NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Je crois qu'ils ont franchi une étape très importante tous les 2S : je n’ai pas été plus heureuse depuis des mois. Je suis bien avec toi Went.
Il me sourit et dépose un baiser sur ma bouche puis dans mon cou avant de relever son visage près du mien.
W : je t’aime ma petite frenchie, je n’ai jamais cessé de t’aimer.
On imagine qu'il se pose beaucoup de questions. Il doit se demander si leur histoire va véritablement reprendre ou non. Au fond de lui, il doit penser que si elle repart après ça, il sera encore plus effondré que la fois précédente Pourtant, malgré toutes ses interrogations, il ne lui lance pas de sorte d'ultimatum. Il reste patient et je crois qu'il a raison car Sonia n'est pas encore tout à fait prête à tout lui direW : oh ! Je crois qu’il manifeste son mécontentement !
Je relève les yeux et assiste au spectacle. Il regarde émerveillé la petite bosse se déplacer, se former puis disparaître à nouveau. Il souris mais son visage change vite d’expression et c’est la mine beaucoup plus grave qu’il s’adresse à moi.
W : So...qu’est-ce que nous allons faire maintenant ? Je veux dire...ce bébé, Fred...qu’est-ce que tu comptes faire ?
L'annoncer à Went risque d'être émouvant et stessant car elle a peur qu'il puisse mal réagir (même si, au fond, d'elle, elle doit savoir que tout se passera bien). L'annoncer à Fred, ça risque d'être tendu mais, en même temps, elle n'attend plus rien de lui. Il faut donc qu'elle prenne son courage à 2 mains mais il faudrait que Wentworth ne lui capture pas toujours les lèvres et la laisse parlerSes yeux trahissent l’angoisse de sa question. Il sait que je l’aime, il sait que je suis bien avec lui et que cette nuit merveilleuse comme les semaines qui l’ont précédées m’ont permis de comprendre enfin où était ma place mais je ne sais pas du tout comment faire. Je dois lui annoncer sa future paternité...mais comment l’annoncer à Fred ?
J’aimerais lui dire qu’il peut-être soulagé, qu’il est le père de ce bébé et que nous allons être heureux tous les trois. Je crois même qu’inconsciemment, j’ai toujours su que l’enfant que je portais était de lui. Mais une force me retient et je me tais, une fois de plus je suis faible. Je veux privilégier l’instant au risque de peut-être ne plus avoir d’occasion.
Je pense que plus elle retarde le moment de leur dire, plus dur ce sera pour elle. Là, Wentworth s'en va pendant 2 semaines. il ne faudrait pas que le bébé vienne sans qu'il soit là
W : So...tu vas me manquer...je dois y aller, je serais de retour dans deux semaines. Je ne peux pas rentrer avant, je suis désolé. Mais je t’appellerai tous les jours, je te promets...je t’aime, si tu savais comme je t’aime...
S : je sais...
Alors, comme ça, les prochaines suites vont être plus animées ? Que va-t-il se passer ?
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
MAGNIFIQUE SUITE
FAUT QU'ELLE PRENNE SON COURAGE POUR LUI DIRE SI SI
VITE UNE SUITE SOSO NON ?
FAUT QU'ELLE PRENNE SON COURAGE POUR LUI DIRE SI SI
VITE UNE SUITE SOSO NON ?
Poety- Admis à l'infirmerie
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Une petite suite maintenant car je vais m'absenter...
Deux semaines, deux semaines qui me paraissent plus longues que les neuf dernières années que j’ai laissé derrière moi. Les jours me semblent longs, les nuits aussi. Je m’occupe, prépare ma valise pour la maternité au cas où et passe mes journées à lire des magazines pour futures mamans. Comment changer son bébé ? Comment l’allaiter ? Comment le rassurer ? Je n’ai rien à faire d’autre que d’attendre, attendre le coup de téléphone de Wentworth qui me manque terriblement...
Les heures ont beau me paraître des siècles et les journées des millénaires, le temps à passé et je suis excitée comme une puce à l’idée de le voir apparaître ici, d’une minute à l’autre.
Je m’étends sur le lit en essayant de contenir mon impatience et ma rage.
Lorsque j’aperçois enfin sa frimousse dans l’entrebâillement de la porte, je me contiens et le laisse venir à moi doucement.
Il s’approche, le visage impassible et déterminé.
Il s’assoit à terre, le visage au bord du lit, à quelques centimètres à peine du mien. Je sens son souffle sur ma bouche et m’approche irrésistiblement de ses lèvres. Leur douceur m’a manqué et je soupire de contentement à leur contact.
Je m’enflamme et mon corps appelle le sien. Je me lève et le plaque sur le lit en lui enlevant au passage ses encombrants vêtements. Je reste debout, devant lui et me déshabille. Mon ventre est énorme mais mon désir pour cet homme est encore bien plus grand.
Je retire lentement chaque morceau d’étoffe sans quitter son regard qui embrase mes sens. Je suis nue devant lui et je me sens si bien. J’ai envie de faire l’amour avec lui comme jamais. Il me tend le bras et s’assoit au bord du lit. Je m’approche et il embrasse mon ventre, mes bras, mes seins et m’attire contre lui.
Je m’allonge à ses cotés et laisse ses doigts courir sur ma peau jusqu’aux endroits les plus reculés de mon corps. Je gémis de plaisir sous ses assauts et lui demande de mettre fin au supplice.
Il répond à mon désir et me pénètre doucement. Douceur, tout n’est que douceur chez cet homme. Mon corps se cambre et l’orgasme nous terrasse en quelques secondes. Essoufflés et apaisés, nous reprenons difficilement nos esprits.
W : tu m’as manqué chérie !
S : tu m’as manqué aussi Went...tu repars ?
W : je suis en vacances mais j’ai un voyage en Corée à honorer pour des photos pour une parque de jeans...dans quinze jours tout sera terminé...dans quinze jours je reviens et je serais là pour le grand jour, je te le promet.
S : j’espère...je te veux à mes cotés.
Nous nous rhabillons et rejoignons le salon ou Tracy chantonne.
T ; çà va les amoureux ?
Nous rions et l’énervons même si en fait je suis sûre qu’elle est ravie de nous voir ainsi.
Went me serre dans ses bras près de la cuisine et nous buvons un jus de fruit dans le même verre, enlacés amoureusement contre le bar.
La sonnette de la porte d’entrée retentit alors.
T : ne bougez pas, j’y vais !
Tracy se lève et ouvre machinalement la porte sur ce qu’elle croit être Brian.
Erreur, ce n’est pas lui qui se tient devant la porte et elle articule quelques mots avec peine alors qu’il est déjà dans le salon à scruter et chercher.
T : je ne crois pas que ce soit une bonne idée ! Fred !
Je n’ai pas le temps de me dégager de l’étreinte de Went qu’il nous surprend enlacés. Ses yeux me lancent des éclairs et sa haine se reporte sur Went.
Je me dégage et suis projetée violemment en arrière alors que Fred l’attrape par le col et lui envoie un coup de poing dans la mâchoire. Je suis sonnée et me relève en criant.
S : Fred ! Arrête ! Arrête çà tout de suite !
Mais il ne m’écoute pas, il ne m’écoutes plus et déverse sa rage d’homme trompé sur lui. Les coups pleuvent et Went ne se défend même pas, comme s’il s’infligeait de mériter sa rage.
Lorsque Fred s’arrête enfin, ses paroles finissent d’asséner le coup fatal.
F : vous vous êtes bien payés ma tête tous les deux ! Çà fait combien de temps que çà dure ? Deux mois ? Depuis que tu es arrivée ici ? T’es vraiment qu’une garce ! T’as couché avec lui ? T’as couché avec lui alors que tu portes mon enfant ?
Went essaie d se relever et de contrer les insultes que profère Fred.
W : tu n’as pas le droit de parler d’elle ainsi, tu t’es pas gêné toi !
F : tais-toi le menteur ! Tu ne m’avais pas donné ta parole de te tenir à l’écart de ma femme ? C’est pas ce que tu m’as dit avant de me serrer la main ? Que tu voulais que son bonheur et que tu ne te mettrais plus en travers de notre route ? T’as attendu combien de temps avant de te la taper ?
S : Fred ! Arrête ! Çà suffit ! C’est de ma faute !
F : t’as vraiment aucune honte ! Tu portes notre fils et tu te dévergondes avec un autre homme !
S : tu n’es jamais venu me voir ici ! Tu m’as laissée seule pendant presque un mois et tu étais avec une autre femme quand je t’ai eu au téléphone ! Went n’est pas juste un autre homme !
F : c’est vrai ! J’avais oublié ! Un improbable amour de jeunesse !
Il se prend la tête entre les mains et frappe un grand coup dans le mur. Il fond en larmes et s’écroule.
Je tente de me relever pour aller à sa rencontre alors que Went me lance des yeux affolés et apeurés.
Au moment ou je me lève, une vive douleur s’empare de mon ventre et je cris avant de m’écrouler. Tracy se précipite à mon secours. Un filet de sang entre mes jambes tâche mon pantalon.
W : Sonia ! Non !
Il coure vers moi et prend mon visage entre ses mains
W : çà va aller, çà va aller...
Fred accoure près de moi affolé pendant que Tracy appelle une ambulance...
Pas cool hein ?
CHAPTER 29 : Attente et supplice
Deux semaines, deux semaines qui me paraissent plus longues que les neuf dernières années que j’ai laissé derrière moi. Les jours me semblent longs, les nuits aussi. Je m’occupe, prépare ma valise pour la maternité au cas où et passe mes journées à lire des magazines pour futures mamans. Comment changer son bébé ? Comment l’allaiter ? Comment le rassurer ? Je n’ai rien à faire d’autre que d’attendre, attendre le coup de téléphone de Wentworth qui me manque terriblement...
Les heures ont beau me paraître des siècles et les journées des millénaires, le temps à passé et je suis excitée comme une puce à l’idée de le voir apparaître ici, d’une minute à l’autre.
Je m’étends sur le lit en essayant de contenir mon impatience et ma rage.
Lorsque j’aperçois enfin sa frimousse dans l’entrebâillement de la porte, je me contiens et le laisse venir à moi doucement.
Il s’approche, le visage impassible et déterminé.
Il s’assoit à terre, le visage au bord du lit, à quelques centimètres à peine du mien. Je sens son souffle sur ma bouche et m’approche irrésistiblement de ses lèvres. Leur douceur m’a manqué et je soupire de contentement à leur contact.
Je m’enflamme et mon corps appelle le sien. Je me lève et le plaque sur le lit en lui enlevant au passage ses encombrants vêtements. Je reste debout, devant lui et me déshabille. Mon ventre est énorme mais mon désir pour cet homme est encore bien plus grand.
Je retire lentement chaque morceau d’étoffe sans quitter son regard qui embrase mes sens. Je suis nue devant lui et je me sens si bien. J’ai envie de faire l’amour avec lui comme jamais. Il me tend le bras et s’assoit au bord du lit. Je m’approche et il embrasse mon ventre, mes bras, mes seins et m’attire contre lui.
