rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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on la continue ou pas??
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
MAGNIFIQUE !!!!!!! comme toujours !!!!
j ' ai trop hate de lire la suite !!!!!
met la vite !!!!!
passe un bon week end !!!!! avec ton homme
j ' ai trop hate de lire la suite !!!!!
met la vite !!!!!
passe un bon week end !!!!! avec ton homme
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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rencontres imprévues si vous voulez une suite!CHAP20 (13/7)
J'adore, comme toujours lol, mets nous une suite aussi vite que tu le pourras
Et passe un bon week-end et amuse-toi bien
Et passe un bon week-end et amuse-toi bien
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
Pas grave pour les fautes, c'est pas ça le plus important mais pourquoi tu t'es arrêter là?? on va devoir attendre jusqu'a LUNDI c'est super long quand même, moi jveux savoir cke maman miller a fait à la pauvre Anna, déjà que là elle la regarde a peine
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
La suite
Vite, je m'en fous des fautes...
J'ai trop hâte d'avoir la suite....
Vite, je m'en fous des fautes...
J'ai trop hâte d'avoir la suite....
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
tro bien tro génial tro tro tro tro !!!!!! la robe de marié est maggggnifique (oui j'avais quelque suite de retard ) vraiment tro tro belle sa ma donner envie ! lool
bon aller la suite !!!!!
bisous et bravo
bon aller la suite !!!!!
bisous et bravo
dadoubloo- Origami de Michael
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
merci les filles pour vos comms...
bon voici la suite du chap 20... je l'ai rallongé du coup!!!
chap 20 :
part2
toujours flash-back... dans la maison de Mme Miller, pour Thanksgiving
Je monte derrière lui ma main dans la sienne. Je sens son regard un peu perplexe mais il essaye de le masquer. Arrivé en haut de l’escalier il me montre de loin, les chambres de ses sœurs, celle de sa mère, les salles de bains… puis il me dirige vers une porte au bout du couloir avec un grand sourire aux lèvres. Je le regarde avec le même ton rieur. Il ouvre la porte et me laisse passer devant lui.
W : bienvenu dans mon entre !
A : merci. Alors voici ta chambre de jeune homme !
W : elle te plaît. Alors qu’il remarque mes yeux qui scrutent un peu partout.
A : pas mal !
Je le vois s’écrouler sur son lit. Et je le trouve encore plus craquant. Ses mains se tendent vers moi et je les attrapes. Il m’attire vers lui et je me retrouve projeter sur son corps. Nos rires commencent à être de plus en plus audibles et francs. Ses mains parcourent mon dos et je sens des frissons se répandre sur moi.
A (résistant) : je croyais que le décalage horaire t’avais crevé ?
W (la dévorant de baiser) : oui, oui. Mais il suffit que tu sois près de moi pour que je retrouve toute mon énergie !
A : charmeur !
W (plongeant son regard dans le sien) : je suis heureux d’être là avec toi, c’est vraiment important pour moi.
A (joueuse) : oui, je comprends, on n’a pas essayé ce lit !
W : en autre. Pas beaucoup de fille sont venues ici, dans ma chambre !
A : depuis que tu as quitté la maison ?
W : tu me connais trop bien. Non sérieusement, depuis que je ne vis plus ici je peux les compter sur les doigts d’une main celles qui ont franchis cette porte. Et tu seras la dernière !
A : je te prends au mot !
W : pas de souci. Me retrouver dans ma chambre avec toi, j’ai l’impression de redevenir un ado.
A : t’invitais souvent des jeunes filles dans ta chambre ?
W (le regard perdu et tout sourire) : rarement.
A : Wentworth !
W (tout rouge) : ok ! La première fois que j’ai fais l’amour avec une fille c’était ici, voilà !
A (ravi d’avoir la réponse) : ah ! Et… tu en gardes un bon souvenir apparemment ?
W : oui. Et toi, le premier garçon ?
A (toute gênée) : je… bon souvenir aussi !!
W : j’entends du monde en bas. On ferait mieux de descendre avant qu’ils pensent que je ne peux pas me contrôler en ta présence.
A : Wentworth ! Au fait, ta mère semble pas super heureuse que tu sois venus accompagné ?
W : ça va aller. Tu n’y es pour rien. Une fois que vous aurez discutée un peu tout ira mieux.
On redescend et je croise le père de Went qui se presse de venir vers nous. Ses bras m’enserrent et il ne cesse de me dire qu’il est heureux que je sois là. Je remarque la mine embarrassé de Went qui est en même temps heureux que cela se passe ainsi. Il me présente à sa seconde sœur Leight et à ses oncles, tantes et cousins qui sont arrivés entre temps.
J’essaye de faire bonne figure même si la mère de Went ne m’a toujours pas adressée un mot et ne me répond pas lorsque je lui propose mon aide. Je sens une famille ultra soudée, heureuse et je me sens bien parmi eux.
Le repas se fait presque sans encombre outre le fait que là mère de Went parle sans cesse de Mariana, Amie ou pire encore de Cassie. La fameuse ex-copine qui la larguée car sa carrière stagnée et qui l’a fait souffrir. Bien sur sa mère s’arrange pour faire ces réflexions presque à voix basses ou lorsque Went est complètement absorbé par une autre conversation. Je ne mange presque rien, rien ne peux passer. Je suis tête baissée dans mon assiette et je joue avec ma fourchette. Fourchette que je lui planterai volontiers entre les deux yeux si je ne me contrôlais pas un minimum. Je sens des regards compatissants à mon égard puis vient la phrase fatidique du père de Went, je m’y attendais depuis des heures mais là au moment du dessert, j’ai l’impression de défaillir.
Mr Miller : alors, Anna vous enseigner où alors ? Vous vous faites discrète !
A (timidement) : à UCLA.
Mr Miller (surpris) : pardon, mais lors de la soirée à New York, il me semblait que d’autres universités vous voulez, non ?
A : peut-être. Mais en soit le plus important pour moi n’est pas où j’enseigne mais simplement de pouvoir le faire et le faire au mieux.
Maman Miller (un petit sourire en coin) : oui, mais UCLA n’a pas les plus gros budgets du pays pour la recherche donc votre travail doit être limité !
A : vu que c’est la première année, j’enseigne aux premiers cycles et pour la recherche pour le moment je réfléchis aux sujets qui pourraient être intéressants.
Mr Miller (l’appuyant) : oui, c’est normal. Mais…
W (agacé) : bon arrêtez un peu. Elle ne le dira pas donc je vais le faire car elle est beaucoup trop humble pour cela. Mais elle a refusé de travailler à Yale et Princeton. Ça vous va mieux ?
Maman Miller (méfiante) : refuser ces universités cela ne se fait pas. C’est excusez-moi Anna, mais c’est stupide !
Mr Miller : Roxanne ! Elle devait avoir de bonnes raisons pour faire ainsi. Mais bon, on ne sait jamais il lui reste toujours Harvard ? (hilare)
A (gênée) : non, j’ai refusé aussi !
Mr Miller (lui lançant un clin d’œil) : ah ce preux chevalier !!
Je me sens toute gênée par ce qui vient de se passer. Et puis elle n’arrête pas de me lancer des regards froids et sombres. Je me doutais que cela pourrait être difficile mais pas catastrophique. Alors que tout le monde se dirige dans le salon et que les sœurs de Went amènent le café j’essaye de nouer la conversation avec sa mère en l’aidant à débarrasser la table. Je suis ultra concentré sur mes gestes, il ne manquerait plus que je fasse une bourde et ce serait la totale.
Maman Miller (autoritaire) : ne vous donner pas autant de mal Anna. Ce n’est pas la peine !
A : ça ira plus vite si je vous donne un coup de main !
Maman Miller (furieuse) : vous savez très bien de quoi je parle. Vous n’êtes qu’une arriviste et vous croyais qu’en couchant avec mon fils vous avez le bon filon. Je vous préviens il ne sera pas dupe longtemps. Et le petit numéro de je claque tout par amour, mon pays, ma famille, et mon futur boulot très peu pour moi. Vous avez trouvé une bonne occasion de vous installez ici. Et puis refusé Yale et Princeton… vous vous foutez vraiment du monde. Went est aveuglé par votre physique mais pas moi !
A : désolé mais vous vous trompez sur moi. Je ne cherche pas à faire du mal à Wentworth.
Maman Miller : oui c’est cela ! Sachez que vous n’arrivez pas à la cheville de Cassie, elle avait de la classe, elle était intelligente… mais vous !
A (essayant de se maîtriser encore un peu) : ne vous fatiguez pas, je ne suis pas idiote et je sais depuis le début que je ne suis pas la bienvenue chez vous ! Mais ne vous inquiétez pas, vu qu’il ne reste plus que vos enfants et Mr Miller on peut arrêter la mascarade.
Je ferme la porte de la cuisine et fonce directement prendre mon sac pendu dans l’entrée. Je croise Gillian qui me regarde avec stupeur. Les clés de la voiture sont posées sur le petit meuble de l’entrée. Je les prends et ferme doucement la porte derrière moi. Je l’aurais volontiers claquée mais je suis bien élevé tout de même. Je cours presque jusqu’à la voiture et les larmes me montent aux yeux alors que je les contrôlais depuis des heures. Je sens un souffle court derrière moi, des mains qui se posent sur mes épaules et me font faire un volte face.
W (inquiet) : tu vas où ?
A (en larmes) : je crois que c’est assez clair ?
W (lui prenant le visage entre les mains et essuyant les larmes aves ses pouces) : explique-moi ! Qui ? Je ne comprends rien !
A : disons que ta mère et moi on a joué carte sur table Went… ma propre mère ne me dicte pas sa loi alors la tienne ne le fera pas !
W (ouvrant de grands yeux) : non mais… qu’est-ce qui se passe ?
A : je vais te faire simple, je ne suis pas la bienvenue sous son toi donc je m’en vais. Went je t’aime mais je ne me laisserai pas bouffer par ta mère. Je peux en supporter beaucoup mais là… c’en est trop ! Qu’elle passe la soirée à me comparer à Cassie, si parfaite. Qu’elle regrette que tu ne sors pas avec Mariana ou Amie passe mais qu’elle me dise que je me sers de toi et …
W : et quoi ?
A : c’est ta mère et je ne veux pas que tu te prennes la tête avec elle. D’accord.
W (décontenancé) : mais là tu pars ! Et je fais quoi moi ?
A (essayant de sourire) : c’est ta mère et tu ne passes pas beaucoup de temps avec elle alors dort ici et on se retrouve demain, d’accord.
W (en colère) : je n’ai pas le choix. Tu veux que je reste ici de toute façon ! Mais j’aurais le fin mot de cette histoire.
