rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)

ENNEADE a écrit:désolé pas aujurd'huie j'ai eut un boulot monstre

mariage mariage je me suis dis en venant voir me dis quil y a une suiite j"tais contente sans letre je sentais qui allait pas en avoir jai un sixème sens

pas raaaaaaave bonne chance vek maman

non là c'est vraiment le taff, le vrai...

un de ces bordel aujourd'hui... du coup migraine

ENNEADE a écrit:non là c'est vraiment le taff, le vrai...

un de ces bordel aujourd'hui... du coup migraine

allez va dodo va mais demain je texplique, Went va se réveiller dun coup la ratraper et lui dire "Non reste je te demande pas de choisir entre ton boulot et moi on surmontera sa ensemble reste avec moi je ne veux pas que tu parte....."

Il sera bien sur en calecon devant tout le monde et moi je passerais devant lhotel a ce moment la
je suis partis loiin la mais ta compris hein?????

Oui, moi aussi, je vote pour Went en caleçon à l'aeroport!

je prends note de vos suggestions... nous allons voir mon cerveau et moi si on les mets dans le scénario

allez y lacher vous vous avez jusqu'à demain 10h après j'écris ce que je veux

Je veux uen suite... j'en ai besoin

trente seconde elle est là Soso!!!


vu qu'il n'y à eut qu'une suggestion pour la suite!! je me suis démerdé toute seule!!!


bon Chap 10 :



Ah ! Je ne peux pas croire que j’ai fait ça. Je suis de loin la fille la plus stupide qu’il existe. Une semaine déjà que j’ai quitter cette chambre, une semaine que je me suis enfui sans rien attendre en retour, en espérant qu’il n’y aura pas de retour… et depuis qu’est-ce que je fais… dès que je suis chez moi, je matte cette putain de série ! ! ! Merde mais je suis aussi bête que ça ? J’ai un mal de chien la nuit à trouver le sommeil, son odeur et sa présence envoûtent toujours mon esprit. Une semaine que je passe mes soirées devant la télé et mon saladier de pop-corn… à me faire la carrière de monsieur ! Une semaine à feuilleter les articles se rapportants à lui, une semaine que je parcours les forums pour me rendre compte de ce que j’ai laissé derrière moi ce matin là !

Je me sens si seule depuis, comme si on m’avait arracher une partie de moi-même. Jamais je n’avais ressenti un truc pareil. Mais que puis-je faire, je sais très bien que je n’aurais pas été plus heureuse avec lui. Dans les deux cas j’aurais eut un vide immense, si seulement les choses pouvaient être plus simples.
Je prends la dernière pile de magazine que Virginie m’a prêtée où il figure. Elle doit halluciner, moi qui me fout royalement de tout ce qui est people tout d’un coup je lui demande tout ce qu’elle peut avoir le concernant ! Elle doit me prendre pour une folle. J’ai beau eut prétexter que c’était pour une copine ! ! Je suis sûr qu’elle ne me croit pas.

Bon alors, si au moins ils pouvaient me montrer ses travers, ses défauts… car c’est toujours pareil : un mec super beau, gentil, intelligent mais tout ça je le sais ! J’aimerai juste voir que j’ai bien fait, qu’il n’est pas aussi bien ! Je ne sais pas, une photo de lui en train de se faire une ligne comme Kate Moss c’est trop demandé ! Une photo de lui, au volant en état d’ébriété ou en train de frapper un paparazzi… il y en a des tas qui le font pourquoi pas lui ? Ah ! Le dernier, mon petit pote tu as intérêt à me donner du croustillant sinon c’est le suicide… j’aurais vraiment laisser passer l’homme parfait ! Alors, ma couverture ! Ce n’est pas possible, c’est lui ! L’enfoiré ! C’est qui cette fille ? Il n’a pas perdu de temps ! Si je comprends bien, il y a quelques jours ! Juste après mon retour de New-York ! Ils écrivent que cela fait deux moi qu’ils sont ensemble, non mais c’est une blague ? Je me suis fait avoir sur toute la ligne et dans les grandes largeurs ! D’habitude je n’attribuerai aucun crédit à ceci, mais là c’est comme si on enfonçait une lame dans mon cœur, comme si on me transperçait de part en part… j’ai si mal, de le voir avec une autre.
Je suis pitoyable, je me morfonds dans mon salon, alors que lui se prend du bon temps. Je ressemble à quoi, moi, assise en tailleur au milieu de ses journaux qui recouvrent le sol de mon salon, les cheveux en pagaille. Bon faut que tu te reprennes, ce soir c’est sorti entre fille. Voilà c’est décidé, Mr Miller au placard et bon vent ! Je ramasse tous ces journaux pour les remettre dans le carton. Voilà, une bonne chose de faites. Assise dans mon canapé, j’ai du mal, beaucoup de mal à voir ce qui se passe… peut-être simplement à cause des larmes que j’essaye en vain de réfréner depuis tout à l’heure. Bon, ça va passer ! Tu le sais, c’est un mauvais moment à passer !