Je m’allonge à ses cotés et laisse ses doigts courir sur ma peau jusqu’aux endroits les plus reculés de mon corps. Je gémis de plaisir sous ses assauts et lui demande de mettre fin au supplice.
Il répond à mon désir et me pénètre doucement. Douceur, tout n’est que douceur chez cet homme. Mon corps se cambre et l’orgasme nous terrasse en quelques secondes. Essoufflés et apaisés, nous reprenons difficilement nos esprits.
W : tu m’as manqué chérie !
S : tu m’as manqué aussi Went...tu repars ?
W : je suis en vacances mais j’ai un voyage en Corée à honorer pour des photos pour une parque de jeans...dans quinze jours tout sera terminé...dans quinze jours je reviens et je serais là pour le grand jour, je te le promet.
S : j’espère...je te veux à mes cotés.
Nous nous rhabillons et rejoignons le salon ou Tracy chantonne.
T ; çà va les amoureux ?
Nous rions et l’énervons même si en fait je suis sûre qu’elle est ravie de nous voir ainsi.
Went me serre dans ses bras près de la cuisine et nous buvons un jus de fruit dans le même verre, enlacés amoureusement contre le bar.
La sonnette de la porte d’entrée retentit alors.
T : ne bougez pas, j’y vais !
Tracy se lève et ouvre machinalement la porte sur ce qu’elle croit être Brian.
Erreur, ce n’est pas lui qui se tient devant la porte et elle articule quelques mots avec peine alors qu’il est déjà dans le salon à scruter et chercher.
T : je ne crois pas que ce soit une bonne idée ! Fred !
Je n’ai pas le temps de me dégager de l’étreinte de Went qu’il nous surprend enlacés. Ses yeux me lancent des éclairs et sa haine se reporte sur Went.
Je me dégage et suis projetée violemment en arrière alors que Fred l’attrape par le col et lui envoie un coup de poing dans la mâchoire. Je suis sonnée et me relève en criant.
S : Fred ! Arrête ! Arrête çà tout de suite !
Mais il ne m’écoute pas, il ne m’écoutes plus et déverse sa rage d’homme trompé sur lui. Les coups pleuvent et Went ne se défend même pas, comme s’il s’infligeait de mériter sa rage.
Lorsque Fred s’arrête enfin, ses paroles finissent d’asséner le coup fatal.
F : vous vous êtes bien payés ma tête tous les deux ! Çà fait combien de temps que çà dure ? Deux mois ? Depuis que tu es arrivée ici ? T’es vraiment qu’une garce ! T’as couché avec lui ? T’as couché avec lui alors que tu portes mon enfant ?
Went essaie d se relever et de contrer les insultes que profère Fred.
W : tu n’as pas le droit de parler d’elle ainsi, tu t’es pas gêné toi !
F : tais-toi le menteur ! Tu ne m’avais pas donné ta parole de te tenir à l’écart de ma femme ? C’est pas ce que tu m’as dit avant de me serrer la main ? Que tu voulais que son bonheur et que tu ne te mettrais plus en travers de notre route ? T’as attendu combien de temps avant de te la taper ?
S : Fred ! Arrête ! Çà suffit ! C’est de ma faute !
F : t’as vraiment aucune honte ! Tu portes notre fils et tu te dévergondes avec un autre homme !
S : tu n’es jamais venu me voir ici ! Tu m’as laissée seule pendant presque un mois et tu étais avec une autre femme quand je t’ai eu au téléphone ! Went n’est pas juste un autre homme !
F : c’est vrai ! J’avais oublié ! Un improbable amour de jeunesse !
Il se prend la tête entre les mains et frappe un grand coup dans le mur. Il fond en larmes et s’écroule.
Je tente de me relever pour aller à sa rencontre alors que Went me lance des yeux affolés et apeurés.
Au moment ou je me lève, une vive douleur s’empare de mon ventre et je cris avant de m’écrouler. Tracy se précipite à mon secours. Un filet de sang entre mes jambes tâche mon pantalon.
W : Sonia ! Non !
Il coure vers moi et prend mon visage entre ses mains
W : çà va aller, çà va aller...
Fred accoure près de moi affolé pendant que Tracy appelle une ambulance...
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Pas cool hein ?
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Oh lala, ce Fred!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il ose venir faire la morale à Sonia, alors que lui n' a pas hésité à la tromper
Mets vite la suite soso!!!!!
Il ose venir faire la morale à Sonia, alors que lui n' a pas hésité à la tromper
Mets vite la suite soso!!!!!
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Ce n'est pas gentil du tout de nous laisser ainsi.
Je crois bien que Wentworth et Sonia ont eu raison de profiter de quelques doux moments lors de leurs retrouvailles
Forcément, il fallait que ce Fred, qui n'a pas donné signe de vie pendant des semaines, viennent rompre le charme
Maintenant, il faut que Sonia soit conduite à l'hôpital. J'espère que tout se passera bien pour elle et le bébé. Désormais, il ne lui reste plus beaucoup de temps pour leur dire qui est vraiment le père de ce bébé. Hors de question que Fred assiste à l'accouchement à la place de Wentworth si Sonia accouche maintenant
Je crois bien que Wentworth et Sonia ont eu raison de profiter de quelques doux moments lors de leurs retrouvailles
J'aime bien la comparaison entre la grosseur de son ventre et la taille du désir qu'elle a pour luiJe m’enflamme et mon corps appelle le sien. Je me lève et le plaque sur le lit en lui enlevant au passage ses encombrants vêtements. Je reste debout, devant lui et me déshabille. Mon ventre est énorme mais mon désir pour cet homme est encore bien plus grand.
Forcément, il fallait que ce Fred, qui n'a pas donné signe de vie pendant des semaines, viennent rompre le charme
L'avantage, c'est qu'au moins, en ayant vu Sonia et Wentworth enlacés, il a compris qu'ils étaient de nouveau ensemble ce qui doit beaucoup l'énerver car il pense être le père du bébé, notamment.Je n’ai pas le temps de me dégager de l’étreinte de Went qu’il nous surprend enlacés. Ses yeux me lancent des éclairs et sa haine se reporte sur Went.
Je n'aime pas ça du tout Il pousse violemment Sonia, ne la respecte pas le moins du monde et lui lance les pires insultes Il s'en prend aussi physiquement à WentworthJe me dégage et suis projetée violemment en arrière alors que Fred l’attrape par le col et lui envoie un coup de poing dans la mâchoire. Je suis sonnée et me relève en criant.
S : Fred ! Arrête ! Arrête çà tout de suite !
Je crois pourtant qu'il a bon nombre de choses à se reprocher aussi ce Fred Dommage que Sonia ait ressenti une vive douleur à ce moment-là (à cause de ce Fred ) car je crois qu'il aurait fait une bien drôle de tête si elle lui avait lancé que de toutes façons, il n'était pas le père de cet enfant.F : vous vous êtes bien payés ma tête tous les deux ! Çà fait combien de temps que çà dure ? Deux mois ? Depuis que tu es arrivée ici ? T’es vraiment qu’une garce ! T’as couché avec lui ? T’as couché avec lui alors que tu portes mon enfant ?
W : tu n’as pas le droit de parler d’elle ainsi, tu t’es pas gêné toi !
Maintenant, il faut que Sonia soit conduite à l'hôpital. J'espère que tout se passera bien pour elle et le bébé. Désormais, il ne lui reste plus beaucoup de temps pour leur dire qui est vraiment le père de ce bébé. Hors de question que Fred assiste à l'accouchement à la place de Wentworth si Sonia accouche maintenant
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Merci Vascof, ravie que çà continue de te plaire
aussi à angel keikoo
mes deux plus fidèles lectrices !
Voilà la suite...
La nuit et la journée qui ont suivies et que je vais raconter ont été les plus douloureuses de ma vie mais pas que sur le plan physique. Je n’oublierai pas cette journée qui m’a apporté un amour indescriptible pour m’en prendre un autre. Il est trop tard, je ne pourrais pas revenir en arrière de toute façon. On croit parfois qu’on a le temps, qu’on le fera demain, qu’on veut profiter du moment présent, qu’on verra çà plus tard...mais la vie me l’as appris à mes dépends, ne pas repousser au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ! C’est tellement vrai dan mon cas...je me suis laissée piégée par mes propres peurs et la faiblesse a fait le reste.
Evanouie dans les bras de Went alors qu’une atroce douleur martelait mon ventre, je me réveille dans l’ambulance, perfusée et allongée sur un brancard. Les avertisseurs sonores rugissent dans la nuit alors que le véhicule se faufile dans la circulation à toute vitesse. Une main serre la mienne et je relève la tête pour essayer de distinguer le visage de la personne à mes cotés. Je cligne plusieurs fois des yeux pour que ma vue se rétablisse.
J’arrive à articuler difficilement.
S : Fred...
Il se baisse dans ma direction et caresse mes cheveux. Ses yeux trahissent son sentiment de culpabilité mais aussi toute l’angoisse qu’il ressent.
F : ne bouge pas ma puce...nous serons bientôt à l’hopital, tout va bien se passer.
Je ne le croie pas. Une terrible douleur me tord le ventre et me crispe.
Le véhicule stoppe enfin sa course frénétique et les portes s’ouvrent. Je suis transportée en urgence en obstétrique où le médecin de garde pose milles questions à Fred avant qu’on l’oblige à rester assis dans le couloir. Je suis seule avec l’équipe médicale et j’ai peur, peur de ce qui va m’arriver.
Le médecin entre et une infirmière dégage mes vêtements pour commencer l’auscultation. Des vagues de douleurs me transpercent le ventre et j’ai du mal à ne pas perdre connaissance à nouveau. On pose des électrodes sur mon ventre et ma poitrine.
Je reste stoïque du mieux que je peux tandis qu’on pratique échographie et tout le reste. Je sens que c’est fini et le médecin a une mine grave.
S : qu’est-ce qui se passe docteur ? C’est grave ?
- vous allez avoir votre bébé avec un peu d’avance Mademoiselle...c’est pour maintenant !
S : comment ? Mais ce n’est pas possible ! je dois accoucher dans plus d’un mois !
- ce n’est pas ce qui m’inquiète voyez-vous ! Vous avez perdu du sang et d’après l’échographie, votre bébé fait une hémorragie...ce n’est peut-être rien de grave mais je ne peux pas vous laisser accoucher naturellement...nous allons pratiquer une césarienne...
Je n’ai pas le temps de répondre quoi que ce soit qu’il fait appeler un anesthésiste de toute urgence alors que les infirmiers me transportent en salle d’opération sous le regard affolé de Fred qui me suis du regard dans le couloir.
On me prépare et en moins de cinq minutes, le médecin anesthésiste est là et me parle pour me rassurer en m’expliquant ce qu’il va faire et ce qui arrivera ensuite.
- ...voilà...et quand vous vous réveillerez vous aurez votre petit bout près de vous et en pleine forme, on fera tout pour çà !
J’entends à peine ses dernières paroles que ma vue se trouble et que je sombre. Je ne verrais plus rien d’autre avant vingt quatre heures. Je fais une très mauvaise réaction à l’anesthésie et j’ai perdu beaucoup de sang.