A : je t’aime et je ne veux pas que tu souffres. Mais …W (la prenant dans ses bras) : je comprends… tu ne peux pas rester ! Bon, il y a un hôtel à cinq minutes d’ici. Le W, tu vas là-bas, OK !
A : je suis désolé, je ne voulais pas que cela se passe ainsi !
W (lui ouvrant la portière de la voiture et l’embrassant) : je m’en doute. Fais de beaux rêves. Je t’aime plus que tout.
bon voici la suite du chap 20... je l'ai rallongé du coup!!!
chap 20 :
part2
toujours flash-back... dans la maison de Mme Miller, pour Thanksgiving
Je monte derrière lui ma main dans la sienne. Je sens son regard un peu perplexe mais il essaye de le masquer. Arrivé en haut de l’escalier il me montre de loin, les chambres de ses sœurs, celle de sa mère, les salles de bains… puis il me dirige vers une porte au bout du couloir avec un grand sourire aux lèvres. Je le regarde avec le même ton rieur. Il ouvre la porte et me laisse passer devant lui.
W : bienvenu dans mon entre !
A : merci. Alors voici ta chambre de jeune homme !
W : elle te plaît. Alors qu’il remarque mes yeux qui scrutent un peu partout.
A : pas mal !
Je le vois s’écrouler sur son lit. Et je le trouve encore plus craquant. Ses mains se tendent vers moi et je les attrapes. Il m’attire vers lui et je me retrouve projeter sur son corps. Nos rires commencent à être de plus en plus audibles et francs. Ses mains parcourent mon dos et je sens des frissons se répandre sur moi.
A (résistant) : je croyais que le décalage horaire t’avais crevé ?
W (la dévorant de baiser) : oui, oui. Mais il suffit que tu sois près de moi pour que je retrouve toute mon énergie !
A : charmeur !
W (plongeant son regard dans le sien) : je suis heureux d’être là avec toi, c’est vraiment important pour moi.
A (joueuse) : oui, je comprends, on n’a pas essayé ce lit !
W : en autre. Pas beaucoup de fille sont venues ici, dans ma chambre !
A : depuis que tu as quitté la maison ?
W : tu me connais trop bien. Non sérieusement, depuis que je ne vis plus ici je peux les compter sur les doigts d’une main celles qui ont franchis cette porte. Et tu seras la dernière !
A : je te prends au mot !
W : pas de souci. Me retrouver dans ma chambre avec toi, j’ai l’impression de redevenir un ado.
A : t’invitais souvent des jeunes filles dans ta chambre ?
W (le regard perdu et tout sourire) : rarement.
A : Wentworth !
W (tout rouge) : ok ! La première fois que j’ai fais l’amour avec une fille c’était ici, voilà !
A (ravi d’avoir la réponse) : ah ! Et… tu en gardes un bon souvenir apparemment ?
W : oui. Et toi, le premier garçon ?
A (toute gênée) : je… bon souvenir aussi !!
W : j’entends du monde en bas. On ferait mieux de descendre avant qu’ils pensent que je ne peux pas me contrôler en ta présence.
A : Wentworth ! Au fait, ta mère semble pas super heureuse que tu sois venus accompagné ?
W : ça va aller. Tu n’y es pour rien. Une fois que vous aurez discutée un peu tout ira mieux.
On redescend et je croise le père de Went qui se presse de venir vers nous. Ses bras m’enserrent et il ne cesse de me dire qu’il est heureux que je sois là. Je remarque la mine embarrassé de Went qui est en même temps heureux que cela se passe ainsi. Il me présente à sa seconde sœur Leight et à ses oncles, tantes et cousins qui sont arrivés entre temps.
J’essaye de faire bonne figure même si la mère de Went ne m’a toujours pas adressée un mot et ne me répond pas lorsque je lui propose mon aide. Je sens une famille ultra soudée, heureuse et je me sens bien parmi eux.
Le repas se fait presque sans encombre outre le fait que là mère de Went parle sans cesse de Mariana, Amie ou pire encore de Cassie. La fameuse ex-copine qui la larguée car sa carrière stagnée et qui l’a fait souffrir. Bien sur sa mère s’arrange pour faire ces réflexions presque à voix basses ou lorsque Went est complètement absorbé par une autre conversation. Je ne mange presque rien, rien ne peux passer. Je suis tête baissée dans mon assiette et je joue avec ma fourchette. Fourchette que je lui planterai volontiers entre les deux yeux si je ne me contrôlais pas un minimum. Je sens des regards compatissants à mon égard puis vient la phrase fatidique du père de Went, je m’y attendais depuis des heures mais là au moment du dessert, j’ai l’impression de défaillir.
Mr Miller : alors, Anna vous enseigner où alors ? Vous vous faites discrète !
A (timidement) : à UCLA.
Mr Miller (surpris) : pardon, mais lors de la soirée à New York, il me semblait que d’autres universités vous voulez, non ?
A : peut-être. Mais en soit le plus important pour moi n’est pas où j’enseigne mais simplement de pouvoir le faire et le faire au mieux.
Maman Miller (un petit sourire en coin) : oui, mais UCLA n’a pas les plus gros budgets du pays pour la recherche donc votre travail doit être limité !
A : vu que c’est la première année, j’enseigne aux premiers cycles et pour la recherche pour le moment je réfléchis aux sujets qui pourraient être intéressants.
Mr Miller (l’appuyant) : oui, c’est normal. Mais…
W (agacé) : bon arrêtez un peu. Elle ne le dira pas donc je vais le faire car elle est beaucoup trop humble pour cela. Mais elle a refusé de travailler à Yale et Princeton. Ça vous va mieux ?
Maman Miller (méfiante) : refuser ces universités cela ne se fait pas. C’est excusez-moi Anna, mais c’est stupide !
Mr Miller : Roxanne ! Elle devait avoir de bonnes raisons pour faire ainsi. Mais bon, on ne sait jamais il lui reste toujours Harvard ? (hilare)
A (gênée) : non, j’ai refusé aussi !
Mr Miller (lui lançant un clin d’œil) : ah ce preux chevalier !!
Je me sens toute gênée par ce qui vient de se passer. Et puis elle n’arrête pas de me lancer des regards froids et sombres. Je me doutais que cela pourrait être difficile mais pas catastrophique. Alors que tout le monde se dirige dans le salon et que les sœurs de Went amènent le café j’essaye de nouer la conversation avec sa mère en l’aidant à débarrasser la table. Je suis ultra concentré sur mes gestes, il ne manquerait plus que je fasse une bourde et ce serait la totale.
Maman Miller (autoritaire) : ne vous donner pas autant de mal Anna. Ce n’est pas la peine !
A : ça ira plus vite si je vous donne un coup de main !
Maman Miller (furieuse) : vous savez très bien de quoi je parle. Vous n’êtes qu’une arriviste et vous croyais qu’en couchant avec mon fils vous avez le bon filon. Je vous préviens il ne sera pas dupe longtemps. Et le petit numéro de je claque tout par amour, mon pays, ma famille, et mon futur boulot très peu pour moi. Vous avez trouvé une bonne occasion de vous installez ici. Et puis refusé Yale et Princeton… vous vous foutez vraiment du monde. Went est aveuglé par votre physique mais pas moi !
A : désolé mais vous vous trompez sur moi. Je ne cherche pas à faire du mal à Wentworth.
Maman Miller : oui c’est cela ! Sachez que vous n’arrivez pas à la cheville de Cassie, elle avait de la classe, elle était intelligente… mais vous !
A (essayant de se maîtriser encore un peu) : ne vous fatiguez pas, je ne suis pas idiote et je sais depuis le début que je ne suis pas la bienvenue chez vous ! Mais ne vous inquiétez pas, vu qu’il ne reste plus que vos enfants et Mr Miller on peut arrêter la mascarade.
Je ferme la porte de la cuisine et fonce directement prendre mon sac pendu dans l’entrée. Je croise Gillian qui me regarde avec stupeur. Les clés de la voiture sont posées sur le petit meuble de l’entrée. Je les prends et ferme doucement la porte derrière moi. Je l’aurais volontiers claquée mais je suis bien élevé tout de même. Je cours presque jusqu’à la voiture et les larmes me montent aux yeux alors que je les contrôlais depuis des heures. Je sens un souffle court derrière moi, des mains qui se posent sur mes épaules et me font faire un volte face.
W (inquiet) : tu vas où ?
A (en larmes) : je crois que c’est assez clair ?
W (lui prenant le visage entre les mains et essuyant les larmes aves ses pouces) : explique-moi ! Qui ? Je ne comprends rien !
A : disons que ta mère et moi on a joué carte sur table Went… ma propre mère ne me dicte pas sa loi alors la tienne ne le fera pas !
W (ouvrant de grands yeux) : non mais… qu’est-ce qui se passe ?
A : je vais te faire simple, je ne suis pas la bienvenue sous son toi donc je m’en vais. Went je t’aime mais je ne me laisserai pas bouffer par ta mère. Je peux en supporter beaucoup mais là… c’en est trop ! Qu’elle passe la soirée à me comparer à Cassie, si parfaite. Qu’elle regrette que tu ne sors pas avec Mariana ou Amie passe mais qu’elle me dise que je me sers de toi et …
W : et quoi ?
A : c’est ta mère et je ne veux pas que tu te prennes la tête avec elle. D’accord.
W (décontenancé) : mais là tu pars ! Et je fais quoi moi ?
A (essayant de sourire) : c’est ta mère et tu ne passes pas beaucoup de temps avec elle alors dort ici et on se retrouve demain, d’accord.
W (en colère) : je n’ai pas le choix. Tu veux que je reste ici de toute façon ! Mais j’aurais le fin mot de cette histoire.
A : je t’aime et je ne veux pas que tu souffres. Mais …W (la prenant dans ses bras) : je comprends… tu ne peux pas rester ! Bon, il y a un hôtel à cinq minutes d’ici. Le W, tu vas là-bas, OK !
A : je suis désolé, je ne voulais pas que cela se passe ainsi !
W (lui ouvrant la portière de la voiture et l’embrassant) : je m’en doute. Fais de beaux rêves. Je t’aime plus que tout.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 28/03/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
part3
Dès que la voiture s’éloigne Went fonce vers la maison, la porte claque et il court de partout pour s’expliquer avec sa mère. Il entend bien ses sœurs qui lui disent de sa calmer mais il les entend seulement. Il la retrouve assise dans le salon discutant simplement avec son père. Il est là devant eux et il ne sait même plus par quoi commencer tellement il est décontenancé. C’est comme un mauvais film mais seulement là c’est sa vie et la femme qu’il aime qui vient de partir. Il sait pourquoi elle voulait qu’il reste ici. Pas pour qu’il affronte sa mère, pas pour que la situation dégénère, bien au contraire. Il sait qu’Anna à une haute estime de la famille pour pouvoir provoquer ceci, que pour rien au monde elle ferait en sorte qu’il y est une altercation entre Went et ses parents. Elle sait trop bien ce que coute l’absence ou le manque de communication des parents. Mais il est là, prêt à faire ce qu’elle ne voudrait pas. Les mains dans les poches.
