NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu

C'est bien qu'il aient enfin pu parler de leurs erreurs passée, et qu'ils se soient confiés l'un à l'autre

maintenant ils soivent être pressés d'aller retrouver leur petit Andréas

J'attends la suite avec impatience

ya toujourss pas de suite mais je vais finir chez les fous moi j'en peux plus d' attendre stp miss met nous une suite car j'adore ta fic (mais sa tu le sais deja )

continues tu cartonnes

Promis je t'en mets une de suite !

La voilà...merci de ta fidélité Julie !

CHAPTER 49 Repas familial 1/2

Douchés et habillés, Went est maintenant au volant du 4x4 et nous filons tout droit vers la civilisation, retrouver notre fils, la prunelle de nos yeux. Il est déjà presque une heure de l’après midi et nous avons tellement chahuté que nous n’avons pas vu passer le temps. Ses mains sur le volant, concentré, je détaille chaque parcelle de son visage, comme si je ne les connaissais pas assez. J’ai peur du départ, de l’heure fatidique et proche qui va me séparer de lui. Je n’en ai pas envie mais nous n’avons pas le choix, son métier n’attendra pas.

Après une petite demi-heure de route, il entre dans l’allée et se gare près du porche. C’est étonnant mais rien n’a pratiquement changé, l’endroit est fidèle à mes souvenirs. Alors que je descend de voiture, je remarque les petits aménagements dans le jardin, un portique a été dressé, un toboggan est déjà scellé au sol sans parler du bas à sable. Mon sourire qui s’était presque effacé quand je pensais au prochain départ de Went refait surface, ils ont vraiment pensé à tout même si c’est encore un peu tôt. Je sais qu’ils attendaient çà depuis si longtemps et je ne peux m’empêcher de m’en vouloir de les avoir privé des premiers mois de la vie d’Andréas. Went s’approche de moi et enserre ma taille tout sourire.

W : tu es prête ? Tu ne te sens pas trop fatiguée après la folle nuit que je t’ai faite passée ?!

Il se fiche de moi ma parole ?! Un petit coup dans les côtes et il lâche un « aie » de douleur et j’explose de rire devant sa mine affligée de petit garçon qui s’est fait mal, qui se sent fautif après une grosse bêtise.

S : tu es incorrigible !

W : oui maman !

Je le fusille du regard, je ne suis pas sa mère, tout autant que je n’ai jamais accepté qu’il se conduise en grand frère.

W : je suis content, si tu savais, je retrouve ma Sonia, la chieuse !

S: t’es gonflé Miller ! Fais gaffe où je peux encore changer d’avis !

Je m’approche de lui en pouffant et l’embrasse tendrement. Il faisait un peu la tête après mes dernières paroles mais il se laisse faire tout de même et après quelques barrières se laisse fondre dans mes bras. Ses mains sur mes reins se font plus insistantes et notre baiser s’approfondit encore. Je me sens défaillir et mon corps n’obéit plus a ce que lui dicte mon cerveau, laissant simplement le bien-être et le désir s’emparer de moi, de nous.
Notre étreinte se prolonge plus qu’il ne le faudrait et c’est sans compter sur le grincement de la porte d’entrée qui laissa apparaître Roxanne et Leight.

R : et bien c’est du joli ! Vous n’avez pas eu assez de votre week-end ?!

Je me dégage de son étreinte, honteuse et rouge écarlate. Went me prend la main et caresse ma joue en me souriant puis me chuchote à l’oreille.

W : j’ai hâte d’être seul à nouveau avec toi...ne l’écoutes pas, elle est jalouse...

Je ne peux m’empêcher de rire, amusée par sa fougue, son désir et son amour et aussi parce que tout ce qu’il ressent, je le ressens moi-même.

Nous nous approchons lentement de l’entrée et Roxane m sert chaleureusement dans ses bras, comme à l’habitude. Je salue Leight qui me sourie.

R : allez entrez ! On attendait plus que vous pour passer à table...

Nous pénétrons dans la maison et mon regard scrute partout alentour à la recherche de mon petit bout. Went s’en rend compte et je sais qu’il cherche la même chose que moi, mais rien à la ronde.

W : maman ? Où es Andréas ?

R : ah ! Quand même, tu te préoccupes de ton fils !

Je vois Went froncer les sourcils et sa mère lui adresse son plus beau sourire.

R : çà va chéri ! Il est avec ton père dans la cuisine, il lui prépare sa purée !

Je le vois pire que moi, se précipiter vers la cuisine d’un pas rageur et je m’en amuse beaucoup. Il va en être séparé pour plusieurs jours et je sais que çà lui fait mal, je le comprends. Moi, j’ai hâte de le revoir mais je vais passer la semaine avec lui, j’ai refusé l’aide d’une nurse, Marcia s’en occupe un peu quand le kiné est là, c’est tout. Je ne veux pas que quelqu’un d’autre s’occupe de l’éducation de mes enfants, enfin, de mon fils. Alors ce n’est pas pareil, je vais l’avoir pour moi toute seule cette semaine, je n’ai donc pas autant le besoin qu’a Went de profiter de chaque instant de cette journée.

Nous les rejoignons dans la bonne humeur et je salue le père de Went qui est toujours aussi séduisant même avec les années. Je comprend mieux maintenant pourquoi Went est si craquant, il ressemble terriblement à son père mais a hérité des yeux ravageurs de sa mère qu’il a transmis à notre fils qui je sais fera des ravages lui aussi d’ici quelques années.
Andréas est dans la chaise haute et Went lui donne patiemment à manger. Je suis attendrie, je fonds devant ce spectacle que je n’aurais pas cru possible il y a quelques mois.

Le père de Went se lève.

W : je vais aller préparer le barbecue !

Peu de temps après, une fois qu’Andréas a fini de manger, c’est à notre tour de nous installer à table, dans le jardin d’hiver, la grande véranda qui donne sur le parc et où il fait bon déjeuner au printemps. Went est parti aider son père dehors et je me retrouve en compagnie de Roxane et Leight, nous n’avons pas échangé beaucoup de mots et je me sens intimidée car je me doute que Went va leur annoncer pour le mariage et j’angoisse un peu.

R : alors Sonia, ce week-end, çà c’est bien passé ?

S : c’était merveilleux, je n’ai pas été aussi heureuse depuis des lustres ! Mais c’est aussi très court ! Je suis triste à l’idée que Went nous quitte déjà ! Maintenant que je commence à aller mieux et que j’ai retrouvé toutes mes facultés, cela va être dur de faire sans lui !

L : tu ne comptes pas le rejoindre en Floride ?

S : pour le moment, tant que ma rééducation n’est pas terminée, c’est exclu. Mais même avec Andréas, les journées et les nuits vont me paraître bien longues !

Sans me rendre compte de ma phrase, je rougis et suis gênée...mes derniers mots sont quelques peu...équivoque...Leight me regarde amusée et Roxane sourie puis rit.

S : ce n’est pas ce que je voulais dire mais...

R : ne t’en fais pas Sonia...on sait très bien qu’Andréas n’est pas arrivé par l’opération du saint esprit !

Et c’est un fou rire général qui s’empare de nous alors qu’Andréas gigote sur mes genoux, lui aussi amusé par la bonne humeur générale.

