Nouvelle famille
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Nouvelle famille
ah oui une suite s t p
vite
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Nouvelle famille
la suite la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Nouvelle famille
Voilà la suite, la suite :
V.
Michael observait machinalement sa femme caresser la main de leur fille encore et encore. Sonia dormait profondément, les médecins lui avaient administré un somnifère afin d’apaiser sa crise d’angoisse. La pauvre puce ne cessait de se débattre, comme si c’était indépendant de sa volonté. Elle ne parlait plus non plus, indubitablement marquée psychologiquement. On avait diagnostiqué un choc post traumatique auquel s’ajouterait éventuellement d’autres séquelles. Michael sentit les larmes monter, comment avait-il permis que cette tragédie arrive ? Sa fille adorée souffrait, Sara errait comme un zombie à la maison et Ignacio demeurait introuvable malgré les efforts coordonnés de la police et des témoins. Il eut une brève pensée pour la famille de Samantha, disparue elle aussi. Ne cesserait-il jamais de faire souffrir autour de lui ?
- Monsieur Scofield ?
- Oui Dr ?
- Les horaires de visites sont clos. Si votre épouse et vous-même désirez passez la nuit auprès de votre fille, nous pourrons vous aménager des lits de camps. Sinon, je vous conseillerai de rentrer chez vous pour vous reposez.
- Je vous remercie. Je vais en discuter avec ma femme. Je ne sais plus quoi faire avoua Michael désemparé. L’état de ma fille va-t-il évoluer prochainement ? Dîtes-moi, je vous en prie.
Le médecin lui-même ému laissa Michael reprendre contenance avant de dire :
- Votre fille a subi un choc émotionnel très important. En tant que témoin privilégié potentiel, elle devra suivre des séances de psychiatrie. Je recommanderai même de vous inclure dans la thérapie. Quoi qu’il en soit, l’amour dont vous l’entourez ne lui sera que bénéfique.
Le médecin affubla Michael d’une accolade amicale puis partit.
- Ignacio, j’ai soif.
- Je sais Sam. Ca devrait aller bientôt.
- Comment peux-tu dire ça ? On ne sais même pas où on est et… je…j’ai mal à la tête...
Ignacio allongea Sam comme il le put sur son épaule, lui aménageant une couche confortable afin qu’elle s’y reposât. Lui aussi avait mal à la tête se dit-il. Les évènements s’enchaînaient mal dans sa tête. Il se souvenait seulement d’un véhicule noir, de mouvements désordonnés, des cris de Sonia. Sonia. Pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé. Que faisait Sam auprès de lui ? Ne s’étaient-ils pas disputés ? Peu importait, il se réjouissait qu’elle soit à ses côtés comme toujours. Amis pour la vie. Ignacio espérait qu’elle n’était pas blessée. Il se faisait du souci car elle avait émergé de l’inconscience pour s’effondrer aussitôt. Il s’intéressa ensuite au lieu dans lequel ils se trouvaient : une pièce sombre _ seuls les rayons de la lune l’éclairaient _, étroite, humide et froide. Il entendait les canalisations gargouiller, accentuant l’atmosphère glauque. Ignacio perçut également des voix mais elles lui parvenaient assourdies. Il parviendrait à en savoir plus, mais pour l’instant il fallait que sa tête cesse de tourner. Ignacio prit donc le parti de dormir, resserrant ses bras autour de Sam dans un geste inconscient de protection.
- Idiote, vas-tu enfin te taire ?
- Dé-dé-désolée, balbutia Clare. Tu avais dit que ça se ferait sans mal.
- Je ne crois pas t’avoir autorisée à être aussi familière avec moi. En public tu joues la comédie, mais à huis clos le vouvoiement est de rigueur.
- Oui M.Winter.
- Bien, tu es une gentille fille obéissante.
Intérieurement l’homme la maudissait. Cette fouineuse abandonné tel un vilain canard lui avait servi pour son plan machiavélique jusqu’au jour où elle avait fouillé dans ses affaires et trouvé ses gouttes de sérum anti-rejet, ses papiers identités différentes. Il avait estimé que lui cacher la vérité ne lui ferait commettre que plus d’impairs supplémentaires. Il la maintenait dans un tel état d’angoisse perpétuel, la menaçant, l’humiliant à chaque occasion. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil. A présent le plan s’accélérait. Il avait le fils de Scofield en sa possession. Seul hic : l’ado qui l’accompagnait. Il devait se montrait vigilant, aucun détail, aucun contretemps mineur ne devait interférer dans ses projets.