Maman Miller (levant la tête vers son fils) : oui Went !
W (le regard haineux) : tu es contente de toi ! Elle est partie !
Mr Miller : quoi ?
W : Anna est partie. Elle ne reste pas ici !
Maman Miller (toute douce) : comment cela parti ? Vous vous êtes disputé chéri ?
W : non rassures toi, entre nous tout va très bien c’est toi le problème !
Mr Miller : Went !
W (enragé) : Maman lui a gentiment expliqué qu’elle n’était pas la bienvenue ici, qu’elle se servait de moi…
Mr Miller (outré) : Roxane, tu n’as pas fais cela ?
Maman Miller (sortant de ces gonds) : mais vous êtes tous aveugles ! Went cette fille n’est pas faites pour toi, elle est trop ambitieuse, arriviste… quand elle sera arrivé à ses fins elle te jettera ! Crois-moi… Cassie est une femme bien !
W : Cassie, bien...Mais arrêtes un peu… je comprends que ce soit Anna ou une autre cela aurait était pareil, c’est juste qu’elles ne sont pas Cassie !
Maman Miller : elle a divorcé tu le savais !
W (crachant son venin) : non mais tu n’es pas croyable. Juste deux petites choses que tu oublies c’est elle qui m’a quitté car ma carrière n’était pas ce qu’elle espérait et elle veut me revoir depuis que je fais la une des journaux… donc au niveau hypocrisie !!
Maman Miller : oui mais elle te donnera un environnement stable, des enfants !!!
W (les larmes aux yeux) : tu te fous de moi, Cassie à avorter de mon enfant !
Mr Miller (scotché) : quoi ? Tu ne nous en as jamais parlé !
W : non, et pourquoi ! Quand elle m’a quitté elle état enceinte et elle a avortée ! Alors elle est toujours aussi bien maman ?
Maman Miller : je… mais Anna je n’ai pas confiance en elle. Refuser Yale et Princeton, elle se fout de toi !
Mr Miller (calme) : non, elle dit la vérité. Ces universités lui auraient tout donné pour l’avoir. La bonne question est de savoir pourquoi elle les a refusées, Went ?
W (rouge de colère) : pour moi. Elle les a refusées pour qu’on vive ensemble ! Putain mais maman, tu crois quoi… tu crois que je n’allais rien voir, que j’allais te laisser m’éloigner d’elle sans rien dire !
Maman Miller (acide) : je ne veux pas d’elle ! Amie et Mariana sont des filles très bien !
W : oui mais ce ne sont que des amis. Et, je ne te laisse pas le choix c’est elle et c’est tout !
Maman Miller : tu te rends compte de la manière dont tu me parles !
W (peiné) : tu ne m’en laisses pas le choix. Et si elle n’est pas la bienvenue ici, je n’ai rien à faire ici non plus !
Maman Miller : Went reste ici ! Elle te …
W (la coupant pour ne pas en entendre plus) : maman, arrêtes. Je passerai demain matin ! Bonne nuit. Embrassant ses sœurs.
Je suis enfouie sous les couvertures et je n’arrive pas à me réchauffer. L’odeur de Went me manque. Je pleurs sans vraiment savoir pourquoi. Je me sens si bête, si nulle. Je me dis que j’aurais du affronter d’avantage mais pourquoi faire. Je me tourne et me retourne dans ce lit et je ne peux m’empêcher de voire son visage avec ses yeux humides alors que je lui disais au revoir. Je m’en veux tellement que cela se passe aussi mal. Je suis perdu dans mes pensées quand j’entends un bruit bizarre au niveau de la porte. Je panique complet.je suis ici toute seule et je sens une boulle d’angoisse me prendre l’estomac. Assise dans le lit, je n’ose plus bouger sauf lorsque je distingue la silhouette qui me fait face dans la pénombre. Je le vois se déshabiller sans rien dire. Il se couche auprès de moi. Je n’ose plus rien dire ou faire. Il me rapproche de lui et m’enserre dans ses bras. Sa bouche se colle dans ma nuque.
W : je suis désolé.
A : je t’avais demandé de …
W : rester, je sais… mais je ne peux pas te laisser seule ici. Je suis trop malheureux sans toi.
A : vous vous êtes engueulés.
W : un peu.
A : Went, je ne veux pas que…
W (posant son index sur sa bouche) : ce n’est pas de ta faute. Elle a été trop loin. Et je ne ferais pas de choix. Ma vie est avec toi. Tu ferais bien de dormir un peu.
A : merci.
W : personne de ne te feras jamais de mal tant que je serai là. Je te le promets.
Depuis notre réveil Went m’explique la dispute d’avec sa mère. Je lui confie alors ce qu’elle m’avait dit et les réflexions que j’avais endurées. On en vient malheureusement tout les deux à la même conclusion, elle ne veut pas que Went souffre. Mais pourquoi ? Went m’avoue alors que je suis la première fille qu’il présente à ses parents depuis Cassie, soit depuis quatre ans presque. Ils sont au courant de ses escapades mais là ça a une valeur toute autre. Je le convaincs de revenir avec lui. Il ne veut plus que je mette les pieds chez sa mère mais jamais je ne le laisserai faire ce qu’il s’apprête à faire : couper les ponts. Après maintes discussions il me laisse venir. Je prétexte de devoir dire au-revoir à ses sœurs mais il sait très bien que j’ai une idée derrière la tête. On arrive et je sors immédiatement de la voiture. Nos mains se rejoignent et je sens bien son regard de biais, inquisiteur. On entre sans même sonner. Ses sœurs nous regardent avec une profonde tristesse dans le regard. Elles savent bien ce qu’il se trame. J’aperçois alors ses parents assis dans le salon. J’ai l’impression que son père est remonté contre elle. Et les regards qu’échangent Went et ses sœurs me confortent dans mon opinion. Je laisse la main de Went et me dirige vers eux, sous le regard catastrophé de Went.
A : excusez-moi de vous déranger, mais je tenais à m’excuser pour hier. Je pense qu’il serait bien que l’on parle un peu Madame.
Maman Miller : euh ! Oui, bien sur. Suivez-moi.
Je croise alors le regard sombre de Went. Il m’en veut de ce que je viens de faire. Mais je lui lance un clin d’œil et il lève aussi sec les yeux au ciel. On rentre dans ce qui doit être son bureau.
Maman Miller : c’est plutôt moi qui devrais vous en présenter.
A : je vous demande une seconde. Voilà, j’aime Went plus que tout et je ne voulais pas qu’il s’engueule avec vous et je veux encore moins que cela aille plus loin. Si je suis là, ce n’est pas par hypocrisie, c’est pour lui. Je ne veux pas qu’il fasse de choix, il n’a pas à en faire. Ce que je vous propose c’est que l’on essaye de faire au mieux et que Went sois heureux. Vous pouvez penser ce que vous voulez de moi, je m’en fous. Vous ne faites aucune remarque et je tiendrai mon rôle de copine exemplaire et serviable. Ça vous va ?
Maman Miller : vous pensiez vraiment qu’il resterait ici cette nuit !
A : non, mais c’était à lui de faire son choix. Je ne voulais pas lui demande de me suivre ! Ce n’est pas mon toutou !
Maman Miller : j’apprécie votre franchise et je dois vous avouer que j’ai rarement vu mon fils autant tenir à quelqu’un. Mais si cela ce passe dans votre famille, vous ferais quoi ? S’ils rejettent Went !
A : j’ai pris un avion et cela fait six moi que me mère ne décroche plus son téléphone quand je l’appelle.
Maman Miller : et votre père ?
A : il est mort donc je n’aurais pas cette chance de lui présenter.
Maman Miller : je suis désolé. Je ne savais pas. Je comprends pourquoi vous êtes prêtes à faire ce compromis. On ferait mieux de les rejoindre avant qu’ils ne s’inquiète trop. Et puis qui c’est avec le temps je pourrais vous trouver des qualités !
A : oui, moi aussi !
Fin flash-back.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
merci pour ces suites enneade
avec la maman, ça n'a pas été facile
et went qui a failli avoir un enfant avec cette cassie
trop bête cette fille, elle doit s'en mordre les doigts maintenant , bien fait
la suite !!!!!!!!!!
avec la maman, ça n'a pas été facile
et went qui a failli avoir un enfant avec cette cassie
trop bête cette fille, elle doit s'en mordre les doigts maintenant , bien fait
la suite !!!!!!!!!!
collen- Déchiffre l'origami
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rencontres imprévues CHAP20 part 2 et 3 (16/7)
Ouf! Elles se réconcilient enfin!!!
Mets vite une suite!!!!!!!
Mets vite une suite!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
magnifique suites
whaou !!!!! c 'est violent avec la mere de went
mais ouf sa c 'est arranger a peut pres !!!!!
went a failli avoir un bebe avec cassie !!!!!
j ' en redemande encore , encore
met vite la suite
whaou !!!!! c 'est violent avec la mere de went
mais ouf sa c 'est arranger a peut pres !!!!!
went a failli avoir un bebe avec cassie !!!!!
j ' en redemande encore , encore
met vite la suite
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
Ouh là, effectivement, bie avant le mariage çà a été chaud !
Bon, çà à l'air arrangé aujourd"hui, c'est le principal !
J'ai récupéré mes deux suites de retard et je dois te dire que je navigue à travers tes aventures avec toujours autant de délices !
J'adore ton style d'écriture, très fluide, et je suis fan, à fond !
Donc merci pour ces deux longues suites merveilleuses, je trépigne d'impatience d'attendre la suivante !
Gros
Bon, çà à l'air arrangé aujourd"hui, c'est le principal !
J'ai récupéré mes deux suites de retard et je dois te dire que je navigue à travers tes aventures avec toujours autant de délices !
J'adore ton style d'écriture, très fluide, et je suis fan, à fond !
Donc merci pour ces deux longues suites merveilleuses, je trépigne d'impatience d'attendre la suivante !
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soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
alors pour mes quelques fidèles qui laissent qui des comms
CHAP 21 :
http://www.radioblogclub.fr/open/97878/alanis_morissette/alanis%20morissette%20-%20hands%20clean(en sourdine)
Depuis près d’une heure Went ne cesse de me tanner pour qu’on parte. Il est juste 14h. je commence à me demander ce qu’il a bien pu préparer. Avant même que je m’en rende compte je me retrouve bloqué dans ses bras. Il me capture totalement et me projette sur son épaule. Je suis comme abasourdie par son audace. Je le vois tout sourire alors que je fulmine sur place. Il me porte jusqu’à un taxi et nous voilà ainsi parti. Je suis morte de rire alors qu’il est totalement stressé.