TOC-TOC-TOC-TOC

Les bruits contre ma porte d’entrée me terrifient. J’ai comme l’impression que l’on va me l’enfoncer ! Je me dirige vers le judas pour voir qui peut taper aussi fort, ce qui peut se passer. Je ne vois rien. Bon faut que tu ouvres, ce n’est pas pour rien qu’on tambourine ainsi à ta porte. Je passe mes mains sur mon visage, comme pour effacer mes yeux rougis et les cernes qui les entourent.

A : oui, une seconde. Du calme !

Je ne me sens pas confiante à ouvrir de la sorte sans savoir qui est le l’autre côté mais bon, on ne sait jamais ! Il y a peut-être un voisin qui à fait un malaise ou un truc du genre… et puis j’ai l’impression que ce n’est pas prêt de s’arrêter… faudrait pas que quelqu’un appel les flics ! Manquerait plus que ça !


A : oui, qu’est-ce…
W : faut qu’on parle !
A : toi… t’es malade de taper ainsi !
W : non et j’estime avoir le droit à plus que ça ! Brandissant un papier froissé.



Flash-back :


Une chambre d’hôtel luxueuse de New-York. Un jeune homme s’éveille doucement. Il est presque 9h. des bruits émane de la porte. Il regarde autour de lui, il est seul.

W : oui, oui, j’arrive.

Il sort de son lit, le regard encore hagard. Il prend juste le temps d’enfiler son boxer.

W : oui, qu’est-ce qu’il y a ? Vous êtes ?
Femme : pardon, Mr Miller. Je suis Aurélie. Mr Scheuring me fait vous dire que votre taxi part dans une heure. Vous devez être dans le hall dans 45 minutes.
W (passant sa main sur son visage comme finir de se réveiller) : ah ! merci
Aurélie : désolé de vous avoir réveillé. Passez une bonne journée.
W (lui rendant son sourire) : merci vous aussi !
Aurélie (fixant le corps quasi nu du jeune homme) : elle ne pouvait pas mieux commencer.


La jeune femme se dirige vers l’ascenseur sous le sourire interdit du jeune homme. Il s’étire en refermant la porte. Ses yeux se portent sur son lit vide. Ses yeux balayent la pièce pour arriver à se poser sur une lettre laissée sur la table de nuit. Il s’avance vers elle le regard déconfit. C’est comme s’il n’avait pas besoin de la lire, il en devine le contenu. De toute façon, il ne fallait pas être dupe, vu la situation !

Wentworth,
Décidément les avions sont contre nous.
J’aurais pu ne pas le prendre mais ma vie est à Paris.
Je ne sais pas si tu comprendras mais je l’espère.
Je te souhaite de rencontrer la femme dont tu rêves, moi je ne suis pas celle-là.
Prends soin de toi.
Anna

Il s’écroule les yeux pleins de larmes sur l’oreiller humant encore le parfum de la jeune femme.

45 minutes plus tard. Il rejoint tout le staff de la série Prison Break. Caché derrière ses lunettes de soleil aviateur, il dit à peine bonjour.

Dominique : alors on a de petits yeux ? Pas beaucoup dormi ?
W : on le prend cet avion ou on couche ici ?
D : OK. Je vois… ça c’est si mal passé ?


Wentworth se dirige sans répondre vers les portes de l’hôtel. Il se stoppe net à l’entente de son prénom. Il se retourne d’un mouvement brusque alors que son père lui fait face.

Mr Miller : Alors tu t’en vas sans me dire au revoir ! Je t’ai si mal élevé que ça ?
W (confus) : non désolé ! Je te croyais déjà parti.
Mr Miller : ôtes moi ses lunettes ! T’as une mine si affreuse que ça ?
W (blasé) : laisse tomber, s’il te plaît !
Mr Miller : OK. Tu as parlé à la jeune femme, Anna. Elle est bien cette fille, non ?
W : papa !
Mr Miller : quoi ? Ne me dis pas le contraire, elle serait parfaite pour toi !
W : tu veux toujours me caser. Arrêtes ! Et d’abord, qui te dis que moi je suis fait pour elle ?
Mr Miller (choqué) : ben ! ! J’aurais cru… j’ai du me tromper ! !
W : désolé mais faut que j’y aille.
Mr Miller : tu m’appelles quand tu atterris !
W (souriant) : oui.