Tu naîtras dans les cris à 22h18. Presque trois kilos pour 51 cm ! Un beau bébé pour 8 mois à peine ! Je regretterais toujours de ne pas avoir entendu ton premier cri ni d’avoir vu ta petite frimousse avant les autres. Tout s’est passé si vite...il m’ont ouvert le ventre, t’on retiré et soigné ton hémorragie, tu as été transporté en soin intensif pendant qu’il s’occupait de tenter de me sauver car je perdais beaucoup de sang et ne supportais pas le produit qu’ils m’avaient injecté.
Lorsque mes paupières s’ouvrent à nouveau et laissent passer la lumière du jour, une forte douleur me déchire les entrailles. Je m’habitue peu à peu à la luminosité de ma chambre et me redresse dans la douleur, affolée de constater le berceau vide à coté de mon lit.
Je ne remarque même pas que Tracy est près de moi. Elle se lève et s’approche doucement pour tenter de m’apaiser.
T : ne t’inquiètes pas...il va très bien, même mieux que sa maman je trouve !
S : comment çà s’est passé, où est-il ?
Je grimace à cause de la douleur de l’opération et mon ventre me fait mal.
T : il est en soin intensif...ils le gardent encore vingt quatre heures pour voir s’il se remet correctement mais ce n’était presque rien...on ne dirait même pas qu’il a un mois d’avance !
S : tu l’as vu ? Comment il est ?
T : il est très beau Sonia...très très beau !
S : où est Wentworth ? Où est-il ? Pourquoi n’est-il pas là ?
T : je ne sais pas...il est parti ce matin. Il a eu une longue conversation avec Fred et il est parti. Tu ne lui avais rien dit ?
S : je voulais le faire...j’allais le faire mais je n’ai pas eu le temps, c’est arrivé si vite !
T : je sais qu’il avait ce voyage à faire...
Mon regard se perd dans la contemplation du paysage et je ne l’écoute déjà plus. Pourquoi est-il parti ? As t-il vu notre fils ? As t-il pris le temps de voir notre merveille ?
Des larmes coulent sur mon visage et je ne peux les stopper. Une fois de plus, je crée mon propre malheur et je vais devoir assumer.
T : Sonia...Fred est dans le couloir...tu veux que j’aille e chercher ?
Je ne réponds rien et laisse les larmes inonder mon visage. J’ai mal au cœur et au ventre mais je sais que mon ventre va se soigner alors que mon cœur ne cicatrisera jamais.
Je sais, c'est un chapitre assez dur...
et ce n'est pas fini...
aussi à angel keikoo
mes deux plus fidèles lectrices !
Voilà la suite...
CHAPTER 30 : Douleurs...
La nuit et la journée qui ont suivies et que je vais raconter ont été les plus douloureuses de ma vie mais pas que sur le plan physique. Je n’oublierai pas cette journée qui m’a apporté un amour indescriptible pour m’en prendre un autre. Il est trop tard, je ne pourrais pas revenir en arrière de toute façon. On croit parfois qu’on a le temps, qu’on le fera demain, qu’on veut profiter du moment présent, qu’on verra çà plus tard...mais la vie me l’as appris à mes dépends, ne pas repousser au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ! C’est tellement vrai dan mon cas...je me suis laissée piégée par mes propres peurs et la faiblesse a fait le reste.
Evanouie dans les bras de Went alors qu’une atroce douleur martelait mon ventre, je me réveille dans l’ambulance, perfusée et allongée sur un brancard. Les avertisseurs sonores rugissent dans la nuit alors que le véhicule se faufile dans la circulation à toute vitesse. Une main serre la mienne et je relève la tête pour essayer de distinguer le visage de la personne à mes cotés. Je cligne plusieurs fois des yeux pour que ma vue se rétablisse.
J’arrive à articuler difficilement.
S : Fred...
Il se baisse dans ma direction et caresse mes cheveux. Ses yeux trahissent son sentiment de culpabilité mais aussi toute l’angoisse qu’il ressent.
F : ne bouge pas ma puce...nous serons bientôt à l’hopital, tout va bien se passer.
Je ne le croie pas. Une terrible douleur me tord le ventre et me crispe.
Le véhicule stoppe enfin sa course frénétique et les portes s’ouvrent. Je suis transportée en urgence en obstétrique où le médecin de garde pose milles questions à Fred avant qu’on l’oblige à rester assis dans le couloir. Je suis seule avec l’équipe médicale et j’ai peur, peur de ce qui va m’arriver.
Le médecin entre et une infirmière dégage mes vêtements pour commencer l’auscultation. Des vagues de douleurs me transpercent le ventre et j’ai du mal à ne pas perdre connaissance à nouveau. On pose des électrodes sur mon ventre et ma poitrine.
Je reste stoïque du mieux que je peux tandis qu’on pratique échographie et tout le reste. Je sens que c’est fini et le médecin a une mine grave.
S : qu’est-ce qui se passe docteur ? C’est grave ?
- vous allez avoir votre bébé avec un peu d’avance Mademoiselle...c’est pour maintenant !
S : comment ? Mais ce n’est pas possible ! je dois accoucher dans plus d’un mois !
- ce n’est pas ce qui m’inquiète voyez-vous ! Vous avez perdu du sang et d’après l’échographie, votre bébé fait une hémorragie...ce n’est peut-être rien de grave mais je ne peux pas vous laisser accoucher naturellement...nous allons pratiquer une césarienne...
Je n’ai pas le temps de répondre quoi que ce soit qu’il fait appeler un anesthésiste de toute urgence alors que les infirmiers me transportent en salle d’opération sous le regard affolé de Fred qui me suis du regard dans le couloir.
On me prépare et en moins de cinq minutes, le médecin anesthésiste est là et me parle pour me rassurer en m’expliquant ce qu’il va faire et ce qui arrivera ensuite.
- ...voilà...et quand vous vous réveillerez vous aurez votre petit bout près de vous et en pleine forme, on fera tout pour çà !
J’entends à peine ses dernières paroles que ma vue se trouble et que je sombre. Je ne verrais plus rien d’autre avant vingt quatre heures. Je fais une très mauvaise réaction à l’anesthésie et j’ai perdu beaucoup de sang.
Tu naîtras dans les cris à 22h18. Presque trois kilos pour 51 cm ! Un beau bébé pour 8 mois à peine ! Je regretterais toujours de ne pas avoir entendu ton premier cri ni d’avoir vu ta petite frimousse avant les autres. Tout s’est passé si vite...il m’ont ouvert le ventre, t’on retiré et soigné ton hémorragie, tu as été transporté en soin intensif pendant qu’il s’occupait de tenter de me sauver car je perdais beaucoup de sang et ne supportais pas le produit qu’ils m’avaient injecté.
Lorsque mes paupières s’ouvrent à nouveau et laissent passer la lumière du jour, une forte douleur me déchire les entrailles. Je m’habitue peu à peu à la luminosité de ma chambre et me redresse dans la douleur, affolée de constater le berceau vide à coté de mon lit.
Je ne remarque même pas que Tracy est près de moi. Elle se lève et s’approche doucement pour tenter de m’apaiser.
T : ne t’inquiètes pas...il va très bien, même mieux que sa maman je trouve !
S : comment çà s’est passé, où est-il ?
Je grimace à cause de la douleur de l’opération et mon ventre me fait mal.
T : il est en soin intensif...ils le gardent encore vingt quatre heures pour voir s’il se remet correctement mais ce n’était presque rien...on ne dirait même pas qu’il a un mois d’avance !
S : tu l’as vu ? Comment il est ?
T : il est très beau Sonia...très très beau !
S : où est Wentworth ? Où est-il ? Pourquoi n’est-il pas là ?
T : je ne sais pas...il est parti ce matin. Il a eu une longue conversation avec Fred et il est parti. Tu ne lui avais rien dit ?
S : je voulais le faire...j’allais le faire mais je n’ai pas eu le temps, c’est arrivé si vite !
T : je sais qu’il avait ce voyage à faire...
Mon regard se perd dans la contemplation du paysage et je ne l’écoute déjà plus. Pourquoi est-il parti ? As t-il vu notre fils ? As t-il pris le temps de voir notre merveille ?
Des larmes coulent sur mon visage et je ne peux les stopper. Une fois de plus, je crée mon propre malheur et je vais devoir assumer.
T : Sonia...Fred est dans le couloir...tu veux que j’aille e chercher ?
Je ne réponds rien et laisse les larmes inonder mon visage. J’ai mal au cœur et au ventre mais je sais que mon ventre va se soigner alors que mon cœur ne cicatrisera jamais.
***
Je sais, c'est un chapitre assez dur...
et ce n'est pas fini...
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Went est parti!!!!!!!!!!!!!!!! Bon sang, pourquoi est ce que tu es aussi sadique????!!!!!!!!!!!!!!!!
Tiens voilà des lancers de tomates pour te punir
Bon, je reste un peu perplexe devant ce chapitre tellement de questions que je me pose:
-Est ce que Fred a vu le bébé?
-Est ce que went a vu le bébé?
-De quoi on parlé fred et Went?
- Est-ce que Sonia va dire à Fred que le bébé n'est pas le sien quand il viendra la voir?
Mets vite la suite! je veux savoir!!!!!!!!!!!!!
Tiens voilà des lancers de tomates pour te punir
Bon, je reste un peu perplexe devant ce chapitre tellement de questions que je me pose:
-Est ce que Fred a vu le bébé?
-Est ce que went a vu le bébé?
-De quoi on parlé fred et Went?
- Est-ce que Sonia va dire à Fred que le bébé n'est pas le sien quand il viendra la voir?
Mets vite la suite! je veux savoir!!!!!!!!!!!!!
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Non c'est vraiment terrible Went est parti
Mais alors il est métis ce bébé ou pas
Mais alors il est métis ce bébé ou pas
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Ce mélange de douleurs et de regrets, ça fait mal au cœur ! Elle vient de vivre un des plus durs moments de sa vie et elle doit encore gérer le départ de Went et le fait que Fred soit là mais que ce ne soit pas lui le père…On croit parfois qu’on a le temps, qu’on le fera demain, qu’on veut profiter du moment présent, qu’on verra çà plus tard...mais la vie me l’as appris à mes dépends, ne pas repousser au lendemain ce qu’on peut faire le jour même ! C’est tellement vrai dans mon cas...je me suis laissée piégée par mes propres peurs et la faiblesse a fait le reste.
Et tu oses dire que c'est pas fini ... ba oui en même temps je comprends, maintenant elle va devoir leur dire la vérité...
J’adore ta fic ! C’est comme pour la fic avec Lilie, tu vas bien au fond des peurs, angoisses, sentiments que tes personnages peuvent avoir ! On a envie de les suivre, savoir ce qu’ils vont devenir, comment est-ce qu’ils vont évoluer ! On comprend bien ce qu’ils ressentent et c’est génial !
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
je préfère vous prévenir que j'ai des soucis avec mon pc, donc si je poste pas en début de semaine, c'est qu'il sera en réparation !
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Qu’est-ce que cela signifie ? J’espère qu’elle ne parle que d’un amour provisoirement perduJe n’oublierai pas cette journée qui m’a apporté un amour indescriptible pour m’en prendre un autre. Il est trop tard, je ne pourrais pas revenir en arrière de toute façon.