A : fallait me dire qu’on allait être en retard ?
W (énervé) : avec toi, les surprises c’est impossible.
A (vexée) : si … promis, je ne dirais plus rien.
W (la prenant dans ses bras) : non, c’est juste que j’aimerai bien pouvoir profiter de ma femme à présent.
On ne cesse de se couvrir du regard. Le taxi s’arrête devant les portes d’embarquement de l’aéroport. Je vois Went enfoncer une casquette sur la tête et mettre ses lunettes. Chaque fois je trouve se petit rituel amusant. Il me tire littéralement hors du véhicule et m’entraîne dans une course vers le guichet d’embarquement. L’hôtesse nous regarde avec étonnement et ne peut s’empêcher de demander timidement un autographe. Je vois ces yeux s’écarquiller quand elle remarque la main gauche de Went qui lui tend le papier. Je ne peux m’empêcher de sourire alors que lui remarque à peine. Il m’entraîne de nouveau avec lui vers un avion dont je ne connais pas la destination sans aucune valise. Je commence à me demander ce qu’il peut bien préparer. Le steward nous installe en première classe. Le compartiment est presque vide. On s’installe, il me laisse la place près du hublot. je le regarde inquiète et il me fait se sourire que j’adore, celui qui dit qu’il est content de son coup…
W (attachant sa ceinture) : on a failli le rater !
A : si j’avais été au courant on n'aurait pas eut besoin de courir ! Et puis, je me demande bien où on peut aller sans valises ?
W (hilare) : les valises, je les aie envoyées par coursier. Elles ont étaient chargées dans la soute.
A (apeurée) : tu as fait ma valise !
W : oui !
A : j’aimerai bien savoir ce que tu nous prépare monsieur Miller ?
W (l’embrassant) : rien qui ne te plaira pas !
Steward : bienvenue à bord du vol 8844 de United opéré par la Lufthansa au départ de Los Angeles et à destination de Francfort. Les 9312 Km s’effectueront à bord d’un boeïng 747-400. Nous arriverons demain à 10h25 heure locale, soit un vol de 10h40. …..
Je regarde Went avec de grands yeux alors qu’il rigole comme une baleine.
A (inquiète) : Francfort ?en Allemagne ?
W (hyper convaincu) : trois semaines ? Il y a beaucoup de choses à voir là-bas, tu verras… la brochure était super intéressante !
A : ce n’est pas beau de se moquer de moi !
W (lui prenant la main) : c’est juste une escale.
A : ah ! et la suite…
W : en temps et en heure. Tu as confiance ?
A (posant sa tête contre son épaule) : bien sur. Du moment ou l’on est tous les deux de toute façon cela me va !
W : je sais. Allez mets-toi à l’aise. Le vol va être long.
On essaye de regarder des DVD, de discuter mais la fatigue nous tombe dessus. On s’endort paisiblement dans les bras l’un de l’autre sans même faire attention à ce qui peut nous entourer. Ma tête calée sur son torse, mes bras l’entourant. On s’est affalé sur les trois sièges. Nos jambes entremêlées. Sa tête repose sur l’accoudoir ou il a mis sa veste en boule. Ses bras tout autour de moi. On s’endort ainsi.
L’hôtesse nous réveille doucement pour nous proposer de petit-déjeuner. Je la regarde avec effroi. Je déteste que l’on me réveille. Went relève un sourcil en la voyant. Il se relève à peine alors que je suis toujours calé contre lui et lui demande deux cafés, un jus d’orange et un pamplemousse. Il remplit mon front de baiser et immédiatement je me sens mieux. On se sourit tel deux amants transis. Je n’arrive pas à croire que le simple fait d’être auprès de lui est si bon. Nos petits déjeuners arrivent et je constate avec effroi que nous sommes bien obligés de nous défaire l’un de l’autre. Il a toujours ce regard sur moi. Je m’étire, ne levant en l’air mes bras.
W (le regard doux) : bien dormis ?
A (finissant de s’étirer) : oui et toi ?
W : pas mal. Promis plus personne ne te réveillera pendant ces trois semaines !
A : je ne suis pas si désagréable que cela au réveil !
W (riant) : tu n’as pas vu les yeux que tu lui as fait !
A (minaudant) : je suis un peu grognon au réveil, j’avoue. Sauf lorsque c’est toi ?
W (le regard plein de malice) : oui et je me demande bien pourquoi ?
A : car toi tu me réveille en douceur, c’est agréable.
W : je retiens.
On reste assis en biais, l’un face à l’autre. Je commence à ne plus supporter d’être dans cet avion, enfermé.
W (remarquant son impatience) : ne t’inquiète pas on arrive.
A : j’espère juste que le prochain sera plus rapide !
W (compatissant) : une heure tout au plus !
A (ouvrant grans les yeux) : ah… alors qu’est-ce qui peut être à une heure ou deux de Francfort…
W (amusé) : beaucoup de chose ! l'embrassant.
CHAP 21 :
http://www.radioblogclub.fr/open/97878/alanis_morissette/alanis%20morissette%20-%20hands%20clean(en sourdine)
Depuis près d’une heure Went ne cesse de me tanner pour qu’on parte. Il est juste 14h. je commence à me demander ce qu’il a bien pu préparer. Avant même que je m’en rende compte je me retrouve bloqué dans ses bras. Il me capture totalement et me projette sur son épaule. Je suis comme abasourdie par son audace. Je le vois tout sourire alors que je fulmine sur place. Il me porte jusqu’à un taxi et nous voilà ainsi parti. Je suis morte de rire alors qu’il est totalement stressé.
A : fallait me dire qu’on allait être en retard ?
W (énervé) : avec toi, les surprises c’est impossible.
A (vexée) : si … promis, je ne dirais plus rien.
W (la prenant dans ses bras) : non, c’est juste que j’aimerai bien pouvoir profiter de ma femme à présent.
On ne cesse de se couvrir du regard. Le taxi s’arrête devant les portes d’embarquement de l’aéroport. Je vois Went enfoncer une casquette sur la tête et mettre ses lunettes. Chaque fois je trouve se petit rituel amusant. Il me tire littéralement hors du véhicule et m’entraîne dans une course vers le guichet d’embarquement. L’hôtesse nous regarde avec étonnement et ne peut s’empêcher de demander timidement un autographe. Je vois ces yeux s’écarquiller quand elle remarque la main gauche de Went qui lui tend le papier. Je ne peux m’empêcher de sourire alors que lui remarque à peine. Il m’entraîne de nouveau avec lui vers un avion dont je ne connais pas la destination sans aucune valise. Je commence à me demander ce qu’il peut bien préparer. Le steward nous installe en première classe. Le compartiment est presque vide. On s’installe, il me laisse la place près du hublot. je le regarde inquiète et il me fait se sourire que j’adore, celui qui dit qu’il est content de son coup…
W (attachant sa ceinture) : on a failli le rater !
A : si j’avais été au courant on n'aurait pas eut besoin de courir ! Et puis, je me demande bien où on peut aller sans valises ?
W (hilare) : les valises, je les aie envoyées par coursier. Elles ont étaient chargées dans la soute.
A (apeurée) : tu as fait ma valise !
W : oui !
A : j’aimerai bien savoir ce que tu nous prépare monsieur Miller ?
W (l’embrassant) : rien qui ne te plaira pas !
Steward : bienvenue à bord du vol 8844 de United opéré par la Lufthansa au départ de Los Angeles et à destination de Francfort. Les 9312 Km s’effectueront à bord d’un boeïng 747-400. Nous arriverons demain à 10h25 heure locale, soit un vol de 10h40. …..
Je regarde Went avec de grands yeux alors qu’il rigole comme une baleine.
A (inquiète) : Francfort ?en Allemagne ?
W (hyper convaincu) : trois semaines ? Il y a beaucoup de choses à voir là-bas, tu verras… la brochure était super intéressante !
A : ce n’est pas beau de se moquer de moi !
W (lui prenant la main) : c’est juste une escale.
A : ah ! et la suite…
W : en temps et en heure. Tu as confiance ?
A (posant sa tête contre son épaule) : bien sur. Du moment ou l’on est tous les deux de toute façon cela me va !
W : je sais. Allez mets-toi à l’aise. Le vol va être long.
On essaye de regarder des DVD, de discuter mais la fatigue nous tombe dessus. On s’endort paisiblement dans les bras l’un de l’autre sans même faire attention à ce qui peut nous entourer. Ma tête calée sur son torse, mes bras l’entourant. On s’est affalé sur les trois sièges. Nos jambes entremêlées. Sa tête repose sur l’accoudoir ou il a mis sa veste en boule. Ses bras tout autour de moi. On s’endort ainsi.
L’hôtesse nous réveille doucement pour nous proposer de petit-déjeuner. Je la regarde avec effroi. Je déteste que l’on me réveille. Went relève un sourcil en la voyant. Il se relève à peine alors que je suis toujours calé contre lui et lui demande deux cafés, un jus d’orange et un pamplemousse. Il remplit mon front de baiser et immédiatement je me sens mieux. On se sourit tel deux amants transis. Je n’arrive pas à croire que le simple fait d’être auprès de lui est si bon. Nos petits déjeuners arrivent et je constate avec effroi que nous sommes bien obligés de nous défaire l’un de l’autre. Il a toujours ce regard sur moi. Je m’étire, ne levant en l’air mes bras.
W (le regard doux) : bien dormis ?
A (finissant de s’étirer) : oui et toi ?
W : pas mal. Promis plus personne ne te réveillera pendant ces trois semaines !
A : je ne suis pas si désagréable que cela au réveil !
W (riant) : tu n’as pas vu les yeux que tu lui as fait !
A (minaudant) : je suis un peu grognon au réveil, j’avoue. Sauf lorsque c’est toi ?
W (le regard plein de malice) : oui et je me demande bien pourquoi ?
A : car toi tu me réveille en douceur, c’est agréable.
W : je retiens.
On reste assis en biais, l’un face à l’autre. Je commence à ne plus supporter d’être dans cet avion, enfermé.
W (remarquant son impatience) : ne t’inquiète pas on arrive.
A : j’espère juste que le prochain sera plus rapide !
W (compatissant) : une heure tout au plus !
A (ouvrant grans les yeux) : ah… alors qu’est-ce qui peut être à une heure ou deux de Francfort…
W (amusé) : beaucoup de chose ! l'embrassant.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
Merci Enneade! C'est quoi sa surprise qui commence par un plan foireux? Venise?
T'inquites, je te lis toujours!
T'inquites, je te lis toujours!