Went père et fils font alors leur entrée parmi nous. Went vient chatouiller le cou de son fils et m’embrasse. Andréas rie aux éclats.
Il me le prend des bras et je l’accompagne à l’étage. Il le change avec délicatesse et je me rend compte que durant mon absence prolongée, il a véritablement assumé son rôle de père. Je ne peux empêcher mes yeux de s’embuer et il le remarque presque instantanément.
Il caresse ma joue.

W : eh ! Chérie, qu’est-ce qui se passe ? Tout va bien tu sais, tu n’as pas à te mettre dans des états pareils !

S : je...je sais Went, c’est juste que...je me rend compte à quel point cela a du être dur en mon absence et à quel point j’ai la chance de t’avoir, tu es un père merveilleux...je t’aime !

Alors qu’il redresse Andréas et le prend dans ses bras, il se serre contre moi chaleureusement et je sens la main d’Andréas se poser tendrement sur ma joue. J’explose d’un petit rire nerveux en considérant ma réaction exagérée.

S : excuses moi Went, je sais que j’en fais des tonnes mais te voir comme çà avec lui, si prévenant, comme avec moi, çà m’a émue...

W : tu n’a pas a t’excuser Sonia...je t’aime tu m’entends...tu a traversé des moments difficiles, tu t’es battue autant que moi pour être avec nous ici et aujourd’hui alors j epeut comprendre que ce trop plein d’émotions ai besoin de sortir...

Je l’embrasse ; encore émue et nous allons coucher Andréas qui nous regarde un moment, souriant et heureux.
Nous finissons par rejoindre les parents de Went et sa sœur autour de la table. Je sais que mes yeux sont encore humides et Went me stoppe en haut des escaliers. Il prend mon visage entre ses mains et me force à le regarder dans les yeux. J’y lis une telle détermination que j’en ai le vertige. L’intensité de son regard me transperce et je voudrais arrêter le temps et rester comme çà des heures car j’aime quand il me fixe ainsi, une immense chaleur s’empare de moi et j’ai l’impression d’être nue devant lui tant il lit en moi dans ces moments là...

merci ma soso sa fait plaisir de te lire que dire....

trop mignon andrea qui rit et qui carresse la joue de sa mere!!!!
wenth en papa poule !!!


trop belle suite j'ai faillit versé ma petite larme a la fin tellement que c'est bien ecrit!!!!!









a quand la suite!!!!????

Promis demain...je penserais à toi

C'est magnifique

Maintenant il faut que Went annonce à ses parents pour le mariage

Vivement la suite!!!!!

Alors qu’il redresse Andréas et le prend dans ses bras, il se serre contre moi chaleureusement et je sens la main d’Andréas se poser tendrement sur ma joue. J’explose d’un petit rire nerveux en considérant ma réaction exagérée.

C’est toujours magnifiquement beau ! J’adore plus particulièrement ce passage là ! Imaginer Andréas dans les bras de son père et sa petite main sur la joue de sa maman est tout simplement merveilleux !

Alors que je descends de voiture, je remarque les petits aménagements dans le jardin, un portique a été dressé, un toboggan est déjà scellé au sol sans parler du bas à sable. Mon sourire qui s’était presque effacé quand je pensais au prochain départ de Went refait surface, ils ont vraiment pensé à tout même si c’est encore un peu tôt.

Les parents de Wentworth ont l'air si heureux pour leur fils et Sonia et râvis d'avoir découvert ce petit Andréas. Il fait désormais partie de leur vie. Ils l'ont accepté sans se poser la moindre question et sans reprocher à Sonia son comportement, qui a éloigné ce petit trésor d'eux durant ses premiers mois. Sonia s'en veut, c'est normal, meme si elle sait que Went et ses parents lui ont pardonné, mais il restera toujours une cicatrice de ce passé douloureux

Je sais qu’ils attendaient çà depuis si longtemps et je ne peux m’empêcher de m’en vouloir de les avoir privé des premiers mois de la vie d’Andréas

R : et bien c’est du joli ! Vous n’avez pas eu assez de votre week-end ?!
Je me dégage de son étreinte, honteuse et rouge écarlate. Went me prend la main et caresse ma joue en me souriant puis me chuchote à l’oreille.
W : j’ai hâte d’être seul à nouveau avec toi...ne l’écoute pas, elle est jalouse...
Je ne peux m’empêcher de rire, amusée par sa fougue, son désir et son amour et aussi parce que tout ce qu’il ressent, je le ressens moi-même.

Ils ont l'air très amoureux et ne se sont pas retrouvés il y a très longtemps donc il faut qu'ils en profitent, surtout que Wentworth va devoir repartir pour sa semaine de travail.
J'aime beaucoup la réaction de Sonia, un peu gênée par la situation, mais tellement naturelle et emportée par ses sentiments.

R : ça va chéri ! Il est avec ton père dans la cuisine, il lui prépare sa purée !

Grand-père est au boulot Ils doivent être mignons tous les 2 et cette vision doit faire chaud au coeur de Wentworth et Sonia. Ni l'un ni l'autre n'imaginaient encore cette scène possible quelques semaines plus tôt

Andréas est dans la chaise haute et Went lui donne patiemment à manger. Je suis attendrie, je fonds devant ce spectacle que je n’aurais pas cru possible il y a quelques mois.

Nous les rejoignons dans la bonne humeur et je salue le père de Went qui est toujours aussi séduisant même avec les années.
Je comprends mieux maintenant pourquoi Went est si craquant, il ressemble terriblement à son père mais a hérité des yeux ravageurs de sa mère qu’il a transmis à notre fils qui je sais fera des ravages lui aussi d’ici quelques années.

Les mâles Miller ont l'air de faire des ravages dans les coeurs

R : ne t’en fais pas Sonia...on sait très bien qu’Andréas n’est pas arrivé par l’opération du saint esprit !

Ils auraient fauté, sans être mariés, en plus Comment est-ce possible ?
Face à la petite gêne de Sonia, Roxane trouve toujours les mots pour "dédramatiser" la situation.

J’y lis une telle détermination que j’en ai le vertige. L’intensité de son regard me transperce et je voudrais arrêter le temps et rester comme ça des heures car j’aime quand il me fixe ainsi, une immense chaleur s’empare de moi et j’ai l’impression d’être nue devant lui tant il lit en moi dans ces moments là...

Sonia doit lire dans les yeux de Wentworth tout son amour pour elle et la joie immense qu'il ressent à l'idée d'annoncer officiellement qu'ils vont s'unir tous les 2

Bon je l'avais promis pour Julie Scofield et aussi pour me faire pardonner de vous avoir abandonné plusieurs jours...

Merci aussi à Valscof pour tes coms toujours aussi "plaisants".

CHAPTER 49 : Repas familial 2/2

Après un tendre et interminable baiser échangé en haut des escaliers, nous nous décidons enfin à rejoindre nos hôtes.
Nous parlons de tout et de rien, savourant le bonheur d’être ensemble, réunis dans ce cocon familial si improbable il y a encore quelque temps. Je suis heureuse car ici, je me sens chez moi. Le papa de Went est fier de nous faire découvrir ses spécialités au barbecue et je goûte les joies familiales que je n’ai jamais connues jusqu’alors.
Le reste du repas continue sur la m^me lancée et je suis aux anges.

