This game between us ... [suite et fin]

Mon avis à moi, je ne sais pas trop, quand j'y repense, à la fois je comprend la réaction de Sara et en même temps je ne la comprend pas. Mais ce que je comprend, c'est que ça ait pété, car ce "jeu" commencait à leur peser, et tu as trés bien fait ressentir ça dans ta fic.

Enfin, voilà...

Nickki a écrit:Coucou !

Pour te répondre Tink ça va, j'ai pas encore beaucoup de boulot, mais je suis tellement feignasse que j'ai pas envie de travailler >.< Faudra bien que je m'y mette un de ces quatre XD

Bref, je n'ai pas encore de suite pour vous, mais elle est en cours d'écriture et normalement je devrais poster dans les prochains jours. Mais avant, j'aurais besoin de votre avis.

pas trop de boulots, mais tu es trop feignasse attention, je veux ta suite et très vite

sinon pour moi, c'est vrai que c'est compliqué entre eux, leur petit jeu a tourné dans un sens qui ne leur convient plus, aucun ne veut céder et s'avouer "faible", mais je ne trouve pas Sara capricieuse pour autant, ils sont tour à tour celui qui contrôle et ensuite celui qui subit, et c'est vrai que ça ne fait jamais plaisir de se retrouver dans la situation de celui qui se "fait avoir" mais bon je trouve ça rigolo de les voir se chercher bien sur ils risquent de ne plus se comprendre, et ça risque de "pêter" mais bon ça peut pas être rose tout le temps et après ce sera encore plus fort entre eux

alors pour ma part, continues sur cette voie


ET METS VITE LA SUITE SINON

Merci les filles pour vos avis ! Bon eh bien ... si ça vous intéresse toujours, voici une mini suite ^^

Précédemment ...

Les sourcils froncés, la jeune femme sentit ce désagréable sentiment de honte ressurgir en elle. Elle savait très bien que Michael avait raison, sur toute la ligne, mais elle refusait de l’admettre. A courts d’arguments, elle tourna les talons et se dirigea vers la porte.

-Tu vois ! lui lança Michael. Tu fuis, encore, parce que tu sais que j’ai raison. Tu le sais mais tu ne l’admettras jamais !

Sara s’arrêtait, la main sur la poignée de la porte. Les voix étaient toujours là.

-Si tu as raison, et si j’ai tort, pourquoi ne m’as-tu pas dit tout ça avant, Michael ?

Elle tourna la tête vers lui, et eut la satisfaction de voir qu’il avait une expression stupéfaite sur le visage.

-Et tu sais pourquoi tu n’as pas fait ça ?

Elle marqua une pause, pour donner plus de poids à ses mots.

-Parce que ça te plaisait, tout ça. Ça te plaisait, Michael.

Et sur ces paroles, elle quitta le vestiaire.






L’air s’était considérablement refroidi depuis l’après-midi. Les nombreux lampadaires dispersés autour du parking perçaient la nuit noire, projetant des flaques de lumière sur le bitume. Le ciel, semblable à une toile d’encre qu’on aurait jeté sur la clarté de la journée, était piqué d’étoiles, et l’air était rempli du crissement des criquets, cachés dans les jardins.
Sara poussa un peu trop violemment la porte à double battants du restaurant, et l’air vif lui fit l’effet d’une gifle. Elle se sentait légèrement étourdie, sans doute à cause des deux ou trois verres de champagne qu’elle avait bu en trop … Saisie d’un vertige, la jeune femme prit appui d’une main sur le mur qui faisait face à la porte.

-Merde …

Le vertige s’intensifia, et elle dû s’appuyer de tout son poids contre le mur pour ne pas tomber.

Quelques minutes plus tôt, les quelques personnes qui discutaient devant la porte des vestiaires virent Sara Tancredi sortir de la pièce telle une furie. La jeune femme s’arrêta quelques secondes, leur adressa un sourire forcé puis se dirigea vers la salle de restaurant. Interloqués, ils virent ensuite Michael Scofield, l’air un brin choqué, sortir également. Il leur adressa le même sourire forcé avant de suivre Sara.

A présent, la jeune femme était toujours appuyée contre le mur, attendant que son vertige passe. Michael choisit ce moment pour sortir à son tour de la salle de restaurant ; une pointe d’angoisse naquit en lui lorsqu’il vit Sara.

