rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)

La suite !!!

ze veux la suite !

oui je veux que tu continue !!!!!!!!!!!!!!!!


c 'est a 100 % qu ' on veux que tu la continue !!!!!!!!!

je veux la suite

elle arrive!! vous n'avez aucune pitié pour mes doigts!!!

CHAP 17 :

W (lui déposant une baiser sur le front) : je te sens distraite depuis qu’on est là, tu vas bien ?
A : oui, c’est juste que j’aie du mal à réaliser. Tout ici est si … c’est magnifique !
W : rien ne sera assez beau pour toi ! ! Et puis faut, que je me rattrape vu la demande en mariage que je t’ai faites !

Flash-back :

Presque un an que l’on vit ensemble et pour rien au monde je changerais ma vie. Malgré la presse, la pression, le manque d’anonymat, je ne voudrais pas d’une autre vie car cela signifierait que je serais sans toi et cela ne serait pas envisageable.
Je suis comme tous les jours de la semaine quand tu es absent à la fac pour travailler. J’essaye d’y passer un maximum de temps la semaine pour pourvoir me consacrer exclusivement à toi le week-end. Je me sens presque bête de réagir ainsi on dirait une ado avec son premier amour. Mais je ne peux m’empêcher de faire autrement. On se voit si peu. Mon téléphone sonne alors que je vois un étudiant rentrer dans mon bureau. Je regarde le numéro qui s’affiche, il est masqué. Si c’est important ils laisseront un message. La jeune femme qui entre me demande de diriger son mémoire de maîtrise. Je suis flattée par son enthousiasme. J’ai l’impression que c’est hier que je faisais la même démarche. Je lui réponds évidemment par l’affirmatif. Tout en lui donnant mes consignes de travail. En effet, c’est loin d’être facile quand votre compagnon n’est autre que Mr Miller. Je lui explique que contrairement aux autre prof elle ne pourra pas venir chez moi. D’habitude ici cela se fait. Il y a une relation privilégié entre l’étudiant et son professeur mais moi je dois établir une certaine distance. Je lui affirme que je répondrais par mail à toutes ses demandes quelle que soit l’heure. Je le vois ravie. Elle me précise bien sur qu’elle sait comme tout le monde ici que je partage ma vie avec Went et qu’en aucun cela la motive à travailler avec moi. Vu son parcours je la crois aisément.
Mon portable sonne de nouveaux. Elle décide de partir le sourire aux lèvres. Toujours un appel masqué. Je décroche tout de même.

Dom : Anna, putain mais qu’est-ce que tu fous ?
A : dom, bonjour je vais bien et toi ?
D : Anna, ça fait trois fois que je t’appelle !
A : j’étais avec une étudiante. Pourquoi, tu me sembles bien énervé ?
D : Went a eut un accident sur le tournage …
A : je prends le premier avion et j’arrive !
D : je t’ai réservé une place sur le vol de 10h44 vol 6648 US Airways.
A : merci. Dom c’est grave ?
D : on le transporte à l’hôpital. Pour le moment on ne sait rien.
A : merci. J’arrive tout de suite.

Je fonce comme une malade vers ma voiture. J’ai juste pris mon sac. Je cours comme une folle à travers les couloirs manquant de bousculer la moitié des personnes qui se trouvent sur mon chemin. J’arrive à ma voiture. J’ai un mal de chien à trouver ma clé dans le fourbi que constitue mon sac. Je suis complètement paniqué. Je me rends compte que je ne peux pas conduire dans cet état. Je cours vers la rue pour attraper un taxi. Heureusement j’en ai un qui s’arrête quasi immédiatement.

Chauffeur : je vous dépose où mademoiselle ?
A : à l’aéroport s’il vous plaît, je suis super pressée.
Chauffeur : OK OK.

Je fonce immédiatement vers les guichets d’embarcations. Je vois une file d’attente pour le vol vers la Floride. Purée mais avancée bande de moutons… c’est enfin à moi, après une demi-heure d’attente.

A : oui, on a du me réserver un billet pour Orlando en Floride au nom de Hanze Anna.
Hôtesse : je vais voir. Alors… non je n’ai rien à ce nom.
A : essayer au nom de Purcell c’est la personne qui me l’a réservé !
Hôtesse : je n’ai rien désolé…
A : je dois prendre cet avion, c’est impératif !
Hôtesse : il est complet donc soit on vous trouve parmi la liste soit vous prenez le prochain.
A : Miller Anna, essayez !
Hôtesse : je ne vais pas faire tous les noms… j’ai du monde derrière vous qui attends.
A : c’est le dernier. S’il vous plaît !
Hôtesse : oui, il a été réservé il y a à peine une heure par téléphone.
A : oui c’est ça !
Hôtesse : bon tenez vos tickets. Vous avez des bagages ?
A : non.

J’entre dans l’avion et je fais partie des dernières. Je me morfonds durant des heures. Le trajet me semble interminable, en réalité il dure 4h52. . Je fais le tour de mon I-pod mais rien n’arrive à m’enlever Went de l’esprit. Je suis encore plus déprimé quand j’arrive sur les passages de classique qu’il affectionne, où d’autres chansons qui me rappellent les moments ensembles. Je me ronge les doigts alors que je ne le fais jamais. Je n’arrête pas de gigoter sur mon fauteuil. Je dois être un calvaire pour les personnes à côté de moi. J’arrive juste à contenir mes larmes et encore. Je sens bien que mes yeux sont rougis. Dès l’atterrissage je fonce vers le premier taxi et appel Dom qui me dis qu’ils se trouvent à l’hôpital. Je lui raccroche presque au nez. Le taxi me pose à l’entrée des urgences. Je m’avance vers l’accueil. Je suis en pleine décomposition. Je déteste les hôpitaux.

A : excusez moi, je voudrais connaître le numéro de chambre de Mr Miller, s’il vous plaît.
Infirmière : pardon.
A : Wentworth Miller, il est ici.
Infirmière : vous devez faire erreur et même si c ‘était le cas, je ne vous laisserai pas passer. Vous êtes dans un hôpital.
A : écoutez moi bien. Je sais que vous faîtes votre travail et vous devez très bien le faire. Mais vous allez tout de suite me dire où il est ! C’est bien compris !
Infirmière : calmez vous mademoiselle.
Paul : Anna.
A (sanglotant) : Paul ! Tu peux lui dire que je veux le voir !
P : mademoiselle, vous laissez passer cette jeune femme. Elle est avec nous, d’accord.
Infirmière : oui bien sur. Je ne voulais pas que vous soyez importunés.
P (la prenant par la taille) : et on vous en remercie. Allez viens Anna.
A : comment va-t-il ? Je peux le voir !

J’avance tel un automate. Je ne peux m’empêcher des laisser couler mes larmes. Cette odeur me faits des hauts le cœur. Je les vois tous assis dans le couloir. Leurs regards sont remplis de compassion pour moi. Paul m’explique que Went a voulu faire une cascade lui-même et qu’il est tombé. Tu as fait une chute équivalente à trois étages. Tu es inconscient depuis. Je sens mes jambes fléchir sous le poids de son qu’on vient de me dire.

A : je veux le voir !
Dom : ce n’est pas possible. Depuis son arrivé les médecins n’arrêtent pas de lui faire des examens. Personne n’a put le voir.

Je commence à faire les cent pas dans le couloir pour essayer de ne pas devenir folle. Au bout d’une heure je sens la main de Dom dans mon dos.

D : on va aller faire un tour. Tu veux ?
A (fixant la porte de la chambre) : tu crois qu’on peut..
D : Sarah tu nous appelles s’il y a du nouveau.
S : oui bien sur.

Je sais bien que Dom fait surtout cela pour me changer les idées var il me voit tourner en rond depuis toute à l’heure sans même dire quoi que se soit. Il m’emmène dans le parc de l’hôpital. Il commence à me parler de ses enfants, des dernières péripéties des jumeaux… alors qu’il me raconte ceci je fonds littéralement en larmes dans ses bras. Je ne peux plus tenir. On reste un bon moment ainsi. Je sens bien qu’il ne sait pas trop quoi dire. Il me tend la main pour m’indiquer qu’on ferait mieux de rentrer. Je me blotti contre lui. J’ai si peur de ne pas tenir. On n’a presque pas échanger un mot. On revient ensemble. Son bras autour de mes épaules. Je commence à faiblir quand je ne vois plus personne dans le couloir. Nos regards se croisent.

D : ils ont du le ramener.
A (tremblante) : va voir. S’il va bien, je…
D : Ok je rentre et je viens te dire. Ok
A : oui. Merci Dom.

Je le vois revenir vers moi un large sourire aux lèvres. Je prends la main qu’il me tend et qui m’entraîne à l’intérieur. Je te vois assis dans ce lit. Ton regard est ahuri quand tu me vois ici. Je ne peux retenir mes larmes en te voyant en bonne santé. Je m’avance timidement et sans attendre, je te prends dans mes bras. Je ne peux m’empêcher de soupirer de plaisir en sentant tes bras m’enserrer. C’est comme une bouffée d’oxygène. Tu déposes quelques doux baisers sur mon front.

W : ce n’était pas la peine de venir. Je vais bien !
A : je devrais te tuer de me faire des peurs pareilles.
W (souriant) : je n’ai pas fait exprès !
A : tu n’es pas cascadeur à ce que je sache !
W (hilare) : je vais bien. C’est qui qui l’a prévenu ?
D (tout penaud) : c’est moi, tu nous as fait une sacrée frousse. On va vous laisser. On passera demain matin.
W : merci. A demain.

Je vois ton regard de cocker que tu sais si bien me faire s’esquisser. Je ne veux pas que tu t’en sortes aussi facilement. Tu me serres de plus en plus.

W (passant sa main dans mes cheveux) : je ne voulais pas te faire peur. Je suis désolé.
A (résignée) : ça va, tu n’y es pour rien.
W : et toi ça va ? Ta phobie des hôpitaux ?
A : je gère. J’ai eut si peur. J’ai crut devenir complètement folle.
W (le reagrd étincelant) : tu veux bien attraper mon sac à dos.

Je me défais à regret de ses bras et lui tends avec dépit son sac. Il me regarde avec un sourire. Ce sourire qu’il fait alors qu’il prépare une surprise. Il est peut-être le meilleur acteur qui soi mais dans la vie il ne peut pas s’empêcher d’esquisser ce rictus quand il prépare quelque chose. Il se met un peu sur le côté et me regarde fixement.

W (plongeant son rezgard dans le sien) : viens à côté de moi.
A : il n’y a pas de place pour deux.

J’ai à peine le temps de finir ma phrase qu’il me hisse déjà à son côté. Je m’allonge contre lui. Je me sens si bien. Je le vois trifouiller dans son sac. Il m’intrigue.

W (toujours plongé dans ses yeux) : je n’avais pas prévu ainsi mais… je t’aime plus que tout et je ne me vois pas faire ma vie sans toi. Tu es la seule chose qui importe dans ma vie. Depuis un an, qu’on vit ensemble, j’ai l’impression d’être vivant. Chaque départ me fait de la peine et … c’est loin d’être aussi romantique que ce que je voulais mais… j’aimerai … veux-tu m’épouser ? (ouvrant l’écrin qu’il avait dans les mains)
A (en larmes) : je…tu le veux vraiment… je veux dire…ce n’est pas une blague ?
W : non ! Elle te plaît ?
A : quoi ?
W : la bague !
A (embrassant ses lèvres) : tu me plais ! Et je t’aime et oui, je veux qu’on se mari.

Notre baiser ce fait de plus en plus ardent. Je me défais à regret de toi sous ton regard rougis. Je m’avance vers la porte pour la fermé à clé.

Fin Flash-back.

A (émue) : elle était parfaite pour moi.
W (le regard coquin) : oui, j’ai surtout apprécier cette nuit à l’hôpital.
A : juste celle-ci. Je suis déçue !
W (l’embrassant) : je pense que cela ne sera rien par rapport à celles qui sont devant nous !

alors contente les filles!!!

trop contente !!!!!! magnifique

tu ma fait peur avec l ' accident de went !!!!!!! je me souvenais plus que c 'etait un flach back

j ' en redemande encore !!!!!!! encore

met vite la suite

oh oui trés contente

je suis impatiente de lire la suite !!!!!!!!

Merci pour cette suite...

Depuis que je l'attendais celle là...



J'adore, et j'aime beaucoup tes flashback....



La suite

trop contente ! c'était trop bien
Impatiente de lire la suivante

et alors ??

ON m'oublie !!!

Non moi jsuis pas contente ya pas de suite

Amaria a écrit:Non moi jsuis pas contente ya pas de suite <a href="http://imageshack.us"><img src="https://2img.net/r/ihimizer/img490/5721/12017rf6.gif" border="0" alt="Image Hosted by ImageShack.us"></a><br>

Dans le même état que toi, trop impatiente !

Please, pitié !

CHAP 18 :

Voilà c’est le jour J. je n’ai quasiment pas dormi de la nuit. Pas que nous aillons fais de folies, juste d’impatiente. Il est presque 14h. je suis dans la chapelle adjacente à la maison. Elle se situe dans le parc. C’est le rêve, tous se passent ici. Seulement tu n’as pas voulu que j’y rentre car tu veux me faire une surprise. Encore une.


Flash-back :

Cela fait plusieurs semaines que je commence à faire le tour des magasins de robes de mariées avec Sarah et Rebecca. Je me sens comme une petite fille qui s’apprête à se déguiser. Mais comme chaque fois je reviens un peu déçue. Ce n’est pas la robe.
En fait j’aimerai aller les essayer chez un créateur français qui à une boutique à L.A. Max Chaoul. Mais j’ai vraiment peur que le budget explose. En fait, je pourrais me la payer mais dépenser une telle somme m’angoisse un peu. Je n’ai pas envie de devenir une de ces femmes qui sous prétexte que c’est hors de prix c’est génial.
Je m’avance ce matin là et tu es déjà partie pour faire une interview avec Dom et Amaury. Je m’avance vers le frigo et vois une carte posée dessus.

N’oublies pas tu as rendez-vous chez Chaoul à 11h avec Sarah et Reb !
Amusez-vous bien.
Je t’aime
Went.

Je n’ose pas y croire, tu m’as pris un rendez-vous dans mon dos. Je suis complètement folle de joie et je saute de partout. J’essaye de te joindre mais je tombe sur la messagerie… je ne te laisse aucun message car je ne sais pas trop quoi te dire en fait !
Sarah et Rebecca passent me chercher. Elles sont pliées de rire. Tout se passe comme dans un rêve. En plus Max est là, il s’occupe personnellement de moi. On parle tout le temps en français et il découvre que nous sommes tous les deux originaire de Lyon. Je n’arrête pas d’essayer des robes puis c’est le flash. Je me vois avec dans le miroir et j’ai les larmes aux yeux. Sarah et Rebecca ont arrêtées de parler. Elle me fixe somme si j’étais une des sept merveilles du monde.
Je l’enlève en ne cessant de la contempler.

http://www.maxchaoulcouture.com/COLLECTION/2007/THEME09/index.html#

Je m’approche de la caisse pour demander à Max son prix et je le vois exploser de rire. Je le regarde dubitative et mes yeux s’ouvrent de plus en plus en comprenant ce qui se passe.

Max : il a été formel. Vous prenez la robe qui vous plaît.
Anna : non, mais…
Max (retenu ): elle ne vous plaît pas ?
A (gênée) : si elle est magnifique.
Max : j’ai rarement eut un homme aussi amoureux au bout du fil. Il veut vous faire plaisir.
Sarah : Anna, il sera vexé si tu refuses. C’est exactement la robe que tu cherches depuis des semaines. Elle te va tellement bien.
A (toute rouge) : d’accord mais je vais le tuer !
Max : ce serait dommage tout de même.

Je sors de la boutique et prend illico mon téléphone. Sarah et Rebecca me regardent médusées.

W : alors cet essayage ?
A : espèce d’enfoiré mais tu n’es pas possible ! Je croyais que je t’avais dis que je voulais payer ma robe mais tu n’en fais qu’à ta tête !
W : si je comprends bien tu as choisi ta robe !
A : oui et je suis sûr que tu es content de toi !
W : un peu. Elle te plaît ?
A : non je ne te dirais pas à quoi elle ressemble. Ça porte-malheur !
W : OK. On déjeune ensemble, j’ai fini pour aujourd’hui.
A : je crois que Sarah et Rebecca veulent me montrer deux, trois boutiques… on se voit plus tard !
W : je rentre à la maison de toute façon.
A : je t’aime.
W : j’espère bien.

Fin flash-back.



Mon parrain entre dans la chambre où je me change ainsi que mes demoiselles d’honneurs. A savoir les sœurs de Went. Je le regarde les larmes aux yeux. Je vois qu’il n’en mène pas large non plus. Il doit me conduire à l’hôtel, m’amener auprès de Went. Sans rien dire, on descend l’escalier de la maison pour rejoindre la chapelle. Je vois Sarah et Gillian bouche bée en me voyant. J’essaye de sourire mais je suis morte de trouille par tout ce stress. Je les vois partir en courant pour que tout le monde rentre dans la chapelle. On ne voit personne sur notre passage. Seul les sœurs de Went m’attendent pour rentrer juste avant moi. Gillian est accompagné de son copain et Leight d’Amaury. Ben oui ! Deux célibataires… on les met ensemble ! ! Aucun n’ose rien dire en me voyant. Je me dis que cette robe n’est pas la bonne, que je suis trop maquillée, la coiffure ! !


Anna (anxieuse) : qu’est-ce qui cloche ?
Amaury : rien. Mais si Went dit non, je t’épouse !
Gillian (lui tapant sur la tête) : tu es vraiment trop bête. S’il dit non ma mère le tue !
Anna (paniquée) : vous êtes sur que ça va ? Il va aimer ?
Leight : tu plaisantes. T’es la plus belle mariée que je n’ai jamais vu. Et tu lui plairas. C’est tout à fait toi !
Anna (soufflant un grand coup) : bon alors on y va !


http://www.radioblogclub.fr/open/118508/evanescence_immortal/Evanescence%20-%20My%20Immortal%20%28acoustic%29

Les portes s’ouvrent. Je les laisse passer devant et la musique commence. Je ne peux m’empêcher de me crisper. Ce n’est pas le fait de me marier qui me stress car je n’ai jamais été aussi sur d’une chose que de cela mais toutes ces personnes, tous se monde à gérer… ça me panique. On commence à avancer lentement. Plus personnes ne parlent alors que j’avance. Je vois Went qui essaye de bouger un peu pour m’apercevoir de loin. Il doit se mettre sur la pointe des pieds. Nos regards se croisent, je vais défaillir. Il est si beau, si simple. Il se fige alors que je suis seul avec mon parrain dans l’allée centrale. Il respire à peine. Mes yeux sont humides par l’émotion. Arrivé à sa hauteur, il ne bouge pas. Je le vois hésitant. Il s’avance timidement vers moi. Mon parrain lui tend ma main. Je ne peux m’empêcher de verser une larme à cet instant car ça devrait être mon père à mes côtés. Went saisi immédiatement mon émotion et passe sa main sur mon visage pour essuyer ma larme. Il me prend par la taille, comme pour mieux me protéger. Nous nous mettons tous deux faces au curé.


pour la robe si vous cliquez sur le lien vous l'avez en plus grand

SUPER, JE PLEURE D'EMOTION - CA ME RAPPELLE MON PROPRE MARIAGE !!!!!!

C'EST SUPER !!!!!! ET WENT, VU LA ROBE, IL VA LA CROQUER !!!!


VITE LA SUITE !!!!!!!!!!!!!!!

magnifique !!!!!!!!

tres beau !!!!!! went va la devorer cru !!!!!

j ' en redemande encore , encore

met vite la suite

Divine cette suite !

Romantique à souhait...j'ai failli lâcher ma larme, l'émotion est là, c'est parfait, je ne peux que te réclamer la suite !

Oh! qu'est ce que c'est beau!!!! J'adore tout simplement, Went va être sous le charme!!! , j'adore les mariages, en plus là c'est celui

de went, c'est la meilleure!!!!

génial!!! vivement la suite

Holala Enneade t'as fait fort dans cette scène, j'ai les larmes aux yeux, on s'y croirait, c'est MAGNIFIQUE je ne sais même pas quoi dire, c'est parfait c'est devenu ma scène préféré

alors prêtes pour la suite!!

CHAP 19 :

https://www.dailymotion.com/video/x1d22e_korn-creep-mtv-unplugged

Nous voici enfin côte à côte et je ne peux détacher mon regard de lui. J’essaye de faire bonne figure mais je n’en mène pas large. Mais dès que nos visages se croisent, je ne peux m’empêcher de sourire. Je comprends maintenant pourquoi il n’a pas voulu que j’entre ici avant. Il la fait entièrement décorer. Des petits bouquets le lys blanc sont attachés à chaque bout de rangée, des pétales de roses inondent le sol… et des bouquets énormes sont disposés un peu partout. Je n’arrête pas de regarder tout autour de moi mais je reviens toujours devant son visage aussi parfait.

Lui ne défait pas ses yeux de ma robe. Je me dis que j’aurais du faire mettre un tissu dessous pour pas que le bustier soit transparent. Mais tout le monde m’a dit que si je faisais cela ça casserait tout le charme de la robe. Son sourire est franc.

Il me lance un petit clin d’œil alors que le curé commence sa litanie. Comme toujours on a fait des compromis. Car ici pas de mairie, les prêtres sont assermentés et donc officialise notre union devant la loi. Il y a quelques divergences avec les messes françaises. J’ai put tout faire comme je voulais sauf une chose, il voulait pas seulement dire un oui. Il voulait absolument que l’on prononce nos vœux. J’ai cédé, de toute façon comment lui résister. Tout le monde a le souffle coupé. Je sens la pression qui monte inexorablement alors que je vois les larmes coulées sur les joues de nos proches.

La fille de Sarah qui à maintenant presque deux arrivent toute mignonne avec le coussin où sont déposées nos alliances. J’ai presque peur qu’elle tombe en route. Elle est si penaude et petite. Je vois Sarah qui craque complément devant ce petit bout qui déambule vers nous. Je me baisse pour lui prendre, elle me fait immédiatement un bisou. Je sens que je vais craquer. Mes yeux sont humides depuis le début mais là je ne sais pas encore combien de temps je vais tenir. Went me tient toujours la main. Son regard est de plus en plus doux et protecteur. Le coussin dans les mains je me tourne vers Went et nos regards se figent l’un dans l’autre. Je sens bien qu’une petite tête s’est mise entre nous. On sourit bêtement mais on s’en fout. Elle est là, elle nous fixe avec ses grands yeux noisette et ne bouge plus au plus grand damne de Sarah qui est rouge de honte. Went donne la main à la petite pour la décaler légèrement et j’entr’aperçois Amaury qui la prend dans ses bras. Elle est toute fière. Je le vois détacher mon alliance.

Ces mains tremblent comme jamais je ne pensais pas qu’il serait aussi ému. Il met ma main dans la sienne et j’ai l’impression de vaciller. Ses yeux me fixent comme jamais.


W (en français) : Anna, j’ai attendu 35ans et franchi un océan pour te trouver. Tu es l’unique personne qui fait battre mon cœur. Je ne conçois pas ma vie sans toi, ni même loin de toi. Tu es tout ce que j’ai toujours espéré. Tu es loin d’être l’esquisse de la femme de mes rêves, tu es plutôt un chef d’œuvre. Tu représentes tout ce que je pouvais rêver, tu es douce, intelligente, désinvolte et de surcroît magnifique. Et pour encore une autre multitude de raisons je suis devant toi pour te jurer de te donner tout mon amour, de protéger et de d’être fidèle. Que ce soit dans la richesse ou la pauvreté, dans la bonne santé ou la maladie et ceci jusqu’à la mort et au-delà. Mettant l’alliance à Anna.


Je pleure comme une madeleine. Je n’ai jamais rien entendu d’aussi… beau, sincère. Je me demande comment il a fait pour retenir tout ceci en français. Il n’a pas quitter mon regard. Je suis complètement déstabilisé par sa déclaration. Il sera toujours me surprendre. Il me regarde les yeux humides. Je sens que je ne vais jamais y arriver. Je me racle la gorge, comme pour prendre du courage. Je ne sais même plus en quelle langue je dois parler. S’il m’avait dit qu’il ferait ceci et en français, je n’y aurais jamais cru.


A (en anglais et sanglotante) : je…Wentworth avec cette alliance je te promets de t’aimer comme au premier jour. Je te promets de te soutenir dans la richesse ou la pauvreté, dans la joie ou la maladie. Je te jure de t’être fidèle jusqu'à ma mort. Mettant l’alliance à Went.


Voilà je suis au bord de l’évanouissement. Je n’ai rien dit de ce que je voulais. Mais je le sens si ému lui aussi.


Curé : je vous déclare mari et femme. Wentworth si vous voulez bien embrasser Mme Miller.



On sourit tel deux enfants. Il prend ma taille entre ses mains et nos regards sont toujours figés l’un dans l’autre. Ses bras m’enserrent et il me dépose un premier baiser sur les lèvres si doux, si furtifs. J’ai à peine le temps de rouvrir les yeux que je le vois se fondre sur moi. Notre baiser est beaucoup plus passionné. Il me soulève et mes mains passent autour de son coup. Je me sens si légère. J’entends à peine les applaudissements et les bruits de nos invités. On ne peut se détacher l’un de l’autre.

Seul les toussotements du curé nous font revenir sur terre. Je détache à regret mes lèvres des siennes et j’aperçois une larme s’esquisser au coin de son œil. Je lui dépose un baiser furtif dessus. Il me sourit avec se sourire que lui seul a. On s’avance et on signe les registres. Went ne quitte pas sa main de ma taille. On est soudé l’un à l’autre. On sort de la chapelle et tout le monde nous acclament. On n’arrête plus de s’embrasser. C’est tellement bon.


On part faire quelques photos puis on rejoint tout le monde pour le cocktail. Je me sens si sereine tout d’un coup. Je me sens protégé. Il n’y a que les membres de nos familles, nos amis, et l’équipe de PB puis quelques étudiants en qui j’ai confiance et que j’apprécie particulièrement. Cela fait un petit moment que l’on déambule chacun de notre côté à discuter à droite et à gauche. On se retrouve à peine. Mais dès que nos regards se croisent, on y voit la même flamme qu’au premier jour.

Il est presque 22h et on se retrouve enfin. Depuis tout ce temps on n'a pas eut le temps de parler ensemble, de s’embrasser. Le cocktail se poursuit mais à l’intérieur. On n'a pas voulu faire trop formel, pas envie de se prendre la tête non plus, donc ceux qui veulent s’asseoir le font et les autres restent debout. Le buffet est à l’intérieur ainsi que la piste de danse. Mais avec la douceur qu’il fait presque tout le monde est dehors. Je sens ses bras encercler mon coup. Je me colle immédiatement contre son torse. Ses lèvres se déposent sur ma nuque dégagée et je fonds sous la sensation qu’il me procure. Je sens qu’il n’est pas en reste non plus.


W (dans un murmure) : je vous aie déjà dis que vous êtes superbe.
A : non.
W : tu es magnifique. J’ai crut que le curé allez tomber à la renverse quand il t’a vu !
A : c’est un peu trop…
W : non, par contre je ne réponds pas de moi. Je te préviens.
A : parce que tu crois que moi je ne me retiens pas de te sauter dessus. Tu es si beau.
W (lançant son regard de braise) : Suis-moi.


Il prend ma main dans la sienne. Et m’attire en dehors de la grande salle de réception. On se retrouve dans le couloir et il se met à courir. Je le vois ouvrir une porte et on s’engouffre à l’intérieur. Sans prendre plus de temps, je me retrouve bloqué dans ses bras. J’entends qu’il ferme la porte à clé et ne peux m’empêcher de sourire devant son audace. Il prend possession de mes lèvres et j’approfondis ce baiser comme jamais. Mes mains passent sens cesse sur son crâne fraîchement tondu, dans son dos. Sa veste tombe à terre. Mes mains s’immiscent sous sa chemise. Je sens que l’on ne contrôle plus rien. On a juste envie d’être ensemble. La lumière est éteinte et on se devine. Je sens la fermeture éclair de ma robe se défaire, le bustier s’entrouvre et sa main se faufile sur ma peau. Je sens des millions de frissons parcourir mon corps. J’ai de plus en plus de mal à déglutir. Je sens son souffle s’accélérer au fur et à mesure que je déboutonne son gilet et sa chemise. Tout tombe à terre sans plus de considération. Je le vois qui bataille avec ma robe.