V.
Michael observait machinalement sa femme caresser la main de leur fille encore et encore. Sonia dormait profondément, les médecins lui avaient administré un somnifère afin d’apaiser sa crise d’angoisse. La pauvre puce ne cessait de se débattre, comme si c’était indépendant de sa volonté. Elle ne parlait plus non plus, indubitablement marquée psychologiquement. On avait diagnostiqué un choc post traumatique auquel s’ajouterait éventuellement d’autres séquelles. Michael sentit les larmes monter, comment avait-il permis que cette tragédie arrive ? Sa fille adorée souffrait, Sara errait comme un zombie à la maison et Ignacio demeurait introuvable malgré les efforts coordonnés de la police et des témoins. Il eut une brève pensée pour la famille de Samantha, disparue elle aussi. Ne cesserait-il jamais de faire souffrir autour de lui ?
- Monsieur Scofield ?
- Oui Dr ?
- Les horaires de visites sont clos. Si votre épouse et vous-même désirez passez la nuit auprès de votre fille, nous pourrons vous aménager des lits de camps. Sinon, je vous conseillerai de rentrer chez vous pour vous reposez.
- Je vous remercie. Je vais en discuter avec ma femme. Je ne sais plus quoi faire avoua Michael désemparé. L’état de ma fille va-t-il évoluer prochainement ? Dîtes-moi, je vous en prie.
Le médecin lui-même ému laissa Michael reprendre contenance avant de dire :
- Votre fille a subi un choc émotionnel très important. En tant que témoin privilégié potentiel, elle devra suivre des séances de psychiatrie. Je recommanderai même de vous inclure dans la thérapie. Quoi qu’il en soit, l’amour dont vous l’entourez ne lui sera que bénéfique.
Le médecin affubla Michael d’une accolade amicale puis partit.
- Ignacio, j’ai soif.
- Je sais Sam. Ca devrait aller bientôt.
- Comment peux-tu dire ça ? On ne sais même pas où on est et… je…j’ai mal à la tête...
Ignacio allongea Sam comme il le put sur son épaule, lui aménageant une couche confortable afin qu’elle s’y reposât. Lui aussi avait mal à la tête se dit-il. Les évènements s’enchaînaient mal dans sa tête. Il se souvenait seulement d’un véhicule noir, de mouvements désordonnés, des cris de Sonia. Sonia. Pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé. Que faisait Sam auprès de lui ? Ne s’étaient-ils pas disputés ? Peu importait, il se réjouissait qu’elle soit à ses côtés comme toujours. Amis pour la vie. Ignacio espérait qu’elle n’était pas blessée. Il se faisait du souci car elle avait émergé de l’inconscience pour s’effondrer aussitôt. Il s’intéressa ensuite au lieu dans lequel ils se trouvaient : une pièce sombre _ seuls les rayons de la lune l’éclairaient _, étroite, humide et froide. Il entendait les canalisations gargouiller, accentuant l’atmosphère glauque. Ignacio perçut également des voix mais elles lui parvenaient assourdies. Il parviendrait à en savoir plus, mais pour l’instant il fallait que sa tête cesse de tourner. Ignacio prit donc le parti de dormir, resserrant ses bras autour de Sam dans un geste inconscient de protection.
- Idiote, vas-tu enfin te taire ?
- Dé-dé-désolée, balbutia Clare. Tu avais dit que ça se ferait sans mal.
- Je ne crois pas t’avoir autorisée à être aussi familière avec moi. En public tu joues la comédie, mais à huis clos le vouvoiement est de rigueur.
- Oui M.Winter.
- Bien, tu es une gentille fille obéissante.
Intérieurement l’homme la maudissait. Cette fouineuse abandonné tel un vilain canard lui avait servi pour son plan machiavélique jusqu’au jour où elle avait fouillé dans ses affaires et trouvé ses gouttes de sérum anti-rejet, ses papiers identités différentes. Il avait estimé que lui cacher la vérité ne lui ferait commettre que plus d’impairs supplémentaires. Il la maintenait dans un tel état d’angoisse perpétuel, la menaçant, l’humiliant à chaque occasion. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil. A présent le plan s’accélérait. Il avait le fils de Scofield en sa possession. Seul hic : l’ado qui l’accompagnait. Il devait se montrait vigilant, aucun détail, aucun contretemps mineur ne devait interférer dans ses projets.
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magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Nouvelle famille
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Re: Nouvelle famille
j'aime beaucoups ta suite
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Nouvelle famille
Merci.
Suite :
VI.