Il s’engouffre dans les portes battantes de l’hôtel pour s’engouffrer dans la voiture. De sa silhouette parfaite une chose rompt la magie. Un morceau de papier dépassant négligemment de sa poche arrière.

Fin Flash-back.


alors MISSA ... contente

MAGNIFIQUE SUITE

j ' ai hate de voir la confontation entre anna et went qui va chauffer !!!!!!

j ' en redemande la suite

met vite la suite

Oh, Went en colère, wahou So sexy!

Pourtant, il était pas si mal son petit mot , allez Went, elles aiment se faire prier...

po content du tout le went ! ça va chauffer !!
hâte de lire ça

Chap 11 :

A : OK rentre ! On va éviter que mes voisins en profitent !
W : parce que tu crois que j’en ai quelque chose à foutre ?
A : moi oui ! Qu’est-ce que tu fous ici ?
W : ça aurait été plus simple si… t’aurais préféré que je ne vienne pas ? C’est ce que tu avais prévu ?
A : je n’avais rien prévu d’accord ! Si tu veux qu’on discute pas de problème mais tu te calmes, sinon tu peux repartir !
W : me calmer, tu es rigolote ! !
A : et pourquoi tu es à Paris, ce n’est pas pour moi ?
W : non, t’inquiètes de la promo à faire. Désolé, je n’avais pas ton téléphone sinon j’aurais prévenu, je ne suis pas comme ça, à débarquer à l’improviste !
A : oui, par contre, tu te souviens du chemin, je devrais peut-être te féliciter !
W : non … et puis j’avais toujours ton adresse, marqué sur la serviette. Je l’avais gardée. C’était un bon souvenir !
A : quoi tu n’apprécies pas les petites lettres sur l’oreiller ? C’est dommage !
W : je vois, tu te venges !
A : non, pas du tout.
W : admets le, au moins, ne soit pas hypocrite en plus !
A : en plus de quoi ?
W : non…
A : dis le…tu pense que je me suis moqué de toi, que je suis une traîné… tu penses quoi ?
W : j’étais honnête avec toi, j’avais vraiment oublié de noter mon téléphone… mais toi, tu me laisse un mot d’adieu ! !
A : et alors ? .
W : cette nuit, ne représentait rien pour toi ? Merde, tu savais pertinemment ce que tu allais faire ?
A : quoi on a baisé ensemble ce n’est pas un drame tout de même, on était tous les deux consentants !
W : baiser ! C’est ça pour toi ?
A : tu croyais quoi ?
W : je ne sais pas en fait !
A : ah ! Je vois ne t’inquiète pas la presse ne sera pas au courant si tel est ton problème. Je ne voudrais pas entacher ta sublime carrière !
W : joue pas a ce jeu ! Tu sais très bien que je m’en fous !
A : alors qu’est-ce que tu fais ici ? Ah ! Tu comptais peut-être remettre le couvert… au cas où cette conne d’Anna serait disponible !
W : non, je croyais qu’on pouvait s’expliquer mais je ne vois pas sur quoi vu que pour toi c’était un plan cul sans intérêt… seulement ce n’est pas l’impression que tu m’as donné !
A : a ton âge tu devrais savoir qu’il ne faut pas se fier aux apparences ! ! Tu ferais mieux de retourner chez toi, je suis sûr qu’il y a quelqu’un qui t’attend !
W : oui vaudrait mieux. Je te croyais différente, mais… au fait ton mot, super… tu es assez doué dans ton genre… et je crois que tu as raison. Tu n’es pas celle-là… un vulgaire esquisse à peine !
A : dégages d’ici.
W : t’inquiètes, je m’en vais !


Il me laisse enfin seul ! Je suis en compote. Je m’effondre littéralement au sol, en larmes. J’ai réussit à me contenir mais là je craque. Que fait-il ici, si là-bas sa blonde patiemment ! ! Je ne comprends plus rien ! ! Je n’en ai pas envie ! ! J’ai l’impression de défaillir. Je me recroqueville pour laisser aller ma peine. Les minutes passent en silence. Je déteste ce que j’ai put lui dire, je me déteste, je le déteste. Pourquoi me fait-il autant souffrir, pourquoi je n’arrive pas à lui dire ce que je ressens ? Pourquoi j’ai préféré lui mentir plutôt que de lui montrer ma peine devant le choix que j’ai fait, devant cette photo qui fait la une des journaux ! pourquoi je me suis sentie obliger de lui faire du mal pour le repousser?
Encore quelqu’un qui frappe à cette foutu porte. Mes yeux se porte sur le magazine qui dépasse négligemment du carton… si c’est lui, même pas je lui ouvre, j’aurais trop honte ! ! Mais je ne le connais pas ! !


A : oui, que puis-je pour vous ?
D : désolé, je ne parle pas français. Je suis un ami de Went, je peux vous parler ?
A : oui, vous êtes ?
D : Dominic Purcell.
A : oui rentrez ! Installez-vous.
D : j’en étais sur !
A : pardon ?
D : vous êtes dans le même état que lui. Vous m’avez l’air d’être de sacré tête de mule tous les deux !
A : OK si vous êtes là pour me dire que je suis conne pas la peine ! Et si c’est pour qu’il puisse tirer son coup encore moins !
D : je comprends un peu mieux ce qu’il apprécie chez vous. Mais je ne suis pas là pour ça.
A : bon alors pourquoi ?
D : essuyez vos larmes, d’abord. Faut que je vous dise que depuis qu’il vous a vu, il ne pense qu’à vous, il est distrait au possible… il est à l’envers quoi ? Et à ce que je vois vous n’êtes pas mieux ?
A : et alors ?
D : j’aime beaucoup Went c’est quelqu’un de vraiment bien et il ressent des choses très fortes pour vous. Il ne devait pas venir à Paris, il a fait des pieds et des mains pour venir. La première chose qu’il a faite, c’est venir vous voir. Je ne sais pas ce qui s’est passé et ce n’est pas mais affaire mais quand il est rentré, il était dans un sale état et
A : c’est votre ami et voulais son bien.
D : oui. C’est juste que… Voyant le magazine dépassant du carton. Je peux.
A : oui.
D : Ne me dites pas que vous croyez ce truc, ils écrivent n’importe quoi !
A : je ne sais pas quoi en penser ! Je suis désolé, mais ce n’est pas mon monde et je ne suis pas sûr de vouloir en faire partie. De plus ma vie est ici.
D : je vois, même si vous êtes malheureuse ! Lui tendant un papier. Tenez, on ne sait jamais si vous changiez d’avis. Ne lui dites pas que ça vient de moi, il me tuera !
A : merci, mais c’est…
D (hilare) : son adresse. Ne la perdait pas elle vaut une fortune ! ! Bon je ferais mieux de repartir, on part à 18h. C’était un voyage express.
A : merci. Je suis contente qu’il est des amis comme vous.
D : au revoir.

Ben ! Me voilà dans de beaux draps. Je suis en pleine crise existentielle moi maintenant. Je ne peux pas être aussi bête que ça ! Oh ! Non le téléphone, cette journée ne va pas s’arrêter ! ! Je suis crevée ! !

la suite la suite la suite la suite la suite la suite la suite la suite la suite!!!!!!!!!!!

J'adore lol ... Tu nous remets encore une tite suite

J'adoooooooooooooooooorrrre !

Mais j'aimerais connaître la suite...c'est toujours c qu'on veut, c'est humain !

Tu la mets bientôt ?

haaaaaaaaaaa j'adore j'adore j'adore !!!!
la suite la suite la suite !! stp stp stp stp

vite une suite

j' adore , magnifique , superbe

la suiteeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!

je veux savoir la suite !!!!!!!!

Je vais taper un speach te préviens
AAAAAAAAAAAAAAA je laie vue en caleçon AAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!




Tu métonne que javais le sourire aux lèvres

putin moi je dis Went enervé sa vaut le détour je suis troop préssé quil se retrouve quelle sexcuse quand meme hein et quils se sautent desssus tu va mettre une suiite demain hein dis pense a mon coeur mon cerveau ma pulsation cardiaque mes veines!!

Je veux savoir la suite !!!!

Magnifique suite!!!!!!!!!!!!!!!!!
Dominic toujours a la rescousse!!!!!!!!!!
On pourrait aussi avoir l'adresse de Went???
Vivement la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

magnifique !!!!!!!!!!!!

tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!!!!

je veux savoir si c 'est went qui ouvre la porte , que va t ' il lui dire !!!!!!!! elle aussi !!!!!

met vite la suite !!!!!!!!!! please !!!!!!!!!

Maintenant qu'on a l'eau à la bouche, va falloir la suite vite

J'adore cette fic et at manière de raconter !

c'est qui ?? c'est qui derrière la porte ???

Sa t'amuse de nous mettre au supplice comme sa!!!!!!!
Et qui se trouve derrière la porte???? Wenty j'espère bien!!!!
UNE SUITE UNE SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE