Bed Break mini série de différents auteurs
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
micko magnifique ton dernier OS avec michael qui repense à sa mère et sara
quand à la musique vraiment très belle
et surtout c'est quand tu veux pour un autre OS parce que tu as beaucoup de talent
le gang des pollueuses à encore frappé on dirait mais c'est pour une bonne raison
allez poupinette écrit un OS
quand à la musique vraiment très belle
et surtout c'est quand tu veux pour un autre OS parce que tu as beaucoup de talent
le gang des pollueuses à encore frappé on dirait mais c'est pour une bonne raison
allez poupinette écrit un OS
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
bon les filles... j'ai une question super importante!! qui a écrit l'OS sur la mort de la mère de michael?? il me semble bien que j'avais vu a quelque part mais j'arrive plus à savoir qui c'est. j'étais convaincu que c'tait dacbc mais je me suis trompé!!!donc quelqu'un peut il m'aider??
dacbc... dsl de t'avoir déranger pour rien!!
sinon j'ai eu une nouvelle idée pour un OS ici, mais je sais pas encore pour quand je le ferai.
EDIT : j'ai trouvé celui que t'as écrit dans le même genre c'est celui avec mike qui est malade et qui meurt. mais je suis sure d'avoir lu un OS sur christina scofield qui meurt... je l'ai pas inventé quand même??? là j'ai des gros doutes... je deviens folle je crois... help !!!
dacbc... dsl de t'avoir déranger pour rien!!
sinon j'ai eu une nouvelle idée pour un OS ici, mais je sais pas encore pour quand je le ferai.
EDIT : j'ai trouvé celui que t'as écrit dans le même genre c'est celui avec mike qui est malade et qui meurt. mais je suis sure d'avoir lu un OS sur christina scofield qui meurt... je l'ai pas inventé quand même??? là j'ai des gros doutes... je deviens folle je crois... help !!!
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Sincèrement je ne voyais pas quand tu me parlais de ce fameux Os de dacbc.
Je me rappelle qu'elle en avais écris un truc beau sur Michael qui meurt en effet, mais je ne vois pas sur Christina Rose qui meurt...
Ou alors ça me dit vaguement quelque chose, mais très lointin. J'ai lis tellement de Os qu'à la fin je m'embrouille.
Désolée ma Mili.
Je me rappelle qu'elle en avais écris un truc beau sur Michael qui meurt en effet, mais je ne vois pas sur Christina Rose qui meurt...
Ou alors ça me dit vaguement quelque chose, mais très lointin. J'ai lis tellement de Os qu'à la fin je m'embrouille.
Désolée ma Mili.
micko- Retrouve Steadman
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
puré mais je l'ai inventé cet OS alors??? je suis sure d'avoir vu quelque chose sur ça... que lui et linc était petit, mike atendait en dehors de la chambre d'hopital et sa mère demandait à linc de veiller sur lui, puis elle faisait ses adieux à mike avant de mourir... ou alors c'est un OS anglais... je sais plus!!! en plsu je voulais le relire pour m'eninspirer dans ma fic, bin va falloir que j'invente alors.
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Micko je viens de lire ton OS il est tout simplement magnifique, on ressent complètement le desespoir de Mich...
c'était trop triste
bon et les filles fallait me dire que vous veniez polluer ce topic en plus ! parceque 3 pages pour laisser un com à la dernière fic c'est presque de l'abus !
c'était trop triste
bon et les filles fallait me dire que vous veniez polluer ce topic en plus ! parceque 3 pages pour laisser un com à la dernière fic c'est presque de l'abus !
cend17- Retrouve Steadman
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
miliibnb a écrit:puré mais je l'ai inventé cet OS alors??? je suis sure d'avoir vu quelque chose sur ça... que lui et linc était petit, mike atendait en dehors de la chambre d'hopital et sa mère demandait à linc de veiller sur lui, puis elle faisait ses adieux à mike avant de mourir... ou alors c'est un OS anglais... je sais plus!!! en plsu je voulais le relire pour m'eninspirer dans ma fic, bin va falloir que j'invente alors.
coucou mili
en fait moi aussi je crois que je l'ais lu quelques part mais pas dans un OS mais plutôt dans une fic, par contre je suis désolée mais je sais plus laquelle mais ça remonte déjà un peu
en tout cas c'est pas en anglais ou bien c'est une traduction car I don't speak english
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Merci à dacbc et à Cend pour vos coms sur mon Os.
Et oui comme tu le vois Cend, les pollueuses sont partout !
Désolée Mili de ne pas pouvoir plus t'aider à retrouver ce fameux flash back sur l'enfance de Michael que tu recherches.
A qui le tour pour le prochain Os pour Bed Break ?
Cette idée de Os commun marche encore mieux que je ne l'avais imaginé !
Et oui comme tu le vois Cend, les pollueuses sont partout !
Désolée Mili de ne pas pouvoir plus t'aider à retrouver ce fameux flash back sur l'enfance de Michael que tu recherches.
A qui le tour pour le prochain Os pour Bed Break ?
Cette idée de Os commun marche encore mieux que je ne l'avais imaginé !
micko- Retrouve Steadman
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
oui c'est super que sa marche bien.
bin moi je crois que mon OS je vais l'écrire cette aprem donc peut être que le prochain sera de moi à moins que quelqu'un n'écrive plus rapidement!!!
et micko merci (la frite aussi pour ton MP je t'ai répondu) mais je crois que je retrouverai pas cet OS... pourtant je suis sure de l'avoir lu... après pas moyen de me souvenir si c'était en français ou en anglais (parce que je lis beaucoup de fics et d'OS en anglais) bref tanpi je ferai selon mes souvenirs et puis j'ai toujours le tien ma tite micko!!!
bin moi je crois que mon OS je vais l'écrire cette aprem donc peut être que le prochain sera de moi à moins que quelqu'un n'écrive plus rapidement!!!
et micko merci (la frite aussi pour ton MP je t'ai répondu) mais je crois que je retrouverai pas cet OS... pourtant je suis sure de l'avoir lu... après pas moyen de me souvenir si c'était en français ou en anglais (parce que je lis beaucoup de fics et d'OS en anglais) bref tanpi je ferai selon mes souvenirs et puis j'ai toujours le tien ma tite micko!!!
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
bon bin le prochain OS sera le mien!!! voici donc mon troisième OS bed break... bon ya des fois je suis un peu sortie du contexte mais bon je pense que ça colle quand même avec le thème. sinon petite précision, c'est un AU ou un Aleternative Universe, c'est à dire, que ya bien les personnages, mais vous attendez pas à retrouver une prison, une conspiration, une chasse à l'homme ou quoique se soit de ce genre (même pas el tatouage)... bref dites moi ce que vous en pensez. autre détails un brin important, c'est les pensées de michael.
encore un truc, c'est un OS dont j'ai eu l'idée en écoutant "i'll be waiting" de lenny kravitz et les paroles de la fin sont tirées de la chanson.
La chambre de Sara, Chicago le 2 mai 2005, 3h du matin…
Tu t’es enfin endormi. J’entends ton souffle ralentir. Je sens ton corps peser plus lourdement contre le mien, s’abandonnant complètement. Ma main qui caressait délicatement tes cheveux descend se reposer sur ton dos. Je tourne la tête et j’aperçois par la fenêtre les multiples lumières qui baignent la ville de Chicago. Sans m’en rendre compte, une larme coule doucement sur ma joue. J’ai du mal à croire que je sois revenu ici. Après tout ce qui s’est passé, j’ai du mal à croire que je sois à nouveau auprès de toi, que je te tienne dans mes bras, le seul endroit où tu dises te sentir encore en sécurité.
Je suis tellement bien ici à tes côtés, et pourtant j’ai mal. J’ai tellement mal de savoir que rien ne pourra jamais aller plus loin que cela entre nous. Je souffre horriblement de savoir que tu es avec lui alors que je suis désespérément amoureux de toi…
Je me souviens très bien de la première fois que je t’ai vu, dans un bar au cœur de Chicago. J’étais en dernière année à Loyola, il te restait deux ans de plus à faire à Northwestern. Je te trouvais resplendissante. Tu étais accompagnée de tes amies mais pourtant tu semblais seule et triste ce soir là. Je me suis approché dans le but de te faire sourire et j’y suis arrivé. On a passé toute la nuit à parler, rire et pleurer tous les deux au bord du lac. On ne se connaissait pas et pourtant on s’est confié naturellement l’un à l’autre, comme si on contenait en nous toute cette rage depuis trop longtemps. Tout de suite j’ai compris que jamais je ne pourrais aimer quelqu’un d’autre que toi, on se ressemblait trop. Tu es la seule à avoir pu franchir le mur que j’avais construit autour de mon cœur. Seulement je suis arrivé 6 mois trop tard, tu étais déjà avec ce gars, Paul.
Alors nous sommes devenus de simples amis, les meilleurs amis qui puissent exister. Pendant plus de cinq ans je t’ai soutenu, je t’ai épaulé chaque jour durant, reniant mes sentiments. Une réelle complicité s’était installée entre nous. La plupart des gens nous prenaient pour un couple. Tes sentiments pour moi on commencé à changé petit à petit mais tu t’étais trop investi dans ta relation avec Paul pour pouvoir l’admettre. Tu refusais de voir les choses telles qu’elles étaient réellement.
Tes disputes avec lui sont devenues plus fréquentes, la plupart causées par notre relation. Puis un jour, tout à dérapé. Tu es venue te réfugier une fois de plus chez moi tard le soir. Les choses n’avaient jamais été aussi loin entre vous : il t’avait frappé. Je me suis emporté, une véritable haine s’est emparée de mon corps tout entier nourri par une rancœur que je portais tout au fond de moi. Je voulais le punir de t’avoir fait du mal, mais je voulais aussi extérioriser tout le ressentiment que j’avais pour lui. Pendant toutes ces années tu es resté avec lui alors que je brulais d’amour pour toi. Cette nuit là, j’aurai pu le tuer mais tu m’en as empêché.
Tu ne m’as pas laissé sortir, protestant qu’il n’était pas comme ça, qu’il n’était pas brutal et que plus jamais ça ne recommencerait. Je n’en pouvais plus de t’entendre le défendre à nouveau, alors le ton a commencé à monter entre nous aussi. Je voulais te faire réaliser que cette relation n’allait nulle part, qu’elle était vouée à l’échec et sans m’en apercevoir ces mots sont sortis de ma bouche « Il ne te mérite pas Sara. Tu devrais être avec moi… je t’aime Sara ». Un énorme silence s’est installé dans la pièce sous le choc de mes révélations. La vérité était enfin révélée.
Cet aveux t’as prise au dépourvu et tu étais incapable de prononcer le moindre mot alors que je n’attendais qu’une seule réponse de ta part. Au lieu de cela, tu as simplement levé le bras et plaqué la paume de ta main brutalement contre ma joue.
Je me souviens du feu que j’y ai ressenti, mais ce dont je me souviens le plus, c’est de la seconde qui a suivie. Ta bouche s’est collée à la mienne, nos langues se sont enlacées dans un baiser fougueux. Nos corps exprimant ensemble les 5 années de frustration que nous venions de vivre, nous avons fait l’amour jusqu’au petit matin.
Quelques heures plus tard, je me réveillais un énorme sourire sur le visage, tendant mon bras de ton côté pour sentir ton corps chaud contre le mien. Ma joie s’est éteinte aussitôt. Tu étais partie. Tu avais laissé derrière toi un simple mot : «Je suis désolée, je ne peux pas. Ne me hais pas, j’ai trop besoin de toi pour ça… Sara ».
J’étais dévasté et en colère. Seul sur ce lit trop froid, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps respirant l’odeur émanant de l’oreiller sur lequel tu venais de dormir.
Les jours ont passés sans nouvelles de toi jusqu’à ce que je reconsidère l’offre qui m’avait été faite pour partir travailler à New York. J’ai décidé qu’il était temps que cela s’arrête. J’ai donc sauté sur l’occasion pour t’oublier en m’enfuyant à plusieurs kilomètres de toi, ne laissant derrière moi qu’une simple lettre portant ton nom.
J’ai refais ma vie, tachant d’oublier le passé. J’avais même une petite amie avec qui tout aller très bien, enfin c’est ce que je pensais. Et puis il y a de ça 3 mois, je suis revenu à Chicago pour affaire. J’étais invité à un dîner en ville auquel je n’éprouvais aucun plaisir à aller, quand soudain parmi la foule d’invités, je t’ai vu déambulant la tête baissée et les yeux perdus comme le premier soir où je t’ai rencontré. Une vague d’émotions s’est mit à déferler en moi. Mes mains tremblaient. Mon cœur s’emballait. Mais ce n’était rien en comparaison de l’énorme frisson qui me traversait le corps au moment où tu as levé la tête et que tu m’as souri. Nous nous sommes avancé l’un face à l’autre, l’air léger et le regard joyeux jusqu’à ce que je sente un bras s’accrocher au mien. Ton sourire s’est aussitôt effacé à la vue de la femme qui était à mes côtés.
Après plusieurs paroles et quelques regards, nous sommes partis chacun poursuivant notre chemin pour retrouver la personne avec qui nous dormions la nuit tout en sachant au plus profond de nous même que ce n’était pas celle que l’on désirait réellement.
Pendant 3 mois, à des milliers de kilomètres l’un de l’autre, nous avons retrouvés notre complicité d’avant, nous nous téléphonions chaque jour à la même heure. Je ne vivais plus qu’au rythme de ces appels.
Mais en te téléphonant hier matin, j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas. Sans me poser d’avantage de question, j’ai sauté dans le premier avion à destination de Chicago. Je t’ai trouvé les yeux bouffis, embués de larmes. Tu te sentais si seul. Il avait oublié ton anniversaire, encore. Il n’avait trouvé de meilleur moyen de se faire pardonner qu’en t’achetant des fleurs, n’ayant pas compris au bout de 6 ans que tu les déteste.
J’avais oublié la sensation que ça faisait de te prendre dans mes bras, de te parler, d’entendre ton rire et d’être à tes côtés. Je me suis senti plus vivant que jamais pendant ces quelques heures. J’ai eu l’impression d’avoir retenu mon souffle trop longtemps et de pouvoir enfin respirer.
J’ouvre difficilement les yeux. Il me semble que je me sois endormi rêvant de ma vie depuis que je t’ai rencontré. Je sens ton corps bouger délicatement, levant tes yeux face à moi. La lumière du jour se reflète dans tes cheveux. Ton teint à l’air reposé. Tu es plus belle que jamais.
S : Alors Scofield, enfin réveillé !
M : Joyeux lendemain d’anniversaire.
S (souriant) : …
M (la regardant tendrement) : Tu as bien dormi ?
S : Très bien… (reconnaissante) Merci d’être resté cette nuit. Je ne voulais pas être seule… enfin je veux dire, j’avais vraiment besoin de toi…
M : Tu sais très bien que je serais toujours là pour toi Sara.
S (timidement) : Et qu’en pense Nika ?
M : Je me fous royalement de ce qu’elle peut bien penser.
S (perplexe) : … ?
M : On a rompu.
S (avec un léger sourire de satisfaction sur le visage) : Quand ça ?
M : Hier. Si je prenais cet avion pour te rejoindre, alors c’était fini.
S (gênée) : Heu je…je suis désolée Michael…
M : Ne le soit pas. Je suis là où j’ai envie d’être.
Nos regards ne se quittent pas. A ce moment précis, nous savons tous les deux que la route sera longue et compliqué, mais cette fois ci je n’abandonnerai pas. Tant que je vivrai, je t’attendrai. Tant que je respirerai, je serai là. Peu importe quand tu m’appelleras, je t’attendrai. Peu importe quand tu auras besoin de moi, je serai là.
bon alors?? je tiens à m'excuser auprès de kelelrman que j'adore qui joue paul le méchant qu'on a envie de détester parce qu'à cause de lui sara et mike ne sont pas ensemble.
encore un truc, c'est un OS dont j'ai eu l'idée en écoutant "i'll be waiting" de lenny kravitz et les paroles de la fin sont tirées de la chanson.
La chambre de Sara, Chicago le 2 mai 2005, 3h du matin…
Tu t’es enfin endormi. J’entends ton souffle ralentir. Je sens ton corps peser plus lourdement contre le mien, s’abandonnant complètement. Ma main qui caressait délicatement tes cheveux descend se reposer sur ton dos. Je tourne la tête et j’aperçois par la fenêtre les multiples lumières qui baignent la ville de Chicago. Sans m’en rendre compte, une larme coule doucement sur ma joue. J’ai du mal à croire que je sois revenu ici. Après tout ce qui s’est passé, j’ai du mal à croire que je sois à nouveau auprès de toi, que je te tienne dans mes bras, le seul endroit où tu dises te sentir encore en sécurité.
Je suis tellement bien ici à tes côtés, et pourtant j’ai mal. J’ai tellement mal de savoir que rien ne pourra jamais aller plus loin que cela entre nous. Je souffre horriblement de savoir que tu es avec lui alors que je suis désespérément amoureux de toi…
Je me souviens très bien de la première fois que je t’ai vu, dans un bar au cœur de Chicago. J’étais en dernière année à Loyola, il te restait deux ans de plus à faire à Northwestern. Je te trouvais resplendissante. Tu étais accompagnée de tes amies mais pourtant tu semblais seule et triste ce soir là. Je me suis approché dans le but de te faire sourire et j’y suis arrivé. On a passé toute la nuit à parler, rire et pleurer tous les deux au bord du lac. On ne se connaissait pas et pourtant on s’est confié naturellement l’un à l’autre, comme si on contenait en nous toute cette rage depuis trop longtemps. Tout de suite j’ai compris que jamais je ne pourrais aimer quelqu’un d’autre que toi, on se ressemblait trop. Tu es la seule à avoir pu franchir le mur que j’avais construit autour de mon cœur. Seulement je suis arrivé 6 mois trop tard, tu étais déjà avec ce gars, Paul.
Alors nous sommes devenus de simples amis, les meilleurs amis qui puissent exister. Pendant plus de cinq ans je t’ai soutenu, je t’ai épaulé chaque jour durant, reniant mes sentiments. Une réelle complicité s’était installée entre nous. La plupart des gens nous prenaient pour un couple. Tes sentiments pour moi on commencé à changé petit à petit mais tu t’étais trop investi dans ta relation avec Paul pour pouvoir l’admettre. Tu refusais de voir les choses telles qu’elles étaient réellement.
Tes disputes avec lui sont devenues plus fréquentes, la plupart causées par notre relation. Puis un jour, tout à dérapé. Tu es venue te réfugier une fois de plus chez moi tard le soir. Les choses n’avaient jamais été aussi loin entre vous : il t’avait frappé. Je me suis emporté, une véritable haine s’est emparée de mon corps tout entier nourri par une rancœur que je portais tout au fond de moi. Je voulais le punir de t’avoir fait du mal, mais je voulais aussi extérioriser tout le ressentiment que j’avais pour lui. Pendant toutes ces années tu es resté avec lui alors que je brulais d’amour pour toi. Cette nuit là, j’aurai pu le tuer mais tu m’en as empêché.
Tu ne m’as pas laissé sortir, protestant qu’il n’était pas comme ça, qu’il n’était pas brutal et que plus jamais ça ne recommencerait. Je n’en pouvais plus de t’entendre le défendre à nouveau, alors le ton a commencé à monter entre nous aussi. Je voulais te faire réaliser que cette relation n’allait nulle part, qu’elle était vouée à l’échec et sans m’en apercevoir ces mots sont sortis de ma bouche « Il ne te mérite pas Sara. Tu devrais être avec moi… je t’aime Sara ». Un énorme silence s’est installé dans la pièce sous le choc de mes révélations. La vérité était enfin révélée.
Cet aveux t’as prise au dépourvu et tu étais incapable de prononcer le moindre mot alors que je n’attendais qu’une seule réponse de ta part. Au lieu de cela, tu as simplement levé le bras et plaqué la paume de ta main brutalement contre ma joue.
Je me souviens du feu que j’y ai ressenti, mais ce dont je me souviens le plus, c’est de la seconde qui a suivie. Ta bouche s’est collée à la mienne, nos langues se sont enlacées dans un baiser fougueux. Nos corps exprimant ensemble les 5 années de frustration que nous venions de vivre, nous avons fait l’amour jusqu’au petit matin.
Quelques heures plus tard, je me réveillais un énorme sourire sur le visage, tendant mon bras de ton côté pour sentir ton corps chaud contre le mien. Ma joie s’est éteinte aussitôt. Tu étais partie. Tu avais laissé derrière toi un simple mot : «Je suis désolée, je ne peux pas. Ne me hais pas, j’ai trop besoin de toi pour ça… Sara ».