Michael tournait en rond, attendant un signe, quelque chose, n’importe quoi pour interrompre ce silence pesant. Les policiers comprenaient sa détresse, ils ne bronchaient pas. Sa ligne avait été mise sur écoute, le quartier quadrillé, les voisins interrogés. Il fallait attendre. Que c’était insupportable ! La sonnerie du téléphone retentit enfin. Mais était-ce une bonne chose ? Tous leurs sens étaient en alerte.
- Allo
- Allo, Scofield. Ca fait longtemps dit une voix déformée semblable à celle d’une machine.
- Qui êtes-vous ?
- Une ancienne connaissance.
- Rendez-moi mon fils !
- Chchchut ! T’es pas en mesure de négocier. JE dicte les règles. Tu as gâché ma vie, à cause de toi je vis en reclus. Je vais détruire tout ce à quoi tu tiens !
Les inspecteurs esquissaient des signes à Michael pour qu’il fasse durer l’entretien mais il n’en avait cure.
- Touchez à un seul de ses cheveux et je vous tuerai.
- Mauvais réponse. Clic. Tut, tut, tut, tut…
L’homme avait raccroché, la tonalité résonnait.
- Bon sang de bois, si vous voulez que tout se déroule au mieux, vous devez coopérer Scofield dit l’inspecteur principal en charge de l’enquête. Ce n’est pas en passant vos nerfs que vous rendrez service à votre fils.
A bout, Michael cogna la baie vitrée de la véranda de son poing. Elle éclata en une multitude de morceaux malgré le double vitrage. Sara s’approcha de son mari et posa ses mains sur ses épaules voûtées.
- Michael, chéri, il ne faut pas rendre les armes. Nos enfants ont besoin de nous, j’ai besoin de toi. Je sais que c’est difficile mais nous devons faire face à nos problèmes, comme nous l’avons toujours fait.
- Et qu’est-ce que ça a donné pour l’instant ? Notre soit disant conscience n’a apporté que des malheurs. Oh, Sara je suis tellement désolé de manquer à mon devoir. Je n’ai pas su vous protéger.
- Michael, je te fais entièrement confiance. Nous avons construit un foyer ensemble. Et nous le reformerons, nous devons être solidaires.
Le jeune officier n’osait déranger le couple qui se réconfortait mutuellement. Puis il toussota, gêné :
- Mon chef m’envoie pour vous dire que l’appel n’a pu être localisé, c’était trop court. Désolé.
- Vous n’y êtes pour rien. Je sais ce qui me reste à faire la prochaine fois répondit Michael.
- Heu, oui répondit l’officier, visiblement soulagé de sa maîtrise.
- J’aimerais que vous répondiez à un interrogatoire dit l’inspecteur en chef aux époux Scofield.
- Bien sûr.
- Tout d’abord, existe-t-il des personnes susceptibles de vous en vouloir personnellement ?
- Vous n’avez pas idée inspecteur.
Michael et Sara se firent le devoir d’énumérer tous ceux, de près ou de loin qui représentait une menace. De la famille éloignée de T-Bag, toujours désireuse de le faire plonger depuis l’assassinat du petit Jimmy par l’homme de main d’Abruzzi aux sous-traitants ruinés par l’arrêt d’activité d’Ecofield. Et la liste était longue. Très longue.
- D’accord. Parmi les témoignages récoltés, trouvez-vous quelque chose de suspect ?
- Pas vraiment.
- Bien, dit l’inspecteur qui sentait le découragement l’envahir face à la tâche qui lui incombait. Mais il faisait bonne figure face à la famille. Nous vous contacterons quand nous aurons du nouveau.
- Chef !
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Une dame âgée dans le quartier nord a signalé le départ précipité de son voisin dans un véhicule noir.
- Pourquoi ne m’en a-t-on pas informé plus tôt ?
- Désolé, il fallait faire le tri.
- Qui est cet homme ?
- Il semblerait que ce soit un certain Winter.
A ces mots le sang de Michael ne fit qu’un tour.
- Winter ?
Suite :
VI.
Michael tournait en rond, attendant un signe, quelque chose, n’importe quoi pour interrompre ce silence pesant. Les policiers comprenaient sa détresse, ils ne bronchaient pas. Sa ligne avait été mise sur écoute, le quartier quadrillé, les voisins interrogés. Il fallait attendre. Que c’était insupportable ! La sonnerie du téléphone retentit enfin. Mais était-ce une bonne chose ? Tous leurs sens étaient en alerte.
