NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu

OH NON MOI JE VEUX VOIR LA SURPRISE DE WENT

LEUR RETROUVAILLE vont être très romantique et hot je pense !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

vite la suite!!!

Moi aussi je veux les retrouvailles!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Went aura une belle surprise à son retour

Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis une battante et je sais au fond de moi que je peux y arriver. Je ne veux pas attendre deux mois comme m’annonce le kiné pour retrouver l’ensemble de mes facultés. Je veux marcher avant mon fils !

On voit qu'elle a un but, qu'elle veut s'en sortir au plus vite et pouvoir profiter pleinement de Wentworth et des 1ers pas de leur enfant.

Il s’appelle Davis, il a 32 ans et il est charmant, ce qui fait enrager Went quand je lui dis ! J’adore quand il fait son jaloux !

Elle doit s'amuser à le taquiner avec ça.

C’est simple, on dirait que cette maison, plantée là autour de ce lac magnifique, à trois quart d’heures de New York, a été importée de France...elle est si différente de l’architecture typique américaine et disproportionnée.

Cette maison a l'air d'un vrai cocon pour abriter leur amour et leur petite famille...

J’ai repris contact avec Audrey en France pour la remercier de tout ce qu’elle a fait puis j’ai fini par appeler Fred pour m’expliquer avec lui. Je ne pouvais pas tirer un trait sur lui, sur tout ce que nous avion partagé, le bon comme le mauvais, sans chercher à terminer notre histoire sur une note positive. Je ne sais si je le reverrais, mais je pars en paix, je ne lui tiens rigueur de rien, je l’ai blessé, il m’a fait souffrir mais nous avons réagi à temps.

C'est bien que Sonia ait pris cette décision. Elle doit se sentir vraiment libre de vivre son histoire d'amour avec Wentworth, maintenant. Elle repart sur de bonnes bases. Ils avaient besoin de se pardonner l'un l'autre pour véritablement avancer.

Je décide de lui faire confiance et après plus d’une heure trente de travail, le résultat me scotche. Même Tracy semble éberluée par mon reflet dans la glace.
T : ouah ! Et bien dis donc ! à mon avis il va faire un arrêt quand il va te voir comme çà ! C’est une super bonne idée ces petites mèches acajou dorée dans ton brun ! C’est juste un tout petit peu plu clair mais çà fait son effet ! et la coupe, nickel, rien à dire !
S : tu crois que çà va pas le choquer ?
T : tu rigoles ? Il va tomber à tes pieds oui !

Wentworth va adorer, je suis sûre. Le fait de voir que Sonia reprend goût à la vie, se fait belle, veut le séduire, ça va lui faire chaud au coeur... et pas là uniquement

S : alors il me faut ton magasin préféré de lingerie fine !
Tracy explose de rire. C’est mal barré.
S : qu’est-ce qui est drôle ?
T : ta tête ! Tu crois vraiment que tu as besoin de çà ? Went est raide dingue de toi depuis...depuis...u vois je me souviens même plus depuis combien de temps alors...la lingerie si tu veux mon avis c’est pas son truc !

A mon avis, il risque de beaucoup apprécier, néanmoins... Leurs retrouvailles s'annoncent très intenses

Ca fait chaud au cœur de la voir à nouveau profiter de la vie, et qu’elle prenne soin d’elle. Se faire masser, le coiffeur, s’acheter des vêtements, et de lingerie…

Voilà la suite les filles ! Merci de votre fidélité et de vos petits coms, gros bibis !



Je sors de la douche. Il est 9h30. Marcia est partie il y a une heure, elle a son week-end et ne reviens que lundi soir et au train où çà va, elle ne sera plus parmi nous d’ici deux semaines. Went devrait arriver prochainement. Il m’a appelé hier soir et s’il savait ce qui l’attend !
Je descend et prends Andréas au passage qui crie famine. Je marche seule, je le porte, j’ai retrouvé toutes mes capacités même si je me fatigue un peu plus vite.
Je m’installe dans le canapé et lui donne son biberon. Il est si angélique et me sourit. Il ressemble de plus en plus à Went, je rie toute seule quand je vois ces longs doigts comme ceux de son père et ce petit nez en trompette...je suis si heureuse...

J’entends un bruit de moteur dans l’allée devant la maison. Çà doit être lui.
Je me lève pour aller ouvrir mais il j’ai à peine fait deux pas qu’il est déjà dans l’entrée, après avoir ouvert avec ses propres clefs.
Je suis face à lui, à quelques mètres et l’expression que je lis sur son visage me ravit, je crois que j’ai vidé juste.

W : bonjour chérie !

S : bonjour Went...

Je me suis habillée avec l’une des tenues achetée hier, un superbe jean taille basse de marque qui sied à merveille ma nouvelle corpulence et un petit haut décolleté tout simple mais qui fait son effet avec la lingerie qu’il faut en dessous pour mettre en valeur tout çà. J’ai lavé mes cheveux aussi, pour leur redonner un effet naturel car je n’aime pas les brushings, pas sur mes cheveux en tous cas.

Je lis dans son regard son étonnement puis l’intérêt que je vois dans ses yeux. Non, je ne veux plus être sa petit femme victime qui réapprend à marcher et qui se pend à son cou, je veux être la femme dont il rêve et qu’il a envie de mettre dans son lit...sans en faire trop bien sûr...mais je commence à le connaître, je sais ce qui lui fera plaisir...

Il s’approche et m’embrasse puis embrasse Andréas et après un rapide coup d’œil a son fils, son regard ne me suite plus. Ses yeux me déshabillent littéralement...je sais que la journée va être longue.

W : tu es magnifique...tu as coupé tes cheveux ?

S : oui...çà te plait ? Je suis allé au centre commercial ave Tracy hier...j’avais envie de changer un peu de tête, de me sentir une femme tu vois...

W : tu était déjà très belle tu sais...

Je sais mais j’en avais besoin Went, j’ai envie de te plaire tu sais ! Ah ! Ces hommes, s’ils savaient tous les efforts et toutes les souffrances que nous nous infligeons pour leur plaire !

Il prend Andréas dans ses bras et je salue Roxane qui me félicite à son tour pour ma coupe de cheveux, redevenue plus naturelle.
Je sers du café et nous discutons pendant qu’Andréas gazouille dans son parc.

R : vous avez préparé les affaires du petit ?

Je la regarde perplexe.

S : pourquoi ? Nous n’allons nulle part ?

R : ah...je vois que Went ne vous as rien dit...

Je ne comprends rien. Je suis assise sur une chaise dans le salon et deux bras viennent enserrer mes épaules tendrement.

W : je t’emmène déjeuner dehors...j’ai appris tes exploits de cette semaine, David m’a appelé alors çà mérite une petite récompense...toi, moi, une journée rien que tous les deux en amoureux ?

Je me retournes et soutiens son regard plein de promesses. Je saute de ma chaise et vais me caler dans ses bars. Il embrasse mon front serre mon corps contre le sien, je suis électrisée.

Je me détache pour aller préparer les affaires d’Andréas, excitée comme une puce par cette journée qui s’annonce...

Une heure plus tard, notre fils nous quitte dans les bras de sa grand-mère et j’ai somme toute un pincement au cœur. Çà passera.

W : tu regrettes de te séparer de lui ?

S : c’est pour la bonne cause non ? Et puis, on l’a bien mérité de penser un peu à nous non ?

W : si je m’écoutais on passerait la journée ici...

S : je te vois venir...mais moi j’ai très faim et çà va te coûter un max !

Il m’enlace et nos lèvres se joignent dans un baiser sensuel et plein de promesses. Je me détache à regret pour le décider à partir. Il sort le 4x4 noir et m’ouvre la portière.

Le trajet est cours, un quart d’heure tout au plus pour rejoindre l’autre rive sud du lac où un restaurant gastronomique offre une terrasse sur pilotis pour gastronome fortunés. Je me souviens d’une de nos balades il y a dix ans...et sa main se resserre ans la mienne. Mon regard rencontre le sien, nous ne nous lâchons plus.

W : tu te souviens ?

S : de l’endroit ? T u crois que j’aurais pu oublier ?

W : je t’avais juré qu’un jour je t’y amènerais quand je serais célèbre et tu m’avais répondue que c’était tout le mal que tu me souhaitais. Tu disais qu’on aurait jamais de quoi se payer ce genre de restau...

S : je me suis trompée tu vois...

W : comme la fois où tu m’as dit de laisser tomber, de te laisser tranquille, tu vois j’arrive toujours à mes fins !

S : je ne m’en plains pas...

Il me sourie et contourne le véhicule pour ouvrir ma porte. Il me tend la main et son corps m’emprisonne contre la carrosserie rutilante. Ses lèvres douces s’abandonnent langoureusement dans les miennes. Essoufflés mais souriant, il attrape ma main et nous pénétrons dans l’établissement.

On nous installe, on prend notre commande mais c’est comme si notre bulle s’installait bien au-delà.
Les plats se succèdent et nous buvons du vin français délicieux. Le cadre est paradisiaque et les regards que nous échangeons me grisent. Nos visages sont détendus et je n’ai qu’une hâte même si tout ceci me charme, me retrouver avec lui dans notre nid d’amour...

Je m’installe dans le canapé et lui donne son biberon. Il est si angélique et me sourit. Il ressemble de plus en plus à Went, je rie toute seule quand je vois ces longs doigts comme ceux de son père et ce petit nez en trompette...je suis si heureuse...

Elle doit se sentir si heureuse de pouvoir, à nouveau, profiter d'Andréas, de s'en occuper et de le voir grandir. Elle doit avoir envie de rattraper les 4 mois qu'elle a passé loin de lui...

W : si je m’écoutais on passerait la journée ici...
S : je te vois venir...mais moi j’ai très faim et çà va te coûter un max !

Went a une idée coquine derrière la tête mais je crois que son rêve sera exaucé lorsqu'ils rentreront chez eux

W : je t’avais juré qu’un jour je t’y amènerais quand je serais célèbre et tu m’avais répondue que c’était tout le mal que tu me souhaitais. Tu disais qu’on aurait jamais de quoi se payer ce genre de restau...
S : je me suis trompée tu vois...
W : comme la fois où tu m’as dit de laisser tomber, de te laisser tranquille, tu vois j’arrive toujours à mes fins !

On voit qu'ils n'ont rien oublié de leur passé commun, tous les 2. C'est touchant
Je pense que la suite de la soirée s'annonce très coquine...Wentworth a découvert la nouvelle coupe deSonia mais il n'a pas encore mis les yeux sur sa nouvelle lingerie. ça ne devrait pas le laisser indifférent

ohlala ça va chauffer!!!

je pense qu'il ne sait pas ce qu'il attend nous les filles on a tjrs ce qu'on veut!!

en tout cas c'est super , j'attends la suite!!

Si went savait ce qu'il l'attend!!!!!!!

Mets vite la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et bien il ne sait pas ce qui l'attend angel, mais pour vous, voici la suite !







Le repas achevé, j’ai l’impression que mon ventre va exploser et a ce train là ; les tenues que j’ai achetées hier, je n’aurais même pas le temps de les porter !
Went me sert un verre de champagne et nous trinquons, faisant fi du passé, les yeux tournés vers notre avenir, notre famille.
Je sais qu’il est peut-être temps pour nous de l’envisager et d’en parler franchement mais j’ai peur de rompre la magie de l’instant, la grâce de cette journée.

W : a quoi tu penses ?

S : à nous justement !

W : et à nous comment ?

S : a nous tout court !

Je sens qu’il est déçu par ma réponse alors je vais tenter de le faire sourire. J’hote mes ballerines et laisse mes pieds tendus toucher les siens puis remonter le long de son pantalon. Il pouffa au moment où il s’apprêtait à boire une gorgée de son verre. Je lui souris innocemment et il me provoque du regard.

W : tu te sens bien ?

S : tu n’aimes pas ?

W : euh...je...je crois que je vais demander l’addition...

S : je crois que c’est parfait...

Il lève le bras et un serveur accoure. Il demande l’addition et en moins de cinq minutes nous sommes dehors, sous les regards interrogateurs des quelques serveuses qui l’ont reconnus et qui me toise sournoisement dès qu’il détourne le regard dans ma direction. Cet homme les rend dingue, mais cet homme est à moi et je ne laisserais plus rien me l’enlever !

Dehors, nos mains se rejoignent enfin et ses doigts enserrent ensuite ma taille et mon ventre. Il est derrière moi, sa tête appuyée sur mon épaule alors que je me perds dans la contemplation du lac, si calme, si brillant sous les rayons généreux du soleil printanier.

W : c’est beau...tu veux rentrer, tu es fatiguée ?

S : non...j’aimerais marcher un peu avec toi sur le bord du lac...comme avant, tu te souviens ?

Il ne répond rien mais se déplace et me fait face. Il caresse ma joue et me détaille. Je me sens pas du tout mal à l’aise car moi aussi je veux graver cet instant dans ma mémoire. Nos mains se rejoignent et je laisse ma tête se pencher sur son épaule droite. Nous avançons doucement sur le bord presque désert à cette heure. Il fait pourtant beau aujourd’hui. Je sens que le froids n’a pas quitté la région depuis longtemps mais çà sent le renouveau, le printemps, comme dans ma vie, je l’espère.

W : tu n’es pas fatiguée ? Tu as fait d’énormes progrès, c’est fou !

S ; je voulais remarcher avant mon fils et accompagner ses premiers pas ! Et puis je voulais redevenir une femme présentable pour plaire à son papa aussi...

Il me sourit, attendri. Sa main quitte la mienne pour serrer mes hanches et m’attirer vers lui. Nous sommes à quelques centimètres à peine et je sens son souffle perturbateur dans mon cou. Il me parle doucement avec sa petit vois rauque qui me fait chavirer.

W : tu sais que tu seras toujours présentable à mes yeux...peu importe le contexte et la situation...

Je frissonne et ses yeux me transpercent alors que ses lèvres s’approchent dangereusement, toujours plus près des miennes. L’impact est terrible. Je me sens défaillir et me tient nerveusement a son cou en caressant la naissance de sa nuque. Je fonds. Nos cœurs battent si fort l’un contre l’autre. Notre baiser est éternel et j’en ressors toute essoufflée, griffée par sa barbe naissante mais heureuse. Il me sourie et laisse son front contre le mien en reprenant son souffle.

W : tu veux rentrer ?

Je secoue la tête et nous repartons en sens inverse. Bras dessus, bras dessous, il me semble que le temps s’est arrêté et joue enfin en notre faveur. Fini les persécutions peut-être ?

Il m’embrasse avant de monter dans la voiture, sous les regards médusés de quelques badauds. Il y a quoi...dix minutes en voiture pour rejoindre notre rive et notre maison ?
Pourtant ces dix minutes seront suffisantes pour que je plonge dans les bras de Morphée.

Went est un peu frustré mais aussi très amusé. Il sait comme tous les efforts que j’ai fournis m’ont fatigué. Arrivés, il détache ma ceinture et me transporte jusqu’à notre chambre. Je ne bronche même pas tant le sommeil s’est emparé insidieusement de moi.

Je vais dormir pendant près de trois heures, emportés par mes songes et le bien être qui règne dans mon cœur

Lorsque je me réveille, en sursaut, le crépuscule reflète les derniers rayons du soleil sur le lac immobile. J’entends des bruits dans la cuisine. Je suis déçue de m’être endormie et je pense à Went tout seul en bas, qui avait prévu de passer une journée romantique avec moi. Je me sens coupable mais après tout qu’est-ce que j’y peux ?
J’ai surestimé mes capacités après ces jours de travail acharnés pour lui prouver ma force de caractère. Au moins...maintenant je suis fraîche et reposée.
Je me lève et me faufile doucement sous la douche. Le jet chaud et puissant m’ôte les tensions et me détend. Je sors et me frictionne énergiquement. Je m’hydrate et sort le plus bel ensemble déshabillé que je viens d’acheter.
Une longue nuisette rouge en satin, un shorty assorti et le peignoir par-dessus. Je sais qu’il va être étonné de me voir débarquer comme çà mais j’espère tout de même que je vais lui plaire...
Je secoue mes cheveux et les laissent naturels. Je jette un œil une dernière fois dans la glace et je dois avouer que je suis fière du résultat. Fini les sous-vêtements en coton !

Je longe discrètement la rambarde en bois et l’observe dans le salon. Il regarde un album de photo d’Andréas tout petit et sourie. Je reste cinq minutes à le détailler et j’en ai presque les larmes aux yeux quand je pense à l’amour que nous avons l’un pour l’autre alors que nous avons passé tant de temps à nous faire du mal. Il a l’air si apaisé à cet instant, si heureux. Depuis combien de temps nous ne nous sommes pas retrouvés comme çà ? Combien de semaines, de mois, d’années avons-nous gâcher par orgueil et préjugés ? Loin de lui je survivais mais aujourd’hui, après avoir survolé la mort, je veux vivre, et a ses cotés.

Je me décide et descend en essayant de ne pas faire de bruit. C’est sans compter sur le vieil escalier de bois qui craque sur mon passage.
Je grimace et stoppe tout mouvement. Son regard intercepte le mien et je suis paniquée dans l’attente de sa réaction. Je vois ses yeux s’agrandir et s’écarquiller quand il détaille ma tenue et ma silhouette. Çà lui plait ? Pas sûr.

Je continue donc ma descente et il me sourie sans bouger pourtant. Je m’approche du fauteuil et il me tend la main et embrasse ma paume. Il me fait tourner sur moi même et sourie toujours. Il a l’air ravi mais j’aimerais bien qu’il dise quelque chose, il voit pas que je suis tremblante là ? Il pourrait me dire ce qu’il en pense tout de même !
Je suis debout, face à lui, il est assis, jambes légèrement écartées. Il s’approche et pose sa tête sur mon ventre puis soupire. Il touche le satin doux qui frôle ma peau. Une main sur ma cuisse gauche, l’autre sur ma main, il apprécie lui aussi le contact du tissu sur ma peau.
Il se lève et me fait face. Il dépose un baiser au creux de mon cou. Ses yeux brillent de milles feux et je n’ai pas besoin de paroles. Je sens la ceinture de mon peignoir glisser sous l’impulsion de ces doigts experts. Je lui sourie gênée de ma tenue car je sais que ce n’est pas comme cela qu’il m’imagine au fond...

W : tu es magnifique...

Le peignoir est à mes pieds et laisse apercevoir le reste de mon corps suffisamment dénudé pour laisser imaginé le reste
Il me redresse le menton et plonge son regard dans le mien. Je suis écarlate.

W : tu n’a pas à rougir...tu es belle...très belle et immensément désirable.

Ses lèvres plongent sur les miennes et je lui rends son baiser, laissant ma bouche s’entrouvrir sous la pression de son désir et de ses caresses. Nous flottons dans la pièce. Je n’ai plus la notion d’espace. Je m’accroche à lui tandis que ses mains parcourent l’étoffe puis ma peau. Il me caresse et mon cou se tend sous ses baisers. Je n’ai aucune envie de m’échapper de ses bras. Je laisse mes mains parcourir son torse sous sa chemise et je sens ses muscles et sa respiration saccadée à mon contact.
Je sens ses mains me soulever. Son regard s’accroche au mien et ne le quitte plus. Je ne touche plus le sol, emprisonnée dans ses bras. Il me porte vers notre chambre, souriant et patient et je sais que notre soirée va être longue...



Je sais...je suis dure de couper là... déjà quand je l'avais postée sur l'autre fofo,les filles avaient voulu me trucider mais votre patience sera récompensée !

oui c'est très méchant surtou que je sais que ça va être super!!

mais bon c'est déja super!!! LA SUITE!!!!!!!!!

W : tu te sens bien ?
S : tu n’aimes pas ?
W : euh...je...je crois que je vais demander l’addition.

J'adore sa petite tentative pour lui ôter toute déception. Je crois qu'il doit être assez surpris...et content

Cet homme les rend dingue, mais cet homme est à moi et je ne laisserais plus rien me l’enlever !

A mon avis, c'est réciproque. Lui aussi ne la laissera plus repartir. Ils ont trop souffert tous les 2.

Notre baiser est éternel et j’en ressors toute essoufflée, griffée par sa barbe naissante mais heureuse. Il me sourit et laisse son front contre le mien en reprenant son souffle.
W : tu veux rentrer ?

Je crois qu'il est préférable pour eux de rentrer, effectivement.

Je longe discrètement la rambarde en bois et l’observe dans le salon. Il regarde un album de photo d’Andréas tout petit et sourit. Je reste cinq minutes à le détailler et j’en ai presque les larmes aux yeux quand je pense à l’amour que nous avons l’un pour l’autre alors que nous avons passé tant de temps à nous faire du mal. Il a l’air si apaisé à cet instant, si heureux. Depuis combien de temps nous ne nous sommes pas retrouvés comme çà ? Combien de semaines, de mois, d’années avons-nous gâcher par orgueil et préjugés ? Loin de lui je survivais mais aujourd’hui, après avoir survolé la mort, je veux vivre, et a ses cotés.

Tout cette histoire l'a fait beaucoup réfléchir. Sans ces douloureux moments, serait-elle revenue, en tout cas si vite ?

Le peignoir est à mes pieds et laisse apercevoir le reste de mon corps suffisamment dénudé pour laisser imaginer le reste
Il me redresse le menton et plonge son regard dans le mien. Je suis écarlate.
W : tu n’a pas à rougir...tu es belle...très belle et immensément désirable.

On dirait qu'elle a peur de sa réaction en la voyant si sexy avec sa nouvelle lingerie. Elle a peut-être un peu peur de leurs "retrouvailles intimes" car son corps a été meurtri et parce que le contexte n'est plus le même mais, au fond, elle attend ça avec impatience, comme lui. Je crois que ça va être passionné...

Il me porte vers notre chambre, souriant et patient et je sais que notre soirée va être longue...

Soso_Burrows, nous attendons la suite avec impatience, comme tu peux l'imaginer. Il ne faut pas les laisser comme ça trop longtemps, les pauvres

alala ma soso que dire a part que j'adore ta fic (qui ne l'aime pas d'ailleurs)v

c'est vrai que c'est assez cruel de couper au moment le plus important mais sachant que tu ecrit magnifiquement bien je sens que je ne vais pas etre decu de la suite que tu nous prepare!!!!!

maintenant il faut que tu nous la poste

très bien ,merci de vos coms les filles!

Dc suite cette après midi pour celles qui seront là ??

je serais au rendez vous miss je le suis toujours surtout avec tes super fics !!!!


a tout a l'heure

Merci .Julie ! Voilà la suite, bonne






Je me sens légère dans ses bras. Il entrouvre la porte de notre chambre et me pose délicatement au sol. L’une de mes bretelles est tombée et laisse mon épaule dénudée jusqu’à ma poitrine. Il me regarde et me sourie et je laisse mes doigts déboutonner sa chemise. Ses mains frôlent mes bras, laissant de douces caresses sur leur passage. J’ouvre sa chemise et il secoue les bras pour s’en débarrasser. C’est la première fois depuis des années que je prends le temps de détailler son corps, que je ne me sens pas stressée d’être là, avec lui, je ne me sens pas fautive et j’ai presque du mal le croire.

Sa main enserre ma taille pour en pas que je lui échappe. Ses yeux ne me quittent pas et me détaillent. Nous transpirons du même désir et je n’ai p as envie de faire attendre plus longtemps le feu sui brûle en moi. Je prends sa main pour qu’il me suive et je m’assois sur le lit, il est face à moi et j’en profite pour embrasser son torse, son ventre tout en m’attaquant aux boutons de son pantalon. Il caresse mes cheveux et je sens la tension nerveuse qui l’habite. Débarrassé du trop gênant pantalon, je me relève vers lui et reprends possession de ses lèvres. Il répond fougueusement à mon baiser et nos langues se joignent dans un ballet effréné et incessant. Je me détache de lui essoufflée et il laisse ses doigts glisser sur mes bretelles qui n’opposent aucune résistance et la nuisette est déjà à mes pieds. Il est en caleçon et moi en shorty a dentelle et nos corps se frôlent, se touchent et se repoussent pour mieux s’apprivoiser. Il détaille une dernière fois la dernière pièce de mon ensemble de lingerie et me sourie encore. Je crois que malgré mes inquiétudes, cela lui plaît.
Il caresse mes seins tendrement puis les embrasses alors que sa nuque gigote entre mes mains qui alternent et frotte ses cheveux sous la pression du plaisir qu’il me procure. Je sens ses doigts sur mes cuisses et je gémis quand il me soulève brutalement du sol pour enrouler mes jambes autour de ses hanches. Ma bouche contre la sienne, il se penche sur le lit et m’y dépose sans que nos deux corps se séparent. Il caresse mon cou en suivant ma jugulaire puis passe entre mes seins. Sa paume continue son exploration sur mon ventre et je me cambre quand je sens ses doigts soulever l’étoffe de dentelle pour s’insinuer plus loin. Je sens une vague de chaleur m’envahir et je sais que je ne tiendrais pas longtemps ainsi. Tous nos sens son en éveil et c’est à peine si j’arrive à reprendre ma respiration tant j’ai le souffle court. Ses doigts remontent vers ma poitrine alors que c’est maintenant sa bouche qui met mon intimité au supplice. Je gémit et tente de le ramener à moi par diverses supplications mais il s’amuse de mon impatience. Je ne cesse de me retenir car je ne veux pas partir avant lui...
Lorsqu’il prend à nouveau possession de mes lèvres, je le débarrasse de son boxer et devient entreprenante moi aussi. Il se cambre et gémit à son tour, surpris pas ma fougue. Nos corps l’un sur l’autre, je sais qu’il m’attends tout autant que je l’attends. J’ai rêvé ce moment tant de fois...
Ses yeux dans les miens, il m’adresse son plus beau sourire et plonge dans mon cou avant de se relever presque aussitôt.

W : tu es sûre ?

Je suis à la fois touchée et amusée par sa réaction...comment peut-il encore douter ? Je mordille sa lèvre inférieure et rigole.

S : çà fait dix ans que j’attends Went...

Il me mordille à son tour puis recommence ses baisers, plus fougueux que jamais. Je sens son bras tapoter dans la tablette de nuit. Il se redresse, un petit emballage en plastique entre les doigts.

S : qu’est-ce que tu fais ?

Je le sais très bien ce qu’il fait mais çà ne me plaît pas...

W : je mets un préservatif...tu n’a pas de contraception non ?

J’éclate de rire, c’est plus fort que moi, nerveux car certains souvenirs gravés à jamais refont surface mais lui restes incrédule et ne comprend pas du tout ma réaction.

W : qu’est-ce qui est drôle ?

S : tu ne vois pas ?

W : non ?

S : tu sais ce qui est arrivé la dernière fois que tu as mis un préservatif Went ?

Il me sourie en effectuant de petits cercles autour de mon nez. Il reprend ma bouche et je lui ôte l’emballage plastique des mains que je balance à travers la pièce. Il me regarde amusé et reprends le ballet de ses baisers sur mon corps alors que je le presse de venir en moi en griffant son dos. Je le veux tout de suite.

Il accède à ma demande et je le sens venir en moi doucement. Nous gémissons au contact de l’autre et il entame alors de lents et suaves va et vient qui me mettent en transe. Mes doigts pressent son dos, je me cambre et il attrape ma cuisse pour entrer encore un peu plus en moi. Je sens mes muscles se raidir et une vague de chaleur m’envahir...je l’appelle et je crie son nom alors que la jouissance s’empare de moi. Il me suit de près, je sens que mes cris déclenche sa jouissance et il étouffe son râle dans mon cou. Il reste en moi un moment après que le plaisir nous ai terrassé. Je ne veux plus bouger. Je ne me suis pas sentie aussi vivante depuis des années. Une douce chaleur flotte encore au creux de mon ventre.
Il finit par se détacher et embrasse encore ma poitrine. Il revient vers moi et je prends sa nuque pour un baiser plus sensuel que jamais.

W : tu as encore faim c’est çà ?

S : je ne te permets pas !

W : je t’aime

S : je t’aime aussi Went...

Nos regards soudés, les yeux pétillants de bonheur et le cœur encore essoufflé, nous savourons l’instant. Went me sourie, une lueur étrange au fond des yeux. Il soupire et se lance.

W : épouses-moi !

Je me redresse ahurie. J’ai bien entendue ? Je...je...je n’avais pas pensé à çà.
Il me regarde, il est sérieux, plu sérieux que jamais, je le vois bien. Je...oui, je le veux, oui.

W : excuse moi, je...je ne voulais pas te prendre au dépourvu Sonia...c’est juste que je t’aime depuis si longtemps, et il y a notre fils et...je ne me suis jamais vu qu’avec toi et...si tu étais partie je n’aurais pas pu continuer, pas sans toi et...

Je ne le laisserai pas finir sa phrase.

S : je veux r’épouser Went, je le veux.

W : tu...tu...tu es sérieuse ?

Je secoue la tête amusée par sa réaction. Il me saute dessus et nous roulons sur le lit, enlacés. Enfin ma vie va ressembler à quelque chose de normal, une vraie vie avec un papa, une maman, une maison...
Son odeur m’enivre alors que mon cou croule sous ses baisers.

W : tu as faim ?

S : je meurs de faim !

Il se lève et enfile des vêtements. Je le trouve si beau !
Il me tend les bras et nous descendons mains dans la main continuer la plus merveilleuse soirée qu’il m’ai été donné de passer depuis des lustres.
Je savoure ce moment avec l’homme que j’ai toujours aimé. Il m’a tellement manqué toutes ces années. Comment ais-je fais pour tenir le coup ? Je sais qu’aujourd’hui je serais incapable d’imaginer ma vie sans lui mais je ne m’attendais pas à une telle demande, pas si vite

Oh c'est trop beau ... continue comme sa surtout

alala c'est magnifique !!!!!

ils vont se marier


genialisime j'en redemande encore

ta ta tata tata tata!!!!

ouaaa! c'est trop bien !!!!!!!!!

enfin un peu de tranquilité!!

Il détaille une dernière fois la dernière pièce de mon ensemble de lingerie et me sourie encore. Je crois que malgré mes inquiétudes, cela lui plaît.

Je crois que cet ensemble lui plaît mais, de toutes façons, comme il s'en débarasse vite, il ne fallait pas qu'elle se tracasse pour ça.

W : tu es sûre ?
Je suis à la fois touchée et amusée par sa réaction...comment peut-il encore douter ? Je mordille sa lèvre inférieure et rigole.
S : çà fait dix ans que j’attends Went...

Il est toujours très attentionné, très doux. Il sait qu'il n'y a plus d'obstacles à leur amour mais il ne veut pas précipiter les choses. Il doit encore penser qu'elle est encore fragile après son long coma.

S : qu’est-ce que tu fais ?
Je le sais très bien ce qu’il fait mais çà ne me plaît pas...
W : je mets un préservatif...tu n’a pas de contraception non ?
J’éclate de rire, c’est plus fort que moi, nerveux car certains souvenirs gravés à jamais refont surface mais lui restes incrédule et ne comprend pas du tout ma réaction.
W : qu’est-ce qui est drôle ?
S : tu ne vois pas ?
W : non ?
S : tu sais ce qui est arrivé la dernière fois que tu as mis un préservatif Went ?

C'est vrai que ça n'avait pas été d'une grande efficacité lors du marigae de Brian mais là, ça veut dire aussi qu'ils prennent le risque de faire un petit frère ou une petite soeur à Andréas Ce serait un peu tôt pour que le corps de Sonia le supporte, sans doute et puis, ils vont avoir d'autres projets apparemment

Nos regards soudés, les yeux pétillants de bonheur et le cœur encore essoufflé, nous savourons l’instant. Went me sourie, une lueur étrange au fond des yeux. Il soupire et se lance.
W : épouse-moi !
Je me redresse ahurie. J’ai bien entendue ? Je...je...je n’avais pas pensé à çà.
Il me regarde, il est sérieux, plu sérieux que jamais, je le vois bien. Je...oui, je le veux, oui.
W : excuse moi, je...je ne voulais pas te prendre au dépourvu Sonia...c’est juste que je t’aime depuis si longtemps, et il y a notre fils et...je ne me suis jamais vu qu’avec toi et...si tu étais partie je n’aurais pas pu continuer, pas sans toi et...
Je ne le laisserai pas finir sa phrase.
S : je veux t’épouser Went, je le veux.
W : tu...tu...tu es sérieuse ?

Je ne m'attendais pas à une telle demande si vite mais, c'est vrai qu'après tout ce qu'ils ont dû traverser, c'est logique. Il est touchant, on le devine ému par la réponse de Sonia, comme si une partie de lui doutait. Je crois que les parents de Wentworth vont être aussi fous de joie

Qu'est ce que c'est beau!!!!!!!!!


C'est uen merveilleuse suite que tu nous écris là Soso, Bravo!!!!!

Et puis la demande, j'en ai eu le souffle coupé, je ne m'y attendais pas non plus

Vivement la SUITE!!!!!!

W : épouses-moi !

Comment tu m’as surprise ????? Je ne m’y attendais absolument pas du tout ! c’est génial ! Waouh !

J’ai rattrapé toutes mes suites de retard ! c’est toujours aussi bien !

J'ai été longue, désolée, mais voilà la suite comme promis, je ne vous oublie pas !




Mes paupières s’ouvrent lentement et j’ai l’impression d’avoir dormi un siècle. Je me sens reposée et aucun souvenir désagréable ne me revient à l’esprit.
Notre soirée a vraiment été merveilleuse. Nous avons dîner d’un pique-nique improvisé près de la cheminée sur le tapis et entre les coussins et nous avons parlé de tout et de rien, de toutes ces choses fausses que nous pensions l’un sur l’autre et qui nous ont séparé si longtemps.
Sa fausse histoire avec cette fille bidon il y a dix ans, parce qu’il était trop jeune, parce que j’étais trop naïve et parce que nous avions notre vie à faire.
Mon faux bonheur avec Fred, mes fausses excuses et puis les mensonges qui se sont cumulés parce que chacun pensait des choses fausses sur l’autre. Et puis le mariage de Brian, nos brèves retrouvailles, ma grossesse, de nouveau mon faux bonheur et puis nos brèves retrouvailles, mes mensonges et la dure réalité de la vie qui nous a éclaté en pleine face.

Cette discussion m’a fait du bien. Ce n’est pas que j’en avais expressément besoin, mais mettre ainsi les choses à plat me permet aujourd’hui, ce matin de me sentir sur des bases scènes car nous nous sommes tout dit. Je me suis confiée, j’ai avoué mes erreurs, mes craintes et tout ce qui a pu nous faire échouer par le passé.
Went, lui, s’est réellement confié. Il est assez secret sur lui en général mais hier soir, il m’a tout déballé, posément, calmement, pour que je comprenne qu’il m’a toujours aimé et qu’il m’aimerait toujours. Je sens que je souris bêtement en repensant à l’un de ses aveux. Il m’a expliqué comment après de nombreuses années, il croisait parfois des femmes qui me ressemblaient. Plusieurs fois, alors qu’il arrivait dans un aéroport ou dans une ville inconnue, il croisait une silhouette de dos et s’approchait, m’appelait et quand la fille se retournait, il comprenait qu’il avait fait erreur, que ce n’était pas moi. Et puis il y a eu cette fois, à Cannes, cette fois où nos regards se sont croisés et où il a cru encore qu’il rêvait. Lorsque je me suis enfuie pour lui échapper, c’est là qu’il m’a avoué qu’il avait compris que j’étais bien réelle. C’est là qu’il m’a couru après et c’est de là que tout a recommencé.

Je me frotte le visage et le regarde. Il est endormi paisiblement, face à moi. Il doit être fatigué car notre nuit a été...comme qui dirait...mouvementée.
Il ne va probablement pas tarder à se réveiller alors je me poste face à lui et j’attends ; guettant le moindre de ses mouvements avant son réveil, pour graver dans ma mémoire ces petits gestes et son image car je sais qu’après cette journées, les suivantes risquent d’être bien longues, séparée de lui.

De longues minutes passent et j’en arrive presque à me rendormir. Je n’ai pas regardé l’heure car je m’en fiche. Je tourne mes yeux au plafond et j’essaye de me concentrer. Je pense à tout ce qui arriver, tout ce qui va suivre dans ma vie. Wentworth a une vie publique aujourd’hui, il est adulé par des millions de personnes, surtout des femmes et je ne sais pas comment je vais arriver à m’imposer dans son monde. Je n’ai pas peur mais je me pose des questions..

Je le regarde à nouveau mais je vois alors ses deux prunelles océan me fixer. Je frémit de surprise.

W : bonjour toi ! Il y a longtemps que tu es réveillée ?

Je ne réponds rien mais je le regarde, un sourire en coin. Je comprend maintenant, ces milliers de femmes. Ce petit, ce grand quelque chose qu’il a dans le regard et qui change tout.

W : qu’est-ce qu’il y a ? Tu es bizarre, çà ne va pas ?

S : oh que si çà va...je me disais juste que tu es incroyablement sexy au réveil...

Ses yeux s’arrondissent à ma déclaration.

W : arrêtes tu vas me faire rougir !

S : je comprends toutes ces femmes à tes pieds maintenant...

Il roule sur moi et m’emprisonne. Ma réaction le fait visiblement beaucoup rire.

W : tu es jalouse ma parole !

S : oui...c’est normal, elles t’adulent et moi, quand elles vont me connaître, elles vont me détester ! Je vais être la méchante qui leur a pris Wentworth Miller !

Il dépose un délicat baiser sur mes lèvres et me regarde tout sourire. Visiblement, rien ne peut le décontenancer. Il n’a pas l’air d’appréhender la publicité qui se fera sur notre couple !

W : tu sais, ce n’est pas parce que j’étais seul tout ce temps que mon cœur était libre...

Je sais exactement par son regard puissant, quel message il a voulu me faire passer.
Je le fais rouler et me retrouve à califourchon sur lui. Je l’embrasse puis détaille chaque parcelles de son visage que j’inonde de baisers. Je sens ses longs doigts fins dans mon dos qui me caressent de haut en bas en exerçant une légère pression qui me ramène plus à lui.
Nos lèvres soudées, nos langues se lancent dans un balai impétueux et charnel.
Nus l’un contre l’autre, je sens son désir naître et s’intensifier entre mes cuisses. Je le provoque et embrasse son cou, ses lobes et c’est lui que j’ai envie de croquer. Sa barbe me chatouille et me griffe et mon excitation atteint son paroxysme, comme la sienne.
Je me redresse et me laisse glisser sur lui ; laissant échapper un gémissement de plaisir quand je me sens descendre le long de son sexe. Ses mains sont partout sur moi. Ma poitrine, mon dos, mes hanches et mes cuisses puis mes fesses.
Je bouge frénétiquement sur lui car j’ai envie de rage ce matin, la rage de cet amour dont je me suis trop souvent privée. Il se redresse vers moi et nous nous retrouvons assis, l’un sur l’autre, imbriqués comme des légos.
Ses mains sur mes hanches et le regard hagard, nous poursuivons notre quête ensemble. Je le sens au plus profond de moi et j’aimerai que cela dure toujours.
Il me quitte un instant et rebascule sur moi. Il me domine à nouveau et rentre en moi une dernière fois. Ses va et viens puissants me transportent et il se lâche complètement. Ses mains me serrent les poignets au dessus et de chaque coté de ma tête. Ses muscles se tendent et je le regarde partir alors qu’une puissante vague de plaisir m’emporte aussi.
Essoufflés et en sueur, nous nous sourions bêtement. Je n’ai jamais ressenti avec personne d’autre ce que je ressens dans les bras de Went.

Je le vois se relever et regarder sa montre et je cligne plusieurs fois des yeux en scrutant le cadran.

S : c’est...c’est ma montre ? Celle de notre premier noël, celle que j’avais fait graver...

Il me sourie et me laisse la lui défaire. Çà fait si longtemps que je n’ai pas vu ces inscriptions. Je relis les quelques mots gravés dans l’acier. « À toi pour toujours, S »
Il me prend dans ses bras et pose ma tête contre son cœur. Une larme vient perler sur ma joue quand je repense à cette époque où trop naïve, je pensais que rien ni personne ne pourrait jamais nous séparer. Je me détache et il remarque mon malaise et mes craintes.

W : et... ! Elle ne m’a jamais quittée tu sais...je la porte depuis toujours...

Je me cale contre lui et il embrasse mes cheveux, son souffle apaisant sur moi.

W : d’ailleurs, tu sais ce qu’elle indique cette montre ?

Je le regarde incrédule, qu’est-ce qu’il va encore m’annoncer ? Je vois à sa tête que c’est une grosse connerie mais je vais lui laisser l’occasion de me le dire.

W : eh bien elle me dit qu’ils nous restent moins d’une demi-heure pour être dans la voiture si on ne veut pas être en retard au déjeuner chez mes parents ! Te connaissant çà va être dur !

Je lui pince la peau du ventre et m’enfuie me renfermer dans la salle de bain. J’ai quand même hâte de retrouver notre fils aussi.



Alors ?

une suite !

Notre soirée a vraiment été merveilleuse. Nous avons dîner d’un pique-nique improvisé près de la cheminée sur le tapis et entre les coussins et nous avons parlé de tout et de rien, de toutes ces choses fausses que nous pensions l’un sur l’autre et qui nous ont séparé si longtemps.

C'est bien qu'ils aient vidé leur sac, parlé de leurs erreurs, fait le point. Ils s'aiment, le savent mais ils se devaient de repartir sur des bases saines, après avoir beaucoup souffert l'un et l'autre et après avoir aussi beaucoup fait souffrir l'autre.

Went, lui, s’est réellement confié. Il est assez secret sur lui en général mais hier soir, il m’a tout déballé, posément, calmement, pour que je comprenne qu’il m’a toujours aimé et qu’il m’aimerait toujours. Je sens que je souris bêtement en repensant à l’un de ses aveux. Il m’a expliqué comment après de nombreuses années, il croisait parfois des femmes qui me ressemblaient. Plusieurs fois, alors qu’il arrivait dans un aéroport ou dans une ville inconnue, il croisait une silhouette de dos et s’approchait, m’appelait et quand la fille se retournait, il comprenait qu’il avait fait erreur, que ce n’était pas moi. Et puis il y a eu cette fois, à Cannes, cette fois où nos regards se sont croisés et où il a cru encore qu’il rêvait.

On voit que Sonia n'a jamais quitté le coeur de Wentworth

Je me frotte le visage et le regarde. Il est endormi paisiblement, face à moi. Il doit être fatigué car notre nuit a été...comme qui dirait...mouvementée.

On n'a même pas le droit à un petit extrait de leur nuit mouvementée ?
ça va, tu t'es ratrappée après !

Nus l’un contre l’autre, je sens son désir naître et s’intensifier entre mes cuisses. Je le provoque et embrasse son cou, ses lobes et c’est lui que j’ai envie de croquer. Sa barbe me chatouille et me griffe et mon excitation atteint son paroxysme, comme la sienne.
Je me redresse et me laisse glisser sur lui ; laissant échapper un gémissement de plaisir quand je me sens descendre le long de son sexe. Ses mains sont partout sur moi. Ma poitrine, mon dos, mes hanches et mes cuisses puis mes fesses.
Je bouge frénétiquement sur lui car j’ai envie de rage ce matin, la rage de cet amour dont je me suis trop souvent privée. Il se redresse vers moi et nous nous retrouvons assis, l’un sur l’autre, imbriqués comme des légos.
Ses mains sur mes hanches et le regard hagard, nous poursuivons notre quête ensemble. Je le sens au plus profond de moi et j’aimerai que cela dure toujours.

Il ne va probablement pas tarder à se réveiller alors je me poste face à lui et j’attends ; guettant le moindre de ses mouvements avant son réveil, pour graver dans ma mémoire ces petits gestes et son image car je sais qu’après cette journées, les suivantes risquent d’être bien longues, séparée de lui.

Sonia ne veut pas manquer la moindre miette de Wentworth et on la comprend

W : qu’est-ce qu’il y a ? Tu es bizarre, çà ne va pas ?
S : oh que si çà va...je me disais juste que tu es incroyablement sexy au réveil...
Ses yeux s’arrondissent à ma déclaration.
W : arrêtes tu vas me faire rougir !
S : je comprends toutes ces femmes à tes pieds maintenant...

Cette déclaration fait son petit effet sur Wentworth apparemment

Je sais exactement par son regard puissant, quel message il a voulu me faire passer.

S : c’est...c’est ma montre ? Celle de notre premier noël, celle que j’avais fait graver...
Il me sourit et me laisse la lui défaire. Çà fait si longtemps que je n’ai pas vu ces inscriptions. Je relis les quelques mots gravés dans l’acier. « À toi pour toujours, S »
Il me prend dans ses bras et pose ma tête contre son cœur. Une larme vient perler sur ma joue quand je repense à cette époque où trop naïve, je pensais que rien ni personne ne pourrait jamais nous séparer. Je me détache et il remarque mon malaise et mes craintes.
W : et... ! Elle ne m’a jamais quittée tu sais...je la porte depuis toujours...

C'était sa façon à lui de ne pas oublier Sonia...C'est touchnat.
Maintenant, ils vont retrouver leur petit bonhomme

ma soso toujours aussi bien je suis accros a tes fics !!!!

continues miss tu cartonnes une suite stp!!!

C’est mimi tout plein ! et je suis contente et soulagée qu’ils se soient enfin parlés ! Ils fallaient absolument qu’ils le fassent ; et quelle plus merveilleuse façon de le faire, qu'un bon petit week-end tranquille, et apaisant !