This game between us ... [suite et fin]

coucou
alors est ce que l'inspiration a pointé le bout de son nez
j'attendrai mais je suis très de lire la suite

Moi je suis comme TINK, je veux la suite et je suis patiente mais ne sois pas cruelle avec nous et poste la vite

Coucou les filles !

Je ne sais pas si j'ai encore du monde par ici, vu le temps que j'ai mis à écrire, mais voici la suite ET la fin ... Merci d'avance à celles qui seront restées




Sara étouffa un juron alors que Michael, le regard fixé sur l’individu qui s’avançait vers eux, se préparait à faire face à toute éventualité. Dans sa tête, il avait utilisé cette expression à dessein. C’était sa façon à lui de ne pas explicitement se dire que ce type pouvait leur vouloir n’importe quoi ; pour ne pas se dire que sur cette petite route sombre, à peine éclairée, ils pouvaient rencontrer n’importe qui.

-Reste dans la voiture, murmura-t-il à Sara.

Avant que la jeune femme ai pu protester, il ouvrit la portière, se précipita dehors et la referma. L’individu s’approcha encore, et Sara pu alors nettement voir son visage ; il s’agissait de Chase. L’angoisse qui étreignait sa poitrine disparut d’un seul coup, alors qu’elle vit Michael serrer la main de leur ami et qu’elle entendit, sourdement, le jeune homme lui expliquer leur problème. Elle sortit à son tour de la voiture.

*

Après avoir copieusement charrié Michael sur le fait qu’il s’était perdu, Chase leur avait proposé de les remettre sur le droit chemin. Et, quelques heures plus tard, Sara ouvrait la porte de leur appartement avec un soupir de soulagement.

*

Lorsque Sara se réveilla le lendemain, elle eut l’impression que la soirée de l’avant-veille n’avait pas eu lieue. Michael et elle avait passé la journée de la veille à dormir ; ils étaient rentrés aux premières heures de l’aube, et ne s’étaient levés que pour grignoter quelque chose.
Allongée sur le ventre au milieu du lit, enveloppée dans le cocon de chaleur de la couette, Sara mit quelques minutes à remarquer l’absence de Michael. Avec un grognement de mécontentement, Sara repoussa la couette et les draps et s’assit ; l’air frais de la chambre la fit frissonner.

Dehors, le jour se levait à peine. Il était aux environs de sept heures ; un épais brouillard était tombé sur la ville. Les gratte-ciels semblaient infinis, leur sommet se perdant dans les nuages bas qui annonçaient des chutes de neige imminentes.

Sara se leva, se dirigea droit vers la cuisine et se fit chauffer du café ; puis elle vint se placer face à la baie vitrée du salon, les mains serrées autour de sa tasse.
Lorsque la jeune femme repensait aux évènements de l’avant-veille, tout lui revenait comme si rien n’était réellement arrivé. Il lui semblait qu’elle avait rêvé tout ça ; et à cet instant, alors que Chicago s’étendait à ses pieds et que le froid refermait peu à peu ses griffes sur la ville, elle espérait avoir rêvé. Il y avait un tel contraste entre ce qu’elle avait ressenti tout au long de la journée d’avant-hier et ce qu’elle ressentait à présent … La frustration, la colère et la gêne avait laissé place à la sérénité. Sara se sentait bien, et il ne lui manquait plus que les bras de Michael autour d’elle.

*

Le froid avait achevé d’engourdir ses doigts ; et c’est avec un soulagement non dissimulé que Michael s’engouffra dans la boulangerie française, sa préférée. Il acheta six croissants au beurre et une baguette de pain, discuta quelques instants avec le boulanger français dont l’accent l’avait toujours fait rire, puis se dépêcha de rentrer. La morsure du froid était intolérable ; il semblait au jeune homme qu’en l’espace de quelques heures, Chicago s’était transformé en frigidaire géant.