- Allo
- Allo, Scofield. Ca fait longtemps dit une voix déformée semblable à celle d’une machine.
- Qui êtes-vous ?
- Une ancienne connaissance.
- Rendez-moi mon fils !
- Chchchut ! T’es pas en mesure de négocier. JE dicte les règles. Tu as gâché ma vie, à cause de toi je vis en reclus. Je vais détruire tout ce à quoi tu tiens !
Les inspecteurs esquissaient des signes à Michael pour qu’il fasse durer l’entretien mais il n’en avait cure.
- Touchez à un seul de ses cheveux et je vous tuerai.
- Mauvais réponse. Clic. Tut, tut, tut, tut…
L’homme avait raccroché, la tonalité résonnait.
- Bon sang de bois, si vous voulez que tout se déroule au mieux, vous devez coopérer Scofield dit l’inspecteur principal en charge de l’enquête. Ce n’est pas en passant vos nerfs que vous rendrez service à votre fils.
A bout, Michael cogna la baie vitrée de la véranda de son poing. Elle éclata en une multitude de morceaux malgré le double vitrage. Sara s’approcha de son mari et posa ses mains sur ses épaules voûtées.
- Michael, chéri, il ne faut pas rendre les armes. Nos enfants ont besoin de nous, j’ai besoin de toi. Je sais que c’est difficile mais nous devons faire face à nos problèmes, comme nous l’avons toujours fait.
- Et qu’est-ce que ça a donné pour l’instant ? Notre soit disant conscience n’a apporté que des malheurs. Oh, Sara je suis tellement désolé de manquer à mon devoir. Je n’ai pas su vous protéger.
- Michael, je te fais entièrement confiance. Nous avons construit un foyer ensemble. Et nous le reformerons, nous devons être solidaires.
Le jeune officier n’osait déranger le couple qui se réconfortait mutuellement. Puis il toussota, gêné :
- Mon chef m’envoie pour vous dire que l’appel n’a pu être localisé, c’était trop court. Désolé.
- Vous n’y êtes pour rien. Je sais ce qui me reste à faire la prochaine fois répondit Michael.
- Heu, oui répondit l’officier, visiblement soulagé de sa maîtrise.
- J’aimerais que vous répondiez à un interrogatoire dit l’inspecteur en chef aux époux Scofield.
- Bien sûr.
- Tout d’abord, existe-t-il des personnes susceptibles de vous en vouloir personnellement ?
- Vous n’avez pas idée inspecteur.
Michael et Sara se firent le devoir d’énumérer tous ceux, de près ou de loin qui représentait une menace. De la famille éloignée de T-Bag, toujours désireuse de le faire plonger depuis l’assassinat du petit Jimmy par l’homme de main d’Abruzzi aux sous-traitants ruinés par l’arrêt d’activité d’Ecofield. Et la liste était longue. Très longue.
- D’accord. Parmi les témoignages récoltés, trouvez-vous quelque chose de suspect ?
- Pas vraiment.
- Bien, dit l’inspecteur qui sentait le découragement l’envahir face à la tâche qui lui incombait. Mais il faisait bonne figure face à la famille. Nous vous contacterons quand nous aurons du nouveau.
- Chef !
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Une dame âgée dans le quartier nord a signalé le départ précipité de son voisin dans un véhicule noir.
- Pourquoi ne m’en a-t-on pas informé plus tôt ?
- Désolé, il fallait faire le tri.
- Qui est cet homme ?
- Il semblerait que ce soit un certain Winter.
A ces mots le sang de Michael ne fit qu’un tour.
- Winter ?
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magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Nouvelle famille
TA SUITE SUPER
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Nouvelle famille
la suite la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Nouvelle famille
Toujours aussi bien!!!
Vivemment la suite!
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mickara- Parti au secours de Sara
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Re: Nouvelle famille
Jsuis a fond jsuis a fond jsuis a foooooooond
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Nouvelle famille
AHHHH c'est super!!!! Je ferais bien la peau à ce Winter moi... Ton histoire est vraiment super, vraiment rien à dire. J'attends la suite avec beaucoup d'impatience!!
Dernière édition par le Dim 7 Jan - 13:39, édité 1 fois
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: Nouvelle famille
Suite :
VII.
- Alors les tourtereaux, on roucoule dans ce nid d’amour ? Dit l’homme avec un rire mauvais.
- Qu’est-ce que vous voulez ?
- T’es bien comme ton père ! Toujours à semer la zizanie. Ce que je veux ? Que ton père paye pour tout ce qu’il m’a fait subir.