A (haletante) : non, faut la laisser !

Il me regarde amusé et comprends qu’il nous faudra trop de temps pour la remettre comme il faut. Nos mains se font de plus en plus insidieuse. On parcoure légèrement la pièce et on arrive à trouver un canapé dans un coin. Il m’y pose délicatement alors que nos respirations sont de plus en plus difficile. Je m’attaque à son pantalon et me facilite la tache en le faisant tomber au sol. Allongée sous lui, j’ai l’impression que tout s’arrête, que tout est si naturel. Je le sens hésitant, comme s’il attendait mon feu vert. Je lui prends sa tête entre mes mains et kidnappe ses lèvres. Note baiser est fiévreux et intense. Nos regards plonge l’un dans l’autre tout comme lui en moi. Je ne peux réfréner un gémissement de plaisir à ce contact. Il sourit et me met la main sur la bouche pour l’étouffer. Sa main se pose délicatement. Nos vas et viens se sont doux et langoureux. Sa tête se pose au creux de ma nuque et je sens tout son être frissonner tout comme moi. On se fait l’un et l’autre de plus en plus insistant, audacieux dans nos caresses jusqu’à succomber en même temps à ce désir foudroyant.
On se regarde amusé et souriant. Il remet juste son boxer, histoire de. Il se rallonge aussi tôt à mon côté et me prend dans ses bras.

W : je pensais qu’on tiendrait au moins jusqu’à la fin de la soirée !
A : moi aussi.
W (amusé) : oui mais moi je n’avais pas vu ta robe. Elle est si …
A (relevant un sourcil) : excitante ?
W (résigné) : tout à fait.
A : je t’aime.
W (déposant un baiser dans ses cheveux) : moi aussi.
A : pour tout à l’heure, à l’Eglise. Ta déclaration m’a beaucoup touché.
W : j’ai vu.
A : en plus en français… je n’ai pas été aussi bien que cela moi !
W : tu plaisantes… c’était sincère et pleins d’émotions.
A : je savais plus quoi dire après tout ça.
W : je suis désolé. Mais je tenais vraiment à ce que tu saches tout ce que je ressens pour toi. On ferait mieux d’y retourner sinon ça risque de jaser.
A : je n’ai pas envie. Je veux rester avec toi.
W (l’embrasant) : promis demain tu m’auras tout à toi et pendant trois semaines mais avant…
A : d’accord.

Je le vois laisser son gilet et sa cravate là. Il laisse les boutons du haut de sa chemise ouverts. Il est encore plus sexy. On retourne vers nos invités. Un sourire aux lèvres. On sent quelques regards sur nous. Vu la tenue de Went ils se doutent que l’on n'a pas fait une partie de Scrabble.


alors on les suis pendant le voyage de noce pour les espionner???

Les suivre ? Très bonne idée ma foi...mais j'aimerais carrément mieux être à sa place tant qu'a faire ! Elle en a de la chance !

whaaaaaaaa !!!!! je suis emue moi !!!!! la !!!!!!!!! quelle beau mariage

j' ai adorer , , je t ' adore

les voeux sont belles et s ' adonner a leurs plaisir pendant la reception , c' est clair que went a du mal a tenir !!!!! elle aussi tu me dira

tout le monde a vu qu ' il ont pas jouer au scrable , il ont jouer avec leurs corps

j ' en redemande encore !!!!!

met la vite la suite

La suite!!!! j'ai trop hâte de voir comment sera le voyage de noces:in love:

Oh oui ! oh oui ! le voyage de noce !!!
En tout cas magnifique mariage !

Enneade tu aime me voir émue jusqu'aux larmes toi, Went a assuré e parlant français ils sont trop beau j'adore leur pitite viré coquine!!
Oui on les suis après on les suivra aussi quand elle sera enceinte

so fine, so good !!!!!!

je vais prendre une douche froide et je reviens

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