Lorsqu’il pénétra dans l’appartement, il fila discrètement à la cuisine, y posa ses achats, retira son manteau qu’il jeta négligemment sur le dos d’une chaise, puis reprit les croissants, le pain, s’empara d’un plateau et se dirigea vers la chambre.

*

Frigorifiée, Sara s’était à nouveau réfugiée sous la couette. Le chauffage tardait à réchauffer les différentes pièces de l’appartement ; et c’est avec bonheur que la jeune femme retrouva la chaleur qu’elle avait quitté quelques minutes plus tôt. Michael n’avait laissé aucun message l’informant sur l’endroit où il était allé, mais la jeune femme ne s’inquiétait pas trop … Il finirait par revenir.

*

Le jeune homme se coula jusqu’à la chambre. Il avait remarqué la tasse vide sur la table du salon ; sans faire le moindre bruit, il entrouvrit la porte. La pièce était plongée dans l’obscurité, et il eut toutes les peines du monde à atteindre le lit en silence. Il alluma la petite lampe sur sa table de chevet ; Sara bougea et son visage émergea de sous la couette.

-Qu’est-ce que tu fais ? marmonna-t-elle.
-Rien … Je ne voulais pas te réveiller.
-Pas de risque, je l’étais déjà.

La jeune femme s’assit pour la deuxième fois alors que Michael posa ses achats sur le lit.

-Je t’ai apporté de quoi petit déjeuner !

Sara fit une moue gourmande lorsque Michael disposa les croissants et la baguette sur le plateau. Il retira son pull et son pantalon et rejoint Sara, puis il tira la couette jusqu’à sa taille.

-Bien dormi ? demanda-t-il en déposant un baiser sur la tempe de la jeune femme.
-Hm, pas mal. Et toi ?
-Je n’ai pas arrêté de rêver … Mais impossible de me rappeler de quoi.
-On ne réfléchit pas le ventre vide, déclara Sara en s’emparant d’un croissant.

Dix minutes plus tard, les seules preuves de leur festin étaient les miettes dont le plateau était couvert.

-Qu’est-ce que tu as envie de faire aujourd’hui ? interrogea Sara.
-Aucune idée …
-On pourrait aller au Jardin Botanique, et puis ensuite on irait manger un morceau …
-Je ne sais pas … Là tout de suite je n’ai envie de manger qu’une seule chose …
-Et qu’est-ce que c’est ? Tu viens d’engloutir …
-Toi Sara, je n’ai envie que de toi !

Il fondit sur la jeune femme qui éclata de rire ; lorsqu’il se retrouva au-dessus d’elle, il entrelaça ses doigts aux siens et ramena ses poignets au dessus de sa tête.

-Michael, je suis désolée pour … pour avant-hier, je …
-Shh. C’est oublié.

Sara baissa les yeux, mais Michael ne l’entendit pas de cette oreille.

-Ecoute, commençant-t-il en passant ses doigts sous son menton pour l’obliger à le regarder. Oublions tout ça. On n’aura pas dû partir, alors … oublions juste cette soirée, et … profitons de l’instant présent, d’accord ?
-Très bien … Et comment comptes-tu « profiter de l’instant », comme tu dis ? Le taquina Sara en prenant délibérément un ton séducteur.
-J’ai ma petite idée figure-toi …

Michael approcha son visage, puis scella ses lèvres à celles de Sara ; la jeune femme fut parcourue d’un délicieux frisson d’excitation à la perspective de ce qui allait suivre. Elle fit courir ses doigts le long de la colonne vertébrale de Michael, qui continuait de l’embrasser ; puis, doucement, elle remonta ses jambes pour permettre à Michael de venir se nicher contre elle. Un instant, il cessa de l’embrasser, se noya quelques secondes dans son regard, puis il baissa la tête pour une nouvelle fois faire l’amour à ses lèvres. Ses mains se glissèrent sous le caraco de Sara et il fit courir ses doigts sur sa peau ; sans le vouloir, il toucha une des nombreuses cicatrices sur son omoplate gauche, seules preuves physiques d’un passé qu’ils tentaient tous les deux d’oublier. Comme s’il s’était brûlé, Michael retira ses doigts.