J’étais dévasté et en colère. Seul sur ce lit trop froid, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps respirant l’odeur émanant de l’oreiller sur lequel tu venais de dormir.
Les jours ont passés sans nouvelles de toi jusqu’à ce que je reconsidère l’offre qui m’avait été faite pour partir travailler à New York. J’ai décidé qu’il était temps que cela s’arrête. J’ai donc sauté sur l’occasion pour t’oublier en m’enfuyant à plusieurs kilomètres de toi, ne laissant derrière moi qu’une simple lettre portant ton nom.
J’ai refais ma vie, tachant d’oublier le passé. J’avais même une petite amie avec qui tout aller très bien, enfin c’est ce que je pensais. Et puis il y a de ça 3 mois, je suis revenu à Chicago pour affaire. J’étais invité à un dîner en ville auquel je n’éprouvais aucun plaisir à aller, quand soudain parmi la foule d’invités, je t’ai vu déambulant la tête baissée et les yeux perdus comme le premier soir où je t’ai rencontré. Une vague d’émotions s’est mit à déferler en moi. Mes mains tremblaient. Mon cœur s’emballait. Mais ce n’était rien en comparaison de l’énorme frisson qui me traversait le corps au moment où tu as levé la tête et que tu m’as souri. Nous nous sommes avancé l’un face à l’autre, l’air léger et le regard joyeux jusqu’à ce que je sente un bras s’accrocher au mien. Ton sourire s’est aussitôt effacé à la vue de la femme qui était à mes côtés.
Après plusieurs paroles et quelques regards, nous sommes partis chacun poursuivant notre chemin pour retrouver la personne avec qui nous dormions la nuit tout en sachant au plus profond de nous même que ce n’était pas celle que l’on désirait réellement.
Pendant 3 mois, à des milliers de kilomètres l’un de l’autre, nous avons retrouvés notre complicité d’avant, nous nous téléphonions chaque jour à la même heure. Je ne vivais plus qu’au rythme de ces appels.
Mais en te téléphonant hier matin, j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas. Sans me poser d’avantage de question, j’ai sauté dans le premier avion à destination de Chicago. Je t’ai trouvé les yeux bouffis, embués de larmes. Tu te sentais si seul. Il avait oublié ton anniversaire, encore. Il n’avait trouvé de meilleur moyen de se faire pardonner qu’en t’achetant des fleurs, n’ayant pas compris au bout de 6 ans que tu les déteste.
J’avais oublié la sensation que ça faisait de te prendre dans mes bras, de te parler, d’entendre ton rire et d’être à tes côtés. Je me suis senti plus vivant que jamais pendant ces quelques heures. J’ai eu l’impression d’avoir retenu mon souffle trop longtemps et de pouvoir enfin respirer.
J’ouvre difficilement les yeux. Il me semble que je me sois endormi rêvant de ma vie depuis que je t’ai rencontré. Je sens ton corps bouger délicatement, levant tes yeux face à moi. La lumière du jour se reflète dans tes cheveux. Ton teint à l’air reposé. Tu es plus belle que jamais.
S : Alors Scofield, enfin réveillé !
M : Joyeux lendemain d’anniversaire.
S (souriant) : …
M (la regardant tendrement) : Tu as bien dormi ?
S : Très bien… (reconnaissante) Merci d’être resté cette nuit. Je ne voulais pas être seule… enfin je veux dire, j’avais vraiment besoin de toi…
M : Tu sais très bien que je serais toujours là pour toi Sara.
S (timidement) : Et qu’en pense Nika ?
M : Je me fous royalement de ce qu’elle peut bien penser.
S (perplexe) : … ?
M : On a rompu.
S (avec un léger sourire de satisfaction sur le visage) : Quand ça ?
M : Hier. Si je prenais cet avion pour te rejoindre, alors c’était fini.
S (gênée) : Heu je…je suis désolée Michael…
M : Ne le soit pas. Je suis là où j’ai envie d’être.
Nos regards ne se quittent pas. A ce moment précis, nous savons tous les deux que la route sera longue et compliqué, mais cette fois ci je n’abandonnerai pas. Tant que je vivrai, je t’attendrai. Tant que je respirerai, je serai là. Peu importe quand tu m’appelleras, je t’attendrai. Peu importe quand tu auras besoin de moi, je serai là.
bon alors?? je tiens à m'excuser auprès de kelelrman que j'adore qui joue paul le méchant qu'on a envie de détester parce qu'à cause de lui sara et mike ne sont pas ensemble.
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Génial....Tu n'as plus qu'à écrire un second O.S avec la suite! J'adore ta façon de décrire les pensées de Mike. Superbe O.S!
Le rôle de méchant va si bien à Kellerman...
Le rôle de méchant va si bien à Kellerman...
LN- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 11/11/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
waouw mili j'ai completement adoré ton OS j'en suis restée scotché!!!!
heureusement qu'ils se sont retrouvé!!!
tu ecrit toujours aussi bien !!!!!!!
HS :pour le flash back dont tu parles il ressemble un peu a celui de notre fic a tinkerbel car ya un flash avec la mere de linc et mike car ton flash me dit quelque chose alors voila !!!!
vivement le prochain !!!!
heureusement qu'ils se sont retrouvé!!!
tu ecrit toujours aussi bien !!!!!!!
HS :pour le flash back dont tu parles il ressemble un peu a celui de notre fic a tinkerbel car ya un flash avec la mere de linc et mike car ton flash me dit quelque chose alors voila !!!!
vivement le prochain !!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Super!!Bravoo !!!
Rooo pas grave pour Kellerman=D
J'espère que tu va en écrire encore d'autres tout aussi bien!!!!
Rooo pas grave pour Kellerman=D
J'espère que tu va en écrire encore d'autres tout aussi bien!!!!
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
TRes beau !!! Et tre genial !!!!!!!!!!!!!!
uNE autre autre autre !!!!!!!!!!
uNE autre autre autre !!!!!!!!!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Mili que dire, c'est génial comme tout ce que tu écrits même si le contexte est différent, j'ai adoré et c'est pour ça que je vais te demander LA SUITE DE CET OS et attention je ne céderais pas
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
UNE SUITE!!!
J'espère pour toi que tu es déjà en train de la rédiger!
J'espère pour toi que tu es déjà en train de la rédiger!
LN- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 36
Date d'inscription : 11/11/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
bin pendant un moment, j'avais pensé faire une fic avec l'histoire dès le début genre leur rencontre dans le bar, mais j'ai pas le temps pour ça et pour une suite à cet OS précis, j'ai aucune inspiration. déjà j'arrive pas à écrire la suite de ma deuxième fic à tel point que je sais pas si je vais la continuer...
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
trsè bel OS Milli, j'ai beaucoup aimé
cend17- Retrouve Steadman
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
ok c'est bien beau tout ca, mais pourquoi sara elle ne quitte pas paul ??!!
bref a part ca, moi j'ai adoré !
j'imgaine bien michael tout triste comme ca snif..
en tout cas, j'héspere qu'il y aura une happy ending pour eux ( et pui tu sais une suite pour connaite la fin ne serai pas de refu !!)
bref a part ca, moi j'ai adoré !
j'imgaine bien michael tout triste comme ca snif..
en tout cas, j'héspere qu'il y aura une happy ending pour eux ( et pui tu sais une suite pour connaite la fin ne serai pas de refu !!)
anne sophie- Arrivé au Nouveau Mexique
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Age : 33
Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Alors là... bon ben, je ne devrais pas, je sais, mais je crois bien quaprès en avoir lu je ne sais combien, je puis dire que c'est LE plus bel OS que j'ai lu. Et puis honnetement, je m'y retrouve tant. C'est à la fois si commun et si aprticulier comme situation. L'amoureux en secret, qui fait passer au nom du respect du couple, ses sentiments en dernier... dur et beau et si difficile à vivre! Thème Parfait, OS parfait!!
Mine de rien, c'est totalement resté dans l'esprtit MiSa du PB de la première saison. Ils sont visiblement faits l'un pour l'autre et pourtant le destin s'acharne à les séparer envers et contre tout. Encore bravo, madame! Mes respects!
Mine de rien, c'est totalement resté dans l'esprtit MiSa du PB de la première saison. Ils sont visiblement faits l'un pour l'autre et pourtant le destin s'acharne à les séparer envers et contre tout. Encore bravo, madame! Mes respects!
Savannah Scofield- Membre de la thérapie avec Sara
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Localisation : Sous le soleil des Antilles
Date d'inscription : 14/01/2008
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Ohhh s'il te plait une tite suite!!! Demande conseil pour trouver quelques idées! Et hop ça viendra tout seul...
J'aimerais vraiment avoir une suite!!!
J'aimerais vraiment avoir une suite!!!
LN- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Bed Break mini série de différents auteurs
miliibnb a écrit:bin pendant un moment, j'avais pensé faire une fic avec l'histoire dès le début genre leur rencontre dans le bar, mais j'ai pas le temps pour ça et pour une suite à cet OS précis, j'ai aucune inspiration. déjà j'arrive pas à écrire la suite de ma deuxième fic à tel point que je sais pas si je vais la continuer...
je suis très compréhensive sur le fait que tu es très occupée, mais par contre pour l'inspi, je suis sûre que ça va venir et en ce qui concerne ta 2ème fic T'AS INTERET A LA FINIR, prend ton temps MAIS JE LA VEUX
Tu écrits superbement bien et tu as beaucoup d'idées, tu nous les dévoilent un peu et quand on en veux plus tu nous dit stop
je suis accro donc je vais avoir besoin de mes doses de tes fics
pas de défilements pour te montrer ma bonne fois
ALLEZ MILI NOS SUITES ALLEZ MILI NOS SUITES
STP STP STP STP STP STP STP STP
ps rediffs
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
jadooooooooooooore
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 34
Date d'inscription : 26/12/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
LN a écrit:Génial....Tu n'as plus qu'à écrire un second O.S avec la suite! J'adore ta façon de décrire les pensées de Mike. Superbe O.S!
Le rôle de méchant va si bien à Kellerman...
oui c'est net tout a fait d'accord avec toi j'adore voir Kellerman en méchant c'est comme susan je l'a déteste mais en même temps j'adore son personnage de bitch en tout cas encore un superbe OS que tu nous à écrit !!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
Bon allez, j'ai décidé de me lancer. J'ai fait un OS où l'une des 2 personnes est sur un lit. J'y ai pas mis beaucoup d'émotion, mais c'est une confrontation qui m'intéressait dont une théorie qui fera beaucoup rire Mili ...
je ferais peut-être un prochain OS plus HOT (sur les demandes de certaines coquines!!)... J'ai l'impression que l'OS est un peu long, j'espère que non
Quelque part – en Colombie
J’ouvre les yeux. Je reprends connaissance. J’émerge d’un brouillard épais, je vois mal et j’entends mal. Au fur et à mesure que je redeviens consciente, la douleur se réveille dans chaque partie de mon corps. Mes tempes me brûlent, j’ai l’impression d’avoir la tête prise dans un étau. La peau de mes poignets est à vif et la corde rêche s’enfonce chaque fois davantage dans ma chair au moindre de mes mouvements.
Où suis-je ?? Je suis seule. J’ai mal. J’ai peur. Je ne me souviens de rien. Mon dos semble avoir été broyé tant je souffre… Je suis étendue sur un vieux matelas défoncé qui sent la crasse et la sueur. Je ne suis visiblement pas la première otage à avoir séjourné ici. Quand tout cela va-t-il s’arrêter ? Au secours… je veux crier mais je n’y arrive pas… non seulement le baillon enfoncé dans ma bouche m’en empêche mais aucun son ne veut sortir de ma gorge… j’ai envie de pleurer, les larmes ne viennent pas. Je me sens vide, amorphe, impuissante et perdue. L’air est lourd et poisseux. La chambre dans laquelle je me trouve est exiguë, les murs sont sales, les fenêtres n’ont pas de vitre, les tentures et tapis sont usés mais on y distingue encore des dessins d’origine sud-américaine. Suis-je toujours au Panama ? Et Michael, qu’ont-ils fait de toi ?
Je vois le jour décroître par la fenêtre. Cela fait des heures que je suis étendue sur ce lit miteux. Depuis combien de temps n’ai-je pas bu ni mangé ? Je sens mes forces s’affaiblirent, mon corps s’engourdir. Je ne veux pas mourir, pas ici, pas comme ça. Pas sans avoir revu Michael, pas sans m’être défendue, battue.
La nuit est tombée, je ne distingue plus rien dans la pièce. Quand soudain la porte s’ouvre. Susan…
Elle allume la lampe, une lumière flemmarde éclaire la chambre, mes yeux s’habituent lentement. Elle s’avance vers moi, avec l’air décidé qui la caractérise.
-Susan : Je te retire ton baillon mais tu la fermes, compris ?
J’hoche la tête, je ferais n’importe quoi pour respirer correctement. Susan s’exécute. J’avale la première bouffée d’air comme je me faisais mes shoots d’héro quand j’étais en manque : avec force et délectation.
-Sara : où est LJ, pourquoi ne sommes-nous pas dans la même chambre qu’avant. Où l’avez-vous emmené ? Il est jeune, laissez-le…
-Susan : Tais-toi je te dis ou je te laisse moisir ici...
Une profonde angoisse s’empare de moi… qui sont ces gens ? Que me veulent-ils, que nous veulent-ils ? Comment tout cela va-t-il finir ?
-Susan : j’ai eu pour ordre de te tuer quand nous te retenions au Panama et je ne l’ai pas fait… j’ai donné une preuve à la compagnie que tu étais morte. Je t’ai droguée et je t’ai fait amenée ici dans un village perdu de Colombie. Je t’aurais bien renvoyée aux US mais tu es encore recherchée là-bas… tu me dois la vie, alors c’est moi qui fixe les règles ici, c’est clair ?