Ce Fred, s’il n’était pas revenu !
Ouf, le bébé va bien mais Sonia n’a pas l’air d’être en grande forme, la pauvre. Elle doit être tellement triste de ne pas avoir pu profiter des premières minutes de vie de son bout de chouUn beau bébé pour 8 mois à peine ! Je regretterais toujours de ne pas avoir entendu ton premier cri ni d’avoir vu ta petite frimousse avant les autres. Tout s’est passé si vite...il m’ont ouvert le ventre, t’on retiré et soigné ton hémorragie, tu as été transporté en soin intensif pendant qu’il s’occupait de tenter de me sauver car je perdais beaucoup de sang et ne supportais pas le produit qu’ils m’avaient injecté.
Le seul qui pourrait lui apporter du réconfort, c’est Wentworth
Elle doit être tellement perdue. Elle ne peut être avec aucune des 2 personnes les plus importantes de sa vie : Wentworth et leur filsS : où est Wentworth ? Où est-il ? Pourquoi n’est-il pas là ?
T : je ne sais pas...il est parti ce matin. Il a eu une longue conversation avec Fred et il est parti. Tu ne lui avais rien dit ?
ça a l’air si douloureux pour elle. Elle doit tant s’en vouloir de ne pas avoir eu le courage de parler à Wentworth avant l’accouchement.Pourquoi est-il parti ? A-t-il vu notre fils ? A-t-il pris le temps de voir notre merveille ?
J’ai mal au cœur et au ventre mais je sais que mon ventre va se soigner alors que mon cœur ne cicatrisera jamais.
Il doit être sûrement parti en voyage professionnel mais elle va alors devoir attendre 15 longs jours pour le revoir.
Aura-t-elle la force d’attendre ? Ne retombera-t-elle pas dans les bras de Fred ?
Il faut que Tracy et Brian veillent sur elle et que Wentworth l’appelle pour la rassurer.
Maintenant, que va-t-elle décider ? Va-t-elle oser affrontrer Fred et lui dire qu’il n’est pas le père de son enfant ou va-t-elle attendre pour l’annoncer d’abord à Wentworth ?
Soso_Burrows a écrit :
Je m’en doutais un peu Tu ne ménages pas Sonia. A mon avis, tu as de la chance de l’avoir mise dans les bras d’un homme comme Wentworth, en contrepartie, sinon, elle t’en voudrait sûrement terriblementJe sais, c'est un chapitre assez dur...
et ce n'est pas fini...
Ton ordinateur n’a pas le droit de nous faire ça !Je préfère vous prévenir que j'ai des soucis avec mon pc, donc si je poste pas en début de semaine, c'est qu'il sera en réparation !
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Ben moi j'espère qu'il est pas en panne
J'ai trop envie de connaître la suite
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Voilà la suite, je pense que çà ne va pas vous plaire...
Mon visage humide tourné vers l’extérieur. Je sanglote sur mon lit, je sais que je ne m’en remettrai jamais.
La porte s’ouvre et Fred entre et s’approche. J’ai le regard éteint et son air penaud m’agace plus qu’autre chose.
F : chérie...j’ai eu si peur...comment vas-tu ? Comment te sens-tu ?
Il a l’air si désolé, si apeuré de la situation. Je sais que toute cette histoire l’a mis dans tous ses états et qu’il n’était pas lui-même la dernière fois quand il a frappé Went mais je ne peux m’empêcher de lui en vouloir quand même.
S : çà va, sans plus mais çà va...je veux le voir !
F : c’est pas possible ma puce, il est encore en soin intensifs...ils te l’apporteront ce soir si tout va bien. Il est magnifique.
Je le sens me prendre la main et ses larmes coulent sur son visage. Mon visage à moi reste sec au contraire. J’ai eu un profond respect pour cet homme mais je ne veux plus vivre avec lui, tout me dégoûte et une seule personne pourrait remédier à cela.
F : merci pour ce beau cadeau chérie, notre fils est magnifique...merci.
J’ai envie de mourir sur place, j’ai envie de lui crier dessus mais rien ne sort. J’ai besoin de savoir et rien à foutre si ce que je lui demande est déplacé.
S : où est Wentworth ?
Il relève sa tête et ses sanglots cessent instantanément. Il croyait certainement que je n’oserais pas poser la question !
F : je ne sais pas...
S : ne me mens pas...je sais qu’il était là et que tu lui as parlé !
Il soupire.
F : comment oses-tu encore ma parler de lui ?
S : comment j’ose ?! Tu m’as volontairement laissée seule ici pendant deux mois sans venir me voir ! Je sais que tu étais contre ce voyage mais je n’ai pas choisi d’avoir ce problème de santé ! Went était là, il était toujours à mes cotés, il m’a soutenue, aimée sans me poser de question !
F : il m’a parlé, c’est excusé. Il a juste dit qu’il avait un voyage, qu’il devait y aller et qu’il s’excusait pour l’erreur commise.
L’erreur, j’en avais froid dans le dos. Alors comme çà ces deux dernières semaines avaient été une erreur ? Et notre fils c’était quoi ? J’ai la nausée et je veux mourir. Je sens la main de Fred serrer la mienne mais je détourne le regard.
F : je veux oublier ces deux derniers mois Sonia...je veux repartir d’ici avec notre fils et ne plus penser au passé.
C’est si facile de vouloir tout effacer, effacer le mal que je lui ai fais et celui qu’il m’a fait mais c’est bien plus simple de vouloir que de pouvoir et l’expression « quand on veut on peut » ne cours pas vraiment dans mes veines !
La porte de ma chambre s’ouvre et le médecin approche.
- Bonjour Mademoiselle Martin ! Comment vous sentez-vous ?
Qu’est-ce qu’il veut que je lui dise au juste ? Que j’ai mal au bide autant qu’au cœur ? je m’applique à rester polie car après tout il n’y est pour rien, il ne fait que son boulot et visiblement il le fait bien puisque je suis en vie et mon fils aussi.
- votre fils se porte à merveille...la puéricultrice va vous le montez dans une dizaine de minutes...il est fort votre fils ! On ne dirait pas qu’il aurait pu rester encore un mois dans le ventre de sa maman...
Je souris malgré moi, j’ai tellement hâte de le voir !
Les minutes me paraissent une éternité et Fred me laisse seule. Tracy me rejoint. Je luis souris mais je transpire d’impatience.
A peine deux minutes plus tard, une femme ouvre la porte de ma chambre et tient dans ses bras un minuscule petit paquet emmitouflé.
- voilà votre fils madame...quelqu’un a apporté cette tenue et nous lui avons mise, çà ne vous dérange pas ? Vous avez trouvé un prénom...nous n’avons encore rien inscrit sur son bracelet ?
S : Andréas...ce sera Andréas.
Elle me tend le paquet et je t’accueille pour la première fois dans mes bras. Des larmes de joies perlent sur mes joues quand je remarque les traits de ton visage. Tu es brun et une petite touffe brune boucle sur le haut de ta tête. Ton petit nez retroussé est si mignon sans parler de tes lèvres...je connais ces lèvres ! Tes paupières sont closes et tu sembles dormir profondément.
Je te détaille et remarque l’ensemble que tu portes...jaune et bleu pâle, l’ensemble du magasin de puériculture, le cadeau de Went !
Je te berce tout contre moi et je sais que tu ne me quitteras plus. Tu as la forme de son visage, sa bouche et ses doigts, il n’ y a pas de doute. Tu as été crée dans la précipitation mais nous t’avons formidablement réussis.
Tracy assiste à mes premiers pas de maman, mon premier biberon et ta première toilette...qui n’était pas une partie de plaisir.
J’ai été beaucoup trop gentille les jours qui ont suivis. Certainement grâce à toi. J’ai accepté de rentrer en France avec Frédéric et malgré la réticence de Tracy je m’envole, une semaine après ta naissance pour Paris. J’ai l’impression qu’il s’est passé des lustres depuis mon départ.
Je n’avais eu aucune nouvelle de sa part même si je sais qu’il avait du en prendre de moi. Pourquoi était-il parti si vite ? Etait-il à blâmer ? Je ne lui avais rien dit et je ne pouvais que m’en prendre à moi-même ! Si j’avais eu le courage de tout lui avouer quand j’en avais eu l’occasion, je n’en serais pas là !
J’avais beaucoup de mal à te partager avec Fred, ton papa d’intérim. Je ne voulais pas qu’il te prenne dans ses bras, je ne voulais pas que tu t’attaches à lui, je ne voulais pas que tu le considères comme ton père, je voulais conserver l’image de Went en père pour toi alors qu’il ne connaissait rien de ton existence.
Notre retour en France serait mouvementé et compliqué, je le savais.
Je vous avais bien dit que çà vous plairait pas...
CHAPTER 31 : Premier regard
Mon visage humide tourné vers l’extérieur. Je sanglote sur mon lit, je sais que je ne m’en remettrai jamais.
La porte s’ouvre et Fred entre et s’approche. J’ai le regard éteint et son air penaud m’agace plus qu’autre chose.
F : chérie...j’ai eu si peur...comment vas-tu ? Comment te sens-tu ?
Il a l’air si désolé, si apeuré de la situation. Je sais que toute cette histoire l’a mis dans tous ses états et qu’il n’était pas lui-même la dernière fois quand il a frappé Went mais je ne peux m’empêcher de lui en vouloir quand même.
S : çà va, sans plus mais çà va...je veux le voir !
F : c’est pas possible ma puce, il est encore en soin intensifs...ils te l’apporteront ce soir si tout va bien. Il est magnifique.
Je le sens me prendre la main et ses larmes coulent sur son visage. Mon visage à moi reste sec au contraire. J’ai eu un profond respect pour cet homme mais je ne veux plus vivre avec lui, tout me dégoûte et une seule personne pourrait remédier à cela.
F : merci pour ce beau cadeau chérie, notre fils est magnifique...merci.
J’ai envie de mourir sur place, j’ai envie de lui crier dessus mais rien ne sort. J’ai besoin de savoir et rien à foutre si ce que je lui demande est déplacé.
S : où est Wentworth ?
Il relève sa tête et ses sanglots cessent instantanément. Il croyait certainement que je n’oserais pas poser la question !
F : je ne sais pas...
S : ne me mens pas...je sais qu’il était là et que tu lui as parlé !
Il soupire.
F : comment oses-tu encore ma parler de lui ?
S : comment j’ose ?! Tu m’as volontairement laissée seule ici pendant deux mois sans venir me voir ! Je sais que tu étais contre ce voyage mais je n’ai pas choisi d’avoir ce problème de santé ! Went était là, il était toujours à mes cotés, il m’a soutenue, aimée sans me poser de question !
F : il m’a parlé, c’est excusé. Il a juste dit qu’il avait un voyage, qu’il devait y aller et qu’il s’excusait pour l’erreur commise.
L’erreur, j’en avais froid dans le dos. Alors comme çà ces deux dernières semaines avaient été une erreur ? Et notre fils c’était quoi ? J’ai la nausée et je veux mourir. Je sens la main de Fred serrer la mienne mais je détourne le regard.
F : je veux oublier ces deux derniers mois Sonia...je veux repartir d’ici avec notre fils et ne plus penser au passé.
C’est si facile de vouloir tout effacer, effacer le mal que je lui ai fais et celui qu’il m’a fait mais c’est bien plus simple de vouloir que de pouvoir et l’expression « quand on veut on peut » ne cours pas vraiment dans mes veines !
La porte de ma chambre s’ouvre et le médecin approche.
- Bonjour Mademoiselle Martin ! Comment vous sentez-vous ?
Qu’est-ce qu’il veut que je lui dise au juste ? Que j’ai mal au bide autant qu’au cœur ? je m’applique à rester polie car après tout il n’y est pour rien, il ne fait que son boulot et visiblement il le fait bien puisque je suis en vie et mon fils aussi.
- votre fils se porte à merveille...la puéricultrice va vous le montez dans une dizaine de minutes...il est fort votre fils ! On ne dirait pas qu’il aurait pu rester encore un mois dans le ventre de sa maman...
Je souris malgré moi, j’ai tellement hâte de le voir !
Les minutes me paraissent une éternité et Fred me laisse seule. Tracy me rejoint. Je luis souris mais je transpire d’impatience.
A peine deux minutes plus tard, une femme ouvre la porte de ma chambre et tient dans ses bras un minuscule petit paquet emmitouflé.
- voilà votre fils madame...quelqu’un a apporté cette tenue et nous lui avons mise, çà ne vous dérange pas ? Vous avez trouvé un prénom...nous n’avons encore rien inscrit sur son bracelet ?
S : Andréas...ce sera Andréas.
Elle me tend le paquet et je t’accueille pour la première fois dans mes bras. Des larmes de joies perlent sur mes joues quand je remarque les traits de ton visage. Tu es brun et une petite touffe brune boucle sur le haut de ta tête. Ton petit nez retroussé est si mignon sans parler de tes lèvres...je connais ces lèvres ! Tes paupières sont closes et tu sembles dormir profondément.
Je te détaille et remarque l’ensemble que tu portes...jaune et bleu pâle, l’ensemble du magasin de puériculture, le cadeau de Went !
Je te berce tout contre moi et je sais que tu ne me quitteras plus. Tu as la forme de son visage, sa bouche et ses doigts, il n’ y a pas de doute. Tu as été crée dans la précipitation mais nous t’avons formidablement réussis.
Tracy assiste à mes premiers pas de maman, mon premier biberon et ta première toilette...qui n’était pas une partie de plaisir.
J’ai été beaucoup trop gentille les jours qui ont suivis. Certainement grâce à toi. J’ai accepté de rentrer en France avec Frédéric et malgré la réticence de Tracy je m’envole, une semaine après ta naissance pour Paris. J’ai l’impression qu’il s’est passé des lustres depuis mon départ.
Je n’avais eu aucune nouvelle de sa part même si je sais qu’il avait du en prendre de moi. Pourquoi était-il parti si vite ? Etait-il à blâmer ? Je ne lui avais rien dit et je ne pouvais que m’en prendre à moi-même ! Si j’avais eu le courage de tout lui avouer quand j’en avais eu l’occasion, je n’en serais pas là !
J’avais beaucoup de mal à te partager avec Fred, ton papa d’intérim. Je ne voulais pas qu’il te prenne dans ses bras, je ne voulais pas que tu t’attaches à lui, je ne voulais pas que tu le considères comme ton père, je voulais conserver l’image de Went en père pour toi alors qu’il ne connaissait rien de ton existence.
Notre retour en France serait mouvementé et compliqué, je le savais.
***
Je vous avais bien dit que çà vous plairait pas...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Oh lala!! Dans quelle situation elle s'est mise Sonia!!!!
Elle veut que Went soit le père de ce bébé, eh bien, elle n'a qu'à dire toutev la vérité à Fed en le priant de s'en aller et de sortir de sa vie, parcequ'elle aime Wentworth et elle appellera en suite ce dernier pour lui annoncer la nouvelle, évidement il sera pas très content qu'elle le lui ait caché pendant si longtemps, mais je suis sûre qu'il lui pardonnera!
En tout cas si j'étais à sa place c'est ce que je ferais.
Vivement la suite!!
Elle veut que Went soit le père de ce bébé, eh bien, elle n'a qu'à dire toutev la vérité à Fed en le priant de s'en aller et de sortir de sa vie, parcequ'elle aime Wentworth et elle appellera en suite ce dernier pour lui annoncer la nouvelle, évidement il sera pas très content qu'elle le lui ait caché pendant si longtemps, mais je suis sûre qu'il lui pardonnera!
En tout cas si j'étais à sa place c'est ce que je ferais.
Vivement la suite!!
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Pourquoi est-ce qu’elle est repartie à Paris ??????
Il va bien falloir qu’elle leur dise un jour ou l’autre ? elle n’a pas le droit de continuer à faire croire à Fred que c’est son fils ; tout comme elle n’a pas le droit de priver Went de son enfant.
Elle continue à mentir… alors qu’elle sait très bien qu’elle a déjà commis cette erreur en ne leur disant pas la vérité pendant qu’elle était enceinte
Il va bien falloir qu’elle leur dise un jour ou l’autre ? elle n’a pas le droit de continuer à faire croire à Fred que c’est son fils ; tout comme elle n’a pas le droit de priver Went de son enfant.
Elle continue à mentir… alors qu’elle sait très bien qu’elle a déjà commis cette erreur en ne leur disant pas la vérité pendant qu’elle était enceinte
blumy- Admis à l'infirmerie
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Dommage qu'elle n'ai rien dit à Went En plus elle est pas heureuse avec Fred
Elle a menti trop longtemps et quand la vérité éclatera ça fera du mal à tout le monde
Alors vite une suite pour savoir comment ça va se passer
Merci pour ta fic, j'adore
Elle a menti trop longtemps et quand la vérité éclatera ça fera du mal à tout le monde
Alors vite une suite pour savoir comment ça va se passer
Merci pour ta fic, j'adore
Poety- Admis à l'infirmerie
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Dès le début, j'ai senti que les choses allaient mal tourner Sonia trouvait des excuses à Fred pour avoir frappé Wnetworth mais elle l'oublie qu'il l'a aussi insultée et bousculée après avoir passé des semaines à ne pas se préoccuper d'elle mais plus d'une autre ou d'autres, sûrementIl a l’air si désolé, si apeuré de la situation. Je sais que toute cette histoire l’a mis dans tous ses états et qu’il n’était pas lui-même la dernière fois quand il a frappé Went mais je ne peux m’empêcher de lui en vouloir quand même.
On imagine le mépris que lui inspire Fred. Elle doit presque être dégoûtée de l'entendre parler de leur fils après le comportement qu'il a eu envers elle, en sachant, en plus, que cet enfant n'est pas de lui.F : merci pour ce beau cadeau chérie, notre fils est magnifique...merci.
J’ai envie de mourir sur place, j’ai envie de lui crier dessus mais rien ne sort. J’ai besoin de savoir et rien à foutre si ce que je lui demande est déplacé.
S : comment j’ose ?! Tu m’as volontairement laissée seule ici pendant deux mois sans venir me voir ! Je sais que tu étais contre ce voyage mais je n’ai pas choisi d’avoir ce problème de santé ! Went était là, il était toujours à mes cotés, il m’a soutenue, aimée sans me poser de question !
F : il m’a parlé, s’est excusé. Il a juste dit qu’il avait un voyage, qu’il devait y aller et qu’il s’excusait pour l’erreur commise.
L’erreur, j’en avais froid dans le dos. Alors comme çà ces deux dernières semaines avaient été une erreur ? Et notre fils c’était quoi ? J’ai la nausée et je veux mourir. Je sens la main de Fred serrer la mienne mais je détourne le regard.
J'étais contente de voir qu'elle avait le courage de lui demander des nouvelles de Wentworth, mais elle n'est pas allée jusqu'au bout et ne lui a pas dit qu'il était le vrai père de ce bébé. Elle ne peut pas en vouloir à Went d'être parti, de parler d'erreur. Que pouvait-il faire face à Fred alors qu'il pensait que c'était lui le vrai père ?
Elle a tout de même ce moment de bonheur quand elle découvre son bébé pour la 1ère fois
On imagine son émotion face à ce petit bonhomme qui ressemble tant à son père. C'est d'ailleurs les traits de Wentworth qu'elle doit chercher pour se consoler de son absence. Elle doit être heureuse d'avoir près d'elle un peu de lui pour la réconforter.
Elle me tend le paquet et je t’accueille pour la première fois dans mes bras. Des larmes de joies perlent sur mes joues quand je remarque les traits de ton visage. Tu es brun et une petite touffe brune boucle sur le haut de ta tête. Ton petit nez retroussé est si mignon sans parler de tes lèvres...je connais ces lèvres ! Tes paupières sont closes et tu sembles dormir profondément.
Je te détaille et remarque l’ensemble que tu portes...jaune et bleu pâle, l’ensemble du magasin de puériculture, le cadeau de Went !
Je te berce tout contre moi et je sais que tu ne me quitteras plus. Tu as la forme de son visage, sa bouche et ses doigts, il n’ y a pas de doute. Tu as été créé dans la précipitation mais nous t’avons formidablement réussi.
Apparemment, Wentworth a dû voir Andréas avant de partir en voyage puisqu'il a donné l'ensemble qu'ils avaient choisi pour lui...
Tu as été créé dans la précipitation mais nous t’avons formidablement réussi.
Elle s'est mise dans une situation terrible Elle n'avait pas le droit de partir sans rien dire à Wentworth, pas le droit de priver leur enfant de son père alors qu'elle l'aime plus que toutJ’avais beaucoup de mal à te partager avec Fred, ton papa d’intérim. Je ne voulais pas qu’il te prenne dans ses bras, je ne voulais pas que tu t’attaches à lui, je ne voulais pas que tu le considères comme ton père, je voulais conserver l’image de Went en père pour toi alors qu’il ne connaissait rien de ton existence.
Notre retour en France serait mouvementé et compliqué, je le savais
Dommage que Brian et Tracy n'ait pas réussi à la convaincre. Si seulement Wentworth n'avait pas eu ce voyage
Sonia va-t-elle longtemps tenir le coup comme ça ? Wentworth va-t-il se manifester ? S'il revient de son voyage en apprennant qu'elle est repartie en France avec Fred, ça m'étonnerait qu'il en ait le courage. Il préfèrera sûrement la laisser vivre sa vie
Sonia devrait vivre des moments tellement merveilleux et elle est si triste
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Cette fanfic est excellente, dès le début on accroche, j'aime vraiment l'idée des flashback, et la naration est très bien mené! Bravo a toi soso et vivement la suite!!!!!!!!!!! Sonia va-t-elle annoncer la paternité de Went? Fred va-t-il savoir qu'il n'est pas le père? arrrgh que de suspens!!!
lildemon- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Merci à tous pour vos commentaires qui me touchent...
je suis là, mon ordi a décidé de me laisser un peu de répis, jusqu'à quand, c'est la question !
Je vous mettrais la suite un peu plus tard, je vois que cette dernière partie vous laisse pleines d'interrogations !
