattrape et me porte dans ses bras.
W : Qu’est-ce que tu as osé faire, Wayne Callies ?
S : Rien du tout, Miller ! Repose moi par terre !
W : Ho non, ma puce, ne crois pas que tu vas t’en sortir aussi facilement.
S : Allez, Went ! Ne fais pas l’enfant ! Je m’excuse d’accord ? Et je vais trouver un moyen pour te faire brûler les calories que tu as pris…
Je la fais taire d’un baiser et la laisse glisser le long de mon corps sur le sol. Dans une fougue contenue, je la plaque contre le mur et approfondis mon baiser. Elle y répond avec avidité et je sens ses lèvres contre les miennes s’élargirent dans un sourire. Je me recule légèrement et plante mon regard dans le sien. Brillants de passions et d’amour, nos pupilles restent soudées l’une à l’autre et d’une lenteur délibérée sans briser le contact visuel que nous avons, j’entrepris d’enlever les boutons de son chemisier alors qu’elle s’approche de moi et m’enlève mon tee-shirt, le déchirant presque….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Que c'est romantique ce cottage lol
Alors comme ça il a pris du ventre ??? mdr
La suiiiiiiite !!!!
Alors comme ça il a pris du ventre ??? mdr
La suiiiiiiite !!!!
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
coucou les miss
merci pour vos coms mes chéries
et oui, il a prit juste un peu de ventre miss mdr
mais il va vite bruler ses calories comme dit Sarah:lol!:
bonne lecture
Chapitre 48.
Notre baiser se prolonge, mêlant nos souffles, nos langues se pourchassant avec volupté. Je la tiens serrée contre moi et l’emmène vers le canapé.
S : (murmurant d’une voix rauque et le souffle court) Went… fais-moi l’amour maintenant…
Je la regarde intensément et lui sourit, acceptant sa requête avec joie. Je capture ses lèvres à nouveau, l’allongeant dans les coussins moelleux. Sous ses mains qu’elle caresse mon corps, mes muscles se tendent à l’extrême. Très vite, j’ôte ses vêtements et en fait autant avec les miens, avide de retrouver nos deux corps nus l’un contre l’autre.
L’air se fait lourd et pesant alors qu’il parcours mon corps de ses lèvres brûlantes. Nos caresses se font audacieuses, accélérant nos rythmes cardiaques. Nos souffles sont haletants… Il s’applique à jouer pour moi une partition de plaisir, attisant le brasier qui brûle en moi.
Sa barbe naissante est rêche contre ma peau frémissante et chaque fois que je bouge, la sensation râpeuse m’amène plus près du précipice…. Je n’en peux plus, je le ramène à moi, et l’embrasse à en perdre haleine…
S : (dans un souffle) Maintenant…
Répondant à son invitation, je m’enfonce en elle en un coup de rein. Je la fixe sans bouger et l’embrasse sensuellement sur les lèvres. Elle s’agrippe à mes épaules comme si sa vie en dépendait et nos corps vibrent à l’unisson.
Oubliant tout, je ferme les paupières et me laisse onduler sur le rythme lancinant de notre élan. Je m’offre à ses assauts brûlants, ressentant bientôt le plaisir monter en moi, et tout autour de nous me semble se consumer dans une glorieuse jouissance.
Je prends appui sur mes avants bras, et la regarde sombrer dans l’extase. Je frémis et ferme les yeux avant de m’écrouler sur elle. Nous restons immobiles un long moment…. Le voile de volupté dans lequel nous baignons se dissipe progressivement et nous reprenons conscience du monde autour de nous.
Je pouffe de rire devant nos élans fougueux qui nous emmènent toujours là où nous nous trouvons… enlacés dans les bras de l’un de l’autre et à bout de souffle. Il me sourit et me dépose un baiser sur le bout du nez. Mes mains caressent tendrement ses épaules que j’ai martyrisé quelques minutes auparavant. Son regard se plante dans le mien et je retrouve la brillance, l’éclat de ses yeux océans dont j’adore y plonger.
W : Qu’est-ce qui te fait rire, mon cœur ?
S : Notre insatiabilité, mon chéri.
W : Tu regrettes ?
Je reste surprise, voir interdite à cette question. Son timbre de voix a changé, il a l’air d’être inquiet. Je secoue légèrement la tête et prend son visage entre mes mains. Nous nous regardons un instant puis je me redresse doucement et effleure ses lèvres des miennes.