Je reste interdite un moment. Dois-je la croire ? M’a-t-elle sauvée ? Et si oui, qu’attend-elle en échange ? Cela fait déjà quelques semaines que je la côtoie depuis notre enlèvement. Brièvement, car je ne la vois qu’en coup de vent. Elle me fait penser aux Amazones grecques, ces femmes guerrières qui n’avaient peur de rien, qui allaient au combat sans crainte, sans pitié, gérant la lutte avec sang-froid et cruauté. Je lui dois quelques-uns de mes hématomes, merci sale garce !
-Sara : Je suppose que vous ne m’avez pas épargnée par altruisme ? Que voulez-vous ? Qu’attendez-vous de moi ?... Qu’avez-vous fait à Michael ?
-Susan : chut, on se calme j’ai dit !!
-Sara : QU’AVEZ-VOUS FAIT A MICHAEL ?
-Susan : en parlant de Michael, je trouve qu’il n’a pas trop mauvais goût… t’es plutôt jolie quand tu t’énerves, quoique une douche et un peu de maquillage ne te feraient pas de mal là… oui, t’es plutôt jolie, un peu trop sentimale et godiche à mon goût, mais jolie…
A quoi joue-t-elle ? Elle me regarde étrangement, me scrute… j’ai l’impression qu’elle tente de m’évaluer, de jauger ma force et ma capacité à lui tenir tête…
Ses deux yeux bleus perçants sont une énigme pour moi. Ils sont à la fois glaçants, cruels et ironiques et pourtant, je crois y voir aussi une lueur indéfinissable d’intelligence et d’humanité, un petit je-ne-sais-quoi qui fait penser qu’elle n’est pas si mauvaise qu’elle veut bien le montrer. Parfois, j’ai l’impression qu’elle pourrait m’arracher la tête de ses mains (hé hé…) et parfois j’ai l’impression qu’elle pourrait se rendre attachante et humaine, si encore elle le voulait...
-Sara : si vous ne m’avez pas déjà tuée, c’est que vous n’allez pas le faire ? alors qu’est-ce que je fais ici ? On joue à quoi au juste, au chat et à la souris ?
Elle se lève, s’approche, se penche sur moi… mon estomac se contracte, j’ai une petite bouffée de panique, je ne dois pas laisser mon angoisse paraître…
-Susan : me regarde pas avec ces yeux-là cendrillon, je vais juste te retirer tes liens.
Aïe, ma peau à vif supporte mal ses gestes brusques, elle n’est pas très tendre…
-Sara : aïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïe…..
-Susan : c’est pas possible d’être aussi douillette, t’es faite en sucre ou quoi… allez, redresse-toi !!
Malgré ma reconnaissance, je lui décoche un regard noir pour lui montrer que non, je ne vis pas dans le monde de Barbie et oui je peux aussi être dure…
-Susan : bouh, j’ai peur… miss tancredi semble en colère
Je me sens fatiguée, je voudrais qu’elle se taise, qu’elle me libère, qu’elle disparaisse de ma vie, qu’elle me rende à Michael, qu’on parte loin, sur une plage… deux bières, deux tranches de citron…
-Susan : je vais te raconter une petite histoire et tu vas comprendre pas mal de choses ok. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je vous ai tous sauvés la vie, toi, Michael, LJ et Linc.
Ce que je viens d’entendre me met dans une rage folle, je hurle :
-Sara : QUOI ? Mais vous êtes malade… votre organisation nous traque depuis des mois, vous nous avez kidnappés LJ et moi, vous m’avez frappée, maltraitée, vous avez fait incarcérer puis évader Michael pour servir vos intérêts…
-Susan (ricanant) : pourquoi vous obstinez-vous tous à penser que nous sommes tous du mauvais côté ? Il y a de bonnes actions qui demandent des moyens un peu, comment dire… radicaux. Ma mission était de récupérer Whistler et de tous vous tuer. Vous êtes encore en vie, dites-moi merci au lieu de vous énerver… Non, CHUT !! C’est moi qui parle ! C’est l’histoire de deux personnes à haut potentiel qui travaillent ensemble sur des missions pointues et dangereuses. L’homme est père de famille mais vit loin des siens, la femme est jeune et belle… que va-t-il se passer ?...hé oui, ils ont une aventure et de cette aventure née une petite fille. Une petite fille illégitime qui grandira dans ce milieu sombre et à risque et qui finira par prendre part à ce milieu, à servir cette organisation.
- Susan (après une pause) : tu veux savoir qui sont ces gens ?
-Sara : dites toujours…
-Susan : cette petite fille c’est moi. J'ai fait comme mes parents, j'ai donné ma vie à la Compagnie… mais je n’ai pas à me plaindre, ils me paient bien pour ça. Et mes parents, tu veux savoir comment ils s’appelaient ?
-Sara : ça changera quoi ?
-Susan : ma mère s’appelait Ella Morgan. Elle était d’origine allemande par sa mère et anglaise par son père. Belle brune aux yeux bleus… ça te rappelle quelqu’un ??
-Sara (ironiquement) : je cherche, mais je ne vois pas…
-Susan : et mon père… je vais t’en apprendre une belle Sara, il s’appelait Aldo Burrows. Oui, tu as bien entendu. Je suis la demi-sœur de cet empoté de Burrows et de cette fouine de Scofield. Ça t’étonne hein… Et bien sache que c’est pour ça que tu respires encore… je ne t’ai pas épargné par pitié, ni par compassion ou par intérêt, je…
Bien qu’estomaquée par la nouvelle que je viens d’apprendre, je risque un trait d’humour qui pourrait me coûter cher…
-Sara : vous avez des valeurs, c’est ça ? la famille, c’est sacré ?
-Susan, ricanant : très drôle, vraiment… hé bien oui, mon père s’est rendu compte trop tard que la Compagnie visait Lincoln puis Michael. Il m’a fait promettre de leur venir en aide. Inutile de te rappeler que mon père s’est rebellé contre la Compagnie… c’est parce qu’ils ont tué ma mère. Elle avait été blessée dans un combat, elle ne servait plus à rien, ils se sont arrangés pour la faire disparaître. Ça a détruit mon père ; il avait tout abandonné pour servir la Compagnie, son autre femme et ses enfants, que pourtant il aimait. Il a été anéanti de voir de quelle façon on le remerciait. Et moi, j’ai tout fait pour leur laisser croire que je leur restais fidèle et ils m’ont cru… Sauf que dans ma tête poussait inexorablement l’idée de ma vengeance.
-Susan (reprenant son souffle) : Pour détruire son ennemi, il faut devenir son ami… Je me suis évertuée à remplir mes missions à 100%, pas une faute, pas une bavure… c’est pour ça que j’ai aussi dû te donner quelques coups au Panama… et que j’ai dû montrer ta tête à mon boss et à Lincoln…
-Sara : ma tête ??