-Sara ? Ça ne va pas ?

Elle fit un gros effort pour se redresser.

-Si, ça va, jeta-t-elle froidement.
-Ne mens pas. Tu as bu un verre de trop, c’est ça ?

Michael ne se contrôlait que difficilement. Les mots que Sara avait eus dans les vestiaires l’avaient secoué ; il n’aurait jamais pensé que tout ça irait aussi loin, et lui-même ne comprenait pas pourquoi il s’était laissé emporté comme ça. Après tout, ce n’était qu’un jeu…

-Et alors ? Qu’est-ce que ça peut te foutre ?

Il fronça les sourcils. Il avait peur, peur de ce qu’il pourrait dire, mais il en avait assez de se faire mener par le bout du nez. Elle avait joué, lui avait fait pareil, et maintenant, elle le lui reprochait. Il prit une profonde inspiration et décida de ne rien dire ; il s’approcha de la jeune femme et posa une main sur son épaule.

-Viens, on s’en va, dit-il, d’une voix plus douce.
-Laisse-moi tranquille, Michael, répliqua-t-elle durement, tout en écartant son bras.
-Sara, je t’en prie, arrête ça.
-Arrêter quoi ? Tu es content de toi, tu m’as rendu la monnaie de ma pièce ? Maintenant laisse-moi tranquille !
-Qu’est-ce que tu peux être … de mauvaise foi, c’est incroyable ! C’est toi qui as instauré ce petit jeu entre nous. C’est toi qui m’a rendu complètement dingue pendant cette foutue soirée. C’est toi, Sara, toi !

Michael avait haussé le ton ; et plus il parlait, et plus Sara semblait s’effondrer contre le mur, comme si les mots du jeune homme avait leur volonté propre de la faire s’écrouler.

-Je … c’est … c’est toi, murmura-t-elle, toi …

Une légère nausée s’installa en elle ; bon dieu qu’elle se sentait mal. La tête lui tournait, et elle maudit ces quatre derniers verres qu’elle avait bus ; heureusement que ce foutu mur était là, sinon elle serait déjà parterre …

-Moi ? Qu’est-ce que j’ai encore fait ? Tu m’as rendu fou, et tu t’attendais à quoi en venant me retrouver dans ces vestiaires ? Hein ? Qu’on discute tranquillement ? Je n’avais qu’une envie, c’était de te montrer que je pouvais moi aussi te rendre folle, et tu … tu n’es pas …

Il s’interrompit brusquement ; Sara se serait sans doute écroulée s’il ne s’était pas précipiter pour la soutenir. Il l’agrippa par la taille, alors qu’elle tentait, avec les dernières forces qu’il lui restait, de le repousser.

-Laisse … moi … Michael …
-S’il te plaît, tais-toi.

Il passa le bras gauche de la jeune femme autour de son cou, puis son propre bras autour de sa taille et, lentement, ils marchèrent vers la voiture. Michael ouvrit la portière côté passager, aida Sara à s’assoir puis, rapidement, il ouvrit la portière arrière et s’empara des deux plaids posés sur la banquette.

-Comment tu te sens ? interrogea-t-il en posant une main sur sa joue.
-Pas … très bien.

Elle frissonnait et était toujours la proie d’horribles vertiges ; la nausée avait un peu refluée mais elle se sentait vaseuse. Foutu champagne.

Michael déplia les deux plaids, en utilisa un pour couvrir ses jambes, qui se trouvaient hors de la voiture, et il posa le deuxième sur les épaules de Sara, qui se demanda comment il pouvait être comme ça après ce qu’elle lui avait fait subir. C’était plus fort qu’elle ; elle savait pertinemment qu’elle avait tort, mais elle continuait à le provoquer jusqu’à ce qu’il perde son sang-froid, qu’il sorte de ses gonds et qu’il lui hurle dessus pour lui faire voir la vérité en face. La seule explication logique que Sara avait trouvé à son comportement, c’était que peut-être, elle aimait ce qu’il se passait après la dispute. Parce que c’était toujours Michael qui capitulait, qui s’approchait, l’enlaçait ou lui disait quelques mots pour mettre fin à la bataille. Elle adorait le voir comme ça. Après avoir haussé le ton, il revenait toujours vers elle, même si elle s’était comportée comme la pire des garces. Elle l’aimait pour ça. Pour ça et pour tellement d’autres choses encore.

-M-merci, murmura Sara en se pelotonnant dans les plaids.

Ils portaient l’odeur de Michael ; un élan de tendresse envers lui la saisit mais elle n’en laissa rien paraître. Lui l’observait tout en caressant ses cheveux ; et puis la jeune femme fut submergée par une vague de chagrin, venue d’elle ne savait trop où-peut-être le champagne, peut-être Michael, si tendre et gentil alors qu’elle aurait mérité une bonne gifle, ou peut-être tout ça à la fois. Elle renifla, tenta de retenir ses larmes, mais en vain. Un spasme de sanglot l’étrangla, et elle tordit le bout d’un plaid entre ses doigts.

-Ça va aller Sara, aller, viens par ici.

Il s’accroupit à ses pieds et elle passa ses bras autour de son cou ; il vint poser sa tête contre son sternum, glissa ses mains jusqu’à ses reins et ferma les yeux, écoutant les battements de son cœur, un peu trop rapide, sans doute à cause de l’alcool.
Au cours des mois qui avaient suivis leur retour à une totale liberté, Sara avait peu à peu levé le voile sur son passé, et le jeune homme en avait fait autant pour le sien. Ce qu’il avait apprit au détour d’une conversation avait soudain prit une toute autre dimension ; et même si Sara était aujourd’hui complètement guérie de l’alcool, elle en restait prudemment à l’écart, ne s’autorisant que quelques rares exceptions.
Ce soir-là, pourtant, la jeune femme savait qu’elle avait fait une énorme exception. Peut-être un peut trop énorme.

Hoooo, c'est trop beau, c'est magnifique

Je fais une pause alors que j'étais en train de faire ma philo, je viens lire mes messages en étant pratiquement sûre que j'en aurais aucun et qu'est ce que je vois ? UNE SUITE !!!!!!!! Haaaa j'adore, au moment où je m'y attend le moins, c'est génial



Superbe suite, j'avais la tête qui tournait presque aussi lol, pauvre Sara, j'espére qu'elle ne va pas replonger dans la dépendance, pour une ancienne alcolique, 2 ou 3 verres en trop, ca commence à faire tout de même . Mais la fin était pleine de tendresse et c'était vaiment adorable et trés bien écrit !!

J'adore toujours autant ta fic ! Je trouve que tu as un talent fou et c'est vraiment parfait, j'adore !!!

La suite !!!!!!

PS : J'attend toujours impatiemment la suite de "our lives are like a candle in the wind" (héhé, de mémoire en plus )

une suite
finalement Sara est sortie du vestiaire en furie suivie de Michael
elle n'a rien trouvé de mieux que de "passer ses nerfs" sur quelques verres de trop d'alcool
elle sort dehors et la voilà prise de vertiges, mais tout ne serait pas simple si Michael n'était pas venu à ce moment là
après quelques mots, pas très plaisant à entendre, elle se sent encore plus mal
ensuite Michael qui se veut très protecteur, mais Sara qui dit

Parce que c’était toujours Michael qui capitulait, qui s’approchait, l’enlaçait ou lui disait quelques mots pour mettre fin à la bataille. Elle adorait le voir comme ça. Après avoir haussé le ton, il revenait toujours vers elle, même si elle s’était comportée comme la pire des garces. Elle l’aimait pour ça

elle admet ses tords mais elle est butée pourquoi ne pas lui dire "Ok t'as gagné, j'aurai pas du jouer", plutôt que de laisser toujours les choses leur faire du mal

ta dernière phrase



t'as pas une autre par hasard

j'aime bcp ta fic !!!!!! Le jeu, tjr le jeu ... Mais qui s'y frotte s'y pique et Sara s'est carrément empallée !

Erf, une bonne cuite de tps en tps, ça fait pas de mal ( ) enfin, ça ressemble plus à un bad trip pour la pauvre Sara ! j'attends la suite avec impatience

Cupcake a écrit:j'aime bcp ta fic !!!!!! Le jeu, tjr le jeu ... Mais qui s'y frotte s'y pique et Sara s'est carrément empallée !

Elle est trop marrante cette phrase

je veux la suite moi, j'adore ta fic et pourtant j'avoue qu'avant je na la lisait pas et la je suis accro alors la suite viteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

coucou

je me disais tiens ça fait longtemps et comme aujourd'hui c'est le jour des suites, POSTE NOUS LA SUITE DE LEUR JEU

alors c'est oui




ça va tes cours, tes profs ne laisssent un peu de repis ??

Hey Tink, on doit être relié cosmiquement, c'est pas possible

Je suis en train d'écrire la suite, je pense la poster aujourd'hui ! Autant vous dire tout de suite que je ne l'aime pas, cette suite hein

En tout cas, je vous remercie toutes, je vois que j'ai de nouvelles lectrices, ça fait vraiment plaisir !!

Nickki a écrit:Hey Tink, on doit être relié cosmiquement, c'est pas possible

Je suis en train d'écrire la suite, je pense la poster aujourd'hui ! Autant vous dire tout de suite que je ne l'aime pas, cette suite hein

En tout cas, je vous remercie toutes, je vois que j'ai de nouvelles lectrices, ça fait vraiment plaisir !!

merci Nickki

et moi je suis sure qu'elle est superbe la suite


à ce soir alors

Oh oui, j'ai vraiment très hâte de lire la suite !!!!
Vivement ce soir !!!!

Re coucou !! Voici une suite !

Lost and Found

La route, un ruban noir que balayaient les phares de la voiture, s’étalait devant Michael. Le silence présent dans l’habitacle était uniquement troublé par le ronronnement du moteur, et le jeune homme s’étonna de ne pas tomber de sommeil : il était plus de deux heures du matin et les quelques verres de champagne qu’il avait bu aurait dû l’envoyer dans les bras de Morphée depuis longtemps ; mais l’altercation qu’il avait eu avec Sara lui avait fait l’effet d’une gifle. Ce petit jeu entre eux était certes infiniment délicieux, mais à chaque fois, le dénouement le prenait de court ; il ne pouvait cependant pas s’empêcher de revenir vers elle, même si quelque fois elle aurait mérité qu’il la plante là et qu’il la laisse culpabiliser jusqu’à ce que ce soit elle qui revienne. Sans trop savoir pourquoi, il n’agissait jamais ainsi. Quelques disputes complètement futiles sur des sujets tout aussi futiles n’avaient jamais fait de mal à personne.

Michael jeta un coup d’œil vers Sara, dont la tête reposait contre la vitre ; pelotonnée dans les plaids, elle s’était profondément endormie, bercée par le ronronnement du moteur et les légers soubresauts de la voiture.

*

Sara dormait toujours lorsque Michael arriva à la déviation. Il n’y avait personne sur la route. Le jeune homme ralentit et s’arrêta à quelques mètres du panneau qui indiquait que la route principale était barrée, et qu’il fallait prendre la petite route adjacente. L’espace d’un instant, d’un fugitif instant, Michael paniqua. Cette petite route sombre sur sa droite ne lui disait rien qui vaille, il ne savait pas où elle menait, il ne savait pas quelle route emprunter ensuite pour revenir sur la route principale … Avec un soupir d’exaspération, il secoua la tête. C’était stupide, la direction à prendre serait sans doute indiquée. Pourquoi paniquer ?
Peut-être parce qu’il enviait l’apparente sérénité de Sara, enveloppée dans les plaids. Lui avait mal au dos, il était énervé et n’avait même pas envie de dormir. Un frisson lui parcourut l’échine et il se rendit compte ses mains le faisait souffrir à force de se cramponner au volant …
Prenant une profonde inspiration, Michael se força à se calmer. Il repensa au bain chaud qu’il pourrait prendre en rentrant, dans environ trois heures, si tout allait bien … Résigné, Michael mit un coup de volant et s’engagea sur la petite route.

*

Il ne sut pas très bien à quel moment précisément il était devenu sûr qu’ils étaient perdus ; mais, après une demi-heure sur la petite route, le jeune homme s’était dit que peut-être, il avait manqué la sortie.

-Bordel de merde, mais c’est pas vrai …

Michael Scofield ne jurait que très rarement ; mais lorsqu’il le faisait, c’était parce qu’il se trouvait dans un état d’énervement avancé. Comme maintenant.

Il gara la voiture sur le bas-côté de la route et écouta pendant un instant le ronronnement du moteur, pensant que cela le calmerait. Peine perdue. A côté de lui, Sara dormait toujours, et pour rien au monde il n’aurait voulu la réveiller. Michael ouvrit la portière et sortit dans la fraîcheur de la nuit.

*

S’endormir dans la voiture était sans doute un de ces petits plaisirs que Sara aimait à s’accorder, lorsque Michael et elle devaient faire des trajets un peu longs ; bercée par la voiture qui filait sur la route, la jeune femme plongeait vite dans une délicieuse langueur, avant de tomber dans le sommeil. Et, juste avant l’inconscience, elle aimait imaginer la route, engloutie par les pneus de la voiture, le paysage qui défilait, alors qu’elle-même se trouvait là, assise à côté de Michael. Quelque fois, elle sentait son regard sur elle, rien que quelques instants, juste le temps pour lui de détourner son attention de la route.

Cette nuit-là, Sara fut réveillée par un courant d’air froid. Elle entendit, quelque part dans les brumes de son sommeil, la portière de Michael claquer. Elle dût faire un effort conséquent pour revenir tout à fait à la réalité.

-Michael ? murmura-t-elle d’une voix engourdie.

Le coffre s’ouvrit, et Sara se retourna sur son siège.

-Michael ? Qu’est-ce que tu fais ? interrogea-t-elle en haussant le ton.
-Je ne voulais pas te réveiller, je suis dé …
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Hum … Je … On est … Merde !

Le juron de Michael se perdit dans le claquement du coffre ; quelques secondes plus tard, il reprenait place sur son siège.

-Sara … Je crois qu’on est … perdus.

La jeune femme ouvrit des yeux incrédules.

-Pardon ? Où est-ce qu’on est ?
-Quelque part entre … West Orange, New Jersey, et … Chicago.

Michael leva les yeux vers elle. Bon dieu qu’elle était belle quand elle venait de se réveiller.

-Ça m’aide beaucoup, merci, ironisa la jeune femme.
-Il y avait une déviation, à une demi-heure de route en arrière. J’ai pris cette petite route, continua Michael avec un bref regard au dehors, mais je crois que j’ai manqué la sortie pour rejoindre la route principale.
-OK … Et tu … tu n’as pas la moindre idée d’où on est ?
-On a dépassé Youngstown, on est à environ … quatre cent kilomètres de Chicago.
-Génial …

Michael appuya sur le bouton qui déclenchait les feux de détresse ; on ne sait jamais, quelqu’un passerait peut-être par là …

-Tu crois vraiment qu’on va croiser quelqu’un ici ? demanda Sara comme si elle lisait dans ses pensées.
-Aucune idée. On sera visible en tout cas.

Le silence retomba, uniquement troublé par le moteur. Sara regarda dehors, dans l’espoir d’apercevoir un bout du paysage, mais tout ce qu’elle vit grâce à la lumière des phares fut les hautes herbes qui bordaient le talus, qui lui-même disparaissait dans l’obscurité. La jeune femme recommença à frissonner, et elle tendit la main vers les grilles du chauffage, dans l’espoir de réchauffer ses doigts qui commençait à s’engourdir ; mais aucun courant d’air chaud ne vint l’apaiser.

-Tu as froid ?

La jeune femme acquiesça d’un hochement de tête et pressa le bouton qui mit en marche le ventilateur ; aussitôt, un léger bourdonnement se fit entendre et, en quelques secondes, l’habitacle faut empli d’une agréable chaleur.

-C’est beaucoup mieux, murmura Sara en s’enfonçant dans son siège.

Pris d’une subite envie de se rapprocher d’elle, Michael tendit la main et commença à caresser ses cheveux ; puis ses doigts se perdirent parmi les mèches auburn de la jeune femme pour s’immobiliser sur sa nuque. Sous ses caresses, Sara ferma les yeux alors qu’un frisson la parcourut, et pas parce qu’elle avait froid.

-Hey, j’ai une idée, murmura Michael.

Il se leva, enjamba le levier de vitesse et s’assit sur la banquette arrière. Sara le regarda avec curiosité.

-Puisque on est perdus, continua-t-il sur le même ton, et puisque tu as froid …

Il n’eut pas besoin de continuer ; Sara le rejoignit, un sourire aux lèvres, et vint se pelotonner contre lui. Elle étala les plaids sur leurs deux corps tandis que lui passait son bras droit autour de sa taille. Sa main gauche se glissa sous son menton pour la faire lever la tête vers lui.

-Tu te sens mieux ?
-Un peu mieux, oui. Michael …
-Mm ?

Les mots restèrent coincés dans sa gorge. Les lèvres de Michael étaient vraiment, vraiment très près, et elles ne cessaient de se rapprocher … La jeune femme ferma les yeux, incapable de continuer sa phrase. Quelques secondes plus tard, elle sentit les lèvres chaudes et douces de Michael contre les siennes, elle sentit aussi la main du jeune homme se glisser sous son chemisier, et elle oublia ce qu’elle voulait dire. Elle posa sa main sur sa joue, tandis que lui la fit basculer sur le dos ; leurs lèvres se séparèrent et un râle de plaisir échappa à Sara ; elle adorait sentir le corps de Michael peser contre le sien. Elle reprit les lèvres du jeune homme entre les siennes et chercha à déboutonner sa chemise, lorsque des phares éclairèrent leur voiture, inondant l’habitacle de lumière.

Surpris, Michael et Sara se relevèrent brusquement et, dans l’éclat des phares, ils virent une ombre noire se diriger vers eux.





C'est mauvaiiiiiiis

Oui ! Je suis d'accord ! C'est mauvais ! Surtout la fin ! Tu es sadique ! Ils étaient en train de se réconcilier et il y a un boulet qui se pointe ! Non mais franchement c'est vraimen sadique et nul



Maaaaaaaaaaaais voyons, elle est géniale cette suite, je l'ai trouvé tranquille, entre le sommeil de Sara et l'énvervement de Michael C'est vrai que Michael ne jure pas beaucoup et ca fait bizarre quand ca lui arrive

Trés belle suite, trop chou, surtout quand ils vont tous les deux que le siége arriére, des vrais ados je vous jure

Vivement la prochaine suite mais un graaaaaaaaaand merci pour celle là

PS : Désolée, il doit y avoir plein de fautes, je n'ai pas relu

Moi je trouve que c'est une très bonne idée qu'ils se retrouvent perdsu au milieu de nul part sa les a rapprocher.

Certes ils ont eut le temps de rien faire mais j'ai bien aimé.

Par contre tu nous parle de petite route sombre qui n'inspire pas confiance et quand tu dit qu'une ombre s'approche d'eux sa fait limite film d'épouvante . Rassure moi c'est une gentille personne qui arrive.

waouuuuu méga trop bien cette suite ma petite Niccki comment oses tu dire que c'est mauvais
Michael qui se perd et Sara qui roupille
les mots sont toujours très bien employés et on ressent la scène comme eux
par contre une chose ......C'EST QUI LE BOULET

je vais me répéter mais je veux une autre suite

vraiment excellent, ne doutes pas

très belle suite, on sent bien que la réconciliation est très proche!!!!!!! et voilà qu'un inconnue vient les déranger!!!!! c'est pas bon signe ou cela ne s'agit que d'une aide miraculeuse????

Comment sa c'est mauvais ?!


C'est Geniiiiiiiale !!!!

Une Suite Stp

mais elle est super cette suite !!! Les "presques" reconciliations sur la banquette arrière

par contre, l'autre ...

vivement la suite !

Où qu'elle est la suite ? Je veux la suite !

Mélina a écrit:Où qu'elle est la suite ? Je veux la suite !

oui c'est vrai ça où elle est


tu reviens vite

Coucou les filles !

Merci pour vos messages ! La suite est en cours d'écriture, mais en ce moment c'est pas la joie côté inspiration ... Je ne sais pas quand je pourrais poster, mais en tout cas je vous remercie d'être toujours là !! =D

Bisous à vous

Nickki a écrit:Coucou les filles !

Merci pour vos messages ! La suite est en cours d'écriture, mais en ce moment c'est pas la joie côté inspiration ... Je ne sais pas quand je pourrais poster, mais en tout cas je vous remercie d'être toujours là !! =D

Bisous à vous

c'est pas grave, je suis dévenue extrêment patiente donc prend ton temps, mais pas trop
et je serai la quand ton inspi sera de retour