S : (murmurant) Non… comment peux-tu me demander cela, Went ? Je… je me sens si bien dans tes bras, quand nous sommes rien que tous les deux… et j’ai attendu si longtemps pour vivre ses instants avec toi…
W : (ému) Moi aussi, Sarah…
Je l’embrasse sur les joues puis mes lèvres reprennent le chemin qu’ils connaissent par cœur. Les paupières à mi-closes, j’effleure délicatement ses lèvres puis j’approfondis mon baiser. Le désir renaît aussitôt en moi… elle a dû le remarquer car elle me repousse en souriant et vient planter son regard inquisiteur dans le mien.
S : Je te crois volontiers, Miller.
W : (riant légèrement) C’est vrai ça ?
S : (hochant la tête malicieusement) Hum… dis moi ?
W : Oui ?
S : J’ai faim…
J’éclate de rire et enfonce mon visage dans son cou.
W : (murmurant dans son oreille) Et tu as faim de quoi, mon coeur ?
S : (riant) De nourriture, et ensuite… j’aurais encore faim de toi mais seulement si tu me prépares un bon bain chaud.
W : (l’air enjoué par la proposition de Sarah) Hum, ça me parait bien aussi, ma puce… a condition que je partage ton bain.
S : (faisant mine de réfléchir) Je ne sais pas trop…
Elle se fiche de moi ? Oui j’en suis sur. J’agrippe ses poignets et les places au-dessus de sa tête. J’en profite pour l’embrasser sur les points sensibles de son corps, elle s’agite sous moi et se mets à rire.
S : Went, arrête ! Idiot… ta barbe me fait mal.
W : (se redressant d’un coup) Excuse moi, ma puce.
S : (reprenant son souffle) Je t’ai eus !
Je le repousse vivement mais sans brutalité et me lève du canapé avant de courir dans la pièce. Il éclate de rire et fait son regard de comédien menaçant. Ce qui me fait redoubler l’hilarité que j’éprouve. Il s’approche toujours de moi alors que je déguerpis dans la cuisine. Je prend soudain conscience que je suis complètement nue devant lui et qu’il sourit alors qu’il constate ma gêne.
Je m’approche d’un pas rapide et la prend dans mes bras.
W : C’est moi qui t’ai bien eut, ma puce !
S : Tu as gagné.
W : Et qu’est-ce que j’ai gagné ?
S : (haussant un sourcil) Le droit de faire à manger ?
W : (secouant la tête, l’air satisfait) Non, cherche encore…
S : Un baiser ? Un long et langoureux baiser ?
W : (faisant mine de réfléchir) Hum… ok, allons-y pour un baiser, Wayne Callies.
Je souris et me lève sur la pointe des pieds pour capturer ses lèvres mais il me soulève dans ses bras et m’installe sur le plan de travail. Surprise, je le fixe un instant et ne put m’empêcher de sourire avant de l’embrasser car je sais qu’il aura encore plus qu’un simple et long langoureux baiser…
merci pour vos coms mes chéries
et oui, il a prit juste un peu de ventre miss mdr
mais il va vite bruler ses calories comme dit Sarah:lol!:
bonne lecture
Chapitre 48.
Notre baiser se prolonge, mêlant nos souffles, nos langues se pourchassant avec volupté. Je la tiens serrée contre moi et l’emmène vers le canapé.
S : (murmurant d’une voix rauque et le souffle court) Went… fais-moi l’amour maintenant…
Je la regarde intensément et lui sourit, acceptant sa requête avec joie. Je capture ses lèvres à nouveau, l’allongeant dans les coussins moelleux. Sous ses mains qu’elle caresse mon corps, mes muscles se tendent à l’extrême. Très vite, j’ôte ses vêtements et en fait autant avec les miens, avide de retrouver nos deux corps nus l’un contre l’autre.
L’air se fait lourd et pesant alors qu’il parcours mon corps de ses lèvres brûlantes. Nos caresses se font audacieuses, accélérant nos rythmes cardiaques. Nos souffles sont haletants… Il s’applique à jouer pour moi une partition de plaisir, attisant le brasier qui brûle en moi.
Sa barbe naissante est rêche contre ma peau frémissante et chaque fois que je bouge, la sensation râpeuse m’amène plus près du précipice…. Je n’en peux plus, je le ramène à moi, et l’embrasse à en perdre haleine…
S : (dans un souffle) Maintenant…
Répondant à son invitation, je m’enfonce en elle en un coup de rein. Je la fixe sans bouger et l’embrasse sensuellement sur les lèvres. Elle s’agrippe à mes épaules comme si sa vie en dépendait et nos corps vibrent à l’unisson.
Oubliant tout, je ferme les paupières et me laisse onduler sur le rythme lancinant de notre élan. Je m’offre à ses assauts brûlants, ressentant bientôt le plaisir monter en moi, et tout autour de nous me semble se consumer dans une glorieuse jouissance.