-Pardon, murmura-t-il.

Lorsqu’il l’avait touchée pour la première fois, il avait involontairement effleuré quelques cicatrices qui marquaient son dos ; Sara s’était aussitôt tendue, comme si le simple fait de toucher ces marques ravivait des souvenirs trop douloureux. Mais aujourd’hui, tout était différent. Sara referma ses doigts sur le poignet de Michael, et elle replaça sa main à l’endroit exact où elle se trouvait.

-Touche-moi, murmura-t-elle à son tour.

Michael enfoui son visage dans le cou de Sara ; sa main gauche glissa très bas et ses doigts effleurèrent la peau nue de sa cuisse, la faisant frissonner. Elle tenta de retenir un râle de plaisir, mais Michael lui infligeait une véritable torture. Elle emprisonna un peu plus le jeune homme entre ses cuisses, s’abandonnant complètement aux caresses du jeune homme, ivre de la sensation de son corps pesant contre le sien. Ivre de lui.

-Sara …
-Hm ?
-Ecoute … je suis désolé, je viens de me souvenir …

La jeune femme ancra son regard dans le sien.

-De quoi ?
-Il faut que … que je prépare un rendez-vous important pour le … le boulot, lundi, et je …
-Michael, tu ne peux pas faire ça … après ?

Elle leva légèrement la tête et picora ses lèvres de petits baisers.

-Impossible … Je suis … désolé.

Michael se laissa tomber sur le dos à côté de Sara, puis il s’assit et enfila son pantalon.

-Michael … Qu’est-ce que … Reste, s’il te plaît.

Le jeune homme se retourna et faillit renoncer. Faillit seulement.

-Excuse-moi Sara, il faut vraiment que je prépare ce rendez-vous.

Et sans plus d’explications, il sortit de la chambre.

Parce que la vengeance est un plat qui se mange froid.

quoi c'est la fin, bah c'est pas possible
Michael et Sara sont finalement rentrés et c'est Chase la fameuse personne boulet
après une bonne nuit réparatrice, Michael est allé chercher le petit déj et retrouve Sara sous la couette
ensuite un petit câlin, quelques caresses que Sara accepte mais Michael a quoi un truc à faire au lieu de finir ce qu'il a commencé
leur petit jeu va recommencer mais c'est pas bien


moi je veux une suite donc POSTEEEEEEEE

Merci Tink, mais c'est la fin de ma fic ^^

QUOI?QUOI?QUOI?QUOI?Y nous fait quoi Michael là????

Allez retourne dans la chambre naaaan mais oh!!!

La suite!!!

Nickki a écrit:Merci Tink, mais c'est la fin de ma fic ^^

Trop marrente ta blague !!!

Allez la suite...hein?

Non non, c'est pas une blague ... Sorry Cette fic est vraiment terminée, je compte en commencer une autre et aussi finir "Our lives ..." ^^

Ho, j'adore cette fin !

Bon évidemment je suis triste que ce soit finit mais bon... J'ai vraiment adoré lire cette fic, j'ai bien rigolé pour celle la... Un boulanger francais à Chicago, je ne sais pas pourquoi, ca m'a fait trop rire !

Merci beaucoup de nous avoir écrit cette superbe fic, j'en garderai un trés bon souvenir !

Quoi ? Quoi ? En commencer une autre et continuer (finir, j'ai plus de mal lol) "Our lives..." Géniaaaaaaaaaaaaaaaaaal

Nickki a écrit:Non non, c'est pas une blague ... Sorry Cette fic est vraiment terminée, je compte en commencer une autre et aussi finir "Our lives ..." ^^

une autre
une MISA WESA
et finir l'autre


bon bah je vais patienter
merci encore pour celle ce qui est merveilleuse

waouh la suite Michael va regretter d'être parti je sens faut qu'elle est sa revenche.