- Est-ce que ç’aurait un rapport avec son évasion il y a plus de 15 ans ?
- Exclusivement.
- Si vous avez des comptes à régler, adressez-vous directement à lui ! Je n’ai rien à voir dans cette affaire, et Sam non plus d’ailleurs.
- Je ne permettrai pas qu’une vermine me parle sur ce ton.
Comme dans un état second, l’homme roua Ignacio de coups : dans les côtes, au visage. Sam horrifiée par le sang s’interposa au risque de prendre un coup. Ce qui arriva. Les deux ados gisaient, meurtris.
- Tenez. S’agit pas que ma monnaie d’échange disparaisse.
Et l’homme le lança une écuelle d’eau ainsi qu’un sandwich rassis. Clac. La porte venait de se refermer brutalement.
- Eh Sam, tout va bien ?
- Oui ça va, j’ai juste une coupure à la lèvre.
- J’suis désolé.
- Non, c’est pas grave, je m’inquiète plus pour toi. Tu saignes ajouta Sam en épongeant ses blessures.
- Sam, pourquoi es-tu avec moi en ce moment ?
- Oh, tu sais, ta sœur et toi étiez en danger alors j’ai fait ce que j’ai pu. Voilà.
- Que s’est-il passé ?
- Sonia a pu s’échapper. Clare se trouvait à côté de nous, elle pleurait. Et maintenant nous sommes là avec ce fou. Hé, arrête de faire cette tête, je vais finir par croire que ça t’ennuie que je sois là.
- Bien sûr que non. Au contraire je t’en suis reconnaissant. Tu n’étais pas obligée de faire ça.
- Je sais mais je n’ai pas pu m’en empêcher. Je t’aime bien Ignacio, t’es mon meilleur ami.
- Oui. Pourquoi est-ce que tu ne me parles plus depuis que je suis avec Clare ?
- Je te trouve stupide d’être obnubilé par une personne et d’en oublier le monde extérieur, c’est tout.
- C’est que tu n’as jamais été amoureuse alors. Pourquoi ?
- Laisse tomber, el gaucho.
- Allez, de toute façon on a rien d’autre à faire que parler.
- T’as jamais remarqué qu’il y avait que des crétins que ce soit au collège ou au lycée. Pas pour moi.
- Hmm. C’était la belle vie quand même : Alicia, Jenny, Alicia à nouveau puis Clare. J’suis un tombeur, y a rien à dire.
- Pfff !
- Sam, sérieusement. Je suis sorti avec d’autres filles avant et tu le prenais bien. Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ?
- Peut-être que j’en ai marre d’être seule, d’avoir des sentiments à sens unique. T’inquiètes, j’te mets pas la pression mais puisque tu veux jouer carte sur table, voilà.
Sam remercia en pensée l’agresseur de les avoir maintenus dans la pénombre, ainsi, Ignacio ne pouvait pas voir ses joues enflammées. Comment avait-il pu être aveugle toutes ces années ? Mais quel choc de découvrir que sa meilleure amie éprouvait plus que de l’amitié pour lui.
- Concentrez-vous M.Scofield. Dîtes-nous tout ce que vous savez dit l’inspecteur Chase.
- A vrai dire, pas grand-chose malheureusement.
- Votre réaction a été assez vive, pourquoi ?
- Je me sentais mal à l’aise en présence de cet homme, une répulsion inexplicable. Cet homme m’est physiquement antipathique.
- Mais encore ?
- Mon fils est dans la classe de sa fille. Nous l’avons invité à dîner avant-hier avec d’autres adolescents. Je sais juste qu’ils arrivent à peine à Chicago. Je n’ai pas eu le temps d’approfondir la question. Je crois que M.Winter a adopté sa fille Clare. Voilà en gros ce que je sais.
- D’accord. Notre équipe d’investigation va plancher là-dessus. De votre côté, forcez votre mémoire. Nous tenons là une piste solide.
Winter. Dès le début il avait senti quelque chose de louche. Quelle erreur d’avoir étouffé son intuition. Winter. Qui es-tu ? Michael laissa les souvenirs l’envahir. La menace prononcée quinze ans plus tôt résonna dans sa tête comme si elle datait d’hier : Je gagne toujours Scofield. Winter – Winner. Lettres T et N. Michael pris un bout de papier et écrivit convulsivement l’alphabet en y associant les nombres correspondants. La lettre T valait vingt. Le N quatorze. 20 et 14. Cela donnait 2014. L’année d’évasion de l’agent du Cartel. Cette nouvelle avait causé un tollé médiatique. Mais l’affaire irrésolue avait vite été étouffée par les hauts dirigeants qui la jugeaient néfaste à leur popularité. On ne savait pas ce qu’il était advenu du criminel. Jusqu’à aujourd’hui. Michael fit part de sa découverte aux inspecteurs.