-Susan : ça n’a pas été trop difficile, j’ai eu la chance qu’une jeune femme te ressemblant se trouve à la morgue… un coup de sécateur, couic, un carton direction la Compagnie puis transit vers Lincoln… le tour est joué.
Mes tripes se tordent… non, ils ne lui ont pas fait croire ça…
-Sara : Lincoln ? Il a bien vu que ça n’était pas moi quand même ?
-Susan : ah non ma belle, il faut que tu saches que ton futur beau-frère n’a pas les mêmes capacités intellectuelles que celui dont tu t’es amouraché. Mais je lui concède la peur pour expliquer son aveuglement.
-Sara (la voix brisée) : et Michael le sait ?
-Susan : oui… et ça m’a valu de faillir partir en confettis… j’ai pas trop intérêt à le croiser ton Scofield en ce moment…
Je m’effondre… Michael, non… il pense que je suis morte… je n’ose imaginer dans quel état il doit être, lui qui était déjà rongé par la culpabilité et le remords… ils l’ont laissé traverser cette épreuve seul… mon Dieu, faites qu’il ne fasse rien qu’il puisse regretter, rien qui ne le change à tout jamais.
-Susan : non, Sara, on ne s’effondre pas… on va se battre là, on a une organisation titanesque à faire tomber, on a du pain sur la planche !! Et si la perspective, c’est de retrouver Michael, tu me suis ?
Je relève les yeux vers elle, je ne me suis jamais sentie aussi forte.
-Sara (se levant du lit, déterminée) : oui, je suis partante et ils vont payer !
-Susan (avec un sourire et petit clin d'oeil) : bienvenue dans la famille Burrows alors !
je ferais peut-être un prochain OS plus HOT (sur les demandes de certaines coquines!!)... J'ai l'impression que l'OS est un peu long, j'espère que non
Quelque part – en Colombie
J’ouvre les yeux. Je reprends connaissance. J’émerge d’un brouillard épais, je vois mal et j’entends mal. Au fur et à mesure que je redeviens consciente, la douleur se réveille dans chaque partie de mon corps. Mes tempes me brûlent, j’ai l’impression d’avoir la tête prise dans un étau. La peau de mes poignets est à vif et la corde rêche s’enfonce chaque fois davantage dans ma chair au moindre de mes mouvements.
Où suis-je ?? Je suis seule. J’ai mal. J’ai peur. Je ne me souviens de rien. Mon dos semble avoir été broyé tant je souffre… Je suis étendue sur un vieux matelas défoncé qui sent la crasse et la sueur. Je ne suis visiblement pas la première otage à avoir séjourné ici. Quand tout cela va-t-il s’arrêter ? Au secours… je veux crier mais je n’y arrive pas… non seulement le baillon enfoncé dans ma bouche m’en empêche mais aucun son ne veut sortir de ma gorge… j’ai envie de pleurer, les larmes ne viennent pas. Je me sens vide, amorphe, impuissante et perdue. L’air est lourd et poisseux. La chambre dans laquelle je me trouve est exiguë, les murs sont sales, les fenêtres n’ont pas de vitre, les tentures et tapis sont usés mais on y distingue encore des dessins d’origine sud-américaine. Suis-je toujours au Panama ? Et Michael, qu’ont-ils fait de toi ?
Je vois le jour décroître par la fenêtre. Cela fait des heures que je suis étendue sur ce lit miteux. Depuis combien de temps n’ai-je pas bu ni mangé ? Je sens mes forces s’affaiblirent, mon corps s’engourdir. Je ne veux pas mourir, pas ici, pas comme ça. Pas sans avoir revu Michael, pas sans m’être défendue, battue.
La nuit est tombée, je ne distingue plus rien dans la pièce. Quand soudain la porte s’ouvre. Susan…
Elle allume la lampe, une lumière flemmarde éclaire la chambre, mes yeux s’habituent lentement. Elle s’avance vers moi, avec l’air décidé qui la caractérise.
-Susan : Je te retire ton baillon mais tu la fermes, compris ?
J’hoche la tête, je ferais n’importe quoi pour respirer correctement. Susan s’exécute. J’avale la première bouffée d’air comme je me faisais mes shoots d’héro quand j’étais en manque : avec force et délectation.
-Sara : où est LJ, pourquoi ne sommes-nous pas dans la même chambre qu’avant. Où l’avez-vous emmené ? Il est jeune, laissez-le…
-Susan : Tais-toi je te dis ou je te laisse moisir ici...
Une profonde angoisse s’empare de moi… qui sont ces gens ? Que me veulent-ils, que nous veulent-ils ? Comment tout cela va-t-il finir ?
-Susan : j’ai eu pour ordre de te tuer quand nous te retenions au Panama et je ne l’ai pas fait… j’ai donné une preuve à la compagnie que tu étais morte. Je t’ai droguée et je t’ai fait amenée ici dans un village perdu de Colombie. Je t’aurais bien renvoyée aux US mais tu es encore recherchée là-bas… tu me dois la vie, alors c’est moi qui fixe les règles ici, c’est clair ?
Je reste interdite un moment. Dois-je la croire ? M’a-t-elle sauvée ? Et si oui, qu’attend-elle en échange ? Cela fait déjà quelques semaines que je la côtoie depuis notre enlèvement. Brièvement, car je ne la vois qu’en coup de vent. Elle me fait penser aux Amazones grecques, ces femmes guerrières qui n’avaient peur de rien, qui allaient au combat sans crainte, sans pitié, gérant la lutte avec sang-froid et cruauté. Je lui dois quelques-uns de mes hématomes, merci sale garce !
-Sara : Je suppose que vous ne m’avez pas épargnée par altruisme ? Que voulez-vous ? Qu’attendez-vous de moi ?... Qu’avez-vous fait à Michael ?
-Susan : chut, on se calme j’ai dit !!
-Sara : QU’AVEZ-VOUS FAIT A MICHAEL ?
-Susan : en parlant de Michael, je trouve qu’il n’a pas trop mauvais goût… t’es plutôt jolie quand tu t’énerves, quoique une douche et un peu de maquillage ne te feraient pas de mal là… oui, t’es plutôt jolie, un peu trop sentimale et godiche à mon goût, mais jolie…
A quoi joue-t-elle ? Elle me regarde étrangement, me scrute… j’ai l’impression qu’elle tente de m’évaluer, de jauger ma force et ma capacité à lui tenir tête…
Ses deux yeux bleus perçants sont une énigme pour moi. Ils sont à la fois glaçants, cruels et ironiques et pourtant, je crois y voir aussi une lueur indéfinissable d’intelligence et d’humanité, un petit je-ne-sais-quoi qui fait penser qu’elle n’est pas si mauvaise qu’elle veut bien le montrer. Parfois, j’ai l’impression qu’elle pourrait m’arracher la tête de ses mains (hé hé…) et parfois j’ai l’impression qu’elle pourrait se rendre attachante et humaine, si encore elle le voulait...