Je prends appui sur mes avants bras, et la regarde sombrer dans l’extase. Je frémis et ferme les yeux avant de m’écrouler sur elle. Nous restons immobiles un long moment…. Le voile de volupté dans lequel nous baignons se dissipe progressivement et nous reprenons conscience du monde autour de nous.
Je pouffe de rire devant nos élans fougueux qui nous emmènent toujours là où nous nous trouvons… enlacés dans les bras de l’un de l’autre et à bout de souffle. Il me sourit et me dépose un baiser sur le bout du nez. Mes mains caressent tendrement ses épaules que j’ai martyrisé quelques minutes auparavant. Son regard se plante dans le mien et je retrouve la brillance, l’éclat de ses yeux océans dont j’adore y plonger.
W : Qu’est-ce qui te fait rire, mon cœur ?
S : Notre insatiabilité, mon chéri.
W : Tu regrettes ?
Je reste surprise, voir interdite à cette question. Son timbre de voix a changé, il a l’air d’être inquiet. Je secoue légèrement la tête et prend son visage entre mes mains. Nous nous regardons un instant puis je me redresse doucement et effleure ses lèvres des miennes.
S : (murmurant) Non… comment peux-tu me demander cela, Went ? Je… je me sens si bien dans tes bras, quand nous sommes rien que tous les deux… et j’ai attendu si longtemps pour vivre ses instants avec toi…
W : (ému) Moi aussi, Sarah…
Je l’embrasse sur les joues puis mes lèvres reprennent le chemin qu’ils connaissent par cœur. Les paupières à mi-closes, j’effleure délicatement ses lèvres puis j’approfondis mon baiser. Le désir renaît aussitôt en moi… elle a dû le remarquer car elle me repousse en souriant et vient planter son regard inquisiteur dans le mien.
S : Je te crois volontiers, Miller.
W : (riant légèrement) C’est vrai ça ?
S : (hochant la tête malicieusement) Hum… dis moi ?
W : Oui ?
S : J’ai faim…
J’éclate de rire et enfonce mon visage dans son cou.
W : (murmurant dans son oreille) Et tu as faim de quoi, mon coeur ?
S : (riant) De nourriture, et ensuite… j’aurais encore faim de toi mais seulement si tu me prépares un bon bain chaud.
W : (l’air enjoué par la proposition de Sarah) Hum, ça me parait bien aussi, ma puce… a condition que je partage ton bain.
S : (faisant mine de réfléchir) Je ne sais pas trop…
Elle se fiche de moi ? Oui j’en suis sur. J’agrippe ses poignets et les places au-dessus de sa tête. J’en profite pour l’embrasser sur les points sensibles de son corps, elle s’agite sous moi et se mets à rire.
S : Went, arrête ! Idiot… ta barbe me fait mal.
W : (se redressant d’un coup) Excuse moi, ma puce.
S : (reprenant son souffle) Je t’ai eus !
Je le repousse vivement mais sans brutalité et me lève du canapé avant de courir dans la pièce. Il éclate de rire et fait son regard de comédien menaçant. Ce qui me fait redoubler l’hilarité que j’éprouve. Il s’approche toujours de moi alors que je déguerpis dans la cuisine. Je prend soudain conscience que je suis complètement nue devant lui et qu’il sourit alors qu’il constate ma gêne.
Je m’approche d’un pas rapide et la prend dans mes bras.
W : C’est moi qui t’ai bien eut, ma puce !
S : Tu as gagné.
W : Et qu’est-ce que j’ai gagné ?
S : (haussant un sourcil) Le droit de faire à manger ?
W : (secouant la tête, l’air satisfait) Non, cherche encore…
S : Un baiser ? Un long et langoureux baiser ?
W : (faisant mine de réfléchir) Hum… ok, allons-y pour un baiser, Wayne Callies.
Je souris et me lève sur la pointe des pieds pour capturer ses lèvres mais il me soulève dans ses bras et m’installe sur le plan de travail. Surprise, je le fixe un instant et ne put m’empêcher de sourire avant de l’embrasser car je sais qu’il aura encore plus qu’un simple et long langoureux baiser…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Mdr ça leur donne des idées les vacances lol
Effectivement perdre un peu de ventre ne va pas être trés dur mdr
Et y'avait pas une histoire de faim nourriture et de bain avant ?? mdr
La suiiiiite
Effectivement perdre un peu de ventre ne va pas être trés dur mdr
Et y'avait pas une histoire de faim nourriture et de bain avant ?? mdr
La suiiiiite
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
coucou les miss
voici la suite
Chapitre 49.