Dernière édition par le Ven 5 Jan - 20:40, édité 2 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Nouvelle famille
tres bien ta suite
vivement la suite
s t p
vivement la suite
s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Nouvelle famille
oui je suis impatiente de voir la suite
anso26- Retrouve Steadman
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Re: Nouvelle famille
Je suis ACCRO a ta fic
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Nouvelle famille
la suite la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Nouvelle famille
hayley a écrit:Je suis ACCRO a ta fic
Idem pour moi
mickara- Parti au secours de Sara
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Re: Nouvelle famille
c'est pareil je suis accro
la suite vite vite stp
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Tracy- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: Nouvelle famille
c superrr je rafolle de cette histoire
anso26- Retrouve Steadman
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Re: Nouvelle famille
Merci, très gentils ces encouragements.
Suite :
VIII.
Seul le régisseur de l’air climatisé ambiant troublait la quiétude de la chambre d’hôpital. Sonia Devon Scofield avait peur. Il faisait nuit dehors et elle était censée dormir mais la terreur la maintenait en éveil. Le pire c’est qu’elle ne pouvait appeler à l’aide, les sons ne sortaient pas. Et à quoi bon appuyer sur la sonnette ; elle n’avait pas besoin de quelques minutes passées à la va-vite avec un inconnu, aussi compétent fut-il. Sonia voulait ses parents, elle voulait effacer la tristesse au fond de leurs yeux. Elle espérait surtout, avec son cœur de sept ans, que son frère reviendrait vite. Sonia s’endormit, le visage baigné de larmes silencieuses ; si seulement elle était plus grande, elle pourrait aider.
Le lendemain matin.
Sara revenait de l’hôpital, sa fille la talonnait. La thérapie familiale débuterait d’ici deux semaines, le temps de laisser les choses décanter. Sara redoutait ces séances, le passé de Michael ne rejaillirai-t-il pas avec force ? Comme si ce n’était déjà pas le cas, se dit-elle avec une pointe d’autodérision mêlée à de la lassitude. Elle n’en voulait pas à Michael mais qu’il était facile de lui jeter la pierre ! A bien considérer la situation d’un œil impartial, les points négatifs surpassaient les bonus : disparition d’êtres chers, traumatismes, perte d’un emploi prestigieux. Puis Sara se dit que sans le plan méticuleusement élaboré de Michael, elle n’aurait pu connaître un tel amour, avoir de beaux enfants, sympathiser avec un voisinage agréable. Quoique. Sara se souvint de l’appel de la mère de Sam. « Dès votre arrivée, étant donné votre passé, j’ai su que vous ne nous causeriez que des ennuis ». Sara ne lui en voulait pas, c’était une réaction typique liée au stress de l’attente. Mais ces paroles l’avaient blessée.
- Viens dans les bras de Papa.
Sonia courut jusqu’à son père, se faufilant parmi le matériel d’investigation. Michael sentit son cœur se serrer : en temps normal, sa fille aurait lâché son petit rire cristallin.
Et si tu allais te reposer un peu, je monterai te donner un bisou plus tard.
Sonia comprit qu’on la congédiait, le ton était badin mais l’ambiance sérieuse. Elle partit donc mais se cacha au bas du grand escalier, aux aguets.
- M.Scofield, résumons : vous venez d’identifier clairement notre maître chanteur. Il devait s’attendre tôt au tard à ce que vous décodiez son nom. Je suppose que c’est vous rendre la monnaie de votre pièce. Tout le monde connaît l’histoire qui entoure votre célèbre tatouage. Cet homme qui a perdu tout soutien influent veut vous faire payer. Il se sert donc d’une jeune fille qu’il a adopté comme appât sachant à quel point les sentiments sont irrationnels et connaissant l’humanité qui vous caractérise vous et votre famille, en l’occurrence votre fils. Petit bémol : nous ignorons ce qu’il a fait durant les années qui ont suivi son évasion : A-t-il planifié une revanche de grande ampleur ? A-t-il des acolytes ? Je réfuterais cette hypothèse mais sait-on jamais. Il ne faut pas oublier cette fille, Clare. Les services sociaux ont confirmé son passé tumultueux. Les psychologues pensent qu’elle a un profil de personne vulnérable en manque d’affection et qu’elle est instable. Son tuteur est sûrement dur avec elle mais elle cherche avant tout un cocon familial sûr. C’est ce qu’on appelle le chantage affectif. En gros : « fais ce que je te dis ou reste seule ». Ce qui nous reste à faire : découvrir la planque, le surprendre, répondre à ses requêtes en espérant que son timing sera bousculé. Des questions ?