Astrid- En route pour la frontière
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Date d'inscription : 26/02/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
Waouh !! on est super gâté par toutes ces suites !
Merci !
Ah ! je les adore ! et went... on aimeraient toutes avoir un homme comme ça a nos côtés
je me demande où ils vont pour leur voyage de noce ! voyons voir... un aéroport proche de Francfort... Stuttgart ?? cologne ??
et j'ai aussi adoré la première rencontre entre Anna et la mère de went ! très... explosif
heureusement qu'elles s'entendent mieux maintenant
j'ai hâte de lire la suite !
Merci !
Ah ! je les adore ! et went... on aimeraient toutes avoir un homme comme ça a nos côtés
je me demande où ils vont pour leur voyage de noce ! voyons voir... un aéroport proche de Francfort... Stuttgart ?? cologne ??
et j'ai aussi adoré la première rencontre entre Anna et la mère de went ! très... explosif
heureusement qu'elles s'entendent mieux maintenant
j'ai hâte de lire la suite !
micko- Retrouve Steadman
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Localisation : dans la loge de Mr Miller
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
Je me demande ou est ce qu'ils vont aller
Mets la suiiiiiite, tyrès très vite stp, je veux savoir c'est quoi la surprise que Went lui prépare
Mets la suiiiiiite, tyrès très vite stp, je veux savoir c'est quoi la surprise que Went lui prépare
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
MOI JE SAIS ILS VONT VOIR LA MERE DE ANNA !!!!!!
BON, ENNEADE, NE PLEURE PAS, JE SUIS TOUJOURS AUTANT FAN MAIS JE N'AVAIS PAS VU QUE TU AVAIT MIS DES SUITES. JE SAIS JE SUIS NUL !!!!
JE VIENS DE RATTRAPER MON RETARD (4 SUITES)
ET JE KIFFE TOUJOURS AUTANT TON STYLE
MOI, JE VEUX LA SUITE, JE VEUX VOIR SI J'AI RAISON.
BON, ENNEADE, NE PLEURE PAS, JE SUIS TOUJOURS AUTANT FAN MAIS JE N'AVAIS PAS VU QUE TU AVAIT MIS DES SUITES. JE SAIS JE SUIS NUL !!!!
JE VIENS DE RATTRAPER MON RETARD (4 SUITES)
ET JE KIFFE TOUJOURS AUTANT TON STYLE
MOI, JE VEUX LA SUITE, JE VEUX VOIR SI J'AI RAISON.
Erin- Admis à l'infirmerie
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Age : 45
Date d'inscription : 20/02/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
La mère d'Anna?
C'est bizarre comme voyage de noces, non?
C'est bizarre comme voyage de noces, non?
Astrid- En route pour la frontière
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Date d'inscription : 26/02/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
c'est surement une escale avant le vrai voyage de noce !!!!!
Erin- Admis à l'infirmerie
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Age : 45
Date d'inscription : 20/02/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
Alalalalala ma tiiitiiineeee je te liis tite a tiiii mais la taie tout luu dun coup jadoore suis avec eux la suis ANNA même que!!! !!!!
MOI je pense aussiq uils vont voir sa mère avant daller ailleurs mais bon après cest mon aviiiis!!!!!!!!!!! Técriis toujours ausssi biien piiis olalala tu veux pas réincrusté un personnage qui sappel Aurélie hein diit ???
MOI je pense aussiq uils vont voir sa mère avant daller ailleurs mais bon après cest mon aviiiis!!!!!!!!!!! Técriis toujours ausssi biien piiis olalala tu veux pas réincrusté un personnage qui sappel Aurélie hein diit ???
miss_sa_69- De retour à Chicago
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Age : 34
Localisation : Seule, et bien.....
Date d'inscription : 01/02/2007
Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
la mère d'Anna... non tout de même... ils ont réussis à la faire venir au mariage!! même si Anna n'en parle pas...
et Sinon Astrid... tu es une éternelle romantique, comme moi...
chap 22 :
Voilà presque deux heures que l’on attend dans l’aéroport et je trépigne dans tous les sens. On est toujours dans la zone d’embarquement et je regarde tous les vols en partance. Il y en a tellement et qui vont à tellement d’endroit. Je le regarde et il ne peut s’empêcher de sourire. J’ai l’impression que cela l’amuse de voir mon impatience et mon obstination à chercher. Je me rends compte qu’il à juste sa casquette. Il y a bien quelques regards sur lui mais il n’y prête pas attention et on nous laisse tranquille. Faut dire qu’il est assis dans un coin et il me fixe alors que je suis debout face aux écrans où les vols sont annoncés. Je le vois se relever. Il cache mes yeux avec sa main et me plaque contre son torse. Je le sens me pousser un peu en avant et j’avance en souriant. Jamais je n’aurais crut ne pas trouver. Je penser que j’y arriverai... Mais j’avoue j’ai perdue. J’imagine la tête des gens autour de nous et je suis morte de rire. Je vois d’ici le tableau… Wentworth Miller avec une jeune femme dans les bras dans un aéroport, à qui il cache les yeux… en plus il doit être aussi mort de rire. On doit arriver vers l’hôtesse. Oui, c’est cela !
Hôtesse : vos papiers s’il vous plaît ?
W : oui tenez… mais chut ! ! S’il vous plaît !
Hôtesse (hilare) : d’accord si j’ai un autographe !
W : pas de problème. Tenez.
Hôtesse : merci et bon voyage.
Voilà on bouge de nouveau… j’aurais du le parier, il s’est mis l’hôtesse dans la poche, moi qui pensait glaner des infos…je sens que l’on marche sur la passerelle d’embarquement. Alors que je me souvienne… quels vols étaient sur le point de partir ? Paris, Londres, Marrakech, Venise, Rome, Moscou… la Crète, oui… et Ténériffe… bon en fait le choix est vaste… Londres, non ! Pas possible quoique avec lui ! ! On monte dans l’avion. J’entends juste qu’il souffle un « chut » sûrement à l’hôtesse. Il m’installe et me libère enfin. Je le regarde amusé… je suis là assise dans un avion et je ne sais pas où je vais. Il me regarde avec ce regard qui me dit qu’il est content de lui, d’avoir réussi ! ! Alors que moi je ne sais plus quoi penser. Il m’attache ma ceinture… embrasse mon front…
Hôtesse : bienvenue à bord du vol 9086 de Dominiti opéré par la Lufthansa au départ de Francfort. Le vol s’effectuera à bord d’un Airbus A321. Nous arriverons à 13h40 heure locale, soit un vol de 1h15 à destination de Venise…..
Je le regarde abasourdi. Je ne sais pas si j’ai bien entendu. Il m’emmène à … non ! Je scrute son visage et comprend que je ne rêve pas. Je lui saute littéralement eu coup. Je couvre son visage de baiser. Je ne peux m’empêcher de parler à une vitesse folle. Et il est explosé de rire. Tout le monde nous regarde et pour la première fois depuis que l’on est ensemble, je m’en fous… seul lui est important.
W : je dois y voir que cela te plaît ?
A : tu es fou… c’est énorme…Venise, nous deux…
W : tiens. Lui tendant les guides touristiques.
A : tu y es déjà allé ?
W : oui une fois pour le festival. « Human Stain » était présenté.
A (déçue) : ah !
W (voyant son trouble) : c’était pour le boulot, donc je n’ai rien vu… et puis je compte sur toi pour être mon guide !
A (heureuse) : d’accord. Mais tu sais à quoi tu t’exposes en m’emmenant là-bas !
W (désappointé) : cinq jours à courir de partout, à voir tous les bâtiments, les musées… à n’entendre parler que d’architecture, d’histoire et d’art !
A (guillerette) : bon, je vois que tu sais où tu mets les pieds ! Alors on a cinq jours à Venise et après ?
W (haussant les épaules) : je ne sais pas !
A (l’embrassant) : rien ne pourra être mieux que Venise avec toi, de toute façon !
W (les yeux pétillants) : d’accord je relève le pari !
A : je t’aime. C’est la plus belle surprise que tu pouvais me faire.
W (posant son front contre le sien) : j’ai vraiment envie que l’on découvre cette ville ensemble. Comme si on était deux touristes ordinaires !
A (chagrinée) : tu sais bien …
W : chut. L’embrassant.
On vient d’atterrir et je vois avec surprise que Went a bien nos deux valises avec lui. Je suis sidéré que cela soit aussi simple. La vue du ciel de la Lagune de Venise est fantastique. Je suis comme une puce, je regarde de partout, je scrute tout autour de moi. J’ai dévoré les guides qu’il a achetés. On dirait une gamine devant sa première Barbie… sauf que moi c’est un Ken ! ! Je me laisse guider et je le sens si serein. Blotti conte lui, on traîne chacun une valise… deux vrais touristes ! ! Je le vois se diriger vers les bateau-taxi.
A (récalcitrante) : Went tu es dingue, ça coûte une fortune !
W (amusé) : de quoi tu t’occupes ! Et puis je ne compte pas y aller à la nage !
A : tu veux dire que l’hôtel est sur la Lagune ?
W (lui tendant la main pour qu’elle monte) : tu auras que ce qu’il y a de mieux. Allez montez madame !
Assise dans ses bras, je laisse mon esprit divaguer alors que Venise s’offre à nous. Il a enlevé sa casquette. On est que tous les deux… avec le chauffeur ! Mes mains ne cessent de caresser ses avant-bras qui m’encerclent et sa nuque. Je le sens si serein, si apaisé. Le bateau s’engouffre dans un petit canal et là je constate avec admiration le choix de Went. Le Liassidi Palace. Un hôtel de luxe mais légèrement caché, qui ne s’offre pas aux premiers abords. On débarque sur le petit ponton privée de l’hôtel. Je ne sais pas vraiment où je suis, ce qui se passe… je me laisse bercer par les événements.
http://www.liassidipalacehotel.com/fr
Réceptionniste : Monsieur et Madame Miller bienvenu.
W : merci.
Réceptionniste : je vais vous montrer votre chambre.
W : merci. Je voudrais…
Réceptionniste : ne vous inquiétez pas, la discrétion est de rigueur. Je n’ai aucune chambre à votre nom !
W : merci. Je ne veux qu’aucun appel ne nous soit passé.
Réceptionniste : pas de problème. De toute façon vous n’êtes pas ici… souriant.
On monte au troisième étage et dernier et je me retrouve au milieu d’une suite vertigineuse. Simple mais super classe. Un petit salon avec des fauteuils, canapés… puis la chambre avec la salle de bain entièrement en marbre, la baignoire balnéo… je regarde Went et me rends compte que le réceptionniste est déjà parti. Je m’avance vers une des fenêtres et constate que l’on donne sur le petit canal que l’on vient de prendre en taxi… puis à l’horizon, le Grand Canal.
W (attentif) : ça te plaît ?