Vous n'êtes pas au bout, je vous le dit !
Gros bibis à toutes et @+ tard !
je suis là, mon ordi a décidé de me laisser un peu de répis, jusqu'à quand, c'est la question !
Je vous mettrais la suite un peu plus tard, je vois que cette dernière partie vous laisse pleines d'interrogations !
Vous n'êtes pas au bout, je vous le dit !
Gros bibis à toutes et @+ tard !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Voilà, comme promis, The suite !
On m’avait prévenue que le temps passe vite et que les nouveaux nés changent sans que l’on s’en rende compte. Je profitais de toi à chaque instant, me délectant de ta frimousse et de ton regard. Je n’ai pas mis longtemps à me sentir inséparable de toi.
Je n’arrivais pas à me décider à avouer la vérité à Fred, même si je me rends compte aujourd’hui qu’il a toujours su. C’était difficile pour une personne connaissant Wentworth, après avoir posé les yeux sur toi de ne pas faire le rapprochement, tu en est son incarnation vivante et çà ne s’est pas estompé en grandissant.
Je croyais que me taire me protégerais de cette vérité et me la ferais oublier. Il était parti, avait préféré s’éclipser au lieu de se battre pour nous. Je ne le blâmais pas, il pensait que tu étais le fils d’un autre et n’a jamais voulu s’interposer. Il a continué sa carrière, grandissante, pendant que moi je tentais de reconstruire quelque chose avec un homme en qui j’avais eu confiance mais que les derniers mois avaient éloignés de l’image que je m’étais faite de lui.
Je crois que le destin se jouait pourtant de tout cela...
Une bonne partie de ce que je vais te raconter, on me l’a moi-même raconté, car je n’en ai aucun souvenir...
Tu vas avoir six mois dans quelques jours. Notre couple avec Fred survit grâce à ses longues absences. Il est à l’étranger la moitié du temps et c’est çà qui m’a permis de tenir si longtemps. Je ne l’aime plus si toutefois l’ais-je déjà aimé ?
Notre appartement a été quelque peu aménagé suite à ta venue mais pas assez à mon goût et Fred ne fait pas beaucoup d’effort. Je sais qu’il t’adore et qu’il s’occupe bien de toi mais quelque chose de bizarre se passe et je n’arrive pas à savoir quoi.
Je n’ai que peu de nouvelles de Went. Il ne m’a jamais appelé mais je soupçonne tout de même quelques silences au téléphone quand j’ai décroché plusieurs fois et que la personne restait muette à l’autre bout du combiné.
Tracy m’informe et j’obtiens le reste de mes renseignements par les magazines people, qui je sais ne sont pas très fiables.
J’attends que Frédéric rentre ce jour là et c’est par la presse spécialisée que j’apprend sa relation avec une jeune mannequin de quinze ans de moins que lui. Les photos sont assez explicites et j’en ai le cœur déchiré. A quoi pouvais-je m’attendre pourtant ? A le voir finir vieux garçon ? Je l’aime et ne cesserait jamais de l’aimer mais ma faiblesse et mon égoïsme me l’ont enlevé, je n’ai que ce que je mérite !
Lorsque la porte d’entrée s’ouvre, Fred s’avance vers nous la mine déconfite.
S : bonsoir ! Çà n’a pas l’air d’aller ?
F : non, c’est le moins que l’on puisse dire ! Ils veulent me muter !
S : qui çà ils ?
F : Philippe mon Boss ! Ils ouvrent un bureau à Madrid et veulent que j’en prenne la direction !
S : tu n’as qu’à refuser si çà ne te dit rien !
F : tu crois qu’on considère que je peux refuser ? C’est une obligation pour moi d’y aller !
S : je ne veux pas partir en Espagne, tu le sais ?
F : et si je n’ai pas le choix ?
S : et bien je reste ici et tu viens nous voir quand tu peux ?
F : c’est la vie que tu veux pour notre famille ? C’est çà ?
S : je n’ai pas envie d’en parler maintenant Fred...je suis fatiguée !
F : çà fait cinq jours que tu ne m’as pas vu et c’est tout ce que tu trouves à me dire !
Je hausse les yeux, effectivement, ses petits problèmes existentiels, çà me passe à quinze milles !
S : oui...
F : tu le revois c’est çà ?....
S : mais...de qui tu parles ???
F : ne fais pas l’innocente ! Tu le sais très bien !
S : alors là non ! Va falloir m’éclairer !
F : Went, Went, Went !!!!!
Il hurle de rage, je ne l’ai jamais vu comme çà.
S : non mais çà va pas ???
F : je suis sur que tu l’a revu !
S : tu crois ce que tu veux mais là je n’en peut plus de tes scènes...
F : mes scènes ? Mais tu te mets à ma place un peu ? Tu crois que çà me fais quoi quand je prends Andréas dans mes bras et que je Le vois ! Tu crois que je suis si con que çà ? J’ai su bien vite que c’était son fils mais est-il au courant au moins ?
Je bondis du canapé et le coupe.
S : je t’interdis de dire quoi que ce soit à quiconque !
F : alors effectivement, tu t’es gardé ce petit secret pour toi toute seule ! Et tu le sais depuis quand ? La naissance ?
Je soupire. Malgré mon envie de lui faire fermer son clapet, je sais qu’il a toutes les raisons du monde de m’en vouloir. J’essaie de me calmer et lui racontes alors toute l’histoire. Comment j’ai vraiment cru pouvoir reconstruire quelque chose avec lui, comment j’étais persuadée être enceinte de lui et comment j’ai appris à l’hôpital après mon malaise qu’il ne pouvait être le père du bébé en raison de son Rhésus.
Je vois la rage dans ses yeux. Ila beaucoup de mal à se contenir mais il y arrive néanmoins. Je ne me sens pas très bien de mon coté et j’ai envie de prendre l’air, d’aller voir un peu.
S : je suis désolée...
F : tu peux l’être ! Je crois qu’on s’est tout dit...
S : je vais aller faire un tour, j’i besoin de respirer, tu t’occupes de...
F : ton fils...oui, ne t’inquiètes pas !
Je m’en vais, attrape mon sac à main et sors en trombe. J’espère sincèrement qu’Audrey est chez elle...j’ai besoin de parler à quelqu’un, j’ai besoin que quelqu’un me comprenne, j’ai besoin qu’on m’aime et je me sens si seule ! Tu payes tes fautes Sonia, je ne cesse de me le répéter.
Le portable d’Audrey ne répond pas et je suis anéantie. Je ne sais pas ce que je vais faire de ma vie, seule avec un enfant de six mois qui ne connaîtra jamais son père.
Si j’avais eu cette force de tout lui avouer il y a plusieurs mois...ce ne sont pas les occasions qui ont manquées ! Je farfouille sur mon portable et compose maladroitement le numéro de Tracy.
La pluie s’est mise à tomber et les rues de paris sont éclairées par la douce lumière du lampadaire. Le bitume brille sur les passages piétons. La tonalité d’appel vibre à mon oreille et j’attends, j’attends qu’elle décroche.
Une intense lumière m’éblouie tout à coup en même temps qu’un klaxon se fait entendre et que des crissements de pneus précèdent le choc de la tôle sur mon corps.
Je ne suis jamais au bon endroit au bon moment.
Le choc est violent et je suis projetée à plusieurs mètres à terre, corps et visage ensanglanté. Mon portable a volé de mes mains et seule une voix affolée d’avoir entendu un gros bruit crie dans le combiné.
T : Allo ? Sonia ? Sonia ? Qu’est ce qui se passe ?
Je sais, je cumule...mais çà m'était venu comme çà, faut pas m'en vouloir...
CHAPTER 32 : le fil du temps
On m’avait prévenue que le temps passe vite et que les nouveaux nés changent sans que l’on s’en rende compte. Je profitais de toi à chaque instant, me délectant de ta frimousse et de ton regard. Je n’ai pas mis longtemps à me sentir inséparable de toi.
Je n’arrivais pas à me décider à avouer la vérité à Fred, même si je me rends compte aujourd’hui qu’il a toujours su. C’était difficile pour une personne connaissant Wentworth, après avoir posé les yeux sur toi de ne pas faire le rapprochement, tu en est son incarnation vivante et çà ne s’est pas estompé en grandissant.
Je croyais que me taire me protégerais de cette vérité et me la ferais oublier. Il était parti, avait préféré s’éclipser au lieu de se battre pour nous. Je ne le blâmais pas, il pensait que tu étais le fils d’un autre et n’a jamais voulu s’interposer. Il a continué sa carrière, grandissante, pendant que moi je tentais de reconstruire quelque chose avec un homme en qui j’avais eu confiance mais que les derniers mois avaient éloignés de l’image que je m’étais faite de lui.
Je crois que le destin se jouait pourtant de tout cela...
Une bonne partie de ce que je vais te raconter, on me l’a moi-même raconté, car je n’en ai aucun souvenir...
Tu vas avoir six mois dans quelques jours. Notre couple avec Fred survit grâce à ses longues absences. Il est à l’étranger la moitié du temps et c’est çà qui m’a permis de tenir si longtemps. Je ne l’aime plus si toutefois l’ais-je déjà aimé ?
Notre appartement a été quelque peu aménagé suite à ta venue mais pas assez à mon goût et Fred ne fait pas beaucoup d’effort. Je sais qu’il t’adore et qu’il s’occupe bien de toi mais quelque chose de bizarre se passe et je n’arrive pas à savoir quoi.
Je n’ai que peu de nouvelles de Went. Il ne m’a jamais appelé mais je soupçonne tout de même quelques silences au téléphone quand j’ai décroché plusieurs fois et que la personne restait muette à l’autre bout du combiné.
Tracy m’informe et j’obtiens le reste de mes renseignements par les magazines people, qui je sais ne sont pas très fiables.
J’attends que Frédéric rentre ce jour là et c’est par la presse spécialisée que j’apprend sa relation avec une jeune mannequin de quinze ans de moins que lui. Les photos sont assez explicites et j’en ai le cœur déchiré. A quoi pouvais-je m’attendre pourtant ? A le voir finir vieux garçon ? Je l’aime et ne cesserait jamais de l’aimer mais ma faiblesse et mon égoïsme me l’ont enlevé, je n’ai que ce que je mérite !
Lorsque la porte d’entrée s’ouvre, Fred s’avance vers nous la mine déconfite.
S : bonsoir ! Çà n’a pas l’air d’aller ?
F : non, c’est le moins que l’on puisse dire ! Ils veulent me muter !
S : qui çà ils ?
F : Philippe mon Boss ! Ils ouvrent un bureau à Madrid et veulent que j’en prenne la direction !
S : tu n’as qu’à refuser si çà ne te dit rien !
F : tu crois qu’on considère que je peux refuser ? C’est une obligation pour moi d’y aller !
S : je ne veux pas partir en Espagne, tu le sais ?
F : et si je n’ai pas le choix ?
S : et bien je reste ici et tu viens nous voir quand tu peux ?
F : c’est la vie que tu veux pour notre famille ? C’est çà ?
S : je n’ai pas envie d’en parler maintenant Fred...je suis fatiguée !
F : çà fait cinq jours que tu ne m’as pas vu et c’est tout ce que tu trouves à me dire !
Je hausse les yeux, effectivement, ses petits problèmes existentiels, çà me passe à quinze milles !
S : oui...
F : tu le revois c’est çà ?....
S : mais...de qui tu parles ???
F : ne fais pas l’innocente ! Tu le sais très bien !
S : alors là non ! Va falloir m’éclairer !
F : Went, Went, Went !!!!!
Il hurle de rage, je ne l’ai jamais vu comme çà.
S : non mais çà va pas ???
F : je suis sur que tu l’a revu !
S : tu crois ce que tu veux mais là je n’en peut plus de tes scènes...
F : mes scènes ? Mais tu te mets à ma place un peu ? Tu crois que çà me fais quoi quand je prends Andréas dans mes bras et que je Le vois ! Tu crois que je suis si con que çà ? J’ai su bien vite que c’était son fils mais est-il au courant au moins ?
Je bondis du canapé et le coupe.
S : je t’interdis de dire quoi que ce soit à quiconque !
F : alors effectivement, tu t’es gardé ce petit secret pour toi toute seule ! Et tu le sais depuis quand ? La naissance ?
Je soupire. Malgré mon envie de lui faire fermer son clapet, je sais qu’il a toutes les raisons du monde de m’en vouloir. J’essaie de me calmer et lui racontes alors toute l’histoire. Comment j’ai vraiment cru pouvoir reconstruire quelque chose avec lui, comment j’étais persuadée être enceinte de lui et comment j’ai appris à l’hôpital après mon malaise qu’il ne pouvait être le père du bébé en raison de son Rhésus.
Je vois la rage dans ses yeux. Ila beaucoup de mal à se contenir mais il y arrive néanmoins. Je ne me sens pas très bien de mon coté et j’ai envie de prendre l’air, d’aller voir un peu.
S : je suis désolée...
F : tu peux l’être ! Je crois qu’on s’est tout dit...
S : je vais aller faire un tour, j’i besoin de respirer, tu t’occupes de...
F : ton fils...oui, ne t’inquiètes pas !
Je m’en vais, attrape mon sac à main et sors en trombe. J’espère sincèrement qu’Audrey est chez elle...j’ai besoin de parler à quelqu’un, j’ai besoin que quelqu’un me comprenne, j’ai besoin qu’on m’aime et je me sens si seule ! Tu payes tes fautes Sonia, je ne cesse de me le répéter.
Le portable d’Audrey ne répond pas et je suis anéantie. Je ne sais pas ce que je vais faire de ma vie, seule avec un enfant de six mois qui ne connaîtra jamais son père.
Si j’avais eu cette force de tout lui avouer il y a plusieurs mois...ce ne sont pas les occasions qui ont manquées ! Je farfouille sur mon portable et compose maladroitement le numéro de Tracy.
La pluie s’est mise à tomber et les rues de paris sont éclairées par la douce lumière du lampadaire. Le bitume brille sur les passages piétons. La tonalité d’appel vibre à mon oreille et j’attends, j’attends qu’elle décroche.
Une intense lumière m’éblouie tout à coup en même temps qu’un klaxon se fait entendre et que des crissements de pneus précèdent le choc de la tôle sur mon corps.
Je ne suis jamais au bon endroit au bon moment.
Le choc est violent et je suis projetée à plusieurs mètres à terre, corps et visage ensanglanté. Mon portable a volé de mes mains et seule une voix affolée d’avoir entendu un gros bruit crie dans le combiné.
T : Allo ? Sonia ? Sonia ? Qu’est ce qui se passe ?
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Je sais, je cumule...mais çà m'était venu comme çà, faut pas m'en vouloir...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Oulalala la pauvre sonia!!! effectivement c'est le cas de le dire elle est en train de payer ses erreurs.... ce rebondissement n'est pas un bon présage pour la suite! je le sens! pitié soso ne soit pa tro dure avk elle hein? :p bon allez bisoux a tous et j'attends la suite avec + d'impatience que d'habitude!
lildemon- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
je viens d'engloutir ta fic.........du début...
un régale....
je cours sur PBF...pour la suite...
...
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...
sam- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Qu'est ce qui va arriver à Sonia????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bon, aumoins Fred sait qu'Andreas n'est aps son fils et il ne lui en veut pas vraiment
J'éspère qu'elle n'a rien de grave. Je suis sûre que went va venir la voir après cet accident.
Vivement la suite!!!!
Bon, aumoins Fred sait qu'Andreas n'est aps son fils et il ne lui en veut pas vraiment
J'éspère qu'elle n'a rien de grave. Je suis sûre que went va venir la voir après cet accident.
Vivement la suite!!!!
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Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Le fait qu'Andréas ressemble tant à son papa doit vraiment être réconfortant pour Sonia. Elle doit avoir le sentiment d'avoir une partie de Wentworth toujours près d'elle.Je profitais de toi à chaque instant, me délectant de ta frimousse et de ton regard. Je n’ai pas mis longtemps à me sentir inséparable de toi.
C’était difficile pour une personne connaissant Wentworth, après avoir posé les yeux sur toi de ne pas faire le rapprochement, tu en est son incarnation vivante et çà ne s’est pas estompé en grandissant.
Sonia n'est pas dur avec Wentworth. Elle comprend sa façon d'agir. Comment pourrait-il faire autrement ? Quand il est rentré aux USA, il a su qu'elle était repartie avec Fred, en France, et pensait que c'était l'enfant de Fred. Par respect pour cet enfant, le plus raisonnable était de laisser, ceux qu'il pensait être ses parents, s'en occuper et se donner une nouvelle chance pour l'élever ensemble. S'il avait su, il n'aurait pas agi ainsi. Il a eu beaucoup de mal à résister puisqu'il tentait d'appeler Sonia, sans pour autant oser lui parler. Wentworth doit avoir le coeur déchiré, comme Sonia Pourquoi n'a-t-elle pas trouvé le courage d'appeler Wentworth ou de lui écrire pour tout lui dire. Elle voyait qu'elle ne formait pas une vraie famille avec Fred. Elle devait ça au moins à son bébé.
Il était parti, avait préféré s’éclipser au lieu de se battre pour nous. Je ne le blâmais pas, il pensait que tu étais le fils d’un autre et n’a jamais voulu s’interposer.
Je n’ai que peu de nouvelles de Went. Il ne m’a jamais appelé mais je soupçonne tout de même quelques silences au téléphone quand j’ai décroché plusieurs fois et que la personne restait muette à l’autre bout du combiné.
A le voir finir vieux garçon ? Je l’aime et ne cesserait jamais de l’aimer mais ma faiblesse et mon égoïsme me l’ont enlevé, je n’ai que ce que je mérite !
Le plus horrible c'est de voir que Fred a très vite compris que Wentworth était le vrai père de cet enfant et pourtant, il n'en n'a jamais rien dit à Sonia. Il est vraiment ignoble, je toruve. Pourquoi la gardait-il ? C'est du pur égoïsme. Il savait qu'elle devait atrocement souffrir et que leur histoire ne pourrait pas tenir longtemps comme ça. Pourquoi a-t-il osé agir comme ça ? Par vengeance ? En plus, cette situation n'était pas non plus idéale pour lui. Que pouvait-il espérer ? Voulait-il lui faire payer ses fautes ? Sonia n'a même pas l'air de vouloir lui faire payer les siennes et de lui reprocher ses erreurs. ça doit être si terrible pour elle d'entendre ça de la bouche de Fred. Une nouvelle fois, elle doit se sentir trahieF : mes scènes ? Mais tu te mets à ma place un peu ? Tu crois que çà me fais quoi quand je prends Andréas dans mes bras et que je Le vois ! Tu crois que je suis si con que çà ? J’ai su bien vite que c’était son fils mais est-il au courant au moins ?
Elle n'est pas non plus irréprochable, loin de là, mais quand elle lui raconte comment elle a appris que Went était le père, elle est très sincère. Elle va jusqu'à lui dire qu'elle croyait pouvoir faire sa vie, fonder une famille avec Fred, qu'elle s'est sacrifiée pour ça et pour quel résultat ! C'est un beau gâchis, tout çaJ’essaie de me calmer et lui raconte alors toute l’histoire. Comment j’ai vraiment cru pouvoir reconstruire quelque chose avec lui, comment j’étais persuadée être enceinte de lui et comment j’ai appris à l’hôpital après mon malaise qu’il ne pouvait être le père du bébé en raison de son Rhésus.
Une fois de plus, elle paye les conséquences et se retrouve à l'hôpital mais dans quel état ?
Que va-t-il se passer pour elle et pour Andréas ? Tracy doit avoir compris qu'il venait de se passer quelque chose d'anormal. Va-t-elle en avertir Went ? Je suis sûre que s'il sait que Sonia est hospitalisée, il ira la voir mais il ne faut pas que Fred mette, à nouveau, son grain de sel ou empêche Went de voir Sonia
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: NINE YEARS MAJ le 20/01/08 Chap 62 L'adieu
Merci pour tous ces coms, çà me touche beaucoup que vous aimiez !
Je vous met la suite, désolé du retard mais j'étais au ciné...il fait tellement beau sur Paris...
Un vide, le néant, l’infiniment grand. Une sensation de flotter mais pas de lumière au bout du tunnel. Je suis seule et dans le noir mais je ne sens rien. Je ne me sens ni bien ni mal, à vrai dire je ne ressens plus rien et c’est bien là tout le problème. Suis-je morte ? Suis-je en vie ? La seule chose dont je sois sûre c’est d’être seule, seule face à moi-même.
Le temps qui passe à l’intérieur de ce trou noir me parait défiler à toute vitesse alors qu’à l’extérieur, les gans, la famille se presse autour de moi et une longue attente commence...
Cette partie de ma vie, cette fracture du temps qui a coupé ma vie entre l’avant et l’après, il n’y a rien au milieu pour moi, rien que ce que l’on a bien voulu me raconter. Ce temps que j’ai perdu de toi et que je ne rattraperai jamais...
Les gyrophares des ambulances ainsi que le bruit des avertisseurs sonores perturbent la petite vie tranquille des habitants du quartier. Le corps d’une femme est étendu par terre, à quelques mètres d’un bus qui n’a pu freiner sur la chaussée humide. La voiture garée sur le trottoir cachait le corps de la jeune femme qui a traversé sans prévenir ni regarder.
Un pompier ramasse le portable au bout duquel une voix étrangère se fait entendre. Il répond tant bien que mal et informe de ce qui vient de se passer.
Un homme à sa fenêtre panique, il vient de voir que la femme étendue par terre n’est autre que la sienne et qu’elle vient de se faire renverser juste en bas de chez lui. Il prend son enfant dans ses bras et descend en trombe, se frayant un chemin à travers les badauds qui surveillent la scène, curieux et indiscrets.
Les secouristes sont en train de tenter de la réanimer par du bouche à bouche et des massages cardiaques.
F : qu’est-ce que vous faites, mais qu’est-ce qui s’est passé ???
Un homme en uniforme s’approche de lui et lui demande qui il est.
F : je suis son ami...je...elle étais descendue prendre l’air, faire un tour...mais pourquoi ? Pourquoi ?
La voix d’un autre homme se fait entendre et tous s’affairent rapidement pour dégager le passage.
- on a un pouls, on a un pouls ! Dégagez !
Fred se redresse et demande à l’accompagner dans l’ambulance.
- désolé monsieur, ce n’est pas possible avec le bébé...on vous retrouve à l’hôpital.
Je sais qu’ensuite tout s’est accéléré pour mon entourage. Audrey s’est occupée de toi pendant les quinze jours où je n’ai pas quittés les soins intensifs et la réanimation. Ils m’ont réanimés plusieurs fois, j’avais presque toutes les côtes de cassées et ma colonne vertébrale en avait pris un sacré coup. Je souffrais également d’un sévère traumatisme crânien qui avait provoqué un caillot dans le lobe frontal et l’on avait du m’opérer. Troisième réanimation. Ma jambe gauche était complètement cassée ainsi que mon bras. Je n’étais plus que des petits morceaux cassés de moi-même.
Fred avait pris son courage à deux mains et mis sa fierté de coté pour appeler Tracy qui fut à mon chevet le lendemain même. Il lui raconta toute l’histoire et ce qu’il savait pour Andréas. Les médecins ne donnaient pas cher de ma peau. Dans le meilleur des cas, je resterais des mois dans le coma qu’ils avaient provoqués artificiellement pour que je ne souffre pas et dans le pire, je succomberais à mes blessures.
Un couple tente de faire face devant la machine à café. La jeune femme est perplexe, pas sûre du tout que la solution qu’envisage l’homme qui lui fait face soit la meilleure.
F : je ne veux plus de mensonges, il a le droit de savoir ! Ce n’est jamais trop tard ! S’il arrivait quelque chose...je n’ai aucun droit sur cet enfant !
T : mais comment veux-tu qu’on lui annonce un truc pareil ? Il va avoir un choc !
F : nous n’avons pas le choix...So n’a pas voulu que je reconnaisse cet enfant, s’il lui arrive quelque chose, je n’aurais aucun droit sur lui !
T : déjà lui annoncer ce qui est arrivé à Sonia...j’en tremble !
F : tu peux l’appeler ?
T : je m’en occupe...
Elle s’éloigne de quelques pas et tapote fébrilement sur le clavier du téléphone entre ses mains.
Plusieurs tonalités retentissent avant que quelqu’un décroche. Une voix féminine.
- allo ?
T : bonjour...Wentworth est là ?
- c’est qui ?
T : Tracy, dites-lui que c’est Tracy et que c’est urgent !
La voix féminine s’éloigne et prononce quelques paroles inaudibles à l’autre bout du combiné.
W : allo ? Tracy ? C’est toi ?
T : Went ! J’ai essayé de te joindre hier toute la journée !
W : désolé, j’ai eu beaucoup d’interviews, j’avais débranché mon portable.
Il sent au son de sa voix que quelque chose ne va pas.
T : où es-tu ?
W : je suis à Londres, jusqu’à demain...mais qu’est-ce qu’il y a tu es bizarre, qu’est-ce qui se passe ?
Elle prend une profonde inspiration.
T : promets moi de rester calme surtout...ce n'est pas facile...bon...c’est Sonia, elle a eu un grave accident Went, elle est entre la vie et la mort. Les médecins ne veulent pas se prononcer. Un bus l’a renversée.
W : oh mon dieu....oh mon dieu....oh mon dieu....oh mon dieu....je....je...je...mais...mais...où es-tu ?
Sa voix trahie la panique et l’affolement qui se sont emparés de lui à cette annonce.
T : je suis à Paris Went, calmes-toi ! Calme toi !
W : j’arrive tout de suite, j’arrive tout de suite !
T : je vais avoir besoin de toi effectivement et de ton sang froid...
Ils raccrochent après quelques minutes de conversation et elle sent bien au son de sa voix le drame qu’il se joue intérieurement.
A peine il raccroche, qu’il appelle pour réserver une place sur le premier Eurostar disponible. Il y en a un dans une heure. Il appelle son agent, annule tout ses rendez-vous, plis bagages et saute dans un taxi le regard perdu, la mine défaite.
« Je suis vraiment trop con...j’aurais jamais du écouter ce type ! Pourquoi est-ce que je suis parti ? Pourquoi j’ai pas essayé de m’interposer ? C’est peut-être son fils mais çà ne m’aurait pas empêcher de l’aimer ! Mon dieu faites qu’elle s’en sorte, je vous en supplie ! »
Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui, grosses bises à toutes, j'attends vos réactions...
Je vous met la suite, désolé du retard mais j'étais au ciné...il fait tellement beau sur Paris...
CHAPTER 33 : Trou noir
Un vide, le néant, l’infiniment grand. Une sensation de flotter mais pas de lumière au bout du tunnel. Je suis seule et dans le noir mais je ne sens rien. Je ne me sens ni bien ni mal, à vrai dire je ne ressens plus rien et c’est bien là tout le problème. Suis-je morte ? Suis-je en vie ? La seule chose dont je sois sûre c’est d’être seule, seule face à moi-même.
Le temps qui passe à l’intérieur de ce trou noir me parait défiler à toute vitesse alors qu’à l’extérieur, les gans, la famille se presse autour de moi et une longue attente commence...
Cette partie de ma vie, cette fracture du temps qui a coupé ma vie entre l’avant et l’après, il n’y a rien au milieu pour moi, rien que ce que l’on a bien voulu me raconter. Ce temps que j’ai perdu de toi et que je ne rattraperai jamais...
Les gyrophares des ambulances ainsi que le bruit des avertisseurs sonores perturbent la petite vie tranquille des habitants du quartier. Le corps d’une femme est étendu par terre, à quelques mètres d’un bus qui n’a pu freiner sur la chaussée humide. La voiture garée sur le trottoir cachait le corps de la jeune femme qui a traversé sans prévenir ni regarder.
Un pompier ramasse le portable au bout duquel une voix étrangère se fait entendre. Il répond tant bien que mal et informe de ce qui vient de se passer.
Un homme à sa fenêtre panique, il vient de voir que la femme étendue par terre n’est autre que la sienne et qu’elle vient de se faire renverser juste en bas de chez lui. Il prend son enfant dans ses bras et descend en trombe, se frayant un chemin à travers les badauds qui surveillent la scène, curieux et indiscrets.
Les secouristes sont en train de tenter de la réanimer par du bouche à bouche et des massages cardiaques.
F : qu’est-ce que vous faites, mais qu’est-ce qui s’est passé ???
Un homme en uniforme s’approche de lui et lui demande qui il est.
F : je suis son ami...je...elle étais descendue prendre l’air, faire un tour...mais pourquoi ? Pourquoi ?
La voix d’un autre homme se fait entendre et tous s’affairent rapidement pour dégager le passage.
- on a un pouls, on a un pouls ! Dégagez !
Fred se redresse et demande à l’accompagner dans l’ambulance.
- désolé monsieur, ce n’est pas possible avec le bébé...on vous retrouve à l’hôpital.
Je sais qu’ensuite tout s’est accéléré pour mon entourage. Audrey s’est occupée de toi pendant les quinze jours où je n’ai pas quittés les soins intensifs et la réanimation. Ils m’ont réanimés plusieurs fois, j’avais presque toutes les côtes de cassées et ma colonne vertébrale en avait pris un sacré coup. Je souffrais également d’un sévère traumatisme crânien qui avait provoqué un caillot dans le lobe frontal et l’on avait du m’opérer. Troisième réanimation. Ma jambe gauche était complètement cassée ainsi que mon bras. Je n’étais plus que des petits morceaux cassés de moi-même.
Fred avait pris son courage à deux mains et mis sa fierté de coté pour appeler Tracy qui fut à mon chevet le lendemain même. Il lui raconta toute l’histoire et ce qu’il savait pour Andréas. Les médecins ne donnaient pas cher de ma peau. Dans le meilleur des cas, je resterais des mois dans le coma qu’ils avaient provoqués artificiellement pour que je ne souffre pas et dans le pire, je succomberais à mes blessures.
Un couple tente de faire face devant la machine à café. La jeune femme est perplexe, pas sûre du tout que la solution qu’envisage l’homme qui lui fait face soit la meilleure.
F : je ne veux plus de mensonges, il a le droit de savoir ! Ce n’est jamais trop tard ! S’il arrivait quelque chose...je n’ai aucun droit sur cet enfant !
T : mais comment veux-tu qu’on lui annonce un truc pareil ? Il va avoir un choc !
F : nous n’avons pas le choix...So n’a pas voulu que je reconnaisse cet enfant, s’il lui arrive quelque chose, je n’aurais aucun droit sur lui !
T : déjà lui annoncer ce qui est arrivé à Sonia...j’en tremble !
F : tu peux l’appeler ?
T : je m’en occupe...
Elle s’éloigne de quelques pas et tapote fébrilement sur le clavier du téléphone entre ses mains.
Plusieurs tonalités retentissent avant que quelqu’un décroche. Une voix féminine.
- allo ?
T : bonjour...Wentworth est là ?
- c’est qui ?
T : Tracy, dites-lui que c’est Tracy et que c’est urgent !
La voix féminine s’éloigne et prononce quelques paroles inaudibles à l’autre bout du combiné.
W : allo ? Tracy ? C’est toi ?
T : Went ! J’ai essayé de te joindre hier toute la journée !
W : désolé, j’ai eu beaucoup d’interviews, j’avais débranché mon portable.
Il sent au son de sa voix que quelque chose ne va pas.
T : où es-tu ?
W : je suis à Londres, jusqu’à demain...mais qu’est-ce qu’il y a tu es bizarre, qu’est-ce qui se passe ?
Elle prend une profonde inspiration.
T : promets moi de rester calme surtout...ce n'est pas facile...bon...c’est Sonia, elle a eu un grave accident Went, elle est entre la vie et la mort. Les médecins ne veulent pas se prononcer. Un bus l’a renversée.
W : oh mon dieu....oh mon dieu....oh mon dieu....oh mon dieu....je....je...je...mais...mais...où es-tu ?
Sa voix trahie la panique et l’affolement qui se sont emparés de lui à cette annonce.
T : je suis à Paris Went, calmes-toi ! Calme toi !
W : j’arrive tout de suite, j’arrive tout de suite !
T : je vais avoir besoin de toi effectivement et de ton sang froid...
Ils raccrochent après quelques minutes de conversation et elle sent bien au son de sa voix le drame qu’il se joue intérieurement.
A peine il raccroche, qu’il appelle pour réserver une place sur le premier Eurostar disponible. Il y en a un dans une heure. Il appelle son agent, annule tout ses rendez-vous, plis bagages et saute dans un taxi le regard perdu, la mine défaite.
« Je suis vraiment trop con...j’aurais jamais du écouter ce type ! Pourquoi est-ce que je suis parti ? Pourquoi j’ai pas essayé de m’interposer ? C’est peut-être son fils mais çà ne m’aurait pas empêcher de l’aimer ! Mon dieu faites qu’elle s’en sorte, je vous en supplie ! »
***
Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui, grosses bises à toutes, j'attends vos réactions...
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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