J’observe Sarah pendant de longues minutes tandis qu’elle mange avec appétit je dois dire que je me sens rassuré de la voir avalé ce que nous avons préparé, tous les deux avec le sourire. Je me mets à rire doucement et lui caresse son bras nu…
S : Tu ne manges pas ?
W : Je n’ai plus faim.
S : (poussant un soupir) Went ! Je plaisantais tout à l’heure !
W : (riant) Ha oui ?
Je me met à rire alors que les images de nos étreintes dans la cuisine, puis dans la salle de bain me revinrent à l’esprit. J’écarte les assiettes d’un geste et les déposent sur la table basse avant de me coller contre lui et de l’embrasser tendrement dans le cou.
Je me calle sur les cousins que nous avons disposé sur le tapis et la serre dans mes bras. Doucement, je caresse ses cheveux et je fixe les flammes qui dansent dans l’âtre de la cheminée. Seul le crépitement des bûches se consumant, brise le silence apaisant de la pièce. Au dehors, le soleil s’est couché, et le ciel dévoile sa palette de couleur sombre et pâlissante.
S : (chuchotant) A quoi penses-tu ?
W : (souriant doucement) A toi…à nous.
S : Et ?
W : Et… c’est un secret.
Je souris alors qu’elle se dégage de mes bras et s’installe à califourchon sur moi. Mes mains se posent rapidement sur ses hanches et les caressent sensuellement.
S : Tu ne veux pas me le dire ?
W : (secouant la tête) Non, pas maintenant du moins.
S : (se penchant vers son visage et effleurant ses lèvres d’une façon taquine) Tu es obligé de me le dire, vu que je suis concernée… alors ?
W : Hum.. Sarah… si tu continues de remuer sur moi de cette façon…
S : (d’un ton malicieux et souriant) Tu quoi ? Miller ?
Je souris et la fait basculer sur le dos dans un geste rapide et m’allonge sur elle, l’emprisonnant de mon corps.
W : Je vais te montrer…
S : (d’une voix rauque) Tu es vraiment impossible ! Si tes fans apprenaient que tu es l’homme le plus insatiable…
W : (l’interrompant d’un baiser avide) C’est toi, qui me rend fou, Sarah !
S : (souriant doucement et plantant son regard dans le sien) Tu sais que je t’aime, toi ?
W : Et toi ? Tu sais que tu es la seule femme dont je rêve depuis toujours ? J’ai hâte de montrer à tous que je ne suis plus un cœur à prendre et que c’est toi qui le tient entre ses mains.
Je le regarde avec tendresse et répond à son doux baiser avant de le serrer contre moi.
S : Moi aussi, j’en ai envie, Went. Je t’aime tellement…
Je me redresse légèrement et caresse son visage puis mes lèvres viennent se sceller aux siennes. Nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre. Elle gémit à ce contact, mes mains s’aventurent dans son cou… puis je les laisse glisser délibérément vers sa gorge…vers ses seins tendus vers moi…Lentement, je me baisse le long de son corps et Sarah pousse un cri de plaisir alors que je happe un mamelon entre mes lèvres… j’en taquine la pointe rosée, la suce, la mordille alors qu’elle remue sous moi, le souffle court et haletant.
La pluie de baiser qu’il me donne sur mon corps me fait perdre la tête. Je caresse délicatement son crâne et essaie de le remonter vers moi, mais il en a décidé autrement. Je me mord la lèvre afin d’éviter de crier par les sensations qu’il fait renaître en moi. Sa langue glisse le long de mon ventre et embrasse celui-ci amoureusement.
J’ai envie d’elle à un tel point que cela m’est douloureux de patienter… mais j’aime la voir ainsi… lui donner du plaisir alors que son corps frémit. Je remonte mes lèvres le long de son corps, lui donnant de brûlants baisers avant de prendre possession de ses lèvres. Alors qu’elle me répond avec ferveur, mes doigts s’insinuent entre nos corps et effleurent son intimité. Je poursuis mes caresses avec volupté tandis qu’elle pousse des faibles cris de plaisir et rejette la tête en arrière. Je pénètre un doigt à l’intérieur de sa chaire, puis deux. Lentement, sûrement, je déniche sa perle sensible et la caresse, regardant ses yeux dilaté de volupté. Elle s’arc-boute contre moi, et, une fois de plus, mon propre plaisir faillit jaillir sans prévenir.
Je durcis le tempo, la sentant se cambrer sous chacune de mes caresses. Mes mouvements se font de plus en plus frénétiques. Soudain, elle enfouit sa tête dans mon épaule mais je prend ses lèvres pour étouffer ses cris.