Michael resta abasourdi par l’exposé de l’inspecteur Chase. Cet homme avait de l’expérience, sans aucun doute. C’était désespérant.
Ignacio mangeait le pain sec. Il regardait Sam étancher sa soif. L’ombre de ses cils sur ses joues lui conférait un air mystérieux. Qu’elle était jolie ! Et dire qu’il ne s’en rendait compte que maintenant. Pour lui, Sam était le frère qu’il n’avait jamais eu, c’était …
- El gaucho, pourquoi tu me regardes bizarre comme ça ? T’as avalé de travers ?
C’était Sam, tout simplement.
- Je réfléchissais.
- A quoi ?
- Que crois-tu qu’il va faire de nous ?
En pensant à leur enlèvement, Sam réprima un frisson rétrospectif.
- Il va certainement taxer les parents, le truc classique de la rançon.
- Hmm.
Ignacio replongea dans ses pensées. Son père avait un sens du détail extraordinaire. Cela le fascinait si bien qu’il s’était entraîné. Ignacio avait entraperçu le visage de l’homme qui les séquestrait alors qu’il claquait la porte de la geôle sur Sam et lui. Les balafres qui labouraient son visage n’étaient pas ordinaires. A coup sûr il s’agissait de chirurgie plastique. C’était vraisemblablement une greffe de peau partielle sinon son père l’aurait reconnu lorsqu’il avait raccompagné Clare. Ignacio se demandait pourquoi cet homme le détestait tant. Puis l’ado se concentra. Il avait entendu la sonnerie caractéristique du marchand de glaces. Il osait espérer que le ravisseur ne s’était pas trop éloigné du district, c’était leur seule chance. La camionette n’était repartie que ce matin. Ignacio en déduit qu’ils se trouvaient au terminus de la compagnie de vente de glaces vers Central Park Avenue point. Le tout maintenant, c’était d’en informer sa famille.
Suite :
VIII.
Seul le régisseur de l’air climatisé ambiant troublait la quiétude de la chambre d’hôpital. Sonia Devon Scofield avait peur. Il faisait nuit dehors et elle était censée dormir mais la terreur la maintenait en éveil. Le pire c’est qu’elle ne pouvait appeler à l’aide, les sons ne sortaient pas. Et à quoi bon appuyer sur la sonnette ; elle n’avait pas besoin de quelques minutes passées à la va-vite avec un inconnu, aussi compétent fut-il. Sonia voulait ses parents, elle voulait effacer la tristesse au fond de leurs yeux. Elle espérait surtout, avec son cœur de sept ans, que son frère reviendrait vite. Sonia s’endormit, le visage baigné de larmes silencieuses ; si seulement elle était plus grande, elle pourrait aider.
Le lendemain matin.
Sara revenait de l’hôpital, sa fille la talonnait. La thérapie familiale débuterait d’ici deux semaines, le temps de laisser les choses décanter. Sara redoutait ces séances, le passé de Michael ne rejaillirai-t-il pas avec force ? Comme si ce n’était déjà pas le cas, se dit-elle avec une pointe d’autodérision mêlée à de la lassitude. Elle n’en voulait pas à Michael mais qu’il était facile de lui jeter la pierre ! A bien considérer la situation d’un œil impartial, les points négatifs surpassaient les bonus : disparition d’êtres chers, traumatismes, perte d’un emploi prestigieux. Puis Sara se dit que sans le plan méticuleusement élaboré de Michael, elle n’aurait pu connaître un tel amour, avoir de beaux enfants, sympathiser avec un voisinage agréable. Quoique. Sara se souvint de l’appel de la mère de Sam. « Dès votre arrivée, étant donné votre passé, j’ai su que vous ne nous causeriez que des ennuis ». Sara ne lui en voulait pas, c’était une réaction typique liée au stress de l’attente. Mais ces paroles l’avaient blessée.
- Viens dans les bras de Papa.
Sonia courut jusqu’à son père, se faufilant parmi le matériel d’investigation. Michael sentit son cœur se serrer : en temps normal, sa fille aurait lâché son petit rire cristallin.
Et si tu allais te reposer un peu, je monterai te donner un bisou plus tard.