-Sara : si vous ne m’avez pas déjà tuée, c’est que vous n’allez pas le faire ? alors qu’est-ce que je fais ici ? On joue à quoi au juste, au chat et à la souris ?
Elle se lève, s’approche, se penche sur moi… mon estomac se contracte, j’ai une petite bouffée de panique, je ne dois pas laisser mon angoisse paraître…
-Susan : me regarde pas avec ces yeux-là cendrillon, je vais juste te retirer tes liens.
Aïe, ma peau à vif supporte mal ses gestes brusques, elle n’est pas très tendre…
-Sara : aïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïe…..
-Susan : c’est pas possible d’être aussi douillette, t’es faite en sucre ou quoi… allez, redresse-toi !!
Malgré ma reconnaissance, je lui décoche un regard noir pour lui montrer que non, je ne vis pas dans le monde de Barbie et oui je peux aussi être dure…
-Susan : bouh, j’ai peur… miss tancredi semble en colère
Je me sens fatiguée, je voudrais qu’elle se taise, qu’elle me libère, qu’elle disparaisse de ma vie, qu’elle me rende à Michael, qu’on parte loin, sur une plage… deux bières, deux tranches de citron…
-Susan : je vais te raconter une petite histoire et tu vas comprendre pas mal de choses ok. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je vous ai tous sauvés la vie, toi, Michael, LJ et Linc.
Ce que je viens d’entendre me met dans une rage folle, je hurle :
-Sara : QUOI ? Mais vous êtes malade… votre organisation nous traque depuis des mois, vous nous avez kidnappés LJ et moi, vous m’avez frappée, maltraitée, vous avez fait incarcérer puis évader Michael pour servir vos intérêts…
-Susan (ricanant) : pourquoi vous obstinez-vous tous à penser que nous sommes tous du mauvais côté ? Il y a de bonnes actions qui demandent des moyens un peu, comment dire… radicaux. Ma mission était de récupérer Whistler et de tous vous tuer. Vous êtes encore en vie, dites-moi merci au lieu de vous énerver… Non, CHUT !! C’est moi qui parle ! C’est l’histoire de deux personnes à haut potentiel qui travaillent ensemble sur des missions pointues et dangereuses. L’homme est père de famille mais vit loin des siens, la femme est jeune et belle… que va-t-il se passer ?...hé oui, ils ont une aventure et de cette aventure née une petite fille. Une petite fille illégitime qui grandira dans ce milieu sombre et à risque et qui finira par prendre part à ce milieu, à servir cette organisation.
- Susan (après une pause) : tu veux savoir qui sont ces gens ?
-Sara : dites toujours…
-Susan : cette petite fille c’est moi. J'ai fait comme mes parents, j'ai donné ma vie à la Compagnie… mais je n’ai pas à me plaindre, ils me paient bien pour ça. Et mes parents, tu veux savoir comment ils s’appelaient ?
-Sara : ça changera quoi ?
-Susan : ma mère s’appelait Ella Morgan. Elle était d’origine allemande par sa mère et anglaise par son père. Belle brune aux yeux bleus… ça te rappelle quelqu’un ??
-Sara (ironiquement) : je cherche, mais je ne vois pas…
-Susan : et mon père… je vais t’en apprendre une belle Sara, il s’appelait Aldo Burrows. Oui, tu as bien entendu. Je suis la demi-sœur de cet empoté de Burrows et de cette fouine de Scofield. Ça t’étonne hein… Et bien sache que c’est pour ça que tu respires encore… je ne t’ai pas épargné par pitié, ni par compassion ou par intérêt, je…
Bien qu’estomaquée par la nouvelle que je viens d’apprendre, je risque un trait d’humour qui pourrait me coûter cher…
-Sara : vous avez des valeurs, c’est ça ? la famille, c’est sacré ?
-Susan, ricanant : très drôle, vraiment… hé bien oui, mon père s’est rendu compte trop tard que la Compagnie visait Lincoln puis Michael. Il m’a fait promettre de leur venir en aide. Inutile de te rappeler que mon père s’est rebellé contre la Compagnie… c’est parce qu’ils ont tué ma mère. Elle avait été blessée dans un combat, elle ne servait plus à rien, ils se sont arrangés pour la faire disparaître. Ça a détruit mon père ; il avait tout abandonné pour servir la Compagnie, son autre femme et ses enfants, que pourtant il aimait. Il a été anéanti de voir de quelle façon on le remerciait. Et moi, j’ai tout fait pour leur laisser croire que je leur restais fidèle et ils m’ont cru… Sauf que dans ma tête poussait inexorablement l’idée de ma vengeance.
-Susan (reprenant son souffle) : Pour détruire son ennemi, il faut devenir son ami… Je me suis évertuée à remplir mes missions à 100%, pas une faute, pas une bavure… c’est pour ça que j’ai aussi dû te donner quelques coups au Panama… et que j’ai dû montrer ta tête à mon boss et à Lincoln…
-Sara : ma tête ??
-Susan : ça n’a pas été trop difficile, j’ai eu la chance qu’une jeune femme te ressemblant se trouve à la morgue… un coup de sécateur, couic, un carton direction la Compagnie puis transit vers Lincoln… le tour est joué.
Mes tripes se tordent… non, ils ne lui ont pas fait croire ça…
-Sara : Lincoln ? Il a bien vu que ça n’était pas moi quand même ?
-Susan : ah non ma belle, il faut que tu saches que ton futur beau-frère n’a pas les mêmes capacités intellectuelles que celui dont tu t’es amouraché. Mais je lui concède la peur pour expliquer son aveuglement.
-Sara (la voix brisée) : et Michael le sait ?
-Susan : oui… et ça m’a valu de faillir partir en confettis… j’ai pas trop intérêt à le croiser ton Scofield en ce moment…
Je m’effondre… Michael, non… il pense que je suis morte… je n’ose imaginer dans quel état il doit être, lui qui était déjà rongé par la culpabilité et le remords… ils l’ont laissé traverser cette épreuve seul… mon Dieu, faites qu’il ne fasse rien qu’il puisse regretter, rien qui ne le change à tout jamais.
-Susan : non, Sara, on ne s’effondre pas… on va se battre là, on a une organisation titanesque à faire tomber, on a du pain sur la planche !! Et si la perspective, c’est de retrouver Michael, tu me suis ?
Je relève les yeux vers elle, je ne me suis jamais sentie aussi forte.
-Sara (se levant du lit, déterminée) : oui, je suis partante et ils vont payer !
-Susan (avec un sourire et petit clin d'oeil) : bienvenue dans la famille Burrows alors !
Dernière édition par poupinette444 le Mer 16 Avr - 16:25, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Bed Break mini série de différents auteurs
poupi faut que je recommence mon com tout s'est effacé alors que j'étais à la fin et qu'il était super long!! je suis deg!!!
en tout cas t'imagines même pas à quel point j'ai adoré cet OS !! bon je me remets à la rédac de mon com!!!
en tout cas t'imagines même pas à quel point j'ai adoré cet OS !! bon je me remets à la rédac de mon com!!!
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