Pantelante, je me laisse aller dans ses bras pendant une longue minute puis ouvre les paupières, me heurtant à son regard brillant de désir. Je me redresse et effleure avec une lenteur délibérée, ses lèvres avant de le faire basculer sur le dos et lui rendre ses baisers et caresses enivrantes.
N’y pouvant plus, je l’attire sur moi et la fait glisser sur mon désir tendu à l’extrême. J’entend le murmure que je viens de prononcer comme si il me parait venir de très loin. Les battements sourds de mon cœur cognent dans ma poitrine alors que j’accompagne ses mouvements en maintenant ses hanches. Je me redresse et l’embrasse tandis que le rythme de notre cadence accélère avec fougue.
Nos souffles sont bruyants et courts… nos gémissements de plaisir s’accordent à l’unisson et alors que je la sens partir, une vague déferlante de plaisir jaillit avec une puissance rare, nous laissant le souffle coupé, sous nos cris de jouissances mêlées…
Je ne sais pas combien de temps nous restons dans cette position mais je finis par m’allonger, l’emportant avec moi et nous nous succombons dans le sommeil, tous deux enlacés, heureux comme jamais nous l’avons été….
voici la suite
attention préparez un truc frais
Chapitre 49.
J’observe Sarah pendant de longues minutes tandis qu’elle mange avec appétit je dois dire que je me sens rassuré de la voir avalé ce que nous avons préparé, tous les deux avec le sourire. Je me mets à rire doucement et lui caresse son bras nu…
S : Tu ne manges pas ?
W : Je n’ai plus faim.
S : (poussant un soupir) Went ! Je plaisantais tout à l’heure !
W : (riant) Ha oui ?
Je me met à rire alors que les images de nos étreintes dans la cuisine, puis dans la salle de bain me revinrent à l’esprit. J’écarte les assiettes d’un geste et les déposent sur la table basse avant de me coller contre lui et de l’embrasser tendrement dans le cou.
Je me calle sur les cousins que nous avons disposé sur le tapis et la serre dans mes bras. Doucement, je caresse ses cheveux et je fixe les flammes qui dansent dans l’âtre de la cheminée. Seul le crépitement des bûches se consumant, brise le silence apaisant de la pièce. Au dehors, le soleil s’est couché, et le ciel dévoile sa palette de couleur sombre et pâlissante.
S : (chuchotant) A quoi penses-tu ?
W : (souriant doucement) A toi…à nous.
S : Et ?
W : Et… c’est un secret.
Je souris alors qu’elle se dégage de mes bras et s’installe à califourchon sur moi. Mes mains se posent rapidement sur ses hanches et les caressent sensuellement.
S : Tu ne veux pas me le dire ?
W : (secouant la tête) Non, pas maintenant du moins.
S : (se penchant vers son visage et effleurant ses lèvres d’une façon taquine) Tu es obligé de me le dire, vu que je suis concernée… alors ?
W : Hum.. Sarah… si tu continues de remuer sur moi de cette façon…
S : (d’un ton malicieux et souriant) Tu quoi ? Miller ?
Je souris et la fait basculer sur le dos dans un geste rapide et m’allonge sur elle, l’emprisonnant de mon corps.
W : Je vais te montrer…
S : (d’une voix rauque) Tu es vraiment impossible ! Si tes fans apprenaient que tu es l’homme le plus insatiable…
W : (l’interrompant d’un baiser avide) C’est toi, qui me rend fou, Sarah !
S : (souriant doucement et plantant son regard dans le sien) Tu sais que je t’aime, toi ?
W : Et toi ? Tu sais que tu es la seule femme dont je rêve depuis toujours ? J’ai hâte de montrer à tous que je ne suis plus un cœur à prendre et que c’est toi qui le tient entre ses mains.
Je le regarde avec tendresse et répond à son doux baiser avant de le serrer contre moi.
S : Moi aussi, j’en ai envie, Went. Je t’aime tellement…
Je me redresse légèrement et caresse son visage puis mes lèvres viennent se sceller aux siennes. Nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre. Elle gémit à ce contact, mes mains s’aventurent dans son cou… puis je les laisse glisser délibérément vers sa gorge…vers ses seins tendus vers moi…Lentement, je me baisse le long de son corps et Sarah pousse un cri de plaisir alors que je happe un mamelon entre mes lèvres… j’en taquine la pointe rosée, la suce, la mordille alors qu’elle remue sous moi, le souffle court et haletant.
La pluie de baiser qu’il me donne sur mon corps me fait perdre la tête. Je caresse délicatement son crâne et essaie de le remonter vers moi, mais il en a décidé autrement. Je me mord la lèvre afin d’éviter de crier par les sensations qu’il fait renaître en moi. Sa langue glisse le long de mon ventre et embrasse celui-ci amoureusement.
J’ai envie d’elle à un tel point que cela m’est douloureux de patienter… mais j’aime la voir ainsi… lui donner du plaisir alors que son corps frémit. Je remonte mes lèvres le long de son corps, lui donnant de brûlants baisers avant de prendre possession de ses lèvres. Alors qu’elle me répond avec ferveur, mes doigts s’insinuent entre nos corps et effleurent son intimité. Je poursuis mes caresses avec volupté tandis qu’elle pousse des faibles cris de plaisir et rejette la tête en arrière. Je pénètre un doigt à l’intérieur de sa chaire, puis deux. Lentement, sûrement, je déniche sa perle sensible et la caresse, regardant ses yeux dilaté de volupté. Elle s’arc-boute contre moi, et, une fois de plus, mon propre plaisir faillit jaillir sans prévenir.
Je durcis le tempo, la sentant se cambrer sous chacune de mes caresses. Mes mouvements se font de plus en plus frénétiques. Soudain, elle enfouit sa tête dans mon épaule mais je prend ses lèvres pour étouffer ses cris.
Pantelante, je me laisse aller dans ses bras pendant une longue minute puis ouvre les paupières, me heurtant à son regard brillant de désir. Je me redresse et effleure avec une lenteur délibérée, ses lèvres avant de le faire basculer sur le dos et lui rendre ses baisers et caresses enivrantes.
N’y pouvant plus, je l’attire sur moi et la fait glisser sur mon désir tendu à l’extrême. J’entend le murmure que je viens de prononcer comme si il me parait venir de très loin. Les battements sourds de mon cœur cognent dans ma poitrine alors que j’accompagne ses mouvements en maintenant ses hanches. Je me redresse et l’embrasse tandis que le rythme de notre cadence accélère avec fougue.
Nos souffles sont bruyants et courts… nos gémissements de plaisir s’accordent à l’unisson et alors que je la sens partir, une vague déferlante de plaisir jaillit avec une puissance rare, nous laissant le souffle coupé, sous nos cris de jouissances mêlées…
Je ne sais pas combien de temps nous restons dans cette position mais je finis par m’allonger, l’emportant avec moi et nous nous succombons dans le sommeil, tous deux enlacés, heureux comme jamais nous l’avons été….
nol59- Déchiffre l'origami
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Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Wahou !!!! Que c'est chaud tout sa!!! Douche froide obligé !!
SUITE SUITE SUITE
SUITE SUITE SUITE
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 32
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
scènes mais
inauguration du cottage de Mr Scheuring à la façon Wayne Callies/Miller
allez miss les suites mais pas de larmes dans les prochaines t'es trop bien lancée
inauguration du cottage de Mr Scheuring à la façon Wayne Callies/Miller
allez miss les suites mais pas de larmes dans les prochaines t'es trop bien lancée
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Enfin ils mangent !!! mdr Enfin Went pas trop mdr ...
La suiiite !
La suiiite !
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
coucou les filles
sorry pour hier
voici la suite^^
peut etre une seconde dans la soirée si vous êtes motivées
bonne lecture mes chéries
Chapitre 50.
Je sens les lèvres de Sarah dans mon cou, qui me réveillent tout en douceur. J’ouvre les paupières et remarque que nous sommes toujours sur le tapis. Je souris, et la serre dans mes bras avant de l’embrasser avec douceur.
W : Bonjour mon cœur.
S : Salut, toi…
W : Tu es déjà réveillée ?
S : Hum… depuis un long moment déjà.
W : (étonné en remarquant qu’il n’était que huit heures) C’est de ma faute ?
S : Non… mais j’ai envie qu’on profite de toute la journée.
W : Hum.. Et comment veux-tu qu’on profite de cette journée, mon ange ?
Je le fixe un instant et lui sourit. Il pense à ce que je pense, c’est évident. Lentement, je penche mon visage vers le sien et embrasse son nez avant de lui déposer une pluie de baisers tendres sur ses joues, ses lèvres et descend sur sa gorge. Je glisse ma main le long de son torse et descend sur son ventre que je caresse du bout des doigts.
Qu’est-ce qu’elle fabrique ?! Sarah, si elle continue… je la regarde et croise son regard brillant de désir et de malice. Je lui souris tendrement, et plonge une main dans ses cheveux avant d’attirer son visage vers moi pour y capturer ses lèvres. Je l’embrasse tendrement mais mon baiser devint plus fougueux alors qu’elle encercle mon sexe sans ménagement entre ses doigts.
W : (murmure rauque) Sarah…
Je souris, satisfaite de l’effet qu’il vient de ressentir et remonte ma main vers son visage.
S : Je t’aime.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle m’embrasse vivement avant de se lever en riant.
W : (interdit) Hé ! Où vas-tu comme ça ?
S : (passant le tee-shirt de Went) Faire du café.
W : Tu veux vraiment te lever maintenant ? Reviens un peu dans mes bras, ma puce…
S : J’ai envie qu’on se ballade, s’il te plait !
W : (poussant un soupir) D’accord.
Je lui souris et part dans la cuisine. Je me mets à fouiller dans les placards à la recherche de filtre à café et une fois tous le nécessaire sortit, je mets en marche la cafetière.
J’enfile mon jean et débarrasse un peu le salon avec un grand sourire sur les lèvres. Mon portable choisit cet instant pour sonner. Poussant un soupir, je décroche, reconnaissant le marmonnement de Dom aussitôt.
W : Salut, Dom ! Oui, tout va bien.
D : Tant mieux. Alors, c’est comment ?
W : Un vrai paradis. Dis donc tu es déjà levé ?
D : (d’une voix furieuse) Obligé ! Dans cinq minutes je dois rapporter le petit déjeuné aux filles ! D’ailleurs, je pense mettre de la mort aux rats à l’intérieur !
W : (éclatant de rire) N’importe quoi !
D : Vas-y, fous de moi ! On voit que c’est pas toi qui est de corvée ! Ce sont de vraies dictatrices ces deux là ! Jamais vu des femmes aussi chiantes, je te jure !
W : Vous avez fait pareil la semaine dernière.
D : Ben tient ! Et je te promet que c’était rien du tout à ce qu’elles devront affronter la semaine prochaine ! Elles vont en baver : en plus on sera en tournage ! On va bien se marrer, p’tit frère….
W : N’en fais pas trop quand même !
D : Ben bien sur ! Toi, tu as le bon rôle, là !
W : Tu crois ?
D : (grimaçant, constatant sa bévue) Désolé… tu lui as parlé ?
W : (poussant un soupir) Non, pas encore mais je compte le faire aujourd’hui…
D : Ne t’en fait pas, je suis certain que tout ira bien.
W : (souriant) Merci Dom, j’espère aussi. Tu as eu des nouvelles de Paul ?
D : Non, mais il doit venir dans la soirée.
W : Ok.
D : Bon je te laisse, sinon mes martyres vont encore me jouer un sale tour.
W : (riant) D’accord. Embrasse tous le monde.
Je raccroche en riant, imaginant bien que les filles doivent rire en prenant leurs petites vengeances. Cinq minutes plus tard, une fois que tout est en ordre, je rejoins Sarah à la cuisine. Je souris alors que je fixe ses jambes nues et m’approche d’elle avant de l’enlacer dans mes bras.
W : (nichant son visage dans son cou) Ça va ?
S : Oui. La cafetière est longue, il faudra que je la détartre…
W : (déposant des baisers brûlants dans son cou) Ha oui ?… je vais aller prendre une douche…
Je souris et me tourne vers lui.
S : Oui c’est ça, va prendre ta douche.
W : (haussant les sourcils) Tu me rejoins ?
Je ne la laisse pas me répondre que je prend possession de ses lèvres. Ma langue se faufile entre ses lèvres et s’enroule à la sienne dans un élan fougueux. Elle répond à mon baiser et passe ses bras autour de mon cou dans des gémissements rauques de plaisir. Je pose mes mains sous ses fesses nues et la soulève dans mes bras…
Sans cesser de l’embrasser, j’entoure mes jambes autour de sa taille , grisée par la saveur de sa bouche , de l’odeur de sa peau, et ne proteste pas lorsqu’il se dirige vert la salle de bain…
sorry pour hier
voici la suite^^
peut etre une seconde dans la soirée si vous êtes motivées
bonne lecture mes chéries
Chapitre 50.
Je sens les lèvres de Sarah dans mon cou, qui me réveillent tout en douceur. J’ouvre les paupières et remarque que nous sommes toujours sur le tapis. Je souris, et la serre dans mes bras avant de l’embrasser avec douceur.
W : Bonjour mon cœur.
S : Salut, toi…
W : Tu es déjà réveillée ?
S : Hum… depuis un long moment déjà.
W : (étonné en remarquant qu’il n’était que huit heures) C’est de ma faute ?
S : Non… mais j’ai envie qu’on profite de toute la journée.
W : Hum.. Et comment veux-tu qu’on profite de cette journée, mon ange ?
Je le fixe un instant et lui sourit. Il pense à ce que je pense, c’est évident. Lentement, je penche mon visage vers le sien et embrasse son nez avant de lui déposer une pluie de baisers tendres sur ses joues, ses lèvres et descend sur sa gorge. Je glisse ma main le long de son torse et descend sur son ventre que je caresse du bout des doigts.
Qu’est-ce qu’elle fabrique ?! Sarah, si elle continue… je la regarde et croise son regard brillant de désir et de malice. Je lui souris tendrement, et plonge une main dans ses cheveux avant d’attirer son visage vers moi pour y capturer ses lèvres. Je l’embrasse tendrement mais mon baiser devint plus fougueux alors qu’elle encercle mon sexe sans ménagement entre ses doigts.
W : (murmure rauque) Sarah…
Je souris, satisfaite de l’effet qu’il vient de ressentir et remonte ma main vers son visage.
S : Je t’aime.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle m’embrasse vivement avant de se lever en riant.
W : (interdit) Hé ! Où vas-tu comme ça ?
S : (passant le tee-shirt de Went) Faire du café.
W : Tu veux vraiment te lever maintenant ? Reviens un peu dans mes bras, ma puce…
S : J’ai envie qu’on se ballade, s’il te plait !
W : (poussant un soupir) D’accord.
Je lui souris et part dans la cuisine. Je me mets à fouiller dans les placards à la recherche de filtre à café et une fois tous le nécessaire sortit, je mets en marche la cafetière.
J’enfile mon jean et débarrasse un peu le salon avec un grand sourire sur les lèvres. Mon portable choisit cet instant pour sonner. Poussant un soupir, je décroche, reconnaissant le marmonnement de Dom aussitôt.
W : Salut, Dom ! Oui, tout va bien.
D : Tant mieux. Alors, c’est comment ?
W : Un vrai paradis. Dis donc tu es déjà levé ?
D : (d’une voix furieuse) Obligé ! Dans cinq minutes je dois rapporter le petit déjeuné aux filles ! D’ailleurs, je pense mettre de la mort aux rats à l’intérieur !
W : (éclatant de rire) N’importe quoi !
D : Vas-y, fous de moi ! On voit que c’est pas toi qui est de corvée ! Ce sont de vraies dictatrices ces deux là ! Jamais vu des femmes aussi chiantes, je te jure !
W : Vous avez fait pareil la semaine dernière.
D : Ben tient ! Et je te promet que c’était rien du tout à ce qu’elles devront affronter la semaine prochaine ! Elles vont en baver : en plus on sera en tournage ! On va bien se marrer, p’tit frère….
W : N’en fais pas trop quand même !
D : Ben bien sur ! Toi, tu as le bon rôle, là !
W : Tu crois ?
D : (grimaçant, constatant sa bévue) Désolé… tu lui as parlé ?
W : (poussant un soupir) Non, pas encore mais je compte le faire aujourd’hui…
D : Ne t’en fait pas, je suis certain que tout ira bien.
W : (souriant) Merci Dom, j’espère aussi. Tu as eu des nouvelles de Paul ?
D : Non, mais il doit venir dans la soirée.
W : Ok.
D : Bon je te laisse, sinon mes martyres vont encore me jouer un sale tour.
W : (riant) D’accord. Embrasse tous le monde.
Je raccroche en riant, imaginant bien que les filles doivent rire en prenant leurs petites vengeances. Cinq minutes plus tard, une fois que tout est en ordre, je rejoins Sarah à la cuisine. Je souris alors que je fixe ses jambes nues et m’approche d’elle avant de l’enlacer dans mes bras.
W : (nichant son visage dans son cou) Ça va ?
S : Oui. La cafetière est longue, il faudra que je la détartre…
W : (déposant des baisers brûlants dans son cou) Ha oui ?… je vais aller prendre une douche…
Je souris et me tourne vers lui.
S : Oui c’est ça, va prendre ta douche.
W : (haussant les sourcils) Tu me rejoins ?
Je ne la laisse pas me répondre que je prend possession de ses lèvres. Ma langue se faufile entre ses lèvres et s’enroule à la sienne dans un élan fougueux. Elle répond à mon baiser et passe ses bras autour de mon cou dans des gémissements rauques de plaisir. Je pose mes mains sous ses fesses nues et la soulève dans mes bras…
Sans cesser de l’embrasser, j’entoure mes jambes autour de sa taille , grisée par la saveur de sa bouche , de l’odeur de sa peau, et ne proteste pas lorsqu’il se dirige vert la salle de bain…
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