A (désorientée) : si… mais tu te poses la question ? Lui sautant dessus et enroulant ses jambes autour de sa taille. Je t’aime, bien sur que cela me plaît ! C’est même trop. J’ai peur d’abîmer.
W (ravi) : je pensais que les grands hôtels guindés ça ne serait pas ton truc !
A (ouvrant de grands yeux) : pourquoi celui-ci ne l’est pas ?
W : disons qu’il n’est pas à la vue de tous et puis il est tout petit. Tu y seras une vraie princesse ! Et puis… je me disais qu’un palais du XVe siècle pourrait t’impressionner !
A (les larmes aux yeux) : XVe… euh ! ! Je ne sais pas quoi dire. C’est le plus beau des cadeaux que tu pouvais me faire. Etre ici tous les deux.
Il me montre sur un plan où l’on se situe et je sens mon cœur rater un battement quand je me rends compte que l’on est à deux minutes à pieds de la place St Marc et que tout s’offre à nous. Il a choisi l’emplacement de rêve.
W (réjoui) : bon on y va ! Tu me fais visiter !
A : d’accord. Lui tendant sa casquette.
W (lasse) : laisse, je n’ai pas envie.
A (lui prenant la main) : comme tu veux.
5 jours plus tard :
On a passé 5 jours de rêves… je ne sais plus trop quoi penser de cet homme merveilleux ! Il accepte voir m’encourage à sillonner la ville dans tous les sens… je me demande qui de nous deux est le plus assoiffé de connaissances ! Il me fait découvrir pleins de petits restaurants super mignons… il a choisi un hôtel sans pension exprès… comme cela on est obligé de sortir tous les soirs ! Et toutes nos nuits sont … époustouflantes. Je refaits mes valises avec mélancolie. Je note dans un coin de ma tête les moindres détails de cet endroit, j’en respire le parfum… tout est si enivrant… le personnel fut adorable, personne ne nous a importuné, pas un autographe, rien. Went s’est presque toujours promené sans casquette, à la rigueur avec ses lunettes mais c’était vraiment à cause du soleil. Et je ne sais pas, c’est peut-être la magie de Venise mais personne n’est venu l’importuné. J’ai bien vu des regards ébahi sur son passage mais rien de plus. On était des touristes parmi tant d’autre. Et je crois que cela nous a fait un bien fou à tous les deux. On a eut des fous rires énormes, on s’est perdu un nombre incalculable de fois !! Mais je n’ai jamais était aussi heureuse.
Flash-back :
Cela fait une journée que nous sommes à Venise et on a prévu de faire deux grosses visites : la basilique St Marc et le palais des Doges à côté.
(Liens vers sites pour celles qui ne connaissent pas… c’est super bien expliqué mais surtout les photos sont magnifiques… ne lisez peut-être pas mais regardez les photos !! pour avoir un aperçu)
http://www.e-venise.com/palais-venise/palais_des_doges_ducal_venise_1.htm
http://www.e-venise.com/eglises-venise/saint_marc_venise_1.htm
Went veut absolument commencer par la Basilique. On y reste presque la matinée. Il y a tellement de chose à voir. J’ai l’impression de faire un cours. Il m’écoute religieusement. Toutes ses mosaïques de partout, la richesse des ornements et cette sensation de retenue lorsque l’on y pénètre. Il me pose pleins de questions et je m’empresse d’y répondre. J’essayer de faire simple pour ne pas trop l’ennuyer mais en fait il est super curieux. Et je pense aussi qu’il aime partager ces moments avec moi. Il sait que mon cerveau est en ébullition, que mes yeux ne savent plus trop par où regarder.
On va ensuite visiter le Palais des Doges. Il veut absolument faire la visite des « itinéraires secrets »… on dirait un gosse. Vu que c’est « secret », cela doit être bien !! Seulement l’unique visite de cet après-midi est en français. Je le regarde désolé, je me sens super mal. Il m’enserre alors dans ses bras et me susurre à l’oreille : « tu me traduiras ». Je le regarde étonné. On prend nos billets et on se dirige vers le groupe qui est constitué d’une dizaine de personnes. Ils le regardent tout de même avec un peu de stupeur mais lui semble tout à fait ailleurs. Je me dirige vers la guide.
A (embarrassée) : excusez-moi, mais voilà. Mon am… mari ne parle pas super bien français donc je le traduirais si cela ne vous dérange pas trop.
Guide : non pas de souci. Mais c’est assez complexe tout de même… vous êtes sur d’y arriver ! relevant un sourcil
A (enjouée) : oui je devrais m’en sortir.
Je retourne vers Went et on se lit de nouveau. Je vois alors les regards des autres qui se posent sur nous. On se regarde un peu gêné mais aussi dépité. La visite se fait tout naturellement. Je traduis et complète pour Went. Vu que je lui susurre à l’oreille la visite, cela nous permet une promiscuité encore plus plaisante. Il me regarde un peu troublé car même si il ne maîtrise pas assez bien le français pour comprendre toute la visite, il se rend compte que je rajoute pleins de détails. On arrive vers la visite des anciennes prisons et sans même le faire attention toutes les personnes avec nous se retournent souriantes vers Went. Il les regarde avec un naturel déconcertant.
W (en français) : j’ai pas plans. Promis !
On éclate tous de rire. Tout le monde est sous son charme. Il nous l’a fait avec un tel naturel et une telle décontraction. Et dire que je l’ai épousé !!
Fin flash-back.
je vous mets tous les petits liens histoire vraiment être avec eux... et puis Francfort j'avais pas le choix... les vols sont réels... et oui!!! 13h dans l'avion!!!
et Sinon Astrid... tu es une éternelle romantique, comme moi...
chap 22 :
Voilà presque deux heures que l’on attend dans l’aéroport et je trépigne dans tous les sens. On est toujours dans la zone d’embarquement et je regarde tous les vols en partance. Il y en a tellement et qui vont à tellement d’endroit. Je le regarde et il ne peut s’empêcher de sourire. J’ai l’impression que cela l’amuse de voir mon impatience et mon obstination à chercher. Je me rends compte qu’il à juste sa casquette. Il y a bien quelques regards sur lui mais il n’y prête pas attention et on nous laisse tranquille. Faut dire qu’il est assis dans un coin et il me fixe alors que je suis debout face aux écrans où les vols sont annoncés. Je le vois se relever. Il cache mes yeux avec sa main et me plaque contre son torse. Je le sens me pousser un peu en avant et j’avance en souriant. Jamais je n’aurais crut ne pas trouver. Je penser que j’y arriverai... Mais j’avoue j’ai perdue. J’imagine la tête des gens autour de nous et je suis morte de rire. Je vois d’ici le tableau… Wentworth Miller avec une jeune femme dans les bras dans un aéroport, à qui il cache les yeux… en plus il doit être aussi mort de rire. On doit arriver vers l’hôtesse. Oui, c’est cela !
Hôtesse : vos papiers s’il vous plaît ?
W : oui tenez… mais chut ! ! S’il vous plaît !
Hôtesse (hilare) : d’accord si j’ai un autographe !
W : pas de problème. Tenez.
Hôtesse : merci et bon voyage.
Voilà on bouge de nouveau… j’aurais du le parier, il s’est mis l’hôtesse dans la poche, moi qui pensait glaner des infos…je sens que l’on marche sur la passerelle d’embarquement. Alors que je me souvienne… quels vols étaient sur le point de partir ? Paris, Londres, Marrakech, Venise, Rome, Moscou… la Crète, oui… et Ténériffe… bon en fait le choix est vaste… Londres, non ! Pas possible quoique avec lui ! ! On monte dans l’avion. J’entends juste qu’il souffle un « chut » sûrement à l’hôtesse. Il m’installe et me libère enfin. Je le regarde amusé… je suis là assise dans un avion et je ne sais pas où je vais. Il me regarde avec ce regard qui me dit qu’il est content de lui, d’avoir réussi ! ! Alors que moi je ne sais plus quoi penser. Il m’attache ma ceinture… embrasse mon front…
Hôtesse : bienvenue à bord du vol 9086 de Dominiti opéré par la Lufthansa au départ de Francfort. Le vol s’effectuera à bord d’un Airbus A321. Nous arriverons à 13h40 heure locale, soit un vol de 1h15 à destination de Venise…..
Je le regarde abasourdi. Je ne sais pas si j’ai bien entendu. Il m’emmène à … non ! Je scrute son visage et comprend que je ne rêve pas. Je lui saute littéralement eu coup. Je couvre son visage de baiser. Je ne peux m’empêcher de parler à une vitesse folle. Et il est explosé de rire. Tout le monde nous regarde et pour la première fois depuis que l’on est ensemble, je m’en fous… seul lui est important.
W : je dois y voir que cela te plaît ?
A : tu es fou… c’est énorme…Venise, nous deux…
W : tiens. Lui tendant les guides touristiques.
A : tu y es déjà allé ?
W : oui une fois pour le festival. « Human Stain » était présenté.
A (déçue) : ah !
W (voyant son trouble) : c’était pour le boulot, donc je n’ai rien vu… et puis je compte sur toi pour être mon guide !
A (heureuse) : d’accord. Mais tu sais à quoi tu t’exposes en m’emmenant là-bas !
W (désappointé) : cinq jours à courir de partout, à voir tous les bâtiments, les musées… à n’entendre parler que d’architecture, d’histoire et d’art !
A (guillerette) : bon, je vois que tu sais où tu mets les pieds ! Alors on a cinq jours à Venise et après ?
W (haussant les épaules) : je ne sais pas !
A (l’embrassant) : rien ne pourra être mieux que Venise avec toi, de toute façon !
W (les yeux pétillants) : d’accord je relève le pari !
A : je t’aime. C’est la plus belle surprise que tu pouvais me faire.
W (posant son front contre le sien) : j’ai vraiment envie que l’on découvre cette ville ensemble. Comme si on était deux touristes ordinaires !
A (chagrinée) : tu sais bien …
W : chut. L’embrassant.
On vient d’atterrir et je vois avec surprise que Went a bien nos deux valises avec lui. Je suis sidéré que cela soit aussi simple. La vue du ciel de la Lagune de Venise est fantastique. Je suis comme une puce, je regarde de partout, je scrute tout autour de moi. J’ai dévoré les guides qu’il a achetés. On dirait une gamine devant sa première Barbie… sauf que moi c’est un Ken ! ! Je me laisse guider et je le sens si serein. Blotti conte lui, on traîne chacun une valise… deux vrais touristes ! ! Je le vois se diriger vers les bateau-taxi.
- Spoiler:
A (récalcitrante) : Went tu es dingue, ça coûte une fortune !
W (amusé) : de quoi tu t’occupes ! Et puis je ne compte pas y aller à la nage !
A : tu veux dire que l’hôtel est sur la Lagune ?
W (lui tendant la main pour qu’elle monte) : tu auras que ce qu’il y a de mieux. Allez montez madame !
Assise dans ses bras, je laisse mon esprit divaguer alors que Venise s’offre à nous. Il a enlevé sa casquette. On est que tous les deux… avec le chauffeur ! Mes mains ne cessent de caresser ses avant-bras qui m’encerclent et sa nuque. Je le sens si serein, si apaisé. Le bateau s’engouffre dans un petit canal et là je constate avec admiration le choix de Went. Le Liassidi Palace. Un hôtel de luxe mais légèrement caché, qui ne s’offre pas aux premiers abords. On débarque sur le petit ponton privée de l’hôtel. Je ne sais pas vraiment où je suis, ce qui se passe… je me laisse bercer par les événements.
http://www.liassidipalacehotel.com/fr
Réceptionniste : Monsieur et Madame Miller bienvenu.
W : merci.
Réceptionniste : je vais vous montrer votre chambre.
W : merci. Je voudrais…
Réceptionniste : ne vous inquiétez pas, la discrétion est de rigueur. Je n’ai aucune chambre à votre nom !
W : merci. Je ne veux qu’aucun appel ne nous soit passé.
Réceptionniste : pas de problème. De toute façon vous n’êtes pas ici… souriant.
On monte au troisième étage et dernier et je me retrouve au milieu d’une suite vertigineuse. Simple mais super classe. Un petit salon avec des fauteuils, canapés… puis la chambre avec la salle de bain entièrement en marbre, la baignoire balnéo… je regarde Went et me rends compte que le réceptionniste est déjà parti. Je m’avance vers une des fenêtres et constate que l’on donne sur le petit canal que l’on vient de prendre en taxi… puis à l’horizon, le Grand Canal.
W (attentif) : ça te plaît ?
A (désorientée) : si… mais tu te poses la question ? Lui sautant dessus et enroulant ses jambes autour de sa taille. Je t’aime, bien sur que cela me plaît ! C’est même trop. J’ai peur d’abîmer.
W (ravi) : je pensais que les grands hôtels guindés ça ne serait pas ton truc !
A (ouvrant de grands yeux) : pourquoi celui-ci ne l’est pas ?
W : disons qu’il n’est pas à la vue de tous et puis il est tout petit. Tu y seras une vraie princesse ! Et puis… je me disais qu’un palais du XVe siècle pourrait t’impressionner !
A (les larmes aux yeux) : XVe… euh ! ! Je ne sais pas quoi dire. C’est le plus beau des cadeaux que tu pouvais me faire. Etre ici tous les deux.
Il me montre sur un plan où l’on se situe et je sens mon cœur rater un battement quand je me rends compte que l’on est à deux minutes à pieds de la place St Marc et que tout s’offre à nous. Il a choisi l’emplacement de rêve.
W (réjoui) : bon on y va ! Tu me fais visiter !
A : d’accord. Lui tendant sa casquette.
W (lasse) : laisse, je n’ai pas envie.
A (lui prenant la main) : comme tu veux.
5 jours plus tard :
On a passé 5 jours de rêves… je ne sais plus trop quoi penser de cet homme merveilleux ! Il accepte voir m’encourage à sillonner la ville dans tous les sens… je me demande qui de nous deux est le plus assoiffé de connaissances ! Il me fait découvrir pleins de petits restaurants super mignons… il a choisi un hôtel sans pension exprès… comme cela on est obligé de sortir tous les soirs ! Et toutes nos nuits sont … époustouflantes. Je refaits mes valises avec mélancolie. Je note dans un coin de ma tête les moindres détails de cet endroit, j’en respire le parfum… tout est si enivrant… le personnel fut adorable, personne ne nous a importuné, pas un autographe, rien. Went s’est presque toujours promené sans casquette, à la rigueur avec ses lunettes mais c’était vraiment à cause du soleil. Et je ne sais pas, c’est peut-être la magie de Venise mais personne n’est venu l’importuné. J’ai bien vu des regards ébahi sur son passage mais rien de plus. On était des touristes parmi tant d’autre. Et je crois que cela nous a fait un bien fou à tous les deux. On a eut des fous rires énormes, on s’est perdu un nombre incalculable de fois !! Mais je n’ai jamais était aussi heureuse.
Flash-back :
Cela fait une journée que nous sommes à Venise et on a prévu de faire deux grosses visites : la basilique St Marc et le palais des Doges à côté.
(Liens vers sites pour celles qui ne connaissent pas… c’est super bien expliqué mais surtout les photos sont magnifiques… ne lisez peut-être pas mais regardez les photos !! pour avoir un aperçu)
http://www.e-venise.com/palais-venise/palais_des_doges_ducal_venise_1.htm
http://www.e-venise.com/eglises-venise/saint_marc_venise_1.htm
Went veut absolument commencer par la Basilique. On y reste presque la matinée. Il y a tellement de chose à voir. J’ai l’impression de faire un cours. Il m’écoute religieusement. Toutes ses mosaïques de partout, la richesse des ornements et cette sensation de retenue lorsque l’on y pénètre. Il me pose pleins de questions et je m’empresse d’y répondre. J’essayer de faire simple pour ne pas trop l’ennuyer mais en fait il est super curieux. Et je pense aussi qu’il aime partager ces moments avec moi. Il sait que mon cerveau est en ébullition, que mes yeux ne savent plus trop par où regarder.
On va ensuite visiter le Palais des Doges. Il veut absolument faire la visite des « itinéraires secrets »… on dirait un gosse. Vu que c’est « secret », cela doit être bien !! Seulement l’unique visite de cet après-midi est en français. Je le regarde désolé, je me sens super mal. Il m’enserre alors dans ses bras et me susurre à l’oreille : « tu me traduiras ». Je le regarde étonné. On prend nos billets et on se dirige vers le groupe qui est constitué d’une dizaine de personnes. Ils le regardent tout de même avec un peu de stupeur mais lui semble tout à fait ailleurs. Je me dirige vers la guide.
A (embarrassée) : excusez-moi, mais voilà. Mon am… mari ne parle pas super bien français donc je le traduirais si cela ne vous dérange pas trop.
Guide : non pas de souci. Mais c’est assez complexe tout de même… vous êtes sur d’y arriver ! relevant un sourcil
A (enjouée) : oui je devrais m’en sortir.
Je retourne vers Went et on se lit de nouveau. Je vois alors les regards des autres qui se posent sur nous. On se regarde un peu gêné mais aussi dépité. La visite se fait tout naturellement. Je traduis et complète pour Went. Vu que je lui susurre à l’oreille la visite, cela nous permet une promiscuité encore plus plaisante. Il me regarde un peu troublé car même si il ne maîtrise pas assez bien le français pour comprendre toute la visite, il se rend compte que je rajoute pleins de détails. On arrive vers la visite des anciennes prisons et sans même le faire attention toutes les personnes avec nous se retournent souriantes vers Went. Il les regarde avec un naturel déconcertant.
W (en français) : j’ai pas plans. Promis !
On éclate tous de rire. Tout le monde est sous son charme. Il nous l’a fait avec un tel naturel et une telle décontraction. Et dire que je l’ai épousé !!
Fin flash-back.
je vous mets tous les petits liens histoire vraiment être avec eux... et puis Francfort j'avais pas le choix... les vols sont réels... et oui!!! 13h dans l'avion!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
On arrive vers la visite des anciennes prisons et sans même le faire attention toutes les personnes avec nous se retournent souriantes vers Went. Il les regarde avec un naturel déconcertant.
W (en français) : j’ai pas plans. Promis !
Il est vraiment drôle Went, elle me fait marrer cette phrase
On se serait crus avec eux, c'était tellement réel
Mets vite une suite!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
ENNEADE a écrit:W (en français) : j’ai pas plans. Promis !
Super suite, comme d'ab !!!!!!!!
j'adore ton clin d'oeil à la série
Erin- Admis à l'infirmerie
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
j ' adore grave !!!!!!!!
j ' etais morte de rire avec les ancienne prisons !!!!!! et la phrase qui tue de went " j ' ai pas les plans "
c 'est super beau venise !!!!!
bravo enneade
j ' en re veux encore
met la suite
j ' etais morte de rire avec les ancienne prisons !!!!!! et la phrase qui tue de went " j ' ai pas les plans "
c 'est super beau venise !!!!!
bravo enneade
j ' en re veux encore
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
le passage de la prison, Went qui répond trop fort ce mec ya vraiment de quoi tombé sous son charme
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: rencontres imprévues CHAP 35 (1/11)
pour les quelsques fidèles encore là
je vous préviens mais c'est ma dernière semaine après moi aussi je pars donc faut me motiver si vous voulez des suites!!!
CHAP 23
Nous revoici encore dans un aéroport. Je me dis qu’il va encore me faire le même cinéma que la dernière fois. Je le regarde toujours aussi intriguée. Je me demande bien ce que se petit sourire en coin peut cacher. Je commence à presque avoir peur car les valises ne contenaient que des affaires pour Venise. En réalité, je m’en fous un peu. On pourrait rentrer à la maison que cela ne me dérangerai pas. Du moment où l’on peut être ensemble ! Je le vois s’avancer vers le guichet d’embarquement. Je n’essaye même plus de savoir ou je vais… il y a tellement de destinations au départ, puis avec le coup des escales… c’est bon !!! Je vais encore me faire des films !! Il revient et m’entraîne direct avec lui dans la zone d’embarquement. On doit être encore juste et si je ne me presse pas, il va encore bougonner. Je le suis sans rien dire. Il semble perplexe devant ma passivité. On rentre dans l’avion… on doit être les derniers… je vois quelques visages surpris nous dévisager ! J’essaye de ne pas y prêter attention. On s’assoit. Comme une enfant sage j’attends le speech de l’hôtesse pour savoir ou cet avion va me déposer.
W : tu sembles bien calme !
A (prostrée sur son fauteuil) : j’attends…
W (étonné) : quoi ?
A : que l’hôtesse face son annonce !
W (l’embrassant) : on devient raisonnable, ça me facilite un peu le travail.
A : ne rêve pas non plus ! Je te fais confiance c’est tout… et puis j’ai hâte de rentrer à la maison !
W (désappointé) : euh !
A (satisfaite) : je t’ai eut !
L’hôtesse : bienvenue à bord du vol 136 d’Emirates au départ de Venise et à destination de Dubaï. Le vol s’effectuera à bord d’un Airbus A330-200. Nous arriverons à 23h35 heure locale, soit un vol de 5h50. …..
Le transfert pour Malé s’effectuera par notre compagnie sur le vol 558 au départ de Dubaï à 2h45 demain matin. Nous arriverons à 7h55 heure locale.