Sonia comprit qu’on la congédiait, le ton était badin mais l’ambiance sérieuse. Elle partit donc mais se cacha au bas du grand escalier, aux aguets.
- M.Scofield, résumons : vous venez d’identifier clairement notre maître chanteur. Il devait s’attendre tôt au tard à ce que vous décodiez son nom. Je suppose que c’est vous rendre la monnaie de votre pièce. Tout le monde connaît l’histoire qui entoure votre célèbre tatouage. Cet homme qui a perdu tout soutien influent veut vous faire payer. Il se sert donc d’une jeune fille qu’il a adopté comme appât sachant à quel point les sentiments sont irrationnels et connaissant l’humanité qui vous caractérise vous et votre famille, en l’occurrence votre fils. Petit bémol : nous ignorons ce qu’il a fait durant les années qui ont suivi son évasion : A-t-il planifié une revanche de grande ampleur ? A-t-il des acolytes ? Je réfuterais cette hypothèse mais sait-on jamais. Il ne faut pas oublier cette fille, Clare. Les services sociaux ont confirmé son passé tumultueux. Les psychologues pensent qu’elle a un profil de personne vulnérable en manque d’affection et qu’elle est instable. Son tuteur est sûrement dur avec elle mais elle cherche avant tout un cocon familial sûr. C’est ce qu’on appelle le chantage affectif. En gros : « fais ce que je te dis ou reste seule ». Ce qui nous reste à faire : découvrir la planque, le surprendre, répondre à ses requêtes en espérant que son timing sera bousculé. Des questions ?
Michael resta abasourdi par l’exposé de l’inspecteur Chase. Cet homme avait de l’expérience, sans aucun doute. C’était désespérant.
Ignacio mangeait le pain sec. Il regardait Sam étancher sa soif. L’ombre de ses cils sur ses joues lui conférait un air mystérieux. Qu’elle était jolie ! Et dire qu’il ne s’en rendait compte que maintenant. Pour lui, Sam était le frère qu’il n’avait jamais eu, c’était …
- El gaucho, pourquoi tu me regardes bizarre comme ça ? T’as avalé de travers ?
C’était Sam, tout simplement.
- Je réfléchissais.
- A quoi ?
- Que crois-tu qu’il va faire de nous ?
En pensant à leur enlèvement, Sam réprima un frisson rétrospectif.
- Il va certainement taxer les parents, le truc classique de la rançon.
- Hmm.
Ignacio replongea dans ses pensées. Son père avait un sens du détail extraordinaire. Cela le fascinait si bien qu’il s’était entraîné. Ignacio avait entraperçu le visage de l’homme qui les séquestrait alors qu’il claquait la porte de la geôle sur Sam et lui. Les balafres qui labouraient son visage n’étaient pas ordinaires. A coup sûr il s’agissait de chirurgie plastique. C’était vraisemblablement une greffe de peau partielle sinon son père l’aurait reconnu lorsqu’il avait raccompagné Clare. Ignacio se demandait pourquoi cet homme le détestait tant. Puis l’ado se concentra. Il avait entendu la sonnerie caractéristique du marchand de glaces. Il osait espérer que le ravisseur ne s’était pas trop éloigné du district, c’était leur seule chance. La camionette n’était repartie que ce matin. Ignacio en déduit qu’ils se trouvaient au terminus de la compagnie de vente de glaces vers Central Park Avenue point. Le tout maintenant, c’était d’en informer sa famille.
Dernière édition par le Dim 7 Jan - 12:47, édité 1 fois
magalie- Parti au secours de Sara
- Nombre de messages : 506
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Localisation : dans mes pensées
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Nouvelle famille
j'adore c'est toujours aussi bien
vivement la suite
vivement la suite
Tracy- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Age : 33
Date d'inscription : 15/12/2006
Re: Nouvelle famille
j'adore aussi
vite la suite S T P
S T P , S T P ,
vite la suite S T P
S T P , S T P ,
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Nouvelle famille
Génialissime!!!
mickara- Parti au secours de Sara
- Nombre de messages : 537
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Localisation : En ballade sur l'Ile Mouton...
Date d'inscription : 19/10/2006
Re: Nouvelle famille
Toujours aussi fantastique!!
Nickki- Retrouve Steadman
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Age : 35
Localisation : Là où il n'y a aucun problème ...
Date d'inscription : 10/10/2006
Re: Nouvelle famille
oh my god !!!! le stress ! tu peux pas nous laisser comme ça... la suite
Galath- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 266
Date d'inscription : 15/12/2006
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