Lorsque sa maman apporte le dessert, une merveilleuse mousse au chocolat, je sens la main de Went serrer nerveusement ma cuisse. Il se lève et se racle la gorge.

R : tu n’as plus faim mon chéri ? Quelque chose ne va pas ?

Il lui sourit et me regarde ensuite, pensif et concentré.

W : oh si...çà ne pourrait pas mieux aller, je te rassure maman...c’est juste que j’ai quelques chose à vous annoncer...

R : ah...mais vas-y chéri...je t’en prie, tu sais que tu peut tout nous dire...

W : ah mais tu vas finir par te taire ! Comment veux-tu qu’il dise ce qu’il a à nous dire si tu lui coupes la parole sans arrêt !

Went me sourie et je manque de pouffer de rire devant la réaction de son père. Il prend ma main.

W : voilà...vous savez tous à quel point j’aime Sonia et depuis combien de temps...ce n’est un secret pour personne mais...j’ai enfin réussi à trouver une stabilité auprès d’elle, elle m’a fait le plus beau des cadeaux avec Andréas et après tout ce que nous avons traversé, je ne peux imaginer ma vie sans elle...je lui ai demandé de m’épouser et elle a accepté...nous allons nous marier.

A ces mots, je vis Roxane serrer la cuiller dans le saladier de mousse au chocolat puis se précipiter sur Wentworth et moi pour nous embrasser sous l’émotion. Elle commençait presque a suffoqué.

R : oh ! Oh ! C’est merveilleux ! Venez que je vous embrasse ma petite fille ! Je suis si heureuse !

Le père de Went vint lui aussi nous embrasser et sa sœur en fit autant. Une merveilleuse ambiance joviale venait de s’installer et dura un long moment. J’étais officiellement fiancée mais je ne portais rien au doigt et c’est ce qui tiqua pour Roxane.

R : mais...dites moi Sonia...pas de bague ???

Je me tournais vers Went et émis un sourire gêné, je ne suis pas bijou et à vrai dire quand il m’a fait sa demande, si spontanée et en tenue d’Adam, je n’ai pas du tout pensé à un bout de caillou à mon doigt...après ce que nous avons traversé, il y a pour moi un bien mille fois plus précieux qu’un diamant, c’est son cœur et son amour qu’il m’offre.

W : euhhh...a vrai dire, je n’ai pas oublié...je ne l’ai pas encore fait, c’est tout...mais...

Il fallait que j’intervienne, je le sentais un peu honteux d’avoir pu oublier de faire sa demande une boite rouge en satin dans la main...

S : à vrai dire ce n’est pas ce qui importe pour moi Roxane...je n’ai pas besoin de caillou vous savez...ce qui compte c’est de me réveiller chaque matin à ses cotés et de m’endormir chaque soir dans ses bras protecteurs entourés de son amour et de la plus belle chose qu’il m’ai offerte, notre fils, car çà, çà ne s’achète pas car çà n’a pas de prix...

Je me retourne vers lui et je vois dans ses yeux que j’ai réussi à exprimer tout ce qu’il ressentait, tout ce qu’il n’osait dire...
Il se rapproche et me plaque amoureusement contre lui, caressant mon visage tendrement jusqu’à mes lèvres qu’il détaille avant de fondre sur moi.
Ses lèvres ont encore un délicieux goût chocolaté et je lui rend son baiser sous les applaudissements de ses parents.

R : je crois que vous vous êtes bien trouvés tous les deux !

Nous rions de cette remarque.

Après le café, nous laissons les parents de Went pour aller chercher Andréas qui s’est réveillé.
Je monte les escaliers, Went dans mon dos qui me tient par les hanches...arrivés en haut, je me retourne et lui fait face, le visage plus grave que jamais.

W : mais...qu’est-ce qu’il y a ?

Je baisse les yeux et les relèves embués de larmes qui demandent à s’échapper depuis trop longtemps...

S : excuse moi, c’est juste que j’ai un trop plein d’émotion et çà fait beaucoup là...et...et...

Il me laisse me poser le dos au mur du couloir pour tenter de reprendre le contrôle sur moi-même, en vain...ses mains caressent mon visage et il pose son front doucement contre le mien.

W : chuuuttt....çà va aller, je te promets de prendre soin de toi Sonia, je te promets que jamais je ne t’abandonnerais...tu le sais non ?

Il redresse mon visage face au sien et j’ai du mal à soutenir son regard mais il insiste.

S : Went...je ne veux pas être séparée de toi encore, je ne veux pas que tu partes ce soir...je t’en prie...ne me laisses pas seule...je viens de te retrouver...je ne veux plus te quitter...çà me fait complètement paniquer.

Il continue de caresser mon visage pour m’apaiser. Il pose ma tête contre son épaule et me berce. Je sens mon corps et mon cœur s’apaiser et ma crise d’angoisse se calme peu à peu grâce à sa patience.

W : tu sais que je dois y aller chérie, je ne peux pas faire autrement mais la semaine passera vite et tu as encore de nombreux exercices à faire avec le kiné...ces jours passeront vite, je te le promets...je serais vite de retour...

Mes larmes se sont apaisées et je sens son souffle chaud dans ma nuque. J’ai une irrésistible envie d’embrasser son cou. Mes lèvres rencontrent sa peau, chaude et douce et je les laisse errer tendrement alors qu’il resserre son étreinte et laisse son corps reposer, complètement relâché contre le mien. Ses mains sur mes reins descendent lâchement sur mes fesses qu’il caresse doucement. Je relève ma tête et il en profite pour capturer mes lèvres sensuellement. J’entrouvre la bouche et laisse sa langue conquérir la mienne. Nous savons qu’il ne faudrait pas, qu’Andréas nous attend mais c’est comme s’il avait compris que ses parents avaient besoin d’un petit répit car je ne l’entend plus pleurer.
Je suis un pantin dans ses bras et ses mains sous mon tee-shirt deviennent entreprenantes face à la dentelle de ma lingerie. Il me rend complètement folle.
Je caresse sa nuque et le laisse envahir mon cou de baisers enflammés. Je sens que mes pieds quittent le sol et qu’une porte se referme derrière nous. Nous sommes dans sa chambre. Le tourbillon m’emporte car cette chambre me rappelle tant de souvenirs...rien n’a changé et c’est ici, que pour la première fois je me suis abandonnée au bras d’un homme, à ses bras...j’étais déjà éperdument amoureuse de lui mais je ne me doutais pas les épreuves qui nous attendaient, insidieuses et destructrices.
Etendue sur le lit, je le laisse se débattre pour m’enlever mon tee-shirt. Ses doigts parcourent chaque parcelle de mon corps avec autant de grâce que les doigts d’un pianiste parcourent les touches d’un piano. Aucune fausse note. Nous faisons le vide autour de nous.
Je passe rageusement ma main dans ses cheveux pour le ramener à moi alors qu’il se débat avec les boutons de mon pantalon. Il me l’ôte et sa main effleure tendrement la petite cicatrice de ma césarienne. Il fait glisser la dentelle le long de mes jambes et envoie valser le bout de tissu plus loin.
Je lui ôte à mon tour ses vêtements pour laisser son corps nu prendre possession du mien.
Une étincelle de lucidité tente de refaire surface...

S : Went...je...tes parents...que vont-ils penser ? Je..on ne...