Je le regarde surprise. Je ne connais pas cet endroit ! Son regard est sombre. Il ne semble pas énervé, mais chagriné. Comme si il y avait un petit souci.
A : dis-moi ce qui te chagrine ?
W (crispé) : rien.
A (insistante) : tu me la fais pas ! Allez !
W : ça devait être un vol direct. Ils ont changé ! En plus une escale de minuit à 3h du mat. J’aime pas ça !
A : t’inquiète. On a l’habitude. Par contre je dois être un peu inculte mais on va où ?
W (fier de lui) : ah ah ah … j’en étais sur… Malé c’est l’aéroport des îles Maldives.
A (hébétée) : et… on y va ! Là comme ça ! Après Venise, les Maldives !
W (inquiet) : tu aurais préféré ailleurs ?
A (heureuse) : je ne connais pas…
W : je ne vais pas tout de dire maintenant mais je pense que cela va te plaire !
A (curieuse) : je ne m’inquiète pas là-dessus ! T’as pas de guide touristiques à me faire voir ?
W (hilare) : non…
Après toutes nos péripéties d’avion. On débarque enfin. J’ai l’impression de rêver ! C’est magnifique. Toutes les atolls, la vue du ciel est tout simplement à couper le souffle. Ce qui me ravi davantage est de voir Went ouvrir grands les yeux aussi. Il est totalement penché sur moi pour voir à-travers le hublot.
Je le vois revenir avec nos valises !! Mais ce ne sont pas les mêmes !! Je ne cherche pas à comprendre, je les reconnais… ce sont les nôtres !! On se dirige vers un embarcadère et je souris devant l’Hydra-avion qui nous attend.
On arrive après une petite heure… je le laisse nous guider sur cette petite île. Je me rends compte que l’île et l’hôtel ne font qu’un…
La réceptionniste nous amène devant un bungalow sur pilotis !! Je rêve, il n’a pas osé me faire ça !!
A (gênée) : Went tu es complètement fou ! Tu te rends comptes !
W : cela fait combien de temps que l’on n’est pas parti en vacances ?
A (baissant la tête) : un bout de temps !
W (la prenant dans ses bras) : les dernières on est resté à la maison !
A : oui, mais tout ça… c’est si beau !! En plus toutes les fleurs !! C’est magnifiques !
W (le regard pétillant) : je suis content que cela te plaise. J’ai longtemps hésité !!
A (lui lançant un clin d’œil) : à cause de toi, je vais prendre des goûts de luxe !
W : pas de souci !
Je reconnais son petit air malicieux. Il me cache quelque chose… je regarde tout autour de moi… mais je ne vois rien !! En fait, c’est ça le rêve… on a personnes à côté de nous !!! On pourrait se promener à walper que personne ne s’en rendrait compte !! Je suppose que c’est pour cette tranquillité qu’on est ici. Au moins on n’aura pas de paparazzis !
A : tu me caches autres choses ?
Je le vois se diriger vers la terrasse. Il enlève son t-shirt pour profiter du soleil. Je suis dégouté… dire que moi je vais passer par la phase, rouge pivoine avant d’avoir le moindre bronzage… surtout ici, le soleil à l’air de taper dur !! Alors que lui bronze presque à vue d’œil !!! Il me tend ses bras et je me réfugie dedans. Tous les deux face à l’immensité de l’océan, j’ai l’impression de rêver éveillé.
W : ça te plaît vraiment ?
A (étonnée) : attend c’est paradisiaque. J’ai l’impression que l’on est seul au monde. L’eau est magnifique, j’ai l’impression d’être dans un aquarium tellement je vois de poissons. La chambre m’a l’air superbe… tu veux qu’il me manque quoi ??
W (la retournant face à lui) : en fait, je t’ai fais un petit mensonge.
A : quoi ?
W (rieur) : on ne reste pas ici 15 jours !!
A : tu m’étonnes… c’est un truc de dingue !!
W (plongeant son regard dans les sien) : je me suis dis que ce serait vraiment bien que l’on prenne notre temps pour le bébé et que ce serait l’endroit idéal… en fait on reste 3 semaines !!
A (les larmes aux yeux) : tu es un grand malade !
W : si tu veux on peut rentrer avant !
A (le regard coquin) : non… mais dans ses conditions il faut que l’on commence immédiatement les travaux pratiques !!
je vous préviens mais c'est ma dernière semaine après moi aussi je pars donc faut me motiver si vous voulez des suites!!!
CHAP 23
Nous revoici encore dans un aéroport. Je me dis qu’il va encore me faire le même cinéma que la dernière fois. Je le regarde toujours aussi intriguée. Je me demande bien ce que se petit sourire en coin peut cacher. Je commence à presque avoir peur car les valises ne contenaient que des affaires pour Venise. En réalité, je m’en fous un peu. On pourrait rentrer à la maison que cela ne me dérangerai pas. Du moment où l’on peut être ensemble ! Je le vois s’avancer vers le guichet d’embarquement. Je n’essaye même plus de savoir ou je vais… il y a tellement de destinations au départ, puis avec le coup des escales… c’est bon !!! Je vais encore me faire des films !! Il revient et m’entraîne direct avec lui dans la zone d’embarquement. On doit être encore juste et si je ne me presse pas, il va encore bougonner. Je le suis sans rien dire. Il semble perplexe devant ma passivité. On rentre dans l’avion… on doit être les derniers… je vois quelques visages surpris nous dévisager ! J’essaye de ne pas y prêter attention. On s’assoit. Comme une enfant sage j’attends le speech de l’hôtesse pour savoir ou cet avion va me déposer.
W : tu sembles bien calme !
A (prostrée sur son fauteuil) : j’attends…
W (étonné) : quoi ?
A : que l’hôtesse face son annonce !
W (l’embrassant) : on devient raisonnable, ça me facilite un peu le travail.
A : ne rêve pas non plus ! Je te fais confiance c’est tout… et puis j’ai hâte de rentrer à la maison !
W (désappointé) : euh !
A (satisfaite) : je t’ai eut !
L’hôtesse : bienvenue à bord du vol 136 d’Emirates au départ de Venise et à destination de Dubaï. Le vol s’effectuera à bord d’un Airbus A330-200. Nous arriverons à 23h35 heure locale, soit un vol de 5h50. …..
Le transfert pour Malé s’effectuera par notre compagnie sur le vol 558 au départ de Dubaï à 2h45 demain matin. Nous arriverons à 7h55 heure locale.
Je le regarde surprise. Je ne connais pas cet endroit ! Son regard est sombre. Il ne semble pas énervé, mais chagriné. Comme si il y avait un petit souci.
A : dis-moi ce qui te chagrine ?
W (crispé) : rien.
A (insistante) : tu me la fais pas ! Allez !
W : ça devait être un vol direct. Ils ont changé ! En plus une escale de minuit à 3h du mat. J’aime pas ça !
A : t’inquiète. On a l’habitude. Par contre je dois être un peu inculte mais on va où ?
W (fier de lui) : ah ah ah … j’en étais sur… Malé c’est l’aéroport des îles Maldives.
A (hébétée) : et… on y va ! Là comme ça ! Après Venise, les Maldives !
W (inquiet) : tu aurais préféré ailleurs ?
A (heureuse) : je ne connais pas…
W : je ne vais pas tout de dire maintenant mais je pense que cela va te plaire !
A (curieuse) : je ne m’inquiète pas là-dessus ! T’as pas de guide touristiques à me faire voir ?
W (hilare) : non…
Après toutes nos péripéties d’avion. On débarque enfin. J’ai l’impression de rêver ! C’est magnifique. Toutes les atolls, la vue du ciel est tout simplement à couper le souffle. Ce qui me ravi davantage est de voir Went ouvrir grands les yeux aussi. Il est totalement penché sur moi pour voir à-travers le hublot.
- Spoiler:
Je le vois revenir avec nos valises !! Mais ce ne sont pas les mêmes !! Je ne cherche pas à comprendre, je les reconnais… ce sont les nôtres !! On se dirige vers un embarcadère et je souris devant l’Hydra-avion qui nous attend.
- Spoiler:
On arrive après une petite heure… je le laisse nous guider sur cette petite île. Je me rends compte que l’île et l’hôtel ne font qu’un…
- Spoiler:
La réceptionniste nous amène devant un bungalow sur pilotis !! Je rêve, il n’a pas osé me faire ça !!
- Spoiler:
- Spoiler:
A (gênée) : Went tu es complètement fou ! Tu te rends comptes !
W : cela fait combien de temps que l’on n’est pas parti en vacances ?
A (baissant la tête) : un bout de temps !
W (la prenant dans ses bras) : les dernières on est resté à la maison !
A : oui, mais tout ça… c’est si beau !! En plus toutes les fleurs !! C’est magnifiques !
W (le regard pétillant) : je suis content que cela te plaise. J’ai longtemps hésité !!
A (lui lançant un clin d’œil) : à cause de toi, je vais prendre des goûts de luxe !
W : pas de souci !
Je reconnais son petit air malicieux. Il me cache quelque chose… je regarde tout autour de moi… mais je ne vois rien !! En fait, c’est ça le rêve… on a personnes à côté de nous !!! On pourrait se promener à walper que personne ne s’en rendrait compte !! Je suppose que c’est pour cette tranquillité qu’on est ici. Au moins on n’aura pas de paparazzis !
A : tu me caches autres choses ?
Je le vois se diriger vers la terrasse. Il enlève son t-shirt pour profiter du soleil. Je suis dégouté… dire que moi je vais passer par la phase, rouge pivoine avant d’avoir le moindre bronzage… surtout ici, le soleil à l’air de taper dur !! Alors que lui bronze presque à vue d’œil !!! Il me tend ses bras et je me réfugie dedans. Tous les deux face à l’immensité de l’océan, j’ai l’impression de rêver éveillé.
W : ça te plaît vraiment ?
A (étonnée) : attend c’est paradisiaque. J’ai l’impression que l’on est seul au monde. L’eau est magnifique, j’ai l’impression d’être dans un aquarium tellement je vois de poissons. La chambre m’a l’air superbe… tu veux qu’il me manque quoi ??
W (la retournant face à lui) : en fait, je t’ai fais un petit mensonge.
A : quoi ?
W (rieur) : on ne reste pas ici 15 jours !!
A : tu m’étonnes… c’est un truc de dingue !!
W (plongeant son regard dans les sien) : je me suis dis que ce serait vraiment bien que l’on prenne notre temps pour le bébé et que ce serait l’endroit idéal… en fait on reste 3 semaines !!
A (les larmes aux yeux) : tu es un grand malade !
W : si tu veux on peut rentrer avant !
A (le regard coquin) : non… mais dans ses conditions il faut que l’on commence immédiatement les travaux pratiques !!
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