Il s’empare de ma bouche et me fait taire. Son désir et sa fougue m’impressionnent. Ma bouche devient presque trop petite pour son désir et ses mains sont partout sur moi. Son impatience m’envahit bientôt et nos corps se réclament de plus belle.
Il entre en moi presque brutalement mais c’est un râle de plaisir qui sort de ma bouche à ce moment là. Je ne m’y attendait pas mais mon corps ne réclamait que çà. Il tente d’étouffer mes gémissements avec sa bouche car on pourrait nous entendre mais chacun de ses coups de reins me transporte et j’avoue malgré moi que la situation est excitante. Je le sens si tendu en moi que mon corps se vrille de sursauts.
Je sens ses doigts se crisper sur moi alors que mes muscles se raidissent toujours plus. Je m’accroche à son cou et il m’inonde de baisers jusqu'à ce qu’une violente décharge de plaisir me fasse basculer la tête en arrière quand je chuchote son nom d’une voix plus sensulle que jamais.

S : oh...Went...Went...

Il me ramène à lui, un sourire aux lèvres et je sens sa chaleur en moi.
Essoufflés, nous relâchons la pression dans un rire que nous tentons d’étouffer. Nous sommes affamés l’un de l’autre. Ses yeux si doux me caressent du regard.

Je suis en sueur et ébouriffée et je sais que je vais avoir la honte de ma vie en redescendant les escaliers mais je suis bien et c’est tout ce qui compte.

W : tu m’aimes ?

S : tu en doutes ?

W : j’espère qu’ils n’ont rien entendus quand même...

Il me sourie avec son air coquin et je pourrais lui ressauter dessus tout de suite tellement je le trouve sexy quand il me fait ses yeux là !

S : c’est de ta faute s’ils ont entendus quelque chose de toute façon...

W : ah oui ? Je n’ai pas crié moi ! Oh Went...oh Went...

Je lui balance l’oreiller dans la tronche et fait mine de faire la tête mais c’est sans compter sur ses chatouilles qui m’assaillent...

Il redevient sérieux au bout de longues minutes et se positionne au dessus de moi, l’air sérieux.

S : tu es un amant merveilleux Went...tu es le seul avec qui je...

Il me sourie et recommence à m’embrasser. Nos lèvres n’en finissent plus de danser ensemble et cela continue, encore et encore...si doucement, si tendrement que j’en pleurerais. Ses mains caressent mon cou et l’ovale de mon visage et je sais que nous devrions nous lever, nous rhabiller mais je ne peux me résigner à quitter ses bras.
Il quitte mes lèvres et laisse se yeux se poser sur mon corps nu devant lui.
Il reprend mes lèvres aussi tendrement que précédemment et caresse à nouveau ma poitrine. Je sens son désir renaître contre moi et je n’en reviens pas parce que moi aussi j’en redemande encore. Sans lâcher mes lèvres, il vient doucement en moi et c’est avec une extrême douceur cette fois ci qu’il me fait sienne.
Je n’ai jamais vu d’étreinte plus douce que celle que nous étions en train de partager. Je sentais chaque centimètre de sa peau me conquérir alors qu’il me chuchotait des mots doux à l’oreille de sa voix si rauque.

W : tu es merveilleuse So...il n’y a qu’avec toi que je ressens çà.

Cambrée à l’infinie pour l’accueillir au plus profond de mon être, je me sentais défaillir une nouvelle fois entre ses bras, tandis que ses doigts serraient les miens entrelacés aux siens comme si sa vie en dépendait. Sans augmenter la fréquence de ses mouvements, je nous sens partir à l’unisson dans la jouissance ultime.

Heureuses et souriante je pose sa tête contre ma poitrine le temps que nous reprenions nos esprits, quelques minutes...

W : si tu n’es pas enceinte je n’y comprends plus rien...



çà vous remonte le moral ?

EH BEN ILS SONT TOUJOURS EN MANQUE C4EST TROP MIMI

ma soso c'est toujours aussi bien continues comme sa tu cartonnes!!!!!










une suite stp ma cherie

Waouh ! c’est deux là sont insatiables ! et puis un très beau mariage en perspective !

Voilà la suite...

CHAPITRE 50 Un adieu

C’est quelque peu honteuse, que je redescend une demie heure plus tard après la case salle de bain pour récupérer un semblant de tenue à mes cheveux pendant que Went allait chercher Andréas.
Mais notre arrivée en bas ne provoqua aucune hilarité et chacun resta tranquille sans chercher à savoir ce que nous avions mis si longtemps à faire.

Une heure après, je sens déjà mon visage se crisper. Il est l’heure de partir et Went doit rejoindre l’aéroport. Je suis éreintée, désorientée mais je tiens absolument à l’accompagner avec notre fils en me faisant une promesse, ce serait la dernière fois qu’il partirai tout seul.

Sa sœur nous accompagne. Went conduit le 4x4 et je reste à ses cotés, ne le quittant pas des yeux alors qu’il me jette de temps à autres d’irrésistibles regards.
Après 15 minutes de route, l’aéroport pointe son nez devant nous et mon corps semble comme pris de tremblements. Je ne veux pas le voir partir, je ne veux pas me retrouver sans lui à nouveau.

Garés dans le parking souterrain, je le regarde m’ouvrir la portière et prendre ma main.

W : ne t’inquiètes pas ma puce, çà va passer vite ces cinq jours et avec un peu de chance je serais là vendredi...

Il me sourie et serre ma main alors que nous marchons en direction des ascenseurs.

S : tu sais bien que c’est faux Went, tu sais que je vais être seule et que cela me paraîtra une éternité !

Nous montons les escalators et mes yeux s’emplissent de larmes. Il se rapproche et me prend dans ses bras, je sais que je devrais être forte et avoir un peu plus de fierté mais cela fait dix ans que j’attends ce moment, dix ans que je recule et je ne veux plus perdre de temps, même cinq jours.
Je retiens mes sanglots et m’accroche a son dos de toutes mes forces. Je sens ses mains qui me caressent et tentent de m’apaiser sans succès. Mais je me retiens, je ne craquerais pas complètement devant lui...
Le hall de l’aéroport est assez empli et Went enfile une casquette pour éviter au maximum d’être reconnu mais c’est peine perdue.
Je sens que çà va se compliquer. Un flash, deux flashs, puis trois et d’autres qui suivent, des mains qui se tendent, des cartes, des stylos et des sourires et des baisers...
Je perds pied et rejoins Leight quelques pas derrière avec Andréas dans les bras. Je le prends et nous attendons un peu à l’écart que la foule récupère ses sourires, ses autographes et ses photos.
Dix minutes plus tard, je ne vois plus finir la séance de dédicaces et m’approche du cortège qui l’entoure. Je crie son nom pour qu’il me rejoigne. Il me voit et tente de se frayer un chemin. Andréas ouvre de grands yeux car la foule s’agite autour de nous. Went s’approche et m’entoure de ses bras avant de prendre Andréas. Nous avançons vers l’embarquement et les flashs continuent de nous assaillir sans aucune retenue.
Pendant quinze minutes, nous serons importunés.
Quand le calme autour de nous revient enfin, je soupire profondément et c’est la mine désolée de Went que je croise car il sait que je ne vais pas apprécier ce genre de spectacle.

S : je ne sais pas si je m’habituerais à çà...

W : ils vont se poser des questions maintenant tu sais...c’est la première fois qu’ils te voient et Andréas pareil...çà risque d’être dans les journaux d’ici peu, mais je veux que tu saches que je ne ma cacherais pas...je leur dirai tout, sur nous, nos intentions, je veux que tout soit clair tu comprends ?

S : et tu crois que çà va être aussi simple ???

W : non, rien n’est jamais simple avec la presse, mais je préfère dire la vérité plutôt que de les voir s’acharner à la découvrir tout seuls...

S : tu devrais y aller...ton embarquement a déjà commencé...

Je sens mes jambes trembler et mon cœur bat la chamade. L’homme que j’aime est à quelques centimètres de moi mais ne le sera bientôt plus. Il va partir, m’embrasser langoureusement et faire une bise à son fils avant de tourner les talons et de rejoindre son monde de lumière jusqu’à nos prochaines retrouvailles, dans cinq jours. Je ne suis pas vraiment jalouse, je suis heureuse pour lui, mais dans un sens, je suis aussi triste de rester sur la touche...

W : tu veux te débarrasser de moi ou quoi ?

S : non, absolument pas, mais...c’est si dur de te regarder partir...

W : je sais...je te promets que çà ne durera pas longtemps...

S : ne fait pas des promesses que tu n’es pas sûr de pouvoir tenir Went...c’est ton métier, je m’habituerais...c’est juste, un peu difficile...

Il s’approche et me sert dans ses bras. Je sens sa chaleur, je sens son parfum et j’ai envie de me perdre en lui. Envie de me fondre dans sa peau. Il se détache et lève mon menton dans sa direction, pour m’obliger à le regarder. Il est plein de tendresse et je vois dans ses yeux que lui aussi est torturé de devoir partir si vite.

W : tu vas retrouver notre belle maison au bord du lac, tu penseras à moi...je ne serais jamais loin, nos pensées sont soudées...

Il a visé où il fallait et c’est mon plus beau sourire qu’il emportera comme bagage ce soir là. Ses lèvres douces effleurent les miennes sensuellement alors que l’hôtesse nous dévisage avec envie. J’aime cet homme plus que ma propre vie. Je voudrais arrêter le temps mais la voix dans les hauts parleurs nous rappelle qu’il est urgent d’embarquer. Leight se rapproche et embrasse Went. Je lui prends Andréas et Went nous sert à nouveau dans ses bras, pour la dernière fois.
Je lui sourie et lui caresse le visage et il s’éloigne, doucement, laissant mon cœur vide et mes yeux si secs alors que dans ma gorge, un ballet incessant me donne la nausée. J’ai envie d’exploser de tristesse mais c’est Andréas qui me ramène à la réalité en gazouillant quelques mots.
Une dernière main tendue, plus déchirante que des adieux et sa silhouette élancée disparaît de mon champ de vision.
La main de Leight se pose sur mon épaule en signe de compassion. Je lui sourie, la suit en direction du parking, mais reste silencieuse, prête à exploser en sanglots.

Le trajet sera immensément long. Andréas est à coté de moi à l’arrière et il gazouille et me fait de francs sourires. Sans lui a cet instant, je serais en larmes. Alors je tiens le coup, pour lui mais pour moi aussi. Cinq jours, je me dit que ce n’est finalement pas si insurmontable, surtout si je les emploie à faire que ce genre de situation soit la dernière.

Leight me dépose à la maison du lac et je suis surprise d’y trouver de la lumière. J’entre et elle me suit avec Andréas dans les bras. Je découvre une table dressée et Roxane qui me sourie à l’entrée de la cuisine. A n’importe quel autre moment de ma vie j’aurais râlé de voir quelqu’un s’emparer de mon chez moi, s’y inviter sans mon accord, mais là, ce soir, seule et désemparée, c’est dans les bras de la mère de l’homme de ma vie que je m’effondrais, inconsolable.

R : la...çà va aller Sonia, il reviendra vite...vous savez, je suis une reine quand il s’agit d’organiser des tas de choses, chiante, je le reconnais mais imbattable ! Alors les déménagements...c’est un jeu d’enfant !

Je relevais mon visage bouffis et laissait une rire nerveux m’échapper. Je séchais mes larmes et lui souriais enfin, pour la remercier en silence d’être si compréhensive et si altruiste avec moi, à sa manière.
Si de nombreuses jeunes femmes détestent leur belle mère, je savais que moi, je ne pourrais jamais ressentir ce sentiment pour Roxane, car à travers elle, c’était lui que je voyais...

Je savais que malgré mes craintes, les jours suivants passeraient comme des flèches car même si cette maison était irréelle et merveilleuse pour moi, sans lui, elle perdait tout son charme. Je voulais être n’importe où, mais je voulais être avec lui et elle allait m’aider...



çà vous plaît toujours ???

Bien sur que sa nous plaît toujours.

Je m'y suis bien attachée à Sonia et Andréas moi, j'adore comment tu les mènes.


Continue comme sa parce que c'est superbe

ma soso toujours aussi bien je ne sais plus quoi dire c'est tellement beau !!!










ah si a quand la suite????

C'est touours aussi émouvant soso

Bravo, j'ai adoré ce chapitre

J'éspère que went reviendra vite et que la prochaine fois Sonia l'accompagnera

Vivement la suite!!!!!

En commençant ton chapitre 50, j'étais surprise et je ne comprenais pas pourquoi Soni se sentait honteuse en redescendant... de lire ton chapitre 49. Je n'avais pas vu que tu l'avais posté

Je lui ôte à mon tour ses vêtements pour laisser son corps nu prendre possession du mien.
Une étincelle de lucidité tente de refaire surface...
S : Went...je...tes parents...que vont-ils penser ? Je..on ne...
Il s’empare de ma bouche et me fait taire.

Je suis en sueur et ébouriffée et je sais que je vais avoir la honte de ma vie en redescendant les escaliers mais je suis bien et c’est tout ce qui compte.
W : tu m’aimes ?
S : tu en doutes ?
W : j’espère qu’ils n’ont rien entendu quand même...
Il me sourit avec son air coquin et je pourrais lui ressauter dessus tout de suite tellement je le trouve sexy quand il me fait ses yeux là !
S : c’est de ta faute s’ils ont entendu quelque chose de toute façon...
W : ah oui ? Je n’ai pas crié moi ! Oh Went...oh Went...

W : si tu n’es pas enceinte je n’y comprends plus rien...

Ces passages m'ont bien fait rire Wentworth tenterait-il de concevoir si vite un petit frère ou une petite soeur à Andréas ?

Mon commentaire pour le chapitre 50 :

C’est quelque peu honteuse, que je redescends une demie heure plus tard après la case salle de bain pour récupérer un semblant de tenue à mes cheveux pendant que Went allait chercher Andréas.
Mais notre arrivée en bas ne provoqua aucune hilarité et chacun resta tranquille sans chercher à savoir ce que nous avions mis si longtemps à faire.

A mon avis, ses parents ont bien compris et ils n'ont pas besoin de dessin

W : ils vont se poser des questions maintenant tu sais...c’est la première fois qu’ils te voient et Andréas pareil...çà risque d’être dans les journaux d’ici peu, mais je veux que tu saches que je ne ma cacherais pas...je leur dirai tout, sur nous, nos intentions, je veux que tout soit clair tu comprends ?

C'est vrai que jusqu'ici, Sonia n'a pas eu à faire face à tout ça. Il va falloir qu'elle intégre ça à son existence. Saura-t-elle y faire face, à chaque fois ?

Il s’approche et me sert dans ses bras. Je sens sa chaleur, je sens son parfum et j’ai envie de me perdre en lui. Envie de me fondre dans sa peau. Il se détache et lève mon menton dans sa direction, pour m’obliger à le regarder. Il est plein de tendresse et je vois dans ses yeux que lui aussi est torturé de devoir partir si vite.
W : tu vas retrouver notre belle maison au bord du lac, tu penseras à moi...je ne serais jamais loin, nos pensées sont soudées... Il a visé où il fallait et c’est mon plus beau sourire qu’il emportera comme bagage ce soir là. Ses lèvres douces effleurent les miennes sensuellement alors que l’hôtesse nous dévisage avec envie. J’aime cet homme plus que ma propre vie.

Ce ne sont que 5 jours mais ça a l'air d'être un tel déchirement pour eux deux. Leurs retrouvailles ne seront que plus belles Heureusement que ce petit Andréas est là pour aider Sonia durant l'absence de Wentworth. Il n'y a pas que ce bout de chou pour l'aider à supporter l'absence de l'homme qu'elle aime. Il y a aussi la soeur et la maman de Wentworth.

Je lui souris et lui caresse le visage et il s’éloigne, doucement, laissant mon cœur vide et mes yeux si secs alors que dans ma gorge, un ballet incessant me donne la nausée. J’ai envie d’exploser de tristesse mais c’est Andréas qui me ramène à la réalité en gazouillant quelques mots.
Une dernière main tendue, plus déchirante que des adieux et sa silhouette élancée disparaît de mon champ de vision.
La main de Leight se pose sur mon épaule en signe de compassion.

Je découvre une table dressée et Roxane qui me sourit à l’entrée de la cuisine. A n’importe quel autre moment de ma vie j’aurais râlé de voir quelqu’un s’emparer de mon chez moi, s’y inviter sans mon accord, mais là, ce soir, seule et désemparée, c’est dans les bras de la mère de l’homme de ma vie que je m’effondrais, inconsolable.
Si de nombreuses jeunes femmes détestent leur belle mère, je savais que moi, je ne pourrais jamais ressentir ce sentiment pour Roxane, car à travers elle, c’était lui que je voyais...

Elles semblent toutes les 2 très proches de Sonia. Elles ont l'air de beaucoup l'aimer. Elles savent que l'amour qui l'unit à son frère est très fort.

Le départ de Went est tout tristounet ! Mais bon il revient dans 5 jours !

Sonia va réussir à tenir le coup en s’occupant d’elle et de son petit bonhomme !

je vous balance une petite suite rien que pour vous...

CHAPTER 51 Tête de mule

La soirée passa vite et après avoir embrassé Leight et Roxane qui repartaient, après avoir vérifié qu’Andréas dormait profondément, je m’écroulais, épuisée sur mon lit. Malgré ma tristesse et ce profond sentiment de solitude et d’abandon, je sombrais rapidement dans le sommeil. Des rêves ne tardèrent pas à venir empiéter dans mon sommeil. Je voyais notre fils, plus grand et un magnifique jardin, un square et une magnifique école, mais surtout, je nous voyais, nous, unis et heureux. Bercée par mes rêves, je ne me réveillais qu’au petit matin, les gazouillis d’Andréas dans le baby phone.

Je me lève et file le chercher dans sa chambre. Il me fait de grands sourires et pousse de petits cris de joie. Emmitouflé, je l’embarque à la cuisine au réez de chaussée et je lui prépare son biberon de petit déjeuner. Je remarque qu’il est déjà huit heures et David ne va pas tarder à arriver pour mes séances de rééducation.

Une heure plus tard, effectivement, c’est la porte d’entrée qui s’ouvre sur le visage de Marcia qui me salue et remarque avec plaisir que je suis redevenue complètement autonome. Après un rapide bilan de santé complet, elle m’informe que je n’aurais bientôt plus besoin de ses services.

M : vous êtes parfaitement remise Sonia...je ne sais pas ce qu’en pense David mais pour moi, je n’ai plus grand-chose à faire ici...

S : cela veut dire que je pourrais faire le voyage jusque en Floride et retrouver Wentworth ?

M : sous réserve de ce qu’en dira David, oui...

Je suis transportée de bonheur car finalement, tout arrive plus vite que je ne l’aurais imaginé, toute la peine que je me suis donnée pour cette rééducation aura servie à quelque chose !

Nous continuons nos discussions autour d’un café quand la porte sonne à nouveau. Je file ouvrir et c’est David qui m’accueille avec son chaleureux sourire.

D : alors ? En forme pour nos exercices ??

S : plus que jamais !

Il me suit au sous-sol où une salle de sport aménagée exprès pour moi et pour mes exercices nous accueille. J’y mets beaucoup d’ardeur et les félicitations ne tardent pas à fuser.

D : dis donc, tu es motivée ! Je pensais que ton week-end t’aurait fatiguée !

S : c’est le cas, mais je veux te prouver à quel point je suis en forme et remise...

D : je vois çà...tu n’auras bientôt plus besoin de moi à ce train là !

Je lui souris et il remarque – certainement à l’expression de mon visage – que je cherche quelque chose.

D : tu veux me parler de quelque chose ?

S : euh...oui...je...je...

D : n’y vas pas par quatre chemins tu sais, je te répondrai en professionnel...

S : ok, voilà...Went est en Floride pour son tournage et nous sommes séparés toute la semaine et les week-ends passent si vite...je me demandais si...je ne pouvais pas aller le rejoindre là bas tu vois ? Marcia m’a déjà dis que tout étais ok pour mon état médical mais elle attends ton aval pour me donner l’autorisation définitive...

Je vois bien qu’il me fixe et qu’il hésite à me répondre comme çà, de but en blanc.

D : Sonia...tu as fait d’énormes progrès mais...il ne faudrait pas s’arrêter en si bon chemin...

S : tu n’es pas ok à c que je vois... ?

Je n’ai pas besoin de mots pour comprendre ses réticences. Il fait la grimace et n’est pas vraiment convaincu.

D : je ne veux pas te paraître rabat joie Sonia...mais ton état est en très nette amélioration. Tu es de nouveau autonome et tu as l’air en pleine forme, je vois bien tout çà, mais c’est mon métier la rééducation et je sais aussi que parfois, certaines phases d’euphorie laissent la place à de légères régressions...ton corps a subi d’énormes traumatismes et il y a eu ce coma, tout reprendre aussi vite est risqué...

S : je vois...je n’aurais pas ton accord alors ?

D : désolé mais...

S : alors je m’en passerais, désolée !

D : mais Sonia...c’est pour ton bien que je dis çà...

S : je sais...mais j’ai passé trop de temps à attendre, à laisser filer ma vie et l’homme que j’aime, pour le laisser m’échapper encore ! Je ne veux plus que l’on décide pour moi ! je te promets de faire attention et je verrais un kiné sur place mais je pars le rejoindre David, que çà te plaise ou non !

D : ce n’est pas sérieux Sonia et s’il t’arrive quelque chose...

S : je te signe une décharge et je ne veux pas que Went soit au courant ok ? Je veux lui faire une surprise !

D : ok...alors je vais y aller, je n’ai plus grand-chose à faire ici...

Je crois que j’y suis allée un peu fort et je le rattrape par le bras. Je ne voulais pas le blesser et c’est au professionnel que je m’adressais, pas à l’homme.

S : ne le prends pas mal David, ce n’est pas contre toi mais...si la vie m’a bien appris une chose c’est qu’elle file sans qu’on ai le temps de s’y accrocher. J’ai failli perdre tout ce qui m’était plus cher et aujourd’hui, je sais comme tout peu vite basculer. Je e veux pas risquer de passer encore à coté des choses de ma vie...

D : je vois...de toute façon, quoique je dise, ta décision est prise ?

S : oui...

D : alors bonne chance !

Je lui sourie et il m’embrasse sur la joue. Je sais qu’il n’approuve pas mais il sait aussi que cela ne servirait à rie d’insister sinon de me braquer.
Nous discutons encore un moment devant un café avant qu’il ne se décide à partir. Je reste seule avec Marcia et Andréas et m’attelle à faire à manger quand le téléphone sonne. Je pose Andréas dans le par cet décroche.

S : allo ?

W : c’est moi So, comment vas-tu ce matin ?

S : oh, Went, je suis heureuse de t’entendre ! Je vais bien, je prépare à manger et Andréas joue dans son parc...

W : tu te reposes aussi hein ? Tu promets !

S : oui oui, mais tu sais je me sens super bien !

W : oui mais tu es encore fragile alors je veux que tu fasses attention...

S : tu rentres quand ?

W : je te manque déjà ?

S : tu me manques toujours !

W : normalement vendredi soir, je me suis arrangé avec Paul et sauf s’il y a des gros couacs, çà devrait aller...

S : j’ai hâte Went, tellement hâte !

W : je sais, moi aussi et je ferais tout mon possible pour être là le plus vite possible et le plus souvent possible...

S : je t’aime...

W : je t’aime aussi ma puce mais...je dois te laisser, j’ai séance maquillage !

Nous échangeons quelques mots tendres et je raccroche. S’il doit rentrer vendredi, çà me laisse juste le temps –quatre jours – de tout préparer avant d’aller le retrouver. Je veux lui faire la surprise et je sais que Roxane m’aidera, mais cela ne sera pas suffisant, j’ai besoin de complices, de l’intérieur mais, je ne connais pas du tout ses collègues de travail. Je pense alors à Tracy...je sais qu’elle doit bien connaître quelques amis de tournage de Went et je sais que là-dessus je vais pouvoir compter sur elle.

J’attrape le portable et compose son numéro excitée comme une puce.

T :Allo... ?



Alors ??? Vous en voulez encore ?

D : dis donc, tu es motivée ! Je pensais que ton week-end t’aurait fatiguée !

David se douterait-il du programme de Went et Sonia durant le week end ? De toutes façons, c'était bon pour eux 2 de faire de l'exercice, non ?

D : je ne veux pas te paraître rabat joie Sonia...mais ton état est en très nette amélioration. Tu es de nouveau autonome et tu as l’air en pleine forme, je vois bien tout çà, mais c’est mon métier la rééducation et je sais aussi que parfois, certaines phases d’euphorie laissent la place à de légères régressions...ton corps a subi d’énormes traumatismes et il y a eu ce coma, tout reprendre aussi vite est risqué...

On voit qu'en posant la question à David, afin de savoir s'il l'autorisait à partir, Sonia sait déjà au fond d'elle-même que la réponse risque d'être négative. David la met en garde en tant que professionnel, mais c'est sûr que ça doit être dur pour Sonia. Après toutes les épreuves qu'elle a subies, elle doit avoir drôlement envie et besoin de se sentir vivante et de vivre à temps plein avec l'homme qu'elle aime et leur petit bout

S : alors je m’en passerai, désolée !
D : mais Sonia...c’est pour ton bien que je dis çà...
S : je sais...mais j’ai passé trop de temps à attendre, à laisser filer ma vie et l’homme que j’aime, pour le laisser m’échapper encore ! Je ne veux plus que l’on décide pour moi ! je te promets de faire attention et je verrais un kiné sur place mais je pars le rejoindre David, que çà te plaise ou non !

J'espère qu'elle ne regrettera pas d'avoir pris cette décision, que cela n'aura pas d'impact négatif sur sa santé.

Je veux lui faire la surprise et je sais que Roxane m’aidera, mais cela ne sera pas suffisant, j’ai besoin de complices, de l’intérieur mais, je ne connais pas du tout ses collègues de travail. Je pense alors à Tracy...je sais qu’elle doit bien connaître quelques amis de tournage de Went et je sais que là-dessus je vais pouvoir compter sur elle.

Sonia a déjà un plan en tête et de nombreux complices prêts à agir pour elle. Wentworth risque d'être très surpris et heureux, normalement...


Veut-on la suite ? Bien sûr que oui

Bien sûr qu'on veut la suite!!!!

Il faut qu'elle soit raisonnable et qu'elle se repose un peu quand même Sonia

En tout cas vivement la prochaine suite!!!!!!

CHAPTER 52 Voyage

S : allo Tracy ?

T : Sonia ? Comment çà va ?

S : oh...euh...très bien, je viens de passer un super week-end et je n’ai qu’une hâte entamer le prochain !

T : tu es au lac ?

S : oui...et justement...je vais avoir besoin de ton aide !

T : comment çà ? T’as besoin de faire les boutiques de lingerie ? Il en redemande c’est çà ?

Je ne peux m’empêcher de glousser à la remarque de Tracy, décidément, elle a toujours le mot pour rire !

S : euh...ce n’est pas exactement çà...tu vois, j’aimerais aller m’installer avec lui en Floride, être près de lui quand il rentre de tournage le soir, le serrer dans mes bras...

T : çà va, épargne moi les détails !

S : oui, mais je ne connais ni l’endroit où il vit et je n’ai pas de clefs, je n’ai rien en ma possession pour m’aider non plus et je ne connais personne de son entourage là bas alors si tu pouvais m’aider...

T : je vois...tu veux faire de moi ta complice ?

S : c’est un peu çà en effet !

Je sens que c’est presque gagné malgré cette question qui lui brûle les lèvres.

T : mais...tu as l’autorisation, je veux dire...le médecin est d’accord pour te laisser y aller...tu a encore des soins non ?

S : Marcia est d’accord et j’ai promis à David de voir un kiné sur place pour continuer mes exercices de rééducation...tu sais je suis redevenue autonome !

T : c’est génial mais...pourquoi Went ne t’a pas proposé de venir avec lui alors ?

S : il se fait du souci, encore et encore, voilà tout, il croit que je ne vais pas si bien que çà mais je suis sûre que çà lui fera plaisir ! Alors, tu peux m’aider ?

T : je connais Amaury, Dom et Sarah, alors je peux bien m’arranger pour t’aider...

Je saute au plafond de bonheur...dans quelques jours, je serais en Floride auprès de l’homme que j’aime !
Je remercie Tracy et nous continuons à organiser mon départ et le déménagement provisoire, c'est-à-dire le minimum vital pour que je puisse m’installer avec Andréas.
Un peu plus tard dans la journée, Roxane débarque avec un catalogue de puériculture et nous commandons tout le nécessaire sur Internet pour être livré là bas, sur place au domicile de Sarah qui est depuis dans la combine.

J’organise tout minutieusement et Tracy, Leight, Roxane et Sarah m’aident comme des sœurs. C’est ainsi que je ne vois pas passer les journées et que je me retrouve jeudi soir, sacs bouclés et éreintée devant mon départ tôt le lendemain matin. Roxane vient d’aller se coucher dans la chambre d’amis et c’est elle qui nous emmènera à l’aéroport demain matin.
Andréas dort déjà paisiblement et je m’effondre rapidement dans mon lit, sans prendre la peine de me déshabiller...mais le téléphone sonne. Il est 21h30 et c’est lui qui m’appelle. Je dormais déjà mais si je ne réponds pas, il va s’inquiéter...

S : allo ?

Je crains que ma voix endormie ne l’alarme.

W : Sonia ? Je te réveille ? Tu es déjà au lit ?

S : euh...oui, à vrai dire j’ai eu une journée fatigante, David m’a fait beaucoup travailler et là je n’en peut plus...

W : ah...euh...Sonia je...

S : il y a un problème ?

W : euh...c’est à dire que...demain Sarah organise une petite fête chez elle le soir et elle tient absolument à ce que je vienne mais je lui aie dit que tu m’attendais mais...

S : tu peux difficilement refuser une telle invitation après tout ces mois d’absences c’est çà ??

W : euh...oui. Mais je comprendrais si tu me fais une scène aussi...

S : non, je crois que je survivrai...profites et reviens moi en forme le samedi de bonne heure...

W : tu...tu es sure ?? Tu ne m’en voudras pas ?

S : bien sur que non Went...et puis...j’aurais une surprise pour toi...

W : hum hum...du même genre que celle du week-end dernier ?

S : çà t’as plu à ce que je vois...

W : je ne dirai pas le contraire...j’ai hâte de voir çà...bon...il faut que j’aille me reposer car demain on débute le tournage à 7h00...

S : tu as raison, je veux que tu sois en forme chéri...dors bien...je t’aime...

W : je t’aime aussi ma puce, bonne nuit...

Nous raccrochons simultanément et sa voix résonne encore dans ma tête alors que je sombre déjà dans le sommeil.

Le lendemain, je suis éveillée par mon radio réveil qui crépite entre deux stations de radio. Je me lève et file sous la douche puis me prépare rapidement.
Quand j’arrive dans la cuisine, çà sent déjà le bon café chaud et les toasts grillés. Roxane m’accueille avec un chaleureux sourire que je lui rend. Je me sert du café et m’installe à coté d’elle.

R : c’est le grand jour ? Pas trop stressée ?

S : un peu...j’espère que tout va se dérouler comme prévu c’est tout...il croit à tout ce qu’ils lui ont fait gober...j’imagine sa tête quand il va me voir... !

R : je crois qu’il sera très heureux de te savoir à ses cotés !

S : j’ai tellement hâte !

Nous continuons à discuter un moment puis tout s’enchaîne rapidement.
A 7h30, nous sommes prêt à quitter le New Jersey et nous dirigeons tout droit vers l’aéroport Kennedy où un avion m’attends pour rejoindre l’homme de ma vie.

Lorsque nous arrivons, je me dépêches, Andréas dans les bras et me précipite à l’enregistrement avant que Roxane me rattrape.

R : ce n’est pas la peine Sonia...c’est un vol privé...

S : privé ? Comment çà privé ?

R : oui...Sarah et Dom ont convenu de vous faire profiter d’un de leur petit avantage, vous allez voyager toi et le petit en jet privé !

S : mais...mais...ce n’était pas prévu çà !

R : disons que c’est notre surprise pour toi çà...

Je lui saute au cou et l’embrasse. Nos affaires sont déjà embarqués et une petite voiture nous attends pour nous conduire jusqu’au jet. J’embrasse Roxane et le remercie infiniment pour son aide et son soutien. Je sais que si je suis aussi heureuse aujourd’hui c’est un peu grâce à elle.

J’embarque avec Andréas et nous nous installons. L’avion décolle et il ne tarde pas à s’endormir. Moi, je suis bien trop surexcitée pour tenter de me reposer mais dans 3 heures je serais en Floride et rien d’autre ne compte.

Le vol se déroule merveilleusement et le commandant de bord annonce l’atterrissage.
Une autre petite voiture nous attends aussi au pied de l’avion et nous dépose à l’aéroport dans un endroit réservé et à l’écart de la foule. Alors que dans le New Jersey, il fait encore un peu frais, ici, la chaleur humide est étouffante.
J’aperçois au loin une jeune femme rousse avec des lunettes de soleil et qui attends, une petite fille dans les bras. Je suis sure que c’est Sarah, elle est stupéfiante de beauté et de présence, quelle femme ! A coté, je me sens bien commune...

La voiture s’arrête et je descends avec Andréas et elle s’approche. Je distingue son grand sourire et ses yeux qui s’illuminent à travers ses grosses lunettes de soleil.

Sa : bonjour...moi c’est Sarah...et voici Estelle, ma fille.

S : bonjour...Sonia, et voici Andréas !

Il est encore à moitié endormi dans mes bras et peine à émerger.

Sa : il est magnifique...c’est la huitième merveille du monde !

S : ta fille est très belle aussi, elle a quel age ?

Sa : neuf mois...

S : oh ! Ils n’ont pas beaucoup d’écart alors...

Sa : bon...tu dois être fatiguée...je t’emmène ?

S : avec plaisir !

Nous sortons de l’aéroport et elle m’invite à grimper dans son gros 4x4 noir qui ressemble beaucoup au nôtre. Je suis éreintée et j’ai pourtant hâte d’âtre à ce soir...

Sa : tu as l’air fatiguée Sonia...

S : oui...cette semaine est passée si vite finalement...quand on a un but...

Sa : oui...je te comprends, je ne supporte pas d’être séparée de Josh, et encore moins maintenant qu’il y a Estelle, et pourtant j’aime mon métier !

S : j’ai l’impression d’avoir perdu tant de temps !

Sa : il ne faut plus penser à çà...profitez du moment présent, de chaque instant, c’est tout ce qui compte !

S : merci Sarah, merci pour ton aide, merci de ton soutien pour cette surprise...

Sa : oh ce n’est rien Sonia...vraiment. Et puis, voir le sourire de Went depuis qu’il t’a retrouvé, depuis que tu fais partie de sa vie, une étincelle brille dans ses yeux, une flamme que je n’avais pas vue auparavant...

S : tu crois qu’il se doute de quelque chose ?

Sa : oh pas le moins du monde, crois moi ! Mais tu aurais vu sa tête quand je l’ai invité, il était tout gêné, je sentais bien que derrière il culpabiliserait de te laisser toute seule...et quand il a eu ta réaction, il a été bien déçu, il pensait que tu te fâcherais...j’ai vraiment hâte de voir sa tête ce soir !



Alors ?? çà vous plait toujours ?

Bien sûre que ça me plaît toujours ! Je comprends Sonia mais je dois dire que son escapade en Floride me fait un peu peur quand même !

Mets nous vite la suite !

tout a fais d'accord avec blumy sa me plait toujours alors met nous vite une suite stp